Vous êtes maintenant dans la zone de contenu principale

L'Université Laurentienne inaugure son nouveau centre de recherche, d’innovation et de génie

L'Université Laurentienne inaugure son nouveau centre de recherche, d’innovation et de génie

  La Laurentienne célèbre l’inauguration de l’Édifice de recherche, d’innovation et de génie Cliff-Fielding de 30  000  000 $

Aujourd’hui, le député de Sudbury Paul Lefebvre s’est joint à des partenaires locaux, à des membres de la collectivité, ainsi qu’au personnel, au corps professoral et à la population étudiante de l’Université Laurentienne pour l’inauguration du nouvel Édifice de recherche, d’innovation et de génie Cliff-Fielding, événement qui entrera dans l’histoire de l’établissement.

Les nouvelles installations de 60 000 pieds carrés situées sur la Place des fondateurs du campus de Sudbury (entre les édifices Parker et Fraser) hébergent tous les programmes de génie, à savoir génie minier, chimique et mécanique, avec un espace pour l’ajout d’un futur programme complet de génie civil. « Le besoin d’un nouvel édifice se ressentait de manière critique, a dit le vice-recteur intérimaire à la recherche, M. Rizwan Haq, car l’effectif dans nos programmes de génie a augmenté de 700 étudiants au cours de la dernière décennie, sans aucun nouvel espace pour eux. »

L’édifice abritera également des locaux de recherche-développement, d’innovation et de commercialisation et des installations d’analyse de pointe pour les chercheurs et les secteurs industriels. Chacun de ces locaux a été établi en consultation avec le secteur industriel local afin d’optimiser les possibilités de collaboration interdisciplinaire.

« Cet édifice est remarquable et témoigne de notre engagement envers la réussite de la population étudiante et les besoins de notre collectivité a dit la présidente du Conseil des gouverneurs, Mme Jennifer Witty. Ce n’est pas seulement un édifice; cela représente l’engagement de l’Université Laurentienne envers le leadership en matière de recherche et d’innovation. »

Annoncé il y a deux ans, le 23 septembre 2016, le projet de 30 000 000 $ a été conçu par Yallowega Bélanger Salach Architecture à Sudbury et construit par M. Sullivan and Sons. Les gouvernements fédéral et provincial y ont investi 27 400 000 $ et des donateurs privés ont investi des fonds additionnels. Un don de 3 000 000 $ de Mme Lily Fielding et sa famille a été reconnu en baptisant l’édifice. Le nouveau centre de recherche et de développement de l’Université situé dans l’immeuble a été baptisé en honneur d’un don de 1 000 000 $ de la famille Perdue.

« Beaucoup de personnes et de partenaires clés ont joué un rôle clé pour concrétiser cet agrandissement critique des locaux de recherche et d’innovation, a ajouté le recteur et vice-chancelier par intérim de la Laurentienne, M. Pierre Zundel. L’Édifice de recherche, d’innovation et de génie Cliff Fielding profitera non seulement à la population étudiante, mais favorisera considérablement l’activité économique dans la Ville du Grand Sudbury, le nord-est de l’Ontario et ailleurs. »

Une professeure de l’Université Laurentienne et titulaire d'une Chaire de recherche fait partie des quatre Canadiennes sélectionnées pour participer à une expédition scientifique

Une professeure de l’Université Laurentienne et titulaire d'une Chaire de recherche fait partie des quatre Canadiennes sélectionnées pour participer à une expédition scientifique

Mme Tammy Eger fait partie des 95 scientifiques sélectionnées à l’échelle internationale pour participer à « Homeward Bound » dans l’Antarctique en 2019

Mme Tammy Eger, professeure de sciences de l’activité physique à l’Université Laurentienne, et titulaire de la Chaire de recherche en santé et sécurité au travail, fait partie des quatre Canadiennes sélectionnées pour la quatrième expédition « Homeward Bound » (HB4). Les 95 femmes représentant 28 pays suivront un programme de leadership intensif de douze mois visant les femmes des domaines des sciences, de la technologie, de l’ingénierie, des mathématiques et de la médecine (STIMM). Le point culminant de ce programme sera un voyage de trois jours dans l’Antarctique en novembre 2019 pour se renseigner sur le changement climatique et la science polaire.

« Homeward Bound » est une initiative mondiale lancée il y a dix ans pour équiper 1 000 femmes des domaines des STIMM des compétences pour diriger et influencer les politiques et la prise de décisions d’une manière qui aidera à créer un avenir durable pour la planète.

Selon l’Institut de statistique de l’UNESCO, moins de 30 % des chercheurs du monde sont des femmes. « Encore moins de femmes occupent des postes de direction dans les STIMM, a dit Mme Eger. Des initiatives comme celle-ci sont vitales pour offrir de la formation en leadership aux femmes et pour sensibiliser aux questions de genre dans ces domaines. »

« Je suis absolument ravie d’avoir été choisie pour participer à cette aventure unique dans la vie, a indiqué Mme Eger. Je suis impatiente de rencontrer les membres de mon groupe, de partager des expériences et de travailler avec elles pour améliorer les possibilités de leadership mondial pour les femmes des STIMM. »

Le programme de douze mois comporte quatre éléments de base : développement du leadership, capacité stratégique, visibilité et communication scientifique, collaboration scientifique. Offert par un corps professoral international expert, « Homeward Bound » comprend des exposés, des outils de développement personnel et du leadership, des séances d’encadrement, une formation à la visibilité et l’occasion d’établir des collaborations fructueuses dans des forums, dans des équipes axées sur un domaine d’intérêt, et divers petits groupes. Pour obtenir d’autres renseignements sur « Homeward Bound », y compris la liste des participantes HB4, visitez le site Web du programme.

La régime alimentaire urban est lié à l'obésité et à la glycémie élevée chez les ratons laveurs

La régime alimentaire urban est lié à l'obésité et à la glycémie élevée chez les ratons laveurs

L’Université Laurentienne examine les conséquences des déchets alimentaires des humains sur la faune

Les ratons laveurs qui vivent dans les régions urbaines se régalent de nos restes et en subissent les conséquences. Des chercheurs de l’Université Laurentienne ont trouvé que l’accès aux déchets alimentaires des humains augmente la masse corporelle et la glycémie dans les populations de ratons laveurs.

L’étude, publiée récemment dans la revue Conservation Physiology, a été dirigée par Albrecht I. Schulte-Hostedde, professeur en écologie évolutionnaire à l’Université Laurentienne, en collaboration avec le professeur adjoint Jeffrey Gagnon, chercheur sur l’obésité et les maladies métaboliques.

« Du point de vue évolutionnaire, les environnements urbains sont de nouveaux habitats pour les ratons laveurs, a déclaré M. Schulte-Hostedde. Nous voulons voir s’ils connaissent les mêmes problèmes que les humains, c.-à-d., l’obésité, le diabète, un syndrome métabolique. »

« La Laurentienne compte de nombreux biologistes de la vie sauvage et des écologistes, a expliqué M. Gagnon. Cette étude en collaboration m’a permis de fournir de l’expertise sur les effets métaboliques de la prise de poids découlant d’un régime alimentaire riche en gras et en sucre. »

L’étude a consisté à comparer des données provenant de trois groupes de ratons laveurs : ceux qui ont un grand accès à des déchets alimentaires d’humains et qui vivent sur le terrain du zoo de Toronto; ceux qui vivent dans une zone de conservation et ont un accès modéré à des déchets; ceux qui vivent dans une zone agricole et ont peu accès à des déchets alimentaires. Les résultats sont clairs : en raison de la grande consommation d’aliments d’humains, les ratons laveurs urbains affichent non seulement un excès de poids, mais ont aussi une glycémie élevée.

L’étude a en outre été menée dans le cadre de la thèse de premier cycle en biologie de Mlle Zvia Mazal, étudiante en quatrième année. « La publication d’un article sélectionné par un comité de lecture si tôt dans sa carrière est une réussite importante, a indiqué M. Gagnon, et témoigne de la qualité de nos étudiants et de nos programmes. »

Mme Claire Jardine, vétérinaire et professeure agrégée à l’Université de Guelph, a aussi participé à l’étude.

« La prochaine étape, a ajouté M. Schulte-Hostedde, serait d’explorer l’effet éventuel des aliments d’humains sur les ratons laveurs dans une perspective évolutionnaire. Restez à l’écoute. »

L’Université Laurentienne nomme le vice-recteur associé à l’enseignement et aux affaires francophones

L’Université Laurentienne nomme le vice-recteur associé à l’enseignement et aux affaires francophones

L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer la nomination de M. Yves Pelletier

Le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne a approuvé à l’unanimité la nomination de M. Yves Pelletier, Ph. D., au poste de vice-recteur associé à l’enseignement et aux affaires francophones pour un mandat renouvelable de cinq ans, à compter du 1er août 2018.

« M. Pelletier est un dirigeant chevronné et penseur stratégique du secteur postsecondaire, a indiqué le vice-recteur intérimaire aux études, M. Serge Demers, Ph. D., qui s’engage manifestement à améliorer l’offre et la qualité de programmes d’études de langue française. Il apporte à ce rôle une expérience appréciable, une expertise confirmée et des qualités incomparables de leader. »

Né et élevé à Sudbury, M. Pelletier a contribué considérablement au secteur postsecondaire au cours des vingt dernières années. Depuis 2013, il collabore directement avec des établissements postsecondaires au Canada pour appuyer des nouvelles directions stratégiques et diriger une gestion inclusive et participative du changement ainsi que des processus de planification commerciale. À titre de sous-ministre adjoint de l’enseignement postsecondaire au Nouveau-Brunswick, il a géré l’ensemble du secteur. En outre, il a mis à l’épreuve, pour la Fondation canadienne des bourses d’études du millénaire, des pratiques prometteuses pour écarter les obstacles à l’accès aux études postsecondaires. Au Conseil de recherches en sciences humaines, il a assuré la promotion de la recherche universitaire et l’expansion des possibilités de recherche. M. Pelletier a siégé à de nombreux conseils et comités en enseignement postsecondaire, dont le Conseil des ministres de l’Éducation du Canada, le Consortium national de la formation en santé et la Commission de l’enseignement supérieur des provinces maritimes. Il est titulaire de grades de premier cycle de l’Université Laurentienne et de l’Université d’Ottawa, d’une maîtrise de l’Université d’Ottawa et d’un doctorat en histoire de l’Université Queen’s. Il a siégé au Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne et au Comité de direction de l’Association des anciens de l’Université Laurentienne.

« J’ai bien hâte de retourner à Sudbury pour me joindre à l’équipe dynamique de la Laurentienne, a dit M. Pelletier. Cette possibilité est un honneur et je remercie l’Université de m’avoir confié la direction de ce dossier important. »

La nomination de M. Yves Pelletier a fait l’objet d’une recommandation à la suite d’un processus exhaustif de recrutement par un comité composé de douze membres du Conseil, du corps professoral, de la population étudiante et de l’administration.

Le doyen de la Faculté des études supérieures, M. David Lesbarrères, Ph. D., exerce depuis le 1er août 2017 les fonctions intérimaires de vice-recteur associé à l’enseignement et aux affaires francophones. « Au nom de l’Université, je tiens à remercier M. Lesbarrères d’avoir assumé ces responsabilités supplémentaires depuis un an, a ajouté M. Demers. Grâce à ses efforts, ce secteur a pu continuer à promouvoir le rayonnement et l’essor de la francophonie à la Laurentienne et ailleurs. »

L’Université Laurentienne nomme la vice-rectrice associée à l’apprentissage et à l’enseignement

L’Université Laurentienne nomme la vice-rectrice associée à l’apprentissage et à l’enseignement

L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer la nomination de Mme Shelley Watson

Le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne a approuvé à l’unanimité la nomination de Mme Shelley Watson, Ph. D., au poste de vice-rectrice associée à l’apprentissage et à l’enseignement pour un mandat renouvelable de cinq ans, à compter du 1er juillet 2018.

« Mme Watson connaît bien la communauté et la culture de la Laurentienne, a dit le vice-recteur intérimaire aux études, M. Serge Demers, Ph. D., et a apporté d’importantes contributions au fil des ans pour que l’Université soit un établissement de premier plan en matière d’excellence en enseignement. Je suis très heureux d’annoncer officiellement cette nomination. »

En juillet 2007, Mme Watson a été nommée professeure adjointe au Département de psychologie de l’Université Laurentienne, où elle a obtenu la permanence en 2011. Elle a reçu le Prix d’excellence en enseignement en 2016 et a été promue au rang de professeur titulaire l’année suivante. Elle a été doyenne intérimaire de la Faculté des études supérieures en 2016, coordonnatrice du programme de maîtrise interdisciplinaire en santé et membre du comité directeur du Plan stratégique 2018-2023 de l’Université Laurentienne. Mme Watson a obtenu un doctorat en psychologie éducationnelle de l’Université d’Alberta en 2008 et une M.Ed. en enseignement et apprentissage de l’Université Brock. Elle préside actuellement le groupe d’intérêt commun sur la recherche de l’Ontario Association on Developmental Disabilities et siège au conseil du CERD de Sudbury-Manitoulin.

En qualité de vice-rectrice associée intérimaire à l’apprentissage et à l’enseignement, Mme Watson a dirigé pendant la dernière année plusieurs initiatives clés, dont la création du Carrefour d’apprentissage, l’organisation du premier jour de l’enseignement et de l’apprentissage de l’Université et l’établissement du programme de professionnels en enseignement en résidence.

« À l’Université Laurentienne, l’enseignement et l’apprentissage nous définissent, a dit Mme Watson. Je m’enorgueillis de continuer à jouer un rôle de leader tant à la Laurentienne qu’au Centre d’excellence universitaire, en favorisant et appuyant l’enseignement de grande qualité et en assurant des expériences d’apprentissage du plus haut calibre aux membres de la population étudiante. »

La nomination de Mme Shelley Watson a fait l’objet d’une recommandation à la suite d’un processus exhaustif de recrutement par un comité composé de douze membres du Conseil, du corps professoral, de la population étudiante et de l’administration.

L’Université Laurentienne investit dans son plan stratégique

L’Université Laurentienne investit dans son plan stratégique

Le Conseil des gouverneurs approuve le budget de fonctionnement de l’Université pour 2018-2019

Le Conseil des gouverneurs de la Laurentienne a approuvé un budget de fonctionnement de 160 700 000 $ pour 2018-2019. Établi à la suite d’un rigoureux processus de consultation, le budget compte une hausse de 3 200 000 $ par rapport à l’an dernier en raison d’une augmentation des investissements prioritaires touchant le Plan stratégique 2018-2023 de la Laurentienne, intitulé Together. Ensemble. Maamwii.

En outre, l’Université Laurentienne aura un déficit jusqu’à concurrence de 4 400 400 $ en 2018-2019, mais prévoit le retour à un budget équilibré d’ici 2019-2020.

« L’évolution démographique s’est traduite par une diminution des inscriptions, a expliqué la vice-rectrice à l’administration, Mme Lorella Hayes, et nous avons formulé des stratégies pour contrecarrer la tendance. Puisqu’une baisse de neuf pour cent de la population âgée de 20 à 24 ans est prévue d’ici 2023, l’Université Laurentienne a dû prendre des décisions ciblées pour maintenir le cap dans les années à venir. »

Le Conseil a autorisé un déficit budgétaire temporaire afin de faciliter les investissements critiques dans le Plan stratégique et d’en permettre d’autres pour soutenir la croissance future. « Nous nous concentrerons davantage sur le recrutement de membres de la population étudiante dans tous les domaines, a ajouté Mme Hayes, et leur offrirons un enseignement complet qui les préparera après les études à la Laurentienne. »

L’adoption d’un nouveau processus budgétaire plus transparent et inclusif était essentielle à l’élaboration de propositions budgétaires conformes aux priorités stratégiques de l’Université tout en favorisant sa viabilité à long terme.


Des investissements seront faits pour :

  • améliorer les services de santé mentale pour la population étudiante, le corps professoral et le personnel;
  • accroître l’appui apporté aux stratégies de recrutement et de persévérance;
  • augmenter les ressources pour les programmes agréés ainsi que les services offerts en français;
  • continuer de fournir des possibilités d’apprentissage par des expériences réelles pour la population étudiante;
  • apporter un soutien additionnel aux programmes autochtones;
  • améliorer par la technologie les services à la population étudiante; et
  • prêter un soutien au Centre d’excellence universitaire afin de rehausser la réussite de la population étudiante et du corps professoral.
     

L’Université inaugurera le nouvel Édifice de recherche, d’innovation et de génie Cliff Fielding avant le début du trimestre d’automne et décernera cette année les premiers diplômes de maîtrise en architecture et de maîtrise en communication scientifique, le seul programme de maîtrise du genre au Canada. La Laurentienne, dont la moyenne d’admission est passée de 80,8 % à 82,6 % au cours des huit dernières années, est au premier rang des universités similaires en matière de financement de la recherche et enregistre toujours les meilleurs taux d’emploi après l’obtention du diplôme parmi les universités ontariennes.

« L’Université Laurentienne mise sur ses réussites et aborde l’avenir avec un dynamisme nouveau, a dit le recteur et vice-chancelier par intérim, M. Pierre Zundel, Ph. D. Depuis le lancement de notre nouveau Plan stratégique, nous mettons plus que jamais l’accent sur les possibilités de collaboration qui tirent parti de nos atouts actuels en enseignement et recherche. Nous nous engageons à créer des initiatives favorables pour le Nord, à ouvrir des possibilités d’apprentissage par l’expérience pour nos étudiants et à apporter une contribution importante au processus de réconciliation, comme en fait foi ce nouveau budget. »

Renouvellement du mandat du chancelier de l’Université Laurentienne

Renouvellement du mandat du chancelier de l’Université Laurentienne

Steve Paikin de TVO exercera un deuxième mandat à titre de chancelier jusqu’en 2021

L’Université Laurentienne a approuvé à l’unanimitél e renouvellement du mandat de M. Steve Paikin à titre de chancelier pour une période de trois ans, à compter du 1er juillet 2018.

En 2013, M. Steve Paikin a été nommé le deuxième chancelier de l’Université Laurentienne pour un mandat de cinq ans. Depuis ce temps, il a présidé à cinq reprises le Parlement modèle de la Laurentienne dans la Chambre des communes, tout en représentant l’Université dans beaucoup de fonctions honoraires. Il a en outre présidé de nombreuses cérémonies de collation des grades et les participants ont exprimé de maints éloges à l’égard de ses interactions sur la scène avec les nouveaux diplômés.

« C’est pour moi un grand honneur qu’on me demande d’exercer un deuxième mandat comme chancelier de l’Université Laurentienne, établissement dont la population étudiante, le corps professoral, le personnel et les diplômés contribuent considérablement à un monde plus sain, durable et inclusif, a indiqué M. Paikin. Je suis déterminé à collaborer avec les membres compétents du Conseil des gouverneurs et du Sénat et les nombreux partenaires et champions de l’Université pour rehausser et façonner les prochaines années à la Laurentienne. »

Journaliste, auteur, réalisateur de documentaires et personnalité reconnue de la télévision canadienne, M. Paikin a attiré l’attention nationale sur l’Université Laurentienne. Il est chef d’antenne-directeur principal de l’émission d’actualité The Agenda with Steve Paikin à TVO, qui a souvent recours à l’expertise de l’Université Laurentienne.

M. Paikin est titulaire de doctorats honorifiques de l’Université Laurentienne, de l’Université Victoria à l’Université de Toronto, de l’Université McMaster et de l’Université York et de diplômes honorifiques des collèges Humber, Centennial et Mohawk. En 2012, on a décerné à M. Paikin une Médaille du jubilé de la Reine pour souligner ses contributions marquantes à la société canadienne. En décembre 2013, il a été nommé officier de l’Ordre du Canada pour ses contributions à titre de journaliste qui informe et instruit ses spectateurs et les fait participer à tout un éventail de questions liées à la politique publique, et en 2014, il a été intronisé à l’Ordre de l’Ontario. Il est l’auteur de sept livres.

« Nous sommes fiers que M. Paikin soit le chancelier de l’Université Laurentienne et heureux qu’il ait accepté d’accomplir un deuxième mandat, a dit la présidente du Conseil des gouverneurs de l’UL, Mme Jennifer Witty. M. Paikin incarne les valeurs communes définies dans notre Plan stratégique Ensemble. Together. Maamwi et nous nous réjouissons à la perspective de son leadership soutenu en qualité d’ambassadeur de la Laurentienne. »

Journée nationale des peuples autochtones

Journée nationale des peuples autochtones

Message de Pamela Toulouse, vice-rectrice associée intérimaire à l’enseignement et aux programmes autochtones

La Journée nationale des peuples autochtones est l’occasion de célébrer et de souligner nos réussites, mais aussi de réfléchir afin de recenser les défis qui se posent encore.

La Laurentienne se fait un devoir d’observer les principes de la vérité et de la réconciliation, et son nouveau Plan stratégique reflète ceci de diverses façons. Un de nos cinq principaux atouts est le fait autochtone et notre engagement envers les principes établis par la Commission de vérité et réconciliation du Canada (CVR). Les objectifs incluent l’amélioration des relations avec les communautés autochtones, la mise en œuvre des appels à l’action de la CVR, des recherches qui améliorent le mino-bimaadziwin et l’offre d’une formation linguistique en anishinaabemowin au corps professoral, au personnel et à la population étudiante.

La Laurentienne est l’une des premières universités canadiennes à avoir créé un poste de cadre consacré aux questions autochtones. Cet engagement permanent envers le renforcement de la capacité s’est traduit par le recrutement de 25 membres autochtones du corps professoral. Nous sommes également fiers que notre population étudiante compte environ 1 100 étudiants qui se disent autochtones.

La Laurentienne est un chef de file en matière de programmes d’études autochtones. Nous avons un programme unique de maîtrise en relations autochtones fondé sur la communauté, et toute personne qui obtient un BA doit avoir obtenu au moins six crédits dans des cours à contenu principalement autochtone.

Aujourd’hui est le premier anniversaire de l’ouverture du Centre autochtone de partage et d’apprentissage qui accueille des étudiants autochtones et allochtones de la Laurentienne. C’est un lieu culturellement pertinent construit selon le concept du wigwam anishinabe traditionnel. Il se trouve à l’entrée du campus et rappelle que notre université se trouve sur un territoire traditionnel.

L’École d’architecture McEwen est fièrement dirigée par M. David Fortin, le premier directeur autochtone d’une école d’architecture au Canada. Son travail est actuellement exposé bien en vue à la Biennale d’architecture de Vienne. Il est important de souligner que, dans quelques années, les diplômés de l’École feront doubler le nombre d’architectes autochtones au Canada.

L’Institut de recherche Maamwizing de la Laurentienne se consacre à la création de partenariats avec les communautés autochtones. Il repose sur les principes du respect et de la réciprocité et est guidé par des membres autochtones du corps professoral. Il organisera sa deuxième conférence en novembre 2018 sur le thème « Mener des recherches de la bonne façon ».

Il est essentiel que la Journée nationale des autochtones devienne une plateforme à partir de laquelle nous envisageons l’avenir ensemble, disons nos vérités et écoutons honnêtement. C’est la seule façon d’effectuer des changements vitaux pour tout le monde.

La Laurentienne recrute une étoile montante locale au sein de sa nouvelles équipe de baseball

La Laurentienne recrute une étoile montante locale au sein de sa nouvelles équipe de baseball

Cet automne, l’étudiante de 17 ans de la St. Benedict Catholic Secondary School, Julia Jodouin, entrera dans l’histoire des Sports universitaires de l’Ontario (SUO) à titre de deuxième, et plus jeune, athlète féminine à jouer au sein d’une équipe masculine de baseball. Ayant accepté l’offre d’admission au baccalauréat en sciences infirmières de la Laurentienne, Julia se joindra à l’équipe à titre de lanceuse.

« Continuer de jouer à la balle était l’une de mes principales motivations en acceptant l’offre de l’UL, a dit Julia. J’ai hâte d’entreprendre cette étape de ma vie à la Laurentienne pour me consacrer à deux choses qui me tiennent à cœur – les soins infirmiers et le baseball. J’ai bien hâte au mois de septembre! »

Grâce à ses réussites au baseball, elle a été digne d’une place au sein de l’équipe masculine itinérante pee-wee des Shamrocks de Sudbury et s’est ensuite jointe à l’équipe féminine 16U de l’Ontario pour deux saisons. Pendant un été, elle a joué au baseball et à la balle molle avec l’équipe d’or 16U des Ghosts de Waterloo, allant avec elle jusqu’aux championnats nationaux. Comme membre de l’équipe féminine 21U de l’Ontario, elle a été nommée joueuse la plus utile (JPU) et joueuse étoile de premier but.

Julia continue de mettre en évidence ses aptitudes exemplaires sur tous les plans et s’est même vue accorder une place parmi l’équipe féminine nationale qui affrontera, pendant l’été 2017, l’équipe américaine dans le cadre d’une série de perfectionnement.

« Julia Jodouin est une excellente joueuse, a affirmé l’entraîneur de l’équipe masculine de baseball de la Laurentienne, Brodie Jeffery. Cette athlète de calibre relève la barre pour chaque membre de l’équipe. Pour monter un programme de baseball de A à Z, il faut des athlètes qui savent bien jouer afin d’assurer un solide fondement. Julia est un talent indispensable et se distingue tant par persévérance que par son engagement indéfectible envers le sport. »

Articles liés

Notre propre récolte : Une école d’été plante les graines de la recherche sur la santé des autochtones

Notre propre récolte : Une école d’été plante les graines de la recherche sur la santé des autochtones

La Laurentienne est l’hôte de l’école d’été du Réseau de mentorat autochtone de l’Ontario

Aujourd’hui, des étudiants des cycles supérieurs de tout l’Ontario assisteront à une séance d’apprentissage sans pareil. En effet, du 11 au 15 juin, l’Université Laurentienne sera l’hôte de la toute première école d’été du Réseau de mentorat autochtone (RMA) de l’Ontario, le premier réseau de formation sur la recherche en santé dirigé par des autochtones.

Cette école d’été est offerte à 25 étudiants des cycles supérieurs qui participent à des recherches communautaires sur la santé des autochtones, et s’adresse principalement à ceux qui étudient ou planifient de travailler dans des contextes nordiques.

RMA-Ontario apprécie l’importance des travaux savants menés par les autochtones et en collaboration et a établi la priorité d’activités qui renforceront et encourageront les possibilités d’apprendre avec la communauté et d’en tirer des enseignements.

L’école d’été regroupe des étudiants, des praticiens, des gardiens du savoir autochtone et des chercheurs et vise à renforcer les compétences, les capacités et les connaissances nécessaires pour effectuer des recherches fructueuses et respectueuses avec des communautés autochtones. Elle a pour but d’améliorer la présence autochtone et le sentiment d’appartenance dans le domaine de la recherche autochtone en intégrant des connaissances et des enseignements traditionnels autochtones, et en encourageant la participation communautaire.

Cette école constituera une plateforme à partir de laquelle les étudiants pourront établir des réseaux de collaboration qui feront partie intégrante de leurs recherches et de leur perfectionnement professionnel.

 

À propos du RMA

RMA-Ontario est un programme de formation en santé de cinq ans, financé par les Instituts de recherche en santé du Canada, qui fournit aux chercheurs et stagiaires autochtones du mentorat de haute qualité, de la formation et des possibilités de participer aux recherches sur la santé des autochtones.

Ce programme est une collaboration interdisciplinaire faisant entrer en jeu treize établissements ontariens de recherche, y compris les principaux chercheurs et centres de recherche en santé des autochtones de la province.

Régi par une structure infrarégionale qui englobe le nord, le centre et l’est de l’Ontario, il est guidé par un conseil communautaire consultatif et des aînés qui l’aide à s’acquitter de sa mission, à savoir, servir les besoins et les capacités communautaires en matière de recherche.

Renseignements sur le programme : https://m.facebook.com/OntarioIMN/ et http://imnp.uwo.ca/

Pages