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Grand Salon, options repas, restauration style marché: la Laurentienne lève le voile sur une nouvelle configuration d'un « point central » du campus

Grand Salon, options repas, restauration style marché: la Laurentienne lève le voile sur une nouvelle configuration d'un « point central » du campus

Un espace de restauration contemporaine, de style marché, sous le nom de marque Fresh Food Company.

27 août 2014Une nouvelle conception du Grand Salon, édifice emblématique de l’Université Laurentienne, a transformé cet ancien espace cafétéria en un espace de restauration contemporaine, de style marché, sous le nom de marque Fresh Food Company.

 

« Le Grand Salon a toujours été un point central, un véritable lieu de vie sur le campus, et sa réfection, pièce maîtresse de notre projet d’expansion des services de restauration, représente un grand moment pour l’Université, a déclaré aujourd’hui la vice-rectrice à l’administration, Mme Carol McAulay, lors de la cérémonie d’ouverture. Au cours des dernières années, nous avons largement consulté la communauté universitaire sur les repas et autres services offerts sur le campus et avons amélioré les options qui ont reçu sa faveur. »

 

Décrit comme une « expérience de style restaurant » au cœur du campus sudburois de la Laurentienne, l’espace-repas de la Fresh Food Company offrira divers repas santé, préparés sur commande à douze comptoirs-cuisine, dont Deli, Mongolian Grill et Dessert/Waffle Bar. Le choix laissera une grande place aux fruits et légumes du terroir, de même qu’aux produits alimentaires d’origine locale, et comprendra également des plats du jour et végétariens. Fresh Food Company sera exploitée par Aramark Food Services, le prestataire de services de restauration de l’Université Laurentienne.

 

« D’après notre recherche, nous savons que les étudiants veulent des repas frais, faits sur commande et servis dans un environnement convivial où ils peuvent passer du temps avec leurs amis, a déclaré le vice-président régional d’Aramark, M. Brian Struthers. Le nouveau concept Fresh Food Company répond à cette demande en offrant une ambiance de type restaurant, et nous estimons qu’elle deviendra un lieu de vie propice à l’interaction sociale et gastronomique sur le campus. »

 

La restauration de style marché prévoit un choix repas illimité à des tarifs fixes à chaque période de repas. Des options de paiement sous forme de plan de repas seront offertes aux étudiants dans les résidences désignées, et les membres du personnel et du corps professoral bénéficieront, eux aussi, de plans de repas.

 

Au cours des deux dernières années, l’Université Laurentienne a élargi les services de restauration sur le campus (aliments et boissons) en accueillant un café Starbucks, le Bistro à la Résidence Est, une sandwicherie Subway et, tout récemment, une franchise de Topper’s Pizza.

 

 

 

« Notre vision était de varier le choix de repas dans les différents secteurs de notre campus, a précisé le directeur des Services de logement et d’alimentation, M. Ben Demianiuk. Bien entendu, il est question non seulement d’élargir le menu, mais aussi d’améliorer les équipements sociaux et autres commodités de la vie au campus, en créant de nouveaux espaces accueillants où les gens peuvent se réunir, étudier ou socialiser. »

 

L’Université Laurentienne a lancé un ambitieux programme de modernisation et de renouveau chiffré à 50 000 000 $ et qui, comme le décrit le Plan stratégique 2012-2017, verra mettre au goût du jour des salles de classe et d’étude, des laboratoires et des espaces sociaux au cours des trois prochaines années.

Essai majeur sur le terrain du système d'énergie solaire conçu à Sudbury

Essai majeur sur le terrain du système d'énergie solaire conçu à Sudbury

Un système de cellules photovoltaïques, productrices d’énergie propre, sera déployé au large des côtes de Malte

19 août 2014) – Un concept innovateur et porteur d’économies énergétiques, en ce qu’il permet de canaliser l’énergie solaire propre vers diverses applications, aura son premier grand essai sur le terrain dans la mer Méditerranée, au large de l’île de Malte, au début de 2015. Conçu et développé par des chercheurs de MIRARCO et de l’Université Laurentienne à Sudbury, ce projet pilote est soutenu par le gouvernement de Malte, le Collège des arts, de la science et de la technologie de Malte ainsi que d’autres partenaires de recherche.

 

Ce projet intitulé « Offshore Passive Photo-voltaic » (OPPV, système photovoltaïque passif extracôtier) verra produire de l’énergie des panneaux solaires minces (cellules photovoltaïques) flottant à la surface de l’eau. Le rayon de panneaux, mesurant environ 20 mètres sur 20 mètres, devrait atteindre une puissance maximale de 8 kW, un régime suffisant pour alimenter deux maisons types de trois chambres.

 

« L’objectif du projet pilote est de trouver pour Malte d’autres moyens de produire de l’énergie propre, vu qu’elle est une petite île et ne dispose pas d’espace terrestre où installer des panneaux solaires, explique Mme Kim Trapani, chercheuse chez MIRARCO. Nous estimons que notre système constitue une avancée importante par rapport à d’autres formes d’énergies marines renouvelables, comme l’énergie éolienne en mer, les installations photovoltaïques rigides en mer, l’énergie houlomotrice et l’énergie marémotrice. Les panneaux photovoltaïques flottants ne posent pas de risque de collision et ne nécessitent que très peu d’entretien. »

 

Originaire de Malte, Mme Trapani a obtenu un doctorat à l’Université Laurentienne sous la direction de M. Dean Millar, professeur à l’École de génie Bharti et titulaire de la Chaire de recherche MIRARCO en énergie dans le secteur minier, qui s’intéresse tout particulièrement aux applications potentielles du projet OPPV dans le secteur minier.

 

« Les mines, où qu’elles se trouvent, tendent à consommer d’importantes quantités d’énergie pour assurer la production minérale, a précisé M. Millar. Le projet pilote maltais est une première mondiale qui vise à prouver la technologie PV à couches minces dans l’environnement marin d’eau saline, mais il a également été conçu comme un système de production d’électricité pour les mines. C’est-à-dire que les panneaux stratifiés flexibles flotteront sur la surface de l’eau de bassins de résidus et, de ce fait, pourraient former une barrière isolant la faune des eaux de résidus, tout en produisant de l’électricité pour la mine. »

 

Par ailleurs, ces deux chercheurs ont publié une étude semblant indiquer que, pour les mines éloignées comme celles de la région de la Ceinture de feu, le coût du kilowattheure produit par les systèmes photovoltaïques est inférieur au coût d’installation et d’exploitation des générateurs au diesel. « Notre technologie OPPV pourrait avoir pour l’industrie minière, en particulier les sites miniers éloignés, des répercussions qui changent la donne en mettant en place, avec relativement peu d’infrastructures, selon les besoins, un système d’énergie propre et bon marché, a indiqué M. Millar. Ces projets pilotes apporteront la preuve de la fiabilité à long terme de la technologie. »

Professeur associé à l'Université Laurentienne élu au Comité des drois de l'homme de l'ONU

Professeur associé à l'Université Laurentienne élu au Comité des drois de l'homme de l'ONU

La Laurentienne tient à féliciter le Doyen Yadh Ben Achour d’avoir été élu pour un mandat de quatre ans

30 juillet 2014 – L’Université Laurentienne tient à féliciter le Doyen Yadh Ben Achour d’avoir été élu pour un mandat de quatre ans au Comité des droits de l’homme des Nations-Unies. En 2004, l’Université Laurentienne a décerné un doctorat honoris causa au Doyen Ben Achour en reconnaissance de son travail pour rapprocher le monde arabe et l’Occident. Il est professeur associé au Centre international de recherche interdisciplinaire sur le droit (CIRID) ainsi qu’au Département de droit et à justice à l’Université Laurentienne.

 

Le Comité des droits de l’homme des Nations-Unies réunit dix-huit experts indépendants et se penche sur la conformité des États au Pacte international relatif aux droits civils et politiques.

 

Le Doyen Ben Achour a joué un rôle clé dans la transition de la Tunisie vers la démocratie après la Révolution de jasmin en janvier 2011. Il a été nommé à la tête de la commission responsable de mettre sur pied les institutions devant mener aux premières élections libres et transparentes en Tunisie en octobre 2011. Ces élections mettent en place l’Assemblée nationale constituante qui a rédigé la nouvelle constitution de la Tunisie.

 

Le Doyen Ben Achour est un fervent défenseur des droits de la personne et de l’État de droit. En 1992, il démissionne du Conseil constitutionnel tunisien et devient l’un des juristes les plus farouchement hostiles au régime de Ben Ali. Peu après, il est élu Doyen de la Faculté des sciences juridiques, politiques et sociales de Tunis, Université de Carthage. Il est depuis 2013 le président du Tribunal administratif de la Banque africaine de développement. En 2013, il se voit décerner le Prix international de la démocratie par la Fondation Internationaler Demoktratie Preis, Bonn, Allemagne.

Un nouvel ajout aux Services d'alimentation du campus de la Laurentienne

Un nouvel ajout aux Services d'alimentation du campus de la Laurentienne

Topper’s Pizza ouvrira son premier point de service en milieu universitaire

25 juillet 2014 – Dans le cadre de sa campagne soutenue pour améliorer et élargir les services d’alimentation offerts à la population étudiante, au personnel et au corps professoral du campus, l’Université Laurentienne a accueilli aujourd’hui Topper’s Pizza sur le campus de Sudbury. 

« À Sudbury depuis plus de 30 ans, Topper’s est bien connu et bien aimé, a dit le directeur des Services de logement et d’alimentation de la Laurentienne, M. Benjamin Demianiuk. Il s’agira sûrement d’un choix de repas populaire à l’Université et la compagnie cadre bien avec notre objectif d’offrir plus de choix d’aliments locaux. » 

En 1904, la famille Toppazzini a ouvert une boulangerie à Copper Cliff qui s’est imposée sur le marché de Sudbury pendant quelque huit décennies. Depuis le lancement de sa première pizzeria en 1982, l’entreprise familiale a grandi et comprend aujourd’hui 35 restaurants d’entreprise ou franchisés en Ontario, et mûrit d’autres plans d’expansion. 

« Nous nous réjouissons d’ouvrir à la Laurentienne notre premier point de service universitaire, a indiqué le PDG de Topper’s Pizza, M. Kelly Toppazzini. L’emplacement nous convient parfaitement et nous sommes fiers de faire partie de la communauté universitaire. » 

Le nouveau restaurant se situera directement à l’extérieur du Grand Salon à l’UL et ouvrira ses portes le 28 août 2014. L’ajout de Topper’s s’insère dans le plan à long terme de l’Université d’élargir les choix d’aliments et de boissons non alcoolisées, tout en créant plus de places sur le campus pour les rassemblements, les rencontres et les repas. Le Grand Salon rouvrira le 29 août après avoir subi des travaux de rénovation de 2 000 000 $, et offrira une expérience de style « marché » sous le nom Fresh Food Co. 

« Nous avons procédé à des consultations exhaustives et tenu compte des commentaires reçus des membres de la population étudiante et de notre communauté universitaire, a souligné la vice-rectrice à l’administration, Mme Carol McAulay. La rénovation du Grand Salon, l’ajout récent de Starbucks et du Bistro Est et l’ouverture imminente de Topper’s sur le campus nous permettent de fournir les places et les commodités requises pour assurer une excellente expérience à la population étudiante de la Laurentienne. » 

Des recherches menées à Sudbury mettent en évidence le lien entre la forêt et le stock de poissons

Des recherches menées à Sudbury mettent en évidence le lien entre la forêt et le stock de poissons

Publication dans Nature Communications des résultats d’une étude menée au Centre pour la vitalité des lacs Vale

7 juillet 2014 – Les recherches environnementales menées au Centre pour la vitalité des lacs Vale de l’Université Laurentienne sont le sujet d’un article publié dans le numéro de juin de la revue scientifique internationale Nature Communications. L’auteur principal, M. Andrew Tanentzap, Ph.D., de l’Université de Cambridge (Royaume-Uni), a étudié les chaînes alimentaires aquatiques dans le lac Daisy, à Sudbury (Ontario). Les résultats de l’étude montrent des liens importants entre les forêts saines des écosystèmes boréaux et la viabilité des stocks de poissons dans les lacs d’eau douce.

 

L’étude révèle que les jeunes perchaudes du lac Daisy sont mieux nourries dans les régions où l’eau reçoit des débris forestiers qui apportent ainsi un complément à la chaîne alimentaire aquatique. Dans des parties du lac moins bordées de végétation, les poissons ont moins de zooplancton microscopique pour se nourrir et sont plus petits.

 

« Nous avons trouvé des poissons dont presque 70 % de la biomasse était constituée de carbone provenant des arbres et des feuilles plutôt que de sources de la chaîne alimentaire aquatique, explique M. Tanentzap. Essentiellement, les jeunes poissons des lacs de régions peu boisées sont plus petits et par conséquent moins susceptibles de se reproduire et de survivre. Dans les régions abondamment boisées, les populations de poissons sont certainement plus robustes. »

 

M. Tanentzap, chercheur-boursier Banting au Centre pour la vitalité des lacs Vale pendant la majeure partie de son étude, et ses collègues de l’Université de Cambridge reviendront à Sudbury cet automne pour continuer leur étude qui s’échelonnera sur trois ans.

 

« Nous sommes ravis de voir le travail d’Andrew publié dans Nature Communications, a indiqué le directeur du Centre pour la vitalité des lacs Vale et titulaire d’une Chaire de recherche du Canada sur les systèmes aquatiques stressés, M. John Gunn. Le paysage unique de Sudbury est un laboratoire de recherche important sur la scène internationale, et l’étude de Cambridge montre que la restauration de nos cours d’eau est réellement profitable dans les eaux en aval. »

 

Le Centre pour la vitalité des lacs est un centre d’excellence pour l’étude des écosystèmes d’eau douce stressés et en restauration, et le siège de nombreuses études environnementales et sur la gestion des ressources naturelles.

 

« Même si l’étude de l’équipe se concentre sur les régions boréales, indique M. Tanentzap, les résultats s’appliqueront probablement à l’échelle mondiale, dans toutes les régions déboisées. La dégradation et la destruction des terrains boisés ont des incidences directes sur les chaînes alimentaires aquatiques. C’est important parce que les poissons d’eau douce apportent plus de 6 % des protéines aux humains et sont la principale source d’acides gras oméga‑3 ».

L'Université Laurentienne inaugure une nouvelle École de l'environnement

L'Université Laurentienne inaugure une nouvelle École de l'environnement

L’École regroupe cinq programmes existants : Environmental Studies, Environmental Science, Études de l’environnement, Science Communication et Archaeology.


3 juillet 2014 – La nouvelle École de l’environnement, que le Sénat de l’Université Laurentienne a approuvée plus tôt cette année, a ouvert ses portes avec pour noyau un corps enseignant de treize professeurs auquel s’ajouteront bientôt, par voie de nomination conjointe, treize autres issus d’autres unités. L’École regroupe cinq programmes existants : Environmental Studies, Environmental Science, Études de l’environnement, Science Communication et Archaeology. Forte de son cursus, l’École contribuera aux programmes d’études offerts par d’autres unités et collaborera avec le Centre pour la vitalité des lacs Vale et d’autres centres de recherche, notamment le Centre d’écologie évolutionniste et de conservation éthique (CEECE).

 

D’autre part, l’École aidera à consolider et à renforcer l’expertise et la réputation de l’Université dans tous les domaines liés à l’environnement comme le souligne son premier directeur, M. Brett Buchanan (Ph.D).

 

« L’École marque vraiment une étape importante et une progression naturelle pour l’Université Laurentienne et le Grand Sudbury, a dit M. Buchanan. Notre expertise environnementale, assisse dans cette collectivité, est reconnue dans le monde entier, et la Laurentienne possède un groupe de professeurs et de chercheurs qui sont des chefs de file dans les études et les sciences de l’environnement. L’École permettra de mettre en valeur nos atouts uniques dans ce domaine et d’offrir à nos étudiants à Sudbury et à Barrie de meilleures possibilités d’apprentissage. »

 

« L’École offre des possibilités de synergie et de collaboration qui nous propulseront vers l’avant en tant que centre d’innovation aussi bien dans l’enseignement que dans la recherche, a indiqué le doyen de la Faculté des sciences, de génie et d’architecture, M. Osman Abou-Rabia. Elle nous avance aussi vers notre objectif inscrit au Plan stratégique, à savoir la reconnaissance nationale accrue de nos forces distinctives. »

 

« Notre société doit s’attaquer à des questions environnementales capitales et d’envergure, a déclaré le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux. Il est donc logique que la Laurentienne se dote d’une École à la hauteur des enjeux et capable d’animer les efforts essentiels dans la recherche et l’action environnementale. »

 

Le lancement officiel de l’École de l’environnement se tiendra le 17 septembre 2014.

Allocation de 39 000 000 $ au campus de l’Université Laurentienne à Barrie

Allocation de 39 000 000 $ au campus de l’Université Laurentienne à Barrie

Un nouveau site Web présente le projet de la Laurentienne de servir 3 100 étudiants à plein temps

23 juin 2014 – Le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne a approuvé un engagement de 25 000 000 $ pour le projet de campus indépendant dans la Ville de Barrie. Cet engagement augmente substantiellement celui pris en 2011 par la Laurentienne pour ce campus. À cette somme devaient s’ajouter les 14 000 000 $ déjà promis par la Ville.

 

Les conseillers municipaux de Barrie ont réaffirmé à l’unanimité leur solide appui au campus de la Laurentienne à Barrie, un établissement de 225 000 pieds carrés qui servira 3 100 étudiants équivalent temps plein.

 

« Nous sommes heureux que le conseil municipal de Barrie réitère son soutien au campus de la Laurentienne à Barrie, a déclaré le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux. Nous travaillons assidument avec la Ville depuis 2010 pour concrétiser la vision communautaire d’un campus universitaire indépendant. Nous trouvons cette vision passionnante et nous sommes déterminés à la mener à bien. »

 

La Laurentienne présentera sa proposition officielle pour le campus de Barrie en réponse à l’appel d’offres du gouvernement concernant l’accroissement majeur de la capacité. La Province compte rendre ses décisions en 2015.

 

En attendant, la Laurentienne continue ses démarches pour aménager conjointement 64 acres vacants sur le chemin Essa, car ce terrain répondrait aux besoins d’une population étudiante dans un environnement urbain. Le campus de la Laurentienne à Barrie inclurait des installations sportives et de loisirs, un complexe résidentiel de 500 à 750 étudiants, et un centre étudiant financé par les frais auxiliaires.

 

« Nous estimons que cet endroit est idéal en raison de sa proximité du centre-ville et des principaux réseaux de transport, et parce qu’il pourrait être un noyau du développement futur de Barrie, a déclaré le vice-recteur associé à l’administration et aux relations extérieures à Barrie, M. Craig Fowler. Il est assez vaste pour permettre une expansion par la suite, et le campus créera un nouveau portail dynamique pour la ville. »

 

Les programmes envisagés pour le campus de Barrie relèveraient de cinq facultés de la Laurentienne : Arts, Santé, Études supérieures, Gestion, et Sciences, Génie et Architecture. Ils sont conçus spécialement pour cette communauté en tenant compte de la croissance actuelle et future de Barrie.

 

L’Université Laurentienne offre des programmes à Barrie depuis 2001 en partenariat avec le Collège Georgian. Elle compte maintenant près de 3 000 anciens dans la région et emploie quelque 70 membres du corps professoral et du personnel. La Laurentienne est également déterminée à conserver des relations positives avec le Collège Georgian pour planifier l’expansion des études postsecondaires à Barrie.

 

« Nous avons depuis longtemps une collaboration fructueuse avec le Collège Georgian et cinq autres collèges ontariens, a dit le recteur Giroux, et partageons un engagement ferme envers l’accessibilité et la mobilité des étudiants du postsecondaire qui bénéficieront d’études de niveau universitaire. »

 

« Je pense que Barrie mérite un campus universitaire hors pair qui offre en ville des programmes de grades de quatre ans et d’études supérieures, a affirmé la propriétaire de Pratt Holmes et membre du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne, Mme Karen Hansen. Barrie est fière de ses transformations majeures, y compris l’expansion du Centre régional de santé Royal Victoria, du Centre régional de cancérologie de Simcoe-Muskoka et du Collège Georgian, qui ont des incidences à long terme très positives. Un campus universitaire indépendant est la prochaine étape logique. »

 

« Une ville de la taille et au potentiel de Barrie a réellement besoin d’un campus universitaire indépendant afin de répondre aux aspirations de ses étudiants, a dit la membre du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne et avocate au cabinet Adams Law de Barrie, Mme Rose Adams. Nous sommes la plus grande région métropolitaine au Canada qui n’a pas de campus universitaire. Par conséquent, le campus de la Laurentienne à Barrie arrive à point nommé. »

 

« Le campus universitaire indépendant de l’Université Laurentienne sera le siège de la créativité et de l’innovation dont Barrie a besoin pour stimuler sa prospérité à long terme, a expliqué M. Jon Babulic, membre sortant du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne, ex-directeur municipal de la Ville de Barrie et ex-président du conseil du Centre régional de santé Royal Victoria. La recherche et la commercialisation des découvertes dans nos domaines forts aideront à diversifier l’économie locale et à construire notre avenir. »

 

Dans le comté de Simcoe-Muskoka, 88 % des candidats à la première année universitaire quittent la région pour effectuer leurs études. Et cette proportion augmente. Chaque année, seulement 100 des 45 000 candidats à la première année universitaire de la région du Grand Toronto (RGT) choisissent un programme universitaire offert dans le comté de Simcoe.

 

« Ces tendances montrent que les étudiants de Barrie, du reste du comté de Simcoe et de la RGT veulent étudier sur un campus universitaire indépendant, a indiqué Mme Claudette Paquin, membre du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne et ex-vice-présidente de Cogeco Cable Canada. Ils ont besoin d’un éventail complet de programmes universitaires de quatre ans, et de la possibilité de développer un solide sentiment d’appartenance à leur université. »

 

L’Université a lancé un nouveau site Web afin de fournir à la population de Barrie des renseignements sur le campus proposé : www.itstimebarrie.ca.

 

 

DOCUMENT D’INFORMATION

PROJET DE CAMPUS DE LA LAURENTIENNE À BARRIE

 

  • Il y a 97 universités au Canada. Barrie est la 34e municipalité en importance au pays en termes de population, mais ne possède pas son propre campus universitaire indépendant. C’est également la 21e région métropolitaine de recensement au Canada et la plus grande sans campus universitaire.

 

  • La Province de l’Ontario a désigné Barrie comme un centre de croissance urbaine, le seul dans le comté de Simcoe.

 

  • Les municipalités canadiennes de petite et moyenne taille dotée d’un campus universitaire indépendant incluent Regina, Sherbrooke, Kelowna, Abbotsford-Mission, Oshawa, Kingston, St. Catharines, Trois-Rivières, Moncton, Guelph, Brantford, Saint John, Peterborough, Lethbridge, Cape Breton, Kamloops, Nanaimo, Fredericton, Prince George, Sault Ste. Marie, Charlottetown et Rimouski.

 

  • Une étude sur les retombées économiques, menée par KPMG en avril 2014 à la demande de l’Université Laurentienne, indique que l’activité économique totale liée à la phase initiale de construction du campus de la Laurentienne représentera 182 000 000 $.

 

  • L’étude de KPMG estime également que le fonctionnement courant du campus générera 70 000 000 $ en activités économiques totales et appuiera quelque 425 emplois par an, ce qui augmentera aussi les revenus directs de la Ville de Barrie ainsi que les revenus indirects provenant des taxes municipales sur l’hébergement étudiant qui pourraient se chiffrer à quelque 2 900 000 $ par an.

 

  • En mai 2010, Jeff Lehman, alors conseiller municipal, a invité la Laurentienne à présenter au conseil une vision d’un campus satellite au centre-ville de Barrie, avec l’appui du Collège Georgian pour déplacer les programmes de l’Université au centre-ville. Le conseil a appuyé cette vision, ce qui a amené la Laurentienne à l’inscrire en tête de ses priorités dans son plan décennal d’immobilisations présenté à la Province en juin 2010.

 

  • En 2011, les consultations sur la planification stratégique de la Laurentienne, qui ont mis à contribution de nombreux organismes communautaires, ont confirmé le solide appui à Barrie pour un campus universitaire indépendant.

 

  • Au milieu de 2011, la Laurentienne a promis 14 000 000 $ pour le projet. Puis en novembre, le conseil municipal a accepté d’allouer à partir de ses propres sources la contrepartie de cette somme à une université sélectionnée à la suite d’un appel d’offres du gouvernement provincial. Peu après, le Collège Georgian a réaffirmé son appui à la vision du maire Lehman et à la vision du conseil concernant un campus universitaire à Barrie.

 

  • Le 20 juin 2014, le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne a voté pour augmenter l’engagement de la Laurentienne pour le campus de Barrie à 25 000 000 $.

 

  • L’Université Laurentienne a déjà investi plusieurs millions de dollars dans le projet d’immobilisations, notamment dans les consultations communautaires et le choix du site, ainsi que dans des évaluations du marché, environnementales et géotechniques de nombreux sites potentiels.

 

  • L’Université Laurentienne offre des programmes en partenariat avec six collèges ontariens, et, grâce à ses politiques sur les acquis axées sur les étudiants, est un chef de file reconnu dans la facilitation du transfert des étudiants collégiaux vers des programmes de grades universitaires.

 

  • Depuis 2012, le recteur de l’Université Laurentienne copréside le Conseil sur l’articulation et le transfert en Ontario (CATON), un organisme qui regroupe les 44 collèges et universités de l’Ontario et vise à améliorer la mobilité étudiante dans le secteur postsecondaire.

 

  • Au cours d’une visite à Barrie en août 2013, la première ministre de l’Ontario, Kathleen Wynne, a fait remarquer qu’un campus universitaire est tout à fait logique à Barrie.

 

  • L’appel d’offres du gouvernement provincial concernant l’accroissement majeur de la capacité invitait les universités de l’Ontario à présenter des propositions pour augmenter la capacité d’études postsecondaires dans la province. Le résultat de ce processus est attendu en 2015.

L'Université Laurentienne devient la première université bilingue reconnue en vertu de la la Loi sur les services en français

L'Université Laurentienne devient la première université bilingue reconnue en vertu de la la Loi sur les services en français

Cette désignation porte sur les services offerts au campus de Sudbury, de même que sur la prestation de programmes entièrement offerts en français

23 juin 2014 – Suite à une modification au règlement de l’Ontario 398/3 approuvée par le gouvernement de l’Ontario, l’Université Laurentienne devient à compter du 1er juillet 2014, la première université bilingue reconnue en vertu de la Loi sur les services en français. Cette désignation porte sur les services offerts au campus de Sudbury, de même que sur la prestation de programmes entièrement offerts en français et menant à treize grades aux niveaux du baccalauréat, de la maîtrise et du doctorat.

 

« Devenant la première université bilingue reconnue en vertu de la Loi sur les services en français, l’Université Laurentienne démontre de façon concrète une volonté affirmée de faire reconnaître les acquis de la communauté franco-ontarienne et d’assumer pleinement son rôle au service de la Francophonie », déclare le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, Dominic Giroux.

 

Pour sa part, le président du Conseil des gouverneurs, Michael Atkins, souligne : « En ce moment historique pour notre établissement, je souhaite remercier le Regroupement des professeures et professeurs francophones de l’Université Laurentienne d’avoir initié cette démarche en décembre 2011, laquelle fut chaudement appuyée par le Sénat et le Conseil des gouverneurs de l’Université, ainsi que par le gouvernement de l’Ontario. »

 

Me Claude Lacroix, président du Comité exécutif de l’Université Laurentienne, précise quant à lui : « Cette reconnaissance du gouvernement de l’Ontario en vertu de la Loi sur les services en français a fait l’objet d’un processus méticuleux permettant de promouvoir le mandat bilingue de notre université, tout en respectant son cadre de gouvernance ainsi que les recommandations de l’Office des affaires francophones. »

 

Claudette Paquin, membre du Comité exécutif de l’Université Laurentienne et présidente du Comité conjoint de bilinguisme du Sénat et du Conseil des gouverneurs de l’Université, ajoute : « Par cette mesure, le gouvernement de l’Ontario reconnaît légalement l’apport de l’Université Laurentienne au patrimoine culturel de la population francophone ainsi que ses efforts en faveur du développement durable de l’Ontario français. »

 

Annoncée en marge des festivités de la St-Jean, cette reconnaissance de l’Université Laurentienne en vertu de la Loi sur les services en français fera l’objet d’une célébration officielle à l’occasion du Jour des Franco-ontariens et des Franco-ontariennes, le 25 septembre prochain.

 

« L’obtention de la désignation partielle de l’Université Laurentienne en vertu de la Loi sur les services en français témoigne qu’il est possible pour un établissement bilingue de marier la liberté académique et la garantie juridique d’offrir activement une éducation universitaire à la communauté franco-ontarienne et à tous les francophiles » déclare le commissaire aux services en français de l’Ontario, François Boileau.

 

« Vingt-huit ans après l’adoption de la Loi sur les services en français, l’Université Laurentienne est fière d’avoir sollicité et obtenu cette désignation », de conclure Dominic Giroux

L'Université Laurentienne équilibre son budget pour la quatrième année consécutive

L'Université Laurentienne équilibre son budget pour la quatrième année consécutive

Le budget vise le Plan stratégique, l’expansion des études supérieures, la recherche et le campus de Barrie

20 JUIN 2014 – Aujourd’hui, le Conseil des gouverneurs a approuvé à l’unanimité le budget de fonctionnement de 141 200 000 $ pour 2014-2015, marquant ainsi la quatrième année consécutive que l’Université affiche un budget équilibré. L’approbation du Conseil fait suite à une série de seize séances de consultations auprès de plus de 160 personnes de la communauté universitaire de Sudbury et de Barrie. 

« Alors que nous entamons la troisième année de notre plan stratégique, nous continuons d’investir pour façonner l’avenir de l’Université Laurentienne, a déclaré le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux. En dépit des pressions financières grandissantes, la Laurentienne a conservé les investissements dans ses aspirations. Nous remercions toutes les personnes qui ont participé au processus de consultation et nous ont ainsi aidés à atteindre ce but. » 

La nouvelle Faculté des études supérieures fait partie d’un plan ambitieux de mise en oeuvre de l’expansion des études supérieures demandé par le Conseil des gouverneurs pour répondre aux besoins régionaux, qui a presque doublé les inscriptions d’étudiants canadiens entre 2011 et 2018. Cette expansion inclura une augmentation du nombre de postes d’auxiliaires à l’enseignement. Les demandes d’admission aux programmes de maîtrise pour l’automne 2014 ont augmenté de 71 %. 

Les prochaines nominations de professeurs incluront de nouvelles chaires de recherche sur le cancer, la santé et la sécurité au travail, le développement durable du Nord, la gouvernance et les relations autochtones, et l’histoire franco-ontarienne. 
 

 Voici les autres points saillants du budget : 

  • Hausse du budget de 4 300 000 $ ou de 3,1 % par rapport à 2013; 
  • 41 900 000 $ pour appuyer les objectifs du Plan stratégique de 2012 à 2020; 
  • La deuxième phase de l’École d’architecture est sur la bonne voie et respecte le budget; 
  • 44 600 000 $ pour moderniser le campus de Sudbury, y compris la création du Club universitaire, le Centre d’apprentissage des cadres et le Centre autochtone de partage et d’apprentissage (financé en partie par des dons de Glencore et de RBC); 
  • Hausse de 14 à 25 000 000 $ de l’engagement pour ouvrir un nouveau campus satellite à Barrie; 
  • Le Grand Salon sur le campus de Sudbury est en rénovations et rouvrira en septembre 2014 sous l’étiquette de la Fresh Food Company; 
  • Achèvement des rénovations de la Résidence des étudiants célibataires sur le campus de Sudbury; 
  • 3 300 000 $ d’investissements supplémentaires pour appuyer la recherche jusqu’en 2020; 
  • Effectif professoral et du personnel stable; 
  • Nouvelle Faculté des sciences de la santé, nouvelle Faculté des sciences de l’éducation, nouvelle Faculté des études supérieures, nouvelle École des sciences de l’environnement; 
  • Nouveau programme de maîtrise en relations autochtones et en sciences infirmières;
  • Augmentation de 536 000 $ pour appuyer la croissance de l’École primée de génie Bharti. 


« Nous tentons toujours d’offrir une expérience étudiante hors pair, a dit la vice-rectrice à l’administration de l’UL, Mme Carol McAulay. Ce budget renforce cet engagement et nous met sur la bonne voie pour réaliser les 40 résultats énoncés dans notre Plan stratégique. » 


Aperçu des accomplissements en 2014 : 

  • L’École d’architecture a accueilli sa première classe de 68 étudiants en septembre 2013; 
  • Le Centre d’excellence universitaire est bien établi et appuie autant la pédagogie que la réussite scolaire; 
  • Le modèle de guichet unique de services aux étudiants a été conçu et mis en oeuvre. Les locaux centralisés figureront dans le plan d’immobilisations pour la modernisation du campus; 
  • Nouveaux comptoirs de restauration (Bistro Est, Starbucks, Subway); 
  • Rétablissement de l’équipe masculine de hockey universitaire et création de l’équipe féminine; 
  • Nouveau site Web : www.laurentienne.ca
  • La Faculté de gestion est en voie d’obtenir deux agréments internationaux prestigieux; 
  • La moyenne à l’admission a atteint les 81 %; 
  • Le campus de Sudbury est entièrement sans fil; 
  • Le Certificat de bilinguisme est décerné à un nombre grandissant d’étudiants; 
  • Neuf nouveaux membres autochtones du corps professoral; 
  • 1 % de la paie est alloué aux unités pour la formation du personnel. 

Nomination de M. Rui Wang au poste de vice-recteur à la recherche

Nomination de M. Rui Wang au poste de vice-recteur à la recherche

M. Wang aidera à promouvoir et à améliorer l’intensité de la recherche dans les sept facultés de l’Université Laurentienne

20 JUIN 2014 – Votant à l’unanimité, le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne a approuvé aujourd’hui la nomination de M. Rui Wang au poste de vice-recteur à la recherche pour un mandat renouvelable allant du 19 janvier 2015 au 30 juin 2020. 

Dans ses fonctions, M. Wang aidera à promouvoir et à améliorer l’intensité de la recherche dans les sept facultés de l’Université Laurentienne, et à attirer de nouveaux titulaires de chaires de recherche et chercheurs invités dans les domaines forts. 

« M. Wang est un scientifique chevronné de réputation internationale et apporte une vaste expérience en administration universitaire ainsi qu’une connaissance approfondie du nord de l’Ontario et du comté de Simcoe, a déclaré le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux. C’est un ajout extrêmement précieux à l’équipe de direction de la Laurentienne, et nous sommes impressionnés par son énergie et sa vision. » 

Depuis 2004, M. Wang a été vice-recteur à la recherche puis vice-recteur à la recherche, au développement économique et à l’innovation à l’Université Lakehead. Il a auparavant occupé divers postes de recherche et d’enseignement, Université de Montréal et de Saskatchewan. 

M. Wang a fait des études à Shandong et à Xi’an en Chine avant d’obtenir un doctorat en physiologie à l’Université d’Alberta. Il est un chef de file dans l’étude du métabolisme et des fonctions physiologiques d’un groupe de petites molécules gazeuses appelées « transmetteurs gazeux ». Au cours de sa carrière, il a reçu près de 11 000 000 $ de subventions pour ses propres activités de recherche, a formé plus de 45 chercheurs-boursiers postdoctoraux, 20 candidats au doctorat et à la maîtrise ès sciences, ainsi que d’autres chercheurs et stagiaires invités, et a publié plus de 220 articles dans des revues prestigieuses à comité de lecture. Au fil des années, il a accumulé des nominations à titre de professeur associé, invité ou honoraire dans neuf universités de Chine, des États-Unis et du Québec, et a reçu plus de 30 prix professionnels. 

 « L’Université Laurentienne a le vent en poupe et grâce à un leadership dynamique et de nombreux domaines de recherche au potentiel unique, elle est reconnue sur la scène nationale pour son excellence en recherche et innovation, a dit M. Wang. Je me réjouis des possibilités et des défis qui m’attendent et à la perspective de travailler avec la communauté de recherche de la Laurentienne afin de favoriser la mission de recherche et d’innovation et voir se succéder les réussites. » 

M. Wang remplace M. Patrice Sawyer dont le mandat prend fin le 30 juin 2014. La conseillère spéciale auprès du recteur, Mme Anne-Marie Mawhiney, sera la vice-rectrice à la recherche par intérim du 1er juillet 2014 au 16 janvier 2015. 

L’Université Laurentienne tient à souligner la collaboration exceptionnelle qu’elle entretient avec l’Institut de recherche médicale avancée du Canada (AMRIC) situé à Horizon Santé-Nord (HSN), qui offrira une aide précieuse pour apporter le programme de recherche du Dr Wang au Grand Sudbury. 

« Le recrutement du Dr Wang par l’Université Laurentienne et des membres de son équipe de recherche par AMRIC montre clairement, a indiqué le Dr Denis Roy, PDG d’Horizon Santé-Nord, que le Grand Sudbury devient de plus en plus un carrefour pour les recherches médicales. » 

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