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De nouvelles possibilités pour les étudiants francophones

De nouvelles possibilités pour les étudiants francophones

L'Université Laurentienne, l'Université de Sudbury et le Collège Boréal signent une entente globale d'articulation

28 octobre 2014 – Afin de faciliter le transfert des diplômés de niveau collégial vers les études universitaires, l'Université Laurentienne, l’Université de Sudbury et le Collège Boréal ont procédé à la signature d’une entente-cadre formalisant l’octroi systématique de crédits universitaires à tous les diplômés d’un programme postsecondaire du Collège Boréal. Effective dès aujourd’hui, cette entente d’articulation s’applique à tous les programmes en français offerts à l’Université Laurentienne et à l’Université de Sudbury, soit quelque 40 programmes universitaires articulés aux programmes collégiaux des sept campus du Collège Boréal à travers la province. À cette entente s’ajoute également la possibilité pour les diplômés du baccalauréat ès sciences avec majeur en chimie de l’Université Laurentienne d’intégrer le programme de Technologie du génie chimique en bénéficiant d’une reconnaissance équivalent à deux des trois années que dure ce programme.

 

Le vice-recteur associé aux études et aux affaires francophones de l’Université Laurentienne, Denis Hurtubise, souligne l’importance de cette collaboration renforcée au niveau postsecondaire : « Par cette entente innovante, l’Université Laurentienne, l’Université de Sudbury et le Collège Boréal améliorent la transférabilité des étudiants francophones entre deux importants paliers de leur scolarité et, de facto, encouragent chez nos jeunes la poursuite des études postsecondaires en français. En formalisant la reconnaissance de leurs acquis académiques, nos établissements facilitent chez leurs étudiants le processus de transition au niveau postsecondaire et consolident l’ensemble du continuum d’études en Ontario français. »

 

Pour sa part, le vice-président à l’enseignement du Collège Boréal, Daniel Giroux, précise : « Nous sommes particulièrement fiers de mettre à profit les liens étroits qui existent entre le Collège Boréal, l’Université Laurentienne et l’Université de Sudbury dans le but de répondre concrètement aux attentes légitimes des étudiants francophones de l’Ontario. Grâce à cette entente cadre, nous poursuivons l’amélioration constante des services et des programmes offerts aux étudiants francophones de notre province tout en maximisant leurs perspectives d'avenir. »

 

Le recteur et vice-chancelier de l’Université de Sudbury, Pierre Zundel, mentionne quant à lui que « La qualité des programmes de formation postsecondaire offerts en français à l’Université de Sudbury, à l’Université Laurentienne et au Collège Boréal permet à nos étudiants d’envisager avec sérénité le transfert entre nos établissements. Outre les économies de temps et d’argent générées par ce cheminement postsecondaire enrichi, l’expertise et les compétences additionnelles ainsi acquises représentent au moment d’intégrer le marché de l’emploi un atout supplémentaire pour nos diplômés. »  

 

Notons que cette nouvelle entente-cadre entre l’Université Laurentienne, l’Université de Sudbury et le Collège Boréal fait écho à la récente annonce des conseils provinciaux sur la reconnaissance des crédits de l’Alberta, de la Colombie-Britannique, du Nouveau-Brunswick et de l’Ontario visant à favoriser davantage le cheminement des étudiants qui souhaitent être transférés dans un collège ou une université au Canada. Travaillant de concert avec les 44 établissements d'enseignement postsecondaires financés par le gouvernement provincial, le Conseil sur l'articulation et le transfert de l’Ontario (CATON) est coprésidé par Glenn Vollebregt, président et chef de la direction du St. Lawrence College, et par Dominic Giroux, recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne.

L’Université Laurentienne attribue le contrat de modernisation du campus

L’Université Laurentienne attribue le contrat de modernisation du campus

Le Conseil des gouverneurs approuve l’offre de 34 000 000 $ pour la 2e phase du renouvellement

24 octobre 2014 – Le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne a approuvé à l’unanimité l’offre pour le projet historique de modernisation du campus et a attribué le contrat à Cy Rheault Construction.

 

Ce projet constitue un renouvellement majeur du campus de la Laurentienne à Sudbury. Il consistera à construire de nouveaux édifices, mais aussi à moderniser et rénover neuf bâtiments au cours des deux prochaines années. Les travaux devraient être terminés d’ici décembre 2016.

 

Les principaux chantiers du programme de modernisation du campus incluent :

  • Réfection du pavillon Alphonse-Raymond
  • Amélioration de plus de 20 salles de classe et de 10 laboratoires d’enseignement
  • Construction d’un centre d’accueil à l’entrée
  • Restructuration pour créer un guichet unique de services aux étudiantsConstruction du Centre autochtone de partage et d’apprentissage
  • Construction du Club universitaire (édifice Fraser)
  • Création du Centre d’apprentissage pour cadres (édifice Fraser)

 

Le contrat de modernisation du campus est évalué à 34 000 000 $. La compagnie Cy Rheault Construction, dont le siège est à Timmins, a déjà travaillé sur la première phase de l’École d’architecture Laurentienne (2013) et sur les rénovations de la Résidence des étudiants célibataires (2014).

 

La phase préliminaire de modernisation a été exécutée plus tôt cette année par Prosperi Construction Company Ltd, établie à Sudbury, avec les rénovations de l’édifice des Sciences qui ont inclus la construction du nouveau laboratoire d’ADN et les rénovations de l’École des sciences de l’éducation.

 

Les rénovations commenceront immédiatement dans le pavillon Alphonse-Raymond qui est fermé depuis septembre. Ce bâtiment, qui abrite l’École des sciences de l’éducation, aura une nouvelle entrée ainsi que de nouvelles salles de classe et de nouveaux bureaux. Il sera aussi complètement accessible. Les travaux devraient prendre fin pendant l’été 2015.

 

« Nous verrons beaucoup de roulottes de construction et de clôtures sur tout le campus au cours des prochaines années, mais en gérant le projet par étapes, nous pourrons continuer nos activités, a dit le directeur général du service des installations, M. Brad Parkes. Le calendrier de travail nous permettra de conserver une masse critique de salles de classe et de bureaux pendant que des parties du campus seront en chantier. »

 

« Nous envisageons les 50 prochaines années avec enthousiasme et nous réjouissons de la portée et de la vision de ce programme transformateur, a déclaré le recteur et vice-chancelier, M. Dominic Giroux. Nous sommes convaincus que les projets prévus amélioreront l’expérience étudiante à la Laurentienne tout en réalisant les objectifs établis dans notre Plan stratégique. »

 

« Tous les travaux de modernisation du campus serviront à améliorer nos installations pour la population étudiante, le corps professoral et le personnel, a souligné la vice-rectrice à l’administration, Mme Carol McAulay. Par exemple, nous restructurerons certains amphithéâtres pour créer des salles de classe à un seul niveau. Cela nous donnera davantage de marge de manœuvre et nous permettra d’employer divers modes d’enseignement et d’apprentissage. »

 

Le programme de modernisation du campus créera aussi de nouveaux locaux sociaux et des centres de rassemblement pour les membres de la communauté universitaire. Pour avoir d’autres renseignements sur le projet, consultez https://laurentienne.ca/modernisation.

Toronto Celebrates Sudbury un appui à hauteur de 100 000 $

Toronto Celebrates Sudbury un appui à hauteur de 100 000 $

Health Sciences North / Horizon Santé-Nord (HSN) et l’Université Laurentienne ont 100 000 $ de plus grâce à Toronto Celebrates Sudbury.

 

Aujourd’hui à Sudbury, les organisatrices et organisateurs de cette activité annuelle de financement ont remis un chèque de 100 000 $, partagés également entre l’Université et HSN. Ces fonds permettront d’appuyer la recherche à chaque établissement. 

 

L’activité Toronto Celebrates Sudbury a été lancée en 2011 par un groupe de professionnels torontois ayant des liens personnels avec le Grand Sudbury. Perry Dellelce, Jamie Lamont, Kevin O’Brien, Nathan Wright et Liana Flabiano en assurent la coprésidence. L’activité permet de rassembler des résidents de Toronto qui ont des liens avec la ville du nickel dans le but de recueillir des fonds pour un organisme de bienfaisance sudburois. La soirée met également Sudbury en valeur dans la capitale ontarienne. 

 

Perry Dellelce et Jamie Lamont étaient présents lors de la présentation d’aujourd’hui. « Nous sommes très heureux et honorés de recueillir des fonds pour le Grand Sudbury, dit Perry Dellelce, associé directeur du cabinet d’avocats Wildeboer Dellelce. » 

 

« Le Grand Sudbury a été merveilleux pour nous et nous voulons ainsi redonner à notre ville natale, ajoute l’un des coprésidents de l’activité, Jamie Lamont. C’est aussi fantastique de réunir autant de gens à Toronto qui ont des liens avec Sudbury. »  

 

« Je remercie les organisateurs de Toronto Celebrates Sudbury pour leur travail de soutien et de promotion des activités d’HSN et de l’IRMAC, souligne le président-directeur général d’HSN, le Dr Denis Roy. Des recherches de calibre international ont lieu ici à Sudbury et de tels soins de santé y sont donnés. Nous sommes ravis que des gens de la plus grande ville canadienne le constatent. » 

 

« Nous sommes également fiers de participer à cette initiative de financement enrichissante et nous sommes reconnaissants du travail acharné et de la vision de Toronto Celebrates Sudbury pour appuyer la recherche à la Laurentienne, dit le recteur et vice-chancelier de l’établissement, Dominic Giroux. » 

 

La Fondation communautaire de Sudbury administre et distribue les fonds de l’activité annuelle. Le Conseil de l’organisme, qui a noté la relation de collaboration entre HSN et l’Université Laurentienne, a fait l’éloge des dirigeants des deux établissements pour leur coopération afin d’appuyer la recherche. Ils ont également souligné le travail remarquable des organisateurs de Toronto Celebrates Sudbury.

 

« La Fondation communautaire de Sudbury est heureuse d’être un intermédiaire pour que ces fonds importants de recherche servent dans notre communauté, a dit sa directrice générale, Carmen Simmons. Toronto Celebrates Sudbury est le fruit d’une superbe collaboration de la part d’un comité dynamique d’ex-Sudburois afin d’appuyer notre communauté. Bravo! »

 

Renseignements : 

Dan Lessard 

705-523-7118, p. 4

705-507-4031 (cellulaire)

dlessard@hsnsudbury.ca

L’Université Laurentienne obtient un brevet pour l’essai biologique de disruption de l’ARN

L’Université Laurentienne obtient un brevet pour l’essai biologique de disruption de l’ARN

Une technique mise au point par le professeur de l’UL, Amadeo Parissenti, facilite le traitement du cancer

9 octobre 2014 – L’Université Laurentienne a obtenu un brevet pour l’essai biologique de disruption de l’ARN (RNA Disruption Assay - RDATM), une technologie qui facilite le traitement du cancer du sein et qui a été mise au point par M. Amadeo Parissenti, et son associé de recherche, M. Baoqing Guo d’Horizon Santé-Nord. Le brevet a été délivré en septembre par le bureau australien des brevets.

 

L’Université a accordé la licence exclusive de cette technique à Rna Diagnostics Inc., une entreprise canadienne de diagnostic moléculaire qui conçoit des outils diagnostiques pour améliorer la gestion de la chimiothérapie. En plus des autres brevets actuellement en instance dans le cadre de son accord d’octroi de licence avec Rna Diagnostics, la Laurentienne a divers brevets en instance dans le monde pour des découvertes faites dans ses murs.

 

« Nous sommes énormément fiers du travail de pionnier de M. Parissenti et de son collègue, M. Guo, et sommes honorés de détenir le brevet d’une découverte qui aide les gens en améliorant notre compréhension du traitement du cancer, a déclaré le recteur et vice-chancelier, M. Dominic Giroux. Nous avons des relations exceptionnelles avec Rna Diagnostics et pensons que notre collaboration continuera de produire des percées importantes pour les patients cancéreux. »

 

M. Parissenti est professeur de chimie et de biochimie à la Laurentienne et à l’École de médecine du Nord de l’Ontario et chercheur affilié à l’Institut de recherche médicale avancée du Canada (AMRIC), à Horizon Santé-Nord. Il est aussi conseiller scientifique en chef de Rna Diagnostics Inc.

 

Peu après le début d’un traitement, cet outil permet aux oncologues de dégager la mesure dans laquelle la patiente atteinte du cancer du sein réagit à la chimiothérapie. La technologie est utilisée après un ou deux cycles de chimiothérapie et les résultats permettent de savoir s’il est favorable ou non de continuer les traitements.

 

Les connaissances générées grâce à ce brevet et à d’autres encore en instance changeront le paysage de traitement du cancer du sein et d’autres. Rna Diagnostics mène actuellement des essais cliniques et collabore avec des chefs de file de la santé en Allemagne, Italie, Suède, aux États-Unis, au Royaume-Uni et au Canada.

 

« Félicitations à l’Université Laurentienne pour son brevet, ainsi qu’à MM. Parissenti et Guo pour leur découverte clé, a déclaré M. Ken Pritzker, PDG de Rna Diagnostics Inc. Le RDA aidera les cliniciens en cancérologie à personnaliser les décisions de traitement, fera faire d’importantes économies au système de santé et, surtout, améliorera les résultats pour les patientes atteintes d’un cancer du sein. Rna Diagnostics se réjouit de continuer à collaborer avec l’Université Laurentienne pour lancer le RDA, une avancée marquante dans la gestion de la chimiothérapie du cancer, sur les marchés mondiaux. »

 

À propos de Rna Diagnostics Inc.

Rna Diagnostics, une entreprise canadienne de diagnostic moléculaire, conçoit des outils diagnostiques pour améliorer la gestion de la chimiothérapie. Son premier produit, RNA Disruption AssayTM (RDATM), détermine au début du traitement du cancer du sein comment la patiente réagit à la chimiothérapie. Si la chimiothérapie ne fonctionne pas efficacement, un autre traitement peut être employé rapidement, ce qui épargne à la patiente les effets secondaires néfastes de la chimiothérapie inefficace et améliore ainsi ses résultats. Pour en savoir davantage sur Rna Diagnostics, consultez www.rnadiagnostics.com.

Ouverture officielle de la clinique universitaire d'orthophonie

Ouverture officielle de la clinique universitaire d'orthophonie

Cette nouvelle clinique ouvre ses portes à la communauté du Grand Sudbury

9 octobre 2014 – En présence de dignitaires et de professionnels du secteur de la santé, l’Université Laurentienne a procédé aujourd’hui à l’inauguration de sa clinique universitaire d’orthophonie. Offrant des conditions optimales de formation aux étudiantes et étudiants du baccalauréat et de la maîtrise en orthophonie (respectivement B.Sc.S. et M.Sc.S.), cette nouvelle clinique ouvre ses portes à la communauté du Grand Sudbury grâce à l’appui du Bureau des affaires francophones de l’Université Laurentienne et du Consortium national de formation en santé (CNFS).  
 

« L’Université Laurentienne tire une grande fierté de cette nouvelle clinique qui permet à ses 120 étudiants en orthophonie de pouvoir bénéficier d’installations de qualité, à la hauteur de l’enseignement dispensé par un corps professoral d’exception, déclare le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, Dominic Giroux. L’ouverture de cette clinique est d’autant plus importante qu’elle s’inscrit dans le contexte d’une pénurie de professionnels de la santé et qu’elle répond, de facto, aux besoins avérés de toute notre communauté. »
 

Lors de cet événement, la coordonnatrice du programme d’orthophonie de l’Université Laurentienne, Mme Michèle Minor-Corriveau, a également procédé au lancement d’une nouvelle plateforme de partage disponible en ligne et destinée aux professionnels du domaine de l’orthophonie : « À l’heure où les technologies de l’information nous offrent les moyens adéquats de partager nos ressources et nos meilleures pratiques, nous souhaitons, à travers ce forum unique en Ontario, permettre à tous les professionnels œuvrant notamment dans le domaine des troubles de la voix, de la parole et du langage, d’échanger leurs connaissances et leurs outils afin de faire avancer l’innovation et la recherche dans le domaine de l’orthophonie. »

 

Notons que les orthophonistes sont des cliniciens, des professeurs, des gestionnaires, des administrateurs, des chercheurs et des professionnels en entreprises travaillant dans des centres ruraux et urbains. Ils dépistent, évaluent, identifient et traitent les troubles de la parole, du langage (oral et écrit), de la voix, de la fluidité (bégaiement), de la déglutition et de l’alimentation chez des personnes de tout âge.
 

Située au 6e étage de l’édifice Parker du campus principal de l’Université Laurentienne, à Sudbury, la clinique universitaire d’orthophonie accueille ses clients sur rendez-vous au 705-675-1151, poste 4122. Pour davantage d’information concernant le programme d’orthophonie de l’Université Laurentienne et sa clinique universitaire, visitez le www.laurentienne.ca/orthophonie. Vous pouvez également suivre le programme d’orthophonie de l’Université Laurentienne sur Twitter @LULorthoSLP et aimer la page Facebook : facebook.com/LULorthoSLP.

La Laurentienne accueille la 2ème édition annuelle du Sommet de leadership

La Laurentienne accueille la 2ème édition annuelle du Sommet de leadership

Le congrès vise à établir une « culture de leadership en collaboration »

9 octobre 2014 – La Ville du Grand Sudbury et l’Université Laurentienne, avec une commandite de la revue Canadian Government Executive, ont annoncé le programme de la 2e édition annuelle du Sommet de leadership, qui aura lieu les 16 et 17 octobre, à Sudbury.
   

Les objectifs du sommet sont de tisser un réseau de leadership en collaboration et innovateur, de présenter les dernières recherches en matière de formation de leadership et de poser les jalons pour la création d’un nouvel Institut de leadership.
 

« Le Sommet de leadership inaugural l’an dernier, a dit le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux, nous a donné un élan formidable et nous nous réjouissons de voir que cette énergie continue de nous propulser vers l’avant. Il s’agit véritablement d’un projet concerté et tous les partenaires font preuve d’un engagement concret pour la collaboration afin de renforcer notre potentiel de leadership. »
 

Le Sommet sera lancé lors d’une réception qui se tiendra dans la soirée du 16 octobre à la Caverne Vale de Science Nord. Le chancelier l’Université Laurentienne, M. Steve Paikin, souhaitera d’abord officiellement la bienvenue et le conférencier d’honneur, M. Stephen M. R. Covey, prononcera l’exposé intitulé « The Speed of Trust ». Auteur à succès du livre The Speed of Trust—The One Thing that Changes Everything cité par le New York Times et le Wall Street Journal, cet ex-PDG du Covey Leadership Centre a dirigé la stratégie qui a permis au livre d’affaires rédigé par son père, The 7 Habits of Highly Effective People, de devenir l’un des plus influents du XXe siècle. M. Covey est cofondateur de CoveyLink, cabinet d’experts-conseils et d’apprentissage qui habilite les dirigeants et organismes à atteindre un rendement supérieur.
 

Le 17 octobre, le Sommet s’installera sur le campus de la Laurentienne pour une journée complète de discussions interactives, de tables rondes et un discours liminaire.
 

Ce forum donnera l’occasion aux dirigeants des secteurs privé, public et sans but lucratif de partager leurs perspectives en matière de leadership. Le Sommet est aussi parrainé par le Centre d’excellence en innovation minière (CEIM) et l’École des mines Goodman de l’Université Laurentienne.
 

Parmi les autres conférenciers du Sommet de leadership 2014, il faut souligner :
 

Kerry Pond, sous-ministre adjoint, Centre du leadership et de l’apprentissage, Fonction publique de l’Ontario (FPO);

 

Jennifer J. Deal Ph.D., chercheuse principale au Centre for Creative Leadership (CCL) et chercheuse associée au Center for Effective Organizations, University of South Carolina;
 

Rosie Steeves, Ph.D., fondatrice et présidente d’Executive Works, organisme qui aide les dirigeants à transformer leurs organismes au moyen d’un leadership efficace.
 

Plus de renseignements figurent à laurentian.canadiangovernmentexecutive.ca/

L’Université nomme une nouvelle directrice du développement

L’Université nomme une nouvelle directrice du développement

Kristy Rousseau dirigera l’équipe de Développement de l’Université

1 Octobre 2014 – L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer la nomination de Mme Kristy Rousseau au poste de directrice du Développement. En cette qualité, elle surveillera et dirigera tous les programmes de développement et les activités de mobilisation de fonds. Elle fournira une vision stratégique, une direction générale et un encadrement à l’équipe du Développement pour ce qui est de tous les programmes de collecte de fonds.

« Nous nous réjouissons d’accueillir Kristy dans ses nouvelles fonctions, a dit la dirigeante principale de l’Avancement, Mme Tracy MacLeod. Elle a acquis une expérience professionnelle en mobilisation de fonds et des aptitudes pour le leadership qui profiteront à notre équipe alors que nous continuons à cultiver des relations clés pour l’Université. Nous savons qu’elle a l’habileté d’atteindre de nouveaux sommets au nom du développement de l’Université. »

Depuis mai 2014, Mme Rousseau est directrice intérimaire du Développement et a acquis quelque dix ans d’expérience professionnelle en mobilisation de fonds à titre de professionnelle agréée en collecte de fonds (CFRE). Elle a collaboré avec diverses unités administratives, d’enseignement et de recherche pour optimiser les possibilités de mobilisation de fonds afin d’appuyer les priorités stratégiques de l’Université.

Avant de devenir directrice intérimaire du Développement, Mme Rousseau était, depuis 2011, gestionnaire des dons individuels au Bureau de développement de la Laurentienne. Elle a joué un rôle clé dans la Campagne Objectif 50 qui a recueilli quelque 65 000 000 $ pour soutenir les priorités stratégiques de l’Université. Auparavant, elle était agente du développement pour la Fondation de l’Hôpital régional de Sudbury.

Reconnue comme l’une des 40 personnes les plus performantes de moins de 40 ans à Sudbury, elle est lauréate d’un Prix d’excellence du CCAE et d’une médaille de bronze pour le meilleur événement de développement en juin 2013.

Mme Rousseau prépare actuellement une maîtrise en administration des affaires à l’Université Laurentienne et est titulaire d’un baccalauréat ès arts spécialisé en gestion économique de l’Université de Guelph.

« Étant diplômée universitaire de première génération et Canadienne métisse, la Laurentienne et la place unique qu’elle occupe parmi les universités canadiennes me tiennent beaucoup à cœur, a affirmé Mme Rousseau. Nous avons une superbe équipe au Développement et c’est un plaisir pour moi de pouvoir la diriger. »

L'Université Laurentienne et l'Association des professeurs concluent une entente de principe

L'Université Laurentienne et l'Association des professeurs concluent une entente de principe

L’Université et l’Association des professeurs de l’Université Laurentienne (APPUL) ont conclu une entente de principe concernant une nouvelle convention collective.

29 Septembre 2014 - L’Université Laurentienne et l’Association des professeurs de l’Université Laurentienne (APPUL), qui représente 372 professeurs et bibliothécaires à plein temps et 200 chargés de cours à temps partiel qui travaillent à Sudbury et à Barrie, ont conclu une entente de principe concernant une nouvelle convention collective. 

« Je me réjouis, a déclaré le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux, que les deux équipes de négociation aient pu arriver à une entente sans entraver l’année universitaire. Si l’entente est ratifiée, elle permettra à l’Université et à son corps professoral de poursuivre leur lancée avec des plans excitants pour les années à venir. » 

« Cela a été un processus intense, a ajouté le président de l’APPUL, M. Anis Farah. Les deux équipes de négociation ont travaillé très fort pour régler de façon collégiale les préoccupations d’intérêt commun. Cette entente de principe pose un jalon positif pour l’avancement de l’Université et de l’APPUL. » 

L’Université et l’APPUL tiennent à remercier les membres des équipes de négociation, menées par M. Hermann Falter pour l’Université et M. Rizwan Haq pour l’APPUL, de leur dévouement et de leur engagement envers une culture organisationnelle positive. 

Les membres de l’APPUL s’exprimeront par un vote pour ratifier l’entente de principe aussitôt que possible. Elle doit aussi être ratifiée par le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne. Comme il est d’usage, les dispositions de l’entente de principe ne seront pas dévoilées avant sa ratification par les deux parties. 

Les activités se déroulent donc normalement sur les campus de la Laurentienne à Sudbury et à Barrie et pour les cours de formation à distance. 

La convention actuelle est arrivée à échéance le 30 juin. Les parties ont tenu de nombreuses séances de négociations depuis avril, y compris une journée avec un conciliateur, et quatre journées avec un médiateur. 

L’APPUL avait le droit de faire la grève et l’Université avait le droit de déclencher un lock-out depuis le 25 septembre. Les parties s’étaient entendues pour ne pas prendre de telles mesures avant le 30 septembre, au parachèvement des journées prévues de médiation. 

La Laurentienne nomme sa première Gestionnaire de l'Énergie et de la Durabilité

La Laurentienne nomme sa première Gestionnaire de l'Énergie et de la Durabilité

Mme Kati McCartney dirigera les efforts de l’Université visant à réduire l’empreinte écologique et à promouvoir les meilleures pratiques

11 septembre 2014 – Étalonnage de la consommation d’énergie, compostage dans les résidences et zéro déchet dans la cafétéria, telles sont les trois initiatives en cours à l’Université Laurentienne, lancées à l’appui de son « programme vert » que fera avancer la gestionnaire de l’énergie et de la durabilité, Mme Kati McCartney. 

« Ce poste est nouveau à la Laurentienne, mais l’Université est déjà une championne reconnue de l’environnement sur de nombreux fronts, a dit Mme McCartney. Nous avons le potentiel de nous hisser vraiment au rang de leader en matière de durabilité et de conservation et je suis convaincue que nous pouvons être dans le peloton de tête des universités vertes. » 

À titre de gestionnaire de l’énergie et de la durabilité, Mme McCartney dirigera la planification des opérations durables et gérera le portefeuille énergétique (achat et consommation). Titulaire d’une maîtrise ès sciences (sciences chimiques) et d’une MBA de l’Université Laurentienne, elle est en train de développer des objectifs de durabilité, à court et à long terme, au moyen d’initiatives dans quatre domaines : consommation d’énergie, réacheminement des déchets, sensibilisation et éducation. 

Mme McCartney dirigera également les efforts visant à mesurer la consommation d’énergie dans tout le campus, et avec précision, à établir les données de référence et à réduire celle-ci. Ces efforts consisteront, entre autres, à installer des compteurs pour tous les services publics — électricité, gaz naturel et eau — pour suivre de près la consommation et étalonner l’efficacité. 

 Selon Mme McCartney, un audit énergétique du campus réalisé en juillet a révélé que la Laurentienne, en matière de rendement, fait « un peu mieux que la moyenne pour les universités en Ontario ». « Grâce à notre étalonnage, dit-elle, nous pourrons cerner les domaines où nous pourrons améliorer les économies d’énergie. Nous procéderons aux réaménagements là où c’est logique et encouragerons des changements de comportements relativement à la consommation énergétique. » 

Le compostage dans les résidences de la Laurentienne, l’une des initiatives de grande envergure en cours sur le campus de Sudbury, va aussi dans ce sens. En lançant cette initiative au début de l’année scolaire, la Laurentienne est devenue le premier établissement dans la Ville du Grand Sudbury à avoir adopté le programme de compostage résidentiel de la municipalité. 

« Nous sommes la première université dans le nord à mettre en oeuvre le compostage à une si grande échelle et nous y arriverons certainement sous l’impulsion de nos étudiants, se réjouit le directeur des Services de logement et d’alimentation à l’UL, M. Ben Demianiuk. Nous avons travaillé avec la Ville pour le mettre en place, mais ce sera à nous tous de créer une culture de prise en charge. » Selon les estimations, le compostage dans les résidences pourrait détourner chaque année jusqu’à 50 tonnes de déchets organiques des sites d’enfouissement. 

Cet effort, celui du réacheminement des déchets, va encore plus loin dans le Grand Salon de l’Université, la salle à manger nouvellement rénovée. La cafétéria de style restaurant n’a ni poubelle, ni bac bleu pour récipients en verre, plastique ou aluminium. 

« C’est un véritable changement d’étape, un geste audacieux, a déclaré Mme McCartney. Il n’y a pas de gobelet jetable, pas d’assiette en papier, pas de couvert en plastique, pas de canette de boisson gazeuse, pas de bouteille en verre à jeter dans le bac bleu. Tout ce qui sert aux repas est lavable, et tous les restes de repas vont droit au compost. En matière de réacheminement des déchets, c’est vraiment énorme. » 

L’Université Laurentienne tient à promouvoir une culture solide de la durabilité et de la gérance environnementale. Elle a signé l’engagement du Conseil des universités de l’Ontario (Ontario Universities Committed to a Greener World) selon lequel les universités aideront à trouver des solutions aux défis de la durabilité environnementale, diffuseront les connaissances sur la durabilité et le changement climatique et incorporeront, autant que possible, les principes de durabilité dans leurs propres activités. 

La Laurentienne tiendra un Forum sur la durabilité du campus le 29 septembre 2014, au cours duquel une conférence publique sera donnée par M. David Miller, militant écologiste, ex-maire de Toronto et actuellement PDG de WWF Canada. De plus amples détails sur le forum seront publiés dans le courant du mois. 

L’Université Laurentienne nomme une nouvelle directrice au bureau des anciens

L’Université Laurentienne nomme une nouvelle directrice au bureau des anciens

10 septembre 2014 – Un comité de sélection, y compris des représentants de l’Association des anciens de l’UL et des collègues en enseignement et d’ailleurs, a approuvé à l’unanimité la nomination de Mme Rachel Chisholm au poste de directrice du Bureau des anciens avec entrée en vigueur le 22 septembre 2014.

 

Mme Chisholm assurera la direction et l’orientation stratégique touchant l’élaboration, la coordination et la mise en oeuvre du programme de relations avec les anciens de l’Université conformément au plan stratégique de l’Association des anciens de l’Université Laurentienne (AAUL).

 

« Au nom du Conseil de direction de l’AAUL, je suis heureuse d’accueillir Rachel, a indiqué la présidente de l’Association des anciens de l’Université Laurentienne, Mme Diane Mihalek. Elle apporte une expérience précieuse à notre Association et j’ai bien hâte de collaborer avec elle tout en accueillant les perspectives et les nouvelles idées qu’elle partagera. »

 

« Nous sommes ravis d’accueillir Rachel à une époque où nous favorisons de plus en plus l’engagement chez les diplômés de l’Université, a souligné la dirigeante principale de l’Avancement de la Laurentienne, Mme Tracy MacLeod. Son expérience dans le domaine des relations avec les anciens lui permettra de nouer des liens avec nos diplômés grâce à des programmes innovateurs et des communications efficaces. »

 

Mme Chisholm a géré le service aux anciens au Collège George Brown, où elle était responsable de l’élaboration de plans d’activités, de budgets et d’une publication. Elle a aussi lancé un outil d’encadrement en ligne pour la communauté des anciens ainsi qu’un système pour suivre leur niveau d’engagement.

 

Née et élevée à Montréal, Mme Chisholm parle couramment le français et l’anglais.

 

« Je suis heureuse de me joindre à la famille Laurentienne et j’ai hâte de rencontrer les éminents anciens de la Laurentienne pour prendre connaissance des contributions positives qu’ils apportent ici et partout dans le monde, a dit Mme Chisholm. Étant nouvelle à Sudbury, je suis impatiente, entre autres, de découvrir la ville et les gens et de participer à la vie communautaire. »

 

L’Association des anciens de l’Université Laurentienne compte quelque 52 000 diplômés, dont plus de 16 000 habitent la Ville du Grand Sudbury.

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