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UN VOTE FAVORABLE VEUT DIRE LA REPRISE DU CONTRÔLE

UN VOTE FAVORABLE VEUT DIRE LA REPRISE DU CONTRÔLE

C’est l’occasion de rebâtir la Laurentienne et d’en faire un établissement plus robuste

Tribune libre : Jeff Bangs

(17 août 2022) - Nous y sommes, on arrive à la fin… 

Il s’est déjà écoulé plus de dix-huit mois depuis que l’Université Laurentienne a engagé la procédure prévue par la LACC ouvrant ainsi la voie à un processus long, difficile, souvent conflictuel, qui a contraint notre établissement — et la communauté dans son ensemble — à faire un retour sur ses déficiences passées et à mieux comprendre comment assurer l’avenir de l’Université.
Parfois, je me suis demandé si nous n’avions pas atteint un point de non-retour. Ce n’est pas le cas. 

Lorsque je suis devenu membre du Conseil des gouverneurs, d’abord à titre intérimaire avant d’accepter officiellement le mandat de président au début de l’année, j’étais déterminé à faire en sorte que cette université ne tombe pas dans l’oubli. La raison est simple : la Laurentienne revêt une importance capitale pour Sudbury et l’Ontario, notamment au regard des populations autochtones et francophones qui comptent sur elle pour bénéficier des possibilités de formation locale et adaptées à leur milieu culturel. Elle compte également beaucoup pour les professeurs qui ont consacré leur carrière à la création et au maintien des programmes très appréciés par les étudiants de la région et du monde entier pour se préparer à des emplois d’aujourd’hui et de demain. Son importance est tout aussi immense pour les étudiants qui l’ont toujours privilégiée, un milieu du Nord où il fait bon de poursuivre des études postsecondaires de qualité élevée.      

Nous savons que l’avenir de la Laurentienne doit se faire par le rétablissement de relations fondées sur la confiance, la transparence et le respect mutuel. Nous sommes sur le point de tourner la page — si le Plan d’arrangements est approuvé prochainement à l’issue du vote des créanciers —, clôturant ainsi le chapitre le plus sombre de l’histoire de la Laurentienne, et de passer rapidement à la phase de reconstruction.

Pour y réussir, nous devons instituer des pratiques de gouvernance transparentes et un rôle participatif pour tous nos partenaires. Il y a autant de place pour collaborer avec les représentants syndicaux que pour travailler avec les retraités et les leaders de la communauté, dont la sagesse, l’expérience vécue et le dévouement envers la Laurentienne devraient être accueillis à bras ouverts. Un vote favorable au Plan d’arrangements est le moyen le plus sûr de conclure le processus voulu par la LACC et permettra à l’Université d’en sortir plus forte de son engagement à communiquer ouvertement avec toutes les parties prenantes.

Dernièrement, nous avons annoncé le recrutement de douze (12) professeurs à des postes à durée déterminée, et voulons investir davantage pour étoffer notre effectif professoral. À la suite d’un vote positif, nous trouverons les moyens de travailler ensemble pour augmenter les effectifs inscrits, ce qui nous permettra d’embaucher un complément de professeurs et de personnel. Nous accélérerons aussi le processus consistant à recruter un recteur ou une rectrice et un vice-recteur ou une vice-rectrice aux études et ferons participer toutes les parties prenantes à l’élaboration d’un nouveau Plan stratégique, réaliste et réalisable.

Ensemble, nous mènerons à bien, tant sur le plan du fonctionnement que sur celui de la gouvernance, la réforme nécessaire pour que la Laurentienne puisse se reconstruire et faire en sorte que les groupes de travail, les comités, le Sénat et le Conseil des gouverneurs œuvrent dans un esprit de collégialité et qu’ils se voient offrir la possibilité de contribuer valablement à ces instances de concertation qui nous aideront à façonner l’avenir de la Laurentienne. 

Pour les personnes appelées à voter, il est entendu que les temps présents sont stressants et que les tensions sont, à juste titre, très vives. Cependant, la désinformation qui prévaut actuellement au sein de la communauté, en exploitant les espoirs et les craintes de chacun, à l’exemple du mot d’ordre, « Votez non pour améliorer la donne », fait croire à tort que le rejet du Plan d’arrangements est un pari sans risque. Ce n’est pas le cas. Si le vote de rejet l’emporte, le dénouement le plus probable sera celui où les immenses efforts engagés pour sauver la Laurentienne cèderont la place à sa liquidation. Cela signifie la cessation des activités et, sous ce scénario, personne ne gagne : les emplois seront supprimés, les régimes de retraite dissous et les étudiants dispersés dans d’autres établissements d’enseignement postsecondaire.

Aux personnes qui croient pouvoir tenir bon et attendre une meilleure offre, la Laurentienne n’en a aucune à proposer. La vie suivra son cours et ce grand établissement sera relégué aux oubliettes de l’histoire. Sommes-nous vraiment prêts à voir disparaître la Laurentienne, sous nos yeux, alors que nous sommes si près de la sauver?

Dans sa nouvelle composition, le Conseil des gouverneurs est appelé à se montrer objectif dans son analyse de ce qu’il faudra faire pour sauver cette université. Travaillant sans répit, les membres bénévoles d’horizons et d’expérience de vie très divers en sont venus à proposer le meilleur plan possible et l’ont fait parce que les enjeux tiennent à la survie de la Laurentienne.

Pour les personnes qui doivent se prononcer, je reconnais que vous n’avez pas demandé à vous retrouver face à cette proposition. Toutefois, aussi modeste que vous puissiez juger votre participation à cette décision importante, je tiens à vous assurer que votre voix compte. Méfiez-vous donc des personnes qui voudraient vous faire croire le contraire. Nous vous prions de réfléchir longuement et avec soin aux conséquences d’un vote défavorable, car il pourrait déclencher une chaîne d’événements dont la Laurentienne ne se remettra pas.

En votant « oui », même à contrecœur, vous nous donnez le moyen de reprendre les rênes. En votant ainsi, vous nous donnez la chance de faire que la Laurentienne bénéficie d’un avenir plus prospère, plus solidaire et plus stable sur le plan financier.

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Jeff Bangs, Président du Conseil des gouverneurs de l'Université Laurentienne

L’Université Laurentienne embauchera douze nouveaux professeurs pour une durée déterminée

L’Université Laurentienne embauchera douze nouveaux professeurs pour une durée déterminée

Ce complément d’effectif viendra appuyer de nombreux programmes et écoles.

(le 17 août 2022) - L’Université Laurentienne embauchera douze membres du corps professoral pour une durée déterminée dans diverses unités d’enseignement. Cet investissement contribuera au soutien des programmes d’études et d’apprentissage prévus pour l’année à venir et se prolongera par la suite lors de l’année universitaire 2023.
 
Parmi les programmes et écoles pour lesquels les nouveaux professeurs sont recrutés, il faut souligner :

  • École des relations autochtones
  • Sciences infirmières
  • École des arts libéraux
  • Génie
  • Sciences computationnelles
  • Administration des affaires
  • Bibliothèque et Archives

« Cet investissement dans notre capacité d’enseignement et d’apprentissage améliorera sans aucun doute l’expérience étudiante, a indiqué le président du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne, M. Jeff Bangs. Les étudiants continueront en effet de bénéficier d’un enseignement direct de leurs professeurs au moyen d’un apprentissage personnalisé. 

Les membres du personnel et du corps professoral de l’Université se préparent déjà à accueillir les étudiants dans le cadre des activités d’orientation, qui débuteront le 1er septembre, et lors du premier jour officiel de cours, le 7 septembre 2022.

La liste complète des douze postes de professeur à pourvoir figure à https://laurentienne.ca/carrieres/corps-professoral


 

M. Dominic Beaudry nommé vice-recteur associé à l’enseignement et aux programmes autochtones

M. Dominic Beaudry nommé vice-recteur associé à l’enseignement et aux programmes autochtones

(le 15 août, 2022) - Nous sommes heureux d’annoncer la nomination de M. Dominic Beaudry au poste de vice-recteur associé à l’enseignement et aux programmes autochtones (VRA-EPA), avec entrée en fonction le 1er octobre 2022.

Dans ce rôle, M. Beaudry assurera un leadership dans la promotion, le développement et la mise en œuvre d’initiatives et de programmes appuyant la mission du Conseil de l’Université Laurentienne pour la formation des Autochtones (CULFA) de soutenir l’autodétermination des peuples autochtones. En outre, il assurera l’accès aux étudiants autochtones et appuiera leur persévérance et leur diplomation. Il mettra un accent suivi sur les initiatives et les programmes récents, y compris l’Institut de recherche autochtone Maamwizing et le Centre autochtone de partage et d’apprentissage (hébergeant les Affaires étudiantes autochtones) tout en appuyant l’engagement continu envers la croissance de contenu autochtone dans tous les programmes d’études.

Historien anishnaabe et défenseur de la langue, il a acquis une vaste expérience de la formation des Autochtones et de l’apprentissage stratégique et axé sur la terre. Il a exercé récemment le rôle d’agent d’éducation auprès du ministère de l’Éducation de l’Ontario et, avant cela, d’enseignant et d’animateur culturel et linguistique anishinaabe.

M. Beaudry siège actuellement au CULFA et est membre du comité consultatif des Autochtones du nord-est de Science Nord ainsi que du comité consultatif des programmes généraux en arts et sciences au Collège Cambrian. Il est titulaire de grades en éducation et histoire et, en qualité d’historien anishinaabe, prépare actuellement un doctorat en sciences humaines et interdisciplinarité à la Laurentienne.

Nous tenons à remercier profondément Mme Susan Manitowabi d’avoir pourvu à l’intérim le poste de vice-rectrice associée à l’enseignement et aux programmes autochtones et sommes très reconnaissants aux membres du comité consultatif du temps et de l’énergie qu’ils ont accordés au procédé de recrutement.

En attendant avec intérêt de collaborer avec M. Beaudry, qui apportera des perspectives vastes et profondes en tant que leader autochtone en éducation, nous vous invitons à vous joindre à nous pour l’accueillir à l’Université Laurentienne.

Les camps d’été des Voyageurs attirent la jeunesse locale

Les camps d’été des Voyageurs attirent la jeunesse locale

Les camps renforcent les compétences en leadership et l’esprit d’équipe qui appuient le développement des jeunes.

(le 12 août, 2022) - Les camps d’été des Voyageurs pour les jeunes, gérés par l’équipe du Service des loisirs, constituent des services uniques de garde qui encouragent le développement des jeunes au moyen de diverses activités. Ils ont commencé au début de juillet et sont offerts jusqu’au 3 septembre. Jusqu’à présent, ils ont accueilli des centaines de jeunes qui ont acquis des compétences en leadership et renforcé leur esprit d’équipe.

Le camp d’aventure en plein air et le camp multisports, destinés aux 6 à 13 ans, ont lieu en alternance chaque semaine. Le camp d’aventure en plein air comporte diverses activités, notamment le canotage, le kayak, la pêche, la randonnée pédestre et la formation pour la survie dans la nature (construire un abri, allumer un feu de camp, faire des nœuds, etc.) Le camp multisports offre diverses activités sportives intérieures et extérieures, comme le hockey en salle, le basketball, le soccer, le frisbee ultime, le badminton, le volleyball et le squash.

Les camps des mini-Voyageurs, destinés aux enfants de 4 et 5 ans, ont lieu tout l’été et incluent une combinaison d’activités en plein air et multisports ainsi que d’autres qui favorisent le travail en équipe et la créativité.

Les camps de basketball, de soccer et de baseball font aussi partie des camps d’été des Voyageurs. Ils sont dirigés par des entraîneurs et des athlètes des équipes de la Laurentienne. Les jeunes apprennent les règles et techniques ainsi que les qualités d’un bon joueur d’équipe et l’acceptation de la défaite. Tous les camps se déroulent dans les installations du campus, à savoir des gymnases de pleine grandeur, deux terrains de squash, un terrain de volleyball de plage, une course d’obstacles (appelée la tour Tango), trois terrains de soccer et quatre courts de tennis.

Il est possible d’offrir les camps non seulement grâce au personnel du Service des loisirs, mais aussi aux moniteurs (des étudiants de la Laurentienne) qui encouragent le travail en équipe et la résilience tout en assurant l’environnement le plus sécuritaire possible pour toutes les activités. Les camps acceptent également des bénévoles élèves du secondaire qui apportent de l’aide pour la planification et l’exécution des activités, un excellent moyen pour eux d’accumuler des heures de services communautaires.

Jean Benoit, coordonnateur du Service des loisirs, dit des moniteurs dévoués que ce sont « des étudiants qui sont extrêmement attentionnés et prêts à aider les jeunes. Ils consacrent bien plus d’heures que ce que vous voyez durant la journée. Ils sont patients et travaillent consciencieusement ».

Le travail avec les jeunes participants passionne Shaelynne Wallace, monitrice à un camp des Voyageurs et étudiante dans le programme de Concurrent Education. « Chaque année, j’adore voir les enfants essayer de nouvelles choses, sortir de leur zone de confort, se faire de nouveaux amis et repartir avec des souvenirs. Le travail au camp m’a aidée à penser rapidement, à perfectionner mes compétences en leadership et à apprendre à travailler sur des idées avec différentes personnes. Le travail aux camps d’été est vraiment le meilleur moyen de passer l’été.»

Pour en savoir davantage sur les camps d’été des Voyageurs pour les jeunes, écrivez au coordonnateur du Service des loisirs, Jean Benoit, à campusrec@laurentian.ca, ou visitez le site Web des Voyageurs de l’Université Laurentienne ou leur page Facebook.

Mme Joy Gray-Munro est nommée doyenne de la Faculté des sciences, de génie et d’architecture

Mme Joy Gray-Munro est nommée doyenne de la Faculté des sciences, de génie et d’architecture

Une cadre de longue date de l’Université commence immédiatement ses nouvelles fonctions.

(29 juillet 2022) - Le recrutement à l’échelle nationale d’un doyen ou d’une doyenne de la Faculté des sciences, de génie et d’architecture est maintenant terminé, et l’Université Laurentienne est heureuse de présenter la nouvelle doyenne, Mme Joy Gray-Munro.

Professeure agrégée à la Faculté des sciences, de génie et d’architecture, Mme Gray-Munro est à la Laurentienne depuis près de 20 ans et y a assumé diverses fonctions de dirigeante, notamment :

Leader parmi ses homologues, elle a obtenu le Prix d’excellence en enseignement à plein temps de l’Université Laurentienne en 2018 pour son dévouement envers l’enseignement. Ses recherches sont axées sur la chimie, en particulier la chimie de surface, avec un accent sur la modification de la surface des matériaux d’implants biomédicaux pour en améliorer la biocompatibilité. Elle se concentre surtout sur la conception d’enduits pour contrôler le taux de biodégradation et la biocompatibilité des implants métalliques biodégradables pour les applications orthopédiques.

Mme Gray-Munro a obtenu un doctorat en chimie de l’Université de Western Ontario en 2001 et un baccalauréat en chimie de l’Université Mount Allison. Son travail de doctorat consistait à modifier la surface de polymères biomédicaux pour leur donner des propriétés antibactériennes. Elle a fait des stages postdoctoraux au Conseil national de recherches et à l’Université de New Brunswick avant de devenir membre du corps professoral de l’Université Laurentienne en 2003.

Mme Gray-Munro entrera officiellement en fonction le 1er août 2022. L’Université remercie M. Dean Millar qui a été le doyen intérimaire depuis décembre 2020 de ses nombreuses contributions.

L’Université Laurentienne accueille des élèves d’écoles secondaires au Canada pour un programme bilingue et triculturel d’été

L’Université Laurentienne accueille des élèves d’écoles secondaires au Canada pour un programme bilingue et triculturel d’été

Shad Canada donne aux jeunes les outils requis pour relever des défis grâce à des solutions fondées sur les STIAM.

(le 28 juillet, 2022) - Du 3 au 29 juillet, une cohorte de 56 élèves canadiens de 10e et de 11e années s’affairent à participer au programme de 27 jours de Shad Canada sur le campus de l’Université Laurentienne. La Laurentienne est l’une de 21 universités hôtes au Canada à s’allier à Shad Canada, organisme sans but lucratif qui transmet aux jeunes les outils qu’il leur faut pour adresser des défis sociaux et économiques sous une optique de STIAM (sciences, technologie, ingénierie, arts et mathématiques) et d’entrepreneuriat.
 
« Des élèves de presque toutes les provinces participent au programme cette année, a expliqué le codirecteur de Shad à la Laurentienne, Christian Laforge. Les jeunes sont talentueux et hétérogènes. Certains sont des athlètes classés sur les plans provincial ou national tandis que d’autres sont d’excellents musiciens ou des gagnants d’expo-sciences nationales. » Beaucoup d’élèves y font leur première expérience loin de chez eux pour une longue période.

Les participants (appelés « Shads ») s’immergent complètement dans le programme en logeant en résidence sur le campus de la Laurentienne. Dans le cadre d’un programme d’activités soigneusement planifié, ils assistent à des cours magistraux et à des ateliers, participent à des excursions en canoë et à des aventures de camping et écoutent des enseignements autochtones grâce à l’identité triculturelle de la Laurentienne. En juillet, 18 des 21 établissements partenaires de Shad Canada ont offert le programme et la Laurentienne est la seule proposant une expérience bilingue.

Bien que l’enrichissement scolaire et culturel sous l’optique entrepreneuriale et des STIAM soit au cœur de Shad à la Laurentienne, la promotion d’un sentiment communautaire l’est aussi. Ainsi, les Shads sont allés faire des visites un peu partout dans le Grand Sudbury, y compris aux collèges Boréal et Cambrian, à Terre dynamique, à Science Nord, à l’Université de l’EMNO et même à un marché des fermiers. Une subvention du Fonds de soutien aux événements du secteur de tourisme et de culture de la Ville du Grand Sudbury a aidé à financer de la programmation axée sur le bien-être de Shad à la Laurentienne.

« La Ville du Grand Sudbury et Tourisme Sudbury sont fiers d’appuyer ce programme apportant des apprentissages transformateurs aux élèves de partout au Canada, a dit le maire du Grand Sudbury, Brian Bigger. Le programme de Shad offre une expérience inégalée qui permet aux élèves de s’initier aux STIAM et à l’entrepreneuriat tout en explorant le milieu d’apprentissage avoisinant dans le Grand Sudbury. » La semaine dernière, le maire Bigger est allé sur le campus de la Laurentienne pour rencontrer les Shads.

Alors que le programme de Shad à la Laurentienne 2022 se termine cette semaine, les Shads ont la chance aujourd’hui de faire valoir ce qu’ils ont appris et le plus apprécié de cette expérience en participant à une journée d’activités libres.

« C’est un merveilleux groupe de jeunes, a exprimé le codirecteur de Shad à la Laurentienne et professeur titulaire, Thomas Merritt, Ph.D. Durant les trois dernières semaines, nous les avons vus explorer leurs intérêts dans les domaines de STIAM, travailler en équipes, poser des questions et formuler des solutions. L’énergie et l’enthousiasme dont ils font preuve sont contagieux. »

L’équipe de Shad à la Laurentienne prévoit de nombreuses années de réussite dans le cadre de son partenariat avec Shad Canada. Le programme offre non seulement une possibilité pédagogique sans pareil aux élèves du palier secondaire dont les études à la Laurentienne pourraient intéresser, mais embauche aussi plusieurs anciens et étudiants de l’Université.

« Shad Canada se réjouit de compter l’Université Laurentienne parmi les établissements offrant un programme en personne en 2022, a dit la directrice des programmes nationaux de Shad Canada, Leanne O’Donnell. La Laurentienne offre une expérience triculturelle exceptionnelle à nos participants pancanadiens. »

Pour obtenir des renseignements sur les futures possibilités offertes dans le cadre de Shad à la Laurentienne, veuillez communiquer avec Christian Laforge à christian.laforge@laurentienne.shad.ca ou Thomas Merritt à thomas.merritt@laurentienne.shad.ca
 

Un diplômé du doctorat à la Laurentienne, Xuyang Meng, est lauréat d’une Médaille d’or de la gouverneure générale

Un diplômé du doctorat à la Laurentienne, Xuyang Meng, est lauréat d’une Médaille d’or de la gouverneure générale

Un tour de force fondé sur le travail ardu, la résilience et l’honneur.

(27 juillet, 2022) – Le chercheur postdoctoral et diplômé de l’Université Laurentienne, M. Xuyang Meng a reçu la prestigieuse Médaille académique d’or de la gouverneure générale pour les études supérieures. M. Meng a préparé son doctorat en géologie économique sous les auspices du programme de gisements minéraux et géologie précambrienne à la Laurentienne, pour mieux saisir la formation de gisements de cuivre porphyrique au début de l’ère précambrienne. Créées en 1873, les Médailles académiques du gouverneur général encouragent l’excellent rendement scolaire dans tout le Canada et sont décernées tous les ans aux paliers secondaire, collégial, de premier cycle et des cycles supérieurs aux étudiants ayant les notes les plus élevées en terminant les études.

Proposé pour ce prix par l’École des sciences de la Terre Harquail, M. Meng se dit honoré et touché d’être nommé lauréat. « Je suis reconnaissant de l’encouragement, des conseils et de l’aide que j’ai reçus de mes superviseurs et collègues à la Laurentienne, des conseilleurs du comité de doctorat et de collaborateurs partout dans le monde, a-t-il expliqué. Ce prix m’est précieux, car il souligne tous nos efforts. »

Tout au long de ses études, M. Meng a fait preuve de ténacité et de persévérance. Il a amorcé ses études postsecondaires à Beijing, en Chine, où il a préparé un B.Sc. en géologie (2013) et une M.Sc. en minéralogie, pétrologie et géologie des gisements minéraux (2016). Il est ensuite venu au Canada pour faire ses études de doctorat en géologie économique à l’Université de l’Alberta, où il a collaboré étroitement avec son superviseur du corps professoral, M. Jeremy Richards, Ph.D.

En 2017, M. Richards a reçu l’offre d’une Chaire de recherche du Canada (niveau I) à la Laurentienne. Pour cela, et puisque M. Meng s’intéressait au programme de gisements des minéraux et de géologie précambrienne, les deux ont déménagé à Sudbury. « Il y a tellement d’excellents professeurs, a décrit M. Meng avec confiance, et le programme me permettait d’examiner les processus géologiques des temps anciens quand les gisements minéraux étudiés ont été formés, ce que je trouvais bien intéressant. »

Malheureusement, M. Richards est décédé en 2019 au terme d’une lutte contre le cancer. « J’ai été bouleversé par cette triste nouvelle inattendue, a dit M. Meng, et envisageais la possibilité d’abandonner mon doctorat. » Par contre, avec M. Richards à l’esprit, il a persévéré et renforcé sa passion pour la recherche. « Je voulais poursuivre les projets que nous avions commencés et atteindre nos objectifs. Je voulais faire cela pour Jeremy. » La perspicacité et les contributions de M. Richards, même après sa mort, ont aidé M. Meng à parachever avec succès ses études de doctorat. « Je suis vraiment reconnaissant des possibilités de recherche qu’il m’a ouvertes. Il était un brillant superviseur et chercheur qui connaissait à fond les gisements de cuivre porphyrique. »

Après son décès, les collègues de M. Richards à la Laurentienne ont assuré la relève auprès des étudiants qu’il supervisait. « J’avais de la chance d’être à la Laurentienne, a exprimé M. Meng, car il y avait toujours quelqu’un pour m’aider à franchir les obstacles. Je n’aurais pas su surmonter les difficultés sans l’appui de nombreuses personnes sympathiques de l’École Harquail et de la Laurentienne. » Les principaux membres du corps professoral qui ont prêté un soutien à M. Meng sont MM. Daniel Kontak, Pedro Jugo et Ross Sherlock. M. Adam Simon (avec qui M. Meng collabore actuellement pour ses recherches postdoctorales à l’Université du Michigan) et M. Jingwen Mao (qui a dirigé sa thèse de maîtrise) l’ont aussi appuyé.  

M. Meng a de solides aspirations et continue d’être emporté par son enthousiasme pour les découvertes scientifiques. « J’ai gagné de la confiance dans mon domaine depuis mon arrivée au Canada, a-t-il déclaré, en ayant rencontré beaucoup d’éminents géologues, comme Jeremy, Dan, Adam, Pedro et Ross, préparé mon doctorat et reçu maintenant la Médaille d’or de la gouverneure générale. » À l’avenir, il a hâte d’apporter des contributions qui aideront à combler l’écart en matière d’études géologiques existant entre divers pays du monde.

« J’espère pouvoir continuer de contribuer à notre société de façon importante sur le plan scientifique. »
 

L’Université Laurentienne dépose un Plan d’arrangements

L’Université Laurentienne dépose un Plan d’arrangements

Le Plan rapproche l’Université de l’issue positive de la procédure en vertu de la LACC.

Sudbury ON, 21 juillet 2022 - L’Université Laurentienne a franchi une étape marquante de sa restructuration aujourd’hui avec le dépôt de son Plan d’arrangements à la Cour supérieure de justice de l’Ontario. Ce Plan est le fruit de plus de dix-huit mois de collaboration durant la procédure en vertu de la LACC avec ses créanciers, ses dirigeants syndicaux et ses principales parties concernées, et rapproche grandement l’Université de la fin de la protection de la LACC. 

La Laurentienne demandera le 28 juillet 2022 une ordonnance l’autorisant à convoquer une réunion des créanciers qui aura lieu le 14 septembre 2022 afin de voter sur le Plan. Si les créanciers approuvent le Plan à cette réunion, la Laurentienne demandera une autre ordonnance le 5 octobre 2022 pour mettre le Plan en œuvre lorsque certaines conditions auront été remplies. Après la mise en œuvre du Plan, la restructuration en vertu de la LACC prendra fin et la Laurentienne en émergera financièrement plus viable et sur une voie solide vers le succès. 

« Nous sommes heureux de confirmer que les documents déposés aujourd’hui permettront à l’Université de repartir à zéro, restructurée et sur une voie claire vers la viabilité financière, a affirmé le président du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne, M. Jeff Bangs. Cette issue est le fruit de dix-huit mois de dialogue productif avec nos parties concernées dont le but commun est de veiller à ce que l’Université Laurentienne continue de fonctionner pendant des années en tant qu’élément essentiel du tissu et de l’économie du nord de l’Ontario. » 

« Nous sommes reconnaissants du soutien continu du ministère de Collèges et Universités et de la participation active de tous nos partenaires tout au long de la restructuration, a ajouté M. Bangs. Cette étape marquante envoie un solide message à la population étudiante actuelle et future, à notre personnel et à notre corps professoral dévoués, à tous les membres de la communauté de la Laurentienne et à la population du Nord. Nous sommes convaincus que nous pourrons émerger de la restructuration plus forts qu’auparavant et envisageons l’avenir avec un optimisme renouvelé. 

Le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne annonce la transition à la haute direction de l’Université

Le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne annonce la transition à la haute direction de l’Université

Le recteur et la vice-rectrice aux études prennent leur retraite

Sudbury ON, 21 juillet 2022 – Dans le cadre des documents touchant le Plan d’arrangements soumis aujourd’hui à la Cour supérieure de justice de l’Ontario, l’Université Laurentienne a annoncé le départ à la retraite de M. Robert Haché, recteur et vice-chancelier, et de Mme Marie-Josée Berger, vice-rectrice aux études, avant la fin du processus lié à la LACC. Un recteur et un vice-recteur par intérim seront nommés, et le processus officiel de recrutement d’un recteur permanent, en consultation avec la communauté de la Laurentienne, débutera.

« Nous apprécions grandement le leadership et les contributions de M. Haché et de Mme Berger à la Laurentienne, a déclaré le président du Conseil des gouverneurs, M. Jeff Bangs. Leurs conseils et leur détermination ont été indispensables durant la période la plus difficile de notre histoire. » 

« À ce moment décisif pour l’Université Laurentienne, je laisse mes fonctions de recteur avec énergie et optimisme pour l’avenir, a dit M. Haché. J’ai abordé mon rôle avec des priorités claires : apprendre de la communauté de la Laurentienne, mener à bien le processus de restructuration lié à la LACC et remettre notre université sur la voie vers un avenir riche sur le plan de l’enseignement et de la recherche, culturellement diversifié et financièrement sain. Cela a été un honneur de servir cette magnifique université. » 

« Même si nous avons encore beaucoup de chemin à faire, a indiqué M. Bangs, l’optimisme règne à nouveau au Conseil qui travaille avec la communauté et ses partenaires communautaires pour protéger et faire avancer la mission unique de la Laurentienne en tant qu’établissement bilingue et triculturel du nord de l’Ontario. »

Une bienfaitrice donne 200 000 $ pour soutenir les programmes de l’École d’éducation

Une bienfaitrice donne 200 000 $ pour soutenir les programmes de l’École d’éducation

Wyona Thompson fait un don important à titre posthume pour aider la population étudiante.

28 juin 2022 - L’École d’éducation a reçu un nouveau don de 200 000 $ au nom de Wyona Thompson, une diplômée de l’Université Laurentienne, qui est décédée en juin 2021. Ce don servira à aider la population étudiante à plein temps des programmes de baccalauréat en éducation en anglais et en français. Le « Fonds Wyona Thompson » permettra de créer des bourses d’études qui récompenseront le rendement scolaire et des bourses d’aide pour des étudiants dans le besoin. Il apportera aussi du soutien pour le voyage à des stagiaires placés en dehors de la région du Grand Sudbury, de préférence dans les régions insuffisamment servies du Nord.

« Ces fonds apporteront directement un appui important à notre population étudiante, a affirmé la doyenne de la Faculté de l’éducation et de la santé, Céline Larivière. Ils permettront aussi aux stagiaires de séjourner dans des localités du Nord qui manquent actuellement d’éducateurs, ce qui sera profitable tant pour les stagiaires que pour les communautés. »

Wyona et son défunt époux, Ollan White, croyaient fermement au pouvoir transformateur de l’éducation. Ayant eux-mêmes été enseignants à Sudbury, Petawawa et Kingston, ils seraient fiers de savoir que ce don aidera la prochaine génération d’éducateurs au fil de leur parcours.

« Nos diplômés montrent la voie en innovant dans les salles de classe, en améliorant le bien-être des enfants et en renforçant les communautés, a ajouté Mme Larivière. Les enseignants sont des modèles pour les enfants. Le don de Wyona aidera la population étudiante en éducation à effectuer des stages dans des écoles de communautés éloignées et insuffisamment servies où les modèles positifs auront un effet important et durable sur les jeunes. »

Les nouveaux fonds commenceront à aider la population étudiante au cours de l’année universitaire 2022-2023.

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