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Maamwizing 2018 : le deuxième colloque autochtone de l’Université Laurentienne est axé sur la recherche autochtone et la priorisation de la voix autochtone

Maamwizing 2018 : le deuxième colloque autochtone de l’Université Laurentienne est axé sur la recherche autochtone et la priorisation de la voix autochtone

16 novembre 2018 – L’Université Laurentienne, son nouvel Institut de recherche autochtone Maamwizing et son partenaire fédéré, l’Université de Sudbury, sont heureux d’organiser le Colloque autochtone Maamwizing 2018 sous le thème « Faire des recherches autochtones dans une bonne approche ».

S’appuyant sur le succès de la conférence inaugurale Maamwizing en 2016, cette édition vise à favoriser le dialogue critique sur les recherches autochtones en explorant les relations qui existent entre les étudiants, chercheurs et collectivités. Les entretiens aborderont entre autres la priorisation de la voix autochtone et les rôles et responsabilités des chercheurs autochtones et allochtones.

« Compte tenu de l’importance accrue accordée aux cultures autochtones dans l’enseignement postsecondaire, des chercheurs non autochtones et autochtones travaillent de concert de diverses façons », a dit Mme Celeste Pedri-Spade, directrice de l’Institut de recherche autochtone Maamwizing de l’Université Laurentienne. « Ces relations changeantes affectent la façon dont la recherche autochtone est menée et cette conférence encouragera des modes d’échange qui favorisent la conduite de la recherche avec soin, dans le bon sens. »

« En intégrant la vision et des perspectives autochtones aux activités de recherche, nous pouvons les façonner d’une manière passionnante afin de contribuer à un milieu favorisant l’apprentissage et la découverte », a dit le recteur et vice-chancelier par intérim de l’Université Laurentienne, Pierre Zundel. « Nous continuerons de contribuer aux projets de recherche qui nous aident à mieux comprendre et intégrer les principes indigènes du savoir. »

Maamwizing 2018 aura lieu du 16 au 18 novembre au campus de l’Université Laurentienne à Sudbury, Ontario. Pour obtenir un complément d’information ou la liste complète des activités, veuillez consulter la page web de la conférence.

 

AU SUJET DE L’UNIVERSITÉ LAURENTIENNE

Située sur le territoire couvert par le Traité Robinson-Huron de 1850, l’Université Laurentienne reconnait qu’elle se trouve sur les terres traditionnelles des Premières Nations d’Atikameksheng Anishnawbek et de Wahnapitae. La Laurentienne se fait un devoir de renforcer les fondements du savoir dans l’enseignement supérieur et la recherche, d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français assortie d’une approche englobante de l’éducation autochtone. Avec ses partenaires fédérés, elle prépare des leaders qui apportent des solutions innovatrices et intelligentes à des problèmes locaux et mondiaux.
 

Le programme de communication scientifique de la Laurentienne est honoré par l'Institut royal canadien des sciences

Le programme de communication scientifique de la Laurentienne est honoré par l'Institut royal canadien des sciences

Le programme, offert en partenariat avec Science Nord, est reconnu pour sa contribution à la compréhension de la science par le public

(2018-11-09) Le programme de communication scientifique de l'Université Laurentienne, en partenariat avec Science Nord, est le récipiendaire du prix William Edmond Logan 2018 de l'Institut royal canadien des sciences, qui reconnaît l'excellence dans la promotion des sciences par un organisme canadien. L'annonce a été faite ce matin à Ottawa dans le cadre de la 10e Conférence annuelle sur les politiques scientifiques canadiennes. 

Le programme de communication scientifique de la Laurentienne est unique au Canada. Il offre aux diplômés en sciences la formation nécessaire pour transformer l'information scientifique en connaissances accessibles et compréhensibles pour le public. De nombreux scientifiques reconnaissent la valeur de la vulgarisation, mais tous ne sont pas naturellement compétents en la matière. Ce programme favorise l'acquisition de ces compétences en offrant une expérience multidisciplinaire qui couvre la théorie sous-jacente à une bonne communication, ainsi que les défis pratiques d'une communication efficace de la science et des enjeux de la science dans la société.
 
Les diplômés du programme de communication scientifique de l'Université Laurentienne travaillent dans divers domaines partout au Canada et dans d'autres régions du monde, notamment à Science Nord, le partenaire du programme. Selon M. Reinhart Reithmeier, président de l'Institut royal canadien des sciences : « ces diplômés portent la communication scientifique dans ce pays à de nouveaux sommets, aidant les Canadiens de tous âges à reconnaître, comprendre et apprécier la science dans le monde qui les entoure. Nous croyons qu'il s'agit là d'un élément-clé pour favoriser une solide culture scientifique au Canada. »

« Les tendances de la recherche scientifique, de l'industrie et des politiques publiques ont fait naître un besoin de personnel qualifié dans ce domaine en pleine croissance », a déclaré Mme Chantal Barriault, Directrice du programme d'études supérieures en communication scientifique. « Les diplômés de l'Université Laurentienne sont des spécialistes de la communication des travaux des chercheurs et des scientifiques de premier plan, notamment auprès de divers publics, allant des jeunes enfants aux politiciens. Nous sommes très honorés de recevoir ce prix. »

« C'est une excellente nouvelle et une reconnaissance bien méritée pour une équipe très créative et dévouée. L’Université Laurentienne est fière d'être une pionnière dans ce domaine en pleine croissance. Je tiens aussi à souligner la contribution exceptionnelle de notre partenaire, Science Nord, dans la prestation du programme », a déclaré Pierre Zundel, recteur et vice-chancelier intérimaire de l'Université Laurentienne. 

« L'objectif principal de Science Nord est d'inspirer les gens de tous âges à s'intéresser à la science dans le monde qui les entoure. Nous communiquons la science de sorte que les gens peuvent la comprendre et l’apprécier. Lorsque le programme de communication scientifique a été lancé en partenariat avec l'Université Laurentienne, nous y avons vu un prolongement naturel de ce que nous faisons chaque jour dans nos centres des sciences. Ce prix célèbre un excellent partenariat entre deux institutions et renforce l'importance du programme de communication scientifique de même que la façon dont les diplômés de ce programme peuvent avoir un impact réel sur notre compréhension de la science aujourd'hui », a déclaré Guy Labine, chef de la direction de Science Nord.

Le programme offre aux étudiants des occasions d'apprentissage par l'expérience et l'application des principes de communication scientifique. Il propose une maîtrise (M.S.Com) ou un diplôme d'études supérieures en communication scientifique. 

De plus amples renseignements sur le programme et les conditions d'admission sont disponibles sur le site Web de l'Université Laurentienne. 

 

AU SUJET DE L’UNIVERSITÉ LAURENTIENNE

Située sur le territoire couvert par le Traité Robinson-Huron de 1850, l’Université Laurentienne reconnait qu’elle se trouve sur les terres traditionnelles des Premières Nations d’Atikameksheng Anishnawbek et de Wahnapitae. La Laurentienne se fait un devoir de renforcer les fondements du savoir dans l’enseignement supérieur et la recherche, d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français assortie d’une approche englobante de l’éducation autochtone. Avec ses partenaires fédérés, elle prépare des leaders qui apportent des solutions innovatrices et intelligentes à des problèmes locaux et mondiaux. 

 

À PROPOS DE SCIENCE NORD

Science Nord est l'attraction touristique la plus populaire du Nord de l'Ontario et une ressource éducative qui exploite les deuxième et huitième plus grands centres des sciences au Canada. Les attractions de Science Nord comprennent un centre des sciences, un théâtre IMAX®, un planétarium, une galerie de papillons, une salle d'expositions spéciales et Dynamic Earth : Home of the Big Nickel. Science Nord supervise également une unité des ventes internationales primée, qui met au point des expositions sur mesure et prêtes à l'emploi et des expériences multimédias à vendre aux centres scientifiques, musées et autres institutions culturelles du monde entier. Science Nord, en partenariat avec l'Université Laurentienne, offre le premier et le seul programme complet de communication scientifique en Amérique du Nord, un programme conjoint de maîtrise et de diplôme. Dans le cadre de son mandat, Science Nord offre des expériences scientifiques dans tout le Nord de l'Ontario, y compris des activités de sensibilisation dans les écoles et les festivals, des camps scientifiques d'été et plus encore, et a une base permanente à Thunder Bay qui assure la sensibilisation dans le Nord-Ouest. Science Nord est un organisme du gouvernement de l'Ontario. Pour de plus amples renseignements, visitez sciencenorth.ca. Pour de plus amples renseignements, visitez ScienceNorth.ca.

 

AU SUJET DE L'INSTITUT ROYAL CANADIEN DES SCIENCES

L'Institut royal canadien des sciences (RCIScience) est une plateforme d'engagement public avec d'éminents scientifiques, qui propose des causeries et des débats d'experts gratuits en direct ainsi qu'une vaste archive en ligne. Fondée en 1849, RCIS est l'une des plus anciennes sociétés de toutes sortes au Canada. Depuis 169 ans, nous nous efforçons d'atteindre l'objectif d'un public informé qui embrasse la science pour bâtir un Canada plus fort.
 

Des chercheuses de la Laurentienne soulignent la valeur de la participation des patients autochtones aux recherches

Des chercheuses de la Laurentienne soulignent la valeur de la participation des patients autochtones aux recherches

Un nouveau supplément de l’OSSU met en évidence les travaux de Mmes Jennifer Walker et Nancy Young

(2018-11-08) Des articles rédigés par deux chercheuses de l’Université Laurentienne sur la participation de patients autochtones aux recherches seront inclus dans le supplément de l’Ontario SPOR SUPPORT Unit (OSSU) qui sera publié dans le Canadian Medical Association Journal (CMAJ).

Les projets de la titulaire de la Chaire de recherche du Canada en santé autochtone, Mme Jennifer Walker, Ph. D., et de la titulaire de la Chaire de recherche en santé infantile dans les milieux ruraux et du nord, Mme Nancy Young, Ph. D., sont axés sur la recherche dans des collectivités des Premières Nations.

Dans son article « Describing the process of ethical conduct of research in an Ontario-wide First Nations diabetes research project », Mme Walker discute d’une étude menée à l’échelle provinciale pour subvenir aux besoins en information des leaders de Premières Nations, du gouvernement et des travailleurs communautaires. L’étude a été réalisée en partenariat avec les Chiefs of Ontario et l’article a été cosigné par Robyn Rowe, étudiante autochtone inscrite au Programme de doctorat interdisciplinaire en santé dans les milieux ruraux et du nord de l’Université Laurentienne. « Nos recherches dirigées par les Premières Nations, dit-elle, corrigent d’importantes lacunes dans les données requises pour améliorer la prise de décisions et la défense des droits. »

L’article de Mme Young, « Beyond the patient: lessons from community engagement in a rural First Nation », porte sur un projet de recherche en cours codirigé par la directrice des services de santé au Centre de santé Naandwechige-gaming Wikwemikong, Mme Mary Jo Wabano, voulant évaluer l’efficacité du dépistage, du triage et du traitement médical éventuel d’enfants de Wiikwemkoong. « Si tous les éléments du travail sont effectués dans le cadre d’une collaboration respectueuse, a affirmé Mme Young, la recherche a le potentiel d’améliorer la santé des enfants autochtones. »

Lancé hier, le supplément est un recueil d’articles relatant les expériences, les apprentissages et la valeur apportés par dix-sept projets de recherche expérimentaux appuyés par l’OSSU et servira de ressource aux chercheurs et aux autres personnes qui s’intéressent à cette approche progressive qui valorise les patients et les soignants à titre de partenaires dans les recherches sur la santé et les systèmes de santé.

 

AU SUJET DE L’UNIVERSITÉ LAURENTIENNE

Située sur le territoire couvert par le Traité Robinson-Huron de 1850, l’Université Laurentienne reconnait qu’elle se trouve sur les terres traditionnelles des Premières Nations d’Atikameksheng Anishnawbek et de Wahnapitae. La Laurentienne se fait un devoir de renforcer les fondements du savoir dans l’enseignement supérieur et la recherche, d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français assortie d’une approche englobante de l’éducation autochtone. Avec ses partenaires fédérés, elle prépare des leaders qui apportent des solutions innovatrices et intelligentes à des problèmes locaux et mondiaux.

La Laurentienne en tête des universités de recherche de premier cycle au Canada

La Laurentienne en tête des universités de recherche de premier cycle au Canada

(2018-10-26) L’Université Laurentienne se classe au premier rang pour le revenu de recherche parmi les universités de premier cycle dans le classement des 50 meilleures universités de recherche au Canada, qui a été compilé par Research Infosource Inc.

Selon le classement, la Laurentienne a obtenu 32 millions en fonds de recherche pour l’exercice 2017. L’Université Laurentienne a également enregistré la plus grande croissance du revenu de recherche pour l’année parmi les établissements de sa catégorie. Ce revenu a fait un bond de 36,8 %, tandis que la croissance moyenne au pays était de 6,8 %.

Cette année, Research Infosource Inc. a mis l’accent sur les partenariats de recherche universitaire qui ont été évalués en fonction des subventions et des contributions reçues par des sociétés et des organismes sans but lucratif entre 2013 et 2017. La Laurentienne a enregistré la plus grande croissance dans cette catégorie parmi les universités de recherche de premier cycle.

L’Université se classe également au deuxième rang en matière d’intensité de la recherche par étudiant de cycles supérieurs.

En général, l’Université Laurentienne se classe au 28e rang parmi les 50 meilleures universités de recherche au Canada. Elle figurait en 30e place sur la liste de l’an dernier et au 33e rang en 2016.

« La Laurentienne continuera d’enrichir sa base de recherche, repoussant les frontières afin d’accroître les connaissances, a dit le vice-recteur à la recherche par intérim de la Laurentienne, M. Rizwan Haq. La croissance de notre revenu de recherche témoigne de l’expertise de nos chercheurs dans leurs domaines respectifs. »

« L’Université Laurentienne connaît un succès grandissant dans la recherche et l’innovation depuis plusieurs années, a affirmé le recteur et vice-chancelier par intérim, M. Pierre Zundel. Nous sommes ravis de célébrer cette réalisation encore une fois cette année et nous continuerons de nous démarquer ainsi. »

Consultez le classement complet des 50 meilleures universités de recherche au Canada de 2018.

 

AU SUJET DE L’UNIVERSITÉ LAURENTIENNE

Située sur le territoire du Traité Robinson-Huron de 1850, L’Université Laurentienne reconnait que nous sommes sur le territoire traditionnel des Premières Nations d’Atikameksheng Anishnawbek et Wahnapitae. La Laurentienne se fait un devoir de renforcer les fondements du savoir dans l’enseignement supérieur et la recherche, d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français assortie d’une approche englobante de l’éducation autochtone. Avec ses partenaires fédérés, elle prépare des leaders qui apportent des solutions innovatrices et intelligentes à des problèmes locaux et mondiaux. 

L’École de génie Bharti de l’Université Laurentienne reçoit un don de 250 000 dollars de Hard-Line

L’École de génie Bharti de l’Université Laurentienne reçoit un don de 250 000 dollars de Hard-Line

(2018-10-24) L’annonce d’un nouveau partenariat entre l’Université Laurentienne et Hard-Line a eu lieu aujourd’hui au Club universitaire.

Dans le cadre de ce partenariat, Hard-Line investira 250 000 dollars sur cinq ans dans le programme de mécatronique de l’École de génie Bharti de l’Université Laurentienne. Les fonds visent à améliorer l’expérience étudiante par le biais de la rénovation et la mise à niveau de laboratoires, l’achat de postes de travail informatisés, de meubles et d’équipement multimédia favorisant l’enseignement interactif, et l’organisation de sorties éducatives aux installations de Hard-Line.

« L’École de génie Bharti est l’une des plus grandes réussites de l’Université Laurentiennee. Elle est reconnue comme l’établissement d’enseignement formant les ingénieurs les plus talentueux dans le nord-est de l’Ontario. L’École est aussi un chef de file mondial en matière de recherche et d’éducation dans le domaine minier », a dit le directeur de l’École de génie Bharti, M. Markus Timusk, Ph. D. « Ce don témoigne de l’engagement de Hard-Line envers l’École de génie Bharti et de sa confiance à l’égard de la population étudiante de la Laurentienne. »

Enregistrant une croissance et un succès extraordinaires au cours de la dernière décennie, l’École de génie Bharti offre des programmes accrédités en génie minier, génie mécanique et génie chimique (en plus des volets environnement, mécatronique et métallurgie). Les diplômés du volet mécatronique qui possèdent des compétences spécialisées en analyse de systèmes et de logiciels d’ingénierie et en circuits électriques sont de plus en plus recherchés par de grandes entreprises, telles que Hard-Line.

« Nous sommes fiers de notre partenariat avec l’Université Laurentienne. Cette collaboration nous permet de soutenir l’avenir de notre industrie en fournissant aux étudiants les programmes et les outils dont ils ont besoin pour réussir dans un secteur en pleine évolution », a ajouté le président de Hard-Line, M. Walter Siggelkow.

 

AU SUJET DE L’UNIVERSITÉ LAURENTIENNE

Située sur le territoire du Traité Robinson-Huron de 1850, L’Université Laurentienne reconnaît que nous sommes sur le territoire traditionnel des Premières Nations d’Atikameksheng Anishnawbek et Wahnapitae. La Laurentienne se fait un devoir de renforcer les fondements du savoir dans l’enseignement supérieur et la recherche, d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français assortie d’une approche englobante de l’éducation autochtone. Avec ses partenaires fédérés, elle prépare des leaders qui apportent des solutions innovatrices et intelligentes à des problèmes locaux et mondiaux. 

 

AU SUJET DE HARD-LINE

Créé en 1996 à Sudbury, Ontario, Hard-Line est un premier producteur de technologies d’automatisation, de télé-exploitation et de contrôle à distance pour l’industrie minière. Avec des filiales en Chile, au Pérou et aux États-Unis, ainsi que son réseau mondial de distribution, Hard-Line est une entreprise internationale qui développe de nouveaux produits à partir de zéro, en mettant à profit des années d’expérience dans le domaine minier, en électronique, dans la conception électrique et dans la conception mécanique. Pour obtenir plus de renseignements au sujet de Hard-Line, consultez le site www.hard-line.com/
 

Le Centre de recherche sur la santé et sécurité au travail de la Laurentienne organise un congrès national sur l’ergonomie

Le Centre de recherche sur la santé et sécurité au travail de la Laurentienne organise un congrès national sur l’ergonomie

Le 49e congrès annuel de l’ACE est axé sur la prévention des blessures et des maladies liées au travail

(2018-10-16) Le Centre de recherche sur la santé et sécurité au travail (CRSST) de l’Université Laurentienne s’est récemment associé à l’Association canadienne d’ergonomie (ACE) pour accueillir le 49e congrès annuel de l’ACE à Sudbury du 15 au 18 octobre 2018. 

Une première au nord de l’Ontario, le congrès conjoint explore les nombreuses façons dont l’ergonomie ainsi que la compréhension de la santé et de la sécurité évoluent, et comment l’application de ces connaissances peut avoir un impact positif sur tous, quel que soit le secteur d’activité. Le thème du congrès « De la recherche à la pratique à la prévention » illustre d’ailleurs ce cycle de prévention des blessures et des maladies liées au travail.

« L’Association canadienne d’ergonomie est heureuse de travailler en collaboration avec le CRSST pour accueillir ce congrès au nord de la province », affirme Mme Patricia Hope, la présidente de l’ACE, région de l’Ontario. « L’événement de cette année souligne les travaux de recherche menés par le CRSST et reflète également les efforts continus de l’ACE à promouvoir la recherche et à faire connaître l’ergonomie », ajoute-t-elle.

Plus de 150 ergonomistes et experts en matière de la santé et sécurité au travail au Canada assisteront au congrès sur quatre jours qui comprend 39 présentations, dont sept ateliers et trois séances interactives. Les principaux conférenciers invités sont :

  • M. Neil Mansfield (professeur et chef du département d’ingénierie, Université de Nottingham Trent, Royaume‑Uni);
  • Mme Catherine Trask, Ph. D. (titulaire de la Chaire de recherche du Canada en ergonomie et en santé musculosquelettique et professeure agrégée au Centre canadien de santé et sécurité en milieu agricole, Université de la Saskatchewan);
  • Mme Marie Laberge, Ph. D. (professeure agrégée à l’École de réadaptation de l’Université de Montréal); et
  • M. Richard Gasaway, Ph. D. (président et consultant principal chez Gasaway Consulting Group et expert scientifique en chef, questions en matière de conscience situationnelle).

« Le congrès de l’ACE a toujours été l’un de mes congrès préférés en raison de la présence de praticiens et de chercheurs et du partage de renseignements à l’égard de la recherche, et ce, de façon pratique, » a ajouté la directrice adjointe du CRSST, Mme Alison Godwin, Ph. D. « Nous sommes ravis de collaborer avec l’ACE et de souligner notre recherche appliquée. » 

Le congrès ACE-CRSST 2018 coïncide avec le Mois mondial de l’ergonomie, une initiative annuelle visant à sensibiliser les gens aux risques de troubles musculosquelettiques présents sur le lieu de travail tout en promouvant le rôle que peut jouer l’ergonomie dans l’amélioration de la santé et de la sécurité. 
 

AU SUJET DE L’UNIVERSITÉ LAURENTIENNE

Située sur le territoire du Traité Robinson-Huron de 1850, L’Université Laurentienne reconnaît que nous sommes sur le territoire traditionnel des Premières Nations d’Atikameksheng Anishnawbek et Wahnapitae. La Laurentienne se fait un devoir de renforcer les fondements du savoir dans l’enseignement supérieur et la recherche, d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français assortie d’une approche englobante de l’éducation autochtone. Avec ses partenaires fédérés, elle prépare des leaders qui apportent des solutions innovatrices et intelligentes à des problèmes locaux et mondiaux. 
 

L’Université Laurentienne célèbre la recherche axée sur la découverte

L’Université Laurentienne célèbre la recherche axée sur la découverte

Des chercheurs de l’Université reçoivent 1,4 million de dollars en fonds de recherche dans le cadre du programme de subventions à la découverte du CRSNG

(2018-10-09) Des chercheurs de l’Université Laurentienne ont reçu 1,4 million de dollars du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG) pour le financement de 10 projets de recherche.

Les députés de Sudbury et Nickel Belt, Paul Lefebvre et Marc Serré, en ont fait l’annonce plus tôt aujourd’hui lors d’une conférence de presse qui avait lieu au Centre de recherche, d’innovation et de génie Cliff Fielding de l’Université Laurentienne.

« L’Université Laurentienne se fait un devoir de renforcer les fondements du savoir dans l’enseignement supérieur et la recherche », affirme Pierre Zundel, P.h.D., le recteur et le vice-chancelier par intérim de l’Université Laurentienne. « Grâce à une démarche rigoureuse, nous nous efforçons de trouver des solutions pour les défis actuels. L’annonce d’aujourd’hui confirme notre engagement, et particulièrement celui de nos professeurs, à poursuivre cette mission. Félicitations aux récipiendaires. »

« Notre gouvernement croit en la science, et les investissements dans la science soutiennent les nouvelles découvertes et la commercialisation des idées, ce qui apporte une croissance durable et de nouveaux emplois. C’est pourquoi notre gouvernement continue de faire des investissements importants dans la science fondamentale, y compris ici même à l’Université Laurentienne », mentionne Paul Lefebvre, député fédéral de Sudbury.

« L’Université Laurentienne est l’une des plus grandes puissances scientifiques en Ontario avec certains des plus grands scientifiques et équipes de recherche à la tête d’idées novatrices », affirme Marc Serré, député fédéral de Nickel Belt. « Nous allons continuer d’appuyer et de reconnaitre les efforts de nos chercheurs qualifiés puisque ce sont leurs constatations qui mèneront à d’innombrables découvertes qui créeront des possibilités pour l’avenir! Félicitations à tous les récipiendaires et leurs équipes pour cet appui financier bien mérité. Je vous souhaite beaucoup de succès alors que vous allez de l’avant avec chacun de vos projets de recherche. »

Le Programme de subventions à la découverte est le programme le plus important et le plus ancien du CRSNG. Il offre aux meilleurs chercheurs du Canada le financement de base et la liberté d’explorer leurs idées les plus prometteuses qui pourraient mener à d’importantes percées à l’échelle mondiale.

 

PROJETS DE RECHERCHE DE L’UNIVERSITÉ LAURENTIENNE FINANCÉS PAR LE PROGRAMME DE SUBVENTION À LA DÉCOUVERTE DU CRSNG

 

Hoyun Lee, Institut de recherche d’Horizon Santé-Nord      

Régulation du cycle cellulaire par PP1 et CDC7.

David Lesbarreres, Département de biologie

Adaptations locales aux maladies infectieuses : mauvais sort ou possibilité favorable?

Thomas Merritt Département de chimie et de biochimie      

Dissection génétique du réseau métabolique du NADPH dans les drosophiles.

Ralf Meyer, Département de mathématiques et d’informatique       

Modélisation de cristaux phononiques nanométriques.

Jesse Popp, Département de biologie

Incidence des perturbations naturelles et anthropiques sur la diversité, la démographie et la distribution de la faune.

Michael Schindler, École des sciences de la Terre Harquail

Nanosciences de la Terre : Compréhension des procédés environnementaux à l’échelle nanométrique.

Stefan Siemann, Département de chimie et de biochimie    

Exigence de métal et mécanisme du facteur létal (FL) du charbon bactéridien et d’autres protéases de zinc.

Alain Simard, École de médecine du Nord de l’Ontario       

Régulation des fonctions immunitaires par le système cholinergique en dehors des neurones.

T.C. Tai, École de médecine du Nord de l’Ontario 

Rôle du DRO dans la régulation due à l’hypoxie du gène lié à la phényléthanolamine-N-méthyltransférase.

James Watterson, Département de sciences médico-légales          

Profilage de xénobiotiques et de métabolites dans les restes humains aux fins de classification de caractéristiques d’exposition xénobiotique.

 

 

L'Université Laurentienne inaugure son nouveau centre de recherche, d’innovation et de génie

L'Université Laurentienne inaugure son nouveau centre de recherche, d’innovation et de génie

  La Laurentienne célèbre l’inauguration de l’Édifice de recherche, d’innovation et de génie Cliff-Fielding de 30  000  000 $

Aujourd’hui, le député de Sudbury Paul Lefebvre s’est joint à des partenaires locaux, à des membres de la collectivité, ainsi qu’au personnel, au corps professoral et à la population étudiante de l’Université Laurentienne pour l’inauguration du nouvel Édifice de recherche, d’innovation et de génie Cliff-Fielding, événement qui entrera dans l’histoire de l’établissement.

Les nouvelles installations de 60 000 pieds carrés situées sur la Place des fondateurs du campus de Sudbury (entre les édifices Parker et Fraser) hébergent tous les programmes de génie, à savoir génie minier, chimique et mécanique, avec un espace pour l’ajout d’un futur programme complet de génie civil. « Le besoin d’un nouvel édifice se ressentait de manière critique, a dit le vice-recteur intérimaire à la recherche, M. Rizwan Haq, car l’effectif dans nos programmes de génie a augmenté de 700 étudiants au cours de la dernière décennie, sans aucun nouvel espace pour eux. »

L’édifice abritera également des locaux de recherche-développement, d’innovation et de commercialisation et des installations d’analyse de pointe pour les chercheurs et les secteurs industriels. Chacun de ces locaux a été établi en consultation avec le secteur industriel local afin d’optimiser les possibilités de collaboration interdisciplinaire.

« Cet édifice est remarquable et témoigne de notre engagement envers la réussite de la population étudiante et les besoins de notre collectivité a dit la présidente du Conseil des gouverneurs, Mme Jennifer Witty. Ce n’est pas seulement un édifice; cela représente l’engagement de l’Université Laurentienne envers le leadership en matière de recherche et d’innovation. »

Annoncé il y a deux ans, le 23 septembre 2016, le projet de 30 000 000 $ a été conçu par Yallowega Bélanger Salach Architecture à Sudbury et construit par M. Sullivan and Sons. Les gouvernements fédéral et provincial y ont investi 27 400 000 $ et des donateurs privés ont investi des fonds additionnels. Un don de 3 000 000 $ de Mme Lily Fielding et sa famille a été reconnu en baptisant l’édifice. Le nouveau centre de recherche et de développement de l’Université situé dans l’immeuble a été baptisé en honneur d’un don de 1 000 000 $ de la famille Perdue.

« Beaucoup de personnes et de partenaires clés ont joué un rôle clé pour concrétiser cet agrandissement critique des locaux de recherche et d’innovation, a ajouté le recteur et vice-chancelier par intérim de la Laurentienne, M. Pierre Zundel. L’Édifice de recherche, d’innovation et de génie Cliff Fielding profitera non seulement à la population étudiante, mais favorisera considérablement l’activité économique dans la Ville du Grand Sudbury, le nord-est de l’Ontario et ailleurs. »

Une professeure de l’Université Laurentienne et titulaire d'une Chaire de recherche fait partie des quatre Canadiennes sélectionnées pour participer à une expédition scientifique

Une professeure de l’Université Laurentienne et titulaire d'une Chaire de recherche fait partie des quatre Canadiennes sélectionnées pour participer à une expédition scientifique

Mme Tammy Eger fait partie des 95 scientifiques sélectionnées à l’échelle internationale pour participer à « Homeward Bound » dans l’Antarctique en 2019

Mme Tammy Eger, professeure de sciences de l’activité physique à l’Université Laurentienne, et titulaire de la Chaire de recherche en santé et sécurité au travail, fait partie des quatre Canadiennes sélectionnées pour la quatrième expédition « Homeward Bound » (HB4). Les 95 femmes représentant 28 pays suivront un programme de leadership intensif de douze mois visant les femmes des domaines des sciences, de la technologie, de l’ingénierie, des mathématiques et de la médecine (STIMM). Le point culminant de ce programme sera un voyage de trois jours dans l’Antarctique en novembre 2019 pour se renseigner sur le changement climatique et la science polaire.

« Homeward Bound » est une initiative mondiale lancée il y a dix ans pour équiper 1 000 femmes des domaines des STIMM des compétences pour diriger et influencer les politiques et la prise de décisions d’une manière qui aidera à créer un avenir durable pour la planète.

Selon l’Institut de statistique de l’UNESCO, moins de 30 % des chercheurs du monde sont des femmes. « Encore moins de femmes occupent des postes de direction dans les STIMM, a dit Mme Eger. Des initiatives comme celle-ci sont vitales pour offrir de la formation en leadership aux femmes et pour sensibiliser aux questions de genre dans ces domaines. »

« Je suis absolument ravie d’avoir été choisie pour participer à cette aventure unique dans la vie, a indiqué Mme Eger. Je suis impatiente de rencontrer les membres de mon groupe, de partager des expériences et de travailler avec elles pour améliorer les possibilités de leadership mondial pour les femmes des STIMM. »

Le programme de douze mois comporte quatre éléments de base : développement du leadership, capacité stratégique, visibilité et communication scientifique, collaboration scientifique. Offert par un corps professoral international expert, « Homeward Bound » comprend des exposés, des outils de développement personnel et du leadership, des séances d’encadrement, une formation à la visibilité et l’occasion d’établir des collaborations fructueuses dans des forums, dans des équipes axées sur un domaine d’intérêt, et divers petits groupes. Pour obtenir d’autres renseignements sur « Homeward Bound », y compris la liste des participantes HB4, visitez le site Web du programme.

La régime alimentaire urban est lié à l'obésité et à la glycémie élevée chez les ratons laveurs

La régime alimentaire urban est lié à l'obésité et à la glycémie élevée chez les ratons laveurs

L’Université Laurentienne examine les conséquences des déchets alimentaires des humains sur la faune

Les ratons laveurs qui vivent dans les régions urbaines se régalent de nos restes et en subissent les conséquences. Des chercheurs de l’Université Laurentienne ont trouvé que l’accès aux déchets alimentaires des humains augmente la masse corporelle et la glycémie dans les populations de ratons laveurs.

L’étude, publiée récemment dans la revue Conservation Physiology, a été dirigée par Albrecht I. Schulte-Hostedde, professeur en écologie évolutionnaire à l’Université Laurentienne, en collaboration avec le professeur adjoint Jeffrey Gagnon, chercheur sur l’obésité et les maladies métaboliques.

« Du point de vue évolutionnaire, les environnements urbains sont de nouveaux habitats pour les ratons laveurs, a déclaré M. Schulte-Hostedde. Nous voulons voir s’ils connaissent les mêmes problèmes que les humains, c.-à-d., l’obésité, le diabète, un syndrome métabolique. »

« La Laurentienne compte de nombreux biologistes de la vie sauvage et des écologistes, a expliqué M. Gagnon. Cette étude en collaboration m’a permis de fournir de l’expertise sur les effets métaboliques de la prise de poids découlant d’un régime alimentaire riche en gras et en sucre. »

L’étude a consisté à comparer des données provenant de trois groupes de ratons laveurs : ceux qui ont un grand accès à des déchets alimentaires d’humains et qui vivent sur le terrain du zoo de Toronto; ceux qui vivent dans une zone de conservation et ont un accès modéré à des déchets; ceux qui vivent dans une zone agricole et ont peu accès à des déchets alimentaires. Les résultats sont clairs : en raison de la grande consommation d’aliments d’humains, les ratons laveurs urbains affichent non seulement un excès de poids, mais ont aussi une glycémie élevée.

L’étude a en outre été menée dans le cadre de la thèse de premier cycle en biologie de Mlle Zvia Mazal, étudiante en quatrième année. « La publication d’un article sélectionné par un comité de lecture si tôt dans sa carrière est une réussite importante, a indiqué M. Gagnon, et témoigne de la qualité de nos étudiants et de nos programmes. »

Mme Claire Jardine, vétérinaire et professeure agrégée à l’Université de Guelph, a aussi participé à l’étude.

« La prochaine étape, a ajouté M. Schulte-Hostedde, serait d’explorer l’effet éventuel des aliments d’humains sur les ratons laveurs dans une perspective évolutionnaire. Restez à l’écoute. »

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