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CRSST «  dirige la prévention par les recherches  »

CRSST «  dirige la prévention par les recherches  »

Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail (CRSST) de la Laurentienne ont dévoilé le premier laboratoire itinérant en santé et sécurité professionnelles (CRSST-I) au Canada

Aujourd’hui, le ministre du Travail, M. Kevin Flynn, le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux, et le personnel du Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail (CRSST) de la Laurentienne ont dévoilé le premier laboratoire itinérant en santé et sécurité professionnelles (CRSST-I) au Canada.

« Grâce à notre investissement de 500 200 $, le CRSST-I permettra aux chercheurs et aux étudiants universitaires d’établir des liens avec les travailleurs dans les régions isolées du nord de l’Ontario, ce qui rehaussera la prévention des maladies et des blessures professionnelles, a dit le ministre du Travail, M. Kevin Flynn. Nous sommes fiers d’être en mesure de lancer cette initiative qui fait preuve d’une approche pionnière dans le domaine de la recherche en santé et sécurité au travail. »

Le CRSST itinérant (CRSST-I) est un véhicule sur mesure hébergeant un laboratoire mobile de 40 pieds qui comprend une clinique, une aire de rencontre ainsi qu’un laboratoire qui apporte un soutien aux recherches sur le terrain en matière de santé mentale et qualité de vie au travail. Le véhicule est doté de matériel mobile favorisant, entre autres, la prévention d’accidents ainsi que de blessures causées par les vibrations, l’atténuation de la fatigue, la prévention du stress thermique, l’hygiène du sommeil pour améliorer la qualité et la quantité du sommeil et l’évaluation de programmes d’intervention.

Le CRSST-I sera une passerelle aux communautés souvent exclues des recherches en santé et sécurité au travail en raison de leur situation géographique dans le Nord, et rehaussera la collaboration entre les centres de recherche, les travailleurs, l’industrie et les organismes en santé et sécurité.

Les recherches menées par le CRSST-I seront cruciales et les travailleurs de partout au Canada bénéficieront des résultats. « Ce laboratoire mobile est un élément clé de l’approche adoptée par le CRSST aux recherches sur le terrain -dans le laboratoire - sur le terrain, a exprimé M. Leo Gerard, président international des Métallos et président du Conseil consultatif du CRSST. En apportant le laboratoire de recherche sur les lieux de travail du Nord, les travailleurs pourront jouer un rôle actif dans l’amélioration de leur propre milieu professionnel. »

La titulaire de la Chaire de recherche du CRSST, Mme Tammy Eger, et la directrice, Mme Sandra Dorman, sont d’accord. « Le CRSST-I changera la façon dont les recherches en santé et sécurité au travail sont effectuées. Il tiendra les travailleurs au courant des pratiques exemplaires grâce aux collaborations du CRSST avec d’autres centres de recherche et associations partenaires en lieux de travail sûrs. »

Le CRSST-I prendra la route en direction de nombreuses collectivités nord-ontariennes dans le cadre de la première tournée « Diriger la prévention par les recherches », qui sera lancée à l’automne.

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules.

Des étudiants de l’Université Laurentienne remportent les deux premiers prix à un prestigieux concours minier

Des étudiants de l’Université Laurentienne remportent les deux premiers prix à un prestigieux concours minier

Les équipes de l’École de génie Bharti ont gagné 30 000 $ en prix en se classant aux premier et deuxième rangs du « Mined Challenge » de l’Ontario Mining Association, à Toronto

​L’Université Laurentienne tient à féliciter les deux équipes d’étudiants de l’École de génie Bharti de leur victoire à un important concours minier, à Toronto. Les équipes ont terminé en première et deuxième places au « Mined Open Innovation Challenge » présenté par l’Ontario Mining Association.

Dans le cadre du concours, on demandait aux équipes d’établir un plan pour l’expansion des activités sur un site minier faisant l’objet d’une découverte de nouveaux gisements de minerai. Le défi consistait à optimiser les nouvelles ressources plus profondes en employant des technologies et pratiques innovatrices et évitant les effets néfastes sur la santé, la sécurité, l’environnement et la communauté avoisinante. Les finalistes ont présenté leur proposition à un groupe de cadres supérieurs de l’industrie minière agissant en qualité de juges ainsi qu’à un auditoire en direct.

Le prix de la première place, à savoir 15 000 $, a été remis aux étudiants de l’UL Joshua Fortes, Alex MacInnes, Adam Grinbergs, Liam Dunn, Muhammad Syed et Justin So. « Il s’agissait d’un véritable effort d’équipe, a dit le chef de l’équipe, Joshua Fortes, ému de la victoire. Nous croyons que notre proposition sera avantageuse pour l’industrie minière et les communautés qui entourent les installations minières et le fait qu’elle soit choisie par les juges nous remplit d’un sentiment d’humilité et de fierté. Je tiens à féliciter toutes les équipes de leur travail ardu et de leurs solutions créatives. »

Un autre groupe d’étudiants de la Laurentienne a terminé en deuxième place et remporté la somme de 10 000 $. La proposition de Sarah Bulanda, Peter Gazaes et Patrick Lamontagne a aussi remporté le Prix du choix de l’auditoire, leur apportant une somme additionnelle de 5 000 $.

L’objectif du Mined Open Innovation Challenge est de favoriser, dans l’industrie minière, un rendement supérieur en santé et sécurité, protection environnementale, efficacité énergétique et productivité. L’Université Laurentienne est un fier partenaire de cette activité, tout comme l’Ontario Mining Association et les écoles des mines/de génie des universités de Toronto et Queen’s.

« Je suis tellement fier de tous nos étudiants lauréats, a dit le doyen de la Faculté des sciences, de génie et d’architecture, M. Osman Abou-Rabia, Ph.D. Leur réussite au Mined Open Challenge témoigne de la créativité, de l’ingénuité et de l’esprit de collaboration de tous les membres d’équipe. Ces personnes incarnent en effet les qualités et talents que l’École de génie Bharti continue de favoriser et de promouvoir. »

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 200 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années.

L'Université Laurentienne équilibre son budget pour la septième année consécutive

L'Université Laurentienne équilibre son budget pour la septième année consécutive

Aujourd’hui, le Conseil des gouverneurs a approuvé à l’unanimité le budget de fonctionnement de 155 900 000 $ pour 2017-2018, une augmentation de 5 400 000 $ ou de 3,6 % par rapport à l’an dernier.

Le campus de Sudbury comptera 28 membres supplémentaires à plein temps du corps professoral dans 14 unités d’enseignement, dont 11 nouveaux postes et 17 collègues effectuant un transfert de Barrie. Parmi ceux-ci, il y aura trois titulaires de chaires de recherche en métallogénie, ciblage de l’exploration et développement économique durable du Nord. De nouvelles maîtrises ont été créées en architecture et communication scientifique ainsi qu’un nouveau programme en criminologie et des programmes bilingues en génie. En 2018, le nouvel Édifice de recherche, d’innovation et de génie Cliff Fielding de 60 000 pieds carrés ouvrira ses portes, ainsi qu’un nouveau Centre étudiant en 2019.

Pour ce qui est des nouveaux investissements, il y a des hausses de 21 % en technologie de l’information, 22 % en recherche et 16 % dans les études supérieures. Les budgets des écoles de sciences infirmières, de service social, de relations autochtones et d’architecture McEwen noteront des augmentations de pourcentage à deux chiffres. En outre, l’Université rehaussera les dépenses liées à l’entretien différé, à la santé mentale des étudiants, aux acquisitions en bibliothèque et aux appuis pour les étudiants étrangers.

« Cette année, nous avons eu des entretiens difficiles, non seulement en raison des pressions budgétaires, mais aussi des conditions changeantes des programmes d’études et de l’idée de concevoir un établissement répondant aux besoins actuels et futurs de nos étudiants, a dit la vice-rectrice à l’administration, Mme Carol McAulay. Nous remercions toutes les personnes qui ont participé aux séances de consultation et sommes reconnaissants de leur aide à équilibrer le budget pour la septième année consécutive. Ce qui est ressorti, pendant le processus, est que nous nous investissons tous à la viabilité à long terme de notre université. »

La Laurentienne formule actuellement son Plan stratégique 2018-2023 qui éclairera les futures décisions budgétaires. Le Plan stratégique 2012-2017 tire effectivement à sa fin et a donné d’impressionnants résultats : plus de 200 000 000 $ investis dans les immobilisations, y compris une importante modernisation du campus, l’École d’architecture McEwen, une nouvelle résidence étudiante, un nouveau Centre autochtone de partage et d’apprentissage, un Centre d’apprentissage des cadres, un Club universitaire, un Laboratoire de recherche cardiovasculaire et métabolique et une amélioration des services d’alimentation. De plus, l’Université a fondé le Centre d’excellence universitaire et l’École des mines Goodman et a relancé le hockey interuniversitaire, parmi d’autres réalisations.

« Pendant les dernières années, la Laurentienne a créé un bel élan et connu de grands succès, a ajouté le recteur et vice-chancelier, M. Dominic Giroux. Pour la sixième année consécutive, nous avons les meilleurs taux d’emploi après l’obtention du diplôme parmi toutes les universités de l’Ontario. Nos étudiants remportent des concours au plan mondial et nos diplômés gagnent le deuxième salaire moyen le plus élevé parmi les universités ontariennes. L’École des sciences de la Terre Harquail a lancé le projet Terre métallique de 104 000 000 $ subventionné par le Fonds d’excellence en recherche Apogée Canada, ce qui représente le plus important investissement dans la recherche dans l’histoire de la Laurentienne. Depuis 2009, le financement de recherche des trois conseils nationaux a doublé, tout comme le nombre de membres autochtones du corps professoral. Dans le classement de Maclean’s, la Laurentienne se classe maintenant parmi les 10 meilleures universités au premier cycle. La note moyenne à l’admission est passée de 79 % à 82,4 % depuis 2009 et le nombre d’étudiants admis avec une moyenne au-delà de 85 % a presque doublé. J’attends avec impatience de voir les prochains résultats impressionnants visés par la collectivité universitaire dans le Plan stratégique 2018-2023. »

« C’est une époque dynamique à la Laurentienne, a dit la présidente du Conseil des gouverneurs, Mme Jennifer Witty. Le budget équilibré de cette année nous permettra de miser sur nos réussites antérieures alors que nous mettons au point le Plan stratégique 2018-2023. »

Points saillants du budget

  • Hausse de 5 400 000 $ ou de 3,6 % des revenus et dépenses par rapport au budget approuvé en 2016-2017
  • Ajout de 28 membres à plein temps du corps professoral sur le campus de Sudbury
  • Augmentation de 870 000 $ ou de 21 % dans la technologie de l’information
  • Augmentation de 725 000 $ ou de 13 % dans l’École des sciences infirmières
  • Augmentation de 586 000 $ ou de 22 % en recherche, y compris 261 000 $ pour le nouvel Édifice de recherche, d’innovation et de génie Cliff Fielding
  • Augmentation de 484 000 $ ou de 16 % dans les études supérieures
  • Augmentation de 468 000 $ ou de 12 % dans les écoles de service social et de relations autochtones
  • Augmentation de 374 000 $ pour appuyer les étudiants qui déménagent de Barrie
  • Augmentation de 325 000 $ ou de 29 % pour l’entretien différé selon la politique du Conseil
  • Augmentation de 287 000 $ dans l’École d’architecture McEwen
  • Augmentation de 230 000 $ dans la sécurité
  • Augmentation de 190 000 $ pour le Bureau de l’équité, de la diversité et des droits de la personne
  • 180 000 $ dans la stratégie de persévérance de la population étudiante
  • Augmentation de 167 000 $ dans la santé mentale
  • 150 000 $ sur les deux prochaines années pour assurer la validation et le lancement avec succès du Plan stratégique 2018-2023
  • 25 % des revenus internationaux supplémentaires réinvestis dans le recrutement et l’appui des étudiants étrangers
  • Investissement continu de 1 % de la paie dans le perfectionnement professionnel
  • Investissement continu de 1,5 % des revenus de fonctionnement dans l’entretien différé

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-neuf centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules.

 

PERSONNES-RESSOURCES POUR LES MÉDIAS

Renseignements et entrevues

Joanne Musico

Directrice des communications

705-675-1151, poste 3445, ou 1-800-263-4188, poste 3445

jmusico@laurentienne.ca

Le Centre autochtone de partage et d’apprentissage ouvre ses portes à l’Université Laurentienne

Le Centre autochtone de partage et d’apprentissage ouvre ses portes à l’Université Laurentienne

Un centre sans pareil pour le rassemblement et l’apprentissage de gens de tous les horizons et la promotion de l’indigénéité

Aujourd’hui, l’Université Laurentienne a inauguré son Centre autochtone de partage et d’apprentissage (CAPA) dans le cadre des célébrations de la Journée nationale des Autochtones. Le CAPA rassemble les membres de la population étudiante, du corps professoral, du personnel et de la collectivité dans le but de rehausser la formation des Autochtones, de favoriser la compréhension et d’appuyer les besoins et les aspirations des communautés autochtones. Grâce à une salle ronde exceptionnelle, une salle de séminaire, des aires de conseil, des espaces cérémoniels, un salon étudiant et une cuisine, le Centre deviendra un « deuxième chez soi » pour beaucoup d’étudiants autochtones.

« L’Université s’est placée à l’avant-scène de la promotion de la formation et de la recherche autochtones, a dit la vice-rectrice associée à l’enseignement et aux programmes autochtones, Mme Sheila Cote-Meek, Ph.D., tout en favorisant un milieu chaleureux qui encourage la compréhension et la collaboration parmi les étudiants de toutes les origines. Le CAPA incarne cet engagement sur le plan physique et nous espérons qu’il réunira nos étudiants afin qu’ils puissent trouver ensemble des solutions qui amélioreront la vie dans nos communautés. »

Le CAPA a une superficie de 7 500 pieds carrés désignant la présence à la fois importante et visible des Autochtones à l’Université Laurentienne. Sa conception tient compte des idées de la collectivité autochtone, y compris du Conseil de l’Université Laurentienne pour la formation des Autochtones, qui a joué un rôle clé afin de préconiser et d’appuyer son développement. La formidable salle ronde, inspirée du wigwam (bâtiment traditionnel des Autochtones de la région) est dotée de quatre entrées, l’une donnant sur chacun des points cardinaux (nord, sud, est et ouest), ainsi que d’un système multimédia de pointe. Grâce à une configuration souple, elle peut accueillir des groupes nombreux pour tout un éventail d’activités comme l’enseignement, les rencontres, les conférences et les célébrations spéciales. La salle a un toit vert écologique et durable et offre une vue des espaces d’enseignement en plein air, de la zone paysagère avoisinante et de l’accès à ceux-ci.

Le Centre est aussi muni de plusieurs aires spécialisées se prêtant à diverses activités et comprend des salles de classe, des services de conseil et un endroit où les étudiants des collectivités autochtones éloignées pourront communiquer sans frais avec leurs amis et leur parenté. Le CAPA dispose de deux salles réservées au smudging et d’une aire de préparation de cuisine autochtone traditionnelle.

« La meilleure façon de nous réconcilier comme pays avec le passé parfois douloureux et d’aller de l’avant afin de créer de meilleures communautés pour tout le monde est de favoriser une compréhension et une collaboration véritables parmi les étudiants de tous les horizons, a souligné le recteur de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux. Le CAPA est un endroit exceptionnel où rassembler les gens et promouvoir une meilleure largeur d’esprit à l’égard des personnes, de l’histoire, des cultures et des traditions autochtones. »

Le Centre autochtone de partage et d’apprentissage est la plus récente innovation à voir le jour à l’Université Laurentienne depuis les appels à l’action lancés en 2016 par la Commission de vérité et de réconciliation. La Laurentienne a inauguré dernièrement l’Institut de recherche autochtone Maamwizing afin d’encourager l’inclusion des visions, connaissances et perspectives autochtones dans toutes les facettes de la recherche universitaire. De plus, dès septembre 2017, tous les étudiants préparant un baccalauréat ès arts devront obtenir au moins six crédits parmi la centaine de cours offrant une perspective autochtone.

M. David Fortin deviendra en 2018 le prochain directeur de l’École d’architecture McEwen

M. David Fortin deviendra en 2018 le prochain directeur de l’École d’architecture McEwen

L’Université Laurentienne a annoncé aujourd’hui la nomination de M. David Fortin, Ph.D., au poste de directeur de l’École d’architecture McEwen à compter du 1er janvier 2018. Il remplacera le directeur fondateur, M. Terrance Galvin, Ph.D., dont le deuxième mandat de trois ans prendra fin le 31 décembre 2017.

Conformément à la convention collective du corps professoral, les directeurs d’école et de département ne peuvent accomplir plus de deux mandats de trois ans. Ainsi, M. Galvin, professeur titulaire permanent, continuera d’apporter ses contributions à l’École comme membre du corps professoral. La nomination de M. Fortin a été appuyée aujourd’hui par le vice-recteur aux études, à la recommandation du doyen de la Faculté de sciences, de génie et d’architecture et du Comité de sélection, composé de membre du corps professoral de l’École d’architecture McEwen.

Dr. David Fortin

Professeur adjoint à l’École d’architecture McEwen depuis 2013, M. Fortin est titulaire d’un doctorat à l’Université d’Edinburgh et d’une maîtrise en architecture à l’Université de Calgary. Avant cela, il a été professeur pendant cinq ans à l’École d’architecture de la Montana State University et a exercé la profession d’architecte professionnel dans plusieurs cabinets. De descendance métisse, il poursuit activement un programme de recherche sur les processus de conception autochtone, dispose d’une subvention de développement Savoir du Conseil de recherches en sciences humaines et a publié de nombreux articles savants dans ce domaine.

Au début de l’année, M. Fortin a été nommé directeur associé de l’Institut de recherche Maamwizing, centre de recherche autochtone de l’Université Laurentienne. Il est membre de l’Association des architectes de l’Alberta et de l’Institut royal d’architecture du Canada. Tout au long de sa carrière, il a reçu des bourses et des prix, y compris le Prix de partenariat de Science Nord en 2015. En outre, cette nomination fait de M. Fortin le premier architecte autochtone à diriger une école d’architecture au Canada.

« C’est un défi de taille que de prendre la succession de Terrance, le directeur fondateur de l’École d’architecture McEwen, a souligné M. Fortin, mais je me réjouis à la perspective de collaborer avec la population étudiante, le corps professoral, le personnel et nos nombreux partenaires communautaires pour continuer à concrétiser la vision du comité directeur. Celui-ci a mené à la création de l’École, dirigée et renforcée par Terrance au cours des six dernières années. »

« En décembre 2017, je quitterai mes fonctions de directeur rempli d’un profond sentiment de satisfaction et de fierté, a expliqué M. Galvin. Nous avons conféré la semaine dernière nos premiers diplômes, l’édifice est maintenant parachevé et, cet automne, nous accueillerons la première cohorte à la maîtrise. L’École d’architecture McEwen sera entre de bonnes mains sous la direction de M. Fortin et je lui apporterai mon soutien tout en continuant à faire avancer les intérêts de l’École pendant les prochaines années. »Terrance Galvin

« En six ans, Terrance a fait progresser l’École plus loin que personne ne l’aurait imaginé, a ajouté le vice-recteur aux études, M. Pierre Zundel, Ph.D., qui tient à souligner sa profonde reconnaissance pour le leadership exemplaire de M. Galvin à titre de directeur fondateur. Nous lui devons, à Sudbury et dans le nord de l’Ontario, reconnaissance et respect pour la vision, la détermination, l’esprit communautaire, l’engagement et la créativité dont il a toujours fait preuve. »

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 200 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années.

Les premiers finissants de la plus récente école d’architecture au Canada reçoivent leur diplôme pendant la Collation des grades du printemps 2017

Les premiers finissants de la plus récente école d’architecture au Canada reçoivent leur diplôme pendant la Collation des grades du printemps 2017

L’architecte canadienne de renommée, Mme Marianne McKenna, reçoit un doctorat honorifique pendant la cérémonie de l’École McEwen

​Lors de la cérémonie de Collation des grades cet après-midi, des diplômes ont été conférés aux membres de la population étudiante de la toute première promotion de l’École d’architecture McEwen de l’Université Laurentienne. L’École McEwen, la première nouvelle école d’architecture au Canada depuis 45 ans, a ouvert ses portes en septembre 2013.

« Je suis tellement fier des personnes qui terminent les études cette année et s’insèrent concrètement dans l’histoire de l’Université Laurentienne, a dit le directeur de l’École d’architecture McEwen, M. Terrance Galvin. Cette école est le fruit de nombreuses années de travail acharné par l’ensemble de la communauté du Grand Sudbury. Je suis persuadé que cette première promotion sera une source de fierté, car les diplômés mettront à profit leurs talents de conception et enrichiront leurs collectivités pour les années à venir. »

La planification des plans d’une école d’architecture à l’Université Laurentienne a été entreprise en 2007, appuyée par la collaboration et des contributions financières de tous les paliers gouvernementaux et de la communauté. Elle a adopté plus tard le nom d’École d’architecture McEwen pour souligner le généreux don des philanthropes Rob et Cheryl McEwen.

Les cours ont commencé en septembre 2013 et les étudiants ont tout de suite commencé à participer à des projets bien en vue. Dans l’espace de trois ans, ils ont gagné des prix nationaux et mondiaux pour leurs travaux de conception, y compris la première place au Festival international du bois à Bergen, en Norvège. Les nouvelles installations de pointe de l’École, dans l’édifice historique du télégraphe de CP au centre-ville de Sudbury, ont été inaugurées en janvier 2017 et reflètent la vision du design architectural de l’École en intégrant des éléments d’origine à des caractéristiques modernes et de technologie de pointe, tout en mettant en valeur la conception et le patrimoine autochtones.

La présence de l’éminente architecte canadienne, Mme Marianne McKenna de la firme KPMB Architects, a rendu d’autant plus spéciale la Collation des grades du printemps 2017 pour les diplômés. La Laurentienne a invité l’architecte primée afin de lui conférer un doctorat honorifique qui souligne ses contributions aux sphères de l’architecture, de l’enseignement et de la défense des droits.

« En m’adressant aux diplômés, je leur ai dit d’être fiers de leurs accomplissements et que je me réjouis à la perspective de leurs prochaines réalisations, a dit le recteur de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux. Cela va de soi aussi pour l’École d’architecture McEwen. Nous sommes très fiers de tout ce que nous avons accompli depuis une décennie, mais nous envisageons maintenant les prochaines étapes, ce qui comprend de nouvelles recherches ainsi qu’un nouveau programme de maîtrise en architecture qui commence cet automne. »


Voir la cérémonie de collation des grades

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 200 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années.

La Laurentienne rend hommage à trois Canadiennes et à un canadien distingués qui améliorent des vies et des collectivités

La Laurentienne rend hommage à trois Canadiennes et à un canadien distingués qui améliorent des vies et des collectivités

Une infirmière, une éducatrice autochtone, une architecte réputée et un philanthrope engagé recevront un doctorat honorifique lors des cérémonies de collation des grades du printemps 2017

L’Université Laurentienne conférera des doctorats honorifiques à quatre personnes distinguées du Canada pendant les cérémonies de collation des grades du printemps 2017 à Sudbury. Les lauréats de cette année se sont consacrés au service des autres et à l’amélioration de leur communauté dans les domaines des soins de santé, de l’éducation, de l’architecture et du droit.

« Nos lauréats de titres honorifiques cette année, par leur sagesse, leur engagement et leur dévouement, ont contribué à l’amélioration de la société, a dit le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux. Ils ont marqué la vie de beaucoup de gens grâce à leurs réalisations et contributions altruistes et nous nous réjouissons de les accueillir dans la famille des anciens de la Laurentienne. »

Les personnes qui recevront un doctorat honorifique sont l’éminente infirmière, chercheuse et porte-parole Louise Picard, l’aînée et éducatrice autochtone Rita Corbiere, l’architecte de renommée mondiale Marianne McKenna et l’avocat et le philanthrope torontois Perry Dellelce.

 « Ces Canadiens distingués ont passé leur vie à vouloir le bien des autres, a dit le chancelier de la Laurentienne, M. Steve Paikin. Je suis ravi de décerner des doctorats honorifiques à ces gens exceptionnels qui ont fait preuve d’excellence dans leur domaine tout en déployant leurs talents pour transformer le monde qui les entoure. » 

Un doctorat honorifique sera remis à chacune des personnes ci-dessous lors des cérémonies de collation des grades sur le campus de Sudbury de l’Université Laurentienne.

 

Louise Picard

Mardi 30 mai 2017, à 14 h 30

Doctorat ès lettres (honoris causa)

Diplômée de l’École des sciences infirmières à l’Université Laurentienne, Mme Louise Picard a exercé des rôles clés en santé publique en qualité d’infirmière, de chercheuse, d’évaluatrice, d’éducatrice, d’administratrice, de mentor, de leader et d’innovatrice. Elle a commencé sa carrière comme infirmière-hygiéniste et, en 1977, a joué un rôle clé dans la mise sur pied du Service de consultation génétique au Service de santé publique de Sudbury et du district (SSPSD), modèle adopté partout dans le nord de l’Ontario ainsi que sur la scène mondiale. Après l’obtention de la maîtrise, elle est devenue coordonnatrice et ensuite directrice du Programme de recherche, d’éducation et de développement (RRED) en santé publique à Sudbury. De 1998 à 2005, elle a dirigé la Division des ressources, de la recherche, de l’évaluation et du développement au SSPSD. Elle est passionnée par la recherche comme en témoignent une étude qu’elle a effectuée auprès des adolescentes enceintes, le Teen Prenatal Study, ainsi que les deux premiers rapports provinciaux sur l’état de santé des Francophones pour lesquels elle a joué un rôle clé. Elle est reconnue pour son habileté à encourager divers secteurs et disciplines à bien collaborer. Elle a ouvert le dialogue qui a mené à la création d’une subvention de recherche, appelée maintenant la Subvention de recherche en santé publique Louise Picard. Elle est lauréate du Prix de membre honoraire de l’Association pour la santé publique de l’Ontario et du Prix de pratique infirmière de la section de Sudbury et du district de l’Association des infirmières et infirmiers autorisés d’Ontario. En outre, elle figurait parmi les 50 diplômés à recevoir un prix de reconnaissance soulignant le 50e anniversaire de l’Université Laurentienne.

 

Perry Dellelce

Mercredi 31 mai 2017, à 14 h 30

Doctorat en droit (honoris causa)

Associé directeur et cofondateur du plus grand cabinet autonome de droit transactionnel en financement d’entreprises au Canada, Wilderboer Dellelce LLP, M. Perry Dellelce fait preuve d’une disposition incroyable à contribuer à la prospérité permanente de l’Ontario et du Canada. Il exerce des rôles de leadership à titre bénévole à l’Hôpital Sunnybrook, à l’Université Western, à l’Université d’Ottawa, à l’Université de Notre Dame et à la Fondation olympique canadienne. Il apporte des contributions qui favorisent les progrès dans les secteurs des soins de santé, de l’éducation, des arts, de la culture et des sports pour que tous les Canadiens en profitent. En plus du service communautaire qu’il fait à Toronto et ailleurs au Canada, il est aussi porte-parole enthousiaste de l’Université Laurentienne et a été l’un des membres les plus actifs du cabinet de bénévoles d’Objectif 50 : Notre campagne, qui a été la plus grande campagne de mobilisation de fonds dans l’histoire du nord de l’Ontario. Il a aussi été fer de lance de l’Initiative des familles sudburoises qui a obtenu des contributions totalisant 15 000 000 $ d’éminents membres de la communauté de Sudbury. Chaque année, il exprime fièrement son zèle pour l’Université Laurentienne et la Ville du Grand Sudbury à titre de fondateur et coprésident du gala « Toronto célèbre Sudbury », événement de mobilisation de fonds qui rassemble les expatriés de Sudbury qui habitent à Toronto pour une soirée de rétrospection et de célébration de causes sudburoises diverses. Il est lauréat de l’Albert Citation et du Prix Purple and White de l’Université Western, a été admis à la Société d’honneur de la Faculté de droit de l’Université d’Ottawa et a reçu le Prix pour ancien distingué du College of Business à l’Université de Notre Dame.

 

Rita G. Corbiere

Jeudi 1er juin 2017, à 10 h

Doctorat en droit (honoris causa)

Aînée Anishinaabe et pédagogue remarquable dont la sagesse est partagée généreusement avec nombre d’apprenants, Mme Rita Corbiere est Ginii Kwe (rose sauvage) en ojibwé/odawa et membre de la réserve non cédée de Wikwemikong où elle a passé presque toute sa vie. En tant qu’éducatrice, elle a eu une influence sur de nombreux étudiants, leur a donné l’exemple et les a dirigés sur une bonne voie en assurant un leadership en matière de savoir, de santé et d’éducation autochtones. Elle a entrepris ses études dans l’école locale de Wikwemikong et a passé ensuite cinq ans au pensionnat pour filles de Spanish. Elle a préparé un baccalauréat ès arts en études autochtones et environnementales à l’Université Laurentienne et un brevet d’enseignement à North Bay. Elle a été une enseignante exceptionnelle pendant plusieurs décennies et directrice d’école primaire pendant sept ans. Fière interlocutrice anishinaabemowin, elle appuie fermement l’initiative de revitalisation de la langue dans le territoire Anishinaabe. Depuis une décennie, elle collabore avec la Laurentienne, où elle a apporté à titre d’aînée, de chercheuse et de coauteure, d’importantes contributions à la documentation universitaire. Elle continue de participer activement à beaucoup de projets de recherche communautaire en apportant des contributions comme aînée, conseillère, coauteure et coanimatrice. Elle joue un rôle décisif dans l’intégration des perspectives Anishinaabe aux recherches universitaires tout en aidant à les structurer de façon à reconnaître les connaissances anishinaabe et à y contribuer. Elle est lauréate du Prix pour l’ensemble des réalisations de la Nation Anishinabek et du Prix de distinction en éducation des Autochtones de l’Université Laurentienne.

 

Marianne McKenna

Jeudi 1er juin 2017, à 14 h 30  (collation des grandes de la première classe à l’École d’architecture McEwen)

Doctorat en droit (honoris causa)

Headshot of Marianne McKenna

En 1987, Marianne McKenna a fondé, avec des partenaires, KPMB Architects selon un modèle hybride de pratique fondé sur l’équité des sexes, la collaboration, la diversité et l’excellence. Aujourd’hui, KPMB est reconnu au plan mondial comme cabinet canadien primé. Née à Montréal et éduquée au Collège Swarthmore et à l’Université Yale, elle a consacré sa carrière à l’excellence du design en architecture. En 2010, elle a été nommée l’une des 100 femmes les plus influentes du Canada et, en 2014, l’une des 50 personnes les plus influentes au Canada, selon Maclean’s. Elle est devenue officier de l’Ordre du Canada en 2012 pour son « architecture ingénieuse qui enrichit l’expérience du public ». Reconnue sur la scène mondiale comme l’architecte du Conservatoire royal du Centre TELUS et de son emblématique Salon Koerner, loué par les artistes allant de Chick Correa à Yo-Yo Ma, elle compte parmi ses projets distingués l’École de gestion Rotman à l’Université de Toronto, le Centre Mike et Ophelia Lazaridis Quantum-Nano à l’Université de Waterloo, et l’École de gestion Kellogg à l’Université Nothwestern, que le Chicago Tribune qualifie de « conception complexe au plan spatial qui réserve de précieuses leçons de travail en collaboration ». À l’heure actuelle, Marianne collabore aux projets de l’École Brearley à New York, de l’historique Massey Hall à Toronto et du Centre des arts et de la créativité de Banff, dans le Parc national de Banff, Alberta. Son affection pour l’architecture se fait valoir dans l’enseignement, le mentorat et la défense des droits. À l’automne 2016, elle était professeure invitée Lord Norman R. Foster à l’Université Yale et elle siège actuellement au conseil de direction de Metrolinx.

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 200 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années. 

M. Aaron Langille est lauréat du Prix d’excellence en enseignement de l’Université Laurentienne pour 2016-2017

M. Aaron Langille est lauréat du Prix d’excellence en enseignement de l’Université Laurentienne pour 2016-2017

Les étudiants et collègues lui rendent hommage en mettant en valeur son enthousiasme, son esprit innovateur et son engagement envers l’enseignement

L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer que le Prix d’excellence en enseignement 2016-2017 a été conféré à M. Aaron Langille, Ph.D., pour souligner ses travaux tant à l’intérieur qu’à l’extérieur des salles de classe du Département de mathématiques et d’informatique.

« J’éprouve un sentiment d’humilité et de fierté, a dit M. Langille. Nous, les enseignants, essayons chaque jour de transmettre à nos étudiants une expérience enrichissante en salle de classe et de les préparer à la prochaine étape. Je suis ému de voir reconnaître ce travail tant par mes étudiants que par mes collègues et je ne l’oublierai pas de sitôt. »

Diplômé du programme de mathématiques et d’informatique de l’Université Laurentienne (1998), M. Langille a travaillé dans l’industrie de l’ordinatique avant de revenir à l’UL en 2002 à titre de technologue au département. Depuis juillet 2011, il est maître de conférences au Département de mathématiques et d’informatique, où il a donné des cours de 2005 à 2011.

M. Langille a reçu des louanges pour ses techniques en salle de cours qu’il injecte d’humour, d’analogies et de ses expériences et expertise professionnelles afin d’animer la matière pour ses étudiants. En outre, il faut souligner sa propre technique de « ludification » qui comporte des objectifs, des incitatifs et des motivateurs pour les étudiants qui réalisent les travaux de cours.

« J’ai récemment lu une citation qui disait que, pour bien enseigner, il faut être à la fois humoriste, vendeur, expert et conseiller, a ajouté M. Langille, et cela résume assez bien ma philosophie. Porter tous ces chapeaux aide à combler l’écart entre l’enseignant et l’étudiant et favorise la réussite. »

Le prix annuel est remis à un membre du corps professoral à plein temps pour souligner le rendement exceptionnel en enseignement. Toutes les candidatures doivent être appuyées par des étudiants, des pairs, des diplômés et d’autres membres de la communauté universitaire.

L’engagement de M. Langille envers ses étudiants ne se limite pas à la salle de classe. En 2015, il a assumé le rôle de conseiller universitaire pour les programmes d’informatique et, à ce titre, collabore étroitement avec les services de counseling et de liaison et le Centre d’excellence universitaire de l’UL. Il soutient que les étudiants devraient toujours avoir quelqu’un avec qui parler des questions touchant la vie à l’extérieur de l’Université qui pourraient avoir une incidence sur leur rendement aux études.

« Je tiens à féliciter M. Aaron Langille à qui le Prix d’excellence en enseignement a été conféré cette année, a souligné le vice-recteur aux études, M. Pierre Zundel. L’excellence dont il fait preuve en élaboration de cours et enseignement est un grand atout pour notre collectivité et le nombre stupéfiant de lettres et messages reçus d’étudiants et de collègues à l’appui de sa candidature illustre bien les répercussions positives qu’il a eues et continuera d’avoir sur la vie de bien des gens. »

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années. 

Nomination de Dominic Giroux au poste de PDG d’Horizon Santé-Nord et de l’IRHSN

Nomination de Dominic Giroux au poste de PDG d’Horizon Santé-Nord et de l’IRHSN

Aujourd’hui, les conseils d’administration d’Horizon Santé-Nord (HSN) et de l’Institut de recherches d’Horizon Santé-Nord (IRHSN) ont annoncé que le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, Dominic Giroux, sera le prochain président-directeur général d’HSN et de l’IRHSN. Il entrera en fonction le 2 octobre 2017.    

Situé au Grand Sudbury, HSN est l’un des plus grands centres universitaires des sciences de la santé de l’Ontario et fait partie des 40 meilleurs hôpitaux de recherche du Canada. Son budget s’élève à 450 millions de dollars, tandis que plus de 4 200 employés et médecins y travaillent. Il est affilié à l’Université Laurentienne (UL) et à l’École de médecine du Nord de l’Ontario (EMNO).

M. Giroux a été choisi à l’unanimité par le Comité de sélection d’HSN et de l’IRHSN.

« Aujourd’hui, c’est le début d’un nouvel itinéraire enthousiasmant pour HSN et l’IRHSN, a dit la présidente des conseils d’administration d’HSN et de l’IRHSN, Nicole Everest. Le Grand Sudbury se positionnant en tant que carrefour d’excellence dans le domaine de la santé, nous cherchions un PDG qui a fait ses preuves en obtenant des résultats et qui possède de l’expérience en milieu universitaire afin de faire progresser nos missions d’enseignement et de recherche. Nous croyons que nous l’avons trouvé chez Dominic, et bien davantage; nous sommes enchantés de la possibilité de faire passer HSN, l’IRHSN et le Nord de l’Ontario au prochain niveau. »    

M. Giroux est l’un des 4 membres de la Commission de réforme des services publics de l’Ontario qui, en 2012, a formulé plus de 100 recommandations sur la santé. Il a été président du Conseil de l’EMNO et coprésident du Consortium national de formation en santé (CNFS).

C’est le 18 août que Dominic Giroux sera en fonction pour la dernière fois dans le Bureau du recteur de l’UL. Le Conseil des gouverneurs de l’établissement a approuvé la nomination du vice-recteur aux études, Pierre Zundel, au poste de recteur et vice-chancelier intérimaire du 21 août 2017 au 30 juin 2019. La recherche de candidatures au poste de recteur ne débutera pas avant l’été 2018. On prévoit que le prochain recteur et vice-chancelier sera nommé en décembre 2018.  

« Je suis enchanté que Dominic et sa femme Barbara aient choisi de demeurer au Grand Sudbury, a mentionné la présidente du Conseil des gouverneurs de l’UL, Jennifer Witty. Ils sont tous deux des membres importants de notre communauté. Dominic fera un travail exceptionnel en dirigeant HSN et l’IRHSN, comme il l’a fait aux commandes de la Laurentienne. Ces établissements sont des piliers qui ont un impact immense pour le Nord de l’Ontario dans son ensemble. »   

Sous la direction de son recteur, depuis avril 2009, la Laurentienne a amorcé la construction de 5 édifices et procédé à des rénovations majeures totalisant 206 millions de dollars, elle a obtenu 80 millions de dollars de dons du secteur privé et des investissements dans l’infrastructure de 64 millions de la part des gouvernements. Les inscriptions y sont à des niveaux records, tandis que la moyenne à l’admission a augmenté. Le financement de recherche des trois Conseils a plus que doublé, de même que le nombre de membres autochtones du corps professoral. La Laurentienne se classe maintenant parmi les 10 meilleures universités au Canada offrant principalement des programmes de premier cycle, au sein du classement du magazine Maclean’s.

Sur son mandat à la Laurentienne en tant que dixième recteur de l’établissement et celui ayant occupé la fonction le plus longtemps, Dominic Giroux a dit : « J’aime la Laurentienne et elle me passionnera toujours. Il y a tant de choses dont nous pouvons être fiers et suscitant l’enthousiasme pour l’avenir de cet établissement qui a une équipe exceptionnelle en place. J’ai eu le privilège de diriger notre communauté universitaire et de travailler avec des collègues, des étudiants, des membres du conseil d’administration, des anciens, des donateurs et des partenaires exceptionnels et engagés. »

Pour ce qui est de son nouveau poste à HSN et à l’IRHSN, il ajoute : « C’est ma décision la plus difficile, soit quitter une organisation que j’aime pour me joindre à deux autres que j’aimerai aussi. Au bout du compte, la possibilité offerte à ma famille de rester au Grand Sudbury, de servir notre collectivité, de relever de nouveaux défis stimulants à la tête de deux excellents organismes ayant déjà deux équipes de grande qualité en place, durant une période de transformation pour les soins de santé, c’était une merveilleuse occasion à ne pas manquer. »

Le Dr Chris Bourdon, médecin-chef et vice-président aux affaires médicales et universitaires d’HSN, a siégé au Comité de sélection. Selon lui, cette nomination est une excellente nouvelle pour les employés et les médecins d’HSN et de l’IRHSN, et surtout, pour les gens qu’ils servent. « Dominic a la capacité exceptionnelle de rassembler les gens autour d’un objectif commun en exposant clairement une stratégie tout en s’en faisant le champion, dit-il. Il sait comment développer des relations solides avec les partenaires externes. Ces aptitudes seront décisives pendant que notre système de soins de santé passe par des changements transformationnels. Je suis impatient de travailler avec lui. »

Dans le cadre de l’annonce d’aujourd’hui, Nicole Everest a souligné la contribution du Dr Denis Roy qui, l’automne dernier, a annoncé son intention de prendre sa retraite. « À bien des égards, nous considérons le Dr Roy comme le fondateur d’HSN et de l’IRHSN. Il a contribué à la création d’un centre universitaire des sciences de la santé reconnu à l’échelle mondiale. Il a insufflé une culture de l’innovation, de l’apprentissage et des soins centrés sur les patients sur laquelle nous miserons. » Le Dr Roy quittera ses fonctions à HSN et à l’IRHSN à la fin juin. 

Le vice-président principal et chef des opérations, Joe Pilon, sera le PDG intérimaire d’HSN pendant 3 mois, à partir du 1er juillet. Le même poste à l’IRHSN sera également occupé de façon intérimaire durant la même période par sa vice-présidente à la recherche et directrice scientifique, la Dre Janet McElhaney.

« Je suis ravi de commencer à rencontrer les personnes de talent qui font d’HSN et de l’IRHSN des organisations d’excellence. Ce sont des experts de la santé. J’ai hâte de travailler avec eux, de même qu’avec le Réseau local d’intégration des services de santé du Nord-Est (RLISS du Nord-Est) et les partenaires de la santé pour faire progresser les soins aux patients, enseigner aux futurs professionnels de la santé et améliorer la recherche en santé », a conclu Dominic Giroux.

Personnes-ressources pour les médias :

Joanne Musico, Directrice, Communications, Université Laurentienne
(705) 675-1151, poste 3445
jmusico@laurentian.ca

Dan Lessard, Agent des relations publiques et médiatiques, Horizon Santé Nord
(705) 523-7118, poste 4
dlessard@hsnsudbury.ca
 

Horizon Santé-Nord améliore la santé des gens du Nord en collaborant avec ses partenaires pour faire progresser des soins de qualité, l’enseignement et l’apprentissage, la recherche et la promotion de la santé. L’établissement remercie la communauté de son appui soutenu par l’entremise de la Fondation Horizon Santé-Nord, de la Fondation du Nord en cancérologie, de la Fondation Enfants NEO et de l’Association des bénévoles d’HSN.

L’Institut de recherches d’Horizon Santé-Nord (IRHSN) met l’accent sur l’atteinte de solutions durables aux défis de santé auxquels les collectivités autochtones et du Nord de l’Ontario doivent faire face. Ses domaines de recherche prioritaires (les infections et l’immunité, les solutions au cancer, la médecine personnalisée et le vieillissement en santé) s’articulent autour de la santé de la population afin qu’il y ait une équité en matière de santé pour les collectivités autochtones et du Nord de l’Ontario.

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et à 19 centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines de recherche spécialisés, notamment l’innovation et l’exploration minières, les bassins hydrographiques perturbés, l’astrophysique des particules ainsi que la santé infantile dans les régions rurales et du Nord. L’établissement a obtenu plus de 100 000 000 $ en fonds de recherche au cours des 5 dernières années.

 

Dominic Giroux en bref

Dominic Giroux​Dominic Giroux compte 19 ans d’expérience à titre de cadre supérieur au sein de deux conseils scolaires de l’Ontario ainsi qu’à titre de sous-ministre adjoint dans deux ministères, de recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne. En 2011, il a reçu un prix « 40 plus performants âgés de moins de 40 ans ».

M. Giroux est titulaire d’un baccalauréat en sciences sociales (politiques publiques, gestion et science politique) et d’un baccalauréat en éducation de l’Université d’Ottawa ainsi que d’une maîtrise en administration des affaires de l’École des hautes études commerciales (HEC), à Montréal. Il est membre en règle de l’Ordre des enseignantes et des enseignants de l’Ontario. 

M. Giroux est l’un des 4 membres de la Commission de réforme des services publics de l’Ontario qui, en 2012, a formulé plus de 100 recommandations sur la santé. Il a été président du Conseil de l’EMNO et coprésident du Consortium national de formation en santé (CNFS).

M. Giroux est actuellement vice-président d’Universités Canada. Ses pairs de 97 universités canadiennes l’ont élu au poste de président de l’organisme pour un mandat s’échelonnant d’octobre 2017 à octobre 2019. En outre, il siège au Comité de direction du Conseil des universités de l’Ontario, au Comité consultatif économique de l’Ontario, au Conseil consultatif du Mowat Centre et des conseils d’administration des Canadian Accredited Independent Schools et de la Banque d’aliments Sudbury Food Bank. 

Il a aussi été coconseiller spécial pour la création de l’Institut des politiques du Nord et il a été nommé au Conseil consultatif de développement du Cercle de feu de la province, au Groupe consultatif sur le service à la clientèle d’Hydro One, au Conseil consultatif sur l’enseignement supérieur du Globe and Mail et à celui la Banque du Canada.  

M. Giroux a été coprésident du Conseil ontarien pour l’articulation et le transfert, président du Centre d’excellence en innovation minière (CEIM) et du Conseil des écoles catholiques de langue française de la région d’Ottawa-Carleton. Il a également été vice-président de l’Association des universités de la francophonie canadienne (AUFC) et de l’Association canadienne-française de l’Ontario d’Ottawa. En outre, il a siégé au Conseil de la Société de développement du Grand Sudbury (SDGS), de l’Association canadienne d’éducation (ACE), de l’Office de la qualité et de la responsabilité en éducation (OQRE) et de l’Hôpital Montfort.   

En 2007, l’Université d’Ottawa lui a décerné le Prix de leadership en éducation et, en 2008, HEC Montréal lui a remis un prix de jeunes gestionnaires dans la catégorie Grande entreprise. En 2010, il a été nommé Personnalité de l’année LeDroit/Radio-Canada. Il a reçu la Médaille du jubilé de diamant de la reine Elizabeth II, le Prix Paul-Harris du Club Rotary de Sudbury, un prix d’excellence dans la catégorie Community Builders Award of Excellence (prix d’excellence des bâtisseurs communautaires) à Sudbury et le Prix du Pilier de la francophonie 2016 de l’Assemblée de la francophonie de l’Ontario. Le gouvernement français l’a fait Chevalier de l’Ordre des Palmes académiques de la République française en raison de sa contribution à l’influence de la langue française au Canada.   

Horizon Santé-Nord (HSN) et l’Institut de recherches d’Horizon Santé-Nord (IRHSN) en bref 

  • Avec un budget de 450 millions de dollars, 3 900 employés, 280 médecins et 600 bénévoles, affilié à l’UL et à l’EMNO, HSN est l’un des plus grands centres universitaires des sciences de la santé de l’Ontario et fait partie des 40 meilleurs hôpitaux de recherche du Canada.
  • Ses 458 lits en font le plus grand hôpital du Nord de l’Ontario.
  • Régi par son propre conseil d’administration, l’IRHSN est l’institut de recherches affilié à HSN. Il vise à fournir des solutions durables aux défis de santé auxquels les gens et les collectivités du Nord-Est de l’Ontario doivent faire face.
  • L’IRHSN est l’un des 40 meilleurs hôpitaux de recherche du Canada. Il a généré 21 millions de dollars en financement de recherche, créé 75 emplois équivalents à plein temps et recueilli 15 millions de dollars en financement pour l’installation de recherche Walford.
  • L’IRHSN s’est avéré une destination invitante pour mener des recherches innovatrices puisqu’on y a attiré des professionnels de renommée mondiale afin d’y diriger des chaires de recherche sur le vieillissement en santé, la médecine personnalisée, les solutions au cancer ainsi que sur la santé des gens du Nord et des Autochtones, soit des programmes de recherche de pointe adaptés aux priorités de la région en matière de santé, s’articulant autour de la santé de la population afin qu’il y ait une équité en matière de santé pour les collectivités autochtones et du Nord de l’Ontario.

Feuille de renseignements : l’Université Laurentienne en bref 

  • L’Université Laurentienne a pour objectif d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français, y compris une approche globale de l’éducation des Autochtones, qui prépare les étudiants à devenir des agents de changement en les incitant à poser de nouvelles questions, à ébranler nos connaissances, et leur donnant également les moyens de trouver des solutions innovatrices aux futurs problèmes locaux et mondiaux.  
  • C’est le 18 août 2017 que Dominic Giroux sera en fonction pour la dernière fois dans le Bureau du recteur de l’UL.
  • Le Conseil des gouverneurs de l’établissement a approuvé la nomination du vice-recteur aux études, Pierre Zundel, au poste de recteur et vice-chancelier intérimaire du 21 août 2017 au 30 juin 2019.
  • La recherche de candidats au poste de recteur ne débutera pas avant l’été 2018. On prévoit que le prochain recteur et vice-chancelier sera nommé en décembre 2018.
  • Sous la direction de son recteur, depuis avril 2009, la Laurentienne a terminé ou amorcé la construction de cinq édifices et procédé à des rénovations majeures totalisant 206 millions de dollars, elle a obtenu 80 millions de dollars de dons du secteur privé et des investissements dans l’infrastructure de 64 millions de la part des gouvernements fédéral et provincial. Malgré le déclin démographique, le nombre d’inscriptions à la Laurentienne a augmenté de 1 000 étudiants, soit un record supérieur à 9 600, tandis que la moyenne à l’admission passait de 79,2 % à 82,4 %. Le nombre d’étudiants étrangers y a doublé, celui des inscriptions aux programmes en français à l’extérieur de la Faculté d’éducation a augmenté de 25 % et celui des inscriptions aux études supérieures s’est accru de 24 %. Le financement de recherche des trois Conseils a plus que doublé, de même que le nombre de membres autochtones du corps professoral. La Laurentienne se classe maintenant parmi les 10 meilleures universités au Canada offrant principalement des programmes de premier cycle, au sein du classement du magazine Maclean’s, soit une hausse par rapport à la 18e place que l’établissement occupait en 2009. Enfin, il est en voie d’atteindre l’équilibre budgétaire annuel pour une septième année consécutive. 
  • Les membres de la toute première promotion de l’École d’architecture McEwen recevront leur diplôme en juin. Les travaux de modernisation de 2014 à 2017 seront terminés d’ici quelques semaines et l’embauche des membres du corps professoral du projet Métaux terrestres de 104 millions de dollars tire à sa fin. Il s’agit d’un projet de l’École des sciences de la terre Harquail, primée, dans le cadre du Fonds d’excellence en recherche Apogée Canada (FERAC). L’avenir de la Laurentienne est prometteur, l’établissement terminant l’élaboration de son plan stratégique 2018-2023, la construction de l’Édifice de recherche, d’innovation et de génie Cliff Fielding, en 2018, et celle du Centre étudiant de l’Association générale des étudiants (AGE) en 2019.
  • Le budget de l’UL s’élève à 170 millions de dollars. L’établissement compte 2 000 employés, y compris 385 membres du corps professoral à temps plein et 403 employés à temps plein, au service de 9 600 étudiantes et étudiants.
  • La Laurentienne se classe au premier rang au Canada pour ce qui est du financement national accordé dans le domaine de la géologie économique. Elle est en première place des universités ontariennes et fait partie des cinq premières universités au Canada concernant le financement de la recherche minière et en minéralurgie.
  • Parmi les universités ontariennes, elle affiche le meilleur taux d’emploi et occupe la deuxième place pour ce qui est du revenu moyen, après l’obtention d’un diplôme dans les deux cas. Elle vient aussi en deuxième place concernant la plus grande proportion d’étudiants francophones et autochtones.

Reconduction de Mme Sheila Cote-Meek

Reconduction de Mme Sheila Cote-Meek

Le mandat de la vice-rectrice associée à l’enseignement et aux programmes autochtones est renouvelé

Le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne a approuvé à l’unanimité la recommandation du Comité d’évaluation et de sélection des administratrices et administrateurs universitaires supérieurs de reconduire Mme Sheila Cote-Meek, Ph.D., dans ses fonctions de vice-rectrice associée à l’enseignement et aux programmes autochtones.

Exerçant ces fonctions depuis 2010, Mme Cote-Meek a dirigé des initiatives autochtones stratégiques à ce titre, y compris la mise sur pied du Centre autochtone de partage et d’apprentissage parachevé récemment, l’élaboration de programmes autochtones, la surveillance des services de soutien pour les membres autochtones de la population étudiante et une contribution au rehaussement de la capacité d’enseignement et de recherche autochtones. Elle a renforcé les relations entre les collectivités autochtones et allochtones et comblé l’écart entre le milieu universitaire et le soutien aux étudiants. Grâce à ses travaux, les gens sont plus conscientisés et portent une plus grande attention aux Autochtones et aux besoins particuliers des apprenants autochtones.

« Sheila est la force motrice de l’engagement de la Laurentienne envers l’enseignement et la recherche autochtones, a affirmé le vice-recteur aux études, M. Pierre Zundel, Ph.D. Nous avons franchi beaucoup d’étapes importantes grâce à sa vision, à son dévouement et à son leadership. Nous sommes très fiers de voir renouveler son mandat pour une période de cinq ans et de continuer à suivre ses efforts à promouvoir les intérêts des étudiants et collectivités autochtones, et de l’Université dans son ensemble. »

Actuellement professeure titulaire à l’École de la santé dans les milieux ruraux et du Nord, Mme Cote-Meek était précédemment membre du corps professoral de l’École des relations autochtones depuis 1994. Elle a publié un livre, 20 articles à comité de lecture et 21 rapports et manuels, a prononcé de nombreuses communications, y compris à titre de conférencière principale, et a joué un rôle dans le cadre de subventions de recherche totalisant quelque 3 500 000 $. Elle a siégé à des comités d’examen des subventions du Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH) et a participé aux procédés d’examen des subventions des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC).

« La Laurentienne est un chef de file en enseignement autochtone au Canada, a dit Mme Cote-Meek, et je me réjouis à la persoective de poursuivre les travaux qui s’imposent alors que nous nous consacrons à notre rôle dans le cadre du processus de réconciliation, dont une partie importante est l’inclusion de perspectives autochtones du monde en recherche et apprentissage. Je suis fière des travaux que nous avons accomplis et m’enorgueillis d’appartenir à un établissement qui se voue tellement à l’amélioration de la vie de nos communautés. »

Parmi les points saillants du dossier de la vice-rectrice à l’enseignement et aux programmes autochtones, il faut souligner :

  • diriger la mise sur pied des plans d’action 2013-2018 et 2009-2012 du Conseil de l’Université Laurentienne pour la formation des Autochtones;
  • plaidoyer avec succès pour l’embauche de membres autochtones du corps professoral dans les facultés des arts et des sciences de la santé;
  • mener la mise en œuvre du Centre autochtone de partage et d’apprentissage (CAPA), processus qui comprenait la participation des Autochtones, l’élaboration d’un plan conceptuel et la mobilisation de fonds;
  • appuyer et encadrer avec succès l’exposition sur les pensionnats de la Fondation autochtone de l’espoir, les activités de vérité et de réconciliation et la mise sur pied du nouveau programme de maîtrise en relations autochtones, premier en son genre au Canada, ainsi que de l’Institut de recherche Mammwizing, approuvé par le Sénat à l’automne 2016;
  • coprésider la première conférence « L’université à l’heure de la réconciliation » (18-20 novembre 2016) et la préconférence pour les Autochtones et Francophones (17 novembre 2016), qui ont attiré quelque 300 délégués de l’Amérique du Nord et de l’étranger;
  • assurer la viabilité du financement du MESFP appuyant la réussite des membres autochtones de la population étudiante;
  • coprésider, de 2011 à 2014, le groupe provincial de référence autochtone du Conseil des universités de l’Ontario pour lequel elle continue de siéger à de nombreux sous-comités qui avancent l’enseignement autochtone dans le secteur postsecondaire;
  • participer au congrès national Carrefour 2017, organisé par Universités Canada.

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années. 

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