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Les camps d’été des Voyageurs attirent la jeunesse locale

Les camps d’été des Voyageurs attirent la jeunesse locale

Les camps renforcent les compétences en leadership et l’esprit d’équipe qui appuient le développement des jeunes.

(le 12 août, 2022) - Les camps d’été des Voyageurs pour les jeunes, gérés par l’équipe du Service des loisirs, constituent des services uniques de garde qui encouragent le développement des jeunes au moyen de diverses activités. Ils ont commencé au début de juillet et sont offerts jusqu’au 3 septembre. Jusqu’à présent, ils ont accueilli des centaines de jeunes qui ont acquis des compétences en leadership et renforcé leur esprit d’équipe.

Le camp d’aventure en plein air et le camp multisports, destinés aux 6 à 13 ans, ont lieu en alternance chaque semaine. Le camp d’aventure en plein air comporte diverses activités, notamment le canotage, le kayak, la pêche, la randonnée pédestre et la formation pour la survie dans la nature (construire un abri, allumer un feu de camp, faire des nœuds, etc.) Le camp multisports offre diverses activités sportives intérieures et extérieures, comme le hockey en salle, le basketball, le soccer, le frisbee ultime, le badminton, le volleyball et le squash.

Les camps des mini-Voyageurs, destinés aux enfants de 4 et 5 ans, ont lieu tout l’été et incluent une combinaison d’activités en plein air et multisports ainsi que d’autres qui favorisent le travail en équipe et la créativité.

Les camps de basketball, de soccer et de baseball font aussi partie des camps d’été des Voyageurs. Ils sont dirigés par des entraîneurs et des athlètes des équipes de la Laurentienne. Les jeunes apprennent les règles et techniques ainsi que les qualités d’un bon joueur d’équipe et l’acceptation de la défaite. Tous les camps se déroulent dans les installations du campus, à savoir des gymnases de pleine grandeur, deux terrains de squash, un terrain de volleyball de plage, une course d’obstacles (appelée la tour Tango), trois terrains de soccer et quatre courts de tennis.

Il est possible d’offrir les camps non seulement grâce au personnel du Service des loisirs, mais aussi aux moniteurs (des étudiants de la Laurentienne) qui encouragent le travail en équipe et la résilience tout en assurant l’environnement le plus sécuritaire possible pour toutes les activités. Les camps acceptent également des bénévoles élèves du secondaire qui apportent de l’aide pour la planification et l’exécution des activités, un excellent moyen pour eux d’accumuler des heures de services communautaires.

Jean Benoit, coordonnateur du Service des loisirs, dit des moniteurs dévoués que ce sont « des étudiants qui sont extrêmement attentionnés et prêts à aider les jeunes. Ils consacrent bien plus d’heures que ce que vous voyez durant la journée. Ils sont patients et travaillent consciencieusement ».

Le travail avec les jeunes participants passionne Shaelynne Wallace, monitrice à un camp des Voyageurs et étudiante dans le programme de Concurrent Education. « Chaque année, j’adore voir les enfants essayer de nouvelles choses, sortir de leur zone de confort, se faire de nouveaux amis et repartir avec des souvenirs. Le travail au camp m’a aidée à penser rapidement, à perfectionner mes compétences en leadership et à apprendre à travailler sur des idées avec différentes personnes. Le travail aux camps d’été est vraiment le meilleur moyen de passer l’été.»

Pour en savoir davantage sur les camps d’été des Voyageurs pour les jeunes, écrivez au coordonnateur du Service des loisirs, Jean Benoit, à campusrec@laurentian.ca, ou visitez le site Web des Voyageurs de l’Université Laurentienne ou leur page Facebook.

Mme Joy Gray-Munro est nommée doyenne de la Faculté des sciences, de génie et d’architecture

Mme Joy Gray-Munro est nommée doyenne de la Faculté des sciences, de génie et d’architecture

Une cadre de longue date de l’Université commence immédiatement ses nouvelles fonctions.

(29 juillet 2022) - Le recrutement à l’échelle nationale d’un doyen ou d’une doyenne de la Faculté des sciences, de génie et d’architecture est maintenant terminé, et l’Université Laurentienne est heureuse de présenter la nouvelle doyenne, Mme Joy Gray-Munro.

Professeure agrégée à la Faculté des sciences, de génie et d’architecture, Mme Gray-Munro est à la Laurentienne depuis près de 20 ans et y a assumé diverses fonctions de dirigeante, notamment :

Leader parmi ses homologues, elle a obtenu le Prix d’excellence en enseignement à plein temps de l’Université Laurentienne en 2018 pour son dévouement envers l’enseignement. Ses recherches sont axées sur la chimie, en particulier la chimie de surface, avec un accent sur la modification de la surface des matériaux d’implants biomédicaux pour en améliorer la biocompatibilité. Elle se concentre surtout sur la conception d’enduits pour contrôler le taux de biodégradation et la biocompatibilité des implants métalliques biodégradables pour les applications orthopédiques.

Mme Gray-Munro a obtenu un doctorat en chimie de l’Université de Western Ontario en 2001 et un baccalauréat en chimie de l’Université Mount Allison. Son travail de doctorat consistait à modifier la surface de polymères biomédicaux pour leur donner des propriétés antibactériennes. Elle a fait des stages postdoctoraux au Conseil national de recherches et à l’Université de New Brunswick avant de devenir membre du corps professoral de l’Université Laurentienne en 2003.

Mme Gray-Munro entrera officiellement en fonction le 1er août 2022. L’Université remercie M. Dean Millar qui a été le doyen intérimaire depuis décembre 2020 de ses nombreuses contributions.

L’Université Laurentienne accueille des élèves d’écoles secondaires au Canada pour un programme bilingue et triculturel d’été

L’Université Laurentienne accueille des élèves d’écoles secondaires au Canada pour un programme bilingue et triculturel d’été

Shad Canada donne aux jeunes les outils requis pour relever des défis grâce à des solutions fondées sur les STIAM.

(le 28 juillet, 2022) - Du 3 au 29 juillet, une cohorte de 56 élèves canadiens de 10e et de 11e années s’affairent à participer au programme de 27 jours de Shad Canada sur le campus de l’Université Laurentienne. La Laurentienne est l’une de 21 universités hôtes au Canada à s’allier à Shad Canada, organisme sans but lucratif qui transmet aux jeunes les outils qu’il leur faut pour adresser des défis sociaux et économiques sous une optique de STIAM (sciences, technologie, ingénierie, arts et mathématiques) et d’entrepreneuriat.
 
« Des élèves de presque toutes les provinces participent au programme cette année, a expliqué le codirecteur de Shad à la Laurentienne, Christian Laforge. Les jeunes sont talentueux et hétérogènes. Certains sont des athlètes classés sur les plans provincial ou national tandis que d’autres sont d’excellents musiciens ou des gagnants d’expo-sciences nationales. » Beaucoup d’élèves y font leur première expérience loin de chez eux pour une longue période.

Les participants (appelés « Shads ») s’immergent complètement dans le programme en logeant en résidence sur le campus de la Laurentienne. Dans le cadre d’un programme d’activités soigneusement planifié, ils assistent à des cours magistraux et à des ateliers, participent à des excursions en canoë et à des aventures de camping et écoutent des enseignements autochtones grâce à l’identité triculturelle de la Laurentienne. En juillet, 18 des 21 établissements partenaires de Shad Canada ont offert le programme et la Laurentienne est la seule proposant une expérience bilingue.

Bien que l’enrichissement scolaire et culturel sous l’optique entrepreneuriale et des STIAM soit au cœur de Shad à la Laurentienne, la promotion d’un sentiment communautaire l’est aussi. Ainsi, les Shads sont allés faire des visites un peu partout dans le Grand Sudbury, y compris aux collèges Boréal et Cambrian, à Terre dynamique, à Science Nord, à l’Université de l’EMNO et même à un marché des fermiers. Une subvention du Fonds de soutien aux événements du secteur de tourisme et de culture de la Ville du Grand Sudbury a aidé à financer de la programmation axée sur le bien-être de Shad à la Laurentienne.

« La Ville du Grand Sudbury et Tourisme Sudbury sont fiers d’appuyer ce programme apportant des apprentissages transformateurs aux élèves de partout au Canada, a dit le maire du Grand Sudbury, Brian Bigger. Le programme de Shad offre une expérience inégalée qui permet aux élèves de s’initier aux STIAM et à l’entrepreneuriat tout en explorant le milieu d’apprentissage avoisinant dans le Grand Sudbury. » La semaine dernière, le maire Bigger est allé sur le campus de la Laurentienne pour rencontrer les Shads.

Alors que le programme de Shad à la Laurentienne 2022 se termine cette semaine, les Shads ont la chance aujourd’hui de faire valoir ce qu’ils ont appris et le plus apprécié de cette expérience en participant à une journée d’activités libres.

« C’est un merveilleux groupe de jeunes, a exprimé le codirecteur de Shad à la Laurentienne et professeur titulaire, Thomas Merritt, Ph.D. Durant les trois dernières semaines, nous les avons vus explorer leurs intérêts dans les domaines de STIAM, travailler en équipes, poser des questions et formuler des solutions. L’énergie et l’enthousiasme dont ils font preuve sont contagieux. »

L’équipe de Shad à la Laurentienne prévoit de nombreuses années de réussite dans le cadre de son partenariat avec Shad Canada. Le programme offre non seulement une possibilité pédagogique sans pareil aux élèves du palier secondaire dont les études à la Laurentienne pourraient intéresser, mais embauche aussi plusieurs anciens et étudiants de l’Université.

« Shad Canada se réjouit de compter l’Université Laurentienne parmi les établissements offrant un programme en personne en 2022, a dit la directrice des programmes nationaux de Shad Canada, Leanne O’Donnell. La Laurentienne offre une expérience triculturelle exceptionnelle à nos participants pancanadiens. »

Pour obtenir des renseignements sur les futures possibilités offertes dans le cadre de Shad à la Laurentienne, veuillez communiquer avec Christian Laforge à christian.laforge@laurentienne.shad.ca ou Thomas Merritt à thomas.merritt@laurentienne.shad.ca
 

Un diplômé du doctorat à la Laurentienne, Xuyang Meng, est lauréat d’une Médaille d’or de la gouverneure générale

Un diplômé du doctorat à la Laurentienne, Xuyang Meng, est lauréat d’une Médaille d’or de la gouverneure générale

Un tour de force fondé sur le travail ardu, la résilience et l’honneur.

(27 juillet, 2022) – Le chercheur postdoctoral et diplômé de l’Université Laurentienne, M. Xuyang Meng a reçu la prestigieuse Médaille académique d’or de la gouverneure générale pour les études supérieures. M. Meng a préparé son doctorat en géologie économique sous les auspices du programme de gisements minéraux et géologie précambrienne à la Laurentienne, pour mieux saisir la formation de gisements de cuivre porphyrique au début de l’ère précambrienne. Créées en 1873, les Médailles académiques du gouverneur général encouragent l’excellent rendement scolaire dans tout le Canada et sont décernées tous les ans aux paliers secondaire, collégial, de premier cycle et des cycles supérieurs aux étudiants ayant les notes les plus élevées en terminant les études.

Proposé pour ce prix par l’École des sciences de la Terre Harquail, M. Meng se dit honoré et touché d’être nommé lauréat. « Je suis reconnaissant de l’encouragement, des conseils et de l’aide que j’ai reçus de mes superviseurs et collègues à la Laurentienne, des conseilleurs du comité de doctorat et de collaborateurs partout dans le monde, a-t-il expliqué. Ce prix m’est précieux, car il souligne tous nos efforts. »

Tout au long de ses études, M. Meng a fait preuve de ténacité et de persévérance. Il a amorcé ses études postsecondaires à Beijing, en Chine, où il a préparé un B.Sc. en géologie (2013) et une M.Sc. en minéralogie, pétrologie et géologie des gisements minéraux (2016). Il est ensuite venu au Canada pour faire ses études de doctorat en géologie économique à l’Université de l’Alberta, où il a collaboré étroitement avec son superviseur du corps professoral, M. Jeremy Richards, Ph.D.

En 2017, M. Richards a reçu l’offre d’une Chaire de recherche du Canada (niveau I) à la Laurentienne. Pour cela, et puisque M. Meng s’intéressait au programme de gisements des minéraux et de géologie précambrienne, les deux ont déménagé à Sudbury. « Il y a tellement d’excellents professeurs, a décrit M. Meng avec confiance, et le programme me permettait d’examiner les processus géologiques des temps anciens quand les gisements minéraux étudiés ont été formés, ce que je trouvais bien intéressant. »

Malheureusement, M. Richards est décédé en 2019 au terme d’une lutte contre le cancer. « J’ai été bouleversé par cette triste nouvelle inattendue, a dit M. Meng, et envisageais la possibilité d’abandonner mon doctorat. » Par contre, avec M. Richards à l’esprit, il a persévéré et renforcé sa passion pour la recherche. « Je voulais poursuivre les projets que nous avions commencés et atteindre nos objectifs. Je voulais faire cela pour Jeremy. » La perspicacité et les contributions de M. Richards, même après sa mort, ont aidé M. Meng à parachever avec succès ses études de doctorat. « Je suis vraiment reconnaissant des possibilités de recherche qu’il m’a ouvertes. Il était un brillant superviseur et chercheur qui connaissait à fond les gisements de cuivre porphyrique. »

Après son décès, les collègues de M. Richards à la Laurentienne ont assuré la relève auprès des étudiants qu’il supervisait. « J’avais de la chance d’être à la Laurentienne, a exprimé M. Meng, car il y avait toujours quelqu’un pour m’aider à franchir les obstacles. Je n’aurais pas su surmonter les difficultés sans l’appui de nombreuses personnes sympathiques de l’École Harquail et de la Laurentienne. » Les principaux membres du corps professoral qui ont prêté un soutien à M. Meng sont MM. Daniel Kontak, Pedro Jugo et Ross Sherlock. M. Adam Simon (avec qui M. Meng collabore actuellement pour ses recherches postdoctorales à l’Université du Michigan) et M. Jingwen Mao (qui a dirigé sa thèse de maîtrise) l’ont aussi appuyé.  

M. Meng a de solides aspirations et continue d’être emporté par son enthousiasme pour les découvertes scientifiques. « J’ai gagné de la confiance dans mon domaine depuis mon arrivée au Canada, a-t-il déclaré, en ayant rencontré beaucoup d’éminents géologues, comme Jeremy, Dan, Adam, Pedro et Ross, préparé mon doctorat et reçu maintenant la Médaille d’or de la gouverneure générale. » À l’avenir, il a hâte d’apporter des contributions qui aideront à combler l’écart en matière d’études géologiques existant entre divers pays du monde.

« J’espère pouvoir continuer de contribuer à notre société de façon importante sur le plan scientifique. »
 

L’Université Laurentienne dépose un Plan d’arrangements

L’Université Laurentienne dépose un Plan d’arrangements

Le Plan rapproche l’Université de l’issue positive de la procédure en vertu de la LACC.

Sudbury ON, 21 juillet 2022 - L’Université Laurentienne a franchi une étape marquante de sa restructuration aujourd’hui avec le dépôt de son Plan d’arrangements à la Cour supérieure de justice de l’Ontario. Ce Plan est le fruit de plus de dix-huit mois de collaboration durant la procédure en vertu de la LACC avec ses créanciers, ses dirigeants syndicaux et ses principales parties concernées, et rapproche grandement l’Université de la fin de la protection de la LACC. 

La Laurentienne demandera le 28 juillet 2022 une ordonnance l’autorisant à convoquer une réunion des créanciers qui aura lieu le 14 septembre 2022 afin de voter sur le Plan. Si les créanciers approuvent le Plan à cette réunion, la Laurentienne demandera une autre ordonnance le 5 octobre 2022 pour mettre le Plan en œuvre lorsque certaines conditions auront été remplies. Après la mise en œuvre du Plan, la restructuration en vertu de la LACC prendra fin et la Laurentienne en émergera financièrement plus viable et sur une voie solide vers le succès. 

« Nous sommes heureux de confirmer que les documents déposés aujourd’hui permettront à l’Université de repartir à zéro, restructurée et sur une voie claire vers la viabilité financière, a affirmé le président du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne, M. Jeff Bangs. Cette issue est le fruit de dix-huit mois de dialogue productif avec nos parties concernées dont le but commun est de veiller à ce que l’Université Laurentienne continue de fonctionner pendant des années en tant qu’élément essentiel du tissu et de l’économie du nord de l’Ontario. » 

« Nous sommes reconnaissants du soutien continu du ministère de Collèges et Universités et de la participation active de tous nos partenaires tout au long de la restructuration, a ajouté M. Bangs. Cette étape marquante envoie un solide message à la population étudiante actuelle et future, à notre personnel et à notre corps professoral dévoués, à tous les membres de la communauté de la Laurentienne et à la population du Nord. Nous sommes convaincus que nous pourrons émerger de la restructuration plus forts qu’auparavant et envisageons l’avenir avec un optimisme renouvelé. 

Le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne annonce la transition à la haute direction de l’Université

Le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne annonce la transition à la haute direction de l’Université

Le recteur et la vice-rectrice aux études prennent leur retraite

Sudbury ON, 21 juillet 2022 – Dans le cadre des documents touchant le Plan d’arrangements soumis aujourd’hui à la Cour supérieure de justice de l’Ontario, l’Université Laurentienne a annoncé le départ à la retraite de M. Robert Haché, recteur et vice-chancelier, et de Mme Marie-Josée Berger, vice-rectrice aux études, avant la fin du processus lié à la LACC. Un recteur et un vice-recteur par intérim seront nommés, et le processus officiel de recrutement d’un recteur permanent, en consultation avec la communauté de la Laurentienne, débutera.

« Nous apprécions grandement le leadership et les contributions de M. Haché et de Mme Berger à la Laurentienne, a déclaré le président du Conseil des gouverneurs, M. Jeff Bangs. Leurs conseils et leur détermination ont été indispensables durant la période la plus difficile de notre histoire. » 

« À ce moment décisif pour l’Université Laurentienne, je laisse mes fonctions de recteur avec énergie et optimisme pour l’avenir, a dit M. Haché. J’ai abordé mon rôle avec des priorités claires : apprendre de la communauté de la Laurentienne, mener à bien le processus de restructuration lié à la LACC et remettre notre université sur la voie vers un avenir riche sur le plan de l’enseignement et de la recherche, culturellement diversifié et financièrement sain. Cela a été un honneur de servir cette magnifique université. » 

« Même si nous avons encore beaucoup de chemin à faire, a indiqué M. Bangs, l’optimisme règne à nouveau au Conseil qui travaille avec la communauté et ses partenaires communautaires pour protéger et faire avancer la mission unique de la Laurentienne en tant qu’établissement bilingue et triculturel du nord de l’Ontario. »

Une bienfaitrice donne 200 000 $ pour soutenir les programmes de l’École d’éducation

Une bienfaitrice donne 200 000 $ pour soutenir les programmes de l’École d’éducation

Wyona Thompson fait un don important à titre posthume pour aider la population étudiante.

28 juin 2022 - L’École d’éducation a reçu un nouveau don de 200 000 $ au nom de Wyona Thompson, une diplômée de l’Université Laurentienne, qui est décédée en juin 2021. Ce don servira à aider la population étudiante à plein temps des programmes de baccalauréat en éducation en anglais et en français. Le « Fonds Wyona Thompson » permettra de créer des bourses d’études qui récompenseront le rendement scolaire et des bourses d’aide pour des étudiants dans le besoin. Il apportera aussi du soutien pour le voyage à des stagiaires placés en dehors de la région du Grand Sudbury, de préférence dans les régions insuffisamment servies du Nord.

« Ces fonds apporteront directement un appui important à notre population étudiante, a affirmé la doyenne de la Faculté de l’éducation et de la santé, Céline Larivière. Ils permettront aussi aux stagiaires de séjourner dans des localités du Nord qui manquent actuellement d’éducateurs, ce qui sera profitable tant pour les stagiaires que pour les communautés. »

Wyona et son défunt époux, Ollan White, croyaient fermement au pouvoir transformateur de l’éducation. Ayant eux-mêmes été enseignants à Sudbury, Petawawa et Kingston, ils seraient fiers de savoir que ce don aidera la prochaine génération d’éducateurs au fil de leur parcours.

« Nos diplômés montrent la voie en innovant dans les salles de classe, en améliorant le bien-être des enfants et en renforçant les communautés, a ajouté Mme Larivière. Les enseignants sont des modèles pour les enfants. Le don de Wyona aidera la population étudiante en éducation à effectuer des stages dans des écoles de communautés éloignées et insuffisamment servies où les modèles positifs auront un effet important et durable sur les jeunes. »

Les nouveaux fonds commenceront à aider la population étudiante au cours de l’année universitaire 2022-2023.

L’Université Laurentienne célèbre les subventions fédérales à la découverte du CRSNG

L’Université Laurentienne célèbre les subventions fédérales à la découverte du CRSNG

Du financement de 820 000 $ et de 470 000 $ appuiera la recherche.

27 juin 2022 – Des chercheurs de l’Université Laurentienne, de l’Université de l’EMNO et de l’Institut de recherche d’Horizon Santé-Nord ont reçu 820 000 $ du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG) pour financer cinq études.

Le Programme de subventions à la découverte est le programme le plus important et le plus ancien du CRSNG. Ces subventions appuient des domaines de recherche comme la biologie, la chimie et la biochimie, les sciences de la terre, le génie, les sciences de l’activité physique, les mathématiques et l’informatique, et la physique, et sont habituellement d’une durée de cinq ans. Elles offrent aux meilleurs chercheurs du Canada le financement de base et la liberté d’explorer leurs idées les plus prometteuses qui pourraient mener à d’importantes percées. Le CRSNG a aussi alloué 470 000 $ supplémentaires pour aider le corps professoral affilié à mener des recherches en physique subatomique.

« Le Programme de subventions à la découverte est essentiel pour les chercheurs en sciences naturelles et en génie. Cet investissement du gouvernement fédéral permettra aux chercheurs de l’Université Laurentienne et à leurs partenaires de l’Institut de recherche d’Horizon Santé-Nord et de l’Université de l’EMNO d’avoir les ressources nécessaires pour enrichir les connaissances dans des domaines vitaux pour le Canada, a déclaré la vice-rectrice à la recherche, Tammy Eger. Nous sommes extrêmement fiers des récipiendaires des subventions et de leurs équipes, y compris des étudiants des cycles supérieurs qui auront la possibilité d’améliorer leur apprentissage grâce à ces subventions. »

Les récipiendaires des subventions à la découverte du CRSNG de la Laurentienne et de ses organismes affiliés sont :

  • Brent Lievers: Quantifying the nature and consequences of morphological changes in trabecular bone structural units
  • Corey Laamanen: Microalgae production of high-value antioxidants in Canada
  • Guangdong Yang: Deciphering the roles of cystathionine gamma-lyase/H2S system in Fe-S protein biogenesis and iron homeostasis
  • Sujeenthar Tharmalingam (primary appointment at NOSM University): Elucidating the role of long noncoding RNA (lncRNA) in the DNA damage response
  • Chris Verschoor (primary appointment at Health Sciences North Research Institute): Exploring how age impacts the TNF-mediated activation of monocytes

Trois de ces chercheurs (Laamanen, Tharmalingam et Verschoor) ont aussi reçu un supplément Tremplin vers la découverte attribué à des chercheurs en début de carrière qui reçoivent une subvention à la découverte pour la première fois. 

« L’Université Laurentienne continue de repousser les limites de la découverte, a ajouté le recteur et vice-chancelier, Robert Haché. Nous saluons les efforts de nos chercheurs chevronnés qui investissent énormément dans la recherche scientifique. Félicitations à tous les récipiendaires qui méritent ces subventions et feront des percées. »

L’Institut de recherche autochtone Maamwizing de l’Université Laurentienne a reçu une subvention de 430 832 $ du CRSH

L’Institut de recherche autochtone Maamwizing de l’Université Laurentienne a reçu une subvention de 430 832 $ du CRSH

Le financement donnera des ailes à Maamwizing, un centre de recherche axé sur la communauté autochtone.

(21 juin, 2022) - L’Institut de recherche autochtone Maamwizing (IRAM) de l’Université Laurentienne a reçu une subvention de 430 832 $ du Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH) dans le cadre de l’initiative Race, genre et diversité. Accordée à Joey-Lynn Wabie (Ph.D.), cette subvention est destinée à financer un projet de trois ans, intitulé Maamwizing, un centre de recherche axé sur la communauté autochtone.

Cette heureuse nouvelle s’inscrit dans la célébration de la Journée nationale des peuples autochtones, fêtée aujourd’hui. À ce titre, elle rehausse la reconnaissance respectueuse des cultures, des communautés et des peuples autochtones et donne l’occasion de réfléchir aux principes de vérité et de réconciliation et de s’y engager. La Laurentienne, la seule université au Canada à exercer un mandat triculturel, offre un enseignement postsecondaire en anglais et en français, doublé d’une approche globale de l’éducation autochtone. Il lui importe de respecter ces principes incarnés manifestement par l’IRAM qui offrira diverses possibilités aux étudiants autochtones qui souhaitent en apprendre davantage sur les relations authentiques et la recherche en collaboration avec les communautés.

L’IRAM sera placé sous la direction de Mme Wabie et deux partenaires de la communauté locale anishinaabe, Akinomooshin Inc. et White Buffalo Road Healing Lodge Inc. Ces organisations se consacrent à la résurgence autochtone ou à la réappropriation par les peuples autochtones de leur gouvernance et de leurs langues, cérémonies, relations et terres au niveau local, s’attaquant ainsi aux systèmes et aux suites du racisme et du colonialisme comme ils se répercutent sur la vie des peuples autochtones. Les codemandeurs de cette subvention, Darrel Manitowabi, Elizabeth Carlson-Manathara et Kevin Fitzmaurice, ont aussi contribué fortement à l’obtention de la subvention.

Joey-Lynn Wabie (Ph.D.), algonquine anicinabe ikwe de la Première Nation Mahingan Sagahigan (Wolf Lake), prochaine directrice de l’École des relations autochtones de la Laurentienne et directrice intérimaire de l’IRAM, se réjouit du financement annoncé. « En cultivant un espace de recherche dirigé par les partenaires communautaires et appuyé par l’équipe de recherche de l’IRAM, nous entendons recentrer les connaissances et les perspectives communautaires et culturelles en les focalisant sur la coproduction de résultats de recherche probants qui répondent le mieux aux besoins spécifiques en matière de programmes et de prestation de services. Ces résultats peuvent contribuer à éclairer les questions stratégiques plus vastes quant à l’efficacité et à l’équité des programmes communautaires et culturels destinés aux jeunes autochtones du Nord dans un cadre global de l’autodétermination et de la décolonisation des autochtones. »

Susan Manitowabi (Ph.D.), vice-rectrice associée intérimaire à l’enseignement et aux programmes autochtones, partage l’enthousiasme de sa collègue. « Le projet de recherche envisagé est une manifestation de l’autodétermination autochtone dans la mesure où il est proposé par, pour et avec les peuples autochtones. L’application du modèle du carrefour d’étoile à sept branches, approche de la recherche collective propre à l’IRAM, donnera une méthode anishnaabe qui, en étant d’inspiration culturelle et solidaire, favorisera les pratiques de mobilisation, de planification et de mutualisation de la recherche au sein de la communauté, pratiques ancrées dans les principes des enseignements des Sept Grands-pères : Respect, Bravoure, Honnêteté, Humilité, Amour, Sagesse et Vérité. »

Vince Pawis Sr, fondateur et directeur général de White Buffalo Road Healing Lodge Inc., se dit reconnaissant du fait que son équipe et lui participent à ce projet essentiel. « Étant donné que nous travaillons dans la communauté aux côtés d’autochtones, jeunes et adultes depuis notre fondation en 2005, ce projet donne une excellente occasion de faire des recherches sur le travail que font les organisations autochtones à la base pour contribuer à la guérison des autochtones. »

« Miigwechiwendam », a déclaré Julia Pegahmagabow, fondatrice eniigaanizid de la société Akinoomoshin Inc. Forts du partenariat qui découle de cette subvention, nous serons en mesure d’éclairer notre chemin vers l’anishinaabe kendaaswin et d’en venir à comprendre la relation avec les pédagogies anishinaabe et la façon de les appliquer. Nous bénéficions du soutien de Maamwizing, ce qui nous permettra de trouver les fils que nos ancêtres ont pu nous laisser et de les tisser pour en faire une base solide de connaissances et de transmission du savoir au service de nos enfants, de nos jeunes et de nos communautés. »

En novembre, l’Université Laurentienne et l’IRAM auront le plaisir d’accueillir Maamwizing 2022: Land and Language (Maamwizing 2022 : Terre et langue), une conférence axée sur la mise en commun d’histoires et de pratiques sages visant à s’assurer le maintien de la santé et du bien-être de la terre et de la langue. Outre de larges interprétations de ce que sont la terre et la langue, le programme mettra l’accent sur des liens plus larges entre ces deux éléments au moyen des voix des communautés locales auxquelles se joindront des universitaires autochtones et des citoyens allochtones, leurs alliés. Parmi les conférenciers principaux qui ont confirmé leur présence figurent Niigaanwewidan Sinclair (Ph.D., Université du Manitoba), Jennifer Walker (Ph.D., Université McMaster) et Joseph Pitawanakwat (Creator’s Garden). Celeste Pedri-Spade (Ph.D., Université Queen’s), première directrice de l’IRAM, de 2016 à 2019, prononcera un discours d’ouverture.

 

À propos de White Buffalo Road Healing Lodge Inc. :
White Buffalo Road Healing Lodge Inc., un organisme à but non lucratif constitué en société en 2005, est établie dans la Première Nation Shawanaga, située à environ 30 kilomètres au nord de Parry Sound. Née de la vision de Vince Pawis Sr, le fondateur et actuel directeur général, White Buffalo Road Healing Lodge Inc. offre à l’intention des jeunes autochtones à risque des programmes traditionnels, tient des audiences du Cercle de libération conditionnelle assistées par des aînés autochtones et assure sous contrat des services d’agents de liaison avec les détenus autochtones traditionnels, hommes et femmes, dans les établissements correctionnels de Thunder Bay, Sudbury, North Bay, Orillia, Brampton et Lindsey, en Ontario.

White Buffalo Road Healing Lodge Inc. travaille avec le ministère des Services à l’enfance et à la jeunesse, la Division de la sécurité, des appels en matière de permis et des normes de Tribunaux décisionnels Ontario et le ministère de la Sécurité communautaire et des Services correctionnels.

À propos d’Akinomooshin Inc. :
Akinoomoshin Inc. est une organisation communautaire à but non lucratif qui s’attache à recentrer le kendaaswin anishinaabe dans la vie quotidienne des Anishinaabek. Son rêve est d’offrir quotidiennement aux enfants et aux jeunes, ainsi qu’aux membres de leur famille et de leur communauté, à son pavillon d’enseignement, le wigwam akinoomoshin, une immersion anishinaabemowin et un apprentissage aki (terre). 

Akinoomoshin Inc. a vu le jour en 2016 lorsque les gens ont commencé à se réunir et à s’organiser sous forme de visites autour de table de cuisine et de discussions sur les défis que présentent les systèmes à nos enfants et à nos jeunes.

Constituée en personne morale en 2017, Akinoomoshin Inc., qui est établie dans la communauté d’Atikameksheng Anishnawbek, entretient des relations de travail avec Science Nord, le Sudbury Catholic District School Board et la Première Nation Atikameksheng Anishnawbek, tout en mettant l’accent sur le partage et l’apprentissage culturels et linguistiques. Akinoomoshin Inc. a reçu, outre du Conseil des arts de l’Ontario, du Fonds Niigaan Gdizhaami et de Patrimoine canadien, des fonds pour mener à bien des activités axées sur la langue et l’apprentissage de la terre, dont Maamwizing, ainsi que du financement auprès du RDGI pour faire avancer son travail.
 

Des cadeaux à cultiver

Des cadeaux à cultiver

Les diplômés de la Collation des grades du printemps de la Laurentienne aident à lutter contre le changement climatique.

(9 juin, 2022) - Les diplômés de la Collation des grades du printemps de l’Université Laurentienne se sont réjouis de recevoir un semis de pin afin de pouvoir laisser leur marque sur le monde et garder un souvenir de l’événement marquant. Le Comité de durabilité environnementale de la Laurentienne leur a remis ces petits plants, gracieuseté de Vale, avec une enveloppe de graines de fleurs sauvages et un code QR menant à des vidéos réalisées par la Laurentienne pour mettre en valeur ses recherches reconnues sur la scène mondiale. Ce geste a fait naître des sourires lumineux.

Les petits plants de pin constitueront pour les diplômés un souvenir durable de cette journée importante qu’ils pourront partager pendant les 70 prochaines années, toute la durée de vie de l’arbre. Bien que les arbres partagés à la collation des grades aient une valeur sentimentale, ils sont aussi des outils essentiels dans la lutte contre le changement climatique. Tous les arbres plantés capteront du carbone, réduiront l’érosion des sols et aideront à diminuer l’écoulement des eaux pluviales, améliorant ainsi la propreté et la salubrité de l’eau. Ces efforts dirigés par des membres de la population étudiante et du corps professoral témoignent de l’engagement suivi de la Laurentienne envers la restauration des écosystèmes. 

Les diplômés de l’Université Laurentienne sont fiers de faire partie d’une histoire de reverdissement connu partout dans le monde ainsi que des initiatives de la Décennie des Nations Unies pour la restauration des écosystèmes, dont les mesures ont mené à la remise en état de terrains considérables, à l’amélioration de la qualité de l’air et à une eau plus propre. En ce sens, un site forestier interprétatif de compensation des émissions de carbone sera établi à côté de l’Auditorium Fraser sur le campus et offrira aux futurs diplômés, aux familles et aux amis un endroit dans lequel constater les réalisations en sciences environnementales de la Laurentienne.
 

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