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Rna Diagnostics, une entreprise dérivée située à l’Université Laurentienne, obtient 8 000 000 $ canadiens en financement de série A

Rna Diagnostics, une entreprise dérivée située à l’Université Laurentienne, obtient 8 000 000 $ canadiens en financement de série A

(SUDBURY, CANADA, 22 septembre 2021) L’Université Laurentienne et l’Institut de recherche d’Horizon Santé-Nord (IRHSN) sont heureux d’annoncer que Rna Diagnostics Inc., une entreprise de pointe de diagnostic exact du cancer créée à partir de la découverte par le scientifique de l’IRHSN, Amadeo Parissenti, professeur à l’Université Laurentienne, a reçu un investissement de série A de 8 000 000 $ de iGan Partners et de BDC Capital dans le cadre de son programme de financement provisoire.

M. Parissenti et son associé de recherche, Baoqing Guo, ont découvert dans leur laboratoire à l’IRHSN que le traitement de chimiothérapie peut promouvoir la dégradation de l’ARN (destruction de l’ARN). L’épreuve de destruction de l’ARN (RDATM), brevetée par l’Université Laurentienne et cédée sous licence à Rna Diagnostics en 2010, détermine si une personne répond au début au traitement du cancer, peu importe le type de cancer et le traitement. La RDA mesure la réponse cinq semaines après le début d’un schéma posologique choisi. La technologie de diagnostic du cancer par RDA permet aux oncologues d’évaluer tôt l’efficacité d’un traitement donné et d’adapter ainsi la chimiothérapie en temps réel. Cela signifie que si la tumeur ne répond pas au traitement, on peut éviter 80 % des doses inefficaces et de perdre du temps.

Le siège du laboratoire de référence de Rna Diagnostics se trouve à l’IRHSN à Sudbury où M. Parissenti étudie les mécanismes cellulaires impliqués dans la destruction de l’ARN. Il collabore avec les professeurs Carita Lanner et Tom Kovala de l’École de médecine du Nord de l’Ontario dans l’espoir de trouver d’autres outils de prédiction ou de surveillance de la réponse à la chimiothérapie et les résultats pour les personnes atteintes de cancer. L’Université Laurentienne et l’IRHSN remercient le Groupe d’essais cliniques de la Société canadienne du cancer et la Fondation du Nord en cancérologie qui appuient cette découverte importante et d’autres études de validation.

 « L’Université Laurentienne est fière d’offrir ses félicitations à M. Parissenti et à Rna Diagnostics Inc. pour cette incroyable étape marquante, a dit Tammy Eger, vice-rectrice à la recherche. L’investissement apportera du financement essentiel pour mener les essais cliniques et mettre sur le marché une technologie qui améliorera les traitements du cancer dans le monde entier et améliorera la qualité de vie des personnes atteintes de cancer. Une réelle innovation du Nord découlant de partenariats et de collaborations hors pair. »

« Notre établissement se réjouit d’héberger le laboratoire de référence de Rna Diagnostics Inc. qui recueille et analyse des échantillons venant de partout au monde pour l’essai BREVITY, a dit Greg Ross, vice-président, Optimisation de l’enseignement et de la recherche. Le leadership de M. Parissenti dans cette recherche stratégique est évident. Il assure en effet le mentorat d’étudiants dans son laboratoire et offre des possibilités de recherche fructueuses qui aideront les patients dans nos communautés du Nord. Rna Diagnostics Inc. met vraiment Sudbury sur la carte. »

« Le fidèle soutien de iGan Partners et de nos investisseurs actuels, combiné à celui de BDC Capital, un nouveau partenaire d’investissement, a de quoi se réjouir, dit John Connolly, PDG de Rna Diagnostics. La conclusion de cette série de financement A nous permettra d’achever l’essai clé de validation (BREVITY) de l’épreuve de destruction de l’ARN (RDATM). BREVITY recrute actuellement des patients dans plusieurs centres de traitement du cancer du sein en Europe et en Amérique du Nord. »

« C’est un énorme problème coûteux pour les centres de cancérologie. En général, un schéma posologique donné apporte une survie chez 30 à 40 % seulement des personnes ayant une tumeur solide, ajoute M. Connolly. Celles dont la tumeur ne répond pas au traitement (révélé par le RDA) peuvent alors abandonner le traitement inefficace et ses effets secondaires et recevoir rapidement d’autres traitements. 

Des chercheurs de l’UL reçoivent 50 000 $ pour examiner la confiance à l’égard des vaccins dans le nord de l’Ontario

Des chercheurs de l’UL reçoivent 50 000 $ pour examiner la confiance à l’égard des vaccins dans le nord de l’Ontario

3 août, 2021 - Grâce à l’appui du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG), les chercheurs et le personnel du Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail (CRSST) et du programme d’études supérieures en communication scientifique parcourront en septembre le nord de l’Ontario afin de renforcer la confiance des milieux de travail et des communautés à l’égard de l’utilisation de vaccins.

 

Même si beaucoup de personnes ont déjà reçu le vaccin contre la COVID-19, d’autres hésitent encore à le faire et ont des questions à ce sujet. « La confiance à l’égard des vaccins, a affirmé la directrice du programme d’études supérieures en communication scientifique, Mme Chantal Barriault, a de véritables répercussions sur la santé et la sécurité des milieux de travail et des communautés. »

 

Cette subvention de 50 000 $ permettra de développer des documents et ressources fondés sur des données probantes. De plus, une équipe sera en mesure de se rendre dans des communautés éloignées et du Nord afin d’ouvrir le dialogue avec les travailleurs et les résidents en matière d’atténuation de risques liés à la COVID-19 et de renforcer la confiance à l’égard de l’efficacité et de la sécurité du programme de vaccination contre la COVID-19 en Ontario.

 

« Le nord de l’Ontario a une culture distincte et les gens pourraient avoir des questions et préoccupations qui diffèrent de celles des personnes situées ailleurs en Ontario, a expliqué la directrice du CRSST, Mme Sandra Dorman. Le partage et l’échange avec les Nord-Ontariens de renseignements relatifs à la santé et à la sécurité font partie de la mission essentielle du CRSST. Nous nous réjouissons à la perspective de rétablir le contact avec les communautés et de mieux cerner leurs choix et leurs appréhensions. »

 

Des chercheurs, étudiants et membres du personnel du CRSST et du programme d’études supérieures en communication scientifique iront dans les milieux de travail et les communautés du nord de l’Ontario affichant un intérêt en utilisant le Laboratoire itinérant de recherche du CRSST, conçu sur mesure aux fins de recherche et de sensibilisation en matière de santé et de sécurité.

 

« Depuis plus de dix ans, le CRSST noue des liens avec les milieux de travail et communautés du nord de l’Ontario et les mobilise, a dit la vice-rectrice à la recherche, Mme Tammy Eger, Ph.D. De plus, le programme d’études supérieures en communication scientifique de l’Université Laurentienne est reconnu sur la scène mondiale pour la formation de communicateurs scientifiques professionnels et est très bien placé pour effectuer ce travail important. »

 

Si une visite de l’équipe de recherche au sein de votre milieu de travail vous intéresse, veuillez envoyer un message à croshtech@laurentian.ca.

Une équipe transdisciplinaire de chercheurs de l’UL reçoit un octroi fédéral

Une équipe transdisciplinaire de chercheurs de l’UL reçoit un octroi fédéral

Le Fonds Nouvelles frontières en recherche appuie un projet innovateur ayant recours à la robotique

6 juillet 2021 - Une équipe transdisciplinaire de chercheurs de l’École d’architecture McEwen, de l’École de génie Bharti et du Département de neurosciences du comportement à l’Université Laurentienne recevra une subvention pour un projet qui vise à refaçonner la manière dont le Nord se distingue.

Le chercheur principal, M. Steven Beites, et les co-demandeurs de la subvention, M. Marc Arsenault, M. Blake Dotta et Reza Foruzanmehr, ont obtenu 250 000 $ du Fonds Nouvelles frontières en recherche, initiative du Comité de coordination de la recherche au Canada.

Intitulé « Human-Robot Interaction and Collaboration as a Catalyst for Creative Economy, Community Outreach and Emerging Design-Build Solutions in Ontario’s North », ce projet cherche à exploiter les technologies de pointe afin de renforcer les économies et les communautés du Nord. 

L’objectif principal du projet est d’éliminer les obstacles aux outils numériques et aux technologies dans le Nord en mettant au point un robot parallèle à câbles (RPC) qui est portatif et sert à la fabrication et à l’assemblage de grande envergure. Ce robot aurait des utilisations importantes, surtout dans les communautés du Nord où les coûts immobiliers sont prohibitifs. Une interface conviviale sera aussi conçue sur mesure pour le RPC dans le cadre du projet.

Ce projet pourrait donner lieu à de nouveaux matériaux grâce aux technologies émergentes, améliorer la santé dans les régions rurales et du Nord en affrontant la crise de logement dans les communautés éloignées, aborder les défis technologiques dans le nord de l’Ontario et susciter la participation aux recherches communautaires qui profitent à toutes les collectivités du Nord, y compris les communautés autochtones et francophones.

 

Citation 

« Ce projet intéressant met l’accent sur le nord de l’Ontario et veut initier les utilisateurs non professionnels à des technologies émergentes afin de revitaliser les communautés du Nord en matière de fabrication, de conceptualisation et d’invention. » Professeur Beites

L’École d’architecture McEwen est officiellement la 12e et la plus récente école d’architecture pleinement agréée au Canada

L’École d’architecture McEwen est officiellement la 12e et la plus récente école d’architecture pleinement agréée au Canada

Les perspectives anglophones, francophones, métisses, inuites et de Premières Nations sont toutes au cœur du mandat triculturel inégalé du programme.

(22 juin 2021 - Sudbury, ON) L’École d’architecture McEwen (EAM) de l’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer que le Conseil canadien de certification en architecture (CCCA) / Canadian Architectural Certification Board (CACB) a décerné l’agrément initial au programme professionnel de maîtrise en architecture à compter du 1er juillet 2021.

Les perspectives anglophones, francophones, métisses, inuites et de Premières Nations sont toutes au cœur du mandat triculturel inégalé du programme. Grâce aux aînés en résidence, aux membres autochtones du corps professoral, à l’enseignement en français dans l’atelier de conception et aux activités annuelles de conception communautaire et de conception-construction, les étudiants sont initiés à diverses méthodes, connaissances et expériences propres au « Nord ». Les leçons tirées de ces contextes locaux leur permettre d’extrapoler ces informations afin d’aborder des problèmes mondiaux dans les disciplines d’architecture, de conception paysagère et de milieux bâtis durables.

Le modèle d’enseignement coopératif de l’École est ancré dans l’apprentissage par l’expérience et les cultures nord-ontariennes et canadiennes et s’insère dans un programme permettant aux étudiants d’obtenir une expérience pratique en effectuant des stages de travail auprès d’employeurs dans les domaines de l’architecture et de la conception.

Depuis l’inauguration de l’École en 2013, quelque 250 étudiants ont préparé un diplôme de premier cycle (B.A.S.) et une centaine d’entre eux ont obtenu une maîtrise en architecture (M.Arch.).

« L’École d’architecture McEwen a de quoi être fier, a dit le recteur et vice-chancelier, M. Robert Haché, et cette validation témoigne bien de l’expérience étudiante de haut calibre qu’offre l’Université Laurentienne. Le travail exceptionnel du personnel, du corps professoral et de la population étudiante de l’École pendant de nombreuses années a permis de concrétiser cet accomplissement. En outre, la confiance exprimée par l’équipe d’agrément du CCCA dans l’École reflète une confiance accrue dans l’avenir de la Laurentienne. »

École professionnelle de l’Université Laurentienne, l’École d’architecture McEwen (EAM) est située au centre-ville de Sudbury (Ontario) et offre un programme de baccalauréat en études architecturales (BAS) de quatre ans, suivi d’un programme de maîtrise en architecture (M.Arch.) de deux ans. L’agrément de l’École englobe les programmes en anglais et en français menant au diplôme de maîtrise en architecture.

« Nous sommes tous très fiers de la culmination du travail ardu du corps professoral, du personnel et de la population étudiante qui ont partagé une vision et un enthousiasme pour l’École aux diverses étapes de son développement, a indiqué le directeur de l’École d’architecture McEwen, M. David Fortin. Nous sommes reconnaissants à toutes les personnes qui ont contribué à ce processus et offert un appui à l’École et nous nous réjouissons de célébrer aujourd’hui notre objectif qui était d’obtenir l’agrément initial du CCCA/CACB. »

« L’encadrement du Conseil consultatif international de l’EAM et l’appui de la communauté élargie dans tout le nord de l’Ontario ont contribué grandement à cette réalisation, a ajouté le directeur fondateur de l’École, M. Terrance Galvin. Les employeurs participant à l’enseignement coopératif et les collaborateurs, collègues, partenaires, donateurs et autres ont investi temps, énergie et ressources dans la nouvelle génération d’architectes formés dans le Nord qui sont d’exceptionnels agents de changement dans nos communautés. Nous tenons à souligner ces importantes contributions. Cette réalisation est le fruit d’un effort collectif et cela est très valorisant. »

Au sujet du processus d’agrément du CCCA 

Le CCCA n’octroie l’agrément qu’à des programmes de grade professionnel en architecture menant à l’obtention du permis d’exercice de la profession. L’agrément professionnel signifie qu’un programme a été évalué par le CCCA et est conforme aux normes pédagogiques qui constituent, dans leur ensemble, une formation appropriée pour un architecte.

Le processus intégral d’agrément du CCCA/CACB comprend trois phases : l’admissibilité, la candidature et l’agrément initial. Le programme de premier cycle en architecture a été lancé en septembre 2013 et le CCCA a confirmé son admissibilité à l’agrément en 2017. En 2018, l’École a été admise à la phase de candidature et, en 2020, a soumis le troisième et dernier Rapport sur le programme d’architecture aux fins d’agrément initial. Avant de procéder à cette dernière étape, l’EAM devait compléter deux ans suivis à titre de candidat à l’agrément et conférer à une promotion d’étudiants le diplôme du programme professionnel visé par l’agrément. Les promotions de 2019 et de 2020 de la M.Arch. bénéficieront de droits acquis selon les procédures du CCCA. 

L’EAM a calibré son échéancier pour répondre aux critères nationaux susmentionnés applicables à un nouveau programme d’architecture. Sur la scène provinciale, l’EAM avait aussi le soutien du Regroupement des ordres d’architectes du Canada (ROAC) qui, de concert avec le Conseil canadien de certification en architecture (CCCA), a permis aux titulaires de la M.Arc. des deux années de commencer à enregistrer leurs heures de stages en vue d’avoir l’autorisation
d’exercer dans des cabinets d’architecture au Canada.

Il est encore possible de demander l’admission au programme professionnel nouvellement agréé de l’EAM. Les personnes intéressées peuvent communiquer directement avec l’École à architecture@laurentienne.ca
 

Le mandat du président du Conseil est renouvelé afin de mener à bien la procédure en vertu de la LACC

Le mandat du président du Conseil est renouvelé afin de mener à bien la procédure en vertu de la LACC

Le Conseil approuve la prolongation du mandat de M. Claude Lacroix

18 juin 2021 - Le 15 juin 2021, le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne a voté en faveur de reconduire M. Claude F. Lacroix dans ses fonctions de président pour un mandat allant jusqu’à un an, en vigueur dès la clôture de l’assemblée générale annuelle du Conseil, le 18 juin 2021, quand vient à échéance son mandat actuel de deux ans. M. Lacroix est membre du Conseil depuis 2006.

« Ce renouvellement stratégique assure une continuité essentielle à la direction et à la stabilité du Conseil des gouverneurs pour parachever la procédure en vertu de la LACC, a dit le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Robert Haché. En allant de l’avant, la Laurentienne demeure déterminée à effectuer un examen exhaustif de son modèle de gouvernance bicamérale. En fait, la profonde compréhension qu’a M. Lacroix de la communauté Laurentienne et ses liens solides avec celle-ci sont des phares qui nous guident dans notre prise de décisions. »

Diplômé d’un B.A. de l’Université Laurentienne en 1991, M. Lacroix a obtenu un diplôme de la Faculté de droit de l’Université de Moncton en 1996 et est actuellement associé à Lacroix Lawyers|Avocats.

M. Lacroix participe activement à la communauté. Par le passé, il a été président de l’Association des anciens de l’Université Laurentienne et de l’Association de droit du district de Sudbury, président intérimaire du Conseil des administrateurs de Science Nord, membre des conseils d’administration et de direction de la Société de développement du Grand Sudbury et président de l’Association des juristes d’expression française de l’Ontario ainsi que de la Société de développement communautaire de l’aéroport de Sudbury.
 

L’Ontario alloue 1,25 million de dollars pour financer trois études à l’UL

L’Ontario alloue 1,25 million de dollars pour financer trois études à l’UL

Les subventions d’eCampus Ontario amélioreront les outils et résultats d’apprentissage dans le nord de l’Ontario

7 juin 2021 -- Le gouvernement de l’Ontario facilite le travail de chercheurs de l’Université Laurentienne en subventionnant trois nouvelles études. Ces subventions qui totalisent 1 246 775 $ sont attribuées sous les auspices d’eCampusOntario, le portail multilatéral d’apprentissage en ligne de la province. Ce travail aura un résultat positif tant pour les étudiants que pour les chercheurs.

Les études qui voient le jour grâce à ces subventions couvrent un vaste éventail de sujets et d’objectifs :


Simulation de soins de santé collaboratifs : Dirigée par le Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail (CRSST), cette étude consiste à développer douze modules de formation immersive et interactive en réalité virtuelle à utiliser dans les programmes de sciences infirmières, inhalothérapie, et d’autres professions paramédicales dans tout l’Ontario. La série de modules vise les programmes de premier cycle et des cycles supérieurs et tire parti des plus récentes avancées dans les technologies immersives. Les modules qui en découleront seront assez souples pour être utilisés dans les établissements sans coûts supplémentaires, et pourront l’être aussi dans les régions éloignées ou nordiques où l’accès à la formation par la simulation est limité. Pendant la pandémie de la COVID-19 et par la suite, cette technologie permettra à la population étudiante et aux travailleurs de suivre une formation immersive en direct et synchrone fondée sur des scénarios au Canada et à l’étranger. Le CRSST s’est allié à Lumeto Inc., au Collège Georgian et au Michener Institute of Education au Réseau universitaire de la santé. Nicole Lafrenière, Inf. aut., B.Sc.Inf., CHSE, de l’École des sciences infirmières et paramédicales, est la chercheuse principale de cette étude.

 

Étude cinématographique « Histoires de la décolonisation » : Cette série documentaire en deux parties fait la lumière sur les effets négatifs permanents de la colonisation. Elle inclut des guides de programmes d’études qui seront offerts en français et en anglais ainsi que deux films avec sous-titres facultatifs en français, anishinaabemowin, cri et anglais. Grâce à la diffusion par l’entremise d’eCampus Ontario, le contenu sera largement accessible et permettra aux établissements de mieux partager des idées importantes sur la décolonisation. L’étude est une collaboration mettant à contribution la chercheuse en service social, Elizabeth Carlson-Manathara, et ses collaborateurs, Gladys Rowe et Teddy Zegeye-Gebrehiwot.

 

Financement de la stratégie d’apprentissage virtuel – Soutiens ciblés pour la capacité numérique : Grâce à cette subvention, l’Université Laurentienne pourra élargir son empreinte d’apprentissage numérique. Elle pourra créer deux postes à plein temps de membres du corps professoral bilingue : un en conception pédagogique et un en conception et développement médiatique. Au cours des prochaines années, ce processus permettra de créer de 15 à 30 nouveaux cours de microcertification ne donnant pas droit à des crédits. La directrice du Centre d’apprentissage continu de l’UL, Bettina Brockerhoff-Macdonald, supervisera cette expansion. 

 

CITATIONS

« Nous remercions eCampus Ontario de son investissement dans l’apprentissage virtuel qui permettra à la Laurentienne et à ses établissements partenaires d’offrir davantage de possibilités aux personnes qui étudient en français, en anglais, en anishinaabemowin et en cri, en particulier dans les collectivités rurales et éloignées. » Tammy Eger, Ph.D., vice-rectrice à la recherche, Université Laurentienne

« Je suis fière de voir les efforts de notre personnel récompensés par ces subventions. Les fonds permettront de développer des cours non assortis de crédits qui seront très profitables pour les communautés du Nord. » Joël Dickinson, Ph.D., doyenne de la Faculté des arts, Université Laurentienne

La Laurentienne offrira la plupart des cours sur le campus cet automne

La Laurentienne offrira la plupart des cours sur le campus cet automne

Vers un retour partiel aux cours en personne

11 mai 2021 -- Avec le début du trimestre du printemps 2021, l’Université Laurentienne se tourne vers l’automne 2021 avec des plans pour reprendre les activités en face à face et les cours en personne sur le campus.
 
L’accent pour ce trimestre est de fournir la meilleure expérience étudiante possible tout en préservant la santé, la sécurité et le bien-être de notre communauté.
 
« Tout au long de la pandémie, nous avons accordé la plus grande importance à la sécurité de notre communauté, a dit le recteur et vice-chancelier, M. Robert Haché. Nous comprenons que notre population étudiante souhaite étudier sur le campus, et nous nous réjouissons à la perspective de lui permettre de le faire dans un environnement sécuritaire et contrôlé. »
 
L’Université collaborera avec le corps professoral, la population étudiante et le personnel pour réaliser le retour de la population étudiante et d’enseignement en toute sécurité du plus grand nombre possible de cours sur le campus. Les facteurs qui guideront le plan sont l’importance de l’expérience étudiante en personne, les exigences de l’apprentissage pratique et les mesures supplémentaires qui peuvent être prises pour offrir les cours sur le campus en toute sécurité. En outre, l’Université doit tenir compte de tous les scénarios potentiels pour septembre 2021 tout en travaillant avec les instances locales de santé publique. Elle continuera d’offrir une multitude de programmes en ligne permettant à des étudiants de partout dans le monde d’y étudier virtuellement.
 
« Nous savons que l’année écoulée a été très difficile pour notre population étudiante et tenons à faire tout en notre pouvoir pour améliorer son expérience à l’automne 2021, a indiqué M. Haché. La pandémie a eu une grande incidence sur son expérience universitaire et nous voulons l’aider autant que possible à revenir sur le campus. Nous avons bien hâte d’effectuer ce retour. »
 
L’Université continue d’offrir du soutien à distance à la population étudiante, au corps professoral et au personnel dans leurs activités quotidiennes. Le trimestre d’automne se tiendra de septembre à décembre 2021.
 
L’Université Laurentienne a été un chef de file dans la réponse à la pandémie de COVID-19 et la première université publique du Canada à comprendre la gravité de la pandémie en suspendant les cours en personne en mars 2020. Nous continuerons de montrer la voie dans la planification du retour sur le campus.
 
Cet automne, nous espérons accueillir à nouveau la population étudiante, le corps professoral et le personnel sur le campus.

Des inscriptions robustes au trimestre du printemps

Des inscriptions robustes au trimestre du printemps

Les étudiants de la Laurentienne affichent un ferme soutien pour les cours du printemps

6 mai 2021 -- Au début officiel du trimestre du printemps le 3 mai, l’Université Laurentienne trace un nouveau parcours qui ouvre la voie à suivre pour la population étudiante, le corps professoral et la communauté. La Laurentienne offre un large éventail de cours en français et anglais, entre autres, dans les domaines d’administration des affaires, de génie et de services sociaux pour les Autochtones. Le trimestre du printemps donne une occasion clé aux étudiants de suivre des cours supplémentaires dans de nouvelles matières ou de faire du rattrapage en suivant des cours qu’il leur manque.
 
« Nous sommes encouragés à voir que les chiffres d’inscription au printemps ressemblent de près à ceux de l’an dernier et dépassent considérablement ceux de 2019, a constaté le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Robert Haché. Les étudiants font un choix judicieux en profitant du trimestre du printemps pour faire avancer leurs études. »
 
Plus de 4 300 étudiants du Canada et de l’étranger sont inscrits actuellement au trimestre du printemps, aux programmes de premier cycle et des cycles supérieurs. Offert principalement à distance, ce trimestre revêt une grande importance puisqu’il permet aux étudiants de continuer leurs études en toute sécurité chez eux.
 
Deux cours de gérontologie (offerts auparavant par l’Université Huntington) et six cours d’études autochtones (offerts auparavant par l’Université de Sudbury) font partie de la programmation du trimestre du printemps. Grâce à l’apport du Conseil de l’Université Laurentienne pour la formation des Autochtones (CULFA), les discussions se poursuivent pour cibler d’autres cours d’études autochtones que la Laurentienne pourra mettre au point et offrir à l’avenir et qui s’ajouteront aux programmes et cours existants.

L’Université Laurentienne entame une procédure de restructuration sous supervision judiciaire en vertu de la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies

L’Université Laurentienne entame une procédure de restructuration sous supervision judiciaire en vertu de la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies

Le but premier de la procédure de restructuration en vertu de la LACC est de garantir aux étudiants actuels et à venir la possibilité de continuer à avoir accès à un enseignement postsecondaire de qualité supérieure

1 février 2021 - L’Université Laurentienne de Sudbury (la Laurentienne) entame, ce jour, une procédure de restructuration sous supervision judiciaire en vertu de la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies (LACC). Le conseil des gouverneurs et de l’administration de la Laurentienne a estimé que cette procédure est le meilleur moyen de restructurer la gestion financière et opérationnelle de l’Université. Cette mesure vise à faire de l’Université un établissement entièrement réorganisé et financièrement viable. L’ordonnance initiale, demandée par l’Université et accordée par le tribunal, permet de confier au cabinet Ernst & Young Inc. le rôle de contrôleur désigné par le tribunal dans le cadre de cette procédure. Le but premier de la procédure de restructuration en vertu de la LACC est de garantir aux étudiants actuels et à venir la possibilité de continuer à avoir accès à un enseignement postsecondaire de qualité supérieure à la Laurentienne dans les années qui viennent. Les étudiants actuels ne verront aucune différence dans leurs habitudes quotidiennes, et la Laurentienne continuera de recruter activement de nouveaux étudiants. La Laurentienne a informé le ministère des Collèges et Université (MCU) tout au long du processus ayant mené à cette mesure et elle continuera de collaborer avec lui au cours de la procédure sous supervision judiciaire. Pour plus de renseignements, consultez la page www.ulaurentienne.info.

L’Université Laurentienne continuera l’enseignement à distance au trimestre du printemps

L’Université Laurentienne continuera l’enseignement à distance au trimestre du printemps

Le Sénat vote pour continuer d’offrir les cours par des moyens en ligne afin d’optimiser la sécurité.

25 janvier 2021 -- Le Sénat de l’Université Laurentienne a voté en faveur de l’enseignement à distance au trimestre du printemps 2021. Comme lors des débats semblables concernant le trimestre d’hiver 2021, le Sénat a décidé d’équilibrer l’offre du meilleur enseignement possible à la population étudiante et la préservation de la santé, de la sécurité et du bien-être de la population étudiante, du corps professoral et du personnel.

Même si la fin de la pandémie est en vue en raison de la vaccination massive contre le SRAS CoV-2 à l’horizon, nous continuerons de faire tout en notre pouvoir pour réduire le risque et optimiser la sécurité de notre communauté. Comme à l’automne 2020 et à l’hiver 2021, un nombre limité de cours sera offert en personne, mais avec des protocoles stricts. Le dépistage du virus sur le campus annoncé récemment demeurera un outil précieux dans nos efforts pour améliorer la sécurité.

L’Université continue d’appuyer à distance la population étudiante, le corps professoral et le personnel dans leurs activités quotidiennes. La Laurentienne est une chef de file dans la réponse à la COVID-19 et a été la première université au Canada à reconnaître la sévérité de la pandémie en suspendant les cours en personne en mars 2020. Le trimestre du printemps se déroulera de mai à août 2021.
 

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