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On rend hommage à M. Kabwe Nkongolo pour l'excellence en recherche

On rend hommage à M. Kabwe Nkongolo pour l'excellence en recherche

M. Kabwe Nkongolo, Ph.D., professeur de biologie à l’Université Laurentienne, est lauréat du Prix d’excellence en recherche 2014 de l’UL.

6 février, 2014 - M. Kabwe Nkongolo, Ph.D., professeur de biologie à l’Université Laurentienne, est lauréat du Prix d’excellence en recherche 2014 de l’UL.

 

Professeur titulaire de génétique au Département de biologie et l’un des principaux membres du corps professoral du doctorat en sciences biomoléculaires à la Laurentienne, M. Nkongolo s’est joint à l’Université en 1992, après avoir passé quatre ans à la Colorado State University aux États-Unis. Il a préparé une M.Sc. en toxicologie et un doctorat en génétique à l’Université Laval, au Québec.

 

« On rend hommage à M. Nkongolo, a dit M. Patrice Sawyer, vice-recteur à la recherche et aux affaires francophones à l’Université Laurentienne, pour ses travaux au sein de la communauté et ailleurs. Grâce à ses recherches, il apporte d’importantes contributions aux domaines de la génétique environnementale, de la santé des écosystèmes nord-ontariens, de la génétique du diabète et de la sécurité alimentaire par l’intermédiaire de projets internationaux. »

 

Le Comité du Prix d’excellence en recherche confère l’honneur à un membre du corps professoral qui fait preuve de « rendement exceptionnel ». Le prix s’accompagne d’une allocation de 15 000 $ qui peut prendre la forme d’une subvention de recherche pendant le congé sabbatique.

 

« Je suis fier, a indiqué M. Nkongolo, de figurer sur la longue liste d’universitaires qui aident à faire reconnaitre l’Université Laurentienne tant sur la scène nationale que mondiale. »

 

Pour célébrer cette réalisation, M. Nkongolo a fait un exposé sur ses recherches dans le cadre des cérémonies d’ouverture de la Semaine de la recherche de l’UL. On lui remettra son prix pendant la Collation des grades du printemps 2014.

Le CNFS remet 20 000 $ de bourses aux étudiantes et étudiants de l’Université Laurentienne

Le CNFS remet 20 000 $ de bourses aux étudiantes et étudiants de l’Université Laurentienne

Félicitations à tous les lauréats des bourses CNFS!

23 janvier, 2014 - Le Consortium national de formation en santé (CNFS), volet Université Laurentienne, octroie chaque année de 20 000 $ à 30 000 $ de bourses aux étudiantes et étudiants inscrits dans l’un des programmes en santé et bien-être offerts, en français, à l’Université Laurentienne. Pour 2013-2014, les étudiantes et étudiants éligibles sont inscrits en Sciences infirmières, Sages-femmes, Orthophonie, Service social, Santé publique et Kinésiologie. Outre l’appui du CNFS quant au fonctionnement de ces programmes, 93 % des demandes de bourses reçues cette année ont été acceptées pour un montant total de 20 000 $.
 

Bourses d’entrée

Stéphanie Frenette en Orthophonie; Karine Gosselin, Jenna Ouellette et Mélanie Belanger en Sciences infirmières

Cette bourse vise à encourager les personnes francophones et francophiles graduées des écoles secondaires et des écoles d’immersion de l’Ontario ainsi que les personnes ayant des antécédents scolaires requis à leur droit d’entrée, à entreprendre des études en français dans le domaine de la santé.
 

Bourses de premier cycle 

Marie-Josée Charrier, Angel Mathieu, Alexandra Albert en Orthophonie;  Claudie Finlay en Sages-Femmes;  Christiane Kensa, Christian Kowa, Meng Liu, Danielle Bourgeois Lapiccirella, Chantèle Mayer, Lydia Jabil, Michelle Leblanc et Nadia Omni en Sciences infirmières.

Cette bourse s’adresse uniquement aux étudiantes et étudiants francophones ou francophiles inscrits en 2e, 3e, ou 4e année à l’un des programmes de baccalauréat en santé à l’Université Laurentienne, indiqués sur le formulaire. Le programme peut être offert sur campus ou à distance, à temps plein ou à temps partiel.
 

Bourses « Offre active » (études supérieures) 

Stéphanie Léveillé, Maxine Bélanger, Sarah Nicholls, en Orthophonie;  France Rainville et Mélissa Therrien à la maîtrise en Orthophonie; Caroline Piquette et Michèle Lajeunesse à la maîtrise en Kinésiologie;  Mélanie Simon en Service social et Sophie Ouellet à la maîtrise en Service social ainsi que Christiane Kensa, Céline Giroux et Nadia Omri lesquelles prévoient continuer leurs études à la maîtrise en Sciences infirmières, en septembre prochain.

La bourse « Offre active » veut inciter les étudiantes et étudiantes en santé, à comprendre et à intégrer dans la pratique de leur profession les notions de l‘offre active. Entre autres, les façons de signifier au premier contact avec une personne cliente dans un milieu de santé qu’ils ou elles parlent français et offrent des soins et des services en français afin de contribuer à son mieux-être en communiquant avec elle dans sa langue.
 

Le CNFS offre également, selon les fonds disponibles, des bourses de stages en milieu minoritaire. Les renseignements sur l’appui offert aux étudiantes et étudiants francophones se trouvent sur le site www.cnfslaurentienne.ca
Renseignements : Érik Labrosse, directeur du CNFS et des initiatives en santé et bien-être, 705-675-1151, poste 4111  
Cette initiative a été rendue possible grâce à une contribution financière provenant de Santé Canada
 

 

 

 

La province s’engage à apporter un financement pluriannuel à Professions Nord/North

La province s’engage à apporter un financement pluriannuel à Professions Nord/North

L’initiative favorise les carrières pour les professionnels formés à l’étranger

Sudbury, ON (8 janvier 2013) –  Le ministère de la Citoyenneté et de l’Immigration de l’Ontario s’engage à offrir un financement sur trois ans pour appuyer les travaux qu’effectue Professions Nord/North (PNN) dans le but d’épauler les professionnels formés à l’étranger qui cherchent un emploi approprié dans le Nord de l’Ontario.
 

À la suite d’un processus concurrentiel d’appels d’offres, l’investissement de 2 700 000 $ a été attribué à l’Université Laurentienne à la lumière des succès connus par le projet pilote de PNN. Le député provincial de Sudbury Rick Bartolucci a fait l’annonce aujourd’hui à l’Université Laurentienne, où s’étaient rassemblés des agents et clients de PNN et des représentants universitaires.
 

« Depuis sa création en 2010, Professions Nord/North se forge d’importants succès, a dit Stephen Havlovic, doyen de la Faculté de gestion à l’Université Laurentienne. Grâce à cette annonce, le financement sera prolongé et permettra au programme de continuer de croître et de subvenir aux besoins en main-d’œuvre des employeurs nord-ontariens. »
 

« Cet engagement de trois ans, a ajouté le député provincial de Sudbury Rick Bartolucci, aidera les professionnels formés à l’étranger à atteindre leurs objectifs de carrière en comblant l’écart entre l’éducation, l’expérience, la culture et l’emploi, leur permettant ainsi de réaliser leur plein potentiel. Je suis très fier de l’innovation dont fait preuve le programme et l’important rôle qu’il joue à dynamiser l’économie et à améliorer la vie des immigrants et de leur famille. »
 

Professions Nord/North offre aussi aux employeurs nord-ontariens des services de recrutement, de jumelage emploi-travailleur, de triage de CV et de rétention du personnel. « En tâchant de combler les besoins en recrutement des employeurs du Nord, a expliqué Michel Racine, gestionnaire de projet de Professions Nord/North, le programme favorise la diversité, la croissance et le développement économique dans les communautés nord-ontariennes. »

 

Initiative lancée par la Faculté de gestion de l’Université Laurentienne pour faciliter les possibilités d’agrément et de carrière chez les professionnels formés à l’extérieur du Canada, PNN offre tout un éventail de services à ces derniers, y compris l’élaboration de dossier, le cheminement vers l’agrément, le réseautage et l’encadrement, tout en fournissant des services aux employeurs éventuels du Nord de l’Ontario, les aidant à trouver des professionnels formés et employables qui assumeront des rôles prépondérants dans l’économie régionale.


 

Au sujet de Professions Nord/North

Initiative de l’Université Laurentienne, Professions Nord/North (PNN) épaule sans frais les employeurs qui ont une pénurie de travailleurs ainsi que les professionnels formés à l’étranger qui se cherchent un emploi dans le Nord de l’Ontario.  


Financé par le ministère de la Citoyenneté et de l’Immigration du Gouvernement de l’Ontario, Professions Nord/North offre aux employeurs nord-ontariens des services de recrutement, de jumelage emploi-travailleur, de triage de CV et de rétention du personnel par l’intermédiaire de bureaux situés à Sudbury, à North Bay, à Timmins, à Thunder Bay et à Sault Ste. Marie.

 

Professions Nord/North aide aussi aux professionnels formés à l’étranger d’atteindre leurs objectifs de carrière en comblant l’écart entre l’éducation, l’expérience, la culture et l’emploi, leur permettant d’obtenir l’information, la formation et les ressources dont ils ont besoin pour poursuivre une carrière avec succès dans leur domaine dans le Nord de l’Ontario.  
 

PNN a établi une banque de données exhaustive de professionnels formés à l’étranger présélectionnés dans de nombreux domaines, tel qu’en génie, comptabilité, gestion, sciences environnementales et TI, parmi d’autres. Ces professionnels formés à l’étranger se cherchent de nouvelles possibilités dans le Nord de l’Ontario, région dans laquelle ils habitent. 
 

Au sujet de l’Université Laurentienne

La Laurentienne fait partie des universités canadiennes qui ont pris le plus d'expansion au cours de la dernière décennie, avec un effectif étudiant près de 10 000 membres. Bien que son campus principal soit situé à Sudbury, elle offre de plus en plus de programmes aux 1 200 membres de la population étudiante du campus de Barrie. La Laurentienne a l’un des plus forts taux d'emploi après l'obtention du grade en Ontario, soit 92 % dans les six mois et 95 % dans les deux ans suivant l’obtention du diplôme, et est grandement réputée pour la taille enviable de ses classes qui sont en moyenne parmi les moins nombreuses au Canada.

 

 

PERSONNES-RESSOURCES POUR LES MÉDIAS

Renseignements et entrevues :

Joanne Musico                                                                         
Chef des communications
705-675-1151, p. 3445 ou 1-800-263-4188, p. 3445                     
jmusico@laurentienne.ca                                                          

Sherry Drysdale
Communications
sdrysdale@laurentienne.ca

Amy Bouillon
Agente du marketing, Professions Nord/North
705-222-1766, p. 4  
abouillon@laurentienne.ca

 

 

 

 

 

Un test de détection réalisé à Sudbury permet de prédire les taux de survie au cancer du sein

Un test de détection réalisé à Sudbury permet de prédire les taux de survie au cancer du sein

Le test RDA a été développé par Amadeo Parissenti de Sudbury et son associé de recherche, Baoqing Guo, d’Horizon Santé-Nord (HSN).

Sudbury(7 janvier, 2014) – Un test conçu à Sudbury connaît passablement de succès pour prédire quelles patientes atteintes du cancer du sein réagiront le mieux à la chimiothérapie et vivront sans cancer pendant une durée accrue après les traitements.

 

Les résultats du test « RNA Disruption AssayMC » (RDAMC) (épreuve biologique de la destruction de l’acide ribonucléique) ont été présentés le mois dernier au symposium sur le cancer du sein qui a lieu à San Antonio, au Texas.

 

Le test RDA a été développé par le Pr Amadeo Parissenti de Sudbury et son associé de recherche, Baoqing Guo, d’Horizon Santé-Nord (HSN). Le Pr Parissenti est directeur scientifique de Rna Diagnostics, établie à Toronto et à Sudbury. Il enseigne également au Département de chimie et de biochimie de l’Université Laurentienne. En outre, il est professeur de sciences médicales à l’École de médecine du Nord de l’Ontario et chercheur affilié de l’Institut de recherche médicale avancée du Canada (IRMAC), soit l’établissement de recherche d’Horizon Santé-Nord (HSN).

 

Les résultats de recherche s’appuyaient sur 85 essais cliniques menés auprès de personnes atteintes du cancer du sein. Elles ont passé le test RDAMC à mi-chemin des traitements de chimiothérapie, puis elles ont fait l’objet d’un suivi une fois ces traitements terminés.

 

Le test RDA permet de quantifier l’effet de la chimiothérapie par rapport à la qualité de l’acide ribonucléique (ARN) dans la tumeur. Les tumeurs répondant positivement à la chimiothérapie manifeste une réduction marquée de la qualité de l’ARN (un phénomène nommé « destruction de l’acide ribonucléique »). On donne ensuite un score de destruction à la tumeur. S’il est élevé, cela signifie qu’il y a eu dégradation importante de l’ARN dans la tumeur, ce qui la rend non viable et mènera probablement à sa mort. À l’inverse, un faible score indique que la qualité de l’ARN est très peu diminuée dans la tumeur, ce qui signifie qu’elle demeure viable et susceptible de croître.  

 

La recherche a démontré que les personnes ayant un score élevé concernant la destruction de l’ARN tumoral vivent environ deux à trois ans et demi plus longtemps sans cancer que celles ayant un faible score après des traitements de chimiothérapie.      

 

« Ce nouveau test pourrait devenir l’étalon de référence permettant de prédire l’efficacité de la chimiothérapie relativement au cancer du sein, dit le Pr Parissenti. La référence actuelle permettant d’évaluer l’efficacité de la chimiothérapie se produit uniquement après la fin des traitements. Mais au moyen de la méthode RDA, pendant les traitements, on peut prédire quelles personnes y réagissent et lesquelles ne le font pas. On pourra ainsi administrer un autre traitement à celles qui ne le font pas afin de leur éviter les effets secondaires non nécessaires de la chimiothérapie. En prédisant qui ne répondra pas aux traitements et en pouvant les modifier en cours de route, on pourrait accroître les taux de survie et la qualité de vie. »   

 

« Ce sont de merveilleux résultats. L’étude montre que la méthode RDA est très efficace pour prédire quelles personnes atteintes du cancer du sein sont les plus susceptibles de bénéficier de la chimiothérapie. Cela aura une incidence importante sur leurs soins et leur capacité à vaincre le cancer », ajoute le Dr Kenneth Pritzker, président-directeur général de Rna Diagnostics.

 

L’Université Laurentienne a accordé la licence de la technologie RDA à Rna Diagnostics, soit la première commerciale jamais décernée par une université, afin que les personnes atteintes du cancer du sein dans le monde entier aient accès à cet outil de diagnostic médical. 

 

« C’est une réalisation incroyable pour la recherche médicale à Sudbury, qui montre l’importance de la recherche dans les universités et les hôpitaux, dit le vice-recteur à la Recherche et aux Affaires francophones de l’Université Laurentienne, Patrice Sawyer. La recherche sur la santé étant l’un des grands objectifs de l’Université Laurentienne, nous sommes ravis des récents développements concernant la technologie RDA. »

 

« En tant que professeur de sciences médicales à l’École de médecine du Nord de l’Ontario, M. Parissenti est un exemple éloquent de deux façons pour nos étudiantes et étudiants, explique le doyen de l’établissement, le Dr Roger Strasser. D’abord, par sa volonté d’améliorer la qualité des soins aux patients, puis par son dévouement à la recherche médicale de grande qualité. Je suis très heureux que nos étudiantes et étudiants puissent côtoyer des chercheurs de calibre international comme lui, ici dans le Nord de l’Ontario. Je félicite sincèrement le Pr Parissenti et son équipe de cette importante percée. »

 

Dans le cadre de l’étude, les tests de laboratoire ont été réalisés à Sudbury, à l’IRMAC, où Rna Diagnostics loue de telles installations. D’autres recherches évaluatives ayant trait à la méthode RDA se poursuivent à Sudbury.

 

« Félicitations au Pr Parissenti et à son équipe pour ces résultats remarquables et prometteurs, dit le président-directeur général et directeur scientifique de l’IRMAC, le Dr Francisco Diaz-Mitoma. À ce jour, la réussite de leurs travaux et la collaboration avec d’autres grands partenaires sont un bel exemple de la valeur et du potentiel associés au développement du secteur de la recherche sur la santé au Grand Sudbury. La recherche de calibre international réalisée ici a des répercussions mondiales. » 

 

« Le travail d’avant-garde du Pr Parissenti démontre une fois de plus que la recherche et les soins de santé vont de pair, ajoute le président-directeur général d’HSN, le Dr Denis Roy. Ce sont des recherches semblables qui mènent à des découvertes et à des innovations qui, ultimement, sauvent des vies. Les partenaires de soins de santé et de recherche au Grand Sudbury font preuve d’une grande initiative et d’un leadership mondial dans ce domaine. »

 

 

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Renseignements :

 

Jan Craig, Rna Diagnostics

519-822-1560

jcraig@rnadiagnostics.com

 

Joanne Musico

Chef des communications   

705-675-1151, p. 3445 ou 1-800-263-4188, p. 3445

jmusico@laurentienne.ca

 

 

Kimberley Larkin                                                

Agente des communications 

École de médecine du Nord de l’Ontario           

705-662-7243                   

kimberley.larkin@nosm.ca   

 

 

Dan Lessard, HSN et IRMAC

705-523-7118, p. 4

705-507-4031 (cellulaire)

dlessard@hsnsudbury.ca

 

Le conseil des gouverneurs de l'Université Laurentienne accueille un nouveau membre

Le conseil des gouverneurs de l'Université Laurentienne accueille un nouveau membre

L’avocate de Barrie, Rose Adams, apporte « passion et énergie » à son nouveau rôle

BARRIE, ON (16 décembre 2013) – M. Dominic Giroux, recteur et vice-chancelier, et le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne sont heureux d’annoncer la nomination de l’avocate de Barrie, Mme Rose Adams, au Conseil des gouverneurs.

 

« Nous nous réjouissons de cette nomination, a dit le recteur Giroux, et sommes très heureux d’accueillir Mme Adams, une candidate de très haut calibre qui apportera une nouvelle énergie et de la passion à son rôle au sein du Conseil. »

 

À Barrie, Mme Adams gère un cabinet juridique spécialisé dans les questions familiales et l’immobilier. Après avoir obtenu un diplôme au Collège Georgian, elle a entrepris en 1991 des études en droit à Osgoode Hall. Cette lauréate du Prix d’excellence du premier ministre en 2003 fait du bénévolat au sein de plusieurs organismes à but non lucratif, notamment Out of the Cold, les Grands frères, le Simcoe Literacy Network et le Club Rotary. Mme Adams est aussi conférencière spécialiste de la motivation dont l’histoire personnelle est une source d’inspiration.

 

Son conjoint, Marc Fortin, est diplômé de l’Université Laurentienne et originaire de Sudbury.

 

« Le Conseil est heureux d’accueillir Mme Adams comme collègue et partenaire pour les projets à l’horizon, a dit M. Michael Atkins, président du Conseil. Sa vision et son engagement seront de précieux atouts pour notre Conseil alors que nous continuons de développer nos plans pour un campus à Barrie. »

 

La Laurentienne s’engage à verser 14 000 000 $ pour la création d’un campus central et autonome à Barrie afin d’élargir les études universitaires offertes dans les régions de Simcoe et du Grand Toronto. La Ville de Barrie a également promis d’y investir le même montant.

 

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La Laurentienne rend hommage à la « batisseuse de ponts » Gisèle Chrétien

La Laurentienne rend hommage à la « batisseuse de ponts » Gisèle Chrétien

On célèbrera aussi l’installation du chancelier Steve Paikin à la Collation des grades d’automne

25 octobre 2013 – Ex-présidente du Collège Boréal et chef de file communautaire de longue date dans le Grand Sudbury, Mme Gisèle Chrétien recevra un doctorat honorifique le 26 octobre lors de la Collation des grades d’automne de l’Université Laurentienne. Diplômée en sciences infirmières de la Laurentienne et titulaire d’une maîtrise en éducation, Mme Chrétien participe activement à l’éducation et à la formation en Ontario et a joué un rôle clé dans la création du Collège Boréal.   

 

« Les années de travail de Mme Chrétien dans les sciences infirmières et le domaine plus vaste de l’enseignement postsecondaire, a dit M. Dominic Giroux, recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, se sont traduites par des résultats concrets et de grandes réussites. Son dévouement et ses réalisations ont permis de jeter des bases pour l’apprentissage des jeunes de la province, et ses efforts ont contribué à l’amélioration de notre communauté. »   

 

De 1998 à 2006, elle a été présidente du Collège Boréal. Ex-présidente du conseil de direction de l’Hôpital régional de Sudbury, elle siège au Conseil ontarien de la qualité de l’enseignement supérieur (COQES). Elle a été nommée au conseil des gouverneurs de l’Office de la télécommunication éducative de l’Ontario (TVOntario) en 2002 et est, depuis 2007, présidente de TFO, le service culturel et éducatif de télévision de langue française en Ontario.   

 

« Nous sommes très reconnaissants envers Mme Chrétien pour la façon dont elle a développé la conscience communautaire parmi les Franco-Ontariens, a ajouté M. Patrice Sawyer, PhD, Vice-recteur, affaires francophones et à la recherche à l’Université Laurentienne. Elle est devenue une championne des services de santé en langue française et est un porte-parole inlassable de l’éducation au sein de la communauté francophone. »   

 

La Collation des grades de la Laurentienne est aussi le premier événement officiel auquel assistera M. Steve Paikin dans le cadre de ses fonctions de nouveau chancelier de l’Université. Le samedi 26 octobre, pendant la cérémonie de collation des grades en matinée, le chef d’antenne-directeur principal de l’émission d’actualité The Agenda with Steve Paikin à TVO sera installé comme chancelier. « C’est un honneur pour moi, dit-il, de présider la collation des grades des 500 personnes qui recevront un diplôme cet automne. Chacune d’entre elles a franchi une étape importante avec l’appui de sa famille et de ses amis et je suis très heureux de faire partie de leurs célébrations. » 

 

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Au sujet de l’Université Laurentienne

La Laurentienne fait partie des universités canadiennes qui ont pris le plus d'expansion au cours de la dernière décennie, avec un effectif étudiant près de 10 000 membres. Bien que son campus principal soit situé à Sudbury, elle offre de plus en plus de programmes aux membres de la population étudiante du campus de Barrie. La Laurentienne a l’un des plus forts taux d'emploi après l'obtention du grade en Ontario, soit 92 % dans les six mois et 95 % dans les deux ans suivant l’obtention du diplôme, et est grandement réputée pour la taille enviable de ses classes qui sont en moyenne parmi les moins nombreuses au Canada.

 

PERSONNES-RESSOURCES POUR LES MÉDIAS Renseignements et entrevues 

Joanne Musico                                                                            

Chef des communications                                                              

705-675-1151, p. 3445 ou 1-800-263-4188, p. 3445                         

jmusico@laurentienne.ca     

                                                         

Sherry Drysdale, Communications 

705-675-1151, p. 3412  Cellulaire: 705-698-4702 

sdrysdale@laurentienne.ca

La Laurentienne souligne l'excellence en enseignement et les boursiers des Doyens

La Laurentienne souligne l'excellence en enseignement et les boursiers des Doyens

Célébration des membres du corps professoral « choisis par la population étudiante » et des réalisations des étudiants lors de leur première année d’étude

Sudbury ON (30 novembre 2013) – L’Université Laurentienne et le Centre d’excellence universitaire (CEU) ont organisé en novembre une célébration des premiers Prix du choix de la population étudiante, au cours de laquelle on a aussi reconnu 70 membres de la population étudiante qui ont obtenu d’excellents résultats scolaires lors de leur première année d’étude.

 

Le vice-recteur aux études, M. Robert Kerr, Ph.D., a remis un certificat de reconnaissance à chacune des personnes ayant obtenu une moyenne de 80 % ou plus pendant la première année d’études.

 

« Nous savons qu’il faut travailler fort et persévérer afin d’obtenir de telles notes pendant les 30 premiers crédits universitaires, a dit la directrice du CEU, Mme Christine Blais, Ph.D. Il est en effet important de célébrer les réussites des étudiants. Figurer au Palmarès du doyen est en effet tout un accomplissement. »

 

Pendant la cérémonie tenue dans le Salon des anciens, on a remis les premiers Prix du choix de la population étudiante pour souligner l’excellence en enseignement à partir de candidatures proposées par quelque 250 étudiants sur les campus de Sudbury et de Barrie. Chaque année, des prix seront décernés à deux membres du corps professoral qui donnent des cours de première année, l’un en anglais, l’autre en français. En 2013, la population étudiante a choisi d’attribuer ces prix à M. Rizwan Haq, au Département de physique, et à Mme Suzanne Lamothe, au Département de biologie. Les deux lauréats recevront chacun une plaque commémorative ainsi qu’un chèque de 1 000 $.

 

L’Université Laurentienne et le Centre d’excellence universitaire tiennent à remercier tous les membres de la population étudiante qui ont participé au processus de mise en candidature et félicitent les membres de la population étudiante et du corps professoral à qui on a rendu hommage.

 

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Laurentian Hosts Science and Humanities Forum on Extinction

Laurentian Hosts Science and Humanities Forum on Extinction

Unique international symposium will combine philosophy, conservation biology

Photo of Polar BearNovember 6, 2013 – Conservation biology, increasing threats to habitat, and the growing list of species at risk are all on the agenda—alongside ethical and philosophical aspects of extinction—at a unique international symposium to be held at Laurentian University this month.   

 

“Thinking Extinction,”  November 14-16, will address and discuss a range of approaches to the crisis of mass extinction in an unprecedented gathering of leading thinkers, researchers and scientists from Canada, the U.S., Australia and New Zealand.  

 

The symposium is organized and hosted by Laurentian University’s Centre for Evolutionary Ecology and Ethical Conservation (CEEEC) and will include talks, panel discussions, roundtables and evening events dealing with numerous aspects of endangered species conservation.  The events are free and open to the public.

 

“The innovative aspect of our symposium is that it brings the humanities into what is typically treated as a scientific discussion,” said Laurentian University professor and Canada Research Chair in Applied Evolutionary Ecology, Albrecht Schulte-Hostedde.  “We think this approach recognizes that all of us are facing fundamental questions about our role in protecting the diversity of species on this planet, and we hope the symposium will add new dimensions to the conversation.”

 

On Friday, November 15th, Conservation Biologist Stuart Pimm will speak at a public plenary session entitled Extinctions: When, Where, How Fast, and What We Can Do to Stop Them.  Pimm, the Doris Duke Professor of Conservation Ecology at Duke University and Chair of SavingSpecies.org, has worked on ecosystem restoration in the Everglades, the coastal forests of Brazil, and the savannas of southern Africa.

 

During the day’s proceeding’s on Friday, noted Canadian authors and wilderness advocates Margaret Atwood and Graeme Gibson will take part in a roundtable discussion on the future of endangered species conservation.   The curator of reproductive programs at the Toronto Zoo, Gabriela Mastromonaco, and Bridget Stuchbury, author and expert in threats to songbird populations, will also be part of Friday’s round-table.

 

Among the many topics to be covered during the conference, expert speakers will discuss the use of reproductive technology in efforts to preserve and even resurrect threatened or extinct species.  “People often think the idea of recreating the wooly mammoth in a lab is science fiction, but in fact the existing technology allows us to contemplate the revival of species that have vanished, “ said professor Brett Buchanan, Chair of the Philosophy Department at Laurentian University.   “This is but one of the potential solutions to our extinction crisis that opens up many of the philosophical questions we are exploring at the symposium.”

 

The full agenda for Thinking Extinction can be viewed at http://thinkingextinction.com/program/

 

 

About Laurentian University

 

Laurentian University is one of the fastest growing universities in Canada in the past decade, now serving close to 10,000 students. With its main campus in Sudbury, it now offers a growing number of programs in Barrie to the 1,200 students located on that campus. Laurentian has the highest post-graduation employment rates in Ontario after 6 months at 92% and 95% after two years. The University receives high recognition for its enviable class sizes, having one of the lowest average class sizes in Canada.

 

Grande ouverture de l’École d’architecture

Grande ouverture de l’École d’architecture

La nouvelle École créera des emplois et des possibilités pour les générations à venir, déclare la première ministre de l’Ontario

4 septembre 2013 – La première ministre de l’Ontario, Mme Kathleen Wynne, a inauguré aujourd’hui l’École d’architecture de l’Université Laurentienne, la première école d’architecture au Canada depuis 45 ans, en coupant le ruban de cérémonie.

 

La première ministre avait à ses côtés le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux, le ministre d’État au Développement économique régional (Nord de l’Ontario), l’honorable Greg Rickford, et la mairesse du Grand Sudbury, Mme Marianne Matichuk, et était également entourée par les membres de la première promotion de l’École (automne 2013).

 

« Ce programme se traduira par des postes intéressants et d’excellentes possibilités pour beaucoup de jeunes gens ici dans la Nord, a dit la première ministre Wynne. Nous sommes très fiers d’avoir apporté notre appui à l’Université Laurentienne pour aider à cultiver les talents dans cette collectivité et à faciliter le lancement de fructueuses carrières. »

 

Constituée de 70 étudiants, la première cohorte suivra un cursus fortement axé sur les pratiques de conception durable et de design intégrant l’environnement naturel. L’École offrira également le seul programme de maîtrise en architecture, en langue française, à l’extérieur du Québec. D’ici septembre 2018, l’École accueillera dans un bâtiment conçu par LGA-Architectural Partners 400 étudiants et plus de 30 membres du corps professoral et du personnel.

 

« Grâce à des investissements stratégiques comme celui-ci, a dit le ministre Rickford, notre gouvernement appuie fièrement des projets qui se traduisent par des possibilités intéressantes pour les jeunes de notre région. En investissant dans les priorités locales et en collaborant avec de solides partenaires communautaires comme l’Université Laurentienne, notre gouvernement remplit ses engagements quant au soutien de projets innovateurs animant la création d’emplois et la croissance économique tout en posant les bases d’une prospérité à long terme dans le nord de l’Ontario. »

 

« C’est une nouvelle période passionnante qui commence pour la Laurentienne, l’Ontario et les communautés d’architecture et de design, a déclaré le recteur Giroux. Soixante-dix personnes viennent d'entreprendre leurs études et, au fil du temps, des centaines d’autres suivront. Elles représentent le noyau d’une culture de design, radieuse et féconde, et laisseront leur marque dans les diverses collectivités, ici et à l’étranger, pendant nombre d’années. »

 

« L’École d’architecture de la Laurentienne ravive déjà les énergies et produit de l’excitation au cœur de notre ville, a dit Mme Marianne Matichuk, mairesse du Grand Sudbury. À mesure que l’École grandit et prend de l’ampleur, elle appuiera nos industries de création tout en multipliant les possibilités offertes dans notre ville et partout dans le Nord. »

 

 

Dans sa phase inaugurale, l’École d’architecture est aménagée dans deux bâtiments historiques au centre-ville de Sudbury, à savoir le CPR Telegraph Building CPR (1914) et le CPR Rail Shed (1905), qui ont été rénovés et adaptés pour offrir des espaces studio/atelier, des salles de réunion et des bureaux, tout en gardant un certain nombre de particularités du design d’origine.

 

Dès 2014, la deuxième phase du projet verra ériger une nouvelle construction de 65 000 pieds carrés incorporant les bâtiments actuels et offrant une bibliothèque, une salle de conférence et un atelier. L’École présentera également la première utilisation à grande échelle de bois lamellé-croisé dans un bâtiment public en Ontario, grâce à l’appui du Centre de recherche sur la bioéconomie (CRIBE).

 

« Notre école constituera un outil de formation, a ajouté le directeur fondateur d’Architecture Laurentienne, M. Terrance Galvin, et sera un site d’apprentissage fondé sur les cultures francophone et autochtone, la conception dans les villes d’hiver et l’utilisation de matériaux naturels. Nous sommes persuadés que le mandat de notre cursus et les talents et intérêts hétérogènes de notre corps professoral et de notre population étudiante donneront un caractère exceptionnel à notre école dans le domaine de l’architecture canadienne. »

 

Ribbon cutting at School of Architecture

Michael Atkins, Blaine Nicholls, Marianne Matichuk, Greg Rickford, Kathleen Wynne, Rick Bartolucci, Steve Miller, Douglas Cardinal, Terrance Galvin, Dominic Giroux.

 

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

La Laurentienne fait partie des universités canadiennes qui ont pris le plus d'expansion au cours de la dernière décennie, avec un effectif étudiant près de 10 000 membres. Bien que son campus principal soit situé à Sudbury, elle offre quelque 175 programmes, y compris de plus en plus de programmes aux 1 200 membres de la population étudiante du campus de Barrie, qui est à l’horizon. La Laurentienne a l’un des plus forts taux d'emploi après l'obtention du grade en Ontario, soit 92 % dans les six mois et 95 % dans les deux ans suivant l’obtention du diplôme, et est grandement réputée pour la taille enviable de ses classes qui sont en moyenne parmi les moins nombreuses au Canada.

 

 

 

Employés de l’UL sont aux commandes de l’objectif de l’université en matière d’excellence organisationnelle

Employés de l’UL sont aux commandes de l’objectif de l’université en matière d’excellence organisationnelle

Le dernier sondage sur l’engagement des employés dénote un élan positif

28 août 2013 – Le plus récent sondage sur l’engagement des employés révèle que l'excellence organisationnelle visée dans le plan stratégique de la Laurentienne avance à grands pas. Les résultats du sondage mené tous les deux ans qui mesure 20 facteurs d’engagement des employés ont été communiqués cette semaine au corps professoral et au personnel et révèlent des progrès dans les 20 domaines.

 

En 2011, la Laurentienne a effectué le premier sondage sur l’engagement des employés, Exprimez-vous, afin de lancer le débat avec les employés de la communauté universitaire. Cette année-là, 535 membres de la communauté de la Laurentienne y ont participé. En 2013, on a recueilli les réponses de 602 employés.

 

« Le sondage Exprimez-vous consiste à écouter notre corps professoral et notre personnel pour avoir leur opinion sur ce qui fonctionne et ce qui devrait être amélioré, a déclaré le recteur et vice-chancelier par intérim, M. Robert Kerr. Nous ne serons jamais l’organisation à laquelle nous aspirons si nous n’écoutons pas nos membres. »

 

M. Kerr a dit que le sondage est une source de commentaires qui font partie d’une discussion permanente menée sur le campus au sujet de l’excellence organisationnelle. « C’est une conversation sur ce qu’il faut avoir pour être une bonne organisation, et un débat franc sur ce qu’il faut faire, dit-il. Ce n'est pas seulement un processus échelonné sur deux ans. En effet, nous sommes déterminés à atteindre notre objectif, et le sondage montre que certains éléments sur lesquels nous mettons l’accent font une différence pour nos employés. »

 

Les résultats du sondage de 2011 ont donné lieu à diverses mesures précises qui ont été intégrées dans le plan stratégique quinquennal de l’Université. Elles incluent des investissements de plus de :

  • 1,4 million de dollars pour créer le Centre d’excellence universitaire
  • 1,8 million de dollars pour améliorer les possibilités de formation et de perfectionnement des employés
  • 2 millions de dollars pour moderniser les services alimentaires
  • 44 millions de dollars pour améliorer les installations du campus

 

M. Kerr indique que l’Université continuera de solliciter l’opinion de la communauté universitaire et d’en tenir compte, et discutera de diverses initiatives et orientations dans le cadre du processus permanent d’engagement des employés.

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

La Laurentienne fait partie des universités canadiennes qui ont pris le plus d'expansion au cours de la dernière décennie, avec un effectif étudiant près de 10 000 membres. Bien que son campus principal soit situé à Sudbury, elle offre de plus en plus de programmes aux 1 200 membres de la population étudiante du campus de Barrie. La Laurentienne a l’un des plus forts taux d'emploi après l'obtention du grade en Ontario, soit 92 % dans les six mois et 95 % dans les deux ans suivant l’obtention du diplôme, et est grandement réputée pour la taille enviable de ses classes qui sont en moyenne parmi les moins nombreuses au Canada.

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