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M. Aaron Langille est lauréat du Prix d’excellence en enseignement de l’Université Laurentienne pour 2016-2017

M. Aaron Langille est lauréat du Prix d’excellence en enseignement de l’Université Laurentienne pour 2016-2017

Les étudiants et collègues lui rendent hommage en mettant en valeur son enthousiasme, son esprit innovateur et son engagement envers l’enseignement

L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer que le Prix d’excellence en enseignement 2016-2017 a été conféré à M. Aaron Langille, Ph.D., pour souligner ses travaux tant à l’intérieur qu’à l’extérieur des salles de classe du Département de mathématiques et d’informatique.

« J’éprouve un sentiment d’humilité et de fierté, a dit M. Langille. Nous, les enseignants, essayons chaque jour de transmettre à nos étudiants une expérience enrichissante en salle de classe et de les préparer à la prochaine étape. Je suis ému de voir reconnaître ce travail tant par mes étudiants que par mes collègues et je ne l’oublierai pas de sitôt. »

Diplômé du programme de mathématiques et d’informatique de l’Université Laurentienne (1998), M. Langille a travaillé dans l’industrie de l’ordinatique avant de revenir à l’UL en 2002 à titre de technologue au département. Depuis juillet 2011, il est maître de conférences au Département de mathématiques et d’informatique, où il a donné des cours de 2005 à 2011.

M. Langille a reçu des louanges pour ses techniques en salle de cours qu’il injecte d’humour, d’analogies et de ses expériences et expertise professionnelles afin d’animer la matière pour ses étudiants. En outre, il faut souligner sa propre technique de « ludification » qui comporte des objectifs, des incitatifs et des motivateurs pour les étudiants qui réalisent les travaux de cours.

« J’ai récemment lu une citation qui disait que, pour bien enseigner, il faut être à la fois humoriste, vendeur, expert et conseiller, a ajouté M. Langille, et cela résume assez bien ma philosophie. Porter tous ces chapeaux aide à combler l’écart entre l’enseignant et l’étudiant et favorise la réussite. »

Le prix annuel est remis à un membre du corps professoral à plein temps pour souligner le rendement exceptionnel en enseignement. Toutes les candidatures doivent être appuyées par des étudiants, des pairs, des diplômés et d’autres membres de la communauté universitaire.

L’engagement de M. Langille envers ses étudiants ne se limite pas à la salle de classe. En 2015, il a assumé le rôle de conseiller universitaire pour les programmes d’informatique et, à ce titre, collabore étroitement avec les services de counseling et de liaison et le Centre d’excellence universitaire de l’UL. Il soutient que les étudiants devraient toujours avoir quelqu’un avec qui parler des questions touchant la vie à l’extérieur de l’Université qui pourraient avoir une incidence sur leur rendement aux études.

« Je tiens à féliciter M. Aaron Langille à qui le Prix d’excellence en enseignement a été conféré cette année, a souligné le vice-recteur aux études, M. Pierre Zundel. L’excellence dont il fait preuve en élaboration de cours et enseignement est un grand atout pour notre collectivité et le nombre stupéfiant de lettres et messages reçus d’étudiants et de collègues à l’appui de sa candidature illustre bien les répercussions positives qu’il a eues et continuera d’avoir sur la vie de bien des gens. »

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années. 

Nomination de Dominic Giroux au poste de PDG d’Horizon Santé-Nord et de l’IRHSN

Nomination de Dominic Giroux au poste de PDG d’Horizon Santé-Nord et de l’IRHSN

Aujourd’hui, les conseils d’administration d’Horizon Santé-Nord (HSN) et de l’Institut de recherches d’Horizon Santé-Nord (IRHSN) ont annoncé que le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, Dominic Giroux, sera le prochain président-directeur général d’HSN et de l’IRHSN. Il entrera en fonction le 2 octobre 2017.    

Situé au Grand Sudbury, HSN est l’un des plus grands centres universitaires des sciences de la santé de l’Ontario et fait partie des 40 meilleurs hôpitaux de recherche du Canada. Son budget s’élève à 450 millions de dollars, tandis que plus de 4 200 employés et médecins y travaillent. Il est affilié à l’Université Laurentienne (UL) et à l’École de médecine du Nord de l’Ontario (EMNO).

M. Giroux a été choisi à l’unanimité par le Comité de sélection d’HSN et de l’IRHSN.

« Aujourd’hui, c’est le début d’un nouvel itinéraire enthousiasmant pour HSN et l’IRHSN, a dit la présidente des conseils d’administration d’HSN et de l’IRHSN, Nicole Everest. Le Grand Sudbury se positionnant en tant que carrefour d’excellence dans le domaine de la santé, nous cherchions un PDG qui a fait ses preuves en obtenant des résultats et qui possède de l’expérience en milieu universitaire afin de faire progresser nos missions d’enseignement et de recherche. Nous croyons que nous l’avons trouvé chez Dominic, et bien davantage; nous sommes enchantés de la possibilité de faire passer HSN, l’IRHSN et le Nord de l’Ontario au prochain niveau. »    

M. Giroux est l’un des 4 membres de la Commission de réforme des services publics de l’Ontario qui, en 2012, a formulé plus de 100 recommandations sur la santé. Il a été président du Conseil de l’EMNO et coprésident du Consortium national de formation en santé (CNFS).

C’est le 18 août que Dominic Giroux sera en fonction pour la dernière fois dans le Bureau du recteur de l’UL. Le Conseil des gouverneurs de l’établissement a approuvé la nomination du vice-recteur aux études, Pierre Zundel, au poste de recteur et vice-chancelier intérimaire du 21 août 2017 au 30 juin 2019. La recherche de candidatures au poste de recteur ne débutera pas avant l’été 2018. On prévoit que le prochain recteur et vice-chancelier sera nommé en décembre 2018.  

« Je suis enchanté que Dominic et sa femme Barbara aient choisi de demeurer au Grand Sudbury, a mentionné la présidente du Conseil des gouverneurs de l’UL, Jennifer Witty. Ils sont tous deux des membres importants de notre communauté. Dominic fera un travail exceptionnel en dirigeant HSN et l’IRHSN, comme il l’a fait aux commandes de la Laurentienne. Ces établissements sont des piliers qui ont un impact immense pour le Nord de l’Ontario dans son ensemble. »   

Sous la direction de son recteur, depuis avril 2009, la Laurentienne a amorcé la construction de 5 édifices et procédé à des rénovations majeures totalisant 206 millions de dollars, elle a obtenu 80 millions de dollars de dons du secteur privé et des investissements dans l’infrastructure de 64 millions de la part des gouvernements. Les inscriptions y sont à des niveaux records, tandis que la moyenne à l’admission a augmenté. Le financement de recherche des trois Conseils a plus que doublé, de même que le nombre de membres autochtones du corps professoral. La Laurentienne se classe maintenant parmi les 10 meilleures universités au Canada offrant principalement des programmes de premier cycle, au sein du classement du magazine Maclean’s.

Sur son mandat à la Laurentienne en tant que dixième recteur de l’établissement et celui ayant occupé la fonction le plus longtemps, Dominic Giroux a dit : « J’aime la Laurentienne et elle me passionnera toujours. Il y a tant de choses dont nous pouvons être fiers et suscitant l’enthousiasme pour l’avenir de cet établissement qui a une équipe exceptionnelle en place. J’ai eu le privilège de diriger notre communauté universitaire et de travailler avec des collègues, des étudiants, des membres du conseil d’administration, des anciens, des donateurs et des partenaires exceptionnels et engagés. »

Pour ce qui est de son nouveau poste à HSN et à l’IRHSN, il ajoute : « C’est ma décision la plus difficile, soit quitter une organisation que j’aime pour me joindre à deux autres que j’aimerai aussi. Au bout du compte, la possibilité offerte à ma famille de rester au Grand Sudbury, de servir notre collectivité, de relever de nouveaux défis stimulants à la tête de deux excellents organismes ayant déjà deux équipes de grande qualité en place, durant une période de transformation pour les soins de santé, c’était une merveilleuse occasion à ne pas manquer. »

Le Dr Chris Bourdon, médecin-chef et vice-président aux affaires médicales et universitaires d’HSN, a siégé au Comité de sélection. Selon lui, cette nomination est une excellente nouvelle pour les employés et les médecins d’HSN et de l’IRHSN, et surtout, pour les gens qu’ils servent. « Dominic a la capacité exceptionnelle de rassembler les gens autour d’un objectif commun en exposant clairement une stratégie tout en s’en faisant le champion, dit-il. Il sait comment développer des relations solides avec les partenaires externes. Ces aptitudes seront décisives pendant que notre système de soins de santé passe par des changements transformationnels. Je suis impatient de travailler avec lui. »

Dans le cadre de l’annonce d’aujourd’hui, Nicole Everest a souligné la contribution du Dr Denis Roy qui, l’automne dernier, a annoncé son intention de prendre sa retraite. « À bien des égards, nous considérons le Dr Roy comme le fondateur d’HSN et de l’IRHSN. Il a contribué à la création d’un centre universitaire des sciences de la santé reconnu à l’échelle mondiale. Il a insufflé une culture de l’innovation, de l’apprentissage et des soins centrés sur les patients sur laquelle nous miserons. » Le Dr Roy quittera ses fonctions à HSN et à l’IRHSN à la fin juin. 

Le vice-président principal et chef des opérations, Joe Pilon, sera le PDG intérimaire d’HSN pendant 3 mois, à partir du 1er juillet. Le même poste à l’IRHSN sera également occupé de façon intérimaire durant la même période par sa vice-présidente à la recherche et directrice scientifique, la Dre Janet McElhaney.

« Je suis ravi de commencer à rencontrer les personnes de talent qui font d’HSN et de l’IRHSN des organisations d’excellence. Ce sont des experts de la santé. J’ai hâte de travailler avec eux, de même qu’avec le Réseau local d’intégration des services de santé du Nord-Est (RLISS du Nord-Est) et les partenaires de la santé pour faire progresser les soins aux patients, enseigner aux futurs professionnels de la santé et améliorer la recherche en santé », a conclu Dominic Giroux.

Personnes-ressources pour les médias :

Joanne Musico, Directrice, Communications, Université Laurentienne
(705) 675-1151, poste 3445
jmusico@laurentian.ca

Dan Lessard, Agent des relations publiques et médiatiques, Horizon Santé Nord
(705) 523-7118, poste 4
dlessard@hsnsudbury.ca
 

Horizon Santé-Nord améliore la santé des gens du Nord en collaborant avec ses partenaires pour faire progresser des soins de qualité, l’enseignement et l’apprentissage, la recherche et la promotion de la santé. L’établissement remercie la communauté de son appui soutenu par l’entremise de la Fondation Horizon Santé-Nord, de la Fondation du Nord en cancérologie, de la Fondation Enfants NEO et de l’Association des bénévoles d’HSN.

L’Institut de recherches d’Horizon Santé-Nord (IRHSN) met l’accent sur l’atteinte de solutions durables aux défis de santé auxquels les collectivités autochtones et du Nord de l’Ontario doivent faire face. Ses domaines de recherche prioritaires (les infections et l’immunité, les solutions au cancer, la médecine personnalisée et le vieillissement en santé) s’articulent autour de la santé de la population afin qu’il y ait une équité en matière de santé pour les collectivités autochtones et du Nord de l’Ontario.

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et à 19 centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines de recherche spécialisés, notamment l’innovation et l’exploration minières, les bassins hydrographiques perturbés, l’astrophysique des particules ainsi que la santé infantile dans les régions rurales et du Nord. L’établissement a obtenu plus de 100 000 000 $ en fonds de recherche au cours des 5 dernières années.

 

Dominic Giroux en bref

Dominic Giroux​Dominic Giroux compte 19 ans d’expérience à titre de cadre supérieur au sein de deux conseils scolaires de l’Ontario ainsi qu’à titre de sous-ministre adjoint dans deux ministères, de recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne. En 2011, il a reçu un prix « 40 plus performants âgés de moins de 40 ans ».

M. Giroux est titulaire d’un baccalauréat en sciences sociales (politiques publiques, gestion et science politique) et d’un baccalauréat en éducation de l’Université d’Ottawa ainsi que d’une maîtrise en administration des affaires de l’École des hautes études commerciales (HEC), à Montréal. Il est membre en règle de l’Ordre des enseignantes et des enseignants de l’Ontario. 

M. Giroux est l’un des 4 membres de la Commission de réforme des services publics de l’Ontario qui, en 2012, a formulé plus de 100 recommandations sur la santé. Il a été président du Conseil de l’EMNO et coprésident du Consortium national de formation en santé (CNFS).

M. Giroux est actuellement vice-président d’Universités Canada. Ses pairs de 97 universités canadiennes l’ont élu au poste de président de l’organisme pour un mandat s’échelonnant d’octobre 2017 à octobre 2019. En outre, il siège au Comité de direction du Conseil des universités de l’Ontario, au Comité consultatif économique de l’Ontario, au Conseil consultatif du Mowat Centre et des conseils d’administration des Canadian Accredited Independent Schools et de la Banque d’aliments Sudbury Food Bank. 

Il a aussi été coconseiller spécial pour la création de l’Institut des politiques du Nord et il a été nommé au Conseil consultatif de développement du Cercle de feu de la province, au Groupe consultatif sur le service à la clientèle d’Hydro One, au Conseil consultatif sur l’enseignement supérieur du Globe and Mail et à celui la Banque du Canada.  

M. Giroux a été coprésident du Conseil ontarien pour l’articulation et le transfert, président du Centre d’excellence en innovation minière (CEIM) et du Conseil des écoles catholiques de langue française de la région d’Ottawa-Carleton. Il a également été vice-président de l’Association des universités de la francophonie canadienne (AUFC) et de l’Association canadienne-française de l’Ontario d’Ottawa. En outre, il a siégé au Conseil de la Société de développement du Grand Sudbury (SDGS), de l’Association canadienne d’éducation (ACE), de l’Office de la qualité et de la responsabilité en éducation (OQRE) et de l’Hôpital Montfort.   

En 2007, l’Université d’Ottawa lui a décerné le Prix de leadership en éducation et, en 2008, HEC Montréal lui a remis un prix de jeunes gestionnaires dans la catégorie Grande entreprise. En 2010, il a été nommé Personnalité de l’année LeDroit/Radio-Canada. Il a reçu la Médaille du jubilé de diamant de la reine Elizabeth II, le Prix Paul-Harris du Club Rotary de Sudbury, un prix d’excellence dans la catégorie Community Builders Award of Excellence (prix d’excellence des bâtisseurs communautaires) à Sudbury et le Prix du Pilier de la francophonie 2016 de l’Assemblée de la francophonie de l’Ontario. Le gouvernement français l’a fait Chevalier de l’Ordre des Palmes académiques de la République française en raison de sa contribution à l’influence de la langue française au Canada.   

Horizon Santé-Nord (HSN) et l’Institut de recherches d’Horizon Santé-Nord (IRHSN) en bref 

  • Avec un budget de 450 millions de dollars, 3 900 employés, 280 médecins et 600 bénévoles, affilié à l’UL et à l’EMNO, HSN est l’un des plus grands centres universitaires des sciences de la santé de l’Ontario et fait partie des 40 meilleurs hôpitaux de recherche du Canada.
  • Ses 458 lits en font le plus grand hôpital du Nord de l’Ontario.
  • Régi par son propre conseil d’administration, l’IRHSN est l’institut de recherches affilié à HSN. Il vise à fournir des solutions durables aux défis de santé auxquels les gens et les collectivités du Nord-Est de l’Ontario doivent faire face.
  • L’IRHSN est l’un des 40 meilleurs hôpitaux de recherche du Canada. Il a généré 21 millions de dollars en financement de recherche, créé 75 emplois équivalents à plein temps et recueilli 15 millions de dollars en financement pour l’installation de recherche Walford.
  • L’IRHSN s’est avéré une destination invitante pour mener des recherches innovatrices puisqu’on y a attiré des professionnels de renommée mondiale afin d’y diriger des chaires de recherche sur le vieillissement en santé, la médecine personnalisée, les solutions au cancer ainsi que sur la santé des gens du Nord et des Autochtones, soit des programmes de recherche de pointe adaptés aux priorités de la région en matière de santé, s’articulant autour de la santé de la population afin qu’il y ait une équité en matière de santé pour les collectivités autochtones et du Nord de l’Ontario.

Feuille de renseignements : l’Université Laurentienne en bref 

  • L’Université Laurentienne a pour objectif d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français, y compris une approche globale de l’éducation des Autochtones, qui prépare les étudiants à devenir des agents de changement en les incitant à poser de nouvelles questions, à ébranler nos connaissances, et leur donnant également les moyens de trouver des solutions innovatrices aux futurs problèmes locaux et mondiaux.  
  • C’est le 18 août 2017 que Dominic Giroux sera en fonction pour la dernière fois dans le Bureau du recteur de l’UL.
  • Le Conseil des gouverneurs de l’établissement a approuvé la nomination du vice-recteur aux études, Pierre Zundel, au poste de recteur et vice-chancelier intérimaire du 21 août 2017 au 30 juin 2019.
  • La recherche de candidats au poste de recteur ne débutera pas avant l’été 2018. On prévoit que le prochain recteur et vice-chancelier sera nommé en décembre 2018.
  • Sous la direction de son recteur, depuis avril 2009, la Laurentienne a terminé ou amorcé la construction de cinq édifices et procédé à des rénovations majeures totalisant 206 millions de dollars, elle a obtenu 80 millions de dollars de dons du secteur privé et des investissements dans l’infrastructure de 64 millions de la part des gouvernements fédéral et provincial. Malgré le déclin démographique, le nombre d’inscriptions à la Laurentienne a augmenté de 1 000 étudiants, soit un record supérieur à 9 600, tandis que la moyenne à l’admission passait de 79,2 % à 82,4 %. Le nombre d’étudiants étrangers y a doublé, celui des inscriptions aux programmes en français à l’extérieur de la Faculté d’éducation a augmenté de 25 % et celui des inscriptions aux études supérieures s’est accru de 24 %. Le financement de recherche des trois Conseils a plus que doublé, de même que le nombre de membres autochtones du corps professoral. La Laurentienne se classe maintenant parmi les 10 meilleures universités au Canada offrant principalement des programmes de premier cycle, au sein du classement du magazine Maclean’s, soit une hausse par rapport à la 18e place que l’établissement occupait en 2009. Enfin, il est en voie d’atteindre l’équilibre budgétaire annuel pour une septième année consécutive. 
  • Les membres de la toute première promotion de l’École d’architecture McEwen recevront leur diplôme en juin. Les travaux de modernisation de 2014 à 2017 seront terminés d’ici quelques semaines et l’embauche des membres du corps professoral du projet Métaux terrestres de 104 millions de dollars tire à sa fin. Il s’agit d’un projet de l’École des sciences de la terre Harquail, primée, dans le cadre du Fonds d’excellence en recherche Apogée Canada (FERAC). L’avenir de la Laurentienne est prometteur, l’établissement terminant l’élaboration de son plan stratégique 2018-2023, la construction de l’Édifice de recherche, d’innovation et de génie Cliff Fielding, en 2018, et celle du Centre étudiant de l’Association générale des étudiants (AGE) en 2019.
  • Le budget de l’UL s’élève à 170 millions de dollars. L’établissement compte 2 000 employés, y compris 385 membres du corps professoral à temps plein et 403 employés à temps plein, au service de 9 600 étudiantes et étudiants.
  • La Laurentienne se classe au premier rang au Canada pour ce qui est du financement national accordé dans le domaine de la géologie économique. Elle est en première place des universités ontariennes et fait partie des cinq premières universités au Canada concernant le financement de la recherche minière et en minéralurgie.
  • Parmi les universités ontariennes, elle affiche le meilleur taux d’emploi et occupe la deuxième place pour ce qui est du revenu moyen, après l’obtention d’un diplôme dans les deux cas. Elle vient aussi en deuxième place concernant la plus grande proportion d’étudiants francophones et autochtones.

Reconduction de Mme Sheila Cote-Meek

Reconduction de Mme Sheila Cote-Meek

Le mandat de la vice-rectrice associée à l’enseignement et aux programmes autochtones est renouvelé

Le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne a approuvé à l’unanimité la recommandation du Comité d’évaluation et de sélection des administratrices et administrateurs universitaires supérieurs de reconduire Mme Sheila Cote-Meek, Ph.D., dans ses fonctions de vice-rectrice associée à l’enseignement et aux programmes autochtones.

Exerçant ces fonctions depuis 2010, Mme Cote-Meek a dirigé des initiatives autochtones stratégiques à ce titre, y compris la mise sur pied du Centre autochtone de partage et d’apprentissage parachevé récemment, l’élaboration de programmes autochtones, la surveillance des services de soutien pour les membres autochtones de la population étudiante et une contribution au rehaussement de la capacité d’enseignement et de recherche autochtones. Elle a renforcé les relations entre les collectivités autochtones et allochtones et comblé l’écart entre le milieu universitaire et le soutien aux étudiants. Grâce à ses travaux, les gens sont plus conscientisés et portent une plus grande attention aux Autochtones et aux besoins particuliers des apprenants autochtones.

« Sheila est la force motrice de l’engagement de la Laurentienne envers l’enseignement et la recherche autochtones, a affirmé le vice-recteur aux études, M. Pierre Zundel, Ph.D. Nous avons franchi beaucoup d’étapes importantes grâce à sa vision, à son dévouement et à son leadership. Nous sommes très fiers de voir renouveler son mandat pour une période de cinq ans et de continuer à suivre ses efforts à promouvoir les intérêts des étudiants et collectivités autochtones, et de l’Université dans son ensemble. »

Actuellement professeure titulaire à l’École de la santé dans les milieux ruraux et du Nord, Mme Cote-Meek était précédemment membre du corps professoral de l’École des relations autochtones depuis 1994. Elle a publié un livre, 20 articles à comité de lecture et 21 rapports et manuels, a prononcé de nombreuses communications, y compris à titre de conférencière principale, et a joué un rôle dans le cadre de subventions de recherche totalisant quelque 3 500 000 $. Elle a siégé à des comités d’examen des subventions du Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH) et a participé aux procédés d’examen des subventions des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC).

« La Laurentienne est un chef de file en enseignement autochtone au Canada, a dit Mme Cote-Meek, et je me réjouis à la persoective de poursuivre les travaux qui s’imposent alors que nous nous consacrons à notre rôle dans le cadre du processus de réconciliation, dont une partie importante est l’inclusion de perspectives autochtones du monde en recherche et apprentissage. Je suis fière des travaux que nous avons accomplis et m’enorgueillis d’appartenir à un établissement qui se voue tellement à l’amélioration de la vie de nos communautés. »

Parmi les points saillants du dossier de la vice-rectrice à l’enseignement et aux programmes autochtones, il faut souligner :

  • diriger la mise sur pied des plans d’action 2013-2018 et 2009-2012 du Conseil de l’Université Laurentienne pour la formation des Autochtones;
  • plaidoyer avec succès pour l’embauche de membres autochtones du corps professoral dans les facultés des arts et des sciences de la santé;
  • mener la mise en œuvre du Centre autochtone de partage et d’apprentissage (CAPA), processus qui comprenait la participation des Autochtones, l’élaboration d’un plan conceptuel et la mobilisation de fonds;
  • appuyer et encadrer avec succès l’exposition sur les pensionnats de la Fondation autochtone de l’espoir, les activités de vérité et de réconciliation et la mise sur pied du nouveau programme de maîtrise en relations autochtones, premier en son genre au Canada, ainsi que de l’Institut de recherche Mammwizing, approuvé par le Sénat à l’automne 2016;
  • coprésider la première conférence « L’université à l’heure de la réconciliation » (18-20 novembre 2016) et la préconférence pour les Autochtones et Francophones (17 novembre 2016), qui ont attiré quelque 300 délégués de l’Amérique du Nord et de l’étranger;
  • assurer la viabilité du financement du MESFP appuyant la réussite des membres autochtones de la population étudiante;
  • coprésider, de 2011 à 2014, le groupe provincial de référence autochtone du Conseil des universités de l’Ontario pour lequel elle continue de siéger à de nombreux sous-comités qui avancent l’enseignement autochtone dans le secteur postsecondaire;
  • participer au congrès national Carrefour 2017, organisé par Universités Canada.

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années. 

L'Université Laurentienne nomme deux personnes a la direction de l’Institut de recherche autochtone Maamwizing

L'Université Laurentienne nomme deux personnes a la direction de l’Institut de recherche autochtone Maamwizing

Mme Celeste Pedri-Spade et M. David Fortin marieront l’excellence universitaire aux philosophies autochtones de la vie

​L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer les deux premières nominations à l’Institut de recherche autochtone Maamwizing, à savoir Mme Celeste Pedri-Spade, Ph.D., à titre de directrice, et M. David Fortin, Ph.D., en tant que directeur adjoint.

Créé en 2016, l’Institut de recherche autochtone Maamwizing (Maamwizing) rassemble les chercheurs qui alimentent les visions autochtones du monde et favorisent une approche de décolonisation dans leurs recherches tout en priorisant les besoins et voix des personnes et collectivités autochtones.

« Mme Pedri-Space et M. Fortin, a dit la vice-rectrice associée à l’enseignement et aux programmes autochtones, Mme Sheila Cote-Meek, possèdent tous les deux le leadership et les acquis qu’il faut pour assurer le succès et la prospérité de Maamwizing en concrétisant son mandat de favoriser les perspectives autochtones en recherche et d’harmoniser les initiatives de recherche autochtones avec les besoins des collectivités. »

« C’est une joie et un honneur d’assurer ce rôle important, a affirmé la nouvelle directrice de Maamwizing, Mme Pedri-Spade. Dans la langue anishinaabe, maamwizing signifie un rassemblement de personnes, ce qui est notable, car notre langue ouvre des perspectives et aide à orienter nos actions. Ainsi, Maamwizing nous enseigne que la recherche autochtone est axée sur un ralliement de personnes à bon escient pour favoriser le bien-être des collectivités autochtones. »

Anishinabekwe du nord-ouest de l’Ontario (Première Nation de Lac des Mille Lacs), Mme Celeste Pedri-Space est membre du clan de l’ours et épouse l’ensemble des rôles et responsabilités de mère de famille, d’éducatrice et d’artiste-chercheuse pluridisciplinaire. Ses recherches et œuvres d’art sont enracinées dans les relations qu’elle cultive avec la famille, la communauté et la terre. Professeure adjointe à l’École d’études du nord et des communautés, elle est une artiste active qui continue d’exposer ses œuvres dans les galeries de la région, au Canada et aux États-Unis.

Le nouveau directeur adjoint de Maamwizing est M. David Fortin, architecte métis et professeur adjoint à l’École d’architecture McEwen. Dans ses recherches actuelles, il s’intéresse aux contributions des Prairies à la pensée architecturale au Canada. Il est membre du comité de réflexion autochtone formé récemment par l’Institut royal d’architecture du Canada pour favoriser et promouvoir la conception autochtone.

« Je me réjouis à la perspective de collaborer avec nos chercheurs et partenaires pour promouvoir les recherches autochtones tout en ouvrant d’autres domaines d’expertise pour nos communautés, a indiqué M. Fortin. Grâce à Maamwizing, la Laurentienne continue de joue un rôle décisif dans les études autochtones et je suis heureux de faire partie de cette initiative emballante. »

L’Institut de recherche autochtone Maamwizing a adopté un mandat élargi qui comprend la création d’un milieu universitaire favorisant l’excellence en recherche, une contribution à la formation d’étudiants aux cycles supérieurs et le développement de nouvelles expertises ainsi que de recherches plus fécondes.

« Lors de l’annonce de la création de l’Institut de recherche autochtone Maamwizing, j’ai dit qu’il jouerait un rôle non négligeable dans le cadre de notre engagement envers l’amélioration de la capacité et des activités de recherche autochtone, a dit le vice-recteur à la recherche à la Laurentienne, M. Rui Wang, Ph.D. Les nominations de Mme Pedri-Spade et de M. Fortin me persuadent d’autant plus que Maamwizing concrétisera non seulement sa mission, mais remplira aussi un rôle déterminant pour nos chercheurs, notre université et surtout notre communauté. »

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années.

La Laurentienne et le Collège Cambrian se donnent la main pour stimuler la recherche et l’innovation dans le nord de l’Ontario

La Laurentienne et le Collège Cambrian se donnent la main pour stimuler la recherche et l’innovation dans le nord de l’Ontario

​L’Université Laurentienne et le Collège Cambrian ont formalisé un protocole d’entente pour se faciliter les partenariats et permettre aux deux établissements, par le truchement des membres du corps professoral, de la population étudiante et du personnel, de poursuivre des projets de recherche de grande envergure – en mettant en commun l’expertise, les installations, l’équipement et les services administratifs – afin de stimuler l’innovation, la productivité et les résultats.

L’objectif de cette collaboration, qui verra mobiliser les ressources et l’expertise des deux établissements, consistera à :

  • enrichir l’expérience éducative des étudiants chercheurs;
  • attirer des professionnels de haute qualité et à développer leurs capacités;
  • augmenter la capacité de recherche fondamentale et appliquée de même que le revenu qu’elle génère;
  • renforcer la culture d’innovation de Sudbury par la collaboration entre les établissements d’enseignement postsecondaire.

 

Le protocole d’entente établit les lignes directrices permettant d’établir de nouveaux partenariats de recherche.

Lors d’une conférence de presse le 8 mars 2017, le recteur de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux, le vice-recteur à la recherche, Dr Rui Wang, le président du Collège Cambrian, M. Bill Best, et la vice-présidente aux activités internationales, à la recherche appliquée et au développement des affaires, Mme Sonia Del Missier, ainsi que des invités et des représentants des médias, ont pu voir de près une initiative déjà en cours et découlant du protocole d’entente.

Le projet de collaboration, mené par Dean Millar (Ph.D.), professeur de l’énergie dans le secteur minier à l’École de génie Bharti de la Laurentienne et directeur de l’énergie à MIRARCO de la Laurentienne, le voit chercher à mettre au point un compresseur d’air hydraulique (HAC), un système unique, pour épurer et refroidir l’air dans les mines ultra-profondes où la température de l’air peut dépasser 40 degrés Celsius. Déjà, grâce à cette collaboration, des chercheurs de la Laurentienne travaillent avec des professeurs et des étudiants du Collège Cambrian pour mettre à l’essai le « BabyHAC », une unité pilote installée à Glencore Centre for Innovation, au Collège Cambrian. Entre-temps, la construction d’une unité à grande échelle, Dynamic Earth HAC, est en cours. Les professeurs et les étudiants travaillant aux ateliers de métallurgie du Collège Cambrian sont en train de fabriquer une composante clé de Dynamic Earth HAC, soit une tête-malaxeur air-eau, version adaptée au XX1e siècle, utilisé pour la dernière fois en 1967, dans l’écluse-ascenseur HAC de Peterborough, conçue par des étudiants aux cycles supérieurs de la Laurentienne travaillant à MIRARCO.

Cette collaboration entre la Laurentienne et le Collège Cambrian s’inscrit dans le cadre d’un vaste projet de recherche à long terme auquel participent de nombreux partenaires, dont l’industrie et le gouvernement, financé par l’Ultra Deep Mine Network, la Société indépendante d’exploitation d’électricité, la Société de gestion du Fonds du patrimoine du Nord de l’Ontario et Electrale Innovation Ltd.

 

Au sujet du Collège Cambrian

Plus grand collège du nord de l’Ontario, le Collège Cambrian dispense au-delà de 80 programmes à plein temps dans divers domaines d’études. Il offre des possibilités d’apprentissage pratique, des choix souples d’études et des centaines d’ententes permettant aux diplômés de continuer leurs études à l’université ou dans d’autres disciplines. Grâce à des programmes accrédités, des liens solides avec l’industrie et des services de soutien complets, les étudiants sont bien préparés à des carrières dynamiques. Les employeurs de diplômés collégiaux classent ceux du Cambrian parmi les meilleurs en Ontario et 85 % de ceux-ci trouvent des emplois dans leur domaine dans les six mois suivant l’obtention du diplôme. Pour voir tout ce qu’offre le Collège Cambrian, consultez www.cambriancollege.ca.

Recherche appliquée au Collège Cambrian

Le Collège Cambrian est un pôle d’activités de recherche appliquée dans le nord de l’Ontario employant 48 chercheurs étudiants en 2014-2015. Le Collège Cambrian se classe troisième au Canada parmi les collèges de taille moyenne, en raison du nombre d’étudiants voués à la recherche, et sixième dans l’ensemble. Il est le seul collège du nord de l’Ontario à figurer parmi les 50 meilleurs collèges de recherche du Canada, comme l’a déterminé Research Infosource. Les activités de recherche du Collège Cambrien sont concentrées dans son domaine de recherche appliquée, Cambrian Innovates.

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Les étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention de leur diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-neuf centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années.

Le premier Défi d’or Goodman connaît un franc succès

Le premier Défi d’or Goodman connaît un franc succès

Le concours d’investissement minier attire des équipes de l’Ontario, du Québec et du Kentucky

L’édition inaugurale du Défi d’or Goodman, qui a eu lieu du 22 au 25 février, a enregistré un immense succès. Six équipes d’étudiants du premier cycle ont participé au concours, à savoir deux équipes de l’Université Laurentienne de l’École de génie Bharti et de la Faculté de gestion, ainsi que des équipes de l’Université Bishop de Sherbrooke, au Québec, de l’Institut universitaire de technologie de l’Ontario, à Oshawa, de l’Université Ryerson, à Toronto, et de l’Université du Kentucky, à Lexington (Kentucky).

Dans ce concours d’investissement minier, les équipes devaient analyser le potentiel d’investissement de trois sociétés d’exploitation aurifère inscrites à la TSX ou TSX-V et recommander une seule entreprise à conserver au portefeuille. Les trois sociétés à l’étude étaient Detour Gold Corporation, Dundee Precious Metals et Osisko Mining.

« Le concours a été conçu de façon à assurer aux participants une expérience réelle tout en mettant à l’épreuve les compétences acquises à l’université, a expliqué le directeur général fondateur de l’École des mines Goodman, M. Bruce Jago. Puisque nous sommes à proximité des mines, ils ont aussi eu l’occasion de visiter les mines Coleman et Copper Cliff de Vale et d’y voir de véritables activités minières. »

Dans l’espace de six semaines, les équipes ont analysé les sociétés et effectué des recherches. Le deuxième jour du concours, elles ont écouté les arguments de vente des cadres dirigeants de chacune des sociétés pour les convaincre du potentiel d’investissement et leur ont posé ensuite individuellement des questions. Les équipes ont présenté leur recommandation à un jury d’experts de l’industrie, à savoir des professionnels de Beacon Securities, de Franco Nevada, de Kinross Gold, du ministère du Développement du Nord et des Mines, d’Orix Geoscience et de RBC Marchés des capitaux.

Des étudiants en génie minier et administration des affaires de l’Université Laurentienne ont été déclarés gagnants pour leur recommandation de Detour Gold Corporation. Les membres de l’équipe sont Mitchell Menard, Ryan Hunter, Anthony Foreshew et Adam Tomlinson.

L’équipe gagnante a reçu des actions de Detour Gold Corporation, entreprise qu’elle a recommandée de conserver à titre d’investissement, valant le prix de quatre (4) onces d’or au 24 février 2017, soit 1 645 $ CAD. En outre, tous les membres des trois meilleures équipes ont reçu une pièce d’un quart d’once en or pour souligner le travail et l’analyse accomplis.

Le concours a bénéficié d’un soutien financier et non financier impressionnant d’organismes au plan local et provincial (Orix Geosciences, RBC Marchés des capitaux, Beacon Securities Ltd., Crosstown Chevrolet, PearTree Securities, Ordre des ingénieurs de l’Ontario – section de Sudbury, CEIM, Science Nord, Petryna Advertising, Millar Technology, Wabi, XPS, Wallbridge Mining), du ministère de Développement du Nord et des Mines, de la Ville du Grand Sudbury, de Jonathan Goodman et de l’École des mines Goodman.

Le comité organisateur du Défi d’or Goodman 2017, présidé par Jonathan Goodman, est déjà en plein redémarrage pour la deuxième édition du concours en 2018.

Les entreprises et organismes qui souhaitent apporter une participation au 2e Défi d’or Goodman en 2018 sont invités à s’inscrire à www.goodmangoldchallenge.com.

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années.

Une chercheuse de la Laurentienne reçoit 500 000 $ pour des recherches sur la démence chez les autochtones

Une chercheuse de la Laurentienne reçoit 500 000 $ pour des recherches sur la démence chez les autochtones

L’équipe de rêve sur la recherche autochtone à la Laurentienne fera progresser les études sur la santé cognitive des Autochtones

La titulaire de la Chaire de recherche sur la santé autochtone à l’Université Laurentienne, Mme Jennifer Walker, Ph.D., a reçu 500 000 $ des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) pour le projet intitulé « Validation of the Canadian Indigenous Cognitive Assessment Tool in three provinces », première étude canadienne à mettre au point un outil valide, fiable et culturellement adapté d’évaluation cognitive à utiliser tout particulièrement auprès des populations autochtones hétérogènes du Canada.

« Il s'agit d'une contribution considérable à la qualité des soins de santé de première ligne offerts aux populations autochtones vieillissantes qui posera des jalons solides pour continuer la surveillance des taux de démence, a dit Mme Walker. J'ai hâte de collaborer à cette importante initiative de recherche avec des communautés de l'Ontario, de l'Alberta et de Saskatchewan. »

Parmi les membres de l'équipe de recherche de la Dre Walker figurent M. Lynden Crowshoe de l'Université de Calgary et Mmes Carrie Bourassa (IRHSN) et Janet McElhaney (IRHSN).

Dans le cadre de la Stratégie de recherche en démence des IRSC du gouvernement fédéral, la somme de 500 000 $ a été accordée aussi au Dre Janet McElhaney, vice-présidente à la recherche et directrice scientifique à l’Institut de recherche d’Horizon Santé-Nord (IRHSN), et à des codemandeurs de l’Université Laurentienne. Le projet empruntera une approche communautaire afin de marier les pratiques autochtones aux technologies occidentales pour habiliter les prestataires de soins auprès des aînés autochtones atteints de démence. Parmi les membres de l’équipe de recherche de la Dre McElhaney figurent Mmes Jennifer Walker, Sheila Cote-Meek, Taima Moeke-Pickering et Kristen Jacklin, de l’EMNO.

« Ces deux projets mettent en évidence la position émergente du Grand Sudbury comme chef de file national en recherche sur la santé des Autochtones, a dit le Dr Rui Wang, vice-recteur à la recherche à l’Université Laurentienne. Les deux sont de puissants exemples de collaborations de recherche innovatrices et axées sur le patient parmi les chercheurs de l’Université Laurentienne, de l’École de médecine du Nord de l’Ontario et de l’Institut de recherche d’Horizon Santé-Nord. »

Ces subventions de recherche viennent s’ajouter à trois importants avancements en recherche autochtone à l’Université Laurentienne, à savoir la nomination de Mme Jennifer Walker à la Chaire de recherche du Canada en santé autochtone, la fondation de l’Institut de recherche autochtone Maamwizing et la création du Fonds pour l’avancement de la recherche autochtone qui accélérera la recherche dans ce domaine.

 

Renseignements clés

  • Les populations autochtones au Canada courent plus de risques de développer la démence.
  • Les organismes et communautés autochtones collaborent avec les chercheurs pour subvenir aux besoins en données sur la santé.
  • Les Autochtones enregistrent des taux de démences qui sont 34 % plus élevés que ceux des populations allochtones, et ceux-ci augmentent plus rapidement.
  • La prévention, le diagnostic précoce et les approches adaptées à la culture peuvent aider à améliorer la santé et la qualité de vie des Autochtones.
  • Deux subventions seulement ont été accordées dans le cadre de ce concours national, toutes les deux à des chercheurs à Sudbury.
  • L’Université Laurentienne compte actuellement 25 membres autochtones du corps professoral.

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années.

L’École de génie Bharti de la Laurentienne gagne la compétition mondiale de sauvetage minier

L’École de génie Bharti de la Laurentienne gagne la compétition mondiale de sauvetage minier

Les étudiants remportent deux catégories de sauvetage et le titre global

Des membres de la population étudiante de l’École de génie Bharti à l’Université Laurentienne ont gagné la compétition intercollégiale de sauvetage minier 2017 (Intercollegiate Mines Emergency Response Development [MERD]) tenue à Golden, au Colorado. L’équipe a triomphé dans les épreuves de premiers soins et sur le terrain et a remporté le titre global.

Le concours s’est déroulé sur deux jours avec des équipes de l’Université de Colombie-Britannique, l’Université Freiburg (Allemagne), Montana Tech, South Dakota School of Mines et Colorado School of Mines. La première compétition intercollégiale a eu lieu en 2011.

Pour ce concours, des catastrophes sont simulées dans une mine souterraine afin de permettre aux équipes de sauvetage minier d’obtenir une formation dans un milieu réaliste de recherche et de sauvetage en situation d’urgence. Il comprend une épreuve sur le terrain pendant laquelle les étudiants ont dû étouffer un véritable incendie sous terre, ainsi qu’une épreuve technique et une de premiers soins.

« Nous sommes très fiers de nos étudiants, de notre personnel et de notre corps professoral qui ont participé à cette compétition mondiale, a dit le directeur de l’École de génie Bharti, M. Markus Timusk, Ph.D. Leur travail ardu et leur dévouement se manifestent dans cette réalisation. Nous tenons à reconnaître nos partenaires de l’industrie et les commanditaires dont l’appui permet d’ouvrir des possibilités formidables aux étudiants de la Laurentienne. »

L’équipe lauréate de l’École de génie Bharti est composée de : Julien Lalande (capitaine de l’équipe), Alexander Dobrogost, Alexander Mulloy, Dalton Moncion, David Etheridge, Greg Moser, James Wilson, Gilles Paradis, Joseph Benoit et Zachary Werdekker. Le membre du personnel Ethan Armit a agi à titre de conseiller tandis que l’agent de sauvetage minier de l’Ontario, Tim Ebbinghaus, a assuré l’entraînement de l’équipe.

Parmi les commanditaires de l’Équipe de sauvetage minier de l’Université Laurentienne, il faut souligner : Goldcorp, Soucie Salo Safety, Draeger Safety, Institut canadien des mines, de la métallurgie et du pétrole, École des mines Goodman, McEwen Mining et Fonds de dotation de la famille Bharti.

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-neuf centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années. 

Congratulations, Félicitations, Felicitazioni

Congratulations, Félicitations, Felicitazioni

M. Patrick Anthony Cavaliere, Ph.D., de l’Université Laurentienne, est le fier lauréat du Prix d’universitaire distingué en résidence Collegio Matteo Ricci.

M. Patrick Cavaliere

L’Université Laurentienne est heureuse de féliciter M. Patrick Anthony Cavaliere qui a reçu le Prix d’universitaire distingué en résidence Collegio Matteo Ricci, de l’Université de Macerata, en Italie.

Le dossier professionnel de M. Cavaliere a été proposé par le recteur et président de l’Université de Macerata, le Pr Luigi Lacché, et a reçu une note parfaite de 100/100. 

Le Sénat et le Conseil des gouverneurs de l’Université de Macerata ont appuyé à l’unanimité la nomination.

L’Université de Macerata a évalué les candidatures selon les critères suivants :

  • Expériences professionnelles
  • Incidence de publications distinguées
  • Excellence en enseignement
  • Honneurs et prix précédents
  • Importance des initiatives actuelles de recherche  


Dans ses recherches, M. Cavaliere s’intéresse à l’histoire de l’Italie moderne, avec une spécialisation en fascisme, régimes totalitaires et théorie institutionnelle des organismes en Italie.

 

Prix d’universitaire distingué en résidence Collegio Matteo Ricci

Le Prix d’universitaire distingué en résidence Collegio Matteo Ricci encourage la mobilité internationale parmi les universitaires et a pour but de nouer ou de solidifier les réseaux de collaboration dans le monde. Le prix comprend :

  • somme d’argent;
  • séjour à plein temps à la Faculté de droit, à compter du trimestre d’automne 2017;
  • nomination à titre de membre émérite en droit pénal et criminel afin de travailler particulièrement avec 'Fondo Mario Sbricoli' (Istituto di Studi Storici);
  • logement gratuit pour la famille au Collegio Matteo Ricci, dans la ville historique de Macerata;
  • série de conférences;
  • possibilité de diriger une initiative de recherche collaborative et pluridisciplinaire avec des doctorants et membres du corps professoral.

 

M. Cavaliere prépare actuellement une série de volumes sur la justice pénale dans le contexte politique pendant le régime fasciste, qui sera publiée par ARACNE Editrice, à Rome. Intitulée Antisemitism in Fascist Italy: From the Rise of Fascism to the Racial Laws of 1938 and the Politics of the Final Solution, cette initiative de recherche et de publication à long terme est financée par le Vidal Sassoon International Centre for the Study of Antisemitism (SICSA), à l’Université hébraïque de Jérusalem, en Israël, un centre qui est reconnu au plan mondial.
 

M. Cavaliere est membre du Département d’histoire de la Laurentienne et du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne et membre élu du Sénat de l’Université Laurentienne.   

L’Université Laurentienne célèbre l’ouverture officielle de la phase finale de l’École d’architecture McEwen

L’Université Laurentienne célèbre l’ouverture officielle de la phase finale de l’École d’architecture McEwen

Un édifice à la fine pointe de la technologie de 45 millions de dollars et de 72 000 pieds carrés au centre-ville de Sudbury

Aujourd’hui, l’Université Laurentienne a fièrement célébré l’ouverture officielle de la dernière phase de l’École d’architecture McEwen, qui complète un édifice à la fine pointe de la technologie de 45 millions de dollars et de 72 000 pieds carrés au centre-ville de Sudbury.

« C’est un jour de fierté pour de nombreuses personnes de la Laurentienne et de la communauté en général, a dit le recteur et vice-chancelier de l’Université laurentienne, M. Dominic Giroux. L’École d’architecture McEwen est en préparation depuis dix ans et a pu être réalisée grâce à de nombreux partenariats et collaborations. C’est un exemple revigorant de changement transformateur, réalisé grâce à une vision communautaire harmonieuse. »

La planification de l’École a débuté en 2007 quand des membres de la communauté du Grand Sudbury et des représentants de l’Université Laurentienne ont compris les bienfaits économiques et la possibilité d’exploiter l’expertise régionale en créant une possibilité unique d’enseignement.

Le directeur-fondateur de l’École, M. Terrance Galvin, arrivé dans l’équipe en janvier 2012, a vu l’avenir de ce programme unique qui mise sur la capacité de résilience de la population du Nord et la beauté sans pareil du paysage du nord de l’Ontario.

« Les cinq dernières années ont consisté à opérationnaliser la vision, ce qui inclut la conception et la construction des nouveaux édifices, la mise en œuvre du programme de baccalauréat en études architecturales et l’approbation du programme de maîtrise en architecture, a expliqué M. Galvin. Les dix prochaines années porteront davantage sur l’expansion des possibilités de recherche. »

L’École d’architecture McEwen a accueilli sa toute première promotion en septembre 2013. En seulement trois ans, les étudiants se sont distingués et l’École a obtenu de nombreux prix nationaux et internationaux, y compris la première place au Festival international du bois à Bergen, en Norvège, en mai 2016. Cette promotion obtiendra son grade en juin. L’École lancera son programme de maîtrise en architecture en septembre.

« C’est une étape incroyable non seulement pour la Laurentienne, mais aussi pour la Ville du Grand Sudbury, la province et le Canada, a dit la présidente du Conseil des gouverneurs de l’Université laurentienne, Mme Jennifer Witty. L’École d’architecture McEwen de la Laurentienne est la première nouvelle école d’architecture créée au Canada en 45 ans. C’est la première du genre dans le nord de l’Ontario et la première au Canada en dehors du Québec à offrir des cours en français. »

L’École a vu le jour grâce des investissements axés sur l’avenir effectués par le ministère ontarien de l’Enseignement supérieur et de la Formation professionnelle, la Ville du Grand Sudbury, Rob et Cheryl McEwen, la Société de gestion du Fonds du patrimoine du Nord de l’Ontario, FedNor, le Centre de recherche et d’innovation en bioéconomie, Blaine et Lise Nicholls, le Fonds en fiducie F. Jean MacLeod, Susan et Perry Dellelce et bien d’autres bienfaiteurs privés.

 

Au sujet de l’École d’architecture McEwen

L’École McEwen offre une expérience éducationnelle en immersion empreinte de la nécessité inhérente de jumeler l’expertise technique et la profonde compréhension de l’esprit des paysages et de la population qui les habite afin de concevoir des édifices intelligents, écologiques et fonctionnels. La 12e école d’architecture au Canada, l’École McEwen se veut un lieu où les étudiants du Nord peuvent étudier dans leur région. Elle encouragera également les diplômés à rester dans la région et à faire partie de la communauté grandissante de conception architecturale du Nord. L’École sera réputée pour ses recherches et ses concepts reposant sur le bois, ses recherches sur l’architecture autochtone, ainsi que son expertise dans l’étude du bassin de Sudbury qui inspire la conception architecturale.

L’École McEwen occupe au centre-ville de Sudbury un magnifique complexe de 45 000 000 $ conçu par LGA Architectural Partners; elle couvre 72 000 pieds carrés comprenant deux édifices centenaires transformés qui appartenaient à CP Rail et CP Telegraph, et une phase finale de 52 000 pieds carrés. Les inscriptions à ce programme hautement concurrentiel passeront à 400 étudiants d’ici 2018 quand il comptera 25 membres du corps professoral et du personnel.

La philosophie de l’École McEwen repose sur la fierté de l’endroit. C’est une expérience naissante dans les pédagogies en émergence et les diverses cultures. Le regroupement d’un corps professoral et d’une population étudiante francophones, anglophones, métis et anishinabeks reflète la raison d’être unique de la Laurentienne qui est d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français en plus d’une approche complète de l’éducation autochtone.

 

Prix et distinctions de l’École d’architecture McEwen

En plus des trois « Subventions Savoir » du Conseil de recherches en sciences humaines attribuées aux Prs David Fortin, Tammy Gaber et Kai Mah, en collaboration avec des membres du corps professoral de l’École, des étudiants ont reçu les prix ou distinctions ci-dessous :

  • 2016    CCA – Charrette interuniversitaire annuelle : Recomposer le Nord – Prix de l’opinion publique attribué pour Nutri-Nunavik : The Potential of Northern Farming (équipe d’étudiants du premier cycle)
  • 2016    IIDEX Canada
    L’étudiant Edward Chung a été sélectionné pour exposer EAB Floor Lamp à Toronto
  • 2016    Festival international du bois à Bergen
    Premier prix de conception-construction en bois (Pre Tammy Gaber, Pr Randall Kober et des étudiants)
  • 2015    Pride House that Kids Built, Sudbury pour les Jeux parapanaméricains
    Prix d’excellence des Ressources humaines, ministère du Développement du Nord et des Mines de l’Ontario pour l’installation en courtepointes de peintures d’enfants « Inclusions dans les sports » (Pr Thomas Strickland et des étudiants)
  • 2015    Science Nord
    Prix du partenariat pour la conception du pavillon Terre dynamique (Pr David Fortin et Pr Roch Belair, avec Francis Thorpe et des étudiants)
  • 2015    CANStruction
    Prix Choix du peuple pour PARALLAX : “a” is for architecture
    (Pr Terrance Galvin et des étudiants)
  • 2014    Prix international VELUX pour les étudiants en architecture (Vienne)
    Mention honorable pour la conception d’une cabane de pêche sur la glace Northern Lights (Pre Tammy Gaber et des étudiants)

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Les étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années.

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