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L’Université Algoma offrira la première année d’études en génie

L’Université Algoma offrira la première année d’études en génie

Une passerelle au programme de génie de l’Université Laurentienne

7 décembre 2017 - Les universités Algoma et Laurentienne collaborent afin d’offrir aux étudiants du Sault Ste. Marie l’occasion d’étudier le génie près de chez eux. Les demandes seront acceptées dès maintenant pour l’admission en septembre 2018.

« Nous sommes heureux d’offrir la première année d’études en génie à l’Université Algoma, a dit la rectrice de cet établissement, Mme Asima Vezina. Le besoin en ingénieurs se ressent dans notre communauté et ce partenariat avec la Laurentienne aidera à appuyer nos étudiants locaux qui souhaitent rester dans leur patelin. Le programme de la Laurentienne est exceptionnel et nous sommes heureux de collaborer avec elle afin d’accroître le nombre d’étudiants dans ce domaine. Nous nous réjouissons aussi de voir des employeurs comme Algoma vouloir accueillir des stages d’enseignement coopératif pendant la troisième année d’études. Ces partenariats sont aussi essentiels pour motiver les jeunes à rester dans notre communauté. »

Algoma offrira à quatre étudiants de troisième année des stages d’enseignement coopératif d’un an. « Nous sommes heureux de participer à la formation sur la scène locale de futurs ingénieurs, a affirmé le vice-président aux ressources humaines d’Algoma, M. Jim Rennie. Nos étudiants acquerront une expérience directe de projets stimulants comme ceux offerts par un fabricant de pointe. Nous espérons que nombre d’entre eux reviendront au Sault, diplôme en main, pour de carrières longues et prospères à Algoma. »

L’entente permettra aux étudiants admissibles d’effectuer la première année d’études à l’Université Algoma, au Sault Ste. Marie, et de poursuivre la deuxième année d’études en génie (mécanique, chimique ou minier) à l’Université Laurentienne, à Sudbury. En première année à l’Université Algoma, les étudiants suivront des cours dans des domaines comme les mathématiques, la chimie et la physique, ce qui les prépara à se lancer dans le domaine du génie. Par la suite, ils effectueront le transfert direct à la deuxième année du programme de l’École de génie Bharti à l’Université Laurentienne.

« L’École de génie Bharti affiche une croissance et un succès des plus formidables au cours des dix dernières années, a ajouté le directeur de l’École de génie Bharti, M. Markus Timusk. Ce partenariat avec l’Université Algoma est l’occasion rêvée d’ouvrir l’accès à une formation en génie dans le nord de l’Ontario. »

En deuxième année, les étudiants profitent de la réputation et des inscriptions rehaussées de l’École de génie Bharti. La Laurentienne a un taux d’emploi de 95 % après l’obtention du diplôme, taux qui est le plus élevé de la province, et cela se traduit en choix de carrières multiples pour les nouveaux diplômés de génie. Les études se feront dans le nouvel Édifice de recherche, d’innovation et de génie Clifford A. Fielding qui est actuellement construit sur le campus de la Laurentienne. L’édifice hébergera quatre laboratoires Capstone d’innovation, un laboratoire d’analyse de matériaux, un laboratoire sur l’environnement et la mécanique des sols, un atelier d’usinage et de développement de prototypes, un amphithéâtre et un laboratoire à logiciel intégré, et un laboratoire sur l’hydraulique et la mécanique des fluides.

Les programmes de baccalauréat en génie sont reconnus par le Bureau canadien d’agrément des programmes de génie.

Une séance d’information pour les étudiants éventuels et leurs parents ainsi qu’un repas du midi pour les employeurs auront lieu le mardi 19 décembre. Vous pouvez obtenir de plus amples renseignements en envoyant un message à info@algomau.ca.

Pour obtenir un complément d’information sur le programme ou faire une demande d’admission, veuillez consulter www.algomau.ca/engineering.

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-neuf centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, l’astrophysique des particules ainsi que la santé et la sécurité professionnelles. Plus de renseignements sur l’Université Laurentienne figurent à www.laurentienne.ca.

 

Au sujet de l’Université Algoma​

Créée en 1965, l’Université Algoma, au Sault Ste. Marie, en Ontario, est une petite université de premier cycle axée sur l’enseignement qui vise à subvenir aux besoins du nord de l’Ontario en offrant un éventail de diplômes dans les arts libéraux, sciences et disciplines professionnelles. Partenaire de Shingwauk Kinoomaage Gamig et de la Children of Shingwauk Alumni Association, l’Université Algoma assume la mission spéciale de favoriser l’apprentissage interculturel entre les populations autochtones et allochtones. Elle offre aussi des programmes à distance à Bramptom et à Timmins. Pour obtenir un complément d’information, consultez www.algomau.ca.

La Laurentienne occupe la première place parmi les université de recherche de premier cycle au Canada et dépasse largement a moyenne nationale

La Laurentienne occupe la première place parmi les université de recherche de premier cycle au Canada et dépasse largement a moyenne nationale

L’Université Laurentienne se classe au premier rang pour le revenu de recherche parmi les universités de sa catégorie dans le classement des 50 meilleures universités de recherche au Canada, qui a été compilé par Research Infosource Inc.

Selon le classement, la Laurentienne a obtenu 23 400 000 $ en fonds de recherche pour 2015-2016, la plaçant en tête des universités de recherche de premier cycle au pays. En général, l’Université Laurentienne se classe au 30e rang parmi les 50 meilleures universités polyvalentes et de tous les cycles au Canada. Elle figurait en 33e place sur la liste de l’an dernier.

« La qualité et l’ampleur de nos recherches font de l’Université Laurentienne l’une des écoles de premier plan pour la population étudiante et le corps professoral, non seulement du nord de l’Ontario, mais de tout le pays, a dit le vice-recteur à la recherche de la Laurentienne, M. Riu Wang. Nos chercheurs sont tout simplement les meilleurs. Que ce soit en matière de mines, d’environnement, de questions autochtones ou de recherche médicale, la Laurentienne constitue un excellent investissement pour l’avenir. »

L’Université Laurentienne a surpassé beaucoup d’établissements postsecondaires en ce qui concerne la croissance du revenu de recherche pour l’année. Même si la croissance moyenne au pays était de 2,2 %, la Laurentienne a enregistré une augmentation de 18,3 %.

« Cette croissance ne doit surprendre personne qui sait combien nous mettons l’accent sur l’innovation et la découverte, a ajouté M. Wang. Les gouvernements, nos donateurs et nos merveilleux partenaires commerciaux savent qu’un investissement dans la Laurentienne se traduit par des connaissances, des découvertes, de nouvelles techniques et une profusion d’autres avantages pour l’économie, nos communautés et notre pays. »

Les réussites en matière de recherche à l’Université Laurentienne se font valoir dans beaucoup de domaines d’études, allant de programmes primés en exploitation minière, biochimie et restauration environnementale à des projets pionniers, y compris l’Institut de recherche autochtone Maamwizing. On s’attend que le revenu et l’incidence des recherches continueront de croître et d’éclore en raison de l’inauguration, en 2018, de l’Édifice de recherche, d’innovation et de génie Cliff Fielding de 30 000 000 $.

« Bien sûr, ce classement est une preuve valorisante des répercussions de tous les travaux accomplis au fil des ans par notre corps professoral, nos chercheurs et notre personnel pour transformer la Laurentienne en une véritable puissance de recherche en Ontario, a affirmé le recteur et vice-chancelier par intérim de la Laurentienne, M. Pierre Zundel. Au moment où nous nous préparons à dévoiler notre nouveau Plan stratégique quinquennal, nous continuerons à miser sur ces fondements solides afin d’assurer une place à notre université à la tête du peloton. Il n’y a pas de limites au potentiel de notre université et de nos gens. »

L’École d’architecture McEwen de la Laurentienne gagne un important prix pour l’intégration du bois dans la conception Canadienne moderne

L’École d’architecture McEwen de la Laurentienne gagne un important prix pour l’intégration du bois dans la conception Canadienne moderne

L’équipe d’architecture de l’École McEwen remporte le prix 2017 Ontario Wood WORKS! pour un bâtiment innovateur à Sudbury

The designers of one of Canada’s most innovative educational buildings have received a prestigious award for their focus on woodwork in modern architectural teaching and design. LGA Architectural Partners, responsible for designing the McEwen School of Architecture building in downtown Sudbury, has been granted the Ontario Wood WORKS! 2017 prize in the “$10-million Institutional” category.  The prize was handed out by the Canadian Wood Council on November 1, 2017 at a special ceremony in Toronto.

“This award is well-deserved for the innovative Cross-Laminated Timber (CLT) wing of the McEwen School of Architecture” said Dr. Terrance Galvin, Founding Director of the MSoA. “The LGA team did their research in wood early on in the design process of the School, successfully applying for a $350,000 Centre for Research & Innovation in the Bio-economy (CRIBE) grant early on in the design process. The design team’s work has paid off with this award.”

Woodwork and design have been at the heart of the McEwen project from the very beginning. Since classes began in 2013, students have focused on creative uses of traditional, sustainable resources as well as state-of-the-art designs in their work and have already won a number of prestigious awards, including the 2016 Bergen International Wood Festival in Norway.

That same philosophy guided the LGA Architectural Partners design for Phase 2 of the McEwen School’s building which opened at the beginning of 2017. From exposed beams and innovative integration of wood features with high-tech equipment, to the preserved wood features of the historic CP Telegraph train shed building which houses the Fabrication Labs, the blending of natural wood design and modern concepts is key to the facility’s beauty and functionality.

“The McEwen School of Architecture is a prime example of the ingenuity and bold thinking that make our university a Canadian leader in education and research,” said Pierre Zundel, Laurentian University’s Interim President and Vice-Chancellor. “I congratulate the LGA team for this award and their outstanding ability to place our region’s forestry resources and landscape at the heart of the project.  Those elements, along with our country’s Indigenous peoples and French and English cultures, combine to make the McEwen School of Architecture a unique place to study innovation in order to design buildings using renewable resources for the future.”

 

About Laurentian University

Laurentian University offers an outstanding university experience in English and French, with a comprehensive approach to Indigenous education.  Laurentian University, situated on the traditional territory of the Anishinabe peoples of Atikameksheng First Nation, prepares students as agents of change and empowers them to create innovative responses to local and global challenges. Laurentian’s students benefit from small class sizes and exceptional post-graduation employment rates.  With nine Canada Research Chairs and eighteen research centres, Laurentian is a recognized leader in its specialized areas of research strength, which include mining innovation and exploration, stressed watershed systems, particle astrophysics and rural and northern children’s health. Laurentian University has secured over $100 million in research income in the past five years. 

Le Centre ontarien sur l’impact climatique et l’adaptation des ressources de MIRARCO sera membre du nouveau groupe d’expert sur l’adaptation au changement climatique

Le Centre ontarien sur l’impact climatique et l’adaptation des ressources de MIRARCO sera membre du nouveau groupe d’expert sur l’adaptation au changement climatique

Le groupe d’expert national donnera des conseils au gouvernement fédéral sur la manière de quantifier le progrès de l’adaptation aux changements climatiques.

Al Douglas, Directeur du Centre ontarien sur l’impact climatique et l’adaptation des ressources (OCCIAR) de MIRARCO, un centre de recherche de l’Université des Laurentiennes, sera membre du nouveau groupe d’expert sur les résultats de l’adaptation et de la résilience aux changements climatiques.

Les changement climatiques ont déjà des conséquences négatives et posent des risques significatifs aux communautés ainsi qu’au secteur privé et à l’environnement. Prenant acte de cette réalité, des mesures sont actuellement prise par les gouvernements, les entreprises ainsi que les individus pour s’adapter aux conséquences des changements climatiques. 

« Il est important pour nos gouvernements de savoir si les mesures prises pour améliorer la résiliences et l’adaptation aux changements climatiques sont efficaces, » explique Al Douglas. « Nous avons besoin de savoir si les mesures prises sont les bonnes et si elles fonctionnent ainsi que si elles sont viable économiquement. » 

Le nouveau groupe d’expert présentera un rapport au Dr. Stephen Lucas, sous-ministre canadien de l’Environnement et du changement climatique, au printemps 2018. Ce rapport a pour but de mettre en évidence les indicateurs qui aiderons le Canada à quantifier son progrès quant à l’adaptation et à la résilience aux changements climatiques et ce pour l’ensemble du pays.  

« Les Premières Nations, les communautés et plusieurs secteurs économiques de l’Ontario font face à des difficultés ainsi que des opportunités liées aux changements climatiques, » souligne Al. « Je crois que le travail de ce groupe d’experts peut jouer un rôle majeur dans la façon dont nous nous adaptons, collectivement, aux changements climatiques. »  

 

Faits en bref: 

Ces exemples mettent en évidence les conséquences et l’adaptation qui a déjà eu lieu en Ontario. Les investissements croissant dans l’adaptation aux changements climatiques ont fait naître un fort intérêt pour le contrôle des progrès ainsi que l’évaluation de l’efficacité des adaptations dans le but de remédier aux vulnérabilités et aux risques. Le Groupe d’experts établira des indicateurs qui aideront le Canada et l’Ontario pour quantifier les progrès d’adaptation et de résilience.  

  • Les changements climatiques se traduisent par des événements météorologiques extrêmes impliquant des dommages sans précédent. Le 13 juillet 2013, la ville de Toronto a reçu 126 mm de pluie en seulement deux heures, causant plus de 1 milliard de dollars en dommages-intérêts. À ce jour, c'est la catastrophe naturelle la plus coûteuse de l'Ontario. Afin d'accroître sa résilience, Toronto a entrepris des études pour évaluer sa vulnérabilité et s'efforce d’améliorer ses infrastructures liées aux eaux pluviales.
  • Depuis 1948, l'Ontario a connu une hausse de sa température moyenne annuelle de 1.5°C et constate plus de jours avec une température supérieure à 30°C. Ces événements de chaleur extrême peuvent causer des blessures et des maladies sévères, comme des coups de chaleur, l'épuisement par la chaleur, voire même la mort. De nombreuses communautés en l'Ontario (p. ex. Toronto, Windsor). prennent des mesures en développant des systèmes d’alertes et d‘intervention à la chaleur (SAIC) ainsi qu’en ouvrant des centres spéciaux de rafraichissement lors des journées extrêmement chaudes afin de protéger la population contre les maladies liées à la chaleur.
  • Les feux de forêt posent un danger important pour les communautés de l’Ontario. En juillet 2011, environs 120 feux de forêt ont été enregistré au nord de l’Ontario durant une période de 17 jours. Ces incendies ont causé l’évacuation de 3,292 personnes de 8 communautés des Premières nations en raison de l’inhalation de fumée, de pénurie alimentaire, et d’un manque en capacité pour stockage de nourriture. Les habitants sont encouragés à télécharger un fichier qui s’appelle FireSmart, un manuel fournissant des outils de planification qui permettent d’atténuer les risques d’incendie.
  • En Ontario, les activités hivernales (p.ex. pêche sur glace, motoneige) ont été touchée par le réchauffement des températures hivernales et les conditions météorologiques plus variables. Pour ces raisons, la station de ski des Blue Mountain a diversifié sa stratégie commerciale afin d’accueillir des activités pouvant être pratiquées toute l’année et a investi dans des équipements d’enneigement artificiel.
  • Le gouvernement d’Ontario va publier un plan pour l’adaptation aux changements climatiques et ainsi devenir plus résilient en 2017. Il s’appuiera sur le dernier plan stratégique provincial de mesures d’adaptation,  L’adaptation au changement climatique : Stratégie et plan d’action de l’Ontario 2011-2014. 

 

À Propos OCCIAR 

Le Centre ontarien sur l’impact climatique et l’adaptation des ressources (OCCIAR) est un pôle de ressources en ce qui concerne les conséquences et l’adaptation aux changements climatiques. Il fait partie de MIRARCO, un centre de recherche de l’Université des Laurentienne à Sudbury en Ontario. Avec plus de 16 ans d’expérience dans tous les secteurs de l’économie et de la société, nous sommes les chefs de file dans le domaine de l’adaptation aux changements climatiques. Notre but est d’informer et de faciliter les processus d’adaptation, en s’assurant que les décisions prise aujourd’hui sont basée sur les défis climatiques de demain. Cela est fait en développant et implémentant les ressources et les outils dont les communautés, les professionnels et les experts de tous les horizons ont besoins dans le processus de prise de décision. Nous communiquons sur les dernières recherches ayant trait à l’adaptation et la résilience aux les changements climatiques et favorisons les discussions critiques à l’intérieure et entre les communautés et les différents secteurs qui aide a amélioré cette résilience. 

 

À Propos le Groupe d’experts:  

Le Groupe d’experts fournira des conseils au gouvernement du Canada pour quantifier les progrès accomplis en matière d’adaptation et de résilience aux changements climatiques, afin de mieux comprendre dans quelle mesure les efforts d’adaptation fédéraux, provinciaux et territoriaux permettent au Canada de renforcer sa résilience aux changements climatiques, notamment en offrant des renseignements à jour, en appuyant les infrastructures adaptées au climat et en modernisant les codes du bâtiment. Le Groupe d’experts aidera, en plus,  le gouvernement fédéral à mieux communiquer aux Canadiens comment nous nous préparons et nous adaptons aux conséquences actuels et futurs des changements climatiques. 

Le Groupe d’experts appuiera le Cadre pancanadien sur la croissance propre et les changements climatiques, le plan du Canada visant à réaliser notre objectif de réduction des émissions de gaz à effet de serre, à renforcer la résilience aux effets des changements climatiques et à créer une croissance et des emplois propres en investissant dans les technologies propres, l’innovation et l’infrastructure. 

Le Dr. Blair Feltmate, chef du Centre Intact d’adaptation au climat de l’Université de Waterloo, présidera le Groupe d’experts. Des représentants du milieu universitaire, du secteur privé, d’organisations gouvernementales et non gouvernementales et des peuples autochtones feront également partie du Groupe d’experts. Les provinces et les territoires participeront également aux travaux de ce dernier.  

Pour obtenir plus de renseignements à ce sujet, veuillez consulter ici.

L’École des mines Goodman de la Laurentienne lance un programme menant à un certificat en gestion de projets

L’École des mines Goodman de la Laurentienne lance un programme menant à un certificat en gestion de projets

L’École des mines Goodman à l’Université Laurentienne a lancé officiellement un nouveau programme menant à un certificat en gestion de projets. Dans ce programme, les étudiants acquerront une formation en matière de ressources, techniques et pratiques requises pour veiller, avec succès, à tous les aspects de la gestion de projets industriels dans divers domaines dans le nord de l’Ontario.

« Ce nouveau programme de certificat est le plus récent témoignage du leadership de l’École Goodman en recherche et enseignement dans le domaine minier, a dit le directeur général fondateur de l’École des mines Goodman, M. Bruce Jago, Ph.D. Le programme va toutefois plus loin. Les compétences acquises dans la gestion de projets profiteront à tous les secteurs industriels de notre région et d’ailleurs. »

Le Certificat en gestion de projets de l’École des mines Goodman aborde le cycle complet de projet, de la mise sur pied au parachèvement, en passant par la planification et l’exécution. Le programme est composé de deux séries de cours et commence par un cours obligatoire de trois jours intitulé « Project Management Essentials » (PME; essentiels de la gestion de projet). Ce cours, qui comporte une journée d’études autonomes en ligne suivie de deux jours en salle de classe, initie les nouveaux gestionnaires de projets et membres d’équipe aux techniques/outils variés de la gestion de projets et aux principaux éléments requis pour que les projets soient couronnés de succès.

Pour faire suite au cours PME, les participants doivent choisir sept autres journées de formation parmi les suivantes :

  • 1 jour : présentation de la technique « Agile »
  • 1 jour : gestion des intervenants de projet
  • 1 jour : pratiques exemplaires en matière de clôture de projet
  • 1 jour : approvisionnement de projet et gestion de contrats
  • 2 jours : analyse opérationnelle à l’intention des gestionnaires de projets
  • 2 jours : pratiques de gestion de risques
  • 3 jours : préparation à l’examen de Certified Associate in Project Management (CAPR) administré par le Project Management Institute
  • 5 jours : préparation à l’examen d’agrément comme professionnel de la gestion de projets (PMP)

 

Le Certificat en gestion de projets de l’École des mines Goodman fait suite à une série de cours pertinents offerts au printemps 2017 qui a connu beaucoup de succès, attirant une vingtaine de participants d’un grand éventail de secteurs industriels qui tireront profit de cette formation professionnelle. Ces participants provenaient de quatre communautés autochtones nord-ontariennes, du secteur minier, de municipalités locales et de la communauté universitaire de la Laurentienne.

« La plupart des gens qui ont participé à nos premiers cours de gestion de projets se sont dits bien satisfaits des techniques et outils acquis et de l’atmosphère d’entraide qui est un élément clé de notre style pédagogique, a ajouté M. Jago. Notre nouveau programme de certificat repose sur ces fondements et permet de continuer d’offrir une formation professionnelle, abordable et efficace apportant des compétences dont profiteront nos communautés et nos industries au cours des années à venir. »

M. Ming Cai gagne le prestigieux prix John A. Franklin

M. Ming Cai gagne le prestigieux prix John A. Franklin

M. Cai est reconnu pour ses travaux à trouver des solutions innovatrices en vue d’améliorer la sécurité et l’efficacité des mines.

L’Université Laurentienne tient à féliciter M. Ming Cai, Ph.D., titulaire de la Chaire de recherche en géomécanique à l’UL, qui a reçu le prestigieux Prix John A. Franklin de la Société canadienne de géotechnique (SCG). Ce prix souligne les travaux de M. Cai en mécanique et ingénierie des roches qui visent à améliorer la sécurité et l’efficacité dans l’industrie minière canadienne et mondiale.

« Je suis à la fois fier et humble et remercie la SCG de ce prix, a dit Ming Cai, Ph.D., qui est aussi professeur titulaire à l’Université Laurentienne. Cet honneur de mes pairs est une grande leçon d’humilité, mais je m’enorgueillis des travaux que nous accomplissons à la Laurentienne pour améliorer les technologies et pratiques minières dans l’intérêt de l’industrie et de ses travailleurs. »

Représentant les ingénieurs civils et miniers, la Société canadienne de géotechnique a créé le Prix John A. Franklin pour rendre hommage aux personnes apportant des contributions exceptionnelles à la mécanique et à l’ingénierie des roches. Le prix de 2017 a été remis à M. Cai pour reconnaître ses travaux en matière de support rocheux dans des conditions terrestres ardues, d’interprétation d’émissions acoustiques et de données de surveillance microséismique et d’approches quantitatives proposées pour estimer les forces maximales et résiduelles de masses rocheuses.

« Je félicite M. Cai, car il est digne de ce prestigieux prix, a dit le PDG de MIRARCO (Société de recherche appliquée en innovation minière et de réhabilitation) à l’Université Laurentienne, M. Vic Pakalnis. Il incarne en effet le meilleur de ce qu’offrent MIRARCO et notre Université en ce qui concerne le développement d’outils révolutionnaires pour l’industrie minière. »

Parmi les réalisations de M. Cai soulignées par le Prix John A. Franklin, il faut mentionner la mise au point de produits de soutien rocheux pour prévenir les coups de toit, effet des activités minières à grande profondeur pouvant mettre des vies en danger. Ces produits comprennent un boulon d’ancrage dynamique MCB33 utilisé par certaines mines profondes au Canada et un autre boulon d’ancrage prototype ayant une superbe capacité dynamique de soutien qui pourrait améliorer la sécurité et la productivité dans les mines souterraines à grande profondeur.

« C’est grâce à des chercheurs comme M. Cai que la Laurentienne s’est taillé une réputation de leader dans le développement de techniques et d’outils efficaces et rentables qu’emploie actuellement l’industrie minière et qui serviront aussi à l’avenir, a dit le recteur et vice-chancelier par intérim de l’Université Laurentienne, M. Pierre Zundel, Ph.D. Je félicite Ming de ce prix et me réjouis à la perspective de ses futurs travaux, non seulement dans le laboratoire, mais aussi en salle de classe, où il aide à former la prochaine génération de chercheurs créatifs et innovateurs. »

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-neuf centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, l’astrophysique des particules ainsi que la santé et la sécurité professionnelles.

L’Université Laurentienne et l’Association des professeurs de l’Université Laurentienne ratifient une convention collective de trois ans

L’Université Laurentienne et l’Association des professeurs de l’Université Laurentienne ratifient une convention collective de trois ans

Aujourd’hui, le Conseil des gouverneurs de la Laurentienne a ratifié l’entente à l’unanimité.

10 octobre, 2017

L’Association des professeurs de l’Université Laurentienne (APUL) et l’Université Laurentienne ont ratifié officiellement une nouvelle convention collective. Vendredi dernier, les membres de l’APUL ont voté en faveur (98 %) du prolongement de trois ans de la convention collective qui est arrivée à échéance le 30 juin. Aujourd’hui, le Conseil des gouverneurs de la Laurentienne a ratifié l’entente à l’unanimité.

« L’accord est une bonne nouvelle pour notre personnel et l’ensemble de notre collectivité universitaire, a dit le recteur et vice-chancelier par intérim, Pierre Zundel, Ph.D. Je tiens à remercier les équipes de négociation de l’UL et de l’APUL pour tous leurs efforts et leur collaboration. Cette entente donne à notre corps professoral la stabilité et les soutiens dont il a besoin pour continuer à offrir un enseignement de calibre mondial à notre population étudiante tout en assurant la solidité organisationnelle alors que nous peaufinons le Plan stratégique 2018-2023 de l’Université. »

Le prolongement de trois ans du contrat sera en vigueur jusqu’au 30 juin 2020. Les modalités de l’entente prévoient une augmentation salariale normative annuelle pour les membres de l’APUL et les deux parties s’engagent à entamer les discussions en matière de pension et d’équité dans la charge de travail.

« Je remercie les deux équipes de négociation qui ont travaillé si fort pour mener à bonne fin ce cycle de négociation assez ardu, a dit le président de l’APUL, Jim Ketchen, Ph.D. Nous croyons que le Conseil aussi bien que l’administration de la Laurentienne ont pris connaissance des préoccupations du corps professoral. L’entente fait valoir ces préoccupations, ce qui accorde à l’Université Laurentienne une position avantageuse allant de l’avant pour offrir un enseignement de qualité et poursuivre des recherches très importantes. »

L’Université Laurentienne et l’APUL tiennent à remercier les membres des équipes de négociation dirigées par Denis Hurtubise, Ph.D., pour l’APUL, et Geoff Tierney, pour l’Université Laurentienne, de leur dévouement et de leur engagement envers la conclusion d’une entente mutuellement avantageuse.

Les étudiants qui n’ont pas une semaine d’études prévue à l’horaire seront de retour en classe à compter de mercredi. Tous les autres étudiants reprendront les cours le lundi 16 octobre.

L’APUL représente 373 membres à plein temps et 304 membres à temps partiel du corps professoral de l’Université Laurentienne à Sudbury et à Barrie.
 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-neuf centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, l’astrophysique des particules ainsi que la santé et la sécurité professionnelles.

L'Université Laurentienne et L'Association des professeures de l’Université Laurentienne parviennent à un accord provisoire

L'Université Laurentienne et L'Association des professeures de l’Université Laurentienne parviennent à un accord provisoire

October 10, 2017

Although it was previously mentioned that classes would resume on Tuesday October 10th, at this point in time, pending a final ratification vote, classes will only start on Wednesday the 11th of October - for those who had a regularly scheduled class time that day (Faculty of Education and Barrie, for example). The reading week continues as scheduled for those who had one. A confirmation email will be sent to firm up the October 11th date after the ratification vote takes place.  Placements can also resume as of that date, as long as the department gives its approval.

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October 7, 2017

The Laurentian University Faculty Association (LUFA) and Laurentian University are pleased to announce they have reached a tentative agreement that will end the faculty strike.

“I am pleased that both bargaining teams have reached an agreement that fulfills the needs of our faculty and the university,” said Interim Laurentian President and Vice-Chancellor, Pierre Zundel. "Now we can all get back to providing a world-class education to our students."

“I am proud of our team and what we have all accomplished,” added Dr. Jim Ketchen, President of LUFA. “It hasn’t been easy but both sides should be congratulated for reaching this agreement.”

The tentative agreement is subject to ratification by LUFA members and the University’s Board of Governors.

Both parties will work to ensure ratification votes happen as quickly as possible so that faculty and students can return to the classroom.

LUFA and Laurentian University are committed to moving forward together to make sure that the return to class is smooth.

Classes will resume on October 16th for those students with a reading week. Courses in Barrie and online will resume Tuesday pending ratification.  More details will be available at laurentian.ca.

The terms of the tentative agreement will not be disclosed at this time.

La grande finale du plus vaste project de modernisation de l'histoire de l'université

La grande finale du plus vaste project de modernisation de l'histoire de l'université

Clôture du projet de modernisation du campus de 63 000 000 $ de la Laurentienne par l’inauguration de nouveau Centre d’accueil et le dévoilement du témoignage de reconnaissance des donateurs à la campagne Objectif 50

​L’Université Laurentienne a célébré le parachèvement du projet de modernisation du campus, chiffré à 63 000 000 $, lors de l’inauguration du nouveau Centre d’accueil. Situé au cœur de campus, ce nouveau point d’accueil et d’orientation reçoit les membres de la population étudiante et les visiteurs et leur donne accès aux renseignements et services du campus.

Parmi les transformations et nouveautés apportées au campus de Sudbury, il faut souligner le Centre autochtone de partage et d’apprentissage, le Centre d’apprentissage des cadres, le Club universitaire, la remise à neuf de 60 salles de classe et laboratoires, le réaménagement de taille du Pavillon Alphonse-Raymond et l’ajout du Centre d’accueil et de l’atrium qui s’élève sur trois étages. Le nouvel atrium est pourvu de places informelles à chaque étage qui se prêteront aux études et aux rencontres sociales ainsi que des sièges en gradins à partir du rez-de-chaussée à utiliser pour les activités spéciales sur le campus.

« Depuis le début du projet en octobre 2014, il y a eu des travaux de construction sur 250 000 pieds carrés de salles de classe, d’espaces de recherche et d’études et d’aires publics, a dit le recteur et vice-chancelier par intérim de l’Université Laurentienne, M. Pierre Zundel. Il s’agissait du plus vaste programme de rénovation et d’expansion à la Laurentienne depuis sa fondation dans les années 1960 et il est gratifiant de constater les avantages que procure maintenant cette initiative colossale à notre population étudiante. »

Le nouveau Centre d’accueil comprend aussi un important témoignage de reconnaissance aux quelque 200 donateurs qui ont contribué chacun plus de 10 000 $ à la campagne « Objectif 50 » de l’Université. Lancée en 2010 pour marquer le 50e anniversaire de la Laurentienne, la campagne de mobilisation de fonds comptait plus de 10 000 donateurs, a recueilli au-delà de 65 000 000 $ et a apporté des contributions à d’importants projets, y compris le centre de recherche de pointe sur l’écologie de l’eau douce, la création de plus de 200 nouvelles bourses d’aide et d’études, la fondation de l’École des mines Goodman et l’établissement de la première chaire de recherche au Canada en exploitation de mines à ciel ouvert.

« L’histoire d’Objectif 50 : Notre campagne est marquée d’exemples inspirants de générosité de nos donateurs, de succès d’étudiants et d’appui communautaire remarquable, a dit la dirigeante principale de l’Avancement à l’Université Laurentienne et présidente de la campagne Objectif 50, Mme Tracy McLeod. Le fait de voir les noms des personnes qui ont fait des investissements dans notre population étudiante nous rappellera quotidiennement l’effet transformateur que la campagne Objectif 50 a eu sur la philanthropie dans le nord de l’Ontario. »

 « Le nouveau Centre d’accueil est vite devenu le cœur de notre beau campus et est le parfait endroit où célébrer la conclusion de l’ambitieux projet de modernisation de l’Université, a ajouté la présidente du Conseil des gouverneurs de la Laurentienne, Mme Jennifer Witty. Beaucoup des résultats visés par le Plan stratégique 2012-2018 se rattachaient à ce projet, et je suis très fière de la souplesse et de la patience dont la communauté universitaire a fait preuve et de l’orientation qu’elle a assurée dans le cadre de ce processus. Tout le monde a collaboré pour jeter les fondements d’un établissement qui servira notre région pour les générations à venir. »

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-neuf centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, l’astrophysique des particules ainsi que la santé et la sécurité professionnelles.

L'Université Laurentienne lance la première maîtrise en communication scientifique au Canada

L'Université Laurentienne lance la première maîtrise en communication scientifique au Canada

L’Université Laurentienne a célébré aujourd’hui le lancement du premier et unique programme complet de maîtrise en communication scientifique au Canada. Au début de septembre, la première cohorte d’étudiants a entrepris ses études dans le programme intensif de 12 mois.

La maîtrise en communication scientifique propose une expérience pluridisciplinaire abordant la théorie sous-jacente aux bonnes communications tout en examinant les défis pratiques que pose la communication efficace des sciences ainsi que les questions touchant les sciences en société. Les personnes actuellement inscrites au programme de diplôme d’études supérieures en communication scientifique ont pu faire la transition à la maîtrise en effectuant trois mois de cours supplémentaires.

« Ce programme de maîtrise est une prolongation naturelle du diplôme d’études supérieures que nous offrons depuis 2005 en partenariat avec Science Nord et saura répondre à la demande croissante pour nos diplômés, a dit la directrice du programme de communication scientifique à l’Université Laurentienne, Chantal Barriault, Ph.D. Les sciences se lient aux décisions qui touchent toutes les composantes de la vie, et les gens devraient être capables de faire des choix éclairés, sans avoir besoin d’un diplôme dans les sciences. C’est là que nos étudiants entrent en jeu. »

Selon Mme Barriault, les tendances en matière de recherches, d’industries et de politiques publiques dans les sciences font ressentir le besoin de personnes compétentes dans ce domaine en pleine expansion. Les diplômés de la Laurentienne sont des experts à communiquer le travail des meilleurs chercheurs et scientifiques à des publics de toutes les sortes, allant des enfants aux politiciens, et travaillent dans des domaines divers, y compris le gouvernement, les organismes non gouvernementaux, les secteurs industriels, les centres de sciences, les zoos, les aquariums, les publications de vulgarisation scientifique et les établissements de recherche de pointe.

« La mission centrale de Science Nord est de faire participer les gens au croisement entre les sciences et la vie quotidienne en leur communiquant les sciences d’une façon agréable et accessible, a dit le PDG de Science Nord, Guy Labine. En lançant le diplôme d’études supérieures en communication scientifique 12 ans passés en partenariat avec l’Université Laurentienne, nous l’envisagions comme une suite logique du travail effectué quotidiennement dans les centres de sciences. Les diplômés du programme ont une incidence concrète sur notre connaissance et notre compréhension des sciences d’aujourd’hui. L’évolution à la maîtrise témoigne de la reconnaissance au plan mondial de l’importance de la vulgarisation scientifique et n’aurait pas été possible sans notre partenariat étroit avec l’Université Laurentienne, Mme Chantal Barriault, M. David Pearson et mon prédécesseur, M. Jim Marchbank. » 

« Nous nous réjouissons d’offrir ce programme exceptionnel de communication scientifique au niveau de la maîtrise, a dit le vice-recteur aux études, Serge Demers, et attendons avec intérêt de poursuivre sur cette lancée avec nos partenaires à Science Nord. »

D’autres renseignements sur le programme figurent à https://laurentian.ca/program/science-communication.

 

À propos de Science Nord

Science Nord est l’attraction touristique la plus populaire du nord de l’Ontario et une ressource éducative à la disposition des enfants et adultes venant de tous les coins de la province. Science Nord gère les deuxième et huitième centres des sciences au Canada, et comprend le centre des sciences, la salle IMAX, le Planétarium, la galerie de papillons, la grande salle d’exposition et Terre dynamique – site du Big Nickel – un  centre distinct axé sur les mines et les sciences de la Terre. En plus des deux centres de sciences à Sudbury, Science Nord dirige aussi un secteur primé de production de films grand format et un secteur de ventes internationales, qui préparent des expositions personnalisées toutes faites pour vente ou location aux centres des sciences, musées et autres organismes culturels partout dans le monde. En partenariat avec l’Université Laurentienne, Science Nord offre le premier et unique programme de communication scientifique en Amérique du Nord. Science Nord est également installé à Thunder Bay, d’où il dessert le Nord-Ouest de la province en réalisant des expériences scientifiques dans les écoles et à divers festivals, organisant des camps d’été, et bien plus, ce qui s’inscrit dans le cadre de son mandat d’assurer des expériences scientifiques partout dans le nord de l’Ontario. De plus amples renseignements sur Science Nord, organisme du gouvernement de l’Ontario, sont affichés à sciencenord.ca.

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-neuf centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, l’astrophysique des particules, et la santé et la sécurité au travail. D’autres renseignements sur l’Université Laurentienne figurent à www.laurentienne.ca.

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