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Nomination de nouveaux membres du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne

Nomination de nouveaux membres du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne

Le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne est heureux d’accueillir deux nouveaux membres, à savoir Mme Kathy Dokis et M. Maxim Jean-Louis, et a approuvé leur nomination pour un mandat de trois ans lors de l’assemblée du 22 février 2018.

« Mme Dokis et M. Jean-Louis apportent de vastes connaissances et expériences touchant les collectivités, relations et cultures autochtones et francophones, a dit la présidente du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne, Mme Jennifer Witty. Nous sommes heureux de les voir se joindre à notre Conseil des gouverneurs alors que l’Université vise à devenir chef de file du processus de la réconciliation et catalyseur de la promotion de cultures francophones dynamiques, comme indiqué dans notre Plan stratégique 2018-2023. »

Anishinaabe Kwe de la Première Nation de Dokis, Mme Kathy Dokis travaille depuis 1993 comme enseignante et directrice d’école au Rainbow District School Board. Depuis 2007, elle est responsable de la mise en oeuvre du Cadre d’élaboration des politiques de l’Ontario en éducation des Premières nations, des Métis et des Inuits (M-12). Pour souligner ses travaux en matière de formation autochtone, l’Université Laurentienne lui a remis le Prix de distinction en éducation autochtone. Mme Dokis siège au conseil de direction du Centre de santé Shkagmaik-Kwe ainsi qu’au comité du cercle pour la formation autochtone au Collège Cambrian.

PDG de Contact Nord, M. Maxim Jean-Louis est vice-président du conseil de direction de la Fondation Trillium de l’Ontario et de Renewed Computer Technology. Il siège au conseil de direction de la Galerie d’art de Sudbury, a été membre du conseil de direction de Polar Knowledge Canada (POLAR) et du comité exécutif du Conseil international de l’enseignement à distance et est ex-président d’Entraide universitaire mondiale du Canada et du Réseau de pointe optique régional de l’Ontario (ORANO). En outre, il a participé à la Commission d’évaluation de la qualité de l’éducation postsecondaire en Ontario et au comité consultatif sur l’enseignement postsecondaire de langue française dans le sud-ouest de l’Ontario.

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne, située sur le territoire traditionnel de la Première Nation Atikameksheng Anishnawbek, se fait un devoir de renforcer les fondements du savoir dans l’enseignement supérieur et la recherche, et d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français assortie d’une approche englobante de l’éducation autochtone. Avec ses partenaires fédérés, elle prépare des leaders qui apportent des solutions innovatrices et intelligentes à des problèmes locaux et mondiaux.

Le Conseil des gouverneurs de la Laurentienne approuve la construction du nouveau centre étudiant

Le Conseil des gouverneurs de la Laurentienne approuve la construction du nouveau centre étudiant

L’Université Laurentienne et l’Association générale des étudiants (AGE) sont heureuses d’annoncer que le contrat de construction du nouveau centre étudiant a été adjugé à Capital Construction Inc., de Sudbury. À l’assemblée du vendredi 20 avril 2018, le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne a en effet approuvé l’octroi du contrat. Yallowega Bélanger Salach Architecture et Gow Hastings Architects ont assuré la conception de l’édifice de 15 000 pieds carrés.

Le nouveau centre étudiant sera construit à l’est de l’Édifice Parker et lié à la Résidence Ouest, comme indiqué dans le Plan directeur de l’Université Laurentienne. Il inclura un atrium avec des salons et salles d’études, des salles d’études individuelles, une salle de jeux à aire ouverte, des salles pour les clubs, les bureaux d’administration de l’AGE, des salles de réunion, un espace commercial pour un café, une zone d’hygiéniste dentaire et un coin de photos de fin d’études, en plus de deux autres espaces commerciaux pour d’éventuels services d’alimentation ou boutiques éphémères.

L’AGE de l’Université Laurentienne a proposé le nouveau centre étudiant, que la population étudiante a appuyé dans le cadre d’un référendum tenu les 19 et 20 mars 2014, au cours duquel 601 membres ont voté pour le nouvel édifice qui sera financé par des frais auxiliaires obligatoires.

Capital Construction Inc. est une société privée dont le siège social est situé à Sudbury, en Ontario. Elle a effectué divers travaux à l’Université Laurentienne, y compris l’Animalerie en 2009 et les rénovations du Grand Salon et de l’École des sciences de l’éducation en 2014. 

« Nous nous réjouissons que l’entrepreneur ait été choisi et que l’heure soit venue d’amorcer les travaux de construction de ce nouveau centre étudiant très attendu, a dit le nouveau président de l’AGE, M. Tommi-Lee Gauthier. Son emplacement stratégique facilitera la circulation des étudiants sur le campus et constituera un carrefour et un lieu de rassemblement pour notre population étudiante. »

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne, située sur le territoire traditionnel de la Première Nation Atikameksheng Anishnawbek, se fait un devoir de renforcer les fondements du savoir dans l’enseignement supérieur et la recherche, d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français assortie d’une approche englobante de l’éducation autochtone. Avec ses partenaires fédérés, elle prépare des hleaders qui apportent des solutions innovatrices et intelligentes à des problèmes locaux et mondiaux.

L’Université Laurentienne annonce l'ajout du baseball aux sports interuniversitaires des Voyageurs pour la saison 2018

L’Université Laurentienne annonce l'ajout du baseball aux sports interuniversitaires des Voyageurs pour la saison 2018

​L’Université Laurentienne a annoncé aujourd’hui qu’elle ajoute le baseball à ses sports interuniversitaires. L’équipe de baseball des Voyageurs entamera sa saison inaugurale en septembre 2018 avec M. Brodie Jeffery comme entraîneur-chef.

« Je me joins à cette initiative de l’Université Laurentienne plein d’enthousiasme, a dit l’entraîneur-chef, M. Jeffery. Elle ouvre des possibilités aux joueurs qui veulent évoluer dans ce sport qu’ils aiment tout en obtenant un enseignement de haut calibre. »

M. Jeffery a commencé à acquérir de l’expérience en 2013 à titre d’entraîneur avec les Mets de Toronto et comme entraîneur adjoint au Martin Methodist College, à Pulaski, au Tennessee, et à l’Athens High School, à Athens, en Alabama. Depuis 2013, il est évaluateur de l’équipe des jeunes de l’Ontario et, depuis quelques ans, directeur du perfectionnement des joueurs à la Baseball Academy.

MM. Jean-Gilles Larocque et Michel Larivière se joindront à M. Jeffery à titre d’entraîneurs adjoints, et M. Matt Braumberger assumera le rôle d’entraîneur des lanceurs.

Depuis 2005, M. Michel Larivière, Ph.D., est professeur à l’École des sciences de l’activité physique de l’Université Laurentienne. Il est aussi professeur au Département de psychologie, à l’École de médecine du Nord de l’Ontario et à l’Université de Moncton. En qualité de psychologue clinique praticien et de chercheur, il s’intéresse tout particulièrement aux facettes mentales du jeu, à la dynamique d’équipe et à l’analytique du baseball et propose aux étudiants des possibilités de participer aux recherches sur le baseball.

Originaire de Sudbury, M. Matt Braumberger a été entraîneur-chef de l’équipe junior de la Clearwater High School, à Kansas City, avant de devenir, en 2012, entraîneur des lanceurs à la Sudbury Baseball Academy. Sa carrière couvre une décennie, d’abord comme membre des Blue Jays de l’Ontario, de 1999 à 2003, joueur à la Friends University, à Wichita, au Kansas, de 2002 à 2007, membre de la Western Major Baseball League en 2008-2009, joueur avec les Indians de Swift Current et enfin, en 2009-2010, avec les Astros de Wichita, où il était lanceur partant dans l’All NBC World Series.

« Nous nous réjouissons d’ajouter le baseball aux sports interuniversitaires de la Laurentienne, a dit le vice-recteur associé à la vie étudiante, à la gestion des inscriptions et aux activités internationales à l’Université Laurentienne, M. Chris Mercer. Cela a vu le jour grâce à un groupe de dirigeants communautaires passionnés qui nous ont présenté cette occasion à ne pas refuser, car cela ne coûtera rien à l’Université. »

Il y a un an, la Laurentienne s’est alliée à la Valley East Minor Baseball Association et à la Baseball Academy afin de favoriser la croissance du baseball à partir du perfectionnement des joueurs allant du niveau communautaire à l’élite dans la région du Grand Sudbury.

« Cette annonce est enthousiasmante non seulement pour le perfectionnement des athlètes nord-ontariens, mais aussi pour attirer des talents dans le Nord de la province, a souligné le propriétaire et directeur de la Baseball Academy, Mme Jean-Gilles Larocque. Même si la saison de baseball n’est pas longue, la demande est grande pour des joueurs qui veulent faire concurrence à un niveau plus élevé et je suis heureux de voir que des athlètes de la Laurentienne auront la possibilité de jouer au sein des Sports universitaires de l’Ontario. »

Il sera possible de rencontrer les entraîneurs et le premier groupe de recrues le 27 avril 2018, à 10 h, dans l’atrium de l’Université Laurentienne.

Les matches d’ouverture à domicile auront lieu le 8 septembre 2018 contre l’Université Western et le 9 septembre 2018 contre l’Université de Guelph. Inscrivez donc ces dates à votre calendrier.

De plus amples renseignements suivront.

FedNor investit 286 172 $ dans le parachèvement du projet de simulateur de milieux de travail du CRSST

FedNor investit 286 172 $ dans le parachèvement du projet de simulateur de milieux de travail du CRSST

Le Centre de recherche en santé et sécurité au travail (CRSST) recevra une nouvelle subvention de 286 172 $ dans le cadre du programme FedNor du gouvernement fédéral.

Les députés fédéraux Paul Lefebvre et Marc Serré ont fait l’annonce aujourd’hui dans le laboratoire du CRSST, en compagnie du recteur et vice-chancelier par intérim de l’Université Laurentienne, M. Pierre Zundel. FedNor fait cet octroi au CRSST afin d’appuyer le parachèvement et la mise en service du nouveau simulateur de milieux de travail (Workplace Simulator, W-SIM).

Le W-SIM incorpore une plateforme robotique (vibration et mouvement), un caisson environnemental (température et humidité) et un système de suivi oculaire à réalité virtuelle (ligne visuelle et charge de travail mental), et sera le premier laboratoire au Canada muni de l’infrastructure requise pour simuler le milieu de travail et les fonctions dans les industries nord-ontariennes, dont l’exploitation minière, la construction et la foresterie.

En outre, la mise en œuvre du W-SIM à l’Université Laurentienne renforcera la capacité du CRSST à relever les défis en santé et sécurité auxquels font face les industries nord-ontariennes, y compris, sans s’y limiter : des technologies pour minimiser les blessures causées par les vibrations (fauteuils actifs; plateformes en isolations, foreuses anti-vibrantes; équipement de protection individuelle); des technologies pour prévenir les accidents et blessures liés au matériel mobile (caméras; systèmes d’étiquette RFID et interfaces connexes; conception de cabine améliorant l’ergonomie); des technologies pour rectifier l’effort, la fatigue et le rétablissement physiques au travail (gilets refroidissants; boissons à teneur d’électrolytes; systèmes légers de casque intégré; horaire modifié de travail/repos).

Les étudiants des cycles supérieurs et techniciens du CRSST recevront une formation afin de pouvoir diriger les projets de recherche et de développement et de validation de principe pour les entreprises désirant vendre des produits aux industries du nord. L’acquisition du matériel pertinent permettra au CRSST de réaliser, pour ces industries, un plus grand nombre de contrats de recherche, ce qui créera d’excellentes possibilités d’emploi de premier échelon pour les professionnels hautement qualifiés du CRSST après leurs études supérieures.

Le simulateur W-SIM, qui sera pleinement opérationnel à l’automne 2018, sera hébergé dans l’Édifice de recherche, de génie et d’innovation Cliff Fielding sur le campus de l’Université Laurentienne.

« Cette infrastructure combinée n’a pas d’égal et renforcera les recherches innovatrices en cours au CRSST, a dit la directrice, Mme Sandra Dorman, tout en favorisant les nouvelles découvertes qui apporteront des changements pertinents aux milieux de travail du Nord. »

« En 2015, le rapport final de l’Examen sur la prévention et la sécurité dans les mines a cerné comme priorité les risques élevés touchant le fonctionnement du matériel mobile, a ajouté le député fédéral de Sudbury, M. Paul Lefebvre. Dans les industries minière, des pâtes et papiers et de la construction, où des risques intrinsèques se rattachent à l’emplacement, il importe de faire des recherches pour résoudre les questions touchant les lieux de travail. »

« Le CRSST a fait ses preuves en collaborant avec les industries du Nord, a souligné le député fédéral de Nickel Belt, M. Marc Serré, et le nouveau simulateur rehaussera considérablement sa capacité de répondre aux besoins des milieux de travail. »

« Cet investissement de FedNor met en valeur l’engagement du gouvernement fédéral envers l’amélioration des recherches en santé et sécurité au travail, a dit la titulaire de la Chaire de recherche du CRSST, Mme Tammy Eger, et donnera aux industries du Nord l’accès à l’infrastructure et au personnel hautement qualifié pour la recherche et le développement dans ce domaine. »

Pour obtenir des renseignements sur les projets communs de recherche et développement à l’aide du simulateur W-SIM, veuillez communiquer avec le CRSST (crosh@laurentian.ca) ou l’une des responsables :

 

 

 

  • Alison Godwin
  • Responsable du système de suivi oculaire à réalité virtuelle
  • 705-675-1151
  • agodwin@laurentienne.ca

Le projet de la Laurentienne, visant à lutter contre les émissions de gaz à effet de serre, a reçu une injection de 1,6M$ du CRSNG et des CEO

Le projet de la Laurentienne, visant à lutter contre les émissions de gaz à effet de serre, a reçu une injection de 1,6M$ du CRSNG et des CEO

L’Université Laurentienne recevra du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG) et du gouvernement de l’Ontario, par l’entremise de TargetGHG, programme administré par les Centres d’excellence de l’Ontario (CEO), 1 600 000 $ pour poursuivre les travaux de recherche sur les émissions de gaz à effet de serre.

Le projet L-CARE (Landscape Carbon Accumulation through Reductions in Emissions, ou en français, accumulation du carbone dans le paysage grâce à des réductions d’émissions), en examinant diverses stratégies de traitement et de gestion appliquées dans trois principaux types d’écosystèmes — hautes terres, terres humides et aquatiques —, cherchera à déterminer la meilleure façon de gérer la remise en état dans le cadre d’une stratégie de séquestration du carbone dans le contexte d’une importante exploitation minière en roche dure.

« La Laurentienne s’est taillé une réputation d’excellence nationale en recherche et innovation, en étant chef de file dans la transformation d’environnements endommagés par l’activité industrielle, a déclaré le vice-recteur à la recherche, M. Rui Wang. Les fonds que nous avons reçus aujourd’hui sont un véritable investissement et nous aideront à aborder des questions cruciales, porteuses de nouvelles réductions des émissions de carbone. »

S’associant dans le cadre du programme TargetGHG, le CRSNG et les CEO, qui contribueront chacun 798 000 $ au projet, entendent appuyer les collaborations entre l’industrie et le milieu universitaire en vue d’atteindre les objectifs ontariens de réduction des émissions de carbone, tout en créant des retombées économiques. Le projet L-CARE jouit également du soutien des partenaires de recherche, soit Vale Canada Limited, Sudbury Integrated Nickel Operations (Sudbury INO) de Glencore et la Ville du Grand Sudbury, qui collaborent souvent aux efforts régionaux de remise en état du paysage.

« Le Programme de reverdissement du Grand Sudbury a été et reste un chef de file mondial, souligne M. Nathan Basiliko, titulaire de la Chaire de recherche canadienne en microbiologie environnementale et codirecteur du projet de recherche L-CARE. Ce travail de recherche, qui réunit des acteurs industriels, communautaires et gouvernementaux, vise à transformer un paysage, endommagé par l’activité industrielle, en écosystèmes riches en biodiversité et fonctionnant bien. Nous sommes ravis de voir, rétrospectivement, comment ces efforts de remise en état, passés et actuels, ont conduit à la séquestration active du carbone et de mettre à l’essai de nouveaux protocoles pour maximiser le stockage du carbone tout en continuant à atteindre les autres objectifs importants de remise en état. »

Depuis les années 1970, après des investissements massifs visant à réduire les émissions de soufre et de métaux des fonderies, plus de 8 000 hectares du paysage du Grand Sudbury ont été traités avec du calcaire broyé et plus de 10 millions de semis d’arbres ont été replantés. Il reste encore, toutefois, plus de 30 000 hectares à être remis en état. Une équipe de chercheurs de l’Université Laurentienne, menée par Nathan Basiliko et John Gunn, en collaboration avec Nadia Mykytczuk, Peter Beckett et Graeme Spiers, amorcera bientôt une étude en vue de déterminer la meilleure façon de gérer la remise en état, dans le cadre d’une stratégie de séquestration du carbone, en relation avec une importante exploitation minière en roche dure.

« La durabilité de l’environnement est l’un de nos plus grands défis, aujourd’hui et demain, a déclaré le député provincial de Sudbury et ministre de l’Énergie de l’Ontario, Glenn Thibeault. Le soutien accordé au programme TargetGHG par les CEO traduit clairement l’engagement de la province envers la recherche et l’innovation en technologies propres, et nous applaudissons l’annonce faite aujourd’hui. »

L’équipe de chercheurs de la Laurentienne, ainsi que ses cinq établissements partenaires (universités McMaster, Trent, Queen’s, de Sherbrooke et du Québec) et ses collaborateurs de l’Université de Cambridge, de l’Université Cornell, du ministère des Ressources naturelles et des Forêts de l’Ontario et du Service canadien des forêts, examineront diverses stratégies de traitement et de gestion appliquées dans trois principaux types d’écosystèmes. Parallèlement, ils feront également des essais dans les zones de gestion des résidus miniers en étroite collaboration avec les partenaires de l’industrie comme Vale et Glencore Sudbury INO.

« Les mesures visant à réduire les effets des gaz à effet de serre et de la pollution atmosphérique sur notre climat et notre environnement constituent une priorité clé au Canada, a expliqué le vice-président des partenariats de recherche au CRSNG, Marc Fortin. Le CRSNG est fier de s’associer aux Centres d’excellence de l’Ontario pour créer un lien utile entre les meilleurs chercheurs et entreprises du Canada afin de mettre au point des technologies propres et innovatrices qui feront progresser la durabilité de l’environnement au Canada et amélioreront la santé et la qualité de vie des Canadiens. »

Selon les estimations approximatives actuelles, le potentiel de stockage du carbone des terres stériles et semi-stériles touchées par les fonderies locales est suffisamment élevé pour équilibrer dix ans d’émissions de carbone par les partenaires de l’industrie aux niveaux actuels. De plus, les nouveaux protocoles élaborés pourraient appuyer ailleurs, autour du globe, des efforts de remise en état engagés dans d’autres zones d’exploitation minière et de perturbation industrielle touchées de la même manière.

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne, située sur le territoire traditionnel de la Première Nation Atikameksheng Anishnawbek, se fait un devoir de renforcer les fondements du savoir dans l’enseignement supérieur et la recherche, d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français assortie d’une approche englobante de l’éducation autochtone. Avec ses partenaires fédérés, elle prépare des leaders qui apportent des solutions innovatrices et intelligentes à des problèmes locaux et mondiaux.

Mme Jacqueline Litzgus est la lauréate du Prix d’excellence en recherche 2017-18 de l’Université Laurentienne

Mme Jacqueline Litzgus est la lauréate du Prix d’excellence en recherche 2017-18 de l’Université Laurentienne

Mme Litzgus est reconnue pour ses recherches et son enseignement en matière de conservation de reptiles

L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer qu’elle a conféré le Prix d’excellence en recherche 2017-2018 à Mme Jacqueline Litzgus, Ph.D., qui a été mise en candidature par ses collègues et étudiants pour ses travaux exceptionnels dans le domaine de la conservation, surtout en ce qui concerne les reptiles et tortues. Elle a reçu le prix pendant le Gala de la Semaine de la recherche de l’Université Laurentienne.

« Mme Litzgus illustre parfaitement l’excellence en recherche qui est un pilier de base de notre université, a dit le vice-recteur à la recherche à la Laurentienne, Dr Rui Wang. Nous nous inspirons de l’engagement dont elle fait preuve en cernant les défis posés par la protection des espèces en péril et transformant ces connaissances en actions. »

Professeur titulaire au Département de biologie de la Laurentienne, Mme Litzgus s’est établie une réputation d’excellence en recherche dans le monde universitaire et ailleurs. Depuis son arrivée à l’UL, elle a participé à des projets examinés par les pairs bénéficiant de subventions de quelque 3 000 000 $ et publié environ 70 articles dans des revues à comité de lecture, dont 29 dans les cinq dernières années. Ses articles ont été publiés dans plusieurs revues d’envergure, y compris Ecology, Ecological Applications, Biological Conservation, et Ecosphere.

Mme Litzgus s’engage à assurer que ses connaissances et recherches sur ce sujet d’importance aient une incidence positive sur la communauté et la prochaine génération de biologistes et d’experts en conservation. Elle a travaillé en consultation et étroite collaboration avec le gouvernement de l’Ontario, des collectivités autochtones telles que la Première Nation de Magnetawan, des communautés locales et des partenaires de l’industrie pour régler des questions de politique et de mesure. Elle attache aussi de l’importance à la formation et au mentorat de la population étudiante et continue de donner des cours à tous les cycles postsecondaires.

« Le témoignage des collègues et étudiants qui ont proposé ma candidature me laisse humble et reconnaissante, a indiqué Mme Litzgus. C’est un plaisir pour moi de travailler de près avec mes pairs, mes étudiants et divers partenaires pour continuer à faire évoluer des projets de recherche de calibre mondial sur un sujet qui touche tout le monde. »

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne, située sur le territoire traditionnel de la Première Nation Atikameksheng Anishnawbek, se fait un devoir de renforcer les fondements du savoir dans l’enseignement supérieur et la recherche, d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français, assortie d’une approche englobante de l’éducation autochtone. Avec ses partenaires fédérés, elle prépare des leaders qui apportent des solutions innovatrices et intelligentes à des problèmes locaux et mondiaux.

Le Collège Sault et l’Université Laurentienne concluent une entente 2 + 2

Le Collège Sault et l’Université Laurentienne concluent une entente 2 + 2

​Le Collège Sault et l’Université Laurentienne ont conclu aujourd’hui une entente décisive qui accorde aux étudiants de commerce la possibilité inégalée de préparer un diplôme et un grade en quatre ans. Ce nouveau partenariat consolide davantage l’engagement de ces deux établissements à offrir un enseignement de haut calibre. En vertu de cette entente, l’Université Laurentienne reconnaîtra les acquis des étudiants qui ont complété les deux années du programme de Business au Collège Sault. Ainsi, les titulaires d’un diplôme de deux ans en Business seront admissibles à la troisième année d’études dans le programme de Bachelor of Business Administration (BBA) de quatre ans à l’Université Laurentienne.

Les étudiants de Business du Collège Sault qui demandent l’admission à la Laurentienne doivent avoir obtenu une moyenne de C+, au minimum, et verront reconnaître leurs acquis une fois que le relevé de notes officiel est reçu et les exigences satisfaites.

Cette nouvelle entente de cheminement est avantageuse pour les étudiants qui cherchent à rehausser et à perfectionner davantage, au sein d’une université exceptionnelle, les aptitudes commerciales acquises au Collège Sault.

« Les étudiants attendent avec intérêt ces types de passerelles et veulent pouvoir s’intégrer harmonieusement aux études universitaires, s’ils poursuivent leurs études, a dit le vice-président à l’enseignement et à la recherche au Collège Sault, M. Colin Kirkwood. Nous nous réjouissons d’être parvenus à cette entente avec l’Université Laurentienne pour nos étudiants en affaires. »

« La Laurentienne est heureuse de s’allier au Collège Sault pour offrir une occasion d’apprentissage plus riche et souple aux étudiants en affaires, a ajouté le doyen de la Faculté de gestion à l’Université Laurentienne, M. Stephen Havlovic, Ph.D. En mariant nos forces pédagogiques, nous offrons aux personnes de nos communautés un plus vaste éventail de possibilités. »

« Le Collège Sault est fier d’être invité à participer à ce type d’ententes qui nous aident à concrétiser nos valeurs, a exprimé le président du Collège Sault, M. Ron Common, Ph.D. Nos étudiants tireront d’importants avantages de ce partenariat en appliquant les compétences pratiques acquises au Collège aux fins d’obtention d’un grade universitaire. Notre collège est de ce fait plus attirant et en mesure d’offrir plus de choix d’études tout en assurant aux étudiants de solides fondements dans leur cheminement professionnel. »

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne, située sur le territoire traditionnel de la Première Nation Atikameksheng Anishnawbek, se fait un devoir de renforcer les fondements du savoir dans l’enseignement supérieur et la recherche, d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français, assortie d’une approche englobante de l’éducation autochtone. Avec ses partenaires fédérés, elle prépare des leaders qui apportent des solutions innovatrices et intelligentes à des problèmes locaux et mondiaux.

 

Au sujet du Collège Sault

Le Collège Sault vise à offrir une expérience transformatrice de vie en habilitant ses étudiants à réfléchir et à apprendre selon des manières progressistes et innovatrices, dont celles qui étaient jusqu’ici inimaginables. Le Collège Sault décerne des certificats collégiaux de l’Ontario et des diplômes, diplômes avancés, certificats d’études supérieures et grades à ses diplômés. Plus grand prestataire de la formation d’apprenti dans le nord de l’Ontario, le Collège Sault a d’importantes répercussions économiques sur sa communauté avec un apport indirect de quelque 158 000 000 $. Chaque année, il distribue plus de 1 800 000 $ en bourses d’aide et d’étude et prix à sa population étudiante. Situé près de la frontière américaine et au cœur de trois des plus vastes Grands Lacs du monde, le Collège Sault est l’un des 24 collèges publics de la province de l’Ontario.

Octroi d'une subvention à Mme Nancy Young dans le cadre du fonds de recherche sur les système de santé

Octroi d'une subvention à Mme Nancy Young dans le cadre du fonds de recherche sur les système de santé

Une subvention de 2 000 000 $ pour évaluer la santé des enfants dans huit collectivités autochtones

​Titulaire d’une Chaire de recherche en santé infantile en milieux ruraux et du nord à l’Université Laurentienne, Mme Nancy Young, Ph.D., a reçu du ministère de la Santé et des Soins de longue durée une subvention de 2 000 000 $ pour la promotion de la santé dans le cadre du Fonds de recherche sur le système de santé (FRSS). Cette subvention vient appuyer son projet intitulé « De l’évaluation à l’action : prise en compte des voix des enfants autochtones (ETA) », qui étudie en partenariat avec huit collectivités/organismes autochtones un modèle d’évaluation personnalisé.

Environ 40 % de la population autochtone du Canada se compose d’enfants et de jeunes. Bon nombre d’entre eux, en particulier ceux qui vivent dans les réserves et les collectivités éloignées, comparativement à d’autres enfants de leur âge, qui vivent dans des localités plus accessibles, font face à des inégalités en matière de soins de santé. Cette situation tient en partie à un manque d’information, à savoir que, dans de nombreux endroits, il manque de données probantes pour orienter les politiques de la collectivité et ses services de santé. Le projet « De l’évaluation à l’action » vise justement à améliorer cette situation grâce aux informations qui seront recueillies à l’appui d’initiatives futures.

Mme Mary Jo Wabano, directrice des services de santé du territoire non cédé de Wikwemikong, est codirectrice du projet. Mmes Young et Wabano dirigeront une équipe formée de chercheurs sur la santé des enfants et de leaders de la santé autochtone, l’objectif étant de dresser le profil de la santé des enfants dans les huit collectivités et de voir comment cette information influe sur la prise de décisions.

« Je suis extrêmement reconnaissante au ministère de la Santé et des Soins de longue durée pour cette subvention, a déclaré Mme Young. Cette recherche est très importante pour les enfants vivant dans des collectivités éloignées où les services de santé sont planifiés et offerts localement. Nous espérons que, en renforçant la capacité locale en matière de génération de l’information, nous contribuerons à améliorer la santé des enfants dans ces collectivités. »

Le projet évaluera également l’efficacité du programme Le droit de jouer (Right to Play), qui vise à « Promouvoir les aptitudes à la vie quotidienne chez les jeunes autochtones » (PLAY), et du programme d’éveil holistique centré sur les arts. Ces programmes favorisent la santé physique, mentale, émotionnelle et spirituelle. S’il est efficace, le modèle ETA sera déployé dans toute la province.

« Nous applaudissons les réalisations de Mme Young en matière de recherche et la félicitons de son dévouement envers les enfants dans les régions mal servies en s’engageant à améliorer la vie de ces enfants, a indiqué le vice-recteur à la recherche, M. Rui Wang. Le travail qu’elle accomplit en collaboration avec ces huit collectivités et organismes autochtones constitue une étape cruciale dans l’amélioration des politiques et des services de santé dans ces régions. »

Mme Young est professeure à l’École de santé dans les milieux ruraux et du nord de l’Université Laurentienne et scientifique associée à l’Institute for Clinical Evaluative Sciences (ICES) et à l’Institut de recherche SickKids. Elle est titulaire d’une Chaire de recherche en santé infantile en milieux ruraux et du nord à l’Université Laurentienne. Mmes Young et Wabano travaillent ensemble pour étudier et améliorer les soins de santé des enfants autochtones depuis 2009, date à laquelle elles ont d’abord développé la Aboriginal Children’s Health and Well-being Measure (ACHWM, mesure de la santé et du bien-être des enfants autochtones).

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne, située sur le territoire traditionnel de la Première Nation Atikameksheng Anishnawbek, se fait un devoir de renforcer les fondements du savoir dans l’enseignement supérieur et la recherche, d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français assortie d’une approche englobante de l’éducation autochtone. Avec ses partenaires fédérés, elle prépare des leaders qui apportent des solutions innovatrices et intelligentes à des problèmes locaux et mondiaux.

L’École de génie Bharti à l’Université Laurentienne reçoit un investissement renouvelé d'IAMGOLD

L’École de génie Bharti à l’Université Laurentienne reçoit un investissement renouvelé d'IAMGOLD

Un investissement de 2 000 000 $ enrichira davantage les apprentissages des étudiants de génie

L’École de génie Bharti à l’Université Laurentienne a reçu un investissement de 2 000 000 $ de la société minière canadienne, IAMGOLD Corporation Inc.

L’investissement financera la création d’un espace de collaboration pour les étudiants de génie au sein du nouvel Édifice de recherche, d’innovation et de génie Cliff Fielding. Pour souligner cette contribution, l’espace sera nommé le Carrefour étudiant de génie IAMGOLD. En outre, les fonds aideront à appuyer la modernisation des laboratoires de génie, la mise à niveau de la technologie et du matériel, les recherches, les bourses d’études ainsi que les activités et excursions pédagogiques des étudiants.

« Nous sommes très reconnaissants à IAMGOLD de son appui indéfectible des étudiants de la Laurentienne, a dit le directeur de l’École de génie BhartiM. Markus Timusk, Ph.D. Les étudiants des diverses disciplines de génie auront dorénavant un endroit où se rassembler, collaborer et partager des idées et connaissances, tout en ayant accès à des technologies de pointe et à d’autres possibilités d’apprentissage par l’expérience. »

Grâce à des programmes agrémentés en génie minier, chimique et mécanique (avec des volets en environnement, mécatronique et métallurgie), l’École de génie Bharti connait depuis une décennie une croissance et un succès incroyables.

« Cinq ans passés, nous arrivions dans la région et étions au début du développement du projet Côté Gold, a précisé le vice-président directeur et chef des opérations d’IAMGOLD Corp. Inc., M. Gordon Stothart. Pour nous, la première étape était de nouer et de cultiver des liens avec la Laurentienne, car à IAMGOLD, nos relations avec les gens sont notre plus précieux atout. Puisque la Laurentienne joue un rôle clé pour favoriser la modernisation de la formation minière au Canada, elle appuiera les futures générations d’aspirants à des carrières minières. »

En 2013, IAMGOLD a fait un premier investissement de 1 250 000 $ permettant à la Laurentienne d’embaucher deux chercheurs associés IAMGOLD qui ont joué un rôle dans l’amélioration de la capacité d’enseignement et de recherche de l’École de génie Bharti.

« Cet investissement témoigne d’un engagement envers l’École de génie Bharti et d’une confiance en notre population étudiante, a ajouté le recteur et vice-chancelier intérimaire de l’Université Laurentienne, M. Pierre Zundel, Ph.D. Les relations nouées avec des partenaires comme IAMGOLD consolident nos forces et rehaussent l’expérience étudiante, préparant de brillants esprits à se joindre à l’industrie après l’obtention du diplôme. »

L’Édifice de recherche, d’innovation et de génie Cliff Fielding devrait être parachevé au printemps 2018 et inclura des espaces de collaboration en recherche et développement et d’innovation et de commercialisation, ainsi que des locaux pour l’École primée de génie Bharti, dont des laboratoires d’innovation, un laboratoire d’analyse de matériaux, un laboratoire de l’environnement et de la mécanique des sols, un atelier d’usinage et de mise au point de prototypes, un laboratoire de logiciel intégré, une salle de conférences et un laboratoire d’hydraulique et de mécanique des fluides.

 

Au sujet d’IAMGOLD

Situé à Toronto, IAMGOLD Corp. Inc. est l’un des principaux producteurs aurifères intermédiaires, avec quatre mines d’or en exploitation (y compris des projets communs) sur trois continents ainsi qu’une réserve de projets de développement et d’exploration. Les plans de croissance de cette société sont principalement mis en œuvre au Canada et dans certains pays sud-américains et africains.

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne, située sur le territoire traditionnel de la Première Nation Atikameksheng Anishnawbek, se fait un devoir de renforcer les fondements du savoir dans l’enseignement supérieur et la recherche, d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français assortie d’une approche englobante de l’éducation autochtone. Avec ses partenaires fédérés, elle prépare des leaders qui apportent des solutions innovatrices et intelligentes à des problèmes locaux et mondiaux.

Kadre Gray des Voyageurs de la Laurentienne a été nommé joueur U SPORTS de l’année

Kadre Gray des Voyageurs de la Laurentienne a été nommé joueur U SPORTS de l’année

Kadre Gray des Voyageurs de la Laurentienne vient de se mériter le Trophée commémoratif Mike Moser, décerné au Joueur U SPORTS de l’année, et a été nommé au sein de la Première équipe des joueurs étoiles canadiens U SPORTS.

Mesurant 6 pieds et 1 pouce, le garde a mené le peloton des SUO et s’est classé deuxième au rang des marqueurs du circuit U SPORTS avec en moyenne 24,4 points par match cette saison. Recrue U SPORTS l’an dernier, Kadre est le premier basketteur des Voyageurs à être nommé joueur de l’année au niveau national en 40 ans, depuis Charlie Wise en 1977-1978. La nomination de Kadre au sein de la première équipe des joueurs étoiles canadiens U SPORTS est une première pour un Voyageur depuis 1999-2000 quand Ted Dongelmans avait reçu un tel honneur.

La signification de cet honneur n’échappe certainement pas à Kadre, mais il est loin de s’en attribuer le crédit. « C’est un immense honneur que de passer à l’histoire, étant seulement le deuxième basketteur de la Laurentienne à mériter ce titre, et je ne peux que rendre toute la gloire à Jésus Christ. »

Inscrit à une majeure en promotion de la santé, Kadre, qui est originaire de Toronto, a repris là où il s’était arrêté la saison dernière et n’a jamais regardé en arrière. Il est premier au pays en passes décisives (141), deuxième pour le total des points (488), en points par match (24,4) et en lancers francs réussis (140), figure parmi les 10 premiers au total des tirs de champ réussis (152) et en minutes jouées par match (34,4), compte parmi les 20 premiers en pourcentage de trois points (43,1 %) et en rebonds défensifs (132) et se classe 21e en rebonds par match (8,0).

Ces résultats spectaculaires témoignent de l’engagement de Kadre envers le jeu et son objectif. « Cette distinction est la preuve que tout le monde peut faire ce qui semble impossible, dit-il. Si vous vous fixez un but, il faut le vouloir vraiment et ne pas le lâcher; travaillez-y tous les jours et, surtout, ne l’oubliez jamais. »

La domination de Kadre, comme le montrent les statistiques, est mise en évidence par ses trois triples doubles cette saison, ce qui est d’autant plus exceptionnel que les SUO n’ont pas enregistré un seul triple double dans un match depuis novembre 2013. Outre ses triples doubles, Kadre a réussi un double double en sept autres matches, a marqué 25 points à 10 reprises et a récolté au cours d’un seul match 14 passes décisives, deux fois cette saison.

Pour l’entraîneur-chef des Voyageurs, Shawn Swords, cette distinction est le point culminant du dévouement, de la compétence et du travail acharné de Kadre.

« L’éthique de travail de Kadre est incomparable, dit-il. À l’intersaison, il a décidé de s’améliorer, de faire mieux dans tous les aspects du jeu, et a encouragé ses coéquipiers à faire de même. Les résultats, à le voir évoluer, sont remarquables. La maturité avec laquelle il joue est bien en avance sur son âge. Il est tout aussi dévoué à son équipe et à son amélioration sur le terrain qu’il l’est à l’extérieur de celui-ci. Son éthique de travail et son sérieux ont conquis la collectivité de Sudbury. Nous sommes fiers de ce qu’il a accompli et heureux de voir reconnaître le travail énorme qu’il a consacré au basketball. »

Au-delà de son exploit personnel, Kadre a aussi joué un rôle de catalyseur au sein de l’équipe, la plus performante de la Laurentienne depuis des années, les Voyageurs ayant occupé la 5e place au classement national. Grâce à lui, en partie, l’équipe a gagné sept matches de plus que la saison dernière, soit 16-7, un bilan record au sein de l’association, le plus grand nombre de victoires remportées par les bleus et or depuis la victoire de l’équipe gagnante de la Coupe Wilson en 1999-2000.

Kadre espère que cette reconnaissance de soi et de l’équipe sera porteuse d’une dynamique pour le programme, un déclencheur qui lui donnera l’étoffe d’un champion. « J’espère que cela signifie que la Laurentienne deviendra un établissement où affluent des nouveaux venus, créant finalement pour ainsi dire une pépinière féconde qui se traduira par un programme de championnat national. »

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