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Lancement du livre « Les émotions : Comment mieux les expliquer - Volume 2 »

Lancement du livre « Les émotions : Comment mieux les expliquer - Volume 2 »

Des recherches en psychologie appuient la compréhension des émotions chez les jeunes francophones

(23 novembre, 2021) - Depuis quelques années, Mme Annie Roy-Charland, M. Jacques Richard de l’Université de Moncton, et Mme Mélanie Perron de l’Université Laurentienne, effectuent des recherches auprès d’enfants des régions du Grand Sudbury et de Moncton pour évaluer l’incidence de la lecture conjointe sur la compréhension des émotions. Dans le contexte de ce projet, ils ont collaboré avec l’auteure et l’illustratrice, Mme Émilie Myriam Roy, afin de mettre au point le livre Les émotions : Comment mieux les expliquer - Volume 2.
 
« C’est avec un immense plaisir et un sentiment de réussite que nous présentons le deuxième volume Les émotions : Comment mieux les expliquer, a dit Mme Perron, Ph.D. Après plusieurs années de travail d’élaboration et d’évaluation scientifique, nous sommes très fiers que ce livre soit dévoilé au grand public. Ce livre illustré est non seulement agréable à partager avec les jeunes, mais représente surtout un outil pour les francophones visant à améliorer la compréhension des émotions, une compétence essentielle au développement sain des enfants. »
 
Ce livre comprend cinq courtes histoires qui mettent en évidence les particularités des expériences émotionnelles intermédiaires. Les histoires portent sur des thèmes adaptés aux enfants de sept à onze ans et des pistes de discussion sont proposées. Étant donné les résultats positifs qu’a eu la lecture de ces histoires sur l’adaptation sociale et scolaire des enfants, les chercheurs ont obtenu un financement de Santé Canada permettant la publication et l’impression du livre.
 
En 2007, les recherches ont été entreprises pour créer ces livres superbement illustrés, dont le Volume 1 a été lancé précédemment en octobre 2019.
 
Ces livres sont aussi appuyés par le Consortium national de formation en santé (CNFS) et les Éditions Prise de Parole.
 
Pour le Consortium national de formation de santé (CNFS), il est important non seulement de faire avancer les connaissances sur la santé des francophones en situation minoritaire, mais aussi de les mobiliser.
 
D’autres renseignements sur ces ressources avec les versions numériques des deux volumes figurent sur la page Web du CNFS à l’Université Laurentienne.

 

Des étudiantes de l’Université Laurentienne appuient à titre bénévole les jeunes de l’Association de ringuette de Sudbury

Des étudiantes de l’Université Laurentienne appuient à titre bénévole les jeunes de l’Association de ringuette de Sudbury

Des athlètes de ringuette de l’UL encadrent de jeunes joueuses

(17 novembre 2021) - Appuyées de leurs coéquipières, les athlètes de ringuette et étudiantes de l’Université Laurentienne, Jenna Gilchrist (Sudbury, Ontario) et Katie Vandeloo (Richmond Hill, Ontario) ont dirigé un camp d’entraînement à l’intention des jeunes joueuses de l’Association de ringuette de Sudbury. Mme Gilchrist a organisé l’activité pour les jeunes de 10 à 16 ans. « Nous voulions contribuer à notre communauté et aider les jeunes à se remettre dans le jeu, a-t-elle dit. Puisque ces jeunes n’avaient pas l’occasion de jouer pendant la pandémie, nous avons présenté un camp d’entraînement pour les aider à retrouver le rythme. Nous tenions à leur offrir une expérience agréable leur rappelant les raisons d’aimer le sport et de le jouer. »

Nouvelle diplômée en biochimie de la Laurentienne, Mme Gilchrist continue son cheminement universitaire dans la première année du programme de maîtrise en biologie, tandis que Mme Vandeloo est étudiante de troisième année en administration des sports à l’UL.

Le camp a été apprécié de toutes les personnes qui y ont participé, selon le trésorier de l’Association de ringuette de Sudbury, Troy McLaughlin. « Ces étudiantes ont été très généreuses en donnant de leur temps, a-t-il expliqué, et les jeunes étaient très enthousiasmés à la perspective d’en apprendre de ces joueuses chevronnées de ringuette. » Mme Vandeloo a trouvé cela gratifiant de faire du bénévolat pour cette initiative. « J’espère que le camp se poursuivra dans les années à venir, a-t-elle affirmé. Je ne voulais rien manquer. »

Le Club de ringuette de la Laurentienne a pris de l’ampleur au cours des dernières années et l’équipe fait preuve d’un engagement impressionnant envers le sport. À l’épreuve de la Coupe du défi universitaire 2019-2020, tournoi national à l’intention des équipes universitaires de ringuette au Canada, le Club de la Laurentienne a gagné le bronze dans sa division. Pendant la saison précédente, l’équipe a obtenu le Prix du meilleur esprit sportif lors du championnat provincial.

Mmes Gilchrist et Vandeloo sont pleines d’espoir pour l’avenir de la ringuette à la Laurentienne et enthousiastes en caractérisant l’engagement de leur équipe. « Il est merveilleux de constater le dévouement de l’équipe cette année, a dit Mme Vandeloo. Tout le monde se présente – c’est vraiment formidable. »

La prochaine série de matchs à domicile du Club de ringuette de la Laurentienne aura lieu le samedi 27 novembre, à l’arène Countryside de Sudbury, où l’équipe affrontera l’Université Nipissing à 10 h 15, les Tornadoes de Timmins à 16 h 15, et les Ice Hawks de Sault Ste. Marie à 21 h 15. Soyez au rendez-vous.
 

 

La rameuse des Voyageurs de la Laurentienne, Abbey Maillet, remporte des succès au championnat provincial

La rameuse des Voyageurs de la Laurentienne, Abbey Maillet, remporte des succès au championnat provincial

Une étudiante du programme d’éducation physique et de santé célèbre sa médaille d’or des SUO

(5 novembre 2021) - Abbey Maillet, membre des Voyageurs de la Laurentienne, a remporté la médaille d’or au Championnat d’aviron des SUO qui a eu lieu à Welland (Ontario) le samedi 30 octobre. Étudiante en troisième année en éducation physique et santé, Abbey a remporté l’épreuve féminine de skiff, dans la catégorie poids léger, avec un temps de 8 min. 49 sec. 30,5, soit une avance de cinq secondes sur sa plus proche concurrente. « Le moins que je puisse dire est que mon expérience au Championnat des SUO a été magnifique. J’ai atteint mon but sur lequel je travaille depuis longtemps qui est de représenter la Laurentienne et de remporter l’or. J’ai bien aimé l’environnement de compétition. »

Abbey Maillet (originaire de Dundas, en Ontario) a commencé à faire de l’aviron au Leander Boat Club de Hamilton un peu avant d’entrer à l’école secondaire. « J’ai été très active toute ma vie, explique-t-elle, et j’ai participé à de nombreux sports où j’ai représenté ma communauté. » Elle s’est rapidement fait remarquer pour son esprit compétitif, qui n’a d’égal que sa passion pour l’aviron. « Je suis tombée amoureuse avec ce sport tout de suite. »

D’autres exploits sportifs ont précédé son succès au Championnat des SUO. Lors de la première régate de la saison à Guelph, elle a remporté deux médailles d’or, une dans le skiff, catégorie poids léger, et l’autre dans le skiff ouvert. « Ce sont certainement les connaissances et l’expérience de mon entraîneuse, la professeure Amanda Schweinbenz, qui m’ont aidée à réussir. Ce que j’aime le plus en tant qu’athlète de sports interuniversitaires est de pouvoir représenter mon école avec fierté et respect. J’ai de nombreux souvenirs en tant qu’athlète à la Laurentienne et j’aime bien la beauté de Sudbury et du lac Ramsey. »

Selon Mme Schweinbenz, Abbey Maillet est une athlète excellente et dévouée. « Abbey est une magnifique jeune femme ayant une éthique de travail fantastique. Tout au long de la pandémie, elle a travaillé sans relâche pour améliorer sa forme physique, sa technique et son approche tactique de la course. »

Après avoir gagné la médaille d’or au Championnat d’aviron des SUO à Welland, le 30 octobre, l’étudiante de troisième année en éducation physique, Abbey Maillet, a remporté le bronze de skiff poids léger féminin au Championnat national d'aviron à l’Université Brock les 6 et 7 novembre.

« Avoir la possibilité de compétitionner et de remporter une médaille aux Championnats canadiens universitaires d’aviron (CCUA) a été fantastique. J’ai vraiment aimé l’atmosphère compétitive et affronté des femmes fortes et redoutables dans ma course. Je suis extrêmement fière d’avoir représenté l’Université Laurentienne au CCUA. »

Son entraîneuse a parlé avec autant d’enthousiasme du succès sportif récent d’Abbey Maillet. « Abbey a fait une magnifique course dimanche dans un groupe extrêmement compétitif. Elle a fait beaucoup de progrès depuis sa première année ici à la Laurentienne et je me réjouis de la voir s’améliorer au cours des deux prochaines années. »

Les inscriptions à l’Université Laurentienne dépassent les prévisions

Les inscriptions à l’Université Laurentienne dépassent les prévisions

La demande pour étudier à l’UL demeure forte malgré la baisse prévue sur douze mois

(4 novembre 2021) - Comme l’indique les quelque 8 000 personnes inscrites à l’Université Laurentienne pour le trimestre d’automne 2021, des milliers d’entre elles continuent de faire confiance aux programmes d’études, au corps professoral et à la communauté qui appuient leurs études.

« Sur notre parcours vers un avenir plus durable, il est incroyablement encourageant de voir que la demande pour étudier à l’Université Laurentienne est encore forte, a indiqué le recteur et vice-chancelier de l’UL, M. Robert Haché. C’est une indication que nous demeurons une composante importante du système postsecondaire de l’Ontario et un établissement vital qui appuie la croissance du nord de l’Ontario. »

La population étudiante fait des études tant en ligne (2 100 étudiants) que dans des programmes de grade principalement offerts en présentiel sur le campus de Sudbury (5 900 étudiants). Le nombre d’inscriptions se chiffre à environ 400 de plus que les prévisions.

En outre, les tendances positives de l’inscription aux programmes de langue française au fil des ans sont très encourageantes tout comme le fait que plus de 20 % de notre population étudiante est actuellement inscrite à ceux-ci.

L’Université détermine le nombre d’inscriptions en novembre de chaque année afin de prendre en compte les nouveaux étudiants et ceux qui reviennent. Ce dénombrement, qui montre une baisse de 14 % sur douze mois, correspond au nombre d’étudiants actuellement inscrits à 106 programmes au premier cycle et aux cycles supérieurs.

Récemment, en raison de nombreuses circonstances convergentes, la Laurentienne s’est engagée dans une procédure aux termes de la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies (LACC), ce qui s’est traduit par une restructuration fondamentale de ses programmes d’études afin de pouvoir continuer à accomplir son mandat dans le nord de l’Ontario et le reste du Canada.

L’Université Laurentienne célèbre la Décennie des Nations Unies pour la restauration des écosystèmes

L’Université Laurentienne célèbre la Décennie des Nations Unies pour la restauration des écosystèmes

Le coup d’envoi comprenait le lancement du cours de restauration environnementale et du Certificat de leadership en ressources minérales ainsi que la désignation de sentier.

Jeudi 21 octobre, l’École des mines Goodman et le Centre pour la vitalité des lacs Vale ont tenu une activité de coup d’envoi pour célébrer la Décennie des Nations Unies pour la restauration des écosystèmes.

Lancée par l’Assemblée générale de l’ONU, la Décennie des Nations Unies pour la restauration des écosystèmes est une initiative qui vise à soutenir les efforts mondiaux pour protéger et remettre en état des écosystèmes et freiner le changement climatique.

« L’histoire de Sudbury nous rappelle que, depuis plus de 60 ans, la Laurentienne est à la croisée de la culture, des industries, des arts, des sciences et de la politique, a dit le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Robert Haché, Ph.D. Notre humble petit établissement a évolué pour devenir l’une des principales universités du Nord de l’Ontario. »

L’importance de l’occasion met en valeur le rôle suivi de Sudbury comme modèle de la remise en état. Le Centre pour la vitalité des lacs Vale et l’École des mines Goodman ont tenu compte de cela en lançant le cours « Environmental Remediation: Global Lessons from the Sudbury » examinant les efforts novateurs qui ont fait de Sudbury une ville reverdie reconnue aujourd’hui sur le plan mondial. En outre, en septembre, l’École des mines Goodman a lancé une importante initiative pédagogique, à savoir le Certificat de leadership en ressources minérales qui favorise les qualités de leadership, le développement de l’individualité et la gérance de l’industrie des ressources chez les personnes préparant une carrière dans l’industrie minière. Le programme comprend aussi une composante de mentorat assurant le jumelage d’étudiants avec des mentors de l’industrie. Des membres de la première cohorte du programme ont eu l’occasion de participer à l’activité, à faire du réseautage et à rencontrer pour la première fois en personne leur mentor. Par ailleurs, le directeur du Centre pour la vitalité des lacs Vale, M. John Gunn, a présenté le programme des activités de la Laurentienne dans le cadre de la Décennie des Nations Unies pour la restauration des écosystèmes qui mise sur l’histoire incroyable de remise en état à Sudbury tout en soulignant l’importance en permanence de la recherche environnementale et de la formation d’étudiants dans les domaines connexes. Mme Jane Goodall, Ph.D. et l’honorable M. Bob Rae (ambassadeur de l’ONU au Canada) ont contribué des mots de félicitations soulignant l’importance de ces recherches et des progrès communautaires.

Des commanditaires industriels du cours de restauration environnementale et du Certificat de leadership en ressources minérales ont assisté à l’activité pour célébrer le lancement de ces derniers. Parmi les invités, il faut souligner aussi la députée fédérale, Mme Viviane Lapointe, le député provincial, M. Jamie West, et le maire du Grand Sudbury, M. Brian Bigger.

Ce lancement s’inscrivait dans le cadre d’une série d’activités qui ont eu lieu cette semaine à l’Université Laurentienne pour célébrer l’occasion. Plus tôt jeudi, le Sentier de la restauration et le jardin de régénération des Nations Unies et de l’Association générale des étudiants (AGE) ont été inaugurés. Des étudiants inspirés par la Décennie des Nations Unies pour la restauration des écosystèmes ont dirigé cette initiative de désignation de plusieurs sentiers réaménagés sur le campus de la Laurentienne. Vendredi 22 octobre, un webinaire dans le cadre de la Conférence du bassin hydrologique 2021, présenté par le Centre pour la vitalité des lacs Vale et prononcé par Mme Line Rochefort, Ph.D., a clôturé les célébrations. 

 

COORDONNÉES

Pour obtenir de plus amples renseignements sur le cours « Environmental Remediation » et d’autres initiatives pédagogiques, veuillez communiquer avec :

Mme Nadia Mykytczuk, Ph.D.
PDG intérimaire
MIRARCO
Directrice générale intérimaire
École des mines Goodman
nx_mykytczuk@laurentienne.ca

 

Pour obtenir un complément d’information sur le Certificat de leadership en ressources minérales, veuillez communiquer avec :

Mme Nicole Tardif
Coordonnatrice de programme
École des mines Goodman
ntardif@laurentienne.ca

 

Pour obtenir d’autres renseignements sur la Décennie des Nations Unies pour la restauration des écosystèmes, veuillez communiquer avec : 

M. John Gunn, Ph.D.
Directeur
Centre pour la vitalité des lacs Vale
jgunn@laurentian.ca

​​L’Université Laurentienne observera la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation

​​L’Université Laurentienne observera la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation

Appel à la communauté pour participer à la réconciliation en action

Sudbury, Ontario (28 septembre 2021) - Le 30 septembre, l’Université Laurentienne marquera la toute première Journée nationale de la vérité et de la réconciliation, une journée pour penser avec tristesse aux victimes et honorer les survivants des pensionnats. Aux XIXe et XXe siècles, environ 150 000 enfants inuit, métis et de Premières Nations ont été enlevés de leurs familles et de leurs communautés et envoyés dans des pensionnats partout au Canada. Le dernier pensionnat a fermé ses portes en 1996. L’héritage de ces établissements persiste encore de nos jours. Lors de la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation, la communauté de la Laurentienne se réunira dans un esprit de vérité, d’action et de sincérité pour faire face aux vérités difficiles de ce qui s’est produit dans les communautés autochtones de ce pays.
 
La population étudiante, le corps professoral et le personnel sont invités à une série d’activités :

  • Un feu sacré sera allumé dans le wigwam pour honorer les enfants placés dans les pensionnats. La communauté sera invitée à offrir du semaanh (tabac), mashkodewashk (sauge), giizhik (cèdre) et wiingashk (foin d’odeur).
     
  • La communauté renouvellera le Cairn d’excuses dans le parc de stationnement 15 et en prendra soin. Ce cairn marque l’endroit où des communautés autochtones se sont regroupées pour recevoir en 1986 les premières excuses d’une des quatre églises qui ont administré les pensionnats. La communauté plantera également des plantes médicinales comme du mashkodewashk (sauge) et semaanh (tabac) et préparera le cairn pour les semis du printemps. La population étudiante en particulier est invitée à se joindre à l’événement à 14 h.
     
  • En l’honneur des pensionnaires, des femmes, des hommes, des filles, des garçons et des 2SLGBTQQIA métis, inuits et de Premières Nations disparus et assassinés, la communauté de la Laurentienne plantera un érable devant l’Édifice Parker, près du panneau de la Laurentienne qui accueille la communauté.
     
  • La Laurentienne invite la communauté à observer 2 minutes 15 secondes de silence à 14 h 15 pour honorer la mémoire des 215 enfants découverts par la Première Nation Tk'emlúps te Secwépemc en mai 2021 et celle des autres enfants que des communautés continuent de chercher. L’Université encourage tous les membres de la population étudiante, du corps professoral et du personnel à observer ces 2 minutes 15 secondes de silence là où ils se trouvent sur le campus ou dans la communauté.
     
  • L’Université encourage la communauté à porter un chandail orange pour commémorer le chandail orange vif qu’une petite fille de six ans, Phyllis Webstad avait reçu fièrement de sa grand-mère et qu’on lui a pris dès le premier jour au pensionnat. Nous encourageons également la communauté à télécharger des arrières-plans Zoom qui honorent les enfants des pensionnats.
     
  • En partenariat avec l’Association générale des étudiants, l’Université participera à « Lumière dans le comté orange » qui illumine le cœur de la vie et de la culture autochtones avec une lumière orange, y compris le wigwam à l’entrée de l’Édifice Parker, la Salle ronde et le Centre étudiant. Le Centre national pour la vérité et la réconciliation, basé à l’Université du Manitoba, a proposé l’idée aux communautés de tout le Canada.
     
  • Les membres de la population étudiante, du corps professoral et du personnel qui traversent l’atrium de l’Édifice Parker sont encouragés à s’exprimer et à écrire sur des notes autocollantes orange comment ils contribuent ou contribueront aux activités de réconciliation à la Laurentienne.
     
  • La Laurentienne a le plaisir d’accueillir les conférencières et le conférencier, Grace Fox, Marthe Brown et Harvey Trudeau qui parleront de leurs expériences dans les pensionnats ainsi que de leurs actes de réconciliation. La discussion aura lieu dans l’atrium à 11 h.

 
La Laurentienne a aussi le plaisir d’annoncer ce qui suit :

  • L’Université annoncera le lauréat ou la lauréate de la Bourse Kina Binoojiinyag Gchinendaagsiwag (Chaque enfant compte) établie par le Centre autochtone de partage et d’apprentissage. Cette bourse, accordée en priorité aux personnes qui étudient dans le domaine de la revitalisation des langues autochtones, récompense l’engagement d’autochtones à mettre leurs études au service de leur communauté.
     
  • L’Université Laurentienne remercie les studios de Perkins & Will Canada à Vancouver et à Calgary, et KPMB Architects de leur soutien philanthropique et est heureuse d’annoncer son partenariat avec Indspire, un organisme autochtone qui appuie les étudiants Inuits, Métis et de Premières Nations pendant leurs études.
     
  • Le partenariat créera trois bourses destinées à des autochtones qui étudient à l’École d’architecture McEwen de l’Université Laurentienne. Les critères de sélection sont le rendement scolaire, l’excellence en conception et les liens avec l’héritage autochtone.
     
  • En collaboration avec le Shingwauk Kinoomaage Gamig à Sault Ste. Marie, la Bibliothèque et les Archives de l’Université Laurentienne ont l’honneur d’annoncer qu’elles ont récemment reçu l’autorisation officielle de la Cour supérieure de justice de l’Ontario de se procurer et d’utiliser le dossier et les documents de l’instruction de l’affaire judiciaire marquante Restoule v. Canada (Attorney General) afin de les numériser et de les afficher sur Internet.
     
  • Restoule v. Canada est un pas vers la réconciliation, car il tient compte en partie du droit et de la gouvernance anishinaabe, et accorde des paiements annuels aux Anishinaabes garantis par les traités Robinson-Huron et Robinson-Supérieur de 1850.

 
L’Université encourage la communauté à se brancher tout au long de la journée sur les médias sociaux de la Laurentienne pour suivre la couverture spéciale des activités. Suivez la Laurentienne sur Instagram, Twitter, Facebook et LinkedIn.

La Laurentienne remercie tous les participants qui ont pris l’engagement aujourd’hui de veiller à ce que la communauté ait toutes les occasions de se réunir dans un esprit d’action, d’humilité et de sincérité.

Rna Diagnostics, une entreprise dérivée située à l’Université Laurentienne, obtient 8 000 000 $ canadiens en financement de série A

Rna Diagnostics, une entreprise dérivée située à l’Université Laurentienne, obtient 8 000 000 $ canadiens en financement de série A

(SUDBURY, CANADA, 22 septembre 2021) L’Université Laurentienne et l’Institut de recherche d’Horizon Santé-Nord (IRHSN) sont heureux d’annoncer que Rna Diagnostics Inc., une entreprise de pointe de diagnostic exact du cancer créée à partir de la découverte par le scientifique de l’IRHSN, Amadeo Parissenti, professeur à l’Université Laurentienne, a reçu un investissement de série A de 8 000 000 $ de iGan Partners et de BDC Capital dans le cadre de son programme de financement provisoire.

M. Parissenti et son associé de recherche, Baoqing Guo, ont découvert dans leur laboratoire à l’IRHSN que le traitement de chimiothérapie peut promouvoir la dégradation de l’ARN (destruction de l’ARN). L’épreuve de destruction de l’ARN (RDATM), brevetée par l’Université Laurentienne et cédée sous licence à Rna Diagnostics en 2010, détermine si une personne répond au début au traitement du cancer, peu importe le type de cancer et le traitement. La RDA mesure la réponse cinq semaines après le début d’un schéma posologique choisi. La technologie de diagnostic du cancer par RDA permet aux oncologues d’évaluer tôt l’efficacité d’un traitement donné et d’adapter ainsi la chimiothérapie en temps réel. Cela signifie que si la tumeur ne répond pas au traitement, on peut éviter 80 % des doses inefficaces et de perdre du temps.

Le siège du laboratoire de référence de Rna Diagnostics se trouve à l’IRHSN à Sudbury où M. Parissenti étudie les mécanismes cellulaires impliqués dans la destruction de l’ARN. Il collabore avec les professeurs Carita Lanner et Tom Kovala de l’École de médecine du Nord de l’Ontario dans l’espoir de trouver d’autres outils de prédiction ou de surveillance de la réponse à la chimiothérapie et les résultats pour les personnes atteintes de cancer. L’Université Laurentienne et l’IRHSN remercient le Groupe d’essais cliniques de la Société canadienne du cancer et la Fondation du Nord en cancérologie qui appuient cette découverte importante et d’autres études de validation.

 « L’Université Laurentienne est fière d’offrir ses félicitations à M. Parissenti et à Rna Diagnostics Inc. pour cette incroyable étape marquante, a dit Tammy Eger, vice-rectrice à la recherche. L’investissement apportera du financement essentiel pour mener les essais cliniques et mettre sur le marché une technologie qui améliorera les traitements du cancer dans le monde entier et améliorera la qualité de vie des personnes atteintes de cancer. Une réelle innovation du Nord découlant de partenariats et de collaborations hors pair. »

« Notre établissement se réjouit d’héberger le laboratoire de référence de Rna Diagnostics Inc. qui recueille et analyse des échantillons venant de partout au monde pour l’essai BREVITY, a dit Greg Ross, vice-président, Optimisation de l’enseignement et de la recherche. Le leadership de M. Parissenti dans cette recherche stratégique est évident. Il assure en effet le mentorat d’étudiants dans son laboratoire et offre des possibilités de recherche fructueuses qui aideront les patients dans nos communautés du Nord. Rna Diagnostics Inc. met vraiment Sudbury sur la carte. »

« Le fidèle soutien de iGan Partners et de nos investisseurs actuels, combiné à celui de BDC Capital, un nouveau partenaire d’investissement, a de quoi se réjouir, dit John Connolly, PDG de Rna Diagnostics. La conclusion de cette série de financement A nous permettra d’achever l’essai clé de validation (BREVITY) de l’épreuve de destruction de l’ARN (RDATM). BREVITY recrute actuellement des patients dans plusieurs centres de traitement du cancer du sein en Europe et en Amérique du Nord. »

« C’est un énorme problème coûteux pour les centres de cancérologie. En général, un schéma posologique donné apporte une survie chez 30 à 40 % seulement des personnes ayant une tumeur solide, ajoute M. Connolly. Celles dont la tumeur ne répond pas au traitement (révélé par le RDA) peuvent alors abandonner le traitement inefficace et ses effets secondaires et recevoir rapidement d’autres traitements. 

Des chercheurs de l’UL reçoivent 50 000 $ pour examiner la confiance à l’égard des vaccins dans le nord de l’Ontario

Des chercheurs de l’UL reçoivent 50 000 $ pour examiner la confiance à l’égard des vaccins dans le nord de l’Ontario

3 août, 2021 - Grâce à l’appui du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG), les chercheurs et le personnel du Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail (CRSST) et du programme d’études supérieures en communication scientifique parcourront en septembre le nord de l’Ontario afin de renforcer la confiance des milieux de travail et des communautés à l’égard de l’utilisation de vaccins.

 

Même si beaucoup de personnes ont déjà reçu le vaccin contre la COVID-19, d’autres hésitent encore à le faire et ont des questions à ce sujet. « La confiance à l’égard des vaccins, a affirmé la directrice du programme d’études supérieures en communication scientifique, Mme Chantal Barriault, a de véritables répercussions sur la santé et la sécurité des milieux de travail et des communautés. »

 

Cette subvention de 50 000 $ permettra de développer des documents et ressources fondés sur des données probantes. De plus, une équipe sera en mesure de se rendre dans des communautés éloignées et du Nord afin d’ouvrir le dialogue avec les travailleurs et les résidents en matière d’atténuation de risques liés à la COVID-19 et de renforcer la confiance à l’égard de l’efficacité et de la sécurité du programme de vaccination contre la COVID-19 en Ontario.

 

« Le nord de l’Ontario a une culture distincte et les gens pourraient avoir des questions et préoccupations qui diffèrent de celles des personnes situées ailleurs en Ontario, a expliqué la directrice du CRSST, Mme Sandra Dorman. Le partage et l’échange avec les Nord-Ontariens de renseignements relatifs à la santé et à la sécurité font partie de la mission essentielle du CRSST. Nous nous réjouissons à la perspective de rétablir le contact avec les communautés et de mieux cerner leurs choix et leurs appréhensions. »

 

Des chercheurs, étudiants et membres du personnel du CRSST et du programme d’études supérieures en communication scientifique iront dans les milieux de travail et les communautés du nord de l’Ontario affichant un intérêt en utilisant le Laboratoire itinérant de recherche du CRSST, conçu sur mesure aux fins de recherche et de sensibilisation en matière de santé et de sécurité.

 

« Depuis plus de dix ans, le CRSST noue des liens avec les milieux de travail et communautés du nord de l’Ontario et les mobilise, a dit la vice-rectrice à la recherche, Mme Tammy Eger, Ph.D. De plus, le programme d’études supérieures en communication scientifique de l’Université Laurentienne est reconnu sur la scène mondiale pour la formation de communicateurs scientifiques professionnels et est très bien placé pour effectuer ce travail important. »

 

Si une visite de l’équipe de recherche au sein de votre milieu de travail vous intéresse, veuillez envoyer un message à croshtech@laurentian.ca.

Une équipe transdisciplinaire de chercheurs de l’UL reçoit un octroi fédéral

Une équipe transdisciplinaire de chercheurs de l’UL reçoit un octroi fédéral

Le Fonds Nouvelles frontières en recherche appuie un projet innovateur ayant recours à la robotique

6 juillet 2021 - Une équipe transdisciplinaire de chercheurs de l’École d’architecture McEwen, de l’École de génie Bharti et du Département de neurosciences du comportement à l’Université Laurentienne recevra une subvention pour un projet qui vise à refaçonner la manière dont le Nord se distingue.

Le chercheur principal, M. Steven Beites, et les co-demandeurs de la subvention, M. Marc Arsenault, M. Blake Dotta et Reza Foruzanmehr, ont obtenu 250 000 $ du Fonds Nouvelles frontières en recherche, initiative du Comité de coordination de la recherche au Canada.

Intitulé « Human-Robot Interaction and Collaboration as a Catalyst for Creative Economy, Community Outreach and Emerging Design-Build Solutions in Ontario’s North », ce projet cherche à exploiter les technologies de pointe afin de renforcer les économies et les communautés du Nord. 

L’objectif principal du projet est d’éliminer les obstacles aux outils numériques et aux technologies dans le Nord en mettant au point un robot parallèle à câbles (RPC) qui est portatif et sert à la fabrication et à l’assemblage de grande envergure. Ce robot aurait des utilisations importantes, surtout dans les communautés du Nord où les coûts immobiliers sont prohibitifs. Une interface conviviale sera aussi conçue sur mesure pour le RPC dans le cadre du projet.

Ce projet pourrait donner lieu à de nouveaux matériaux grâce aux technologies émergentes, améliorer la santé dans les régions rurales et du Nord en affrontant la crise de logement dans les communautés éloignées, aborder les défis technologiques dans le nord de l’Ontario et susciter la participation aux recherches communautaires qui profitent à toutes les collectivités du Nord, y compris les communautés autochtones et francophones.

 

Citation 

« Ce projet intéressant met l’accent sur le nord de l’Ontario et veut initier les utilisateurs non professionnels à des technologies émergentes afin de revitaliser les communautés du Nord en matière de fabrication, de conceptualisation et d’invention. » Professeur Beites

L’École d’architecture McEwen est officiellement la 12e et la plus récente école d’architecture pleinement agréée au Canada

L’École d’architecture McEwen est officiellement la 12e et la plus récente école d’architecture pleinement agréée au Canada

Les perspectives anglophones, francophones, métisses, inuites et de Premières Nations sont toutes au cœur du mandat triculturel inégalé du programme.

(22 juin 2021 - Sudbury, ON) L’École d’architecture McEwen (EAM) de l’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer que le Conseil canadien de certification en architecture (CCCA) / Canadian Architectural Certification Board (CACB) a décerné l’agrément initial au programme professionnel de maîtrise en architecture à compter du 1er juillet 2021.

Les perspectives anglophones, francophones, métisses, inuites et de Premières Nations sont toutes au cœur du mandat triculturel inégalé du programme. Grâce aux aînés en résidence, aux membres autochtones du corps professoral, à l’enseignement en français dans l’atelier de conception et aux activités annuelles de conception communautaire et de conception-construction, les étudiants sont initiés à diverses méthodes, connaissances et expériences propres au « Nord ». Les leçons tirées de ces contextes locaux leur permettre d’extrapoler ces informations afin d’aborder des problèmes mondiaux dans les disciplines d’architecture, de conception paysagère et de milieux bâtis durables.

Le modèle d’enseignement coopératif de l’École est ancré dans l’apprentissage par l’expérience et les cultures nord-ontariennes et canadiennes et s’insère dans un programme permettant aux étudiants d’obtenir une expérience pratique en effectuant des stages de travail auprès d’employeurs dans les domaines de l’architecture et de la conception.

Depuis l’inauguration de l’École en 2013, quelque 250 étudiants ont préparé un diplôme de premier cycle (B.A.S.) et une centaine d’entre eux ont obtenu une maîtrise en architecture (M.Arch.).

« L’École d’architecture McEwen a de quoi être fier, a dit le recteur et vice-chancelier, M. Robert Haché, et cette validation témoigne bien de l’expérience étudiante de haut calibre qu’offre l’Université Laurentienne. Le travail exceptionnel du personnel, du corps professoral et de la population étudiante de l’École pendant de nombreuses années a permis de concrétiser cet accomplissement. En outre, la confiance exprimée par l’équipe d’agrément du CCCA dans l’École reflète une confiance accrue dans l’avenir de la Laurentienne. »

École professionnelle de l’Université Laurentienne, l’École d’architecture McEwen (EAM) est située au centre-ville de Sudbury (Ontario) et offre un programme de baccalauréat en études architecturales (BAS) de quatre ans, suivi d’un programme de maîtrise en architecture (M.Arch.) de deux ans. L’agrément de l’École englobe les programmes en anglais et en français menant au diplôme de maîtrise en architecture.

« Nous sommes tous très fiers de la culmination du travail ardu du corps professoral, du personnel et de la population étudiante qui ont partagé une vision et un enthousiasme pour l’École aux diverses étapes de son développement, a indiqué le directeur de l’École d’architecture McEwen, M. David Fortin. Nous sommes reconnaissants à toutes les personnes qui ont contribué à ce processus et offert un appui à l’École et nous nous réjouissons de célébrer aujourd’hui notre objectif qui était d’obtenir l’agrément initial du CCCA/CACB. »

« L’encadrement du Conseil consultatif international de l’EAM et l’appui de la communauté élargie dans tout le nord de l’Ontario ont contribué grandement à cette réalisation, a ajouté le directeur fondateur de l’École, M. Terrance Galvin. Les employeurs participant à l’enseignement coopératif et les collaborateurs, collègues, partenaires, donateurs et autres ont investi temps, énergie et ressources dans la nouvelle génération d’architectes formés dans le Nord qui sont d’exceptionnels agents de changement dans nos communautés. Nous tenons à souligner ces importantes contributions. Cette réalisation est le fruit d’un effort collectif et cela est très valorisant. »

Au sujet du processus d’agrément du CCCA 

Le CCCA n’octroie l’agrément qu’à des programmes de grade professionnel en architecture menant à l’obtention du permis d’exercice de la profession. L’agrément professionnel signifie qu’un programme a été évalué par le CCCA et est conforme aux normes pédagogiques qui constituent, dans leur ensemble, une formation appropriée pour un architecte.

Le processus intégral d’agrément du CCCA/CACB comprend trois phases : l’admissibilité, la candidature et l’agrément initial. Le programme de premier cycle en architecture a été lancé en septembre 2013 et le CCCA a confirmé son admissibilité à l’agrément en 2017. En 2018, l’École a été admise à la phase de candidature et, en 2020, a soumis le troisième et dernier Rapport sur le programme d’architecture aux fins d’agrément initial. Avant de procéder à cette dernière étape, l’EAM devait compléter deux ans suivis à titre de candidat à l’agrément et conférer à une promotion d’étudiants le diplôme du programme professionnel visé par l’agrément. Les promotions de 2019 et de 2020 de la M.Arch. bénéficieront de droits acquis selon les procédures du CCCA. 

L’EAM a calibré son échéancier pour répondre aux critères nationaux susmentionnés applicables à un nouveau programme d’architecture. Sur la scène provinciale, l’EAM avait aussi le soutien du Regroupement des ordres d’architectes du Canada (ROAC) qui, de concert avec le Conseil canadien de certification en architecture (CCCA), a permis aux titulaires de la M.Arc. des deux années de commencer à enregistrer leurs heures de stages en vue d’avoir l’autorisation
d’exercer dans des cabinets d’architecture au Canada.

Il est encore possible de demander l’admission au programme professionnel nouvellement agréé de l’EAM. Les personnes intéressées peuvent communiquer directement avec l’École à architecture@laurentienne.ca
 

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