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Un simulateur sans égal reproduit des conditions de travail lors de la séance de portes ouvertes du CRSST

Un simulateur sans égal reproduit des conditions de travail lors de la séance de portes ouvertes du CRSST

Le simulateur de milieux de travail (W-SIM) s’attaque aux problèmes réels du milieu de travail grâce à la simulation de tâches

(4 décembre 2019) – Aujourd’hui, le Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail (CRSST) a tenu une séance de portes ouvertes pour présenter son simulateur de milieux de travail (W-SIM) entièrement fonctionnel. Le W-SIM est unique en son genre dans le monde et peut reproduire presque tous les environnements nord-ontariens de travail dans le contexte contrôlé d’un laboratoire. Il comprend une plateforme robotique simulant les vibrations, un caisson environnemental pour réguler la température et l’humidité, un système de suivi oculaire à réalité virtuelle reproduisant l’environnement de travailleurs et un système de diagnostic cardiorespiratoire pour mesurer les réponses humaines. La simulation de tâches permet aux chercheurs d’aborder de front les problèmes en milieu de travail.

Le W-SIM a potentiellement de vastes applications, y compris la mise au point et l’évaluation de nouvelles technologies pour gérer les enjeux liés au stress thermique, aux lignes visuelles et à l’exposition aux vibrations. En outre, il peut vérifier l’aptitude au travail et l’effet de la fatigue au travail tout en aidant à comprendre la façon dont les travailleurs sont conscientisés aux situations et les gèrent.

Même si le W-SIM a été créé premièrement pour effectuer des recherches et résoudre des problèmes complexes en milieux de travail, le CRSST cherche activement à nouer des partenariats avec des particuliers ou des secteurs industriels à l’extérieur de l’Université Laurentienne et à leur ouvrir l’accès au W-SIM pour des applications originales ou la mise à l’épreuve de matériel.

Hébergé dans l’Édifice Cliff-Fielding, le W-SIM du CRSST est une composante du Centre d’analyse Perdue au service du nord de l’Ontario, apportant une infrastructure ultramoderne à la conception de projets de recherche ou de contrats de service. Il donne aux clients la possibilité exceptionnelle de faire la collecte de données, d’effectuer des essais, de prendre des mesures physiologiques humaines et de mettre à l’épreuve des matières, des instruments et du personnel.

CITATIONS
« Nous félicitons le CRSST et remercions les organismes subventionnaires dont l’appui a joué un rôle primordial dans notre ambitieux programme de recherche. Le simulateur de milieux de travail n’aurait pas vu le jour sans la prévoyance et le soutien financier d’organes fédéraux (FedNor, Fondation canadienne pour l’innovation) et provinciaux (Société de gestion du Fonds du patrimoine du Nord de l’Ontario, Fonds pour la recherche en Ontario) ainsi que l’appui interne reçu de l’École des mines Goodman à l’Université Laurentienne. Ces investissements témoignent du haut degré de confiance de nos leaders dans l’Université et le mandat du CRSST à chapeauter l’excellence en recherche dans le domaine de la santé et de la sécurité professionnelles. » M. Robert Haché, recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne

« La possibilité de simuler un milieu de travail permet aux chercheurs ou aux partenaires de l’industrie de vérifier plus exhaustivement des solutions innovatrices touchant le matériel avant de les adopter dans l’environnement professionnel. Cela est avantageux pour l’entreprise, car souvent, elle n’essaiera pas une deuxième fois un appareil qui fait défaut en milieu de travail. En outre, moins d’heures sont consacrées à la mise à l’épreuve de nouvelle application lorsque les activités normales de travail sont effectuées. » Mme Sandra Dorman, directrice du Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail (CRSST)
 

Un chercheur de la Laurentienne publie des résultats révolutionnaires dans Nature Geoscience

Un chercheur de la Laurentienne publie des résultats révolutionnaires dans Nature Geoscience

Un nouvel article corédigé par le professeur Alessandro Ielpi met en valeur le lien délicat qui existe entre les rivières, les plantes et, ultimement, l’air que nous respirons.

(2 décembre 2019) Cette semaine, Nature Geoscience a publié un article corédigé par le M. Alessandro Ielpi, Ph.D., professeur de l’Université Laurentienne, qui pourrait modifier notre façon de considérer les interactions entre la vie végétale, les cours d’eau et la Terre.

Intitulé « A tenfold slowdown in river meander migration driven by plant life », l’article expose le modèle de données créé par M. Ielpi et M. Mathieu Lapôtre, Ph.D., professeur à l’Université Stanford. Fondé sur des travaux pratiques effectués dans le grand bassin du sud-ouest des États-Unis et une compilation d’images-satellites montrant de nombreuses rivières dans le monde, le modèle comprend de nombreux constats importants, notamment l’incidence positive d’une végétation accrue au long des axes de rivières.

En général, plus il y a de plantes au bord d’une rivière, plus cela lui prend du temps pour changer de forme. Cette observation a de grandes répercussions sur l’environnement, y compris la présence plus durable, et ultimement la capture, de carbone organique dans les plaines inondables. L’inverse va de soi : s’il y a moins de végétation, l’axe de la rivière est plus apte à changer, faisant en sorte que le carbone organique est plus exposé et oxydé et que le dioxyde de carbone (gaz à effet de serre éprouvé) est émis dans l’atmosphère.

Le modèle pourrait éventuellement être appliqué à de nombreux environnements, dont les plaines fluviales qui changent rapidement dans les régions du Nord, voire au-delà de notre sphère terrestre. En fait, les chercheurs sont persuadés que le modèle pourrait servir à des recherches visant à élucider les anciennes rivières de Mars.

Appuyez ici pour lire l’article complet (disponible en anglais seulement)

CITATIONS
« Voici un autre exemple de recherche de premier ordre menée à l’Université Laurentienne. Ces travaux de M. Ielpi avec un collègue de l’Université Stanford constituent une grande avancée dans notre compréhension des conditions d’autrefois sur la Terre et pourraient nous aider à cerner l’effet de la végétation sur le paysage dans lequel nous vivons. » M. Osman Abou-Rabia, doyen de la Faculté des sciences, de génie et d’architecture

« Cette étude joue un rôle monumental pour faire avancer notre compréhension des circonstances antérieures sur Terre et nous aider à comprendre l’incidence des plantes – ou la vie évoluée plus large – sur notre contexte actuel. Dans la conclusion de l’article, nous discutons de la façon dont le taux de changement des rivières exerce un contrôle principal sur les bilans du carbone sur la Terre. » M. Alessandro Ielpi, professeur adjoint de sédimentologie à l’École des sciences de la Terre Harquail de l’Université Laurentienne
 

Courant rétabli

Courant rétabli

Le courant est rétabli au campus. Les services alimentaires au Grand salon seront remis en service à 16 h 30. Nous reprendrons notre horaire habituel de cours et services demain matin.

L’Université Laurentienne conclut une deuxième entente avec le Collège Sault afin d’améliorer les voies vers les programmes autochtones

L’Université Laurentienne conclut une deuxième entente avec le Collège Sault afin d’améliorer les voies vers les programmes autochtones

Un partenariat élargi permettra une meilleure mobilité des étudiants entre les deux établissements

(Sault Ste. Marie ON) 14 novembre 2019 – Aujourd’hui, le Collège Sault et l’Université Laurentienne ont signé une autre entente institutionnelle qui favorise l’apprentissage de la population étudiante. Grâce à ce partenariat élargi, les diplômés du programme de deux ans de Social Service Worker – Indigenous Specialization (SSW-IS) du Collège Sault qui sont admissibles pourront préparer en deux ans un Bachelor of Indigenous Social Work à l’Université Laurentienne. 

Le programme de la Laurentienne offre aussi plus de souplesse aux étudiants pour suivre des cours à plein temps sur le campus ou à temps partiel en ligne. Pour être admissibles à la troisième année d’études du programme de Bachelor of Indigenous Social Work à l’Université Laurentienne, les diplômés de SSW-IW de Collège Sault devront avoir conservé une moyenne pondérée cumulative de 3.0.

Cette nouvelle entente renforce l’engagement de ces établissements envers la collaboration et la prestation d’une formation enrichie et de haut calibre afin de mettre en pratique les appels à l’action de la Commission de vérité et de réconciliation.

CITATIONS
« L’Université Laurentienne se fait un point d’honneur d’élargir son partenariat avec le Collège Sault et d’offrir cette merveilleuse possibilité aux étudiants. Les personnes auront ainsi plus de choix pour poursuivre leurs études et la souplesse de le faire en ligne ou à plein temps sur le campus pour obtenir le baccalauréat. Le partenariat marie les forces des deux établissements afin de présenter aux étudiants une expérience pédagogique holistique qui les met sur la voie de la réussite. La Laurentienne continue à faire des efforts pour intégrer la formation des autochtones et cette entente propose un autre moyen de leur offrir un large éventail de choix dans les études tout en faisant progresser l’UL dans un esprit de vérité et de réconciliation. »
Shelly Moore-Frappier, vice-rectrice associée à l’enseignement et aux programmes autochtones par intérim, Université Laurentienne

« L’Université Laurentienne se réjouit de poursuivre et d’étendre son partenariat avec le Collège Sault. Il s’agit d’un autre moyen pour nous de promouvoir l’importance des cultures autochtones tout en aidant les communautés à former des professionnels compétents. L’initiative s’insère parfaitement dans notre mandat d’offrir aux étudiants autochtones la plus vaste gamme de possibilités et j’ai bien hâte de la voir éclore au cours des prochaines années. » Serge Demers, vice-recteur intérimaire aux études, Université Laurentienne

« Notre collège cherche toujours des moyens de rehausser l’expérience éducative et de proposer aux étudiants des façons innovatrices d’apprendre et de s’épanouir. Ce partenariat élargi leur donne plus de choix dans les études et la possibilité de miser sur les compétences et connaissances qu’ils ont acquises afin de se préparer pour une carrière enrichissante en services sociaux pour les autochtones. Nous sommes très fiers de nous allier à l’Université Laurentienne et comptons poursuivre cette fructueuse collaboration. » Colin Kirkwood, vice-président aux études et à la recherche, Collège Sault

Au sujet du Collège Sault
Le Collège Sault offre une expérience transformatrice de vie en habilitant ses étudiants à réfléchir et à apprendre selon des manières progressistes et innovatrices, y compris celles qui sont pour l’instant inimaginables. Le collège décerne des certificats collégiaux de l’Ontario et des diplômes avancés ou autres, certificats d’études supérieures et grades. Plus grand prestataire de la formation d’apprenti dans le nord de l’Ontario, le Collège Sault a d’importantes répercussions économiques sur sa communauté avec un apport indirect de quelque 158 000 000 $. Chaque année, il distribue plus de 1 800 000 $ en bourses d’aide et d’études et prix à sa population étudiante. Situé à la frontière américaine et au cœur de trois des plus vastes Grands Lacs du monde, le Collège Sault est l’un des 24 collèges publics de la province de l’Ontario.
 

La Laurentienne se classe au premier rang pour les revenus de recherche parmi les universités de premier cycle

La Laurentienne se classe au premier rang pour les revenus de recherche parmi les universités de premier cycle

Les revenus de recherche ont augmenté de quelque 40 % pendant le dernier exercice financier

Le 13 novembre 2019 -- Les chercheurs de l’Université Laurentienne se réjouissent de voir leur établissement figurer aux plus hauts échelons de la liste nationale des universités de recherche dressée par Research Infosource. L’organisme a classé la Laurentienne au premier rang pour les revenus de recherche parmi les universités offrant principalement des programmes de premier cycle. En fait, les réussites de la Laurentienne dans des domaines divers lui ont donné droit à ce classement pour la deuxième année consécutive. L’Université occupe aussi la 27e place dans le classement général au Canada.

Selon Research Infosource, les revenus de recherche de la Laurentienne pendant le plus récent exercice financier se chiffraient à 44 000 000 $, ce qui représente une croissance de 37,2 %, la plus importante hausse parmi tous les établissements figurant sur la liste. La Laurentienne a progressé du deuxième rang l’an dernier au premier rang cette année pour ce qui est de l’intensité des recherches des étudiants.

Plusieurs facteurs ont permis à la Laurentienne de concrétiser ces résultats, notamment son Plan stratégique de recherche, qui met l’accent sur des valeurs clés, dont la collaboration, la transparence et la coopération pluridisciplinaire.

Pour consulter les divers classements, veuillez appuyer ici.

CITATION
« La Laurentienne progresse dans la bonne direction en ce qui concerne les classements relatifs à la recherche, reflétant ainsi l’engagement et le travail ardu de notre corps professoral, de notre personnel et de notre population étudiante, qui font une différence sur les scènes locale, nationale et mondiale. Je tiens à féliciter tout le monde de cette réussite et à inciter l’accélération du rythme de cet essor. » Rizwan Haq, vice-recteur intérimaire à la recherche, Université Laurentienne

AU SUJET DE RESEARCH INFOSOURCE
Research Infosource Inc. se déclare la source d’information en matière de recherche et de développement au Canada. Cabinet de recherche, d’expert-conseil et de publication de premier plan, il se spécialise dans les domaines de politique, de recherche, de veille économique et d’analyse en matière de sciences, de technologie, d’innovation et de l’écosystème canadien de R.-D.
 

L’Université Laurentienne accueillera de brillants esprits des écoles secondaires canadiennes dans le cadre d’un nouveau programme triculturel d’été

L’Université Laurentienne accueillera de brillants esprits des écoles secondaires canadiennes dans le cadre d’un nouveau programme triculturel d’été

Shad Canada offrira une formation en STIM et entrepreneuriat adaptée au nord de l’Ontario

L’Université Laurentienne se réjouit d’annoncer qu’elle s’est alliée à Shad Canada, organisme caritatif de Waterloo qui offre des programmes de formation en sciences et entrepreneuriat aux élèves de 10e et de 11e années. Ces deux instances ont en effet collaboré pour présenter un programme d’été qui tient compte du paysage culturel et linguistique sans égal du nord de l’Ontario.

Notre établissement accueillera Shad pour la première fois en juillet 2020 et la Laurentienne sera le seul endroit au Canada où les participants pourront apprendre en anglais et français. En outre, les directeurs du programme collaborent avec le Centre autochtone de partage et d’apprentissage afin d’y intégrer des perspectives autochtones.

L’Université Laurentienne est située sur le territoire Atikameksheng Anishnawbek et tout près de la Première Nation de Wahnapitae. Elle est aussi un élément important du Grand Sudbury dont plus de 25 % des résidents affirment que le français est leur langue maternelle. Il est logique que le programme de Shad à la Laurentienne reflète ces faits, et nous sommes fiers de cette collaboration.
 
CITATIONS
« Un des objectifs de Shad est de faire comprendre aux élèves très performants qu’il n’est pas nécessaire de travailler seul et que la coopération et la collaboration sont possibles. Nous espérons aussi le faire à un autre niveau, c.-à-d. sur le plan linguistique. » —  Christian LaForge, codirecteur du programme Shad à la Laurentienne

« Plus nous parlons aux élèves de l’hétérogénéité des gens qui propulsent les STIM (sciences, technologie, ingénierie et mathématiques), plus ils se voient dans ces domaines. Plus nous intégrons de visages et de langues dans l’expérience, plus nous représentons la vraie image des sciences. » — Thomas Merritt, codirecteur du programme Shad à la Laurentienne
 
AU SUJET DE SHAD
Programme de STIM et d’entrepreneuriat, Shad Canada s’adresse aux élèves des 10e et 11e années qui sont preneurs de risque, curieux, et font preuve d’excellence et de résilience, et les prépare à relever des défis sociaux et économiques. Pendant le programme d’un mois, les élèves sont appelés à relever un véritable défi de conception dans un domaine comme la sécurité alimentaire, la gestion de l’eau et les déchets.

Une professeure de la Laurentienne participera à une aventure dans l’Antarctique

Une professeure de la Laurentienne participera à une aventure dans l’Antarctique

Mme Tammy Eger se joindra à une centaine de dirigeantes de STIM dans le cadre du programme Homeward Bound

Après plusieurs mois de préparation, la professeure Tammy Eger partira pour l’Antarctique le vendredi 15 novembre afin de participer au projet Homeward Bound. Professeure titulaire des sciences de l’activité physique et titulaire d’une Chaire de recherche au Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail, elle est l’une de quatre Canadiennes choisies pour la quatrième cohorte du programme.

Homeward Bound vise à former 1 000 femmes dirigeantes des STIM d’ici les dix prochaines années en les munissant des outils dont elles ont besoin pour orienter les politiques et diriger la prise de décisions afin de créer un avenir planétaire plus durable. Le programme de leadership de cette année se déroulera pendant trois semaines en Antarctique et se penchera sur le changement climatique et les sciences polaires. Mme Eger sera accompagnée d’une centaine de chercheuses de domaines divers de partout dans le monde, y compris la chercheuse en santé psychiatrique, Mme Hinemoa Elder, la scientifique géospatiale, Mme Charity Mundava, et la chercheuse clinique, Mme Pallavi Prathivadi.

La communauté universitaire de la Laurentienne appuie pleinement les objectifs de Homeward Bound et souhaite un bon voyage à Mme Eger.

Pour en apprendre davantage sur Homeward Bound, veuillez regarder cette vidéo qui met en valeur Mme Eger.

CITATION
« Je suis incroyablement chanceuse de pouvoir voyager avec 99 leaders accomplies des STIMM de partout dans le monde. Je suis en effet enthousiasmée, touchée, curieuse et grandement inspirée. Je sais que l’expérience nous changera et je me réjouis à la perspective de voir l’incidence qu’aura ma cohorte sur le monde entier. L’une des devises du programme est « Plus forte ensemble » et j’en suis persuadée. Lorsque nous collaborerons en tenant compte de toutes les voix, que ce soit dans le laboratoire, la salle de conférences, à élaborer des politiques ou à innover, nous vivrons dans un monde meilleur. » — Tammy Eger, participante à Homeward Bound

AU SUJET DE HOMEWARD BOUND
Ayant comme toile de fond l’Antarctique, Homeward Bound est une initiative mondiale révolutionnaire de leadership qui vise à rehausser l’influence et l’incidence des femmes dans la prise de décisions qui façonnent notre planète.
 

Étudiants de la Laurentienne remportent la deuxième place du concours international de plans d'affaires en Corée du Sud

Étudiants de la Laurentienne remportent la deuxième place du concours international de plans d'affaires en Corée du Sud

Cette équipe est la première et la seule équipe canadienne à être invitée à cette compétition.

 Nous sommes fiers d’annoncer qu’une équipe d’étudiant(e)s de la Laurentienne a remporté la deuxième place à la septième édition du concours international de plans d’affaires à la SolBridge International School of Business en Corée du Sud. L’équipe est composée de Daniel Boileau, Stéphane Lauzon, Sarah Napoli et Maxime Leduc. Cette équipe est la première et la seule équipe canadienne à être invitée à cette compétition.

« J’aimerais féliciter nos étudiants a déclaré Prof Michel Delorme, doyen de la Faculté de gestion. J'espère qu'ils ont beaucoup appris et apprécié cette expérience. C'est une expérience unique qui peut les aider à terminer leurs études et avoir un impact tout au long de leur carrière. » 

Michel Delorme souhaite remercier le professeur Luc Lagrandeur pour son mentorat et ses conseils dans la préparation des étudiants pour ce concours. Il aimerait également remercier Bernie Schell, pour avoir accompagné les étudiants en Corée du Sud et avoir été leur mentor pendant le concours.

« C’est un grand succès pour la Faculté de gestion de l’Université Laurentienne. Nous sommes très fiers de nos étudiants! »

Mme Jennifer Abols est nommée dirigeante de l'École des Mines Goodman et PDG de MIRARCO

Mme Jennifer Abols est nommée dirigeante de l'École des Mines Goodman et PDG de MIRARCO

Nomination effective le 4 novembre 2019

Sudbury ON, le 30 octobre 2019 – L’Université Laurentienne et la Société de recherche appliquée en innovation minière et de réhabilitation (MIRARCO) se font un plaisir d’annoncer la nomination de Mme Jennifer Abols au poste de directrice générale de l’École des mines Goodman et de PDG de MIRARCO, avec entrée en fonction le 4 novembre 2019.

Puisque M. Bruce Jago, Ph.D., a terminé son mandat en tant que directeur général fondateur de l’École des mines Goodman et que M. Vic Pakalnis a pris sa retraite à titre de président de MIRARCO, le moment était propice de trouver une personne pour diriger les deux organismes afin de miser sur leurs synergies et de positionner l’Université Laurentienne comme l’Université des mines du Canada.

« Pour gagner sa place à titre d’Université des mines du Canada et élargir sa portée sur la scène mondiale, la Laurentienne était à la recherche d’une personne enthousiaste et innovatrice du secteur en mesure de cultiver des relations globales et de rapprocher l’industrie et l’Université, a dit le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Robert Haché, Ph.D. Nous avons trouvé une leader qui ralliera les gens du campus et préparera les diplômés à faire la transition réussie à leur carrière dans laquelle ils contribueront à des innovations qui feront progresser le secteur minier. »

Mme Jennifer Abols a été un choix unanime du comité de sélection composé de représentants de l’Université Laurentienne et des conseils de l’École des mines Goodman et de MIRARCO.

Originaire de Sudbury, Mme Abols est titulaire d’un baccalauréat en génie en métallurgie extractive de l’Université Laurentienne et d’une MBA axée sur le marketing et la stratégie mondiale de l’Université Wilfrid Laurier. Ingénieure professionnelle bilingue ayant acquis plus de 20 ans d’expérience dans le secteur des mines et des minéraux, elle a de riches acquis dans tout le cycle minier qui font d’elle la parfaite candidate pour affermir la réputation de la Laurentienne en tant qu’Université des mines du Canada.

Elle est ex-présidente du Western Australia Mining Club (2009-2010) et présidente sortante de la Division de la minéralogie (2005), qui lui a décerné le Prix de minéralurgiste de l’année en 2015. « Je me réjouis de cette possibilité et à la perspective d’occuper ce nouveau poste à l’Université Laurentienne, a affirmé Mme Abols. J’ai hâte de travailler avec les gens talentueux de MIRARCO et de l’École des mines Goodman afin de consolider la place de la Laurentienne à titre d’Université des mines du Canada. »

Président général de Dundee Corporation et président du Conseil consultatif international auprès de la direction générale de l’École des mines Goodman, M. Jonathan Goodman siégeait au comité de sélection. « Ma famille a investi dans la Laurentienne, a-t-il dit, parce que nous sommes persuadés qu’elle assure la formation de futurs cadres dirigeants de l’industrie minière en intégrant les aspects environnementaux, sociaux, gouvernementaux et financiers à un solide enseignement technique. »

Vice-président de XPS Expert Process Solutions (une entreprise de Glencore) et président du Conseil de direction de MIRARCO, M. Dominic Fragomeni siégeait aussi au comité de sélection et connaissait bien le sens aigu des affaires et du marketing de Mme Abols, ainsi que son expérience dans l’industrie. Il est convaincu que ces forces permettront à MIRARCO de servir l’écosystème de l’innovation minière, y compris les chercheurs, les autres organismes de collaboration du secteur, le gouvernement et l’industrie minière dans son ensemble, sur les scènes locale et mondiale, tout en continuant à faire avancer ses programmes de recherche axés sur l’industrie.

Nouvelle convention collective entre la Laurentienne et le SCFP

Nouvelle convention collective entre la Laurentienne et le SCFP

Le syndicat représente quelque 330 auxilliaires à l’enseignement

Le 29 octobre 2019 -- L’Université est heureuse de vous informer qu’une nouvelle convention collective de deux ans a été ratifiée entre l’Université Laurentienne et le Syndicat des employés de la fonction publique (SCFP) qui représente quelque 330 auxiliaires à l’enseignement à l’Université.


« Les auxiliaires à l’enseignement jouent un rôle essentiel dans l’expérience universitaire, a déclaré le vice-recteur intérimaire aux études, M. Serge Demers. Ils secondent les membres du corps professoral pour l’enseignement, fournissent du mentorat et de la formation à la population étudiante du premier cycle, et apportent de l’aide dans les laboratoires et pour les tutoriels. L’expérience d’auxiliaire à l’enseignement est une occasion unique d’apprentissage intégré au travail pour nos étudiants des cycles supérieurs, et nous apprécions leurs diverses perspectives et contributions importantes. »
 

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