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Fondation canadienne pour l’innovation : fonds à l’appui de la recherche à la Laurentienne

Fondation canadienne pour l’innovation : fonds à l’appui de la recherche à la Laurentienne

Le titulaire de la Chaire de recherche du Canada en nanomatériaux polymères, M. Zhibin Ye, reçoit une bourse de recherche

14 avril 2014 – L’Université Laurentienne est fière de féliciter M. Zhibin Ye (Ph.D) qui a reçu une bourse de recherche du Fonds des chefs de file John R. Evans.

 

Cette bourse, d’un montant de 83 112 $, annoncée aujourd’hui à Ottawa par la Fondation canadienne pour l’innovation (FCI), viendra renforcer le soutien au développement de divers nanomatériaux polymères destinés à des applications avancées.

 

Professeur de l’École de génie Bharti ainsi qu’au Département de chimie et biochimie de l’Université Laurentienne, M. Zhibin Ye et son équipe s’emploient depuis à développer de nouvelles applications de ces matériaux, notamment des matériaux d’électrode nanostructurée pour le stockage d’énergie dans des supercondensateurs, des nanobaguettes d’or fonctionnalisées pour le traitement de cancer et des catalyseurs métalliques nanocompartimentés pour réactions chimiques.

 

« Les applications potentielles des travaux du professeur Ye sont impressionnantes et pourront même changer la donne dans de très nombreux domaines, a indiqué le doyen intérimaire de la Faculté des sciences et du génie, M. Osman Abou-Rabia. Nous tenons à le féliciter, de même que son équipe, pour cette nouvelle marque de distinction que leur a value leur recherche importante. »

 

Mis à disposition par l’entremise de la Fondation canadienne pour l’innovation, le Fonds des chefs de file John R. Evans (anciennement Fonds des leaders) aide les établissements canadiens à attirer et à fidéliser des chercheurs de premier plan, aujourd’hui et demain, en leur offrant la possibilité de :
 

  • se doter d’infrastructure permettant aux professeurs éminents de mener des recherches de pointe;
     
  • créer à l’appui de la recherche des programmes compétitifs sous la forme d’infrastructure, de même qu’une partie des coûts d’exploitation et d’entretien financés par la FCI, et des coûts directs de la recherche couverts par les organisations partenaires.
     

On honore Pamela Rose Toulouse pour l'excellence en enseignement

On honore Pamela Rose Toulouse pour l'excellence en enseignement

La professeure de la Laurentienne tient compte de la philosophie autochtone de l’enseignement afin de cultiver des relations entre les membres de la population étudiante

2 Avril, 2014 - Pamela Rose Toulouse, Ph.D., est lauréate du Prix d’excellence en enseignement de 2013-2014 pour le corps professoral à plein temps de l’Université Laurentienne. 

Professeure agrégée dans l’École anglophone des sciences de l’éducation à l’UL, Mme Toulouse en est actuellement à sa 21e année d’enseignement en milieu d’éducation formelle. Son approche comme éducatrice se caractérise par le zèle qu’elle déploie envers l’enseignement et la promotion de communauté en salle de cours. 

« “Kinoomaage” est le mot ojibwé qui se rapproche le plus à “enseignement”, a expliqué Mme Toulouse. Tous mes étudiants – anciens, actuels et futurs – sont effectivement les meilleurs éducateurs que j’ai et sont une composante essentielle du Kinoomaage qui m’inspire à m’organiser, à faire des recherches et à préparer un milieu d’apprentissage qui rend hommage à chacun d’entre eux. » 

Originaire de la Première Nation de Sagamok, Pamela Rose Toulouse est une fière Ojibwé/Odawa reconnue pour ses contributions à l’éducation des Premières Nations, Métis et Inuits. « Grâce à son enseignement, a dit le vice-recteur aux études à l’UL, Robert Kerr, Mme Toulouse avance un milieu d’apprentissage adapté à la culture que nous tentons de favoriser à la Laurentienne. Elle s’attire le respect tant de ses étudiants que de ses collègues, qui admirent son zèle et son engagement envers sa profession. » 

L’approche de Mme Toulouse préconise les relations profondes entre les camarades de classe et leur offre un endroit sûr où discuter et explorer les questions touchant le domaine de l’éducation. « Les enseignants les plus mémorables sont ceux qui ont confiance en nous, nous poussent toujours à nous améliorer, nous encouragent à poursuivre les études et nous aident à tirer des leçons de nos erreurs afin que nous puissions réussir, ont indiqué les étudiants du cours de méthodes de Mme Toulouse dans leur lettre de mise en candidature. C’est Pamela Toulouse qui nous vient continuellement à l’esprit car elle est une éducatrice exceptionnelle qui affiche toutes ces qualités et encourage ses étudiants à simplement toujours faire de leur mieux dans tout ce qu’ils font. » 

Le prix officiel lui sera remis lors de la Collation des grades du printemps 2014

Trois étudiants de l’UL reçoivent un prix lors de la Journée de la biologie de l’Ontario

Trois étudiants de l’UL reçoivent un prix lors de la Journée de la biologie de l’Ontario

31 membres de la population étudiante, du personnel et du corps professoral de l’UL ont participé.

23 Mars, 2014 - L’équipe d’étudiants de quatrième année de l’UL a assisté à la Journée de la biologie de l’Ontario qui a eu lieu le 22 et 23 Mars à l’Université de Toronto (Mississauga). Environ 240 personnes ont participé à ce congrès, dont 31 membres de la population étudiante, du personnel et du corps professoral de l’UL. Les membres de notre population étudiante ont prononcé 24 communications et trois d’entre eux ont reçu des prix.

  • William Mekers (sous la direction de M. Persinger) a gagné le prix du meilleur exposé dans la catégorie de la neuroanatomie.
  • Andrea Mendler (sous la direction de D. Lesbarrères et de J. Litzgus) a gagné le prix du meilleur exposé dans la catégorie de la conservation.
  • Sarah Tessier (sous la direction de L. Sutherland) a gagné un prix d’excellence dans la catégorie de la biologie cellulaire et moléculaire.

Félicitations à l’équipe dévouée de l’UL.

Des membres de la population étudiante de l’UL gagnent les Jeux infirmiers 2014

Des membres de la population étudiante de l’UL gagnent les Jeux infirmiers 2014

UL a remporté les Jeux infirmiers 2014 tenus à l’Université de Toronto

22 Mars, 2014 - Le 22 mars, des membres de la population étudiante des programmes anglophone et francophone en sciences infirmières de l’UL ont remporté les Jeux infirmiers 2014 tenus à l’Université de Toronto. L’équipe était composée de 16 membres francophones et de 14 membres anglophones de la population étudiante en sciences infirmières. Le groupe a représenté fièrement la Laurentienne en faisant concurrence à huit autres équipes d’établissements ontariens dans des épreuves de questions, de compétences, de scénarios et de sports.

L’équipe de la Laurentienne a obtenu les meilleurs résultats pour l’évaluation et le recours aux interventions appropriées dans les soins de leur patient. En outre, tout au long des épreuves, l’équipe a fait preuve de bienveillance et de soins axés sur le patient et a reçu des éloges touchant leur rendement pendant l’épreuve de scénarios.

Félicitations à tous les membres de l’équipe.

Feuille de route sur la dualité linguistique: une conférence de l'honorable Stéphane Dion

Feuille de route sur la dualité linguistique: une conférence de l'honorable Stéphane Dion

Accueillie par l'IFO et l'ACFAS-Sudbury

21 mars, 2014 - L’Institut franco-ontarien et l’ACFAS-Sudbury ont accueilli aujourd’hui l’honorable Stéphane Dion dans le cadre de sa conférence intitulée « Regard critique sur la Feuille de route ». Cet événement s’inscrit parmi la vingtaine d’activités, de conférences scientifiques et de spectacles appuyés par le Bureau des affaires francophones de l’Université Laurentienne à l’occasion du mois de la francophonie.

 

Lors de sa présentation, M. Dion a notamment posé un regard analytique sur les actions du gouvernement fédéral en matières de langues officielles, de la mise en œuvre du Plan d’action pour les langues officielles en 2003 et ce, jusqu’à l’établissement de la Feuille de route sur la dualité linguistique canadienne 2013-2018. M. Dion a conclu sa conférence en exposant sa vision quant à l’importance des langues officielles au sein du gouvernement du Canada.

 

« Il est de notre devoir à tous d’œuvrer au respect de notre identité canadienne à travers ce qu’elle a de plus chère : ses deux langues officielles, souligne Stéphane Dion. Cette réflexion s’avère particulièrement importante dans les communautés linguistiques minoritaires où des piliers, tels que l’Université Laurentienne, travaillent sans relâche au rayonnement de notre culture distincte ainsi qu’à l’épanouissement de nos régions. »

L'Université Laurentienne crée de nouvelles facultés en santé, éducation et études supérieures

L'Université Laurentienne crée de nouvelles facultés en santé, éducation et études supérieures

Nouvelle structure des facultés, ce qui se traduit par une réorganisation de nombreux départements et écoles de l’UL.

Le Sénat de l’Université Laurentienne a approuvé une nouvelle structure des facultés, ce qui se traduit par une réorganisation de nombreux départements et écoles de l’UL. 
 

La Faculté de la santé et la Faculté de l’éducation remplaceront la Faculté des écoles professionnelles. La Faculté des sciences et de génie portera dorénavant le nom de Faculté des sciences, de génie et d’architecture. La Faculté des sciences sociales et la Faculté des humanités seront unifiées dans la Faculté des arts et l’École des études supérieures deviendra la Faculté des études supérieures. 
 

« La réorganisation de certains de nos programmes d’enseignement, indique le vice-recteur aux études, M. Robert Kerr, facilitera la promotion des études interdisciplinaires et le développement de nouveaux programmes et de nouvelles options de programmes. » 
 

La création de la Faculte de la santé est l’un des résultats indiqués dans le Plan stratégique 2012-2017 de l’Université, selon lequel on regrouperait les programmes professionnels de la santé dans une faculté, ce qui fera de la Laurentienne un chef de file dans l’éducation et la santé interprofessionnelle. La décision d’aujourd’hui découle de consultations étendues au sein de la communauté universitaire depuis le début de 2012. 


La nouvelle Faculté de la santé comprendra les écoles des sciences de l’activité physique, des relations autochtones, des sciences infirmières, de santé dans les milieux ruraux et du nord et de service social, les programmes de formation des sages-femmes et d’orthophonie et le Département de gérontologie de l’Université Huntington. 
 

La Faculté des sciences, de génie et d’architecture a été rebaptisée et comptera les départements de biologie, de chimie et de biochimie, des sciences de la Terre, des sciences médico-légales, de mathématiques et d’informatique et de physique, l’École de génie Bharti qui a été fondée en octobre 2011, la nouvelle École d’architecture qui a accueilli sa première promotion de 70 étudiants en septembre 2013 et l’École de l’environnement qui a vu le jour plus tôt cette année. 
 

La nouvelle Faculté de l’éducation inclura les écoles anglophone et francophone des sciences de l’éducation. 
 

La nouvelle Faculté des arts comprendra les départements de science économique, d’anglais, d’études françaises, de géographie, d’histoire, de droit et justice, de langues et des littératures modernes, de musique, de philosophie, de science politique, de psychologie et de sociologie, la nouvelle École des Études du Nord et des communautés, le programme de maîtrise interdisciplinaire en humanités, le doctorat en sciences humaines et la plupart des départements des établissements fédérés et affiliés de la Laurentienne (études classiques, communication publique, études en communication, folklore et ethnologie, études autochtones, philosophie, sciences religieuses, art dramatique, études sur la femme). 
 

La nouvelle Faculté des études supérieures traduit bien l’importance grandissante des 38 programmes de maîtrise et de doctorat de l’Université. Les demandes d’admission aux programmes d’études supérieures sont en hausse de 60 % pour l’automne 2014. Deux programmes de maîtrise verront aussi le jour cet automne : la M.A. en relations autochtones et la maîtrise en sciences infirmières. 


Aucun changement n’a été apporté à la Faculté de gestion, à la Faculté de médecine (École de médecine du Nord de l’Ontario) et à l’École des mines Goodman. 

La Faculté de gestion continuera de comprendre l’École de commerce et d’administration et l’École d’administration des sports. 

La Faculté de médecine (École de médecine du Nord de l’Ontario) continue d’offrir un programme d’enseignement médical de premier cycle, des programmes d’internat au niveau supérieur, une formation continue et du perfectionnement professionnel et des programmes d’enseignement interprofessionnel. 

L’École des mines Goodman a été créée en 2013 avec l’objectif d’élargir le cadre des majeures et des mineurs pluridisciplinaires afin de rehausser les compétences des futurs professionnels de l’exploration minérale et de l’exploitation minière, de favoriser la création de programmes de calibre international destinés aux cadres dans les cinq domaines clés du cycle minier, à savoir l’exploration minérale, la faisabilité de projets, le développement de mines, la fermeture de mines et la surveillance. 

Vic Pakalnis de MIRARCO remporte le Prix d’honneur en éducation de 2014 de Minerva

Vic Pakalnis de MIRARCO remporte le Prix d’honneur en éducation de 2014 de Minerva

Pakalnis fait preuve d’un ferme engagement envers la promotion de la santé et de la sécurité.

18 mars, 2014 - Ce prix souligne les contributions de longue date qu’apporte une personne à l’avancement de l’éducation en santé et sécurité dans les établissements d’enseignement postsecondaire au Canada.

PDG de MIRARCO à l’Université Laurentienne, Vic Pakalnis, P.Eng., fait preuve d’un ferme engagement envers la promotion de la santé et de la sécurité. Depuis le début des années 1990, il contribue de façon importante aux programmes et aux ressources de Minerva en matière de santé et de sécurité et surveille la mise au point de modules d’enseignement scolaire touchant la gestion des risques, les codes et les règlements.

M. Pakalnis continue d’assurer la promotion et l’enseignement de la santé et de la sécurité à MIRARCO et a joué un rôle clé pour nouer des partenariats entre Minerva et les universités, le gouvernement et l’industrie.

L'AJEFO remet des bourses d'études à deux étudiantes pour encourager la relève en français

L'AJEFO remet des bourses d'études à deux étudiantes pour encourager la relève en français

(AJEFO) remet deux bourses d’études Carrières en justice à des étudiant(e)s pour les appuyer dans la poursuite de leurs études en français dans le domaine de la justice et ainsi encourager une relève professionnelle de qualité en Ontario.

25 février, 2014 - Pour la cinquième année, l’Association des juristes d’expression française de l’Ontario (AJEFO) remet deux bourses d’études Carrières en justice à des étudiant(e)s pour les appuyer dans la poursuite de leurs études en français dans le domaine de la justice et ainsi encourager une relève professionnelle de qualité en Ontario. 

 

Cette année, ce sont les candidatures de deux jeunes femmes qui ont été retenues par le Comité de sélection. Celui-ci a particulièrement apprécié l’attachement de ces deux étudiantes à la culture franco-ontarienne, leur fort désir de travailler en français, ainsi que leur volonté de contribuer au développement de leur communauté. Ainsi, Vivian Ellery, étudiante au programme Droit et justice de l’Université Laurentienne, et Lydie Fagnia, étudiante au programme d’adjoint(e) juridique du Collège Boréal, ont été les deux étudiantes sélectionnées par le Comité pour recevoir chacune une bourse de 1 000 $.

 

Vivian Ellery aspire à travailler en droit criminel dans le nord de l’Ontario. Fille de deux parents anglophones, elle a suivi toutes ses études à l’école française. Elle n’a jamais vu le français comme une « commodité » mais une véritable motivation. Vivian a à son compte plusieurs engagements communautaires dont celui au sein du Centre de recherche de la justice sociale et de la Politique avec qui elle travaille sur les sujets de pauvreté, de sans-abrisme et de migration.

 

« L’Université Laurentienne est fière de l’excellence académique et communautaire que récompense aujourd’hui cette bourse de l’AJEFO. En faisant de la Laurentienne leur université de choix, des milliers d’étudiants tels que Vivian trouvent chaque année en nos programmes, l’espace privilégié où exprimer leurs nombreux talents et contribuer pleinement à leur communauté » déclare Dominic Giroux, recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne.

 

Originaire du Cameroun, Lydie Fagnia a vécu de près une situation d’injustice dans son pays qui a forgé son envie de faire des études dans le domaine de la justice ainsi que son respect pour le Canada en tant que pays où les droits de la personne sont respectés. Parallèlement à ses études, elle s’implique dans plusieurs activités communautaires touchant les immigrants, notamment des ateliers de sensibilisation à la justice.

 

« Au nom de la famille Boréal, il me fait plaisir de féliciter Lydie Fagnia, étudiante au programme d’adjointe juridique, pour l’obtention de cette bourse bien méritée, souligne Pierre Riopel, président du Collège Boréal. La communauté francophone a accès à une gamme complète de services juridiques en français et, grâce à cette bourse, Lydie pourra parfaire ses connaissances afin de contribuer à l’offre de services en français de qualité à sa clientèle lorsqu’elle intégrera le marché du travail. » 

 

L’AJEFO est très fière de reconnaître l’implication et la motivation de ces étudiantes pour promouvoir le français dans leur communauté et dans leur future pratique professionnelle, et se réjouit de pouvoir les appuyer dans leur projet d’études post-secondaires. 

 

L’AJEFO est un organisme à but non lucratif qui fait la promotion de l’accès à la justice en français en Ontario

L'Université Laurentienne amorce la modernisation du campus

L'Université Laurentienne amorce la modernisation du campus

Grand Salon rajeuni et meilleur choix de repas dès l’automne 2014


20 février, 2014 - Le coup d’envoi du grand projet de modernisation du campus de l’Université Laurentienne à Sudbury sera donné au printemps, à la fin de l’année universitaire en cours, avec le début des travaux de rénovation du Grand Salon, un lieu emblématique vieux de 60 ans. Le contrat de 2 090 000 $ a été attribué à Capital Construction, une société établie à Sudbury.

 

« Au terme des travaux de rénovation prévus, le Grand Salon sera un endroit accueillant et chaleureux, une salle à manger et de rassemblement offrant de nombreux agréments aux étudiants, aux membres du personnel et aux visiteurs du campus, a déclaré le directeur des Services de logement et d’alimentation, M. Ben Demianiuk. Nous sommes persuadés que la reconfiguration de ce haut lieu vénérable de la Laurentienne en fera un nouvel attrait invitant. »

 

En effet, à voir les rendus d’artistes du nouveau design, le Grand Salon sera doté de luminaires et de mobilier modernes, de même qu’une gamme de sièges confortables. Les services de restauration prévus, et qui seront assurés par Aramark Food Services sous le nom de Fresh Food Company, ont également été repensés pour offrir une expérience culinaire de « style marché ».

 

« Au cours de nos consultations sur le campus, explique M. Demianiuk, nous avons appris que les étudiants veulent voir offrir un menu très varié, plus d’aliments frais et un grand choix de repas santé. Le style marché nous permettra donc de répondre à leurs attentes, tous les jours, avec douze comptoirs d’alimentation des plus divers, à la différence des trois comptoirs actuels. » La Fresh Food Co. proposera également sur ses cartes de menus de jour plus de fruits et légumes cultivés dans la région ainsi qu’un éventail de produits alimentaires d’origine locale. Par ailleurs, l’Université poursuit sa recherche de nouvelles possibilités auprès des fournisseurs locaux d’aliments et de boissons locales afin que ceux-ci puissent offrir leurs produits sur le campus.

 

Côté fonctionnement, le marché sera comme un plateau gastronomique complet, genre « tous les aliments que vous souhaitez manger », un choix illimité à prix fixe à chaque période de repas. En d’autres termes, cela sera très économique grâce aussi aux nouveaux plans de repas prévus, allant du plan de repas étudiant désigné par résidence (Résidence des étudiants célibataires, Collège universitaire, Résidence Est et Résidence Ouest) au plan de repas facultatif pour les membres du corps professoral, du personnel et de la population étudiante dans les résidences non désignées.

 

« En mettant en place un plan de repas pour la plupart des étudiants en résidence, a déclaré la vice-rectrice à l’administration, Mme Carol McAulay, nous suivons en cela la majorité des universités canadiennes. Il s’agit d’une approche qui consiste à offrir aux étudiants et à leur famille l’assurance d’un choix de repas frais et nourrissant à un prix raisonnable au cours de toute l’année universitaire. »

 

Comme il a été indiqué, la rénovation du Grand Salon amorce un vaste programme de modernisation du campus qui a reçu le feu vert du Conseil des gouverneurs et qui est mis en avant dans le Plan stratégique 2012-2017 de l’Université Laurentienne. Ce programme, chiffré à 50 000 000 $, verra moderniser au cours des trois prochaines années de nombreux locaux, soit des  salles de classe, des laboratoires, des zones d’étude et des espaces sociaux.

 

« Ce projet est la première revalorisation importante de certaines parties du campus de Sudbury, a précisé le directeur général du Service des installations et de la planification, M. Brad Parkes, et l’objectif est de moderniser nos installations tout en optimisant l’espace et en simplifiant l’accès aux services. »

 

Pendant les travaux de rénovation du Grand Salon, Tim Hortons et Starbucks continueront à recevoir les clients, comme d’habitude, et un chariot barbecue sera mis en place pour offrir une variété de repas saisonniers très appréciés.Conceptual-rendering-3Conceptual rendering

Architecture Laurentienne: La Phase Deux de la construction se met en branle

Architecture Laurentienne: La Phase Deux de la construction se met en branle

Le Conseil des gouverneurs approuve le contrat d’exécution du projet de 55 000 pieds carrés au centre-ville de Sudbury

14 février, 2014 - Votant à l’unanimité, le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne a donné aujourd’hui le feu vert à l’attribution de la deuxième phase du contrat de construction de l’École d’architecture de la Laurentienne, un contrat de 23 900 000 $. Les travaux de fondation de nouveaux locaux de 55 000 pieds carrés devraient commencer en mars 2014 avec la préparation du site situé au coin des rues Elm et Elgin. 

« La deuxième phase du projet d’Architecture Laurentienne verra ériger au cœur du centre-ville un repère important, a indiqué le recteur et vice-chancelier, M. Dominic Giroux, et nous sommes convaincus que cet édifice sera un lieu d’accueil estimable digne du programme d’études en architecture. »

Conçue par LGA Architectural Partners, l’École d’architecture sera un édifice unique en ce qu’elle se compose de deux ailes distinctes et contrastées. L’aile nord, donnant sur la rue Elm, sera une structure en acier offrant des mezzanines au-dessus du deuxième étage. L’aile ouest, une structure à deux étages, en bois lamellé-collé et lamellé-croisé (CLT), sera la première utilisation à grande échelle de la technologie CLT dans un bâtiment public en Ontario. Les deux ailes, qui offriront en plus une cour intérieure et un passage public, seront occupées par des salles de classe et d’atelier, une salle de conférence, des salons et des bureaux. La première phase de la construction a consisté à rénover les deux bâtiments patrimoniaux où le programme d’Architecture Laurentienne, officiellement lancé en septembre 2013, offre des espaces d’atelier et de bureau du corps professoral.

« Le design est exceptionnel et innovateur, et nous avons les raisons de croire que le résultat final sera, visuellement, un joyau superbe dans le paysage urbain, a déclaré le directeur fondateur d’Architecture Laurentienne, M. Terrance Galvin. Toute la collectivité verra ce bel édifice se dresser et prendre forme au cours des prochains mois, et je pense que ce processus dynamique sera un spectacle tout aussi passionnant. »

Le contrat a été attribué à Bondfield Construction de Concord, en Ontario, à l’issue d’un processus d’appel d’offres concurrentielles. L’exécution du projet de construction est prévue pour dix-huit mois, et environ 100 artisans et ouvriers de la région devraient y participer.

Bondfield Construction est une entreprise familiale canadienne qui, forte de son immense expérience des projets d’infrastructure publique, a su se propulser aux premiers rangs des constructions LEED et écologiques. Son portefeuille de réalisations, dont de nombreux édifices publics dans toute la province, comprend l’École de gestion de l’Université Queen’s, à Kingston, le Complexe d’ingénierie de l’Université de Guelph, le Bâtiment des sciences de l’Université de Waterloo, le Global Innovation Exchange de l’Université Wilfrid Laurier, à Waterloo, le Centre de santé et de bien-être du Collège Georgian à Barrie, l’École Bishop Strachan à Toronto, la Bibliothèque publique de Barrie et le Centre des arts de la scène de Richmond Hill.

L’École d’architecture de la Laurentienne est la première école d’architecture à ouvrir ses portes au Canada depuis 45 ans. Les principaux partenaires de financement du projet sont :

le ministère de la Formation et des Collèges et Universités (MFCU) de l’Ontario
l’Initiative fédérale de développement économique pour le Nord de l'Ontario (FedNOR) 
le Fonds du patrimoine du Nord de l'Ontario     
— le Centre de recherche et d'innovation en bioéconomie (CRIBE) à l’Université Laurentienne

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