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L’Université Laurentienne reçoit 250 000 $ de TPEI Foundation pour la création de bourses appuyant les échanges d’étudiants

L’Université Laurentienne reçoit 250 000 $ de TPEI Foundation pour la création de bourses appuyant les échanges d’étudiants

Ce partenariat exceptionnel permettra aux étudiants canadiens de faire des études en Chine et aux étudiants chinois d’étudier au Canada.

15 août 2019 – La population étudiante de l’Université Laurentienne est reconnaissante envers TPEI Accounting and Education Foundation qui a fait un don de 250 000 $ pour appuyer les études. Ce don financera des bourses qui permettront à des étudiants en comptabilité de la Chine d’étudier à la Laurentienne à titre d’étudiants invités pendant quatre mois. De même, il apportera un appui financier à des étudiants canadiens qui étudieront dans le programme professionnel de comptabilité mondialisée à la Zhejiang University of Finance & Economics (ZUFE). 
    
Ce don à une université canadienne est une première pour la TPEI Foundation. Ses cofondateurs, M. Leung Kam Chi (Oliver) et Mme Ko Fung Man (Barbara), collaborent avec des universités canadiennes depuis plus de 20 ans et considèrent que cela constitue un excellent moyen de redonner. « Nous sommes chanceux d’être en mesure de financer ces expériences exceptionnelles pour les étudiants de la Laurentienne et de la ZUFE, leur permettant de mieux comprendre la comptabilité sous une optique mondiale et d’élargir leurs perspectives. C’est une journée très importante pour nous. »  

Pour l’Université Laurentienne, le don s’aligne parfaitement sur les objectifs énoncés dans le Plan stratégique 2018-2023. « La réussite de nos étudiants est notre réussite, a dit le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Robert Haché. Grâce à ces fonds, nous créons des possibilités et des expériences d’apprentissage sans pareil pour les études à l’étranger. Plus que jamais, nos étudiants en commerce doivent penser globalement, et ce don leur ouvre encore plus de possibilités. »

Ce don permettra à quatre étudiants chinois de se rendre à Sudbury en septembre et 10 autres arriveront en janvier. La TPEI Foundation appuie fermement les jeunes universitaires qui cherchent à élargir leur perspective mondiale tout en obtenant un enseignement de haut calibre en comptabilité et finances.

 

Au sujet de TPEI Accounting and Education Foundation

En 2015, TPEI Accounting and Education Foundation (TPEI Foundation) a été fondée en vertu de la loi fédérale du Canada. Sa mission est de préparer le personnel enseignant à présenter un contenu pédagogique conforme à des normes élevées reconnues mondialement et à former les jeunes afin qu’ils deviennent de futurs leaders ayant des normes éthiques élevées. Elle a comme vision de servir de passerelle et de soutien pour la prestation d’un enseignement de qualité qui formera des professionnels compétents au Canada et en Chine.

L’Université Laurentienne approuve l’exemption des droits de scolarité pour les jeunes (pupilles de la Couronne) pris en charge par une société pendant une période prolongée.

L’Université Laurentienne approuve l’exemption des droits de scolarité pour les jeunes (pupilles de la Couronne) pris en charge par une société pendant une période prolongée.

Notez : A compter de septembre 2022, ce programme a été transformé en bourse. Cliquez ici pour avoir de l'information mise à jour.

 

13 août 2019 - L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer que les jeunes pris en charge par une société pendant une période prolongée seront de nouveau admissibles à une exemption totale des droits de scolarité à la Laurentienne. Cette exemption s’adresse aux jeunes pris en charge par une société d’aide à l’enfance, actuellement ou auparavant, pendant une période prolongée et qui préparent leur premier grade postsecondaire. Lancé en 2012 et reconduit en prévision de la prochaine année scolaire, ce programme d’exemption des droits de scolarité, auquel sont admissibles des étudiants inscrits à plein temps ou à temps partiel, verra soutenir dix étudiants à plein temps. 

« Ces étudiants, dont beaucoup sont autochtones, sont confrontés à des défis uniques en matière d’accès à l’enseignement postsecondaire, a déclaré le vice-recteur intérimaire aux études, M. Serge Demers. Il est important d’éliminer les obstacles et de les aider à réaliser leurs objectifs universitaires. Nous sommes fiers de pouvoir renouveler le soutien à ce groupe d’étudiants et espérons mobiliser des fonds au sein de notre communauté pour donner au programme, dans les années à venir, une capacité élargie. »
  
Cette initiative a été promue par Mme Jane Kovarikova, une diplômée de l’Université Laurentienne et ancienne jeune prise en charge. « Les diplômes d’études postsecondaires nous ont permis, à quelques-uns d’entre nous qui avons eu la chance, de donner corps à nos aspirations, dit-elle. La plupart d’entre nous n’ont tout simplement pas les mêmes chances, les mêmes possibilités. Je suis très reconnaissante que mon cheminement, d’un collège communautaire, m’ait ouvert la voie aux études universitaires. Je souhaite vivement que toutes les personnes qui ont été élevées au sein d’une famille d’accueil aient les mêmes chances. » Jane Kovarikova, titulaire de plusieurs diplômes, est aujourd’hui doctorante.

 

Conditions

Les critères d’admissibilité sont les suivants :

  • Avoir été pris en charge pendant une période prolongée en Ontario pendant au moins un an.
  • Avoir demandé du financement non remboursable du RAFEO pour des études à plein temps ou à temps partiel pour chaque année universitaire. Il n’est pas obligatoire de demander un prêt.
  • Avoir épuisé tout autre type de financement gouvernemental disponible.


L’exemption correspond au montant total des droits de scolarité moins le financement non remboursable du RAFEO et tout autre financement provincial auquel l’étudiant(e) est admissible. Pour être admissibles, les étudiants doivent déclarer leur statut dans le processus de demande au RAFEO et fournir la documentation à l’appui. La priorité est donnée aux jeunes qui présentent une première demande pour un premier grade.

Les étudiants intéressés, qui souhaitent en savoir plus sur le programme, y compris le processus de demande et les instructions pertinentes, sont invités à consulter la rubrique Admissions du site Web de l’Université Laurentienne.

L’Université Laurentienne et le Collège Fleming créent un cheminement unique vers la maîtrise

L’Université Laurentienne et le Collège Fleming créent un cheminement unique vers la maîtrise

25 juillet 2019 – Les diplômés du programme Environmental Visual Communication (EVC) du Collège Fleming ont maintenant l’option d’obtenir une maîtrise de l’Université Laurentienne. C’est le premier cheminement du genre en études postsecondaires dans la province.

Les établissements ont signé une entente permettant aux diplômés admissibles du programme EVC du Collège Fleming de poursuivre des études dans le programme de maîtrise en communication scientifique à la Laurentienne. Les diplômés de Fleming recevront 21 crédits pour leur certificat en EVC et devront obtenir 12 autres crédits à l’Université Laurentienne pour recevoir la maîtrise, ce qui peut être accompli au cours de trois semestres universitaires. Pour être admissible, il faut avoir obtenu un grade du premier cycle en plus du certificat de Fleming.

« Ce cheminement unique vers la maîtrise est innovateur pour le Collège Fleming et nous sommes très heureux de l’offrir à nos diplômés qualifiés du programme EVC, a déclaré le directeur du campus Frost de Fleming et doyen de l’École des sciences environnementales et des ressources naturelles, M. Brett Goodwin. Ce cheminement est extrêmement attrayant pour les étudiants et offrira le passage sans interruption entre un certificat d’études supérieures de l’Ontario et un programme de maîtrise. Le secteur environnemental est en pleine expansion et le programme EVC dote les étudiants d’un portfolio unique et hautement commercialisable de compétences en communications qui ne feront que s’améliorer au cours du cheminement vers la maîtrise en communication scientifique. »

« Dans de nombreuses voies professionnelles en communication scientifique, une maîtrise est souvent obligatoire pour accéder à des postes de haut niveau, et le programme de maîtrise en communication scientifique attire des étudiants qui ont déjà leur diplôme en EVC, a dit la directrice de la maîtrise en communication scientifique à l’UL, Mme Chantal Barriault. La Laurentienne est très heureuse de cette entente avec le Collège Fleming, car elle augmentera le bassin de candidats potentiels ».

Le programme EVC de Fleming est offert en format compressé intensif et les étudiants se trouvent sur le campus au Musée royal de l’Ontario pendant le premier et le deuxième semestre. Le programme est conçu pour répondre à un besoin reconnu de personnes qui se passionnent pour les questions environnementales et la narration d’histoires, et veulent mobiliser efficacement les gens pour promouvoir le changement.

Le programme de maîtrise en communication scientifique de la Laurentienne est le premier et seul programme englobant en communication scientifique. Il est offert en partenariat avec Science Nord qui fournit des possibilités d’apprentissage par l’expérience en recherche et en application des principes de la communication scientifique. Récemment reconnu par le Royal Canadian Institute for Science, le programme apporte une expérience multidisciplinaire qui couvre la théorie des bonnes communications de même que les défis pratiques de la communication scientifique efficace et les sujets faisant entrer en jeu la science dans la société.

 

Au sujet du Collège Fleming

Situé au centre de l’Ontario, le Collège Fleming a des campus à Peterborough, Lindsay, Cobourg et Haliburton. Nommé en l’honneur du célèbre inventeur et ingénieur canadien Sir Sandford Fleming, il offre plus d’une centaine de programmes à plein temps en arts et patrimoine, affaires, sciences environnementales et des ressources naturelles, arts et sciences en général, santé et bien-être, justice et développement communautaire, métiers spécialisés et éducation permanente. Il compte plus de 6 800 étudiants à plein temps, 10 000 étudiants à temps partiel et 71 000 anciens.

Le Syndicat des métallos s'engage à verser 225 000 $ dans la recherche sur la santé et la sécurité au travail à l'Université Laurentienne

Le Syndicat des métallos s'engage à verser 225 000 $ dans la recherche sur la santé et la sécurité au travail à l'Université Laurentienne

Les fond appuieront des recherches importantes pour le nord de l'Ontario

28 juin 2019 – Le recteur et vice-chancelier par intérim de l’Université Laurentienne, M. Pierre Zundel, Ph.D., et le président du Syndicat des métallos, M. Leo Gerard, ont annoncé que le Syndicat s’engage à verser un total de 225 000 $ pour subventionner au cours des trois prochaines années les travaux du Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail (CRSST) à l’Université Laurentienne.

« Il est important que le Syndicat des métallos appuie les recherches qui abordent les problèmes en milieu de travail et améliorent la sécurité de tous les travailleurs, y compris ceux du nord de l’Ontario, a expliqué M. Gerard, et pour cela, nous sommes très fiers de continuer à appuyer les efforts du CRSST. »

Depuis huit ans, le Syndicat des métallos apporte un appui clé au développement du CRSST, notamment dans le cadre de ses engagements de 50 000 $ pour l’obtention d’une Chaire de recherche en santé et sécurité au travail, de 50 000 $ pour un fonds fiduciaire de bourses pour la population étudiante et de 60 000 $ pour le fonctionnement du laboratoire itinérant du CRSST, ce qui représente un investissement total de 385 000 $. La somme qui sera versée sur les trois prochaines années continuera de soutenir les efforts du CRSST à collaborer avec les milieux professionnels du Nord en priorisant leurs besoins en recherche et prêtant un appui aux membres de la population étudiante sur le terrain.

 « Les efforts du CRSST dans le domaine de la santé et de la sécurité au travail dans le Nord sont révolutionnaires, a dit M. Zundel, et ne seraient pas possibles sans l’appui soutenu de partenaires comme le Syndicat des métallos. »

Unique centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail dans le nord de l’Ontario, le CRSST adopte une approche d’équipe pour relever, par ses recherches, les défis pertinents et critiques en milieu de travail en tenant compte des travailleurs, des environnements, des communautés, du gouvernement et des associations de sécurité au travail. Le CRSST met tout particulièrement l’accent sur la formule terrain-laboratoire-terrain préconisant les interactions directes entre les chercheurs et les communautés et industries afin de bien cerner les enjeux critiques en milieu de travail. Ainsi, les chercheurs du CRSST prennent des mesures sur le terrain afin de bien comprendre la question, mettent au point en laboratoire des solutions factuelles et retournent au milieu de travail pour les mettre à l’épreuve. Le CRSST a aussi mis sur pied un laboratoire itinérant de recherche (M-CROSH) qui sert d’installations de recherche sur les lieux lorsque les membres de la population étudiante et les chercheurs se rendent dans les collectivités éloignées. En outre, le CRSST a créé un laboratoire de simulation de milieux de travail permettant aux chercheurs de reproduire les conditions de travail et de vérifier les solutions proposées dans un milieu contrôlé.

« Le don annoncé aujourd’hui consolidera la capacité du CRSST à effectuer des recherches et à parvenir à des solutions factuelles touchant pertinemment les communautés et industries du Nord, qui, à cause de l’isolement géographique, n’ont pas pu participer auparavant aux recherches, a indiqué la directrice du CRSST, Mme Sandra Dorman. L’appui antérieur et actuel apporté par le Syndicat des métallos contribue énormément au succès du CRSST et aide tout particulièrement les étudiants à perfectionner les compétences dont ils ont besoin pour devenir les futurs leaders du domaine. »
 

Nomination de M. Claude F. Lacroix à titre de président du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne pour un mandat de deux ans

Nomination de M. Claude F. Lacroix à titre de président du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne pour un mandat de deux ans

27 juin 2019 – Le 26 avril 2019, le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne a voté en faveur de la nomination à la présidence de Maître Claude F. Lacroix pour un mandat de deux ans, avec entrée en vigueur dès la clôture de l’assemblée générale annuelle du Conseil du 21 juin 2019, date de l’échéance du mandat de la présidente actuelle, Mme Jennifer Witty. Me Lacroix est membre du Conseil depuis 2006 et exerce actuellement le rôle de vice-président.

« Nous sommes chanceux d’avoir un membre du Conseil comme Claude, qui apporte expérience et vision à son rôle, a dit le recteur et vice-chancelier par intérim de l’Université Laurentienne, M. Pierre Zundel. Jennifer a fait un superbe travail comme présidente pendant une période de croissance et de changement des plus remarquables, et nous continuerons de tirer profit de ses contributions à titre de présidente sortante au cours de la prochaine année. »

Me Lacroix a obtenu un B.A. de l’Université Laurentienne en 1991 et un diplôme de la Faculté de droit de l’Université de Moncton en 1996 et est actuellement associé chez Lacroix Lawyers|Avocats. Entièrement bilingue, il œuvre dans les domaines du contentieux des affaires civiles, du droit commercial, corporatif, immobilier et de la construction, et des testaments, des successions et des fiducies.

Troisième membre de la famille à présider le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne, Me Lacroix marche sur les traces de sa mère, Mme Maureen Lacroix (2001-2004), et de son père, Me André Lacroix (1978-1981).

« Je suis très honoré de pouvoir continuer à servir le Conseil et l’Université Laurentienne, qui est un incroyable atout communautaire et est essentielle à la croissance et au développement du Nord, a souligné Me Lacroix. Dans les années à venir, l’Université aura des défis et des possibilités à cerner et, grâce largement au travail de la présidente sortante, nous sommes bien placés pour continuer d’être un moteur de la réussite. »

Me Lacroix est membre actif de plusieurs conseils d’administration communautaires, organismes sans but lucratif et associations professionnelles et est actuellement vice-président du conseil d’administration de Science Nord. Par le passé, il a été président de l’Association des anciens de l’Université Laurentienne et de l’Association de droit du district de Sudbury, membre des conseils d’administration et de direction de la Société de développement du Grand Sudbury et président de l’Association des juristes d’expression française de l’Ontario ainsi que de la Société de développement communautaire de l’aéroport de Sudbury.

Mme Jennifer Witty siègera à titre de présidente sortante pendant un an.
 

Mme Joël Dickinson est nommée doyenne de la Faculté des arts

Mme Joël Dickinson est nommée doyenne de la Faculté des arts

Mme Joël Dickinson (Ph.D.) a été nommée doyenne de la Faculté des arts à l’Université Laurentienne, rôle qu’elle exerce à l’intérim depuis août 2018. 

« Je suis touchée d’avoir été choisie, a dit Mme Dickinson. Les programmes et cours des arts jettent les fondements qui permettent aux diplômés de mieux comprendre les complexes enjeux sociétaux actuels et éventuels auxquels nous sommes confrontés. Je me réjouis à la perspective de collaborer avec les membres extraordinaires du corps professoral qui murissent des idées merveilleuses. »

« Mme Dickinson est une dirigeante exceptionnelle dont l’engagement envers l’Université Laurentienne se fait ressentir à bien des égards, comme son approche de collaboration aux travaux des comités et l’accent qu’elle met sur l’expérience étudiante, a dit le vice-recteur intérimaire aux études, M. Serge Demers, Ph.D. Nous sommes très chanceux qu’elle ait accepté d’exercer ce rôle. »

En 2006, Mme Dickinson a reçu un doctorat en psychologie de l’Université du Nouveau-Brunswick. À l’Université Laurentienne, elle a été nommée professeure adjointe en juillet 2007 et promue au poste de professeure agréée en juillet 2014 et de professeure titulaire en juillet 2018. De juillet 2015 à août 2018, elle a été directrice du Département de psychologie, jusqu’au moment où elle a assumé le rôle de doyenne intérimaire de la Faculté des arts. En 2016, elle a reçu le Prix d’excellence en enseignement de l’Université Laurentienne.

À part ses nominations universitaires, Mme Dickinson fait preuve de leadership de maintes façons. D’abord, elle a siégé à de nombreux comités à l’Université Laurentienne, dont le Comité de planification stratégique (2017-2023), le Sénat et le Conseil de l’Université Laurentienne pour la formation des autochtones. De plus, sur le plan communautaire, elle a participé au Programme de leadership du Nord d’un an, offert en partenariat par l’Université Laurentienne, la Ville du Grand Sudbury, Science Nord et Ressources pour l’enfance et la communauté. À la Laurentienne, elle a aussi développé et donné à plus de 900 personnes, de septembre 2015 à septembre 2018, un cours de formation en matière d’espace sécuritaire qui souligne l’importance d’être un allié pour la communauté LGBTQ2-S à l’Université Laurentienne.

Le Comité de sélection, présidé par M. Serge Demers, a été impressionné de l’engagement de Mme Dickinson envers la mission bilingue et triculturelle de l’Université et a estimé que ses compétences interpersonnelles et son approche collégiale à la résolution de problèmes constitueront des atouts non seulement pour la Faculté des arts, mais aussi pour l’ensemble de l’Université Laurentienne.

 

Au sujet du poste de doyenne de la Faculté des arts

Tout en assurant la prestation de solides programmes d’études au premier cycle et aux cycles supérieurs, la doyenne apporte des contributions considérables au Plan stratégique de l’Université et assure la promotion de domaines clés d’excellence en recherche au sein de la Faculté. Relevant du vice-recteur aux études, la doyenne favorise également de solides relations avec les membres du corps professoral et les directeurs et directrices d’unités, et travaille en collaboration avec les instances de gouvernance de l’Université, les autres doyens et doyennes, la haute direction, le Conseil des gouverneurs, les secteurs industriels, les organismes consultatifs externes, les médias et la collectivité.
 

La Laurentienne conférera des titres honorifiques à quatre éminents Canadiens

La Laurentienne conférera des titres honorifiques à quatre éminents Canadiens

Un artiste célébré, une éditrice francophone réputée et deux leaders de l’industrie minière recevront un doctorat honorifique de l’Université Laurentienne

31 mai 2019 – Dans le cadre des cérémonies de collation des grades du printemps 2019, l’Université Laurentienne reconnaîtra et célébrera les remarquables carrières et réalisations de quatre éminents Canadiens : l’artiste de renommée internationale, M. Bernard Poulin, l’éditrice francophone réputée, Mme Denise Truax, et deux dirigeants de l’industrie minière, MM. Ned Goodman et Terry MacGibbon.

« Nous nous réjouissons d’accueillir ces personnes exceptionnelles au sein de notre famille d’anciens, a dit le recteur et vice-chancelier par intérim, M. Pierre Zundel. Nous sommes éblouis par l’ampleur de leurs talents aussi bien que l’enthousiasme qu’ils manifestent en partageant leurs connaissances, passion et ressources avec les autres afin de les aider à élargir leurs horizons et à réaliser leur plein potentiel. Nous sommes très fiers de célébrer leur nature généreuse. »

 

M. Bernard Poulin

Artiste de talent exceptionnel, M. Poulin a la réputation de créer des œuvres magnifiques sur des supports divers, ce qui s’est traduit par une reconnaissance internationale. Il est reconnu comme l’un des meilleurs portraitistes au Canada, ayant peint, entre autres, des personnages royaux, chefs religieux et politiciens, et a présidé, de 2003 à 2005, l’Institut canadien des portraitistes. En outre, il est sculpteur accompli, muraliste, conférencier recherché et auteur prolifique, ayant rédigé onze livres et contribué à maints autres pour partager ses vastes connaissances avec les artistes jeunes et établis partout dans le monde. Ses œuvres ont été sollicitées par des clients privés, gouvernements, organismes et compagnies dans tout le pays, y compris le Canadien Pacifique, le Conseil national de recherche du Canada et le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada.

 

Mme Denise Truax

Championne de la littérature francophone et l’une des porte-parole des arts les plus actives de la communauté, Mme Truax est, depuis 1988, directrice générale de la maison d’édition Prise de parole, doyenne des maisons d’édition de langue française au Canada à l’extérieur du Québec. Malgré sa taille modeste, Prise de parole est reconnue sur la scène mondiale pour avoir publié des centaines d’ouvrages d’auteurs francophones des plus loués au Canada, dont bon nombre sont lauréats de Prix du gouverneur général. Sous la gouverne de Mme Truax, Prise de parole a été deux fois finaliste au Prix du premier ministre pour l’excellence artistique et compte parmi les partenaires fondateurs de la Place des Arts, carrefour des arts et de la culture francophones qui sera bientôt construit à Sudbury.

En 2012, Mme Truax a reçu un Sudbury Community Builders Award of Excellence dans la catégorie des arts pour souligner l’important rôle qu’elle joue pour faire de Sudbury l’une des capitales littéraires de langue française au Canada.

 

M. Terry MacGibbon

M. MacGibbon est membre important de la communauté Laurentienne et moteur de la prospérité économique dans la région et le pays. Après avoir pris sa retraite d’Inco Ltd. (maintenant Vale) avec plus de 30 ans de service, il a fait croître FNX Mining Company, qui n’était à l’époque qu’une petite société obscure d’exploration, en producteur minier multimilliardaire et l’objet d’une des plus puissantes histoires à succès du domaine minier au Canada. En 2010, il a aidé à coordonner un don de 1 000 000 $ du successeur de FNX, Quadra FNX Mining Ltd., pour appuyer l’école des mines de la Laurentienne. À la Laurentienne, il a aussi présidé de 2011 à 2013 la campagne Objectif 50 qui a mobilisé 65 000 000 $. Les fonds obtenus et les relations nouées pendant cette période continuent de soutenir toute une gamme de priorités universitaires.

M. MacGibbon a exercé des fonctions de dirigeant dans diverses sociétés minières, y compris
Torex Gold Resources, INV Metals et TMAC Resources. Il prône vigoureusement les approches minières plus progressives, entre autres, en ouvrant plus de possibilités aux femmes qui désirent percer l’industrie, surtout à la haute direction. Il a été intronisé au Temple de la renommée du secteur minier canadien et a reçu, tout au long de sa carrière, de nombreux prix prestigieux.

 

M. Ned Goodman

Pendant sa carrière de cinq décennies, le fondateur de Dundee Corporation, M. Ned Goodman, s’est forgé une réputation comme l’un des leaders en investissement les plus astucieux et respectés au Canada. Géologue de formation, il a financé avec succès beaucoup des petites sociétés minières, maintenant parmi les plus fructueuses au Canada, qui ont créé des emplois pour des milliers de personnes dans le nord de l’Ontario et partout dans le pays. M. Goodman et sa famille ont fait des dons philanthropiques privés des plus considérables de l’histoire canadienne, y compris des contributions de plusieurs millions de dollars à l’appui des soins de santé et de l’éducation. En 2012, la famille Goodman a fait un don transformationnel pour appuyer l’excellence de la formation minière à la Laurentienne, ce qui a permis de créer l’École des mines Goodman.

Nommé membre de l’Ordre du Canada en 2016 pour souligner ses activités caritatives et les nombreuses contributions apportées au renforcement de l’économie nationale, M. Goodman a été intronisé au Temple de la renommée du secteur minier canadien en 2012 et au Temple de la renommée de l’investissement de l’ACCVM en 2017.

 

L’Université Laurentienne célèbre les tout premiers diplômés de la maîtrise en architecture

L’Université Laurentienne célèbre les tout premiers diplômés de la maîtrise en architecture

Les diplômés de l’École d’architecture McEwen façonneront le paysage architectural autochtone du Canada.

29 mai 2019 – La semaine prochaine, on rendra hommage à 29 membres de la population étudiante de l’École d’architecture qui recevront les premiers diplômes de maîtrise en architecture conférés par l’Université Laurentienne.

En concrétisant leur rêve, ces personnes ont accompli aussi celui des nombres membres de la communauté qui ont aidé à créer l’École d’architecture McEwen. Pour les membres de la communauté, la remise des diplômes est une autre étape importante dans l’histoire de l’École. Pour les membres de la population étudiante, le diplôme représente le point culminant de leur cheminement universitaire de six ans.

« Lorsque le premier groupe d’étudiants à la maîtrise traversera la scène, ce sera un moment de fierté pour eux, leur famille et les membres de notre corps professoral, a dit le directeur de l’École d’architecture McEwen, M. David Fortin. Ces pionniers, les premiers d’une longue suite, sont un groupe de leaders résilients. Ils ont persévéré et tiré des leçons des multiples projets de construction menés dans l’École. Ils ont été les premiers à achever les nombreux travaux communautaires et à établir des partenariats. Et ils ont fait tout cela sans plan directeur. »

Le moment est surtout gratifiant pour le directeur fondateur de l’École, M. Terrance Galvin, Ph.D. « Dès le début, nous voulions avoir une incidence sur le paysage architectural autochtone du Canada, a-t-il dit. Quand nous avons lancé le programme, il n’y avait que treize architectes autochtones autorisés au Canada. Aujourd’hui, trois nouveaux diplômés autochtones s’ajouteront aux dix-huit architectes autochtones agréés au Canada et beaucoup d’autres sont actuellement inscrits au programme. Nous avons réussi à rapprocher les enseignements traditionnels, les besoins de nos communautés et les pratiques architecturales modernes afin de présenter un programme tout à fait exceptionnel. »

Témoignant d’un engagement hors pair envers l’inclusion des perspectives et visions du monde autochtone, l’École a été reconnue sur la scène mondiale pour l’enseignement exceptionnel qu’elle offre, les réalisations de ses étudiants et son bâtiment au cœur du centre-ville de Sudbury.

La cérémonie de collation des grades de l’École d’architecture McEwen aura lieu le 6 juin 2019, à 14 h 30, dans l’Auditorium Fraser de l’Université Laurentienne. Même s’il s’agit d’une cérémonie privée réservée aux membres de la population étudiante et à leurs invités, elle sera diffusée en direct en ligne à laurentienne.ca/anciens/collationdesgrades.

 

L’École d’architecture McEwen gagne des prix nationaux

L’École d’architecture McEwen gagne des prix nationaux

27 mai 2019 - Malgré le fait que les diplômes seront conférés à la première promotion de la maîtrise en architecture ce printemps, des membres de la population étudiante et du corps professoral de l’École d’architecture McEwen obtiennent déjà des prix et des reconnaissances sur les scènes nationale et internationale. En effet, l’École McEwen s’est déjà attiré des prix et honneurs attendus d’établissements qui existent depuis plus longtemps.

 

Des étudiants à l’honneur pour des projets liant les gens au paysage

Étudiante à la maîtrise en architecture, Mme Sophie Mackey figure parmi les sept gagnants du tout premier concours d’idées SHIFT 2019 de l’Ordre des architectes de l’Ontario.

Mme Mackey a reçu l’honneur pour son projet de thèse, Immigrant Landscapes: Architecture in the Age of Migration, qui examine les façons dont la Ville du Grand Sudbury peut mieux accueillir les nouveaux immigrants en centralisant nombre de services qui sont critiques à ce segment de la population. Elle a imaginé et conçu l’agglomération d’une petite bibliothèque, d’une garderie et d’un centre d’apprentissage pour aider à accueillir les nouveaux arrivants dans la communauté.

En outre, les étudiants en architecture, MM. Brendan McDonald, Muskan Goel et Harrison Lane ont reçu une mention honorable lors du concours de design de la Commission de la capitale nationale.

L’objectif de leur conception était « d’amener les gens à renouer avec la rivière et ses commodités en se servant de l’eau pour rajuster l’infrastructure actuelle, apportant ainsi un carrefour social de rencontre dans lequel tenir des activités diverses comme des marchés, festivals et pique-niques et le jeu. »

 

La professeure Tammy Gaber reçoit le Prix Women Who Inspire

Le Conseil canadien des femmes musulmanes a rendu hommage à la professeure adjointe de l’École d’architecture McEwen, Mme Tammy Gaber en lui remettant son prix annuel Women Who Inspire, le dimanche 28 avril 2019.

Selon le Conseil canadien des femmes musulmanes, « les lauréates remettent en cause les stéréotypes traditionnels, servent fièrement leur communauté et sont une source d’inspiration pour l’ensemble des Canadiens et Canadiennes. »

Mme Gaber est l’une des sept lauréates au Canada en 2019. Ses recherches portent en grande partie sur l’architecture de l’Islam et, surtout, la conception contemporaine de mosquées. Elle est la première lauréate dans le domaine de l’architecture.

 

Rob et Cheryl McEwen recevront le Prix Words & Deeds en leadership

Reconnu au plan mondial, le Centre for Israel and Jewish Affairs rendra hommage à M. et Mme Rob et Cheryl McEwen en leur remettant le Prix Words & Deeds en leadership pour souligner leur bénévolat et philanthropie.

Mme Cheryl McEwen est bénévole, philanthrope et entrepreneure, tandis que M. Rob McEwen est fondateur et ex-PDG de Goldcorp et, actuellement, président et propriétaire principal de McEwen Mining Inc.

En 2016, le couple a fait don de 10 000 000 $ à l’Université Laurentienne, permettant à l’établissement de mettre sur pied l’École d’architecture McEwen. 

En outre, il a fait des dons à l’Édifice d’études supérieures et de recherche Rob et Cheryl McEwen à l’École d’affaires Schulick de l’Université York, au Programme de leadership McEwen au Collège St Andrew’s et à la Lakefield College School, à la Toronto General and Western Hospital Foundation, à l’Hôpital Mount Sinaï, à l’Institut Weizmann, au Festival de vin et de gastronomie Grand Cru, au Musée des beaux-arts de l’Ontario et au Festival Luminato de Toronto. Sur la scène mondiale, le couple joue aussi un rôle auprès de Virgin Galactic, de la X Prize Foundation, du congrès de l’International Society of Stem Cell Research (ISSCR), des Prix de Duc d’Édimbourg et des œuvres caritatives du Prince.

 

Les plus vieux champignons connus : publication d’une chercheuse de l’Université Laurentienne dans la revue Nature

Les plus vieux champignons connus : publication d’une chercheuse de l’Université Laurentienne dans la revue Nature

27 mai 2019 - Mme Elizabeth Turner, Ph.D., professeure de géologie à l’École des sciences de la Terre Harquail, est coauteure d’un article scientifique publié cette semaine dans la revue Nature

Même si la Terre date de 4,5 milliards d’années, son archive fossile typique, qui consiste de coquilles et d’os d’organismes marins, ne comprend que 10 % de son histoire (le Phanérozoïque); l’archive de la vie complexe sur la terre ferme est même plus courte. L’archive fossile la plus évidente, visible à l’œil nu, se compose d’organismes facilement compris qui représentent l’essentiel de la diversité biologique, suggérant qu’il doit y avoir une histoire plus ancienne pendant laquelle la majorité de la diversité de la vie s’est développée, évolutivement, sans laisser de traces évidentes. Généralement, on suppose que la vie, pendant le premier 90 % de l’histoire de la Terre (le Précambrien), comptait surtout des bactéries (procaryotes), alors que des organismes plus complexes au niveau cellulaire (eucaryotes) ont émergé pendant le Précambrien. L’étude de cette phase d’évolution « cachée » est un sujet brûlant dans la recherche géologique et paléobiologique.

Des spécimens d’un champignon microscopique fossilisé, appelé Ourasphaira giraldae, ont été extraits d’un schiste d’un milliard d’années situé dans la formation de Grassy Bay, dans les Territoires du Nord-Ouest du Canada, reculant ainsi l’âge du champignon le plus ancien connu dans l’archive de fossiles de cinq cents millions d’années. Ces fossiles ont des caractéristiques physiques fongiques typiques, ressemblant aux hyphes et spores fongiques modernes.

Les champignons sont des éléments essentiels des écosystèmes modernes en raison de leur rôle dans les cycles biologiques : en décomposant la matière organique, ils font en sorte que l’énergie et les substances nutritives peuvent être réutilisées. Dans l’histoire profonde de la Terre, ils pourraient avoir joué un rôle important dans la colonisation de la terre ferme et le succès ultérieur des plantes continentales. Malgré leur importance, l’archive fossile des champignons n’est pas très dense, car ils sont difficiles à préserver dans les roches.

L’existence de champignons il y a un milliard d’années a des incidences profondes.

  1. L’assemblage de microfossiles contenant le champignon (présenté dans des publications antérieures par les mêmes chercheurs) laisse entendre qu’il existait, il y a un milliard d’années, un écosystème complexe d’eucaryotes hétérogènes et microscopiques, incluant des organismes qui réalisaient une photosynthèse, consommaient les cellules photosynthétiques ou dégradaient la matière organique (champignons), et même des microorganismes prédateurs. Le biote de la Terre a donc compris des organismes complexes et divers beaucoup plus tôt que l’on ne l’avait supposé auparavant.
     
  2. Les champignons et les animaux sont liés génétiquement (composant le groupe biologique appelé « opisthochonte ») et ont un ancêtre commun. L’existence de champignons il y a un milliard d’années indique que la séparation des deux lignées a eu lieu plus tôt dans l’histoire. Une sorte de protoanimal devait avoir existé avant ce temps, beaucoup plus tôt que l’apparition des fossiles animaux les plus âgés (650 millions d’années), et bien plus tôt que l’émergence de fossiles typiques des animaux (Phanérozoïque).
     
  3. La formation de Grassy Bay conserve des sédiments déposés dans un environnement estuarien, un endroit à la surface où la terre et la mer se rencontrent. Il est possible que le champignon fossile soit d’origine terrestre et non marine, laissant entendre qu’il pourrait y avoir eu un genre d’écosystème simple sur la terre ferme il y a un milliard d’années.

 

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