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Une professeure de l’Université Laurentienne reçoit un financement du CRSNG pour avancer la formation en matière de communication scientifique

Une professeure de l’Université Laurentienne reçoit un financement du CRSNG pour avancer la formation en matière de communication scientifique

Mme Chantal Barriault formera des professeurs et chercheurs des STIM dans le Nord de l’Ontario en matière de vulgarisation scientifique

(23 novembre 2020) L’Université Laurentienne tient à féliciter Mme Chantal Barriault, Ph.D., qui a reçu 20 000 $ du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie (CRSNG) du gouvernement fédéral. Cette subvention permet à des experts en communication de partager leurs connaissances avec des professeurs, chercheurs et étudiants des cycles supérieurs en sciences, technologie, ingénierie et mathématiques pour améliorer leurs compétences de sorte qu’ils communiquent efficacement leur travail avec le public.

La Subvention de développement des compétences en communication scientifique (phase pilote) a été remise à Mme Barriault ainsi qu’à 20 autres lauréats choisis parmi une centaine de demandes provenant de partout au Canada. Les fonds aideront les experts nord-ontariens des STIM à contribuer à la conscientisation scientifique tout en luttant contre la désinformation scientifique.

Grâce à ce financement, l’Université Laurentienne, en partenariat avec Science Nord, donnera une formation essentielle en matière de communication scientifique dans le cadre d’ateliers interactifs offerts virtuellement et en personne. Les fonds soutiendront la création d’un modèle de formation qui pourra être adapté et offert en anglais et français ailleurs que dans le Nord de l’Ontario. En effectuant ce projet pilote, Mme Barriault espère bien valider les principes afin de pouvoir obtenir d’autres subventions à l’avenir. Appuyez ici pour lire sa proposition.

CITATION
« Cet octroi fait valoir que nous offrons, à la Laurentienne, un programme d’études supérieures de calibre mondial en communication scientifique et que nous habilitons les chercheurs et les professeurs de sciences partout dans le Nord de l’Ontario à communiquer efficacement leurs travaux. » Mme Chantal Barriault, directrice du programme d’études supérieures en communication scientifique
 

L’Université Laurentienne est ajoutée à la liste d’établissements d’enseignement désignés d’Immigration Canada

L’Université Laurentienne est ajoutée à la liste d’établissements d’enseignement désignés d’Immigration Canada

L’Université est autorisée à accueillir des étudiants étrangers

(17 novembre 2020) L’Université Laurentienne est fière d’annoncer qu’elle figure désormais sur la liste d’établissements d’enseignement désignés (EED), qui énumère tous les collèges et toutes les universités au Canada qui sont dotés de plan d’intervention en réponse à la COVID-19. Cette démarche permet à la Laurentienne d’accueillir les étudiants en provenance de l’étranger.

Cette annonce fait suite à des semaines de discussions constructives avec nos partenaires aux paliers provincial et fédéral du gouvernement et n’aurait pas été possible sans les efforts conjugués de nombreuses unités à l’Université qui assurent la sécurité de notre communauté.

Les équipes des services aux étudiants étrangers et des résidences à l’Université Laurentienne continuent d’offrir un appui aux étudiants d’autres pays en matière d’arrivée au Canada et de plan de quarantaine. La Laurentienne compte actuellement parmi sa population étudiante 602 étudiants étrangers de 75 pays qui font leurs études à distance dans leur pays d’origine ou au Canada.

Un chercheur de la Laurentienne reçoit une subvention fédérale pour intensifier la lutte contre le coronavirus

Un chercheur de la Laurentienne reçoit une subvention fédérale pour intensifier la lutte contre le coronavirus

Professeur au Département de chimie et de biochimie, M. Stefan Siemann, Ph.D., reçoit 200 000 $ de la FCI pour se procurer des appareils clés

(16 novembre 2020) L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer qu’un de ses chercheurs recevra un coup de pouce du gouvernement fédéral pour rehausser ses efforts de lutte contre le coronavirus.

Professeur au Département de chimie et de biochimie, M. Stefan Siemann déploie déjà des efforts tenaces pour conquérir le virus dans le cadre de sa participation à un réseau mondial d’experts qui se servent de la technologie d’imagerie en 3D pour cibler les faiblesses éventuelles dans la structure cellulaire de SARS-Cov-2, virus responsable de la pandémie en cours. Cette semaine, la Fondation canadienne pour l’innovation a annoncé que M. Siemann recevra 200 000 $ pour acheter deux appareils qui rehausseront davantage ses efforts. 

Ces appareils, un fluorimètre et un système de lecteur de microplaques, seront essentiels à M. Siemann et à son équipe dans leur recherche de l’enzyme nommé Mpro qui joue un rôle vital dans la réplication du virus. L’objectif des chercheurs est de trouver un composé qui empêchera l’enzyme Mpro de répliquer les cellules de SARS-Cov-2, ce qui arrêtera ou ralentira la propagation du virus.

Cette recherche figure parmi 79 projets financés par le Fonds des occasions exceptionnelles de la FCI. Annoncé récemment, le fonds comprend 28 000 000 $ à octroyer à des projets semblables dans 52 établissements partout au Canada dans le cadre de l’engagement élargi du gouvernement fédéral envers l’atténuation des effets dévastateurs de la pandémie. 

CITATION
« Le financement de l’infrastructure de recherche annoncé par l’honorable Navdeep Bains, ministre de l’Innovation, des Sciences et de l’Industrie, n’aurait pu arriver à un meilleur moment pour les scientifiques canadiens, y compris le professeur Stefan Siemann de l’Université Laurentienne. Nous sommes incroyablement fiers de lui et de ses collaborateurs qui utilisent des outils scientifiques de pointe et de nouvelles méthodes pour lutter contre la COVID-19. » Mme Tammy Eger, vice-rectrice à la recherche, Université Laurentienne
 

La Laurentienne annonce une nouvelle bourse pour les jeunes confiés aux soins de la société d’aide

La Laurentienne annonce une nouvelle bourse pour les jeunes confiés aux soins de la société d’aide

La Bourse Desiderata de début d’études est financée par une donatrice qui souhaite « en remettre au suivant »

(5 novembre 2020) L’Université Laurentienne est fière d’annoncer la création de la Bourse Desiderata de début d’études grâce à un don de Mme Catherine Gravely. Ce fonds totalisant 120 000 $ permettra de décerner des bourses chaque année à trois membres de la population étudiante de la Laurentienne qui ont été pris en charge par une société en Ontario pendant leur jeunesse. Les bourses sont une première dans la province et misent sur l’annonce l’an dernier que l’Université accorderait à ces jeunes ontariens une exemption des droits de scolarité.

Les bourses portent le nom d’un poème – Desiderata, de Max Ehrmann – qui a été une source de force et de réconfort pour Mme Gravely. Le poème dit « Au-delà d’une discipline saine, soyez doux avec vous-même. Vous êtes un enfant de l’univers, pas moins que les arbres et les
étoiles; vous avez le droit d’être ici. »

Les bourses couvriront les frais de manuels et de subsistance des lauréats. Les personnes qui entament la première année d’études à la Laurentienne dans n’importe quel programme et remplissent les critères d’admissibilité seront considérées en premier lieu. La bourse a une valeur de 10 000 $ par année et est renouvelable pour quatre ans.

CITATIONS
« Je suis heureuse que vous ayez déjà fait croître le financement et me réjouis d’en faire encore plus. Mon objectif était de transmettre aux jeunes qui sont ou ont été pris en charge par une société d’aide le message que des gens les appuient, même s’ils ne les connaissent pas. Ces jeunes ont des partisans invisibles, y compris moi, qui veulent les voir réussir. Bien que la vie se définisse en quelque sorte par le travail ardu, la chance, bonne et mauvaise, joue aussi un rôle. Je veux créer un bon sort pour les jeunes ayant eu de la malchance qu’ils n’ont pas méritée en rééquilibrant un peu les choses, en leur montrant que d’autres bonnes choses imprévues les attendent et qu’il y aura des jours meilleurs dans la vie. » Mme Catherine Gravely, donatrice.

« Quelle merveilleuse occasion pour les membres de notre population étudiante de commencer à bâtir leur avenir grâce à l’appui financier d’une personne bienveillante. Pendant leur parcours universitaire, ces jeunes auront à se rappeler que la générosité envers les autres est une qualité essentielle menant au don de soi et favorisant la construction d’un monde plus rassembleur. » Mme Marie-Josée Berger, vice-rectrice aux études à l’Université Laurentienne.

La Laurentienne lance une nouvelle appli pour rehausser la sécurité sur le campus

La Laurentienne lance une nouvelle appli pour rehausser la sécurité sur le campus

SecurLU-UL propose un ensemble d’outils utiles pour simplifier les communications relatives à la sécurité

(4 novembre 2020) L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer le lancement de SecurLU-UL, l’appli officielle en matière de sécurité pour notre communauté. C’est la seule appli qui s’intègre dans les systèmes de sécurité de l’Université Laurentienne.

L’équipe du Service de sécurité du campus a travaillé pour concevoir une appli unique qui fournit à la population étudiante, au corps professoral et au personnel un supplément de sécurité sur le campus de l’Université Laurentienne. L’appli vous envoie des alertes importantes de sécurité et fournit l’accès instantané aux ressources du campus en matière de sécurité.

Caractéristiques de SecurLU-UL :

  • Coordonnées des services d’urgence : Communiquez avec les services appropriés de l’Université Laurentienne en cas de préoccupation urgente ou non.
  • Mobile Bluelight : Envoyez votre localisation en temps réel au Service de sécurité de l’Université Laurentienne en cas de crise.
  • Travail en isolement : Utilisez l’appli pour faire une « vérification » périodique lorsque vous travaillez en isolement ou tard le soir. Si vous ne répondez pas, l’appli enverra une alerte au Service de sécurité du campus.
  • Marcher avec un(e) ami(e) : Envoyez votre localisation à un(e) ami(e) par courrier électronique ou SMS. Lorsque l’ami(e) accepte votre demande, vous lui indiquez votre destination et il ou elle suit votre déplacement en temps réel.
  • Plans d’urgence : La documentation sur les urgences sur le campus peut vous préparer pour les catastrophes ou les urgences. Vous pouvez y accéder même quand vous n’êtes pas connecté(e) au Wi-Fi ou aux données cellulaires.
  • Programme d’accompagnement virtuel : Permet au Service de sécurité du campus de surveiller vos déplacements à pied. Si vous ne vous sentez pas en sécurité quand vous marchez sur le campus, vous pouvez demander un accompagnement virtuel, et un répartiteur surveillera votre parcours jusqu’à votre destination.
  • Boîte à outils de sécurité : Améliorez votre sécurité avec la série d’outils fournie dans une appli pratique.
  • Soutien : Accédez à du soutien dans une appli pratique afin d’avoir une expérience réussie à l’Université Laurentienne.

La Laurentienne nomme trois nouveaux membres au Conseil des gouverneurs

La Laurentienne nomme trois nouveaux membres au Conseil des gouverneurs

M. Martin Gran, Mmes Karen Restoule et Natalie Turvey se joignent au Conseil

(29 octobre 2020) Trois membres communautaires dynamiques se sont joints au Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne. Ils possèdent des expériences et des antécédents culturels divers et exercent d’importants rôles de leadership dans nos communautés.
 
« Les membres du Conseil jouent un rôle critique dans l’orientation de l’Université et ces trois nouveaux membres affichent des qualités clés qui auront une incidence positive pour nous en allant de l’avant. La Laurentienne tirera profit de leurs expériences et de leur leadership pendant les années à venir. Nous sommes très chanceux qu’ils apportent leurs perspectives et leur engagement à notre communauté. » M. Robert Haché, recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne.
 
« Nous nous réjouissons d’accueillir Martin, Natalie et Karen au Conseil. Ils ont acquis une expérience impressionnante et sont des exemples d’engagement envers le service et le bénévolat ce qui rehausse ainsi davantage le groupe de personnes dévouées et engagées qui sont membres de notre Conseil. Nous attendons avec impatience de collaborer avec eux et leur souhaitons la plus chaleureuse bienvenue à la communauté Laurentienne. » M. Claude Lacroix, président du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne

Martin Gran
Une personne assidue pleine d’initiative, M. Martin Gran a travaillé à Pioneer Construction au long de ses études, où il a joué divers rôles pendant sa carrière, grimpant les échelons pour devenir dirigeant principal des finances, l’un des postes les plus hauts de l’organisme, non seulement à Pioneer Construction, mais aussi pour Fisher Wavy et Silver Peak Capital, la division de capitaux de la société. De 2002 à 2018, il a siégé au conseil d’administration de l’Ontario Road Builders Association (ORBA) et y a assumé la présidence en 2008, étant la plus jeune personne à exercer ce rôle dans les 90 ans d’existence de l’organisme.
 
M. Gran est titulaire d’une maîtrise en administration des affaires (1995) de l’Université Laurentienne, d’un baccalauréat (science économique) de l’Université Western (1991) et de l’agrément de comptable professionnel (CPA, CA). Il habite le Grand Sudbury avec sa femme et ses trois enfants.

Karen Restoule
Mme Karen Restoule est présidente exécutive suppléante à Tribunaux décisionnels Ontario, où elle est responsable de dispenser la justice administrative partout en Ontario. Dans son rôle précédent de directrice du secteur de la justice de Chiefs of Ontario, elle a collaboré avec des dirigeants autochtones pour faire progresser la politique. Elle est cofondatrice de BOLD Realities, organisme à but non lucratif qui organise des discussions et met au point des outils pour renforcer les relations entre les secteurs industriels et les dirigeants autochtones.
 
Mme Restoule est diplômée de l’Université de Toronto et du programme de common law de l’Université d’Ottawa, où elle a été intronisée en 2014 à la Société honorifique de common law de la Faculté de droit, puisqu’elle met à profit sa formation juridique pour apporter des contributions considérables à la société. En outre, le Forum des politiques publiques l’a nommée boursière des premiers ministres du Canada en 2018.
 
Mme Restoule est membre de la Première nation de Dokis et ayant droit en vertu du traité de Robinson-Huron 1850.

Natalie Turvey
Voyageuse du monde et innovatrice, Mme Natalie Turvey est ardente défenseuse de l’éthique en journalisme. Elle est actuellement PDG de la Fondation pour le journalisme canadien (FJC), organisme sans but lucratif à Toronto qui appuie et célèbre l’excellence en journalisme dans le cadre de la formation, de bourses, de recherche et de l’un des plus prestigieux programmes de prix annuels.
 
Sous sa direction, la FJC a mis au point un curriculum national relatif à la culture d’information qui enseigne aux élèves à développer des habitudes de consommation de nouvelles et de pensée critique qui appuient le civisme éclairé. Plus tard, l’organisme a élargi le programme pour y inclure les citoyens d’âge majoritaire afin d’aider tous les Canadiens à comprendre la différence entre le journalisme factuel et les fausses informations du monde numérique. Cette année, Mme Turvey dirige le lancement d’un programme de bourses pour le journalisme relatif aux Noirs qui permettra de cultiver des talents émergents et de mettre en valeur les voix et récits des Noirs dans les principaux médias au Canada.
 
Mme Turvey est diplômée de l’Université Laurentienne (baccalauréat en éducation), de l’Université Western (baccalauréat ès arts) et de l’Université européenne (maîtrise en administration des affaires) à Bruxelles, en Belgique.

La Laurentienne décernera un doctorat honorifique à Mme Margarete Kalin-Seidenfaden

La Laurentienne décernera un doctorat honorifique à Mme Margarete Kalin-Seidenfaden

La distinction sera accordée à cette scientifique innovante lors de la Collation des grades de l’automne 2020

(28 octobre, 2020) L’Université Laurentienne rendra hommage à Mme Margarete Kalin-Seidenfaden et soulignera ses réalisations remarquables en lui décernant un doctorat ès sciences honoris causa lors de la Collation des grades de l’automne, le 31 octobre.

Mme Kalin-Seidenfaden est l’une des principales contributrices au Protocole de Sudbury, une approche en génie écologique adoptée pour la remise en état environnementale que l’Université Laurentienne a commercialisé en 2016. Même si des normes culturelles et industrielles oppriment les femmes dans des domaines dominés historiquement par les hommes, elle participe pleinement depuis 1963 au monde scientifique. En fait, elle a fait valoir sa résolution tout au long de sa carrière à titre d’experte-conseil sur l’environnement, culminée lorsqu’elle est devenue cofondatrice de Boojum Research.

Les recherches de Mme Kalin-Seidenfaden en 1978 sur les résidus d’uranium de la mine Madawaska à Bancroft et à Elliot Lake l’ont apporté ultimement à définir des approches plus écologiques au traitement des résidus miniers, y compris le polissage biologique et la réduction microbiologique de l’acide (ARUM).

Pendant les trois prochaines décennies, Boojum Research a réalisé des projets de réclamation environnementale, y compris le drainage minier acide sur les sites d’INCO et de Falconbridge à Levack et à Sudbury et de la mine Kam Kotia dans la périphérie de Timmins et le traitement de résidus de pyrite de la mine South Bay près de Thunder Bay, ainsi que des projets internationaux en Allemagne et Australie. En 2002, elle a fait don des nombreux rapports de Boojum Research à la Bibliothèque J.N.-Desmarais et a continué à cultiver sa relation avec la bibliothèque et à soutenir la collection en y apportant de nouvelles contributions issues de l’évolution de son travail.

Veuillez vous joindre à nous à la cérémonie de Collation des grades de l’automne 2020 pour souligner les contributions remarquables de Mme Kalin-Seidenfaden. 

CITATION
« Je suis tellement heureux que Mme Margarete Kalin-Seidenfaden ait accepté de recevoir un titre honorifique de l’Université Laurentienne. Le leadership dont elle fait preuve sur le plan mondial en matière d’ingénierie écologique et de rétablissement environnemental illustre pour nos étudiants les façons dont leurs travaux et leurs recherches peuvent vraiment changer les choses. » M. Robert Haché, recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne
 

L’UL continuera d’assurer la prestation de cours à distance pendant le trimestre d’hiver

L’UL continuera d’assurer la prestation de cours à distance pendant le trimestre d’hiver

Le Sénat a voté pour offrir les cours par l’intermédiaire de médias en ligne durant la pandémie

Mercredi 21 octobre 2020

 

Hier, le Sénat de l’Université Laurentienne a voté en faveur d’offrir le trimestre d’hiver 2021 selon une prestation à distance. D’abord et avant tout, la discussion de la question a porté sur la façon d’assurer la meilleure éducation que soit à nos étudiants tout en protégeant la santé, la sécurité et le bien-être de tous – population étudiante, corps professoral et personnel.
 

D’autres facteurs ont aussi été discutés, dont les progrès réalisés dans l’offre de cours à distance, les exigences relatives à l’apprentissage pratique et la qualité globale de l’expérience des étudiants. L’Université continuera d’offrir un petit nombre de cours en personne, comme elle le fait pour le trimestre d’automne 2020, avec moins de 1 % des cours donnés en personne.

 

De plus, l’Université continuera d’accueillir des étudiants dans des appartements résidentiels du campus. Le travail consciencieux accompli par le personnel pour établir et faire respecter les protocoles relatifs à la COVID-19 assure la sécurité des étudiants tout en favorisant pour eux un milieu sécuritaire dans lequel vivre et étudier en dépit des circonstances. Étant donné les annonces récentes du gouvernement fédéral qui permettent aux étudiants étrangers d’entrer au Canada, la Laurentienne se réjouit d’accueillir des étudiants de partout dans le monde conformément au plan de préparation à la COVID-19 du campus.
 

L’Université Laurentienne continue de prêter un soutien aux membres de la population étudiante, du corps professoral et du personnel pour leurs activités quotidiennes à distance. Elle a joué un rôle de premier plan en réagissant à la pandémie de COVID-19, étant la première université publique au Canada à reconnaître la gravité de la pandémie en mars 2020 et à suspendre les cours en personne. Le trimestre d’hiver se déroulera de janvier à avril 2021.

Un professeur de la Laurentienne reçoit un prix provincial

Un professeur de la Laurentienne reçoit un prix provincial

M. Aaron Langille du Département de mathématiques et d’informatique reçoit le prix en enseignement 2019-2020 de l’OCUFA

(October 19, 2020) L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer que M. Aaron Langille, maître de conférences de l’École de l’environnement dans la Faculté des sciences, de génie et d’architecture, est le lauréat du prix en enseignement de l’Union des associations des professeurs des universités de l’Ontario (OCUFA).

L’organisme, qui représente les associations de professeurs partout dans la province, caractérise M. Langille d’inspiration pour ses efforts inlassables de défense des droits des étudiants en soulignant tout particulièrement son emploi de technologie ultramoderne pour rehausser leur expérience. Reconnaissant le leadership de M. Langille et son enthousiasme pour l’enseignement, l’Université Laurentienne lui a remis le Prix d’enseignement décerné par la population étudiante en 2016 et le Prix d’excellence en enseignement en 2017. Il a été l’un des tout premiers professionnels de l’enseignement en résidence, avec un accent sur l’apprentissage facilité par la technologie, et s’est joint aussi à l’équipe d’eCampus Ontario en qualité d’associé de l’éducation libre.

En plus d’être lauréat de ces prix, M. Langille est connu dans le Grand Sudbury pour son rôle de chroniqueur technologique à la radio de CBC. Les auditeurs connaissent bien sa voix et apprécient toujours ses discussions, qui abordent des sujets allant des manières de surmonter l’épuisement Zoom à la viabilité de l’application fédérale relative à la COVID-19 en passant par son tatouage de Mega Man.

CITATION
« M. Langille mérite bien cette reconnaissance et nous sommes très chanceux qu’il fasse partie du corps professoral à l’Université Laurentienne. Dans son énoncé de philosophie d’enseignement, il cite M. Bob Solomon : “Afin d’être efficace en enseignement, il faut être à la fois humoriste, vendeur et conseiller.” Mais M. Langille va encore plus loin en faisant preuve d’humour pour faire participer les étudiants à la matière complexe, en encourageant ses collègues à essayer de nouvelles technologies et en préconisant la réussite scolaire aussi bien que le bien-être général des étudiants. » Mme Shelley Watson, professeure et vice-rectrice
associée de l’apprentissage et de l’enseignement, Université Laurentienne

L’Université Laurentienne à 60 ans

L’Université Laurentienne à 60 ans

Un moment pour réfléchir à un passé mouvementé et continuer à viser un avenir meilleur

Aux débuts, en 1960, la Laurentienne n’était qu’une modeste fédération d’universités, mais avant longtemps, les salles, les laboratoires, les amphithéâtres et les terrains de sport résonnaient de toutes sortes de percées, découvertes et victoires. À la croisée de la culture, des arts, des sciences et de la politique, la Laurentienne a évolué de façon à devenir la principale université du Nord de l’Ontario.

Cet automne marque le 60e anniversaire de la Laurentienne, première université du Nord de l’Ontario, et donne l’occasion de réfléchir à son passé mouvementé tout en continuant à viser un avenir meilleur.

À la Laurentienne, en 1986, des leaders autochtones ont reçu et pris en compte les excuses de l’Église unie du Canada, la première de quatre églises à présenter ses excuses officielles pour les crimes commis dans les pensionnats.

À la Laurentienne, à la fin des années 1970 et au début des années 1980, le récit « Sudbury Story » a été rédigé et, sur la scène mondiale, sert d’exemple à suivre en matière de recherche environnementale appuyant les efforts de reverdissement de notre communauté.

À la Laurentienne, au début des années 1970, une révolution culturelle a été déclenchée dans l’Ontario français, d’où émergeaient des établissements comme le Théâtre du Nouvel Ontario et les Éditions Prise de parole, offrant à la communauté une plateforme collective de création et d’inspiration.

Cette année, la Laurentienne est encore entrée dans l’histoire en étant la première université publique au Canada à reconnaître la gravité de la pandémie de la COVID-19, à suspendre les activités en personne et à effectuer une transition complète de l’apprentissage en personne à l’apprentissage à distance. La communauté entière s’est mobilisée pour assurer que la grande majorité des étudiants terminent le trimestre d’hiver 2020 à la date prévue.

La Laurentienne se tourne maintenant vers l’avenir et se fait un champion de recherches qui profiteront grandement à nos collectivités tout en nous orientant dans les 60 prochaines années de notre Université.

Un jour, les historiens raconteront les tours de force de la professeure Jennifer Walker, Ph.D., une Haudenosaunee des Six Nations de la rivière Grand, qui contribue des données probantes aux dirigeants des Premières Nations de l’Ontario alors qu’ils élaborent des politiques de santé face à la COVID-19.

Ils parleront du travail de M. Thomas Merritt, Ph.D., de la Laurentienne, du Dr Gustavo Ybazeta de l’Institut de recherche d’Horizon Santé-Nord, et de la Ville du Grand Sudbury, qui collaborent pour analyser les eaux usées afin de créer un système de détection précoce de la COVID-19.

De plus, ils souligneront les exemples édifiants de leadership des étudiants de la Laurentienne, comme M. Tyler Pretty, qui a fait du bénévolat inlassable pendant le confinement lié à la pandémie afin de livrer des provisions aux personnes qui ne pouvaient pas quitter leur maison, a effectué des tests de dépistage de la COVID-19 auprès du personnel de Glencore et a trouvé le temps encore de contribuer à l’amélioration des services de santé en français dans la communauté.

En amorçant la 60e année de la Laurentienne, jetons un regard respectueux sur les quelque 66 000 diplômés qui laissent leur empreinte un peu partout dans le monde et plus de 9 000 étudiants représentant 75 pays de citoyenneté qui font de notre établissement une destination de choix. Nos diplômés réussissent, profitant des meilleurs taux d’emploi et gagnant les meilleurs salaires parmi leurs homologues en Ontario après l’obtention du diplôme. La Laurentienne se classe également au premier rang pour la croissance du revenu de recherche, mettant en évidence le fait que nos diplômés, notre corps professoral et notre personnel montrent la voie en matière d’économie, de main-d’œuvre et de capital intellectuel en Ontario.

La Laurentienne relève le défi de l’histoire. Nos inscriptions sont conformes aux prévisions, signe important que, malgré les circonstances, les étudiants continuent de rechercher l’Université Laurentienne et d’y faire confiance pour concrétiser leurs objectifs universitaires et vivre la meilleure expérience étudiante possible.

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