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L'École d'Architecture : vitrine du bois lamellé-croisé

L'École d'Architecture : vitrine du bois lamellé-croisé

27 août, 2012 - Le gouvernement de l’Ontario et le Centre for Research and Innovation in the Bio-Economy (CRIBE), une nouvelle initiative de la province, entendent investir 350 000 $ pour aider à financer l'incorporation de la technologie du bois lamellé-croisé (CLT) dans la construction de l'École d'architecture de l'Université Laurentienne, une subvention qui fera de l'École la première vitrine importante du bois lamellé-croisé dans le secteur du bâtiment public en Ontario.

Produit d'ingénierie innovateur, le bois CLT est fabriqué par collage et pressage de planches successives d'épicéa, de pin ou de sapin (mesurant 2 x 4 ou 2 x 6) pour former de grands blocs ou panneaux solides qui peuvent être taillés avec précision à des fins spécifiques. Les produits du bois manufacturé en CLT peuvent servir de murs, de planchers et de panneaux de toiture dans la construction de bâtiments. La construction en CLT est maintenant largement adoptée en Europe et se voit de plus en plus dans de hautes structures en bois érigées aux États-Unis et en Colombie-Britannique.

« Les possibilités du CLT sont vraiment intéressantes du point de vue architectural, a déclaré le directeur fondateur d’Architecture Laurentienne, M. Terrance Galvin (Ph.D.). Cette innovation dans les matériaux cadre parfaitement avec notre parti pris pour les techniques de construction écologiques et durables, ainsi que notre engagement envers le design nordique et canadien. »

« Nous sommes ravis du soutien que le CRIBE apporte à cette initiative avant-gardiste, a déclaré la vice-rectrice à l’administration, Mme Carol McAulay. Nous voulions que l'École d'architecture de la Laurentienne éveille une future génération de concepteurs et d'architectes, et ce généreux investissement nous aidera à traduire cette vision dans les faits. »

En annonçant cet investissement aujourd'hui, le ministre du Développement du Nord et des Mines et député de Sudbury, M. Rick Bartolucci, l'a qualifié de « grande impulsion non seulement pour l'École d'architecture de la Laurentienne, mais aussi pour le secteur forestier de l'Ontario. »

« Notre gouvernement, a-t-il ajouté, continuera à travailler pour soutenir cet important secteur. Pour les producteurs et fabricants de bois d'œuvre dans le nord de l'Ontario et au-delà, il s'agit là de bonnes nouvelles alors que nous explorons des techniques nouvelles et innovatrices pour ouvrir le bois et les produits du bois à valeur ajoutée à d'autres utilisations. »

CRIBE, un organisme sans but lucratif, a été créé par le gouvernement de l'Ontario pour favoriser la commercialisation des produits forestiers de l'industrie dans la province.

La subvention du CRIBE permettra d'acheter des matériaux de CLT et aidera à prendre en charge les honoraires de l'équipe d'experts-conseils, dont des experts en code du bâtiment, chargée d'élaborer des stratégies propres à détailler et à faire approuver la section à deux étages de l'École d'architecture de la Laurentienne qui ouvrira ses portes à l'automne 2015.

Les dessins schématiques actuels, réalisés par Levitt Goodman Architects, montrent l'aile ouest de la nouvelle structure, comprenant la salle de classe, la salle de conférences et la bibliothèque, qui sera construite en CLT. Une grande partie de la structure de 12 000 pieds carrés serait exposée avec vitrage transparent, sans rideau, ce qui préservera l'intégrité du projet architectural. Le résultat sera, selon les architectes « un bel usage du bois, créant une ambiance chaleureuse acoustiquement tempérée ».

« Nous sommes très heureux de faire équipe avec le CRIBE et de pouvoir faire valoir le CLT au sein d'une école d'architecture construite à dessein, a indiqué l’architecte principale, Mme Janna Levitt. Nous espérons également que ce projet de démonstration éveillera l'intérêt dans le développement de la production locale du produit. »

CRIBE est le seul bailleur de fonds du projet de démonstration du bois dans le cadre de la construction de l'École d'architecture de la Laurentienne. La nouvelle École, la première à être construite au Canada depuis plus de 40 ans, a également reçu des fonds importants provenant du Fonds du patrimoine du Nord de l'Ontario, de la Société de développement économique du Grand Sudbury, de TD Assurance Meloche Monnex et de l'organisation représentant les entreprises et les fournisseurs de services au centre-ville de Sudbury.

Les dons à l'École d'architecture de la Laurentienne serviront à financer des bourses d'études et d'aide et à se procurer des logiciels à la fine pointe et des ressources nécessaires aux projets conception-construction dans la collectivité.

Margaret Atwood revient à Sudbury pour sa fête d'anniversaire

Margaret Atwood revient à Sudbury pour sa fête d'anniversaire

20 août, 2012- Encore cette année, l’Université Laurentienne accueillera l’écrivaine, critique et poète canadienne Margaret Atwood à l’occasion de son anniversaire, que l’on soulignera avec un dîner gala et un spectacle en son honneur.  

L’événement aura lieu le mardi 13 novembre 2012, dans la Caverne Vale Inco à Science Nord, et inclura une lecture par Mme Atwood de sa collection de nouvelles à paraître cet automne.  

Cette année, il y aura aussi une présentation multimédia du renommé Debajehmujig Theatre Group, de l’île Manitoulin, intitulée « My Cousin’s Cousin’s Cousin, Margaret Atwood », dont la création a été commandée tout particulièrement pour cet événement.  

Une tranche des sommes recueillies lors de la soirée aidera à établir le Centre autochtone de partage et d’apprentissage à l’Université Laurentienne.  

Puisque le Département d’anglais célèbre depuis 2004 l’anniversaire de l’écrivaine canadienne la plus estimée et ses œuvres, cet événement est devenu une constante automnale à l’Université Laurentienne. En effet, en 2009, Mme Atwood a souligné son 70e anniversaire à l’UL, célébration pendant laquelle elle a dirigé une dramatisation théâtrale de son roman The Year of the Flood. La Fête d'anniversaire 2011 a vu créer le Fonds de bourses d'études Margaret Atwood à l’intention de la population étudiante tant dans les humanités que les sciences et une partie des recettes de cette année y sera également versée.  

Les billets pour la soirée sont en vente au coût de 70 $ la personne, dont une partie fera l'objet d’un reçu aux fins de l’impôt.  

Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec Mme Susan Glover (sglover@laurentienne.ca) ou Mme Shannon Hengen (shengen@laurentienne.ca)

L'UL recrute un universitaire de haut calibre

L'UL recrute un universitaire de haut calibre

8 août, 2012 - L’Université Laurentienne a annoncé que M. Wayne Warry, Ph. D., exercera les fonctions de directeur du Centre de recherche en santé dans les milieux ruraux et du nord (CReSRN) à compter du 1er septembre 2012.

Le Centre de recherche en santé dans les milieux ruraux et du nord (CReSRN) est un organisme d'études et de recherches appliquées situé aux universités Laurentienne, à Sudbury, et Lakehead, à Thunder Bay, en Ontario. Le Centre a pour mission d'effectuer des recherches interdisciplinaires sur les soins de santé dans les milieux ruraux avec l'intention d'améliorer les services de santé et l’accès à ceux-ci, surtout dans les régions rurales et du nord, et de parvenir à une meilleure compréhension du système de prestation de soins de santé.

 « Nous sommes heureux d’accueillir M. Warry au sein de la communauté universitaire, a dit M. Patrice Sawyer, vice-recteur aux affaires francophones, à la recherche et aux études supérieures à l’Université Laurentienne, car il nous aidera sûrement à concrétiser les objectifs en matière de santé et de mieux-être énoncés dans notre Plan stratégique de recherche. Sa vision du CReSRN a impressionné le comité et, grâce à plusieurs projets actuels de recherche auprès des communautés autochtones, il comprend bien la nécessité de mobiliser la communauté de façon significative tout comme l’importance d’un engagement envers la recherche participative. »

Ayant fait carrière à l’Université McMaster pendant plus de 20 ans, où il a été professeur et directeur du Département d’anthropologie, M. Warry est titulaire d’un doctorat en anthropologie de l’Australian National University (ANU) ainsi que d’une maîtrise et d’un B.A. spécialisé (avec très grande distinction) en ce domaine de l’Université McMaster.

« Je me réjouis à la possibilité de contribuer aux activités du CReSRN et à l’essor de la réputation qu’il s’est déjà forgée dans la recherche en santé appliquée, a dit M. Warry, et d’élaborer, en collaboration avec les chercheurs du Centre, de nouveaux programmes de recherche pour améliorer la prestation des services de santé aux populations des milieux ruraux et éloignés, tout en rehaussant la santé des gens du nord de l’Ontario. »

Pour consulter le Plan stratégique de recherche 2012-2017 de l’Université Laurentienne, veuillez appuyer sur Plan stratégique de recherche

Du hockey interuniversitaire à l'Université Laurentienne pour la saison 2013

Du hockey interuniversitaire à l'Université Laurentienne pour la saison 2013

5 juillet, 2012 - L'Université Laurentienne amorcera bientôt le processus de sélection des entraîneurs en chef des équipes masculine et féminine de hockey interuniversitaire en prévision de la saison 2013, processus qui a reçu le feu vert à la suite de l'approbation officielle du budget pluriannuel de l'Université par le Conseil des gouverneurs de la Laurentienne le 22 juin.

« Les entraîneurs en chef constituent la pièce maîtresse de notre projet de mettre sur pied deux équipes interuniversitaires à succès, a déclaré M. Peter Hellstrom, directeur du Service des sports interuniversitaires. Ce projet s'imposait depuis longtemps et nous sommes très enthousiastes en ce qui concerne notre cheminement d'ici la mise en jeu de la rondelle en 2013. »

Si la prochaine saison des SUO marque les débuts du hockey féminin à l'Université Laurentienne, pour le hockey masculin et les Voyageurs, il s'agira plutôt de la reprise des matches après un hiatus de treize ans. L'équipe tentera donc de repartir forte de son héritage glorieux et comportant des joueurs et entraîneurs remarquables. Sur la glace, M. Denis Castonguay est l'un des talents les plus connus parmi les nombreux anciens du hockey. Membre des Voyageurs de 1983 à 1988, M. Castonguay détient toujours les records des SUO pour les points en carrière (265), les buts en carrière (124), les points en une saison (72) et les buts en une saison (35). Derrière le banc, M. Jack Porter, souvent cité parmi les beaux fleurons de l'histoire des Voyageurs, a été entraîneur en chef de la création de l’équipe en 1962 jusqu’à 1973, puis de 1970 à 1980. Durant son mandat, les Voyageurs ont participé à sept championnats de conférence et au match de championnat de l'USIC en 1967. MM. Castonguay et Porter sont membres du Panthéon des Voyageurs.

« Le retour du hockey interuniversitaire, estime le chef de cabinet à l’Université Laurentienne, M. Chris Mercer, a de quoi enthousiasmer les étudiants, la communauté universitaire, et nous croyons qu'il représente aussi pour la Ville un événement de grande importance. Nos athlètes ont eu beaucoup de succès ces dernières années, et nous sommes très fiers de voir le hockey interuniversitaire revenir par la grande porte. »

Selon M. Hellstrom, le groupe d’entraîneurs jouera un rôle décisif non seulement dans le recrutement et le développement des joueurs, mais aussi dans la promotion du hockey au sein de la collectivité en général. « Nos entraîneurs seront des mentors et promoteurs du hockey à tous les niveaux, dit-il, à la fois dans les écoles et les camps, et nous avons l'intention de rétablir sur la glace la marque des Voyageurs grâce à l'excellence de ce groupe. »

Interrogé sur les objectifs des équipes, M. Hellstrom a déclaré : « Nous allons être compétitifs dès le premier match, car nous nous efforcerons d’attirer les meilleurs talents dans le monde du hockey universitaire. »

Pour suivre l'évolution du programme de hockey et le parcours des Lady Vees et des Voyageurs, consultez www.luvoyageurs.com.

L'UL approuve un budget pluriannuel ambitieux

L'UL approuve un budget pluriannuel ambitieux

25 juin. 2012 - Le Conseil des gouverneurs de l'Université Laurentienne a approuvé aujourd’hui à l’unanimité un budget équilibré de 132 100 000 $ pour 2012-2013 ainsi qu’un budget pluriannuel jusqu’à 2017-2018 pour arriver aux résultats prévus dans le Plan stratégique quinquennal de l'Université. Ce plan a été présenté au Conseil des gouverneurs à la suite de larges consultations organisées en 16 séances auxquelles ont participé plus de 300 membres de la population étudiante, du corps professoral et du personnel à Sudbury et à Barrie.

« Nous avons aligné notre budget sur les principaux objectifs et aspirations de l'Université et investissons dans les programmes d'études de haute qualité, l'excellence de la recherche et les soutiens aux étudiants, a déclaré le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux. Notre ambition est de concrétiser les résultats établis dans nos trois plans (stratégique, enseignement et recherche) et de garder le cap. »

Aperçu des investissements accrus notables :

  • 42,6M$ pour la nouvelle École d’architecture;
  • 35 M$ à l'appui des projets de modernisation du campus à Sudbury (y compris la nouvelle conception des salles de classe, de nouveaux espaces de collaboration, les services aux étudiants à guichet unique et un nouveau centre d'accueil à l'entrée de la porte principale);
  • 7,9 M$, d'ici 2017-2018, pour assurer des travaux d'entretien différé;
  • 6 M$ pour la rénovation de la Résidence des étudiants célibataires (REC);
  • 4,1 M$, d'ici 2017-2018, pour favoriser l'agrément international de la Faculté de gestion;
  • 2,8 M$, d'ici 2017-2018, pour relancer dès l'automne 2013 le hockey masculin et mettre sur pied une équipe féminine;
  • 2,1 M$, d'ici 2017-2018, pour lancer l'École des mines;
  • 2 M$ pour moderniser les services d'alimentation sur le campus, y compris la mise en place d'un nouveau café Starbucks cette année et la rénovation complète du Grand Salon en 2013;
  • 1,8 M$, d'ici 2017-2018, pour offrir au personnel plus de possibilités de formation et de perfectionnement professionnel;
  • 1,4 M$, d'ici 2017-2018, pour améliorer les services offerts par l'intermédiaire du Centre d'excellence universitaire;
  • 1,05 M$, d'ici 2017-2018, pour assurer le financement complet des travaux de construction du Centre autochtone de partage et d'apprentissage, améliorer les pratiques d'embauche proactives de membres autochtones du corps professoral et du personnel autochtone et accroître le contenu autochtone des cours.

Le plan, qui appelle à un surcroît d'effectifs de 1 150 étudiants d'ici 2017-2018, veut aussi que l'Université y parvienne tout en augmentant la moyenne à l'admission, de 81 à 83 %, ainsi que sa population étudiante internationale, autant par le nombre que par le pays d'origine.

Les opérations à Barrie sont neutres à l'égard des revenus dès l'année 2012-2013, ce qui se traduit par un investissement accru de 0,8 M$, y compris trois nouveaux membres du corps professoral pour appuyer l’expansion des programmes et le poste de vice-recteur associé à l’administration et aux relations extérieures. L’Université a mis en gage 14 000 000 $ pour le nouveau campus au centre-ville de Barrie, somme que le conseil municipal de Barrie a égalée.

Le budget prévoit d'affecter des crédits importants au renouvellement du corps professoral et du personnel. Pour 2012-2013, les principaux postes à pourvoir incluent une Chaire de recherche du Canada en géochimie, une Chaire de recherche du Canada en microbiologie environnementale, une Chaire de recherche en santé et sécurité au travail, 20 autres professeurs, plus de conseillers à temps plein, un technologue supplémentaire à l'École de génie Bharti, le directeur général de l'École des mines et du personnel supplémentaire pour assurer la sécurité sur le campus de Sudbury, se charger des projets de marketing et d'immobilisations et exercer à Barrie des fonctions administratives et touchant le recrutement d'étudiants.

« Nous sommes, estime la vice-rectrice à l’administration, Mme Carol McAulay, l'une des rares universités canadiennes à avoir une situation financière solide. Nous prévoyons des budgets équilibrés, au moins, pour les six années à venir, et avons un régime de retraite solvable ainsi que de faibles ratios d'endettement à long terme. Cette situation nous permet de procéder à de nombreux investissements qui changeront la donne. Nous vivons à la Laurentienne des moments vraiment passionnants. »

L'UL accueille des étudiants de Gujarat, en Inde

L'UL accueille des étudiants de Gujarat, en Inde

14 juin, 2012 - L’Université Laurentienne recevra une centaine d’étudiants de la Gujarat Technological University, à Ahmedabad, en Inde, qui suivront des cours sur le campus de Sudbury.  

Cette semaine, plusieurs groupes d’étudiants arriveront sur le campus pour entamer, dès le lundi 18 juin, des programmes d’études de six semaines en informatique et biochimie.  

Leur visite marque le lancement du Programme d’expérience mondiale de la Laurentienne en collaboration avec la Gujarat Technological University, établissement postsecondaire offrant des programmes menant au diplôme ou au grade en génie, pharmacie, gestion et applications sur ordinateur. L’une des villes qui prend le plus d’expansion en Inde, Ahmedabad est le carrefour administratif de l’état du nord-ouest de Gujarat.  

« Nous nous réjouissons à la perspective de procurer des avantages, grâce à cette collaboration, tant aux étudiants de Gujarat que ceux de la Laurentienne, a dit M. Vasu Appanna, doyen de la Faculté des sciences et de génie. D’une part, ces étudiants étrangers accumuleront des crédits qui seront reconnus dans leur programme d’études tout en profitant d’une expérience d’immersion canadienne. D’autre part, la Laurentienne cultivera des liens qui favoriseront un jour des possibilités d’études supérieures et d’échanges du corps professoral. »  

Pendant leur séjour de six semaines, les étudiants participeront à des visites guidées et à des activités à Sudbury, y compris les divers festivals d’été, ainsi que des voyages à Ottawa et aux chutes Niagara, mettant en valeur la culture et le paysage canadiens. Ils logeront dans la Résidence du Collège universitaire de l’Université Laurentienne.  

« Depuis des mois, nous discutons avec nos collègues à la Gujarat Technological University afin de peaufiner cette expérience d’apprentissage exceptionnelle, a indiqué M. Kalpdrum Passi, coordonnateur du Programme d’expérience mondiale et directeur du Département de mathématiques et d’informatique à la Laurentienne. Nous sommes ravis d’accueillir ces étudiants pendant un magnifique été nord-ontarien et de leur faire connaître tout ce qu’offre la Laurentienne. » 

Chef d’antenne à TVO, M. Steve Paikin s’adressera aux diplômés de la Laurentienne

Chef d’antenne à TVO, M. Steve Paikin s’adressera aux diplômés de la Laurentienne

8 juin, 2012 - Journaliste, auteur et réalisateur de documentaires, M. Steve Paikin recevra aujourd’hui un doctorat ès lettres honoris causa de l’Université Laurentienne. M. Paikin est chef d’antenne-directeur principal de l’émission d’actualité The Agenda with Steve Paikin à TVO. Depuis 20 ans, il réalise et anime des émissions pour le télédiffuseur éducatif de l’Ontario.

« M. Paikin marie une grande intelligence et un esprit fin et investigateur à une passion tant pour la politique que l’intérêt public, a indiqué M. Floyd Laughren, président du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne et ex-vice-premier ministre de l’Ontario. Pendant ma vie politique, j’ai souvent eu à répondre aux questions judicieuses de cet homme respectueux et juste. »

M. Paikin a présidé à cinq reprises les débats des candidats aux élections fédérales et provinciales et a rédigé trois livres sur la politique canadienne.

Il est aussi réalisateur de nombreux documentaires long métrage, y compris le film primé Return to the Warsaw Ghettoet A Main Street Man, au sujet de M. Bill Davis, ex-premier ministre de l’Ontario.

M. Paikin est le mari de Francesca Grosso, originaire de Sudbury, fille de feu Roberto Grosso, ex-président du Conseil des gouverneurs à l’Université Laurentienne.

« Nous sommes fiers de rendre hommage à M. Steve Paikin et de l'accueillir dans la famille Laurentienne, a dit M. Dominic Giroux, recteur et vice-chancelier de l'Université Laurentienne. Son engagement envers la mobilisation des citoyens grâce à des émissions éducatives est inspirant et sa réputation en qualité de journaliste est exceptionnelle, faisant de lui un lauréat bien méritant d'un doctorat honorifique ès lettres. »

En tant qu'organisme de médias éducatifs financé par le gouvernement de l'Ontario, TVO est une source éprouvée de contenu pédagogique interactif qui informe, inspire et stimule la curiosité et la réflexion. Grâce aux médias éducatifs, TVO vise à habiliter les gens afin qu’ils soient des citoyens engagés de l’Ontario. Organisme de bienfaisance enregistré, TVO reçoit principalement un octroi de la province de l’Ontario et est aussi financé par des commanditaires et des milliers de donateurs. Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez consulter tvo.org.

Il est possible de prendre des dispositions avec le Bureau des communications pour une entrevue avec M. Paikin

 

Étude nationale du CReSRN des soins infirmiers dans les régions rurales et éloignées : Des chercheurs à la Laurentienne partagent une subvention de recherche de 400 000 $

Étude nationale du CReSRN des soins infirmiers dans les régions rurales et éloignées : Des chercheurs à la Laurentienne partagent une subvention de recherche de 400 000 $

28 mars, 2012 - Deux chercheurs du Centre de recherche en santé dans les milieux ruraux et du nord (CReSRN) à l’Université Laurentienne sont appelés à faire avancer un projet national visant à améliorer la qualité des services infirmiers en régions rurales et éloignées du Canada.

Santé Canada a annoncé ce mois-ci une nouvelle subvention de 400 000 $ à l’appui des treize premiers mois de ce projet triennal intitulé Nature de la pratique infirmière en régions rurales et éloignées du Canada II.

Ce projet de recherche, que dirige l’École des sciences infirmières de l’Université du nord de la Colombie-Britannique, verra collaborer M. Roger Pitblado, professeur émérite et chercheur universitaire principal au CReSRN, en tant que cochercheur principal, Mme Irene Koren, cochercheuse et professeure adjointe à l’École des sciences infirmières de l’Université Laurentienne, ainsi que des chercheurs à l’Université de Lethbridge et à l’Université de la Saskatchewan.

Dans la première phase du projet, les chercheurs du CReSRN étudieront des bases de données sur les soins infirmiers pour mieux comprendre le travail et les défis des fournisseurs de soins primaires (y compris les infirmières autorisées, infirmières auxiliaires autorisées et infirmières psychiatriques autorisées) dans les régions rurales et éloignées.

« Au cours de la deuxième phase, précise M. Pitblado, les chercheurs se pencheront sur les exigences et les conditions de la pratique infirmière en milieu rural et éloigné. Nous voulons savoir ce qui est exigé des infirmières en milieu rural et ce que nous pouvons faire dans nos écoles de sciences infirmières pour mieux les préparer. »

Selon un communiqué de Santé Canada, l’objet de l’étude est de « brosser un tableau plus clair de la mutation des rôles des professionnels de la santé offrant des services dans les communautés rurales et éloignées », et elle « portera également sur l’expérience des infirmiers autochtones pratiquant dans les communautés des Premières Nations et des Inuits. »

Par ailleurs, l’étude abordera les questions de recrutement et du maintien de l’effectif hors des grands centres urbains. « À terme, souligne M. Pitblado, l’étude vise à améliorer la qualité des soins de santé pour des millions de personnes. Nous voulons changer les choses dans la vie des Canadiens vivant en régions rurales, dont le premier et parfois le seul accès aux soins de santé primaires est par l'intermédiaire d’une infirmière qui travaille avec très peu de soutien dans une communauté éloignée. »

Le CReSRN collabore avec des chercheurs de partout au pays. Son mandat consiste à mener des recherches interdisciplinaires sur la santé dans les milieux ruraux en vue d’améliorer, d’une part, la prestation des soins de santé de même que l’accès, notamment dans les collectivités rurales et du nord, et, d’autre part, la compréhension du système de soins de santé.

Pour obtenir de plus amples renseignements, consultez www.cranhr.ca

Banque TD investit 250 000$

Banque TD investit 250 000$

20 mars, 2012 - L’une des sociétés canadiennes de premier rang, le Groupe financier Banque TD a annoncé aujourd’hui un important investissement au profit de la population étudiante dans ce programme exceptionnel de vulgarisation scientifique. Le vice-président du Groupe financier Banque TD et l’ex-premier ministre du Nouveau-Brunswick, M. Frank McKenna, a présenté un chèque de 250 000 $ au recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux. Ce don est fait dans le cadre de la campagne de mobilisation de fonds Objectif 50 de l’Université Laurentienne et financera des bourses d’études dans le programme d’études supérieures en vulgarisation scientifique.  

Depuis septembre 2005, l’Université Laurentienne et Science Nord rassemblent leurs forces pour offrir ce programme de diplôme d’études supérieures de dix mois qui amalgame des études théoriques et des pratiques intensives et est le seul en son genre en Amérique du Nord. Les diplômés sont des spécialistes de la vulgarisation et de la communication de travaux d’importants de chercheurs et scientifiques, et décrochent des emplois dans les organismes gouvernementaux et non gouvernementaux, l’industrie, l’Institut Perimeter pour la physique théorique, le SNOLab, les musées, centres de sciences et sociétés de conception d’expositions et dans le domaine de la rédaction médicale.  

« À TD, nous croyons en notre mission d’avoir des répercussions positives sur les collectivités que nous servons, a dit M. McKenna. Il importe d’aider les Canadiens et Canadiennes à mieux comprendre les sciences qui expliquent notre monde et l’impact que les actions sociales et environnementales ont sur celui-ci. Nous sommes très fiers d’appuyer les efforts de ce programme dont les diplômés joueront un rôle clé pour apporter un changement positif tant dans notre pays qu’ailleurs dans le monde. »  

« À l’UL, a ajouté le recteur Giroux, nous sommes très satisfaits, comme le sont nos partenaires à Science Nord, de la reconnaissance témoignée par le Groupe financier Banque TD envers ce programme important. Il s'agit en effet d'un des moyens que nous utilisons afin d'améliorer nos programmes d'études supérieures pour que cela profite au maximum aux communautés que nous servons. Au nom des futurs étudiants en vulgarisation scientifique, c'est un honneur pour nous d'accepter ce généreux don. »  

« Les centres de sciences jouent un rôle clé pour faire participer les citoyens aux idées et concepts qui ont de la pertinence dans notre monde en perpétuel changement, a expliqué M. Guy Labine, PDG de Science Nord. Chaque jour, les diplômés du programme démontrent que les centres de sciences et les universités collaborent efficacement à la promotion de la culture scientifique. L’investissement du Groupe financier Banque TD contribuera très assurément à la préparation des futurs leaders en vulgarisation scientifique. »  

« Nous travaillons pour améliorer nos compétences en communications et un don comme celui-ci nous laisse bouche bée, a dit M. Ryan Jameson, étudiant en vulgarisation scientifique. Au nom de mes camarades de classe, je tiens à remercier sincèrement le Groupe financier Banque TD de son appui et de la confiance qu’il témoigne à l’égard du travail que nous poursuivons. »  

M. Amaratunga est l’éminent lauréat du Prix 2012 d’excellence pour l’ensemble de ses réalisations, décerné par la Division de minéralogie

M. Amaratunga est l’éminent lauréat du Prix 2012 d’excellence pour l’ensemble de ses réalisations, décerné par la Division de minéralogie

27 février, 2012 -  Le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux, a félicité aujourd’hui le professeur de longue date, M. Laxman (Lucky) Amaratunga, qui est l’éminent lauréat du Prix 2012 d’excellence pour l’ensemble de ses réalisations, décerné par la Division de minéralogie.  

Présenté lors du gala de prix de la 44e Conférence annuelle des minéralogistes du Canada, le Prix d’excellence pour l’ensemble des réalisations tient à souligner l’excellence manifeste en science de l’enrichissement des minerais et les contributions de longue durée à la Division de minéralogie.  

« M. Amaratunga a apporté des contributions exceptionnelles, a souligné la Division de minéralogie en faisant l’annonce du lauréat, aux industries minière, métallurgique et minéralurgique au Canada, dans les domaines de l’éducation, de la recherche en gestion de résidus miniers et du transfert de technologie environnementale, ainsi qu’à la Division de minéralogie et aux sociétés MetSoc de l’ICM (Institut canadien des mines, de la métallurgie et du pétrole). »  

« Depuis longtemps, le Pr Lucky est reconnu parmi ses collègues comme un chef de file dans le domaine de la métallurgie et de la chimie minière, a dit le recteur Giroux. Nous le félicitons de cette récente distinction qui rend hommage avec pertinence à l’œuvre de sa vie. »  

Depuis 1984, M. Amaratunga est au service de la Laurentienne, où il a effectué d’importantes recherches en matière de gestion des résidus, de remblai et de gérance de l’environnement. Pendant sa longue carrière, il a reçu plusieurs prix, entre autres le Prix environnemental de Teck Cominco (2007) pour ses recherches sur le traitement, l’utilisation et le recyclage de déchets au cours du cycle minier et le Prix d’excellence en enseignement (2003) de l’Université Laurentienne. En 2011, MetSoc et la Division de minéralogie ont tenu un repas en son honneur lors de la Conférence des métallurgistes.  

« Je suis profondément honoré de recevoir ce prix et touché de l’hommage que m’ont rendu mes nombreux collègues, a dit M. Amaratunga à la suite de l’annonce faite pendant le banquet du gala de prix de la Division de minéralogie, où quelque 500 délégués lui ont fait une ovation. Ma femme et moi sommes vraiment surpris de cette nouvelle. Je suis très heureux d’être reconnu par les gens de mon secteur et de mon université. »  

M. Amaratunga continue d’offrir des cours magistraux à la Laurentienne et de poursuivre des recherches afin d’élaborer un processus nanotechnologique d’extraction de l’or.

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