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La Laurentienne célèbre d'importantes réussites en matière de financement du CRSNG et du CRSH

La Laurentienne célèbre d'importantes réussites en matière de financement du CRSNG et du CRSH

Un investissement de 3 500 000 $ du gouvernement fédéral appuiera un éventail de projets de recherche et de formation

13 SEPTEMBRE 2016 – La Laurentienne a reçu 3 500 000 $ du gouvernement fédéral sous forme de subventions du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie (CRSNG) et du Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH).

 

Par l’intermédiaire des programmes FONCER, de subventions à la découverte et de subventions d’outils et d’instruments de recherche, le CRSNG accordera quelque 3 150 000 $ à l’Université Laurentienne. « Cette année, un plus grand nombre de chercheurs ont présenté des demandes de financement dans le cadre de ces programmes, a expliqué M. Thomas Merritt, Ph.D., responsable du CRSNG à la Laurentienne, et un nombre record de demandes de l’Université ont été approuvées. »

 

Dans le but d’améliorer le taux de réussite aux concours du CRSNG, la Laurentienne a offert aux chercheurs des ateliers, de l’encadrement et un soutien entre les pairs afin d’étayer les demandes.

 

En outre, la Laurentienne a vu une augmentation du financement accordé par le CRSH. « Nos subventions du CRSH ont augmenté de 11 % depuis l’an passé, a dit Mme Gillian Crozier, Ph.D., responsable du CRSH à la Laurentienne, dû notamment à de nouveaux octrois dans les programmes Subventions Savoir et de développement Savoir. »

 

Les chercheurs de la Laurentienne ont reçu aussi un nouveau financement dans le cadre du programme subventions Connexions qui apporte un soutien aux initiatives de mobilisation des connaissances de grande envergure.

 

Le vice-recteur à la recherche, M. Rui Wang, Ph.D., tient à féliciter tous les chercheurs de la Laurentienne et à remercier le CRSNG et le CRSH de leur appui. « Je suis si fier des chercheurs des sept facultés de la Laurentienne qui ont brillé dans les concours du CRSNG et du CRSH. Nos réussites dans ces concours nationaux évalués par les pairs prouvent que la Laurentienne est reconnue au plan national pour son excellence dans ces domaines. »

Points saillants

  • Augmentation du financement du CRSH de 11 % en 2015-2016 par rapport à 2014-2015.
  • Augmentation du financement du CRSNG de 45 % en 2015-2016 par rapport à 2014-2015.
  • Le financement du CRSNG appuiera les domaines suivants : biologie, chimie et biochimie, sciences de la Terre, génie, sciences de l’activité physique, mathématiques et informatique, et physique.
  • Le taux de réussite des demandes de la Laurentienne aux subventions à la découverte du CRSNG est passé de 29 % en 2016 à 55 % en 2016.  
  • Le Programme de formation orientée vers la nouveauté, la collaboration et l’expérience en recherche (FONCER) du CRSNG appuie la formation d’équipes composées d’étudiants et de stagiaires postdoctoraux hautement qualifiés du Canada et d’autres pays grâce à des programmes de formation innovateurs.
  • Le Programme de subventions à la découverte du CRSNG appuie des programmes continus de recherche comportant des objectifs à long terme.
  • Le Programme de subventions d’outils et d’instruments de recherche (OIR) du CRSNG, qui offre un soutien jusqu’à concurrence de 150 000 $, est la principale source d’appui financier aux chercheurs universitaires en sciences naturelles et en génie pour l’achat d’outils et d’instruments de recherche.
  • L’objectif du programme Savoir du CRSH est d’approfondir les connaissances à partir de perspectives à caractère disciplinaire, interdisciplinaire ou multisectoriel en appuyant les meilleurs chercheurs.
  • Les subventions de développement Savoir du CRSH visent à appuyer les étapes initiales de la recherche. Elles favorisent l’approfondissement de nouvelles questions de recherche ainsi que l’expérimentation de nouvelles approches théoriques, idées et méthodes. Elles servent à financer des projets de développement de la recherche à court terme (jusqu’à deux ans) proposés par un chercheur travaillant seul ou en équipe.

Les subventions Connexion du CRSH appuient des événements et des activités de rayonnement à court terme ciblant des initiatives de mobilisation des connaissances.    

Le gouvernement fédéral investit 49 000 000 $ dans le programme d'exploration minérale de 104 000 000 $

Le gouvernement fédéral investit 49 000 000 $ dans le programme d'exploration minérale de 104 000 000 $

Le financement accordé est le plus grand investissement ponctuel dans l’histoire de l’Université

L’Université Laurentienne lance une initiative de recherche sans précédent pour aider l’industrie des minéraux à faire, tant au Canada qu’à l’étranger, des investissements d’exploration à faible risque et à inverser la tendance actuelle, celle des faibles taux de découverte de nouveaux gisements minéraux.

 

Cette initiative de sept ans, baptisée Metal Earth, a reçu du Fonds d’excellence en recherche Apogée Canada (FERAC) un coup d’impulsion de 49 269 000 $, sur sept ans. L’annonce a été faite aujourd’hui par le député de Sudbury, Paul Lefebvre, et le député de Nickel Belt, Marc Serré, au nom de la ministre des Sciences, Kirsty Duncan. Au total, 22 partenaires issus des milieux universitaires, industriels et gouvernementaux versent 55 000 000 $, en espèces et en nature, à cette initiative estimée à 104 000 000 $.

 

« L’Université Laurentienne est déjà le bénéficiaire le plus en vue au Canada de fonds de recherche en géologie économique et figure parmi les meilleurs établissements au monde, a déclaré le député de Sudbury, M. Paul Lefebvre. Nous sommes fiers d’appuyer la Laurentienne et le Centre de recherche en exploration minérale à l’École des sciences de la Terre Harquail, et de la voir devenir le leader mondial incontesté dans la recherche en exploration minérale. »

« Cet investissement fera augmenter les dépenses d’exploration et les investissements au Canada, de même que les taux de découverte et le développement de nouvelles mines, a expliqué le député de Nickel Belt, M. Marc Serré. Les résultats des travaux de Metal Earth seront transférables dans le monde entier et feront du Canada un leader de poids dans la quête mondiale de métaux. Cet investissement attirera encore plus de talents à Sudbury et y fera créer d’autres possibilités de partenariat. »

 

Par son mandat, le FERAC aide les établissements d’enseignement postsecondaire canadiens à exceller à l’échelle mondiale dans les domaines de recherche porteurs d’avantages économiques à long terme pour le Canada. Le concours inaugural a donné lieu à cinq octrois de fonds totalisant 350 000 000 $ en 2015. L’annonce faite par le gouvernement fédéral aujourd’hui voit attribuer 900 000 000 $ à 13 universités sur 51 candidats. Chaque établissement ne pouvait présenter qu’une seule demande. Un troisième concours devrait être lancé en 2021-2022. Les décisions de financement ont été prises par un comité de sélection de premier plan, après examen des demandes par les pairs basé sur le mérite scientifique et la capacité manifeste à mener des projets à l’échelle internationale, la pertinence stratégique pour le Canada et la qualité du plan de mise en œuvre.

 

« L’annonce de financement d’aujourd’hui est la plus importante depuis la création de la Laurentienne il y a 56 ans et le plus grand programme de recherche en exploration jamais entrepris au Canada. Nous tenons à remercier le gouvernement fédéral de son engagement croissant pour la science et l’innovation, a déclaré le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux, ajoutant que la Laurentienne est, depuis la création du FERAC, la seule université offrant principalement des programmes de premier cycle parmi les 16 universités choisies par concours. »

 

Plus tôt dans la journée, l’Université Laurentienne a également annoncé un don de 10 000 000 $ qu’a fait la famille Harquail au Département des sciences de la Terre, nouvellement rebaptisé l’École des sciences de la Terre Harquail. M. David Harquail est président et chef de la direction de Franco-Nevada Corporation, une société de redevances axée sur l’or et inscrite à la cote des bourses de Toronto et de New York.

 

« La subvention du FERAC, ajoute M. Giroux, témoigne de la qualité exceptionnelle du corps professoral, du personnel et de la population étudiante de l’École des sciences de la Terre Harquail et de son Centre de recherche en exploration minérale. »

 

« Les réserves mondiales de métaux sont en train de s’épuiser du fait de la demande accrue et de la diminution des taux de découverte au cours des dix dernières années, a expliqué M. Harold Gibson, directeur du Centre de recherche en exploration minérale (CREM) de l’École des sciences de la Terre Harquail et chercheur principal à Metal Earth. Or, il se trouve que les dépenses consacrées à la prospection ont augmenté tandis que les taux de découverte ont diminué. Sans moyen de découvrir et d’extraire des métaux, les sociétés modernes seront confrontées à une crise qui aura des répercussions négatives sur le développement social, technologique et industriel. Pourtant, le Canada dispose de gisements minéraux encore inexploités. »

 

Les métaux, qui représentent 19,6 % des exportations et 4 % du produit intérieur brut (PIB), constituent l’un des principaux leviers de l’économie canadienne. Avec Metal Earth, l’industrie et le gouvernement seront dotés de nouvelles connaissances, de personnel hautement qualifié, de protocoles et d’outils leur permettant de concentrer les crédits alloués à l’exploration et à l’infrastructure dans les domaines à forte minéralisation en métaux. « Metal Earth est une nouvelle approche qui va au-delà de la recherche traditionnelle au niveau du gisement ou du district, a conclu M. Gibson. Il transformera la façon dont nous faisons l’exploration de métaux et notre compréhension de l’évolution de la Terre. »

 

Metal Earth mobilisera des chercheurs de la Laurentienne et de ses établissements partenaires, recrutera plus de 35 chercheurs postdoctoraux, assistants de recherche, techniciens et employés de soutien, et verra participer plus de 80 étudiants des cycles supérieurs et de 100 étudiants de premier cycle et de nombreux sous-traitants. Par ailleurs, Metal Earth fera embaucher à l’Université Laurentienne un titulaire d’une chaire de recherche en ciblage d’exploration et trois autres professeurs en géologie précambrienne, modélisation de systèmes terrestres et géophysique appliquée.

 

Metal Earth compte de nombreux partenaires, dont les sociétés géologiques du Canada, de l’Ontario, du Québec, du Manitoba, des Territoires du Nord-Ouest et du Nunavut, le Fonds du patrimoine du Nord de l’Ontario (SGFPNO), TMAC Resources, le Carnegie Institute, Noront Resources Ltd., l’Université de Western Australia, l’Université Laval, l’Université de Tasmanie, l’Université de Toronto, la famille Harquail, l’Université du Québec à Chicoutimi, l’Université d’Ottawa, Vale, MIRA Geoscience Ltd., le Centre d’excellence en innovation minière et MIRARCO.

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Les étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années.

La famille Harquail investit 10 000 000 $ dans l’avancement de la recherche en exploration minérale

La famille Harquail investit 10 000 000 $ dans l’avancement de la recherche en exploration minérale

Le Département des sciences de la Terre sera dorénavant l’École des sciences de la Terre Harquail

*Photo de gauche à droite: James Harquail, Sofia Harquail, David Harquail, Birgitta Sigfridsson, Peter Harquail.

M. David Harquail a annoncé aujourd’hui que sa fondation familiale fait un investissement de 10 000 000 $ au Département des sciences de la Terre de l’Université Laurentienne et à son Centre de recherche en exploration minérale (CREM). Le Conseil des gouverneurs de l’Université a décidé à l’unanimité d’honorer la famille Harquail en changeant le nom du département à « École des sciences de la Terre Harquail » et en associant les activités du CREM au nom Harquail. La célébration de la générosité de la famille Harquail aura lieu dans quelques semaines.Logo

« L’Université Laurentienne est déjà un chef de file mondial dans la recherche en exploration minérale, a expliqué M. Harquail. Cet investissement est une étape pour faire de la Laurentienne le principal centre mondial de recherche en exploration minérale. Le secteur minier est dans l’ADN de cette université, car elle est proche des exploitations minières et d’un groupe de services et organismes de recherche gouvernementaux en ce domaine installés sur son campus. Le succès viendra avec la mise au point de nouveaux concepts et outils pour trouver la prochaine génération de gisements. »

 

Une dotation de 8 400 000 $ financera de nouvelles chaires de recherche, de l’équipement et des fournitures de laboratoire, du soutien technique et des bourses de recherche pour des étudiants au doctorat de partout au monde. Le solde de 1 600 000 $ permettra de recruter immédiatement le ou la titulaire de la Chaire de recherche en ciblage de l’exploration et du personnel de soutien.

 

« Nous sommes extrêmement reconnaissants à la famille Harquail de ce don transformateur, a dit le directeur de l’École des sciences de la Terre Harquail, M. Douglas Tinkham, Ph.D. Les activités d’exploration de l’industrie minière sont à la baisse et se concentrent sur le proche avenir. L’Université met l’accent sur l’activité scientifique à long terme qui pourrait conduire à de nouvelles découvertes. Cet investissement nous aidera à construire cette capacité. »

 

« Ces recherches sont fondamentales parce que la découverte de gisements est profitable pour toute la société, a indiqué M. Harquail. Les compagnies minières apportent de la valeur en construisant et en exploitant les mines. Et les différents ordres de gouvernement, les Premières Nations et l’ensemble de l’économie partagent cette valeur grâce à son effet multiplicateur. Rien de tout ceci ne pourrait se produire sans cette découverte initiale. »

 

« Le Canada profite disproportionnellement de sa force entrepreneuriale en exploration minérale mondiale, a ajouté M. Harquail. Même les découvertes en dehors du Canada contribuent au bien-être des Canadiens. Les entrepreneurs canadiens dans le domaine des ressources font partie des plus généreux philanthropes de ce pays qui aident bien des universités, hôpitaux et autres organismes. »

 

Après l’École de génie Bharti, l’École des mines Goodman et l’École d’architecture McEwen, l’École des sciences de la Terre Harquail est la quatrième école de l’UL renommée en moins de cinq ans en reconnaissance de dons privés de dizaines de millions de dollars d’entrepreneurs canadiens en ressources naturelles.

 

« Cet investissement de la famille Harquail est un geste exceptionnel de soutien à notre corps professoral, notre personnel et notre population étudiante des sciences de la Terre, a affirmé le recteur et vice-chancelier de la Laurentienne, M. Dominic Giroux. Nous pensons aussi qu’il témoigne de l’élan et de la reconnaissance nationale croissante de notre université. »

 

À propos de la famille Harquail

Par l’entremise de sa fondation, la Midas Touch Foundation, la famille Harquail aide des organismes de bienfaisance, des hôpitaux, ainsi que les secteurs de l’éducation et des arts. La fondation est gérée par David Harquail et Birgitta Sigfridsson et leurs enfants, Sofia, James et Peter. L’annonce d’aujourd’hui est le plus grand engagement de la fondation jusqu’à présent.

 

M. David Harquail est PDG de Franco-Nevada Corporation, une compagnie à redevances axée sur l’or inscrite aux bourses de Toronto et de New York. Franco-Nevada perçoit des redevances pour plus de 260 propriétés du monde abritant des minéraux, y compris nombre d’entre elles dans le bassin de Sudbury et le nord de l’Ontario. La compagnie fait aussi partie des commanditaires de l’École des mines Goodman de l’Université Laurentienne, où M. Harquail siège au conseil consultatif.

 

À propos de l’École des sciences de la Terre Harquail

L’École des sciences de la Terre Harquail et son Centre de recherche en exploration minérale (CREM) comptent 14 professeurs lauréats de prix, y compris trois de la division des gisements minéraux de l’Association géologique du Canada, sept membres du personnel, six chercheurs postdoctoraux, 78 étudiants aux cycles supérieurs et 94 étudiants au premier cycle lauréats de prix. Par rapport à toute autre école du Canada, elle a de loin obtenu le plus grand financement du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie et de l’Initiative géoscientifique ciblée pour les études en géologie économique. Elle est logée dans l’ultramoderne Centre Willet-Green-Miller aux côtés de la Commission géologique de l’Ontario, des Laboratoires géoscientifiques de l’Ontario et du ministère du Développement du Nord et des Mines de l’Ontario.

 

Situés dans la bordure sud de l’un des plus grands et plus anciens cratères de météorites les mieux exposés, les gisements massifs des éléments du groupe nickel, cuivre et platine de Sudbury offrent des occasions uniques de formation sur le terrain, de stages d’enseignement coopératif et de recherches pures et appliquées en exploitation minière. Le grand éventail d’environnements géologiques, y compris les ceintures volcaniques et sédimentaires de l’Archéen, la ceinture sédimentaire et volcanique du Protérozoïque, les terrains métamorphiques grenvillien, et les séquences paléozoïques faibles à moyennes. L’École offre des possibilités sans pareil d’études des gisements, de la géologie structurale, de la géophysique, de la minéralogie, de la pétrologie dans les zones ignées et métamorphiques, de la sédimentation et de la stratigraphie et de la paléoécologie.

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Les étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années.

Séance de réflexion du cabinet fédéral à l'Université Laurentienne un « immense succès »

Séance de réflexion du cabinet fédéral à l'Université Laurentienne un « immense succès »

La toute première séance de réflexion d’un cabinet fédéral tenu dans un établissement postsecondaire est un succès sans précédent et une occasion unique de mettre en évidence la recherche et l’innovation universitaires

La toute première séance de réflexion d’un cabinet fédéral tenu dans un établissement postsecondaire est un succès sans précédent et une occasion unique de mettre en évidence la recherche et l’innovation universitaires selon le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux.

 

« Nous avons été ravis d’accueillir le premier ministre, son personnel, le cabinet fédéral, les chefs de cabinet, les sous-ministres, le personnel du Conseil privé et l’ambassadeur du Canada aux États-Unis sur notre campus, a indiqué M. Giroux, et nous estimons que l’événement a été un immense succès à tous les égards. »

 

La Laurentienne a été invitée à héberger la séance en raison de sa capacité prouvée d’accueillir des événements de haut niveau comme les Jeux d’été de l’Ontario, les Jeux de la francophonie canadienne et de nombreuses conférences nationales et internationales, ainsi que de son leadership en recherche et innovation, de son profil d’établissement bilingue et de son approche englobante de l’éducation des Autochtones.

 

Le premier ministre, tout le cabinet et le personnel ont logé dans l’une des deux nouvelles résidences étudiantes ouvertes à la Laurentienne depuis 2008.


 

« Cela a été un privilège unique de travailler avec le bureau du Conseil privé pour organiser cette séance de réflexion, et un grand plaisir d’avoir eu l’occasion de discuter avec des ministres, des sous-ministres et leur personnel pendant leur visite, a dit M. Giroux. Bien entendu, nous avons été heureux de leur montrer notre magnifique campus de 765 acres entouré par cinq lacs, un terrain de golf, une plage, et un réseau de sentiers. »

 

Le recteur de la Laurentienne, de même que des membres du corps professoral et du personnel ont rencontré plusieurs ministres au cours de la séance, et parlé librement de la recherche et de l’innovation universitaire et de leur incidence sur l’économie canadienne.

 

La Laurentienne se classe au premier rang au Canada pour la recherche subventionnée en géologie économique, géophysique appliquée, mécanique des roches, psychologie du sport et politique, planification et prévention sociales. Elle compte actuellement neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche spécialisés.

Rob et Cheryl McEwen investissent 10 000 000 $ dans l’École d’architecture à l’Université Laurentienne

Rob et Cheryl McEwen investissent 10 000 000 $ dans l’École d’architecture à l’Université Laurentienne

L’École d’architecture de l’Université Laurentienne sera dorénavant connue comme l’École d’architecture McEwen

En reconnaissance d’un investissement considérable de Rob et de Cheryl McEwen, l’École d’architecture de l’Université Laurentienne sera dorénavant connue comme l’École d’architecture McEwen. Une bannière en bleu et or portant le nom McEwen a été déployée aujourd’hui à l’extérieur de l’École au centre-ville de Sudbury pendant que le couple annonçait son don de 10 000 000 $. De cette somme, 4 000 000 $ serviront au parachèvement des installations de pointe de l’École estimées à 45 000 000 $, tandis que les 6 000 000 $ restants permettront d’améliorer l’expérience étudiante et optimiseront leur capacité à devenir des agents du changement dans le domaine de l’architecture au plan mondial.


« Nous sommes vraiment ravis et fiers d’investir dans l’École d’architecture de la Laurentienne, a affirmé M. Rob McEwen. L’accent qu’elle met sur les conceptions vertes et durables, enracinées dans les paysages et collectivités du Nord, ouvre des possibilités exceptionnelles à la prochaine génération d’architectes. Jeune de trois ans, l’École fait déjà constater son incidence sur les communautés du Nord et nous nous réjouissons à la perspective des innovations en conception de ses jeunes leaders et de l’excellence dont ils feront preuve dans les années à venir. »

 

« Nous sommes extrêmement reconnaissants à la famille McEwen de ce don transformateur, a indiqué M. Terrance Galvin, Ph.D., directeur-fondateur de l’École d’architecture. Cet investissement nous permettra de concrétiser notre vision qui est d’élaborer un programme exceptionnel à la fine pointe de l’architecture dont les diplômés apporteront des contributions au développement tant culturel que socioéconomique dans les régions plus au nord du Canada et du monde. En raison de sa vision et de son enthousiasme, Rob sera un excellent mentor pour nos étudiants. »

M. McEwen jouit d’une excellente réputation en tant que visionnaire de l’industrie minière et philanthrope. À la suite d’une brillante carrière dans les services financiers et en gestion de placements, il est devenu l’un des principaux dirigeants de l’industrie minière au Canada. Il est fondateur de Goldcorp Inc., qu’il a fait croître de petite société avec capitalisation boursière de 50 000 000 $ à joueur mondial de plus de 10 milliards de dollars. Il est actuellement président et propriétaire principal de McEwen Mining Inc. (MUX à NYSE et TSX), et de Lexam VG Gold Inc. (LEX à TSX), qui cherche et extrait de l’or, de l’argent et du cuivre au Canada, aux États-Unis, au Mexique et en Argentine. Parmi les prix qu’a reçus M. McEwen, il faut souligner le Prix de l’homme de l’année 2003 de Northern Miners et le Prix pour PDG le plus innovateur en 2006 du magazine Canadian Business. Il a été nommé à l’Ordre du Canada en 2007. Rob et sa femme, Cheryl, favorisent ardemment l’innovation et l’excellence en matière d’éducation et de soins de santé, ayant fait don de plus de 50 000 000 $ pour mener à bien ces objectifs. Cheryl est vice-présidente de la Fondation UHN Toronto General & Western Hospital, et présidente de « Make my Day Foods » et s’affaire actuellement à fonder le Centre McEwen de médecine régénératrice.

« Nous avons l’honneur d’accepter des McEwen ce généreux investissement dans notre École d’architecture, a dit M. Steve Paikin, chancelier de l’Université Laurentienne, et sommes fiers de voir associer l’École à Rob et à sa famille. » « Il s’agit d’un geste bienveillant à l’appui de notre école et de notre population étudiante, a ajouté le recteur et vice-chancelier, M. Dominic Giroux, et nous croyons que cela témoigne de l’élan et de la reconnaissance mondiale dont jouit de plus en plus notre université. »

L’École d’architecture a accueilli sa première cohorte en septembre 2013 et lancera son programme de maîtrise en architecture en 2017.

 

 

 

Au sujet de l’École d’architecture McEwen

L’École d’architecture McEwen de la Laurentienne est la première au Canada depuis 45 ans. Elle est aussi la première en son genre dans le nord de l’Ontario et la première au Canada à l’extérieur du Québec à offrir des cours en français. L’École McEwen fournit une expérience immersive d’études qui transmet le besoin inhérent de marier l’expertise technique à la compréhension exhaustive de l’esprit des paysages et des gens qui les habitent afin de concevoir des édifices réfléchis, durables et pratiques. En trois ans, les étudiants ont déjà gagné de nombreux prix nationaux et internationaux, y compris la première place au Festival international du bois à Bergen, en Norvège, en mai 2016.

Cette 12e école d’architecture au Canada permet aux étudiants du Nord d’étudier l’architecture dans leur région et incite les diplômés à s’installer dans le Nord afin de faire partie de la collectivité croissante de la conception. L’École McEwen sera reconnue pour ses recherches et conceptions en bois, ses recherches en architecture autochtone et son expertise d’étude du bassin de Sudbury comme source pour la conception.

L’École McEwen est hébergée dans un magnifique nouveau complexe de 45 000 000 $ au centre-ville de Sudbury, conçu par LGA Architectural Partners. Elle occupe une superficie de 77 000 pieds carrés dans deux édifices centenaires réaménagés qui appartenaient auparavant à CP Rail et à CP Telegraph, et comptera un nouvel édifice de 52 000 pieds carrés qui sera inauguré à l’automne et qui accueillera quelque 260 étudiants. Le programme en architecture est hautement concurrentiel et, d’ici 2018, verra augmenter les inscriptions à 400 étudiants, avec un effectif de 25 membres du corps professoral et du personnel.

L'Ontario appuie la recherche géoscientifique

L'Ontario appuie la recherche géoscientifique

Une initiative aidera à stimuler l’exploitation des minéraux dans le Nord de l’Ontario

L'Ontario appuie une proposition de recherche avant-gardiste qui aidera à produire de futures innovations dans le secteur minier et à créer des emplois dans le Nord.

La Société de gestion du Fonds du patrimoine du Nord de l'Ontario (SGFPNO) établie par la province investit cinq millions de dollars sur une période de sept ans pour appuyer l'Université Laurentienne et sa proposition visant la création d'un consortium de recherche pour mieux comprendre comment les gisements de métaux communs et précieux se sont formés et où ils se sont formés. Cette recherche pourrait aboutir à un taux accru de succès relativement à la découverte de corps minéralisés aux fins d'exploitation minière future.

Depuis 2003, l'Ontario a engagé par l'entremise de la SGFPNO des fonds totalisant plus de 1,1 milliard de dollars à l'appui de plus de 7 463 projets, produisant pour plus de 3,97 milliards de dollars d'activité économique directe et contribuant à créer et à soutenir plus de 28 100 emplois dans le Nord de l'Ontario.

Investir dans la recherche et l'innovation s'inscrit dans le plan économique du gouvernement, qui vise à favoriser l'essor de l'Ontario et à concrétiser sa principale priorité, à savoir stimuler l'économie et créer des emplois. Ce plan en quatre volets consiste notamment à aider plus de gens à obtenir et à créer les emplois de l'avenir en élargissant l'accès à des études collégiales et universitaires de haute qualité. De plus, le plan fait le plus important investissement dans l'infrastructure publique de l'histoire de l'Ontario et investit dans une économie sobre en carbone guidée par des entreprises innovatrices, à forte croissance et axées sur l'exportation. Enfin, le plan aide la population ontarienne active à bénéficier d'une retraite plus sûre.

Citations

« L’innovation à l’Université Laurentienne et dans le secteur des minéraux renommé de Sudbury s’impose pour maintenir la réputation de l’Ontario comme région minière de premier rang. Continuer d’investir dans les initiatives de recherche et d’innovation comme celle-ci à Sudbury aidera à faire croître l’économie et à créer des emplois dans toutes les collectivités du Nord de l’Ontario. »

-Glenn Thibeault, député de Sudbury

 

« La capacité de l’Ontario de concurrencer mondialement dans le secteur minier dépend de sa capacité de bien faire valoir ses atouts sur les plans de la recherche et de l’innovation. Le consortium de recherche de l’Université Laurentienne appuie la Stratégie ontarienne d’exploitation des minéraux renouvelée qui dresse un plan d’action pour veiller à ce que l’Ontario demeure un chef de file mondial dans le secteur de l’exploitation des minéraux pendant de nombreuses années. »

- Michael Gravelle, ministre du Développement du Nord et des Mines et président de la SGFPNO

« L’Université Laurentienne propose de diriger un consortium de chercheurs canadiens d’établissements universitaires et de centres canadiens et internationaux de recherche, du palier gouvernemental et de l’industrie pour faire du Canada un chef de file mondial de la recherche sur les vastes richesses en métaux et ainsi créer de nouveaux débouchés dans le secteur minier. »

-M. Rui Wang, vice-recteur à la recherche, Université Laurentienne

 

Faits en bref

  • Depuis 2003, la SGFPNO a investi des fonds totalisant 211 millions de dollars dans 1 210 projets qui ont aidé à créer et à soutenir plus de 3 800 emplois dans la région de Sudbury.

  • Les investissements à l’appui de projets stratégiques de rercherche appliquée font partie intégrante du Plan de croissance du Nord de l’Ontario [pdf], une initiative du gouvernement de l’Ontario.

  • La province est en bonne voie d’équilibrer son budget l’an prochain, en 2017-2018, ce qui continuera aussi à diminuer son ratio dette-PIB.

  • L’Université Laurentienne se classe au premier rang au Canada au chapitre du financement accordé par le Conseil de recherche en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG) dans les domaines de la géologie économique et de la géophysique appliquée, et au premier rang en Ontario aux chapitres de l’exploitation minière et du traitement des minerais.

La Laurentienne célèbre l'inauguration du nouveau Centre d’apprentissage des cadres

La Laurentienne célèbre l'inauguration du nouveau Centre d’apprentissage des cadres

D’importantes contributions de donateurs ont appuyé ces installations de pointe

27 juin 2016 – Aujourd’hui, on a coupé le ruban symbolique et célébré l’inauguration du nouveau Centre d’apprentissage des cadres à l’Université Laurentienne.

 

Dans ces installations de pointe d’un montant de 3 100 000 $ et  construites récemment au troisième étage de l’édifice Fraser du campus, il y a un amphithéâtre multimédia avec un salon et cinq salles de séminaire ayant les dernières technologies de présentation et de communication.

 

Le Centre d’apprentissage des cadres (CAC) servira aux programmes et ateliers offerts par la Faculté de gestion et l’École des mines Goodman de la Laurentienne. L’amphithéâtre à gradins peut accueillir 68 personnes, ainsi que des étudiants à distance grâce aux technologies dont il est doté. En outre, toutes les assemblées ordinaires du Conseil des gouverneurs et du Sénat de l’Université se dérouleront dans le CAC.

 

La création du Centre d’apprentissage des cadres a été rendue possible grâce à d’importantes contributions de donateurs clés, dont BMO (250 000 $), Paul Parisotto (100 000 $) ainsi que Don et Jackie Rastall (100 000 $).

 

« Comme fier diplômé de l’Université Laurentienne je me réjouis d’être en mesure de financer la création de ces installations exceptionnelles, a indiqué M. Paul Parisotto (B.A. en science économique 1983), président de Noront Resources Ltd et PDG de Coniston Investment Corp et membre du Conseil consultatif international de l’École des mines Goodman. Ce centre sera, pour les cadres, le pôle de la formation et de l’acquisition continue du savoir à la Laurentienne. »

 

« Ce centre remarquable est l’un des fleurons de la transformation de notre campus et l’Université tout comme la communauté s’en enorgueilliront, a dit le recteur et vice-chancelier de la Laurentienne, M. Dominic Giroux. Il n’aurait pas vu le jour sans l’appui de généreux donateurs qui partagent notre vision. Nous les remercions vivement de leur investissement. »

 

Le Centre d’apprentissage des cadres s’insère dans le projet de modernisation du campus de la Laurentienne, estimé à 63 000 000 $, investissement historique dans les espaces et installations à l’intention de la population étudiante.

L'Université Laurentienne obtient l'agrément international de ses programmes de gestion

L'Université Laurentienne obtient l'agrément international de ses programmes de gestion

L'Université Laurentienne a reçu l'agrément international EPAS pour le programme de baccalauréat en administration des affaires, offert sur le campus, ainsi que le baccalauréat en commerce, administration des sports.

22 JUIN 2016 – L’Université Laurentienne a reçu l’agrément international EPAS pour le programme de baccalauréat en administration des affaires, offert sur le campus, ainsi que le baccalauréat en commerce, administration des sports, le seul programme d’affaires au Canada menant à un diplôme dans ce domaine. Depuis mai 2016, 98 programmes d’études en administration des affaires, offerts par 72 universités dans 33 pays, principalement en Europe, jouissent de l’agrément EPAS.

 

Mis en œuvre par l’European Foundation for Management Development (EFMD), EPAS, un système d’agrément international de programmes d’études, évalue aux fins d’agrément la qualité des programmes de gestion dont la perspective internationale est en adéquation avec leur qualité élevée.

 

« L’agrément EPAS de nos programmes de premier cycle en administration des affaires constitue un jalon important pour la Faculté de gestion au regard de notre engagement envers l’excellence dans la formation de dirigeants d’entreprise socialement responsables à l’échelle mondiale, a expliqué le doyen de la Faculté de gestion, M. Stephen Havlovic, Ph.D. Elle est manifestement une assurance de la qualité pour les étudiants actuels et futurs, de même que pour les diplômés et les employeurs. Étant un établissement bilingue dans un secteur d’enseignement supérieur très compétitif, il nous importe de voir reconnaître sur le plan mondial l’excellence de nos programmes. »

 

Une décision a été prise à la suite d’un processus de trois ans dont le point culminant a été une visite de la Laurentienne en mars par l’équipe d’examen par les pairs, formée de leaders de renommée mondiale dans le milieu des programmes d’études commerciales du Maroc, du Royaume-Uni et de la France. Le processus a consisté à examiner en profondeur les deux programmes par rapport à une grille d’évaluation rigoureuse constituée de 25 normes universitaires et de 56 normes relatives aux niveaux du programme.

 

« Nous sommes très fiers que la Faculté de gestion de la Laurentienne ait reçu l’agrément EPAS qui la distingue vraiment des autres écoles de commerce dans le monde entier, a commenté M. Tom Blake, un diplômé de l’UL, président de Sprout Wellness Solutions et président du Conseil consultatif externe du doyen. Le processus d’agrément était une occasion exceptionnelle d’auto-réflexion, d’analyse comparative et d’amélioration continue. Les étudiants sont les premiers à profiter de ce nouvel agrément international. »

 

La Faculté de gestion compte 1 921 étudiants, dont 213 aux cycles supérieurs. Les inscriptions ont augmenté de 16 % au cours des trois dernières années seulement. Le baccalauréat en administration des affaires de la Laurentienne est offert sur le campus, en anglais et français, et en ligne en anglais seulement, et les étudiants y sont inscrits à plein temps et à temps partiel. Ils peuvent choisir leurs cours parmi un large éventail d’options que proposent les programmes, notamment la comptabilité, l’entrepreneuriat, les finances, la gestion des ressources humaines, la gestion internationale, le marketing et la gestion des opérations. Des possibilités de stage et d’enseignement coopératif sont également offertes.

 

« S’assurer de l’agrément international est, pour la Faculté de gestion, mission accomplie comme le veut le Plan stratégique 2012-2017 de l’Université, a conclu le recteur et vice-chancelier, M. Dominic Giroux. Je suis très fier des collègues qui ont travaillé sans relâche au cours des trois dernières années pour obtenir cette reconnaissance mondiale. Avec de nouvelles salles de classe, un Centre d’apprentissage pour cadres à la fine pointe de la technologie, une nouvelle structure départementale, de nouvelles offres de programmes à tous les cycles, des professeurs nouvellement embauchés, et maintenant ce nouvel agrément international prestigieux, la Faculté de gestion a certainement le vent en poupe. »

Nouvelle école d'innovation universitaire dans le Nord de l'Ontario

Nouvelle école d'innovation universitaire dans le Nord de l'Ontario

L’Université Laurentienne et le CSPGNO renforcent les services et le continuum d’études en langue française.

14 juin 2016 – Le Conseil scolaire public du Grand Nord de l’Ontario (CSPGNO) et l’Université Laurentienne annoncent aujourd’hui la création d’une école d’innovation universitaire située à l’École publique Jeanne-Sauvé, dans la Ville du Grand Sudbury.

 

Dès septembre 2016, cette école d’innovation universitaire sera un espace où professeurs et étudiants de l’Université Laurentienne mèneront des activités visant à :

  1. mettre en œuvre diverses initiatives de recherche proposées par la Laurentienne et le CSPGNO;
  2. faciliter la formation des étudiants de la Laurentienne et du personnel du CSPGNO;
  3. mettre en place des projets d’intervention menés sur le site de l’École publique Jeanne-Sauvé;
  4. diffuser à la communauté scolaire le résultat des projets et travaux de recherche entrepris.    

 

L’école d’innovation universitaire bénéficiera de nombreuses expertises fournies par les professeurs et étudiants de l’Université Laurentienne dans les domaines suivants : l’activité physique, l’éducation, l’orthophonie, les sciences infirmières et le service social.

 

Citations

« Cette nouvelle collaboration entre le Conseil scolaire public du Grand Nord de l’Ontario et l’Université Laurentienne améliore les services offerts à nos élèves et les sensibilise davantage aux possibilités qu’ils ont de poursuivre leurs études postsecondaires en français. »

Marc Gauthier, directeur de l’éducation, Conseil scolaire public du Grand Nord de l’Ontario   

 

« La mise sur pied de cette nouvelle école d’innovation universitaire permet aux étudiants de plusieurs  programmes offerts en français à l’Université Laurentienne d’obtenir une expérience communautaire supplémentaire qui bonifie leur formation tout en augmentant leurs compétences collaboratives et interdisciplinaires. »

Dominic Giroux, recteur et vice-chancelier, Université Laurentienne

La Laurentienne renforce le leadership en matière de formation autochtone en améliorant les cours offerts

La Laurentienne renforce le leadership en matière de formation autochtone en améliorant les cours offerts

À compter de septembre 2017, on ajoutera six crédits de cours à contenu autochtone aux exigences du baccalauréat ès arts.

May 26, 2016 - Laurentian University has announced new requirements affecting the structure and content of its degree programs of Arts. As of September 2017, we will add six credits of Aboriginal content requirements of the BA to promote understanding of the history, cultures and indigenous realities in Canada.

 

"Laurentian University is central to Aboriginal education in northern Ontario and takes its role in the reconciliation process, said the Associate Vice-President for education and indigenous programs, Sheila Shore Meek, PhD Laurentian is a business-oriented culture that warmly welcomes Aboriginal students and opens the way to thought and indigenous cultures for members of the student body and faculty from diverse backgrounds. "

 

Laurentian is committed to strengthening its leadership in Aboriginal training modernizing curricula to reflect the history and indigenous realities and promote enriching intercultural contacts between Aboriginal students and immigrants. "We now offer hundreds of courses that include more than 50% of Aboriginal content, added Ms Coté-Meek, and currently developing others. "

 

The Faculty of Arts from Laurentian University has a stronger critical mass of Aboriginal faculty members with tenure or holding a position leading to tenure. Recently, Laurentian has undertaken the construction of the Centre for Indigenous Sharing and Learning, physical representation of its commitment to Aboriginal education. The center will be a space in which academics, students and community members can participate in the social sciences and humanities research projects and strengthening innovative capacity in support of Aboriginal communities. In accordance with the calls to action of the Truth and Reconciliation Commission, the Centre serve as a platform for "promoting understanding of reconciliation".

 

"We are proud of the great work done by the Faculty of Arts to integrate Aboriginal content in its programs and courses, expressed the vice-president academic, Robert Kerr. The new requirement approved by the Senate will ensure that more people graduating from Laurentian have a good understanding of the history and native cultures. "

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