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L'UL approuve un budget pluriannuel ambitieux

L'UL approuve un budget pluriannuel ambitieux

25 juin. 2012 - Le Conseil des gouverneurs de l'Université Laurentienne a approuvé aujourd’hui à l’unanimité un budget équilibré de 132 100 000 $ pour 2012-2013 ainsi qu’un budget pluriannuel jusqu’à 2017-2018 pour arriver aux résultats prévus dans le Plan stratégique quinquennal de l'Université. Ce plan a été présenté au Conseil des gouverneurs à la suite de larges consultations organisées en 16 séances auxquelles ont participé plus de 300 membres de la population étudiante, du corps professoral et du personnel à Sudbury et à Barrie.

« Nous avons aligné notre budget sur les principaux objectifs et aspirations de l'Université et investissons dans les programmes d'études de haute qualité, l'excellence de la recherche et les soutiens aux étudiants, a déclaré le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux. Notre ambition est de concrétiser les résultats établis dans nos trois plans (stratégique, enseignement et recherche) et de garder le cap. »

Aperçu des investissements accrus notables :

  • 42,6M$ pour la nouvelle École d’architecture;
  • 35 M$ à l'appui des projets de modernisation du campus à Sudbury (y compris la nouvelle conception des salles de classe, de nouveaux espaces de collaboration, les services aux étudiants à guichet unique et un nouveau centre d'accueil à l'entrée de la porte principale);
  • 7,9 M$, d'ici 2017-2018, pour assurer des travaux d'entretien différé;
  • 6 M$ pour la rénovation de la Résidence des étudiants célibataires (REC);
  • 4,1 M$, d'ici 2017-2018, pour favoriser l'agrément international de la Faculté de gestion;
  • 2,8 M$, d'ici 2017-2018, pour relancer dès l'automne 2013 le hockey masculin et mettre sur pied une équipe féminine;
  • 2,1 M$, d'ici 2017-2018, pour lancer l'École des mines;
  • 2 M$ pour moderniser les services d'alimentation sur le campus, y compris la mise en place d'un nouveau café Starbucks cette année et la rénovation complète du Grand Salon en 2013;
  • 1,8 M$, d'ici 2017-2018, pour offrir au personnel plus de possibilités de formation et de perfectionnement professionnel;
  • 1,4 M$, d'ici 2017-2018, pour améliorer les services offerts par l'intermédiaire du Centre d'excellence universitaire;
  • 1,05 M$, d'ici 2017-2018, pour assurer le financement complet des travaux de construction du Centre autochtone de partage et d'apprentissage, améliorer les pratiques d'embauche proactives de membres autochtones du corps professoral et du personnel autochtone et accroître le contenu autochtone des cours.

Le plan, qui appelle à un surcroît d'effectifs de 1 150 étudiants d'ici 2017-2018, veut aussi que l'Université y parvienne tout en augmentant la moyenne à l'admission, de 81 à 83 %, ainsi que sa population étudiante internationale, autant par le nombre que par le pays d'origine.

Les opérations à Barrie sont neutres à l'égard des revenus dès l'année 2012-2013, ce qui se traduit par un investissement accru de 0,8 M$, y compris trois nouveaux membres du corps professoral pour appuyer l’expansion des programmes et le poste de vice-recteur associé à l’administration et aux relations extérieures. L’Université a mis en gage 14 000 000 $ pour le nouveau campus au centre-ville de Barrie, somme que le conseil municipal de Barrie a égalée.

Le budget prévoit d'affecter des crédits importants au renouvellement du corps professoral et du personnel. Pour 2012-2013, les principaux postes à pourvoir incluent une Chaire de recherche du Canada en géochimie, une Chaire de recherche du Canada en microbiologie environnementale, une Chaire de recherche en santé et sécurité au travail, 20 autres professeurs, plus de conseillers à temps plein, un technologue supplémentaire à l'École de génie Bharti, le directeur général de l'École des mines et du personnel supplémentaire pour assurer la sécurité sur le campus de Sudbury, se charger des projets de marketing et d'immobilisations et exercer à Barrie des fonctions administratives et touchant le recrutement d'étudiants.

« Nous sommes, estime la vice-rectrice à l’administration, Mme Carol McAulay, l'une des rares universités canadiennes à avoir une situation financière solide. Nous prévoyons des budgets équilibrés, au moins, pour les six années à venir, et avons un régime de retraite solvable ainsi que de faibles ratios d'endettement à long terme. Cette situation nous permet de procéder à de nombreux investissements qui changeront la donne. Nous vivons à la Laurentienne des moments vraiment passionnants. »

L'UL accueille des étudiants de Gujarat, en Inde

L'UL accueille des étudiants de Gujarat, en Inde

14 juin, 2012 - L’Université Laurentienne recevra une centaine d’étudiants de la Gujarat Technological University, à Ahmedabad, en Inde, qui suivront des cours sur le campus de Sudbury.  

Cette semaine, plusieurs groupes d’étudiants arriveront sur le campus pour entamer, dès le lundi 18 juin, des programmes d’études de six semaines en informatique et biochimie.  

Leur visite marque le lancement du Programme d’expérience mondiale de la Laurentienne en collaboration avec la Gujarat Technological University, établissement postsecondaire offrant des programmes menant au diplôme ou au grade en génie, pharmacie, gestion et applications sur ordinateur. L’une des villes qui prend le plus d’expansion en Inde, Ahmedabad est le carrefour administratif de l’état du nord-ouest de Gujarat.  

« Nous nous réjouissons à la perspective de procurer des avantages, grâce à cette collaboration, tant aux étudiants de Gujarat que ceux de la Laurentienne, a dit M. Vasu Appanna, doyen de la Faculté des sciences et de génie. D’une part, ces étudiants étrangers accumuleront des crédits qui seront reconnus dans leur programme d’études tout en profitant d’une expérience d’immersion canadienne. D’autre part, la Laurentienne cultivera des liens qui favoriseront un jour des possibilités d’études supérieures et d’échanges du corps professoral. »  

Pendant leur séjour de six semaines, les étudiants participeront à des visites guidées et à des activités à Sudbury, y compris les divers festivals d’été, ainsi que des voyages à Ottawa et aux chutes Niagara, mettant en valeur la culture et le paysage canadiens. Ils logeront dans la Résidence du Collège universitaire de l’Université Laurentienne.  

« Depuis des mois, nous discutons avec nos collègues à la Gujarat Technological University afin de peaufiner cette expérience d’apprentissage exceptionnelle, a indiqué M. Kalpdrum Passi, coordonnateur du Programme d’expérience mondiale et directeur du Département de mathématiques et d’informatique à la Laurentienne. Nous sommes ravis d’accueillir ces étudiants pendant un magnifique été nord-ontarien et de leur faire connaître tout ce qu’offre la Laurentienne. » 

Chef d’antenne à TVO, M. Steve Paikin s’adressera aux diplômés de la Laurentienne

Chef d’antenne à TVO, M. Steve Paikin s’adressera aux diplômés de la Laurentienne

8 juin, 2012 - Journaliste, auteur et réalisateur de documentaires, M. Steve Paikin recevra aujourd’hui un doctorat ès lettres honoris causa de l’Université Laurentienne. M. Paikin est chef d’antenne-directeur principal de l’émission d’actualité The Agenda with Steve Paikin à TVO. Depuis 20 ans, il réalise et anime des émissions pour le télédiffuseur éducatif de l’Ontario.

« M. Paikin marie une grande intelligence et un esprit fin et investigateur à une passion tant pour la politique que l’intérêt public, a indiqué M. Floyd Laughren, président du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne et ex-vice-premier ministre de l’Ontario. Pendant ma vie politique, j’ai souvent eu à répondre aux questions judicieuses de cet homme respectueux et juste. »

M. Paikin a présidé à cinq reprises les débats des candidats aux élections fédérales et provinciales et a rédigé trois livres sur la politique canadienne.

Il est aussi réalisateur de nombreux documentaires long métrage, y compris le film primé Return to the Warsaw Ghettoet A Main Street Man, au sujet de M. Bill Davis, ex-premier ministre de l’Ontario.

M. Paikin est le mari de Francesca Grosso, originaire de Sudbury, fille de feu Roberto Grosso, ex-président du Conseil des gouverneurs à l’Université Laurentienne.

« Nous sommes fiers de rendre hommage à M. Steve Paikin et de l'accueillir dans la famille Laurentienne, a dit M. Dominic Giroux, recteur et vice-chancelier de l'Université Laurentienne. Son engagement envers la mobilisation des citoyens grâce à des émissions éducatives est inspirant et sa réputation en qualité de journaliste est exceptionnelle, faisant de lui un lauréat bien méritant d'un doctorat honorifique ès lettres. »

En tant qu'organisme de médias éducatifs financé par le gouvernement de l'Ontario, TVO est une source éprouvée de contenu pédagogique interactif qui informe, inspire et stimule la curiosité et la réflexion. Grâce aux médias éducatifs, TVO vise à habiliter les gens afin qu’ils soient des citoyens engagés de l’Ontario. Organisme de bienfaisance enregistré, TVO reçoit principalement un octroi de la province de l’Ontario et est aussi financé par des commanditaires et des milliers de donateurs. Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez consulter tvo.org.

Il est possible de prendre des dispositions avec le Bureau des communications pour une entrevue avec M. Paikin

 

Étude nationale du CReSRN des soins infirmiers dans les régions rurales et éloignées : Des chercheurs à la Laurentienne partagent une subvention de recherche de 400 000 $

Étude nationale du CReSRN des soins infirmiers dans les régions rurales et éloignées : Des chercheurs à la Laurentienne partagent une subvention de recherche de 400 000 $

28 mars, 2012 - Deux chercheurs du Centre de recherche en santé dans les milieux ruraux et du nord (CReSRN) à l’Université Laurentienne sont appelés à faire avancer un projet national visant à améliorer la qualité des services infirmiers en régions rurales et éloignées du Canada.

Santé Canada a annoncé ce mois-ci une nouvelle subvention de 400 000 $ à l’appui des treize premiers mois de ce projet triennal intitulé Nature de la pratique infirmière en régions rurales et éloignées du Canada II.

Ce projet de recherche, que dirige l’École des sciences infirmières de l’Université du nord de la Colombie-Britannique, verra collaborer M. Roger Pitblado, professeur émérite et chercheur universitaire principal au CReSRN, en tant que cochercheur principal, Mme Irene Koren, cochercheuse et professeure adjointe à l’École des sciences infirmières de l’Université Laurentienne, ainsi que des chercheurs à l’Université de Lethbridge et à l’Université de la Saskatchewan.

Dans la première phase du projet, les chercheurs du CReSRN étudieront des bases de données sur les soins infirmiers pour mieux comprendre le travail et les défis des fournisseurs de soins primaires (y compris les infirmières autorisées, infirmières auxiliaires autorisées et infirmières psychiatriques autorisées) dans les régions rurales et éloignées.

« Au cours de la deuxième phase, précise M. Pitblado, les chercheurs se pencheront sur les exigences et les conditions de la pratique infirmière en milieu rural et éloigné. Nous voulons savoir ce qui est exigé des infirmières en milieu rural et ce que nous pouvons faire dans nos écoles de sciences infirmières pour mieux les préparer. »

Selon un communiqué de Santé Canada, l’objet de l’étude est de « brosser un tableau plus clair de la mutation des rôles des professionnels de la santé offrant des services dans les communautés rurales et éloignées », et elle « portera également sur l’expérience des infirmiers autochtones pratiquant dans les communautés des Premières Nations et des Inuits. »

Par ailleurs, l’étude abordera les questions de recrutement et du maintien de l’effectif hors des grands centres urbains. « À terme, souligne M. Pitblado, l’étude vise à améliorer la qualité des soins de santé pour des millions de personnes. Nous voulons changer les choses dans la vie des Canadiens vivant en régions rurales, dont le premier et parfois le seul accès aux soins de santé primaires est par l'intermédiaire d’une infirmière qui travaille avec très peu de soutien dans une communauté éloignée. »

Le CReSRN collabore avec des chercheurs de partout au pays. Son mandat consiste à mener des recherches interdisciplinaires sur la santé dans les milieux ruraux en vue d’améliorer, d’une part, la prestation des soins de santé de même que l’accès, notamment dans les collectivités rurales et du nord, et, d’autre part, la compréhension du système de soins de santé.

Pour obtenir de plus amples renseignements, consultez www.cranhr.ca

Banque TD investit 250 000$

Banque TD investit 250 000$

20 mars, 2012 - L’une des sociétés canadiennes de premier rang, le Groupe financier Banque TD a annoncé aujourd’hui un important investissement au profit de la population étudiante dans ce programme exceptionnel de vulgarisation scientifique. Le vice-président du Groupe financier Banque TD et l’ex-premier ministre du Nouveau-Brunswick, M. Frank McKenna, a présenté un chèque de 250 000 $ au recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux. Ce don est fait dans le cadre de la campagne de mobilisation de fonds Objectif 50 de l’Université Laurentienne et financera des bourses d’études dans le programme d’études supérieures en vulgarisation scientifique.  

Depuis septembre 2005, l’Université Laurentienne et Science Nord rassemblent leurs forces pour offrir ce programme de diplôme d’études supérieures de dix mois qui amalgame des études théoriques et des pratiques intensives et est le seul en son genre en Amérique du Nord. Les diplômés sont des spécialistes de la vulgarisation et de la communication de travaux d’importants de chercheurs et scientifiques, et décrochent des emplois dans les organismes gouvernementaux et non gouvernementaux, l’industrie, l’Institut Perimeter pour la physique théorique, le SNOLab, les musées, centres de sciences et sociétés de conception d’expositions et dans le domaine de la rédaction médicale.  

« À TD, nous croyons en notre mission d’avoir des répercussions positives sur les collectivités que nous servons, a dit M. McKenna. Il importe d’aider les Canadiens et Canadiennes à mieux comprendre les sciences qui expliquent notre monde et l’impact que les actions sociales et environnementales ont sur celui-ci. Nous sommes très fiers d’appuyer les efforts de ce programme dont les diplômés joueront un rôle clé pour apporter un changement positif tant dans notre pays qu’ailleurs dans le monde. »  

« À l’UL, a ajouté le recteur Giroux, nous sommes très satisfaits, comme le sont nos partenaires à Science Nord, de la reconnaissance témoignée par le Groupe financier Banque TD envers ce programme important. Il s'agit en effet d'un des moyens que nous utilisons afin d'améliorer nos programmes d'études supérieures pour que cela profite au maximum aux communautés que nous servons. Au nom des futurs étudiants en vulgarisation scientifique, c'est un honneur pour nous d'accepter ce généreux don. »  

« Les centres de sciences jouent un rôle clé pour faire participer les citoyens aux idées et concepts qui ont de la pertinence dans notre monde en perpétuel changement, a expliqué M. Guy Labine, PDG de Science Nord. Chaque jour, les diplômés du programme démontrent que les centres de sciences et les universités collaborent efficacement à la promotion de la culture scientifique. L’investissement du Groupe financier Banque TD contribuera très assurément à la préparation des futurs leaders en vulgarisation scientifique. »  

« Nous travaillons pour améliorer nos compétences en communications et un don comme celui-ci nous laisse bouche bée, a dit M. Ryan Jameson, étudiant en vulgarisation scientifique. Au nom de mes camarades de classe, je tiens à remercier sincèrement le Groupe financier Banque TD de son appui et de la confiance qu’il témoigne à l’égard du travail que nous poursuivons. »  

M. Amaratunga est l’éminent lauréat du Prix 2012 d’excellence pour l’ensemble de ses réalisations, décerné par la Division de minéralogie

M. Amaratunga est l’éminent lauréat du Prix 2012 d’excellence pour l’ensemble de ses réalisations, décerné par la Division de minéralogie

27 février, 2012 -  Le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux, a félicité aujourd’hui le professeur de longue date, M. Laxman (Lucky) Amaratunga, qui est l’éminent lauréat du Prix 2012 d’excellence pour l’ensemble de ses réalisations, décerné par la Division de minéralogie.  

Présenté lors du gala de prix de la 44e Conférence annuelle des minéralogistes du Canada, le Prix d’excellence pour l’ensemble des réalisations tient à souligner l’excellence manifeste en science de l’enrichissement des minerais et les contributions de longue durée à la Division de minéralogie.  

« M. Amaratunga a apporté des contributions exceptionnelles, a souligné la Division de minéralogie en faisant l’annonce du lauréat, aux industries minière, métallurgique et minéralurgique au Canada, dans les domaines de l’éducation, de la recherche en gestion de résidus miniers et du transfert de technologie environnementale, ainsi qu’à la Division de minéralogie et aux sociétés MetSoc de l’ICM (Institut canadien des mines, de la métallurgie et du pétrole). »  

« Depuis longtemps, le Pr Lucky est reconnu parmi ses collègues comme un chef de file dans le domaine de la métallurgie et de la chimie minière, a dit le recteur Giroux. Nous le félicitons de cette récente distinction qui rend hommage avec pertinence à l’œuvre de sa vie. »  

Depuis 1984, M. Amaratunga est au service de la Laurentienne, où il a effectué d’importantes recherches en matière de gestion des résidus, de remblai et de gérance de l’environnement. Pendant sa longue carrière, il a reçu plusieurs prix, entre autres le Prix environnemental de Teck Cominco (2007) pour ses recherches sur le traitement, l’utilisation et le recyclage de déchets au cours du cycle minier et le Prix d’excellence en enseignement (2003) de l’Université Laurentienne. En 2011, MetSoc et la Division de minéralogie ont tenu un repas en son honneur lors de la Conférence des métallurgistes.  

« Je suis profondément honoré de recevoir ce prix et touché de l’hommage que m’ont rendu mes nombreux collègues, a dit M. Amaratunga à la suite de l’annonce faite pendant le banquet du gala de prix de la Division de minéralogie, où quelque 500 délégués lui ont fait une ovation. Ma femme et moi sommes vraiment surpris de cette nouvelle. Je suis très heureux d’être reconnu par les gens de mon secteur et de mon université. »  

M. Amaratunga continue d’offrir des cours magistraux à la Laurentienne et de poursuivre des recherches afin d’élaborer un processus nanotechnologique d’extraction de l’or.

L'école de génie Bharti remporte la victoire aux jeux miniers canadiens

L'école de génie Bharti remporte la victoire aux jeux miniers canadiens

27 février, 2012 - D’excellents résultats en conception minière, mécanique des roches et minéralurgie ont permis à l’équipe de l’école de génie Bharti de l’Université Laurentienne de remporter la victoire lors des 22e Jeux miniers canadiens qui ont eu lieu du 23 au 26 février, à Sudbury (Ontario). L’équipe de la Laurentienne s’est classée parmi les trois meilleures pour 12 des épreuves du concours et a remporté le titre avec une avance de 27 points. L’équipe de l’École polytechnique à Montréal s’est classée deuxième tandis que l’Université Laval a terminé en 3e place.

« La concurrence a été féroce, a dit M. Ramesh Subramanian, directeur de l’École de génie Bharti de l’Université Laurentienne. Cette année, toutes les équipes ont été bien tenaces et ont fait preuve d’un niveau extraordinaire de compétence et de talent comme je n’ai jamais vu à ce concours. »

Dix équipes universitaires du Canada participent au concours qui consiste en 20 activités mettant à l’épreuve de futurs ingénieurs miniers. Les participants doivent réussir des exercices d’arpentage, de conception de mines et de matériel ainsi que de séparation de minéraux tout en maîtrisant l’utilisation du marteau perforateur sur béquille, de la benne à godet et d’excavateurs.

« Les Jeux de 2012 ont été super, a indiqué M. Sean Turcotte, étudiant de 4e année en génie minier et membre de l’équipe de la Laurentienne. Toutes les équipes se sont bien amusées, se sont applaudies et se sont réjouies les unes pour les autres. » Il était surtout heureux de la victoire de l’équipe à l’épreuve de 8 heures de conception minière et effectuée à l’aide d’un logiciel de conception assistée par ordinateur. « J’ai perdu ma contenance lorsqu’on a annoncé que nous avions gagné, a-t-il ajouté. C’est l’événement qui établit vraiment quelle école de génie est la meilleure au Canada. »

L’École de génie Bharti de l’Université Laurentienne porte le nom de l’ingénieur et entrepreneur Stan Bharti, PDG de Forbes Manhattan, qui a fait un don de 10 000 000 $ à l’École l’automne dernier pour appuyer les programmes de génie.

« L’équipe de la Laurentienne est solide grâce en grande partie à son emplacement à Sudbury, a constaté M. Craig Allen, coprésident des Jeux. Pendant le concours, nous avons fait un levé de ventilation, non pas avec un manuel, mais en allant sous terre. L’accès à des mines en exploitation contribue au succès du programme de génie. » 2

« Nous sommes très fiers de nos étudiants, a indiqué M. Dominic Giroux, recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, qui ont fait preuve de zèle et de travail d’équipe afin de remporter cette prestigieuse victoire pour l’École de génie Bharti. Leur rendement à ces épreuves minières a été exceptionnel et ils ont acquis cet honneur tant pour leur programme que pour leur université. »

Les membres de l’équipe victorieuse de la Laurentienne sont Dusty Nerpin, Graham Macrae, Scott Ross, Sean Turcotte, Curtis Cameron, Gilles Guerin, James Gagne, Ryan Jakov, Pat Pilon, Ian VanEyk, Ian Berdusco, Jessica Dean, Joshua Dufresne et Mike Stanford.

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