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Journée nationale des peuples autochtones

Journée nationale des peuples autochtones

Message de Pamela Toulouse, vice-rectrice associée intérimaire à l’enseignement et aux programmes autochtones

La Journée nationale des peuples autochtones est l’occasion de célébrer et de souligner nos réussites, mais aussi de réfléchir afin de recenser les défis qui se posent encore.

La Laurentienne se fait un devoir d’observer les principes de la vérité et de la réconciliation, et son nouveau Plan stratégique reflète ceci de diverses façons. Un de nos cinq principaux atouts est le fait autochtone et notre engagement envers les principes établis par la Commission de vérité et réconciliation du Canada (CVR). Les objectifs incluent l’amélioration des relations avec les communautés autochtones, la mise en œuvre des appels à l’action de la CVR, des recherches qui améliorent le mino-bimaadziwin et l’offre d’une formation linguistique en anishinaabemowin au corps professoral, au personnel et à la population étudiante.

La Laurentienne est l’une des premières universités canadiennes à avoir créé un poste de cadre consacré aux questions autochtones. Cet engagement permanent envers le renforcement de la capacité s’est traduit par le recrutement de 25 membres autochtones du corps professoral. Nous sommes également fiers que notre population étudiante compte environ 1 100 étudiants qui se disent autochtones.

La Laurentienne est un chef de file en matière de programmes d’études autochtones. Nous avons un programme unique de maîtrise en relations autochtones fondé sur la communauté, et toute personne qui obtient un BA doit avoir obtenu au moins six crédits dans des cours à contenu principalement autochtone.

Aujourd’hui est le premier anniversaire de l’ouverture du Centre autochtone de partage et d’apprentissage qui accueille des étudiants autochtones et allochtones de la Laurentienne. C’est un lieu culturellement pertinent construit selon le concept du wigwam anishinabe traditionnel. Il se trouve à l’entrée du campus et rappelle que notre université se trouve sur un territoire traditionnel.

L’École d’architecture McEwen est fièrement dirigée par M. David Fortin, le premier directeur autochtone d’une école d’architecture au Canada. Son travail est actuellement exposé bien en vue à la Biennale d’architecture de Vienne. Il est important de souligner que, dans quelques années, les diplômés de l’École feront doubler le nombre d’architectes autochtones au Canada.

L’Institut de recherche Maamwizing de la Laurentienne se consacre à la création de partenariats avec les communautés autochtones. Il repose sur les principes du respect et de la réciprocité et est guidé par des membres autochtones du corps professoral. Il organisera sa deuxième conférence en novembre 2018 sur le thème « Mener des recherches de la bonne façon ».

Il est essentiel que la Journée nationale des autochtones devienne une plateforme à partir de laquelle nous envisageons l’avenir ensemble, disons nos vérités et écoutons honnêtement. C’est la seule façon d’effectuer des changements vitaux pour tout le monde.

La Laurentienne recrute une étoile montante locale au sein de sa nouvelles équipe de baseball

La Laurentienne recrute une étoile montante locale au sein de sa nouvelles équipe de baseball

Cet automne, l’étudiante de 17 ans de la St. Benedict Catholic Secondary School, Julia Jodouin, entrera dans l’histoire des Sports universitaires de l’Ontario (SUO) à titre de deuxième, et plus jeune, athlète féminine à jouer au sein d’une équipe masculine de baseball. Ayant accepté l’offre d’admission au baccalauréat en sciences infirmières de la Laurentienne, Julia se joindra à l’équipe à titre de lanceuse.

« Continuer de jouer à la balle était l’une de mes principales motivations en acceptant l’offre de l’UL, a dit Julia. J’ai hâte d’entreprendre cette étape de ma vie à la Laurentienne pour me consacrer à deux choses qui me tiennent à cœur – les soins infirmiers et le baseball. J’ai bien hâte au mois de septembre! »

Grâce à ses réussites au baseball, elle a été digne d’une place au sein de l’équipe masculine itinérante pee-wee des Shamrocks de Sudbury et s’est ensuite jointe à l’équipe féminine 16U de l’Ontario pour deux saisons. Pendant un été, elle a joué au baseball et à la balle molle avec l’équipe d’or 16U des Ghosts de Waterloo, allant avec elle jusqu’aux championnats nationaux. Comme membre de l’équipe féminine 21U de l’Ontario, elle a été nommée joueuse la plus utile (JPU) et joueuse étoile de premier but.

Julia continue de mettre en évidence ses aptitudes exemplaires sur tous les plans et s’est même vue accorder une place parmi l’équipe féminine nationale qui affrontera, pendant l’été 2017, l’équipe américaine dans le cadre d’une série de perfectionnement.

« Julia Jodouin est une excellente joueuse, a affirmé l’entraîneur de l’équipe masculine de baseball de la Laurentienne, Brodie Jeffery. Cette athlète de calibre relève la barre pour chaque membre de l’équipe. Pour monter un programme de baseball de A à Z, il faut des athlètes qui savent bien jouer afin d’assurer un solide fondement. Julia est un talent indispensable et se distingue tant par persévérance que par son engagement indéfectible envers le sport. »

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Notre propre récolte : Une école d’été plante les graines de la recherche sur la santé des autochtones

Notre propre récolte : Une école d’été plante les graines de la recherche sur la santé des autochtones

La Laurentienne est l’hôte de l’école d’été du Réseau de mentorat autochtone de l’Ontario

Aujourd’hui, des étudiants des cycles supérieurs de tout l’Ontario assisteront à une séance d’apprentissage sans pareil. En effet, du 11 au 15 juin, l’Université Laurentienne sera l’hôte de la toute première école d’été du Réseau de mentorat autochtone (RMA) de l’Ontario, le premier réseau de formation sur la recherche en santé dirigé par des autochtones.

Cette école d’été est offerte à 25 étudiants des cycles supérieurs qui participent à des recherches communautaires sur la santé des autochtones, et s’adresse principalement à ceux qui étudient ou planifient de travailler dans des contextes nordiques.

RMA-Ontario apprécie l’importance des travaux savants menés par les autochtones et en collaboration et a établi la priorité d’activités qui renforceront et encourageront les possibilités d’apprendre avec la communauté et d’en tirer des enseignements.

L’école d’été regroupe des étudiants, des praticiens, des gardiens du savoir autochtone et des chercheurs et vise à renforcer les compétences, les capacités et les connaissances nécessaires pour effectuer des recherches fructueuses et respectueuses avec des communautés autochtones. Elle a pour but d’améliorer la présence autochtone et le sentiment d’appartenance dans le domaine de la recherche autochtone en intégrant des connaissances et des enseignements traditionnels autochtones, et en encourageant la participation communautaire.

Cette école constituera une plateforme à partir de laquelle les étudiants pourront établir des réseaux de collaboration qui feront partie intégrante de leurs recherches et de leur perfectionnement professionnel.

 

À propos du RMA

RMA-Ontario est un programme de formation en santé de cinq ans, financé par les Instituts de recherche en santé du Canada, qui fournit aux chercheurs et stagiaires autochtones du mentorat de haute qualité, de la formation et des possibilités de participer aux recherches sur la santé des autochtones.

Ce programme est une collaboration interdisciplinaire faisant entrer en jeu treize établissements ontariens de recherche, y compris les principaux chercheurs et centres de recherche en santé des autochtones de la province.

Régi par une structure infrarégionale qui englobe le nord, le centre et l’est de l’Ontario, il est guidé par un conseil communautaire consultatif et des aînés qui l’aide à s’acquitter de sa mission, à savoir, servir les besoins et les capacités communautaires en matière de recherche.

Renseignements sur le programme : https://m.facebook.com/OntarioIMN/ et http://imnp.uwo.ca/

La Laurentienne rendra hommage à deux éminents Canadiens lors des cérémonies de collation des grades du printemps 2018

La Laurentienne rendra hommage à deux éminents Canadiens lors des cérémonies de collation des grades du printemps 2018

Un physicien lauréat du Prix Nobel et une grande dirigeante d’entreprise recevront un titre honorifique

L’Université Laurentienne conférera un titre honorifique à deux personnes exceptionnelles lors des cérémonies de collation de grades du printemps 2018, à Sudbury.

« Chaque année, nous rendons hommage à des Canadiens hors pair qui sont chefs de file de leur domaine respectif, a dit le chancelier de l’Université Laurentienne, M. Steve Paikin. Nos lauréats de titres honorifiques sont des personnes très talentueuses et engagées qui sont une source d’inspiration pour notre population étudiante, notre corps professoral, nos chercheurs et notre personnel. »

« Les contributions et réalisations de ces personnes extraordinaires ont touché tellement de vies, a ajouté le recteur de l’Université Laurentienne, M. Pierre Zundel. Grâce à leur leadership, ils nous servent de modèles et nous nous réjouissons de les accueillir dans notre famille d’anciens de la Laurentienne. »

 

Les deux lauréats de titre honorifique sont :

Nicole Boivin

(mardi 29 mai, à 10 h, à Sudbury)

Dirigeante bilingue d’entreprise et diplômée de la Laurentienne, Mme Nicole Boivin a acquis plus de 30 ans d’expérience dans les services financiers et de télécommunications et les secteurs publics et sans but lucratif. En plus d’être experte-conseil stratégique auprès de conseils et de dirigeants devant cadrer avec des perturbations et modifications de leadership et de stratégie, elle est aussi chargée de cours à la Schulich School of Business de l’Université York et conseillère auprès de DGC Capital, société de capital-risque. Elle siège actuellement aux conseils de l’entreprise privée RES PUBLICA et de la société ouverte Supremex et a auparavant été membre des conseils de l’Ontario Power Generation, Brampton Distribution Holdco, Passeport pour ma réussite et Harbourfront Centre.

Au cours d’une carrière de quatorze ans à Manuvie, société canadienne de services financiers, elle a été la première dirigeante principale mondiale de l’identité visuelle et des communications et a dirigé la première stratégie mondiale de marque de Manuvie ainsi que les efforts conjoints d’identité visuelle suivant la fusion avec John Hancock aux États-Unis. À titre de vice-présidente principale, elle a dirigé les ressources humaines et les communications de la division canadienne de Manuvie et, avant cela, a mené la création d’une stratégie de gestion des talents à l’échelle mondiale. Avant de se joindre à Manuvie, elle a été directrice à BCE Media, division de Bell Canada, adjointe du recteur de l’Université Laurentienne et directrice générale de Centraide Sudbury. Récemment, elle a lancé la série de balados « Leaders Unplugged » qui met en valeur des femmes dirigeantes à divers stades de leurs vies professionnelle et personnelle. 

Titulaire d’une MBA de l’Université Laurentienne, elle possède le titre professionnel de l’IAS de la Rotman School of Management. Elle a figuré parmi les 50 personnalités nommées dans le cadre de l’initiative Diversité 50 du Conseil canadien pour la diversité administrative et a reçu le Manulife Stars of Excellence Award.

 

Arthur B. McDonald, Ph.D.

(mercredi 30 mai, à 14 h 30, à Sudbury)

Physicien canadien et co-lauréat du Prix Nobel de physique en 2015, M. Arthur B. McDonald s’est fait connaître sur la scène mondiale pour ses travaux approfondis sur les neutrinos, particules subatomiques considérées comme éléments constitutifs de l’univers. Il a joué un rôle critique dans la création de l’Observatoire des neutrinos de Sudbury (ONS), essai voué à l’étude de la question de neutrinos solaires liée au nombre de neutrinos électroniques, car ceux observés en émanation du soleil étaient beaucoup moins nombreux que prévu. Il a été directeur de l’Observatoire situé à 2 070 mètres sous terre dans la mine Creighton près de Sudbury, en Ontario.

Il a présenté, avec des collaborateurs de l’ONS en 2001 et 2002, des résultats intéressants révélant que le nombre de neutrinos électroniques, muoniques et tauoniques était le même que le nombre de neutrinos électroniques prédit par les modèles solaires, notant que certains neutrinos électroniques avaient changé d’identité. Ces résultats ont attiré l’attention sur la scène mondiale, car ils ont aidé à reformuler la conception scientifique fondamentale du fonctionnement de la matière.

M. McDonald collabore abondamment et fructueusement depuis plus de 30 ans avec les physiciens de l’Université Laurentienne, l’un des membres fondateurs de la collaboration de l’ONS. Il est professeur émérite à l’Université Queen’s et compagnon de l’Ordre du Canada, et a reçu de nombreux honneurs scientifiques soulignant ses travaux, y compris le Prix Polanyi et le Prix de la percée, qu’il partage avec ses collaborateurs de l’ONS.

 

Cliquez ici pour les heures de collation des grades et les livestreams.

L’Université Laurentienne célèbre l’excellence en enseignement

L’Université Laurentienne célèbre l’excellence en enseignement

Réception en l’honneur des lauréates de Prix d’excellence en enseignement et des premiers professionnels de l’enseignement en résidence

​L’Université Laurentienne est fière de reconnaître Dres Joy Gray‑Munro, Andrée Beauchamp et Michelle K. Brunette en leur décernant un Prix d’excellence en enseignement pour 2017-2018. Pendant une cérémonie dans le Centre autochtone de partage et d’apprentissage, elle a aussi annoncé les deux professionnels de l’enseignement en résidence, M. Charles Daviau et Dr Aaron Langille.

Les Prix d’excellence en enseignement sont présentés annuellement aux membres du corps professoral qui ont fait preuve d’une capacité hors pair de transmettre des connaissances à leurs étudiants et de les inspirer d’enthousiasme. Chaque année, un prix est remis à un membre à plein temps et un ou deux prix à des membres à temps partiel.

« L’enseignement et l’apprentissage nous définissent à l’Université Laurentienne, a dit le vice-recteur intérimaire aux études à l’Université Laurentienne, M. Serge Demers. Ces prix célèbrent l’enseignement ayant une incidence positive durable sur les étudiants tout en approfondissant leur apprentissage. C’est un plaisir de décerner à ces éducatrices remarquables la reconnaissance qui leur est due. »

Le Programme de professionnels de l’enseignement en résidence a pour but d’encourager le corps professoral à être un moteur du changement et à témoigner d’une érudition en matière d’enseignement et d’apprentissage, et de prêter un soutien à des communautés de professeurs qui offrent du mentorat et font preuve de leadership en enseignement et apprentissage. Dans l’esprit des résultats 13 et 14 du Plan stratégique, on a choisi un professionnel ayant une expertise en apprentissage axé sur la technologie et l’autre se concentrant sur l’intégration d’un contenu autochtone au programme d’études.

« Grâce à notre Programme de professionnels de l’enseignement en résidence, nous voulons rehausser l’enseignement et avoir des retombées positives sur l’apprentissage, la participation, la persévérance et la réussite de notre population étudiante, a souligné la vice-rectrice associée à l’apprentissage et à l’enseignement par intérim, Mme Shelley Watson. Notre Plan stratégique propose un meilleur soutien pour le corps professoral grâce aux collaborations et au mentorat des pairs. Chacune des lauréates et nos deux professionnels de l’enseignement incarnent les qualités d’excellents éducateurs et nous sommes très chanceux qu’ils soient professeurs à l’Université Laurentienne. »

 

Les lauréats de Prix d’excellence en enseignement de la Laurentienne de 2017-2018 sont :


​Joy Gray-Munro

Professeure au Département de chimie et de biochimie, Mme Joy Gray-Munro, Ph. D., a reçu le prix pour membre à plein temps afin de souligner son style d’enseignement, que l’on qualifie de stimulant et rigoureux.

 

Andrée Beauchamp

Mme Andrée Beauchamp, Ph. D., donne des cours sur le campus et en ligne en anthropologie et archéologie. Elle est lauréate d’un prix pour membre à temps partiel qui souligne sa capacité d’inciter la participation de ses étudiants grâce à des approches diverses à l’enseignement et des travaux innovateurs.

 

Michelle K. Brunette

Professeure à l’École des sciences de l’activité physique, Mme Michelle Brunette, Ph. D., a reçu l’un des prix pour membre à temps partiel en reconnaissance des liens solides qu’elle noue avec ses étudiants et les efforts qu’elle fait pour leur fournir une rétroaction positive et constructive.

 

Les professionnels de l’enseignement en résidence de 2018-2019 sont :


Charles Daviau

Maître de conférences en études sur la main-d’œuvre et science économique, M. Charles Daviau a été le tout premier professionnel en résidence de l’enseignement avec une expertise en approches autochtones puisqu’il est un chef de file de la communauté autochtone à la Laurentienne et considéré comme un modèle par la population étudiante.

 

Aaron Langille

M. Aaron Langille, Ph. D., est maître de conférences dans le Département d’informatique. Il a été nommé professionnel en résidence de l’enseignement axé sur la technologie, car il intègre à ses cours les médias sociaux et l’utilisation novatrice de la technologie.

Nomination de nouveaux membres du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne

Nomination de nouveaux membres du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne

Le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne est heureux d’accueillir deux nouveaux membres, à savoir Mme Kathy Dokis et M. Maxim Jean-Louis, et a approuvé leur nomination pour un mandat de trois ans lors de l’assemblée du 22 février 2018.

« Mme Dokis et M. Jean-Louis apportent de vastes connaissances et expériences touchant les collectivités, relations et cultures autochtones et francophones, a dit la présidente du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne, Mme Jennifer Witty. Nous sommes heureux de les voir se joindre à notre Conseil des gouverneurs alors que l’Université vise à devenir chef de file du processus de la réconciliation et catalyseur de la promotion de cultures francophones dynamiques, comme indiqué dans notre Plan stratégique 2018-2023. »

Anishinaabe Kwe de la Première Nation de Dokis, Mme Kathy Dokis travaille depuis 1993 comme enseignante et directrice d’école au Rainbow District School Board. Depuis 2007, elle est responsable de la mise en oeuvre du Cadre d’élaboration des politiques de l’Ontario en éducation des Premières nations, des Métis et des Inuits (M-12). Pour souligner ses travaux en matière de formation autochtone, l’Université Laurentienne lui a remis le Prix de distinction en éducation autochtone. Mme Dokis siège au conseil de direction du Centre de santé Shkagmaik-Kwe ainsi qu’au comité du cercle pour la formation autochtone au Collège Cambrian.

PDG de Contact Nord, M. Maxim Jean-Louis est vice-président du conseil de direction de la Fondation Trillium de l’Ontario et de Renewed Computer Technology. Il siège au conseil de direction de la Galerie d’art de Sudbury, a été membre du conseil de direction de Polar Knowledge Canada (POLAR) et du comité exécutif du Conseil international de l’enseignement à distance et est ex-président d’Entraide universitaire mondiale du Canada et du Réseau de pointe optique régional de l’Ontario (ORANO). En outre, il a participé à la Commission d’évaluation de la qualité de l’éducation postsecondaire en Ontario et au comité consultatif sur l’enseignement postsecondaire de langue française dans le sud-ouest de l’Ontario.

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne, située sur le territoire traditionnel de la Première Nation Atikameksheng Anishnawbek, se fait un devoir de renforcer les fondements du savoir dans l’enseignement supérieur et la recherche, et d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français assortie d’une approche englobante de l’éducation autochtone. Avec ses partenaires fédérés, elle prépare des leaders qui apportent des solutions innovatrices et intelligentes à des problèmes locaux et mondiaux.

Le Conseil des gouverneurs de la Laurentienne approuve la construction du nouveau centre étudiant

Le Conseil des gouverneurs de la Laurentienne approuve la construction du nouveau centre étudiant

L’Université Laurentienne et l’Association générale des étudiants (AGE) sont heureuses d’annoncer que le contrat de construction du nouveau centre étudiant a été adjugé à Capital Construction Inc., de Sudbury. À l’assemblée du vendredi 20 avril 2018, le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne a en effet approuvé l’octroi du contrat. Yallowega Bélanger Salach Architecture et Gow Hastings Architects ont assuré la conception de l’édifice de 15 000 pieds carrés.

Le nouveau centre étudiant sera construit à l’est de l’Édifice Parker et lié à la Résidence Ouest, comme indiqué dans le Plan directeur de l’Université Laurentienne. Il inclura un atrium avec des salons et salles d’études, des salles d’études individuelles, une salle de jeux à aire ouverte, des salles pour les clubs, les bureaux d’administration de l’AGE, des salles de réunion, un espace commercial pour un café, une zone d’hygiéniste dentaire et un coin de photos de fin d’études, en plus de deux autres espaces commerciaux pour d’éventuels services d’alimentation ou boutiques éphémères.

L’AGE de l’Université Laurentienne a proposé le nouveau centre étudiant, que la population étudiante a appuyé dans le cadre d’un référendum tenu les 19 et 20 mars 2014, au cours duquel 601 membres ont voté pour le nouvel édifice qui sera financé par des frais auxiliaires obligatoires.

Capital Construction Inc. est une société privée dont le siège social est situé à Sudbury, en Ontario. Elle a effectué divers travaux à l’Université Laurentienne, y compris l’Animalerie en 2009 et les rénovations du Grand Salon et de l’École des sciences de l’éducation en 2014. 

« Nous nous réjouissons que l’entrepreneur ait été choisi et que l’heure soit venue d’amorcer les travaux de construction de ce nouveau centre étudiant très attendu, a dit le nouveau président de l’AGE, M. Tommi-Lee Gauthier. Son emplacement stratégique facilitera la circulation des étudiants sur le campus et constituera un carrefour et un lieu de rassemblement pour notre population étudiante. »

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne, située sur le territoire traditionnel de la Première Nation Atikameksheng Anishnawbek, se fait un devoir de renforcer les fondements du savoir dans l’enseignement supérieur et la recherche, d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français assortie d’une approche englobante de l’éducation autochtone. Avec ses partenaires fédérés, elle prépare des hleaders qui apportent des solutions innovatrices et intelligentes à des problèmes locaux et mondiaux.

L’Université Laurentienne annonce l'ajout du baseball aux sports interuniversitaires des Voyageurs pour la saison 2018

L’Université Laurentienne annonce l'ajout du baseball aux sports interuniversitaires des Voyageurs pour la saison 2018

​L’Université Laurentienne a annoncé aujourd’hui qu’elle ajoute le baseball à ses sports interuniversitaires. L’équipe de baseball des Voyageurs entamera sa saison inaugurale en septembre 2018 avec M. Brodie Jeffery comme entraîneur-chef.

« Je me joins à cette initiative de l’Université Laurentienne plein d’enthousiasme, a dit l’entraîneur-chef, M. Jeffery. Elle ouvre des possibilités aux joueurs qui veulent évoluer dans ce sport qu’ils aiment tout en obtenant un enseignement de haut calibre. »

M. Jeffery a commencé à acquérir de l’expérience en 2013 à titre d’entraîneur avec les Mets de Toronto et comme entraîneur adjoint au Martin Methodist College, à Pulaski, au Tennessee, et à l’Athens High School, à Athens, en Alabama. Depuis 2013, il est évaluateur de l’équipe des jeunes de l’Ontario et, depuis quelques ans, directeur du perfectionnement des joueurs à la Baseball Academy.

MM. Jean-Gilles Larocque et Michel Larivière se joindront à M. Jeffery à titre d’entraîneurs adjoints, et M. Matt Braumberger assumera le rôle d’entraîneur des lanceurs.

Depuis 2005, M. Michel Larivière, Ph.D., est professeur à l’École des sciences de l’activité physique de l’Université Laurentienne. Il est aussi professeur au Département de psychologie, à l’École de médecine du Nord de l’Ontario et à l’Université de Moncton. En qualité de psychologue clinique praticien et de chercheur, il s’intéresse tout particulièrement aux facettes mentales du jeu, à la dynamique d’équipe et à l’analytique du baseball et propose aux étudiants des possibilités de participer aux recherches sur le baseball.

Originaire de Sudbury, M. Matt Braumberger a été entraîneur-chef de l’équipe junior de la Clearwater High School, à Kansas City, avant de devenir, en 2012, entraîneur des lanceurs à la Sudbury Baseball Academy. Sa carrière couvre une décennie, d’abord comme membre des Blue Jays de l’Ontario, de 1999 à 2003, joueur à la Friends University, à Wichita, au Kansas, de 2002 à 2007, membre de la Western Major Baseball League en 2008-2009, joueur avec les Indians de Swift Current et enfin, en 2009-2010, avec les Astros de Wichita, où il était lanceur partant dans l’All NBC World Series.

« Nous nous réjouissons d’ajouter le baseball aux sports interuniversitaires de la Laurentienne, a dit le vice-recteur associé à la vie étudiante, à la gestion des inscriptions et aux activités internationales à l’Université Laurentienne, M. Chris Mercer. Cela a vu le jour grâce à un groupe de dirigeants communautaires passionnés qui nous ont présenté cette occasion à ne pas refuser, car cela ne coûtera rien à l’Université. »

Il y a un an, la Laurentienne s’est alliée à la Valley East Minor Baseball Association et à la Baseball Academy afin de favoriser la croissance du baseball à partir du perfectionnement des joueurs allant du niveau communautaire à l’élite dans la région du Grand Sudbury.

« Cette annonce est enthousiasmante non seulement pour le perfectionnement des athlètes nord-ontariens, mais aussi pour attirer des talents dans le Nord de la province, a souligné le propriétaire et directeur de la Baseball Academy, Mme Jean-Gilles Larocque. Même si la saison de baseball n’est pas longue, la demande est grande pour des joueurs qui veulent faire concurrence à un niveau plus élevé et je suis heureux de voir que des athlètes de la Laurentienne auront la possibilité de jouer au sein des Sports universitaires de l’Ontario. »

Il sera possible de rencontrer les entraîneurs et le premier groupe de recrues le 27 avril 2018, à 10 h, dans l’atrium de l’Université Laurentienne.

Les matches d’ouverture à domicile auront lieu le 8 septembre 2018 contre l’Université Western et le 9 septembre 2018 contre l’Université de Guelph. Inscrivez donc ces dates à votre calendrier.

De plus amples renseignements suivront.

FedNor investit 286 172 $ dans le parachèvement du projet de simulateur de milieux de travail du CRSST

FedNor investit 286 172 $ dans le parachèvement du projet de simulateur de milieux de travail du CRSST

Le Centre de recherche en santé et sécurité au travail (CRSST) recevra une nouvelle subvention de 286 172 $ dans le cadre du programme FedNor du gouvernement fédéral.

Les députés fédéraux Paul Lefebvre et Marc Serré ont fait l’annonce aujourd’hui dans le laboratoire du CRSST, en compagnie du recteur et vice-chancelier par intérim de l’Université Laurentienne, M. Pierre Zundel. FedNor fait cet octroi au CRSST afin d’appuyer le parachèvement et la mise en service du nouveau simulateur de milieux de travail (Workplace Simulator, W-SIM).

Le W-SIM incorpore une plateforme robotique (vibration et mouvement), un caisson environnemental (température et humidité) et un système de suivi oculaire à réalité virtuelle (ligne visuelle et charge de travail mental), et sera le premier laboratoire au Canada muni de l’infrastructure requise pour simuler le milieu de travail et les fonctions dans les industries nord-ontariennes, dont l’exploitation minière, la construction et la foresterie.

En outre, la mise en œuvre du W-SIM à l’Université Laurentienne renforcera la capacité du CRSST à relever les défis en santé et sécurité auxquels font face les industries nord-ontariennes, y compris, sans s’y limiter : des technologies pour minimiser les blessures causées par les vibrations (fauteuils actifs; plateformes en isolations, foreuses anti-vibrantes; équipement de protection individuelle); des technologies pour prévenir les accidents et blessures liés au matériel mobile (caméras; systèmes d’étiquette RFID et interfaces connexes; conception de cabine améliorant l’ergonomie); des technologies pour rectifier l’effort, la fatigue et le rétablissement physiques au travail (gilets refroidissants; boissons à teneur d’électrolytes; systèmes légers de casque intégré; horaire modifié de travail/repos).

Les étudiants des cycles supérieurs et techniciens du CRSST recevront une formation afin de pouvoir diriger les projets de recherche et de développement et de validation de principe pour les entreprises désirant vendre des produits aux industries du nord. L’acquisition du matériel pertinent permettra au CRSST de réaliser, pour ces industries, un plus grand nombre de contrats de recherche, ce qui créera d’excellentes possibilités d’emploi de premier échelon pour les professionnels hautement qualifiés du CRSST après leurs études supérieures.

Le simulateur W-SIM, qui sera pleinement opérationnel à l’automne 2018, sera hébergé dans l’Édifice de recherche, de génie et d’innovation Cliff Fielding sur le campus de l’Université Laurentienne.

« Cette infrastructure combinée n’a pas d’égal et renforcera les recherches innovatrices en cours au CRSST, a dit la directrice, Mme Sandra Dorman, tout en favorisant les nouvelles découvertes qui apporteront des changements pertinents aux milieux de travail du Nord. »

« En 2015, le rapport final de l’Examen sur la prévention et la sécurité dans les mines a cerné comme priorité les risques élevés touchant le fonctionnement du matériel mobile, a ajouté le député fédéral de Sudbury, M. Paul Lefebvre. Dans les industries minière, des pâtes et papiers et de la construction, où des risques intrinsèques se rattachent à l’emplacement, il importe de faire des recherches pour résoudre les questions touchant les lieux de travail. »

« Le CRSST a fait ses preuves en collaborant avec les industries du Nord, a souligné le député fédéral de Nickel Belt, M. Marc Serré, et le nouveau simulateur rehaussera considérablement sa capacité de répondre aux besoins des milieux de travail. »

« Cet investissement de FedNor met en valeur l’engagement du gouvernement fédéral envers l’amélioration des recherches en santé et sécurité au travail, a dit la titulaire de la Chaire de recherche du CRSST, Mme Tammy Eger, et donnera aux industries du Nord l’accès à l’infrastructure et au personnel hautement qualifié pour la recherche et le développement dans ce domaine. »

Pour obtenir des renseignements sur les projets communs de recherche et développement à l’aide du simulateur W-SIM, veuillez communiquer avec le CRSST (crosh@laurentian.ca) ou l’une des responsables :

 

 

 

  • Alison Godwin
  • Responsable du système de suivi oculaire à réalité virtuelle
  • 705-675-1151
  • agodwin@laurentienne.ca

Le projet de la Laurentienne, visant à lutter contre les émissions de gaz à effet de serre, a reçu une injection de 1,6M$ du CRSNG et des CEO

Le projet de la Laurentienne, visant à lutter contre les émissions de gaz à effet de serre, a reçu une injection de 1,6M$ du CRSNG et des CEO

L’Université Laurentienne recevra du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG) et du gouvernement de l’Ontario, par l’entremise de TargetGHG, programme administré par les Centres d’excellence de l’Ontario (CEO), 1 600 000 $ pour poursuivre les travaux de recherche sur les émissions de gaz à effet de serre.

Le projet L-CARE (Landscape Carbon Accumulation through Reductions in Emissions, ou en français, accumulation du carbone dans le paysage grâce à des réductions d’émissions), en examinant diverses stratégies de traitement et de gestion appliquées dans trois principaux types d’écosystèmes — hautes terres, terres humides et aquatiques —, cherchera à déterminer la meilleure façon de gérer la remise en état dans le cadre d’une stratégie de séquestration du carbone dans le contexte d’une importante exploitation minière en roche dure.

« La Laurentienne s’est taillé une réputation d’excellence nationale en recherche et innovation, en étant chef de file dans la transformation d’environnements endommagés par l’activité industrielle, a déclaré le vice-recteur à la recherche, M. Rui Wang. Les fonds que nous avons reçus aujourd’hui sont un véritable investissement et nous aideront à aborder des questions cruciales, porteuses de nouvelles réductions des émissions de carbone. »

S’associant dans le cadre du programme TargetGHG, le CRSNG et les CEO, qui contribueront chacun 798 000 $ au projet, entendent appuyer les collaborations entre l’industrie et le milieu universitaire en vue d’atteindre les objectifs ontariens de réduction des émissions de carbone, tout en créant des retombées économiques. Le projet L-CARE jouit également du soutien des partenaires de recherche, soit Vale Canada Limited, Sudbury Integrated Nickel Operations (Sudbury INO) de Glencore et la Ville du Grand Sudbury, qui collaborent souvent aux efforts régionaux de remise en état du paysage.

« Le Programme de reverdissement du Grand Sudbury a été et reste un chef de file mondial, souligne M. Nathan Basiliko, titulaire de la Chaire de recherche canadienne en microbiologie environnementale et codirecteur du projet de recherche L-CARE. Ce travail de recherche, qui réunit des acteurs industriels, communautaires et gouvernementaux, vise à transformer un paysage, endommagé par l’activité industrielle, en écosystèmes riches en biodiversité et fonctionnant bien. Nous sommes ravis de voir, rétrospectivement, comment ces efforts de remise en état, passés et actuels, ont conduit à la séquestration active du carbone et de mettre à l’essai de nouveaux protocoles pour maximiser le stockage du carbone tout en continuant à atteindre les autres objectifs importants de remise en état. »

Depuis les années 1970, après des investissements massifs visant à réduire les émissions de soufre et de métaux des fonderies, plus de 8 000 hectares du paysage du Grand Sudbury ont été traités avec du calcaire broyé et plus de 10 millions de semis d’arbres ont été replantés. Il reste encore, toutefois, plus de 30 000 hectares à être remis en état. Une équipe de chercheurs de l’Université Laurentienne, menée par Nathan Basiliko et John Gunn, en collaboration avec Nadia Mykytczuk, Peter Beckett et Graeme Spiers, amorcera bientôt une étude en vue de déterminer la meilleure façon de gérer la remise en état, dans le cadre d’une stratégie de séquestration du carbone, en relation avec une importante exploitation minière en roche dure.

« La durabilité de l’environnement est l’un de nos plus grands défis, aujourd’hui et demain, a déclaré le député provincial de Sudbury et ministre de l’Énergie de l’Ontario, Glenn Thibeault. Le soutien accordé au programme TargetGHG par les CEO traduit clairement l’engagement de la province envers la recherche et l’innovation en technologies propres, et nous applaudissons l’annonce faite aujourd’hui. »

L’équipe de chercheurs de la Laurentienne, ainsi que ses cinq établissements partenaires (universités McMaster, Trent, Queen’s, de Sherbrooke et du Québec) et ses collaborateurs de l’Université de Cambridge, de l’Université Cornell, du ministère des Ressources naturelles et des Forêts de l’Ontario et du Service canadien des forêts, examineront diverses stratégies de traitement et de gestion appliquées dans trois principaux types d’écosystèmes. Parallèlement, ils feront également des essais dans les zones de gestion des résidus miniers en étroite collaboration avec les partenaires de l’industrie comme Vale et Glencore Sudbury INO.

« Les mesures visant à réduire les effets des gaz à effet de serre et de la pollution atmosphérique sur notre climat et notre environnement constituent une priorité clé au Canada, a expliqué le vice-président des partenariats de recherche au CRSNG, Marc Fortin. Le CRSNG est fier de s’associer aux Centres d’excellence de l’Ontario pour créer un lien utile entre les meilleurs chercheurs et entreprises du Canada afin de mettre au point des technologies propres et innovatrices qui feront progresser la durabilité de l’environnement au Canada et amélioreront la santé et la qualité de vie des Canadiens. »

Selon les estimations approximatives actuelles, le potentiel de stockage du carbone des terres stériles et semi-stériles touchées par les fonderies locales est suffisamment élevé pour équilibrer dix ans d’émissions de carbone par les partenaires de l’industrie aux niveaux actuels. De plus, les nouveaux protocoles élaborés pourraient appuyer ailleurs, autour du globe, des efforts de remise en état engagés dans d’autres zones d’exploitation minière et de perturbation industrielle touchées de la même manière.

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne, située sur le territoire traditionnel de la Première Nation Atikameksheng Anishnawbek, se fait un devoir de renforcer les fondements du savoir dans l’enseignement supérieur et la recherche, d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français assortie d’une approche englobante de l’éducation autochtone. Avec ses partenaires fédérés, elle prépare des leaders qui apportent des solutions innovatrices et intelligentes à des problèmes locaux et mondiaux.

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