Vous êtes maintenant dans la zone de contenu principale

Zaawaande Pagweyaan Giizhigad : Weweni wii minadaapnamiing miinwa minwendimowin ode Laurentian Chi kinomaagegamik

Zaawaande Pagweyaan Giizhigad : Weweni wii minadaapnamiing miinwa minwendimowin ode Laurentian Chi kinomaagegamik

Wii mikwenmigaaswaat gaa niboojik ode Residential Kinomaagegamikong, gaa zhaabwiijik, miinwa waa bi maadzijik.

(Le français suit)

(Waabbagaa Giizis 30 2020) Laurentian Chi kinomaagegamik miinwa da mikwenmaan Waabbagaa Giizis 30th wii awaang Zaawaande Pagweyaan Giizhigad.  Kina goyaa nendimigaaza wii biiskaang ezaawaandek ka mikwenmanaanik ga niboojik ode Canada’s Residential Kinomaagegamigoon.  Ka mishkogaabwimi kinago ka mikwenmanaa ode gaazhajik.

Aaniish Zaawaande?  Maaba Phyllis Webstad, Residential Kinomaagegamikong gii zhaa Secwepemc Nation gii binjibaa.  1973 ngodwaaswi gii piitzid, nookmissan gii yamaagoon zaawaande pagweyaan.   Kinomaagegamikong giizhaat gii mikamgaaza wi pagweyaan.  150,000 Anishinaabeg, Nitaamgayaajig, Inuit miinwa Metis gii zhaawag Residential kinomaagegamigoon biinish 1996.  80,000 gii zhaabwiiwag.  Aapji gii nigaachgaazwag giiyabi go gimooshtoonaa wi gaa dodaagaaswaat.  Nishin ginwaabjigaadeg gaazhiwebag noojmowin zhe te.

Zaawaande Pagweyaanan zhitoonan maaba Emma Petahtegoose ode Atikameksheng.  Nishin besho n’jibaat eshtood ninda pagweyaanan.  Nishin ge egaachi piitzid gewii naadmaget.  Gichi nendaami Emma gii mazinbiiyang maanda pagweyaan.  Ode wii daandim ninda teg Indigenous Sharing and Learning Centre.  Niishtana wii nangdenoon, zhoonyaa dash daa debenaanaa’ ekinomaagzijik ode Laurentian Chi-kinomaagegamikong.   Miisa eko-n’sing Emma gii zhitood ninda pagweyaanan.

Laurentian gii zhiwebag kichipiitendagwat maaba Canada giigji naadmowaat Nitaamgayaanjin.  1986, goonda United Church of Canada n’tam gii kidwook gaawiin jidaa gaa zhichgeyaang maanda Residential Kinomaagegamik gii zhiwebag.  Maanpii maaba ginwaachigan bit 1986 kaawiin jidaa gii kidwook.  Mii maanpii Art Solomon gii makadekepa gii wiindimowaat naame-gamikoong eniigaanzinjin, besho ode Parker Gamik.  Nongo dash naadmagaazwag ekinomaagzijik weweni wii kinomaagaazwaat.  Nishin ginwaabjigaadeg maanda gaabizhiwebag mewzhaa niigaan dash nongwa gidizhaami.

***

L’Université Laurentienne soulignera de nouveau cette année la Journée du chandail orange, le 30 septembre, et encourage tous les membres de la communauté à porter des vêtements orange pour conscientiser les gens aux personnes décédées dans les pensionnats autochtones du Canada et leur rendre hommage. La journée célèbre aussi la persévérance des survivants et des descendants.

La couleur orange a été choisie pour Mme Phyllis Webstad, survivante du pensionnat de la Nation de Secwepemc. En 1973, quand Mme Webstad n’avait que six ans, sa grand-mère lui a acheté un beau chandail orange pour sa première journée d’école, mais dès son arrivée au pensionnat, on lui a tout enlevé, y compris le chandail. Quelque 150 000 enfants inuits, métis et de Premières Nations ont dû fréquenter les pensionnats avant que le dernier ne ferme ses portes en 1996. Le nombre de survivants est estimé à 80 000 et les répercussions de ce génocide culturel se perpétuent encore aujourd’hui. Même les enfants qui n’ont pas fréquenté les pensionnats ont été touchés par les traumatismes intergénérationnels. Reconnaître ces atrocités joue un rôle clé dans le processus de guérison de beaucoup de personnes.

À la Laurentienne, les chandails orange sont conçus par l’artiste d’Atikameksheng Anishinawbek, Mme Emma Petahtegoose, qui assure un lien entre la conception et l’emplacement de notre établissement. Puisque le chandail est un symbole de réconciliation et d’espoir, il devait être conçu par une jeune personne, et nous sommes très reconnaissants de la brillante conception d’Emma et de son superbe travail. Un nombre limité de chandails seront en vente pour la somme de 20 $ chacun dans le Centre autochtone de partage et d’apprentissage et les sommes recueillies permettront de financer des bourses d’aide et d’étude pour les autochtones à l’Université Laurentienne. Cette année marque la troisième Journée du chandail orange affichant la conception d’Emma.

La Laurentienne est l’emplacement d’un événement marquant des tentatives du Canada à se réconcilier avec les nations autochtones. En 1986, l’Église unie du Canada a été la première à présenter ses excuses pour son rôle dans le système de pensionnats. Un cairn signale en effet l’endroit où les survivants et les défenseurs de la cause de tout notre pays se sont rassemblés en 1986 pour marquer les excuses. C’est également l’endroit où Art Solomon a fait la grève de la faim et mis l’église au défi « d’être réaliste ou de disparaître », juste en bas de la colline qui part de l’Édifice Parker. La Laurentienne continue de favoriser la réconciliation grâce à son mandat triculturel, en offrant des bourses aux étudiants autochtones et en soulignant cette journée qui met en évidence notre conscientisation à l’histoire et à l’héritage des pensionnats autochtones. Nous avons un devoir d’aller de l’avant ensemble.

L’Université Laurentienne annonce la décision d’un sous-comité du Sénat sur la suspension de l’admission à des programmes

L’Université Laurentienne annonce la décision d’un sous-comité du Sénat sur la suspension de l’admission à des programmes

Les résultats des travaux d’un sous-comité du Sénat qui s’est réuni à la fin de la semaine dernière

(25 septembre 2020) L’Université Laurentienne a annoncé aujourd’hui les résultats des travaux d’un sous-comité du Sénat qui s’est réuni à la fin de la semaine dernière pour discuter d’une note de service reçue du Vice-rectorat aux études touchant la suspension des admissions à 17 programmes annoncée par la Laurentienne à la fin de juillet, et à la suite de la décision du Sénat du 15 septembre.
 
À sa réunion vendredi dernier, ce sous-comité sur la planification universitaire a reçu et examiné les renseignements à l’appui de chaque programme concerné. Après délibérations, le sous-comité sur la planification universitaire a approuvé une proposition voulant :
 
« Que, conformément au PAQUL, la vice-rectrice aux études (VRE) communique avec les unités indiquées dans la note de service du 30 juillet 2020 dans lesquelles il n’y a pas de modifications majeures et les invite à fournir des perspectives sur leur programme. »
 
À la lumière de la proposition présentée par ce sous-comité sur la planification universitaire pour les programmes en question, il a été décidé par l'administration de l'Université que les nouvelles admissions aux 17 programmes continueront d’être suspendues jusqu’à ce que la question soit présentée à nouveau à ce sous-comité.
 
Ce processus de gouvernance collégiale auquel l’Université s’est engagée offre la meilleure qualité de programmation pour tous les étudiants de l’Université Laurentienne. Nous félicitons le sous-comité sur la planification universitaire dans son mandat d’offrir aux étudiants une expérience universitaire exceptionnelle.

Des chercheurs de la Laurentienne reçoivent des fonds fédéraux pour un projet sur le changement climatique

Des chercheurs de la Laurentienne reçoivent des fonds fédéraux pour un projet sur le changement climatique

La FCI appuiera l’analyse de l’évolution du pergélisol et du cycle du carbone

(24 septembre 2020) L’Université Laurentienne est fière d’annoncer que trois chercheurs de sa communauté ont reçu un appui fédéral pour un projet qui tombe à point nommé. La Fondation canadienne pour l’innovation (FCI) a décerné une part du Fonds des leaders John-R.-Evans de cette année à M. Nathan Basiliko et à Mmes Pascale Roy-Léveillée et Nadia Mykytczuk.

Ce nouveau financement permettra aux chercheurs de mener des recherches essentielles relatives à l’incidence du changement climatique sur le pergélisol au Canada et de cerner son effet sur la quantité imposante de carbone stockée dans ces terres gelées en permanence. Puisque des outils ultramodernes sont requis pour effectuer des recherches de pointe, ces fonds permettront à l’équipe d’avoir accès à un système de tomographie à résistivité électrique (ERT) et à un système portable de spectrométrie à résonance magnétique nucléaire de l’hydrogène (H-NMR).

L’un des principaux objectifs de l’équipe est de catégoriser les sols et substratums gelés au fur et à mesure qu’ils sont chauffés, ce qui permettra de prédire les réponses du carbone et des polluants face aux changements climatiques. De précieux renseignements seront générés aussi sur les conséquences éventuelles de ces changements aux sols gelés sur les infrastructures physiques, y compris les résidus industriels (miniers, forestiers) difficilement gérables dans les
climats plus froids.

Dans son Plan stratégique #imagine2023, l’Université Laurentienne s’engage à mettre à profit des connaissances pluridisciplinaires pour trouver des solutions astucieuses aux défis complexes de la société. Les travaux de l’équipe appuieront les progrès en géocryologie, biogéochimie, microbiologie environnementale et études géotechniques, qui misent toutes sur les domaines constituant des forces en recherche pour la Laurentienne.


CITATION
« Nous sommes reconnaissants du financement reçu de la FCI et nous en réjouissons, car il apporte un important investissement dans l’infrastructure et la recherche relative au pergélisol. Lorsque la température des sols et substratums monte, le dégel fait augmenter le montant d’eau. Même à des températures inférieures à zéro, une petite proportion d’eau soutient l’activité biologique responsable de la circulation de carbone et de polluants. Le montant d’eau liquide à des températures inférieures à zéro degré Celsius a une incidence importante sur la stabilité des sols et l’infrastructure physique des milieux de pergélisol. »
M. Nathan Basiliko, professeur et titulaire de la Chaire de recherche du Canada en microbiologie environnementale (niveau 2) au Centre pour la vitalité des lacs Vale à l’Université Laurentienne

Annonce du jury du Concours d’architecture Sudbury 2050

Annonce du jury du Concours d’architecture Sudbury 2050

Le groupe illustre établira la liste restreinte de finalistes qui feront un exposé au public et choisira aussi, cet automne, les gagnants du concours.

(18 septembre 2020) L’École d’architecture McEwen (EAM) est fière d’annoncer les membres du jury du Concours d’idées en design urbain – Sudbury 2050. Un groupe de juges chevronnés des scènes locale, nationale et mondiale évaluera les dossiers en fonction de la vision et de la réflexion progressive et intégrée de leurs auteurs ainsi que de la capacité d'exprimer visuellement leur processus dans le concept. L’énoncé de conception expliquait :

Ce concours met les participants au défi de concevoir une nouvelle vision du centre-ville du Grand Sudbury : une vision de grande envergure pour l’an 2050 qui servira bien cette ville dans un environnement mondial en mutation rapide.

Au 28 août 2020, date limite du concours, des soumissions avaient été reçues de partout dans le monde dans les catégories étudiante et libre. Les juges cerneront bientôt le riche mélange d’idées créatives proposées par les participants. 

Le jury de Sudbury 2050.ca est formé d’architectes, de concepteurs, d’universitaires, de politiciens, d’entrepreneurs et de représentants communautaires reconnus à l’échelle mondiale. 

L’honorable Brian Bigger, maire de la Ville du Grand Sudbury et les conseillers municipaux, M. Geoff McCausland et Mme Deb McIntosh, sont au nombre des politiciens locaux tandis que l’École d’architecture McEwen à Sudbury y est représentée par des membres du corps professoral, à savoir Mme Shannon Bassett et MM. David Fortin (directeur de l’EAM) et Ted Wilson, ainsi que deux membres de la population étudiante à la maîtrise, Mme Britney Ottley-Perrotte et M. Tristan O’Gorman. L’architecte en exercice à Architecture49 Inc. dans le Nord de l’Ontario, M. Victor Kolynchuk, complète la représentation locale au jury. 

Parmi les éminents juges de la scène internationale, il faut souligner :  

  • l’architecte visionnaire, M. Jason McLennan, originaire de Sudbury, auteur de Living Building Challenge qui préconise la conception régénératrice comme responsabilité écologique et architecte du Climate Pledge Arena sans empreinte de carbone à Seattle; 
  • gourou du graphisme, M. Bruce Mau, aussi originaire de Sudbury, cofondateur du Massive Change Network (MCN) et auteur du récent livre, MC24: Bruce Mau's 24 Principles for Designing Massive Change in your Life and Work, qui influe sur la formation et l’innovation en design à l’échelle mondiale; 
  • l’architecte, Mme Marianne McKenna, dont le cabinet canadien d’architecture KPMB est lauréat de quelque 300 prix de conception et de 16 médailles du Gouverneur général en architecture, y compris une pour le Conservatoire royal et le TELUS Centre for Performance and Learning, à Toronto;
  • la journaliste primée du journal national The Globe and Mail, Mme Lisa Rochon, critique de l’architecture, auteure et fondatrice de CityLab, à Toronto;
  • l’architecte, Mme Dee Dee Taylor Eustace, promotrice du design qui dirige un cabinet haut calibre d’architecture, d’aménagement intérieur et de conception de produits à Toronto et à New York.

Ces cinq juges sont membres du Conseil consultatif international de l’École d’architecture McEwen, comme le sont la philanthrope et entrepreneure Mme Cheryl McEwen et le directeur de l’EAM, M. David Fortin, qui sont également membres du jury du concours. L’EAM est un important commanditaire du concours.

Voici le jury complet de Sudbury 2050.ca :

  • Mme Shannon Bassett, MAUD, BARCH, MRAIC, École d’architecture McEwen (Université Laurentienne) (Sudbury, Ontario)
  • M. Brian Bigger, maire de Sudbury (Ontario)
  • M. David Fortin Ph.D., directeur, École d’architecture McEwen (Université Laurentienne) (Sudbury, Ontario)
  • M. Victor Kolynchuk, MAA, OAA, LEED AP, Architecture49 Inc. (Winnipeg, Manitoba)
  • M. Bruce Mau, Massive Change Network et directeur principal de la conception, Freeman (Chicago, É.-U.)
  • M. Geoff McCausland, BMus, ARCT, IBDP, Pro.Dir., conseiller, Ville du Grand Sudbury (Ontario)
  • Mme Cheryl McEwen, Make My Day Foods Inc.; Conseil consultatif international de l’EAM (Toronto, Ontario)
  • Mme Deb McIntosh, conseillère, Ville du Grand Sudbury (Ontario)
  • Mme Marianne McKenna, OC, associée, Kuwabara Payne McKenna Blumberg (KPMB) Architects (Toronto, Ontario)
  • M. Jason F. McLennan, McLennan Design et auteur de Living Building Challenge (Bainbridge Island, É.-U.)
  • M. Tristan O’Gorman, étudiant à la maîtrise, École d’architecture McEwen (Université Laurentienne) (Sudbury, Ontario)
  • Britney Ottley-Perrotte, étudiante à la maîtrise, École d’architecture McEwen (Université Laurentienne) (Sudbury, Ontario)
  • Mme Lisa Rochon, critique de l’architecture, urbaniste, stratégiste conceptuelle, Citylab (Toronto, Ontario)
  • Mme Dee Dee Taylor Eustace, OAA, fondatrice, Taylor Hannah Architect Inc. (Toronto, Ontario et New York, É.-U.)
  • M. Ted Wilson, OAA, École d’architecture McEwen (Université Laurentienne) (Sudbury, Ontario)

Appuyez ici pour obtenir des renseignements d’appoint sur le jury.

La procédure du jury est coordonnée par le facilitateur M. Toon Dreessen, OAA, FRAIC, président de DCA Architects, à Ottawa, et président sortant de l’Ordre des architectes de l’Ontario (OAA). De plus, les conseillers professionnels au concours sont M. Terrance Galvin, MRAIC et directeur fondateur de l’École d’architecture McEwen ainsi que M. Blaine Nicholls, FRAIC, membre retraité de l’OAA et président du comité directeur de départ de l’École d’architecture.

Les gagnants du concours Sudbury2050.ca et du Prix du public seront annoncé plus tard cet automne, après que le jury aura parachevé ses délibérations, un stade du concours marqué d’enthousiasme et de créativité.
 

La Laurentienne rend hommage à quatre membres du corps professoral pour souligner l’excellence dont ils font preuve en enseignement

La Laurentienne rend hommage à quatre membres du corps professoral pour souligner l’excellence dont ils font preuve en enseignement

L’Université annonce les lauréats de prix d’excellence en enseignement et les professionnels de l’enseignement en résidence

(25 août 2020) C’est avec grand plaisir que le Comité du Sénat de l’enseignement et de l’apprentissage et le Centre d’excellence universitaire (CEU) annoncent les lauréats de Prix d’excellence en enseignement ainsi que les professionnels de l’enseignement en résidence de cette année. Joignez-vous à nous pour féliciter Mmes Tammy Gaber et Diana Urajnik et MM. Jorge Virchez et Robert Schinke.

Professeure de l’École d’architecture McEwen (EAM), Mme Tammy Gaber, Ph.D., est lauréate du Prix d’excellence en enseignement de cette année. L’un des membres du corps professoral fondateur de l’EAM, elle vient de terminer un mandat à titre de coordonnatrice des études supérieures. Elle préconise qu’il soit nécessaire de contester les principes fondamentaux en tenant compte de perspectives diverses afin de préparer de façon plus empathique et pertinente les étudiants à la réalité mondiale de l’architecture. « Je m’enorgueillis, dit-elle, de suivre les trajectoires de mes étudiants anciens et actuels. »

Chargée de cours en psychologie et sciences de l’activité physique, à l’EMNO et à l’École de santé dans les milieux ruraux et du nord, Mme Diana Urajnik, Ph.D., est lauréate du Prix d’excellence en enseignement pour les membres du corps professoral à temps partiel. Elle est qualifiée de personne dont « les conseils et le soutien demeurent sans égal ».

Professeur titulaire du Département de géographie, M. Jorge Virchez, Ph.D., est nommé professionnel de l’enseignement en résidence. En cette qualité, il entend appuyer les membres du corps professoral, du personnel administratif et de la population étudiante en les amenant à mieux comprendre l’internationalisation et les différentes cultures, religions et techniques d’enseignement dans l’optique des enjeux internationaux. « Je donne 100 pour cent de moi-même dans chaque cours, a-t-il dit lors d’une entrevue récente, et trouve de nouvelles façons à motiver les étudiants à m’écouter et à apprendre avec enthousiasme. »

Professeur des sciences de l’activité physique, M. Robert Schinke, Ph.D., est aussi nommé professionnel de l’enseignement en résidence. « Ce que je partage avec mes étudiants repose sur les valeurs et le contenu et est ancré dans le réel, a dit M. Schinke récemment en entrevue. Aller de l’avant avec désintéressement donne un sens à nos travaux et, nous l’espérons, à ceux de nos étudiants aussi. »

« Ces prix célèbrent l’enseignement qui a une incidence positive et durable sur les étudiants et enrichit leur apprentissage, a dit l’ex-vice-recteur aux études de l’Université Laurentienne, M. Serge Demers. Quelle joie de donner à ces éducateurs exceptionnels la valorisation qui leur revient. »
 

Les résidences de la Laurentienne s’adaptent à la COVID-19

Les résidences de la Laurentienne s’adaptent à la COVID-19

Le logement sur le campus sera possible au trimestre d’automne 2020

(6 août 2020) Depuis plus de 50 ans, les résidences de la Laurentienne offrent un hébergement sécuritaire à la population étudiante. Nous savons que beaucoup d’étudiants préfèrent être sur le campus cet automne, et avons établi des plans pour fournir le meilleur hébergement possible. Nous avons pris les mesures ci-dessous afin de limiter les risques.

Occupation réduite
Chaque locataire sera logé dans une chambre et deux personnes au maximum partageront des toilettes. Les résidences fonctionneront à 35 % de capacité afin d’assurer la distanciation physique et la sécurité des locataires.

Dates et heures de l’emménagement graduel
La période d’emménagement a été prolongée afin de respecter les règles de distanciation physique. Elle commencera le lundi 31 août et se terminera le mardi 8 septembre. Un maximum de quatre locataires par heure dans chaque édifice aura le droit d’emménager. Les emménagements seront autorisés uniquement entre 8 h et 20 h lorsque du personnel supplémentaire d’entretien sera sur place. 

Notre personnel d’entretien intensifiera le nettoyage dans les endroits publics, surtout les zones le plus souvent touchées, comme les poignées de porte. Ce nettoyage continuera pendant toute l’année universitaire afin de protéger les locataires en permanence.


Soutien pour les étudiants étrangers venant de l’extérieur du Canada
Le Service des résidences de la Laurentienne offre à tous les étudiants étrangers un lieu sûr où rester en quarantaine pendant quatorze jours. Ils recevront de la nourriture ainsi qu’un soutien du personnel et du Service de santé du campus.

Activités
Le personnel de la Vie en résidence apportera un appui aux locataires et établira des liens communautaires dans le cadre d’activités virtuelles et en personne. La vie sur le campus est guidée par la Charte de l’Okanagan qui met l’accent sur la promotion de la vie saine en communauté sur le campus. Les rassemblements autorisés devront respecter les lignes directrices de Santé publique Ontario. Le personnel qui organise ces activités recevra de l’équipement de protection individuelle et du désinfectant.

Plans d’urgence
Le Service des résidences de la Laurentienne a travaillé étroitement avec Santé publique Sudbury et districts (SPSD) pour se préparer à de nombreuses éventualités. Nous avons actuellement un plan pour une pandémie et un plan de quarantaine ainsi que la marge de manœuvre nécessaire pour observer les lignes directrices de SPSD.

CONCLUSION
La décision de permettre à un grand nombre de membres de la communauté universitaire de revenir sur le campus a exigé la coopération de nombreuses unités. Le Comité du retour sur le campus, composé de plus de 50 leaders du campus représentant la population étudiante, le personnel et le corps professoral, a travaillé étroitement avec la Vie en résidence pour accomplir cette démarche. La santé et la sécurité demeurent notre priorité et nous continuons de travailler étroitement avec les instances de santé publique.

CITATION
« Les résidences de la Laurentienne ont toujours été un lieu sécuritaire. Nous croyons fermement que les mesures de sécurité que nous mettons en œuvre pour la rentrée de l’automne réduiront beaucoup les risques pour la population étudiante, le personnel, le corps professoral et les entrepreneurs qui entreront dans les édifices cet automne. » Joseph McGibbon, gestionnaire de la Vie en résidence, Université Laurentienne

L’UL se prépare à l’approche d’un trimestre d’automne sans pareil

L’UL se prépare à l’approche d’un trimestre d’automne sans pareil

Le campus met l’accent sur les protocoles et l’apprentissage en ligne pour assurer la sécurité de la communauté.

(29 juillet 2020) L’Université Laurentienne prépare un retour sur le campus comme nul autre depuis sa création. En mettant un accent sans précédent sur la sécurité de chaque personne de notre communauté, nous sommes heureux d’annoncer aujourd’hui que nous passons graduellement à la prochaine phase de notre plan de retour sur le campus. Nous avons préparé une série de ressources, politiques et mesures afin que la population étudiante, le personnel et le corps professoral disposent de moyens d’optimiser la sécurité.

RETOUR SUR LE CAMPUS – LA PROCHAINE PHASE
L’Université Laurentienne passe à la deuxième phase de son plan de retour sur le campus. L’accès au campus sera autorisé, mais contrôlé. À compter du 12 août, les services aux étudiants sur le campus (hub maLaurentienne, certaines salles d’études, résidences, etc.) rouvriront graduellement et en toute sécurité. Même si beaucoup d’employés demeureront en télétravail, certains services aux étudiants seront offerts par une combinaison d’interactions à distance et en personne.

À la mi-août, la population étudiante commencera à revenir sur le campus en prévision du premier jour de cours. N.B. Le premier jour des cours est le mercredi 9 septembre.

NOUVELLES MESURES DE SÉCURITÉ
Nous sommes déterminés à préserver la santé de la communauté. Même si moins d’un pour cent des cours auront lieu en salle de classe, le masque sera obligatoire sur le campus pendant le trimestre d’automne. Des centaines de nouveaux panneaux ont été installés sur le campus, car les exigences de distanciation physique s’appliqueront et il faudra garder une distance d’au moins deux mètres. 

CHANGEMENTS DANS LES RÉSIDENCES ÉTUDIANTES
Étant donné que nous accueillerons quelque 500 locataires au trimestre d’automne, nous avons adopté une série de politiques et de mesures pour assurer leur sécurité. Les chambres pour deux personnes seront converties en chambres pour une personne; le personnel effectuera un nettoyage rigoureux et des postes de désinfection ont été installés dans tout l’édifice.

Des services de restauration seront de nouveau disponibles sur le campus. Un menu souple de mets à emporter remplacera le buffet traditionnel.

SOUTIENS À LA POPULATION ÉTUDIANTE
Alors que nous nous adaptons à cette situation, il est essentiel que nous nous entraidions. Maamwi, ensemble, together, nous possédons des ressources vitales pour aider chaque personne à s’adapter. Nous sommes tout à fait disposés à employer des approches innovatrices pour aider notre population étudiante.

Pour les nouveaux étudiants, le programme d’orientation et d’information sur l’Université et la vie universitaire inclura une liste dynamique d’activités à distance et de ressources disponibles sur demande. Nous invitons les étudiants et les parents à obtenir d’autres renseignements sur l’orientation ici.

Le Centre d’excellence universitaire (CEU) et le Service de technologie de l’information travaillent étroitement pour fournir au personnel enseignant une série d’outils et de soutiens pour l’enseignement. Plus de 200 membres du corps professoral ont rencontré en personne les membres de notre équipe pour adapter leurs cours.

***

Même si la pandémie de COVID-19 nous a apporté de nombreux défis, nous continuons de les relever. Un comité de dirigeants de toute l’Université supervise chaque initiative tout en travaillant étroitement avec Santé publique Sudbury et district et observant les lignes directrices provinciales. Nous continuerons de suivre ses conseils.
 

Des professeures de la Laurentienne gagnent un prix international

Des professeures de la Laurentienne gagnent un prix international

Un réseau de recherche américain rend hommage à Mmes Rosanna Langer et Moira Ferguson pour leurs travaux sur le soutien en santé mentale

(17 juillet 2020) L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer que deux de ses professeures sont à l’honneur pour les recherches essentielles qu’elles effectuent en matière de services de santé mentale. Elles ont rédigé l’article « Stigma, Discrimination, Resilience, and Support in Members of a Mental Health Consumer Peer Support Organization » qui a été reconnu par le Prix d’excellence internationale 2020 de l’Interdisciplinary Social Sciences Journal Collection. L’organisme a fait l’annonce récente dès son siège social à Champaign, en Illinois.

Deux personnes se partagent le prix, à savoir Mme Rosanna Langer, professeure de droit et justice et présidente du Conseil d’éthique de la recherche, et Mme Moira Ferguson, professeure de sociologie et d’études sur la main-d’œuvre et travailleuse chevronnée de première ligne. Nous tenons à les féliciter de leurs efforts.

CITATION
« Je suis tellement heureuse que nos chercheuses soient reconnues de cette façon. L’Université Laurentienne maintient une fière tradition à s’attaquer aux questions complexes ayant une incidence sur le monde réel. Le travail des professeures Langer et Ferguson s’insère dans l’appel de plus en plus évident à reconnaître le besoin d’améliorer le soutien à la santé mentale. » Mme Joël Dickinson, doyenne de la Faculté des arts à l’Université Laurentienne

Au sujet de l’Interdisciplinary Social Sciences Journal Collection
Composée de onze revues, l’Interdisciplinary Social Sciences Journal Collection explore les approches disciplinaires et pluridisciplinaires à l’intérieur et entre les diverses sciences sociales et parmi les sciences sociales, naturelles et appliquées. Créée en 2005, la collection est répertoriée par Scopus, EBSCO, le Conseil de la recherche de l’Australie et Ulrich’s Periodicals Directory. Offerte en abonnement personnel et organisationnel, la revue est publiée électroniquement et sur papier. D’autres renseignements figurent à https://thesocialsciences.com/journals/collection
 

Un chercheur de la Laurentienne marque un triplé universitaire en jetant un nouveau regard sur un ancien minerai

Un chercheur de la Laurentienne marque un triplé universitaire en jetant un nouveau regard sur un ancien minerai

Professeur de l’École des sciences de la Terre Harquail à l’Université Laurentienne, M. Andrew McDonald, Ph.D., est, pour la troisième fois de sa carrière, lauréat de la Médaille Hawley, l’équivalent d’un tour de chapeau dans le monde universitaire. Il a co-rédigé avec son ancien étudiant, M. Elliot Wehrle, un article jugé comme le meilleur publié en 2019 dans la revue respectée sur le plan mondial, The Canadian Mineralogist, de l’Association minéralogique du Canada.

Bien que les prix universitaires soient souvent décernés pour reconnaître des percées ou découvertes nouvelles à la compréhension humaine, les recherches primées en question portent plutôt sur un minerai commun parmi les plus étudiés en minéralogie, le quartz, qui s’est avéré la solution à une énigme qui persiste depuis 1,85 milliard d’années.

Puisque le quartz change très peu, même au cours d’une telle période extrêmement longue, M. McDonald et Wehrle ont aidé à éclaircir la façon dont se sont façonnées au fil du temps les formations rocheuses et minérales du complexe de roches intrusives de Sudbury. Côté pratique, cette découverte pourrait aider les sociétés minières à trouver des minerais. Sous une optique plus profonde, la recherche nous aide à mieux comprendre la terre sur laquelle nous sommes.

Nous tenons à féliciter M. McDonald et Wehrle de ce prix et à leur souhaiter de poursuivre sur la voie du succès.
 
CITATION

« Cet article se mesurait à d’autres rédigés par des minéralogistes et géologues chevronnés et très compétents. Je crois que le résultat ultime témoigne du haut calibre des étudiants de la Laurentienne et de la recherche qui s’y fait. Il s’agit effectivement de la troisième Médaille Hawley que mes étudiants et moi recevons. Beaucoup de chercheurs n’arrivent jamais à recevoir un tel hommage au long de leur carrière et je suis très chanceux d’en avoir partagé autant avec mes étudiants. Ce prix confirme la qualité exceptionnelle des recherches menées en sciences minérales à la Laurentienne et, plus largement, en sciences de la Terre. »
M. Andrew McDonald

L’UL choisit de grands talents à titre de leaders de deux vice-rectorats

L’UL choisit de grands talents à titre de leaders de deux vice-rectorats

Mme Marie-Josée Berger, Ph.D., et Mme Tammy Eger, Ph.D., sont nommées respectivement vice-rectrice aux études et vice-rectrice à la recherche.

(6 juillet 2020) L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer les nominations de Mme Marie-Josée Berger, à titre de vice-rectrice aux études, et de Mme Tammy Eger, à titre de vice-rectrice à la recherche.

« Nous avons trouvé deux candidates idéales, a dit le recteur et vice-chancelier, Mme Robert Haché, et je me réjouis à la perspective de voir leurs contributions à la Laurentienne au cours des prochaines années. »

Mme Berger a occupé divers postes de cadre dans le milieu universitaire pendant plus de 20 ans. Récemment, elle a été doyenne de l’École des sciences de l’éducation ainsi que vice-rectrice associée responsable de l’éducation permanente à l’Université Bishop. Auparavant, elle a été doyenne de la Faculté d’éducation de l’Université d’Ottawa. Ex-professeure à l’Institut d’études pédagogiques de l’Ontario de l’Université de Toronto, elle a aussi travaillé au ministère de l’Éducation pour appuyer la conception des programmes d’études des écoles élémentaires et secondaires. Elle est titulaire de grades de l’Université du Québec à Montréal et de l’Université d’Ottawa. Son mandat renouvelable de cinq ans commencera le 1er août 2020.

Mme Eger, une des chercheuses les plus prolifiques de la Laurentienne, est vice-rectrice intérimaire à la recherche à la Laurentienne depuis six mois. Cette nomination passionnante lui permettra de continuer à diriger avec brio la communauté vibrante de recherche et d’innovation à l’Université Laurentienne. Professeure titulaire à l’École des sciences de l’activité physique et première titulaire de la Chaire de recherche en santé et sécurité en milieu de travail au Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail (2015-2019), elle est cofondatrice du centre de recherche susmentionné et co-conceptrice du premier laboratoire itinérant de recherche en santé et sécurité au travail en Ontario. Elle est auteure de quelque 50 articles de revue et d’une centaine d’actes de congrès et son mandat renouvelable de cinq ans commencera le 1er juillet 2020.

Les deux nominations couronnent des processus de recrutement international menés au cours de la dernière année. L’Université désire aussi remercier M. Serge Demers qui a exercé admirablement les fonctions de vice-recteur intérimaire aux études depuis juillet 2017. M. Demers retournera au poste de secrétaire général et de secrétaire du Sénat.

CITATIONS

« Mme Berger apporte une immense expérience à notre établissement et nous sommes chanceux qu’elle guidera notre mission en matière d’enseignement. Tant son leadership que sa vision ont dépassé nos attentes tout au long du processus de sélection et nous bénéficierons grandement de sa nomination à ce poste. Elle est la candidate idéale et nous nous réjouissons qu’elle se joigne à nous à Sudbury. » Robert Haché, Ph.D., recteur et vice-chancelier

« Mme Marie-Josée Berger est la candidate idéale. Elle possède une vaste expérience en leadership dans le monde universitaire et a fort bien réussi à aider des établissements à naviguer dans les décisions difficiles en plus de promouvoir un environnement collégial. C’est une fervente défenseuse de la population étudiante, qui a travaillé pour améliorer les possibilités pour les populations étudiantes étrangère et autochtone. C’est un privilège pour l’Université de compter Mme Berger au sein de son équipe administrative. » Amanda Schweinbenz, Ph.D., professeure agrégée, École des sciences de l’activité physique 

« La profonde expérience en leadership de Mme Berger, tant en théorie qu’en pratique, est ce qui m’a impressionné le plus. Je me réjouis des perspectives qu’elle apportera en ce qui concerne notre mandat triculturel et travaillerai avec plaisir avec elle pour faire avancer l’enseignement autochtone à l’Université Laurentienne. » Shelly Moore-Frapper, vice-rectrice associée intérimaire à l’enseignement et aux programmes autochtones

« Le leadership et la collaboration de Mme Eger dans ses fonctions ont été exemplaires, même lorsque notre communauté a été confrontée à de grands défis. Tout au long du processus de sélection, nous avons examiné des candidatures provenant de partout au monde et conclu que, en fin de compte, la personne la plus qualifiée était ici, à Sudbury. En tant qu’ancien vice-recteur à la recherche, je suis tout à fait convaincu qu’elle conduira notre portefeuille de recherche vers de nouveaux sommets. » Robert Haché, Ph.D., recteur et vice-chancelier

« Mme Eger servira fort bien la communauté de recherche de la Laurentienne au Vice-rectorat à la recherche. Elle possède la passion, la détermination et la vision pour nous aider à faire la transition vers une université offrant une gamme complète de programmes d’études où la recherche intensive aura vraiment une incidence mondiale. » John Gunn, Ph.D., titulaire de la Chaire de recherche du Canada en systèmes aquatiques stressés, et directeur du Centre pour la vitalité des lacs Vale

Pages