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Le Centre ontarien sur l’impact climatique et l’adaptation des ressources de MIRARCO sera membre du nouveau groupe d’expert sur l’adaptation au changement climatique

Le Centre ontarien sur l’impact climatique et l’adaptation des ressources de MIRARCO sera membre du nouveau groupe d’expert sur l’adaptation au changement climatique

Le groupe d’expert national donnera des conseils au gouvernement fédéral sur la manière de quantifier le progrès de l’adaptation aux changements climatiques.

Al Douglas, Directeur du Centre ontarien sur l’impact climatique et l’adaptation des ressources (OCCIAR) de MIRARCO, un centre de recherche de l’Université des Laurentiennes, sera membre du nouveau groupe d’expert sur les résultats de l’adaptation et de la résilience aux changements climatiques.

Les changement climatiques ont déjà des conséquences négatives et posent des risques significatifs aux communautés ainsi qu’au secteur privé et à l’environnement. Prenant acte de cette réalité, des mesures sont actuellement prise par les gouvernements, les entreprises ainsi que les individus pour s’adapter aux conséquences des changements climatiques. 

« Il est important pour nos gouvernements de savoir si les mesures prises pour améliorer la résiliences et l’adaptation aux changements climatiques sont efficaces, » explique Al Douglas. « Nous avons besoin de savoir si les mesures prises sont les bonnes et si elles fonctionnent ainsi que si elles sont viable économiquement. » 

Le nouveau groupe d’expert présentera un rapport au Dr. Stephen Lucas, sous-ministre canadien de l’Environnement et du changement climatique, au printemps 2018. Ce rapport a pour but de mettre en évidence les indicateurs qui aiderons le Canada à quantifier son progrès quant à l’adaptation et à la résilience aux changements climatiques et ce pour l’ensemble du pays.  

« Les Premières Nations, les communautés et plusieurs secteurs économiques de l’Ontario font face à des difficultés ainsi que des opportunités liées aux changements climatiques, » souligne Al. « Je crois que le travail de ce groupe d’experts peut jouer un rôle majeur dans la façon dont nous nous adaptons, collectivement, aux changements climatiques. »  

 

Faits en bref: 

Ces exemples mettent en évidence les conséquences et l’adaptation qui a déjà eu lieu en Ontario. Les investissements croissant dans l’adaptation aux changements climatiques ont fait naître un fort intérêt pour le contrôle des progrès ainsi que l’évaluation de l’efficacité des adaptations dans le but de remédier aux vulnérabilités et aux risques. Le Groupe d’experts établira des indicateurs qui aideront le Canada et l’Ontario pour quantifier les progrès d’adaptation et de résilience.  

  • Les changements climatiques se traduisent par des événements météorologiques extrêmes impliquant des dommages sans précédent. Le 13 juillet 2013, la ville de Toronto a reçu 126 mm de pluie en seulement deux heures, causant plus de 1 milliard de dollars en dommages-intérêts. À ce jour, c'est la catastrophe naturelle la plus coûteuse de l'Ontario. Afin d'accroître sa résilience, Toronto a entrepris des études pour évaluer sa vulnérabilité et s'efforce d’améliorer ses infrastructures liées aux eaux pluviales.
  • Depuis 1948, l'Ontario a connu une hausse de sa température moyenne annuelle de 1.5°C et constate plus de jours avec une température supérieure à 30°C. Ces événements de chaleur extrême peuvent causer des blessures et des maladies sévères, comme des coups de chaleur, l'épuisement par la chaleur, voire même la mort. De nombreuses communautés en l'Ontario (p. ex. Toronto, Windsor). prennent des mesures en développant des systèmes d’alertes et d‘intervention à la chaleur (SAIC) ainsi qu’en ouvrant des centres spéciaux de rafraichissement lors des journées extrêmement chaudes afin de protéger la population contre les maladies liées à la chaleur.
  • Les feux de forêt posent un danger important pour les communautés de l’Ontario. En juillet 2011, environs 120 feux de forêt ont été enregistré au nord de l’Ontario durant une période de 17 jours. Ces incendies ont causé l’évacuation de 3,292 personnes de 8 communautés des Premières nations en raison de l’inhalation de fumée, de pénurie alimentaire, et d’un manque en capacité pour stockage de nourriture. Les habitants sont encouragés à télécharger un fichier qui s’appelle FireSmart, un manuel fournissant des outils de planification qui permettent d’atténuer les risques d’incendie.
  • En Ontario, les activités hivernales (p.ex. pêche sur glace, motoneige) ont été touchée par le réchauffement des températures hivernales et les conditions météorologiques plus variables. Pour ces raisons, la station de ski des Blue Mountain a diversifié sa stratégie commerciale afin d’accueillir des activités pouvant être pratiquées toute l’année et a investi dans des équipements d’enneigement artificiel.
  • Le gouvernement d’Ontario va publier un plan pour l’adaptation aux changements climatiques et ainsi devenir plus résilient en 2017. Il s’appuiera sur le dernier plan stratégique provincial de mesures d’adaptation,  L’adaptation au changement climatique : Stratégie et plan d’action de l’Ontario 2011-2014. 

 

À Propos OCCIAR 

Le Centre ontarien sur l’impact climatique et l’adaptation des ressources (OCCIAR) est un pôle de ressources en ce qui concerne les conséquences et l’adaptation aux changements climatiques. Il fait partie de MIRARCO, un centre de recherche de l’Université des Laurentienne à Sudbury en Ontario. Avec plus de 16 ans d’expérience dans tous les secteurs de l’économie et de la société, nous sommes les chefs de file dans le domaine de l’adaptation aux changements climatiques. Notre but est d’informer et de faciliter les processus d’adaptation, en s’assurant que les décisions prise aujourd’hui sont basée sur les défis climatiques de demain. Cela est fait en développant et implémentant les ressources et les outils dont les communautés, les professionnels et les experts de tous les horizons ont besoins dans le processus de prise de décision. Nous communiquons sur les dernières recherches ayant trait à l’adaptation et la résilience aux les changements climatiques et favorisons les discussions critiques à l’intérieure et entre les communautés et les différents secteurs qui aide a amélioré cette résilience. 

 

À Propos le Groupe d’experts:  

Le Groupe d’experts fournira des conseils au gouvernement du Canada pour quantifier les progrès accomplis en matière d’adaptation et de résilience aux changements climatiques, afin de mieux comprendre dans quelle mesure les efforts d’adaptation fédéraux, provinciaux et territoriaux permettent au Canada de renforcer sa résilience aux changements climatiques, notamment en offrant des renseignements à jour, en appuyant les infrastructures adaptées au climat et en modernisant les codes du bâtiment. Le Groupe d’experts aidera, en plus,  le gouvernement fédéral à mieux communiquer aux Canadiens comment nous nous préparons et nous adaptons aux conséquences actuels et futurs des changements climatiques. 

Le Groupe d’experts appuiera le Cadre pancanadien sur la croissance propre et les changements climatiques, le plan du Canada visant à réaliser notre objectif de réduction des émissions de gaz à effet de serre, à renforcer la résilience aux effets des changements climatiques et à créer une croissance et des emplois propres en investissant dans les technologies propres, l’innovation et l’infrastructure. 

Le Dr. Blair Feltmate, chef du Centre Intact d’adaptation au climat de l’Université de Waterloo, présidera le Groupe d’experts. Des représentants du milieu universitaire, du secteur privé, d’organisations gouvernementales et non gouvernementales et des peuples autochtones feront également partie du Groupe d’experts. Les provinces et les territoires participeront également aux travaux de ce dernier.  

Pour obtenir plus de renseignements à ce sujet, veuillez consulter ici.

L’École des mines Goodman de la Laurentienne lance un programme menant à un certificat en gestion de projets

L’École des mines Goodman de la Laurentienne lance un programme menant à un certificat en gestion de projets

L’École des mines Goodman à l’Université Laurentienne a lancé officiellement un nouveau programme menant à un certificat en gestion de projets. Dans ce programme, les étudiants acquerront une formation en matière de ressources, techniques et pratiques requises pour veiller, avec succès, à tous les aspects de la gestion de projets industriels dans divers domaines dans le nord de l’Ontario.

« Ce nouveau programme de certificat est le plus récent témoignage du leadership de l’École Goodman en recherche et enseignement dans le domaine minier, a dit le directeur général fondateur de l’École des mines Goodman, M. Bruce Jago, Ph.D. Le programme va toutefois plus loin. Les compétences acquises dans la gestion de projets profiteront à tous les secteurs industriels de notre région et d’ailleurs. »

Le Certificat en gestion de projets de l’École des mines Goodman aborde le cycle complet de projet, de la mise sur pied au parachèvement, en passant par la planification et l’exécution. Le programme est composé de deux séries de cours et commence par un cours obligatoire de trois jours intitulé « Project Management Essentials » (PME; essentiels de la gestion de projet). Ce cours, qui comporte une journée d’études autonomes en ligne suivie de deux jours en salle de classe, initie les nouveaux gestionnaires de projets et membres d’équipe aux techniques/outils variés de la gestion de projets et aux principaux éléments requis pour que les projets soient couronnés de succès.

Pour faire suite au cours PME, les participants doivent choisir sept autres journées de formation parmi les suivantes :

  • 1 jour : présentation de la technique « Agile »
  • 1 jour : gestion des intervenants de projet
  • 1 jour : pratiques exemplaires en matière de clôture de projet
  • 1 jour : approvisionnement de projet et gestion de contrats
  • 2 jours : analyse opérationnelle à l’intention des gestionnaires de projets
  • 2 jours : pratiques de gestion de risques
  • 3 jours : préparation à l’examen de Certified Associate in Project Management (CAPR) administré par le Project Management Institute
  • 5 jours : préparation à l’examen d’agrément comme professionnel de la gestion de projets (PMP)

 

Le Certificat en gestion de projets de l’École des mines Goodman fait suite à une série de cours pertinents offerts au printemps 2017 qui a connu beaucoup de succès, attirant une vingtaine de participants d’un grand éventail de secteurs industriels qui tireront profit de cette formation professionnelle. Ces participants provenaient de quatre communautés autochtones nord-ontariennes, du secteur minier, de municipalités locales et de la communauté universitaire de la Laurentienne.

« La plupart des gens qui ont participé à nos premiers cours de gestion de projets se sont dits bien satisfaits des techniques et outils acquis et de l’atmosphère d’entraide qui est un élément clé de notre style pédagogique, a ajouté M. Jago. Notre nouveau programme de certificat repose sur ces fondements et permet de continuer d’offrir une formation professionnelle, abordable et efficace apportant des compétences dont profiteront nos communautés et nos industries au cours des années à venir. »

M. Ming Cai gagne le prestigieux prix John A. Franklin

M. Ming Cai gagne le prestigieux prix John A. Franklin

M. Cai est reconnu pour ses travaux à trouver des solutions innovatrices en vue d’améliorer la sécurité et l’efficacité des mines.

L’Université Laurentienne tient à féliciter M. Ming Cai, Ph.D., titulaire de la Chaire de recherche en géomécanique à l’UL, qui a reçu le prestigieux Prix John A. Franklin de la Société canadienne de géotechnique (SCG). Ce prix souligne les travaux de M. Cai en mécanique et ingénierie des roches qui visent à améliorer la sécurité et l’efficacité dans l’industrie minière canadienne et mondiale.

« Je suis à la fois fier et humble et remercie la SCG de ce prix, a dit Ming Cai, Ph.D., qui est aussi professeur titulaire à l’Université Laurentienne. Cet honneur de mes pairs est une grande leçon d’humilité, mais je m’enorgueillis des travaux que nous accomplissons à la Laurentienne pour améliorer les technologies et pratiques minières dans l’intérêt de l’industrie et de ses travailleurs. »

Représentant les ingénieurs civils et miniers, la Société canadienne de géotechnique a créé le Prix John A. Franklin pour rendre hommage aux personnes apportant des contributions exceptionnelles à la mécanique et à l’ingénierie des roches. Le prix de 2017 a été remis à M. Cai pour reconnaître ses travaux en matière de support rocheux dans des conditions terrestres ardues, d’interprétation d’émissions acoustiques et de données de surveillance microséismique et d’approches quantitatives proposées pour estimer les forces maximales et résiduelles de masses rocheuses.

« Je félicite M. Cai, car il est digne de ce prestigieux prix, a dit le PDG de MIRARCO (Société de recherche appliquée en innovation minière et de réhabilitation) à l’Université Laurentienne, M. Vic Pakalnis. Il incarne en effet le meilleur de ce qu’offrent MIRARCO et notre Université en ce qui concerne le développement d’outils révolutionnaires pour l’industrie minière. »

Parmi les réalisations de M. Cai soulignées par le Prix John A. Franklin, il faut mentionner la mise au point de produits de soutien rocheux pour prévenir les coups de toit, effet des activités minières à grande profondeur pouvant mettre des vies en danger. Ces produits comprennent un boulon d’ancrage dynamique MCB33 utilisé par certaines mines profondes au Canada et un autre boulon d’ancrage prototype ayant une superbe capacité dynamique de soutien qui pourrait améliorer la sécurité et la productivité dans les mines souterraines à grande profondeur.

« C’est grâce à des chercheurs comme M. Cai que la Laurentienne s’est taillé une réputation de leader dans le développement de techniques et d’outils efficaces et rentables qu’emploie actuellement l’industrie minière et qui serviront aussi à l’avenir, a dit le recteur et vice-chancelier par intérim de l’Université Laurentienne, M. Pierre Zundel, Ph.D. Je félicite Ming de ce prix et me réjouis à la perspective de ses futurs travaux, non seulement dans le laboratoire, mais aussi en salle de classe, où il aide à former la prochaine génération de chercheurs créatifs et innovateurs. »

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-neuf centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, l’astrophysique des particules ainsi que la santé et la sécurité professionnelles.

L’Université Laurentienne et l’Association des professeurs de l’Université Laurentienne ratifient une convention collective de trois ans

L’Université Laurentienne et l’Association des professeurs de l’Université Laurentienne ratifient une convention collective de trois ans

Aujourd’hui, le Conseil des gouverneurs de la Laurentienne a ratifié l’entente à l’unanimité.

10 octobre, 2017

L’Association des professeurs de l’Université Laurentienne (APUL) et l’Université Laurentienne ont ratifié officiellement une nouvelle convention collective. Vendredi dernier, les membres de l’APUL ont voté en faveur (98 %) du prolongement de trois ans de la convention collective qui est arrivée à échéance le 30 juin. Aujourd’hui, le Conseil des gouverneurs de la Laurentienne a ratifié l’entente à l’unanimité.

« L’accord est une bonne nouvelle pour notre personnel et l’ensemble de notre collectivité universitaire, a dit le recteur et vice-chancelier par intérim, Pierre Zundel, Ph.D. Je tiens à remercier les équipes de négociation de l’UL et de l’APUL pour tous leurs efforts et leur collaboration. Cette entente donne à notre corps professoral la stabilité et les soutiens dont il a besoin pour continuer à offrir un enseignement de calibre mondial à notre population étudiante tout en assurant la solidité organisationnelle alors que nous peaufinons le Plan stratégique 2018-2023 de l’Université. »

Le prolongement de trois ans du contrat sera en vigueur jusqu’au 30 juin 2020. Les modalités de l’entente prévoient une augmentation salariale normative annuelle pour les membres de l’APUL et les deux parties s’engagent à entamer les discussions en matière de pension et d’équité dans la charge de travail.

« Je remercie les deux équipes de négociation qui ont travaillé si fort pour mener à bonne fin ce cycle de négociation assez ardu, a dit le président de l’APUL, Jim Ketchen, Ph.D. Nous croyons que le Conseil aussi bien que l’administration de la Laurentienne ont pris connaissance des préoccupations du corps professoral. L’entente fait valoir ces préoccupations, ce qui accorde à l’Université Laurentienne une position avantageuse allant de l’avant pour offrir un enseignement de qualité et poursuivre des recherches très importantes. »

L’Université Laurentienne et l’APUL tiennent à remercier les membres des équipes de négociation dirigées par Denis Hurtubise, Ph.D., pour l’APUL, et Geoff Tierney, pour l’Université Laurentienne, de leur dévouement et de leur engagement envers la conclusion d’une entente mutuellement avantageuse.

Les étudiants qui n’ont pas une semaine d’études prévue à l’horaire seront de retour en classe à compter de mercredi. Tous les autres étudiants reprendront les cours le lundi 16 octobre.

L’APUL représente 373 membres à plein temps et 304 membres à temps partiel du corps professoral de l’Université Laurentienne à Sudbury et à Barrie.
 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-neuf centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, l’astrophysique des particules ainsi que la santé et la sécurité professionnelles.

L'Université Laurentienne et L'Association des professeures de l’Université Laurentienne parviennent à un accord provisoire

L'Université Laurentienne et L'Association des professeures de l’Université Laurentienne parviennent à un accord provisoire

October 10, 2017

Although it was previously mentioned that classes would resume on Tuesday October 10th, at this point in time, pending a final ratification vote, classes will only start on Wednesday the 11th of October - for those who had a regularly scheduled class time that day (Faculty of Education and Barrie, for example). The reading week continues as scheduled for those who had one. A confirmation email will be sent to firm up the October 11th date after the ratification vote takes place.  Placements can also resume as of that date, as long as the department gives its approval.

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October 7, 2017

The Laurentian University Faculty Association (LUFA) and Laurentian University are pleased to announce they have reached a tentative agreement that will end the faculty strike.

“I am pleased that both bargaining teams have reached an agreement that fulfills the needs of our faculty and the university,” said Interim Laurentian President and Vice-Chancellor, Pierre Zundel. "Now we can all get back to providing a world-class education to our students."

“I am proud of our team and what we have all accomplished,” added Dr. Jim Ketchen, President of LUFA. “It hasn’t been easy but both sides should be congratulated for reaching this agreement.”

The tentative agreement is subject to ratification by LUFA members and the University’s Board of Governors.

Both parties will work to ensure ratification votes happen as quickly as possible so that faculty and students can return to the classroom.

LUFA and Laurentian University are committed to moving forward together to make sure that the return to class is smooth.

Classes will resume on October 16th for those students with a reading week. Courses in Barrie and online will resume Tuesday pending ratification.  More details will be available at laurentian.ca.

The terms of the tentative agreement will not be disclosed at this time.

La grande finale du plus vaste project de modernisation de l'histoire de l'université

La grande finale du plus vaste project de modernisation de l'histoire de l'université

Clôture du projet de modernisation du campus de 63 000 000 $ de la Laurentienne par l’inauguration de nouveau Centre d’accueil et le dévoilement du témoignage de reconnaissance des donateurs à la campagne Objectif 50

​L’Université Laurentienne a célébré le parachèvement du projet de modernisation du campus, chiffré à 63 000 000 $, lors de l’inauguration du nouveau Centre d’accueil. Situé au cœur de campus, ce nouveau point d’accueil et d’orientation reçoit les membres de la population étudiante et les visiteurs et leur donne accès aux renseignements et services du campus.

Parmi les transformations et nouveautés apportées au campus de Sudbury, il faut souligner le Centre autochtone de partage et d’apprentissage, le Centre d’apprentissage des cadres, le Club universitaire, la remise à neuf de 60 salles de classe et laboratoires, le réaménagement de taille du Pavillon Alphonse-Raymond et l’ajout du Centre d’accueil et de l’atrium qui s’élève sur trois étages. Le nouvel atrium est pourvu de places informelles à chaque étage qui se prêteront aux études et aux rencontres sociales ainsi que des sièges en gradins à partir du rez-de-chaussée à utiliser pour les activités spéciales sur le campus.

« Depuis le début du projet en octobre 2014, il y a eu des travaux de construction sur 250 000 pieds carrés de salles de classe, d’espaces de recherche et d’études et d’aires publics, a dit le recteur et vice-chancelier par intérim de l’Université Laurentienne, M. Pierre Zundel. Il s’agissait du plus vaste programme de rénovation et d’expansion à la Laurentienne depuis sa fondation dans les années 1960 et il est gratifiant de constater les avantages que procure maintenant cette initiative colossale à notre population étudiante. »

Le nouveau Centre d’accueil comprend aussi un important témoignage de reconnaissance aux quelque 200 donateurs qui ont contribué chacun plus de 10 000 $ à la campagne « Objectif 50 » de l’Université. Lancée en 2010 pour marquer le 50e anniversaire de la Laurentienne, la campagne de mobilisation de fonds comptait plus de 10 000 donateurs, a recueilli au-delà de 65 000 000 $ et a apporté des contributions à d’importants projets, y compris le centre de recherche de pointe sur l’écologie de l’eau douce, la création de plus de 200 nouvelles bourses d’aide et d’études, la fondation de l’École des mines Goodman et l’établissement de la première chaire de recherche au Canada en exploitation de mines à ciel ouvert.

« L’histoire d’Objectif 50 : Notre campagne est marquée d’exemples inspirants de générosité de nos donateurs, de succès d’étudiants et d’appui communautaire remarquable, a dit la dirigeante principale de l’Avancement à l’Université Laurentienne et présidente de la campagne Objectif 50, Mme Tracy McLeod. Le fait de voir les noms des personnes qui ont fait des investissements dans notre population étudiante nous rappellera quotidiennement l’effet transformateur que la campagne Objectif 50 a eu sur la philanthropie dans le nord de l’Ontario. »

 « Le nouveau Centre d’accueil est vite devenu le cœur de notre beau campus et est le parfait endroit où célébrer la conclusion de l’ambitieux projet de modernisation de l’Université, a ajouté la présidente du Conseil des gouverneurs de la Laurentienne, Mme Jennifer Witty. Beaucoup des résultats visés par le Plan stratégique 2012-2018 se rattachaient à ce projet, et je suis très fière de la souplesse et de la patience dont la communauté universitaire a fait preuve et de l’orientation qu’elle a assurée dans le cadre de ce processus. Tout le monde a collaboré pour jeter les fondements d’un établissement qui servira notre région pour les générations à venir. »

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-neuf centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, l’astrophysique des particules ainsi que la santé et la sécurité professionnelles.

L'Université Laurentienne lance la première maîtrise en communication scientifique au Canada

L'Université Laurentienne lance la première maîtrise en communication scientifique au Canada

L’Université Laurentienne a célébré aujourd’hui le lancement du premier et unique programme complet de maîtrise en communication scientifique au Canada. Au début de septembre, la première cohorte d’étudiants a entrepris ses études dans le programme intensif de 12 mois.

La maîtrise en communication scientifique propose une expérience pluridisciplinaire abordant la théorie sous-jacente aux bonnes communications tout en examinant les défis pratiques que pose la communication efficace des sciences ainsi que les questions touchant les sciences en société. Les personnes actuellement inscrites au programme de diplôme d’études supérieures en communication scientifique ont pu faire la transition à la maîtrise en effectuant trois mois de cours supplémentaires.

« Ce programme de maîtrise est une prolongation naturelle du diplôme d’études supérieures que nous offrons depuis 2005 en partenariat avec Science Nord et saura répondre à la demande croissante pour nos diplômés, a dit la directrice du programme de communication scientifique à l’Université Laurentienne, Chantal Barriault, Ph.D. Les sciences se lient aux décisions qui touchent toutes les composantes de la vie, et les gens devraient être capables de faire des choix éclairés, sans avoir besoin d’un diplôme dans les sciences. C’est là que nos étudiants entrent en jeu. »

Selon Mme Barriault, les tendances en matière de recherches, d’industries et de politiques publiques dans les sciences font ressentir le besoin de personnes compétentes dans ce domaine en pleine expansion. Les diplômés de la Laurentienne sont des experts à communiquer le travail des meilleurs chercheurs et scientifiques à des publics de toutes les sortes, allant des enfants aux politiciens, et travaillent dans des domaines divers, y compris le gouvernement, les organismes non gouvernementaux, les secteurs industriels, les centres de sciences, les zoos, les aquariums, les publications de vulgarisation scientifique et les établissements de recherche de pointe.

« La mission centrale de Science Nord est de faire participer les gens au croisement entre les sciences et la vie quotidienne en leur communiquant les sciences d’une façon agréable et accessible, a dit le PDG de Science Nord, Guy Labine. En lançant le diplôme d’études supérieures en communication scientifique 12 ans passés en partenariat avec l’Université Laurentienne, nous l’envisagions comme une suite logique du travail effectué quotidiennement dans les centres de sciences. Les diplômés du programme ont une incidence concrète sur notre connaissance et notre compréhension des sciences d’aujourd’hui. L’évolution à la maîtrise témoigne de la reconnaissance au plan mondial de l’importance de la vulgarisation scientifique et n’aurait pas été possible sans notre partenariat étroit avec l’Université Laurentienne, Mme Chantal Barriault, M. David Pearson et mon prédécesseur, M. Jim Marchbank. » 

« Nous nous réjouissons d’offrir ce programme exceptionnel de communication scientifique au niveau de la maîtrise, a dit le vice-recteur aux études, Serge Demers, et attendons avec intérêt de poursuivre sur cette lancée avec nos partenaires à Science Nord. »

D’autres renseignements sur le programme figurent à https://laurentian.ca/program/science-communication.

 

À propos de Science Nord

Science Nord est l’attraction touristique la plus populaire du nord de l’Ontario et une ressource éducative à la disposition des enfants et adultes venant de tous les coins de la province. Science Nord gère les deuxième et huitième centres des sciences au Canada, et comprend le centre des sciences, la salle IMAX, le Planétarium, la galerie de papillons, la grande salle d’exposition et Terre dynamique – site du Big Nickel – un  centre distinct axé sur les mines et les sciences de la Terre. En plus des deux centres de sciences à Sudbury, Science Nord dirige aussi un secteur primé de production de films grand format et un secteur de ventes internationales, qui préparent des expositions personnalisées toutes faites pour vente ou location aux centres des sciences, musées et autres organismes culturels partout dans le monde. En partenariat avec l’Université Laurentienne, Science Nord offre le premier et unique programme de communication scientifique en Amérique du Nord. Science Nord est également installé à Thunder Bay, d’où il dessert le Nord-Ouest de la province en réalisant des expériences scientifiques dans les écoles et à divers festivals, organisant des camps d’été, et bien plus, ce qui s’inscrit dans le cadre de son mandat d’assurer des expériences scientifiques partout dans le nord de l’Ontario. De plus amples renseignements sur Science Nord, organisme du gouvernement de l’Ontario, sont affichés à sciencenord.ca.

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-neuf centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, l’astrophysique des particules, et la santé et la sécurité au travail. D’autres renseignements sur l’Université Laurentienne figurent à www.laurentienne.ca.

Carol Kauppi de la Laurentienne est reconnue pour ses recherches sur le sans-abrisme

Carol Kauppi de la Laurentienne est reconnue pour ses recherches sur le sans-abrisme

La directrice du Centre de recherche en justice et politique sociales reçoit le Prix Partenariat - Impact 2017 du Conseil de recherches en sciences humaines

Carol Kauppi, Ph.D.

Aujourd’hui, la chercheuse de l’Université Laurentienne, Carol Kauppi, Ph.D., était à Ottawa afin de recevoir un prix qui souligne ses réalisations à collaborer avec des partenaires universitaires et communautaires pour comprendre le sans-abrisme en Ontario. Le Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH) lui a décerné le Prix Partenariat – Impact pour ses recherches en matière de sources d’inégalité sociale et économique et de stratégies pour viser la justice sociale.

Les Prix Impact visent à reconnaître et à souligner les réalisations de chercheurs exceptionnels en matière d’activités de recherche, de formation en recherche, de mobilisation des connaissances et de sensibilisation que le CRSH finance en tout ou en partie. Le Prix Partenariat rend hommage à Mme Kauppi, car elle a su proposer les plus brillantes idées dans les sciences sociales et les humanités et aider à comprendre et à améliorer le monde d’aujourd’hui et de demain. Elle reçoit avec le prix une subvention de 50 000 $ pour prolonger les recherches sur le sans-abrisme invisible lié à la réconciliation entre les personnes autochtones et allochtones. 

« Le sans-abrisme invisible est exactement ce qu’il laisse entendre, a dit Mme Carol Kauppi, professeure et directrice du Centre de recherche en justice et politique sociales à l’Université Laurentienne. Il s’agit de personnes qui n’ont pas de logement stable et passent largement inaperçues, comme les jeunes qui couchent d’une maison à l’autre, les vieillards qui ne peuvent pas se payer un logement approprié, les gens qui vivent dans des camps forestiers ou les familles habitant dans des bâtiments surpeuplés et inférieurs aux normes. »

Dans ses travaux, Mme Kauppi a examiné les diverses formes de sans-abrisme et de pauvreté extrême parmi de nombreux groupes vulnérables, y compris les femmes, les jeunes, les familles et les personnes âgées de groupes culturels clés dans le nord-est de l’Ontario. Le programme de recherche rattaché au Prix est axé tout particulièrement sur les populations autochtones dans le cadre d’un effort de mettre en œuvre quinze appels à l’action émis par la Commission pour la vérité et la réconciliation du Canada. Les recherches visent à faire des liens entre les connaissances sur le sans-abrisme invisible et les questions sous-jacentes touchant des difficultés de logement chez les populations autochtones du nord-est de l’Ontario, et à formuler des solutions pour améliorer les relations entre les autochtones et allochtones du Canada.

« Depuis quelques ans, tous les paliers du gouvernement accordent une plus importante attention à l’aggravation de la pauvreté et du sans-abrisme, ce qui est positif, a ajouté Mme Kauppi. Mais, pour élaborer de bonnes politiques publiques et faire des investissements appuyant autant de gens que possible, nous devons cerner plus précisément le nombre de Canadiens touchés et l’incidence sur ceux-ci. Je remercie le CRSH de cette reconnaissance et me réjouis à la perspective de poursuivre ces recherches des plus nécessaires avec une équipe bilingue, triculturelle et pluridisciplinaire à Sudbury. »

Mme Kauppi se prépare à élargir ses recherches sur le sans-abrisme invisible au plan national. Grâce à une subvention du CRSH, elle dirigera un groupe de chercheurs de l’Université Laurentienne, de l’Université de Sudbury et du Service de santé publique de Sudbury et du district qui mènera une série d’ateliers portant sur les enjeux, rassemblera les collègues du pays, organisera une conférence nationale et publiera un livre sur le sans-abrisme invisible et la réconciliation.

« Je félicite Mme Kauppi de ses travaux et de ce prix du CRSH, a dit le vice-recteur à la recherche à l’Université Laurentienne, M. Riu Wang. Notre établissement est très fier du leadership que nous jouons en recherche et du dévouement témoigné par notre personnel en travaillant de pair avec les intervenants de la communauté et du gouvernement sur des projets qui amélioreront la vie. Mme Kauppi en est un parfait exemple. »

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Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-neuf centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, l’astrophysique des particules, et la santé et la sécurité au travail.

Dix mois avant l’échéance de l’entente actuelle, l’UL et le syndicat des employés concluent un contrat de trois ans.

Dix mois avant l’échéance de l’entente actuelle, l’UL et le syndicat des employés concluent un contrat de trois ans.

1 septembre 2017

Le Syndicat des employés de l’Université Laurentienne (SEUL) et l’Université Laurentienne se sont entendus sur une nouvelle convention collective. 93 % des membres du Syndicat ont voté pour la prolongation de trois ans du contrat, négociée dix mois avant l’expiration de l’entente actuellement en place avec le SEUL.

« Cette entente est un point positif tant pour notre personnel que pour l’ensemble de la collectivité universitaire, a dit le recteur et vice-chancelier par intérim de l’Université Laurentienne, M. Pierre Zundel, Ph.D. Je tiens à remercier nos partenaires du SEUL de leur travail ardu et de leur collaboration. En parvenant à cet accord presque un an avant la fin de la convention collective actuelle, nous témoignons de la qualité de la relation entre l’Université et le SEUL aussi bien que de notre intérêt commun à assurer la stabilité organisationnelle alors que nous finalisons le Plan stratégique 2018-2023 de l’Université. »

La prolongation de trois ans du contrat sera en vigueur jusqu’au 30 juin 2021. En vertu de l’entente, les membres du SEUL recevront des augmentations salariales de 1,8 %, 1,5 % et 1,5 % au 1er juillet 2018, 2019 et 2020 respectivement. Les membres augmenteront les cotisations au régime de retraite supérieures au MGAP de 8,2 % à 9,9 % et la Laurentienne continuera à partager équitablement les cotisations au régime. Un nouveau libellé en matière de gestion de main-d’œuvre est intégré à la convention pour indiquer que l’Université s’engage à éviter les postes redondants et permettre plus de souplesse pour le transfert des titulaires à d’autres postes.

« Les membres du SEUL sont fiers du travail qu’ils font pour assurer un fonctionnement de haut calibre dans tous les aspects du campus de la Laurentienne, a ajouté le président du SEUL, M. Tom Fenske. Nous nous enorgueillissons aussi des liens solides tissés entre notre syndicat et l’administration de l’Université qui nous ont permis d’achever ce processus contractuel bien avant l’échéance. Nous attendons tous avec intérêt de continuer à cultiver ce partenariat afin qu’en profite toute la collectivité de l’Université Laurentienne. »

Le SEUL représente environ 280 membres du personnel à l’Université Laurentienne, y compris des employés de bureau, secrétaires, technologues, techniciens, employés en informatique, personnel de l’entretien et de la Bibliothèque, y compris les techniciens et adjoints en bibliothèque, les ingénieurs d’exploitation ainsi que le personnel du Service d’impression et du Service de sécurité.

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux.

Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-neuf centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, l’astrophysique des particules, ainsi que la santé et la sécurité en milieu de travail.

Réaction à l'annonce du gouvernement au sujet de la création de la première université de langue française en Ontario

Réaction à l'annonce du gouvernement au sujet de la création de la première université de langue française en Ontario

​L’Université Laurentienne attend avec intérêt de collaborer avec la Province pour appuyer l’enseignement postsecondaire de langue française dans le centre et le sud-ouest de l’Ontario afin qu’il complète ce qui est offert actuellement en Ontario.

Nous continuerons d’offrir des programmes de langue française de haut calibre qui satisfont aux besoins de nos communautés et de notre population d’étudiants francophones qui ne cesse de croître.

En tirant profit des millions de dollars investis récemment dans la réfection des installations, la Laurentienne continuera aussi d’offrir un milieu dynamique de langue française où il fait bon vivre et apprendre. Nous nous réjouissons à la perspective de participer au dialogue permanent sur les études postsecondaires de langue française en Ontario.

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