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Laurentian Hosts Science and Humanities Forum on Extinction

Laurentian Hosts Science and Humanities Forum on Extinction

Unique international symposium will combine philosophy, conservation biology

Photo of Polar BearNovember 6, 2013 – Conservation biology, increasing threats to habitat, and the growing list of species at risk are all on the agenda—alongside ethical and philosophical aspects of extinction—at a unique international symposium to be held at Laurentian University this month.   

 

“Thinking Extinction,”  November 14-16, will address and discuss a range of approaches to the crisis of mass extinction in an unprecedented gathering of leading thinkers, researchers and scientists from Canada, the U.S., Australia and New Zealand.  

 

The symposium is organized and hosted by Laurentian University’s Centre for Evolutionary Ecology and Ethical Conservation (CEEEC) and will include talks, panel discussions, roundtables and evening events dealing with numerous aspects of endangered species conservation.  The events are free and open to the public.

 

“The innovative aspect of our symposium is that it brings the humanities into what is typically treated as a scientific discussion,” said Laurentian University professor and Canada Research Chair in Applied Evolutionary Ecology, Albrecht Schulte-Hostedde.  “We think this approach recognizes that all of us are facing fundamental questions about our role in protecting the diversity of species on this planet, and we hope the symposium will add new dimensions to the conversation.”

 

On Friday, November 15th, Conservation Biologist Stuart Pimm will speak at a public plenary session entitled Extinctions: When, Where, How Fast, and What We Can Do to Stop Them.  Pimm, the Doris Duke Professor of Conservation Ecology at Duke University and Chair of SavingSpecies.org, has worked on ecosystem restoration in the Everglades, the coastal forests of Brazil, and the savannas of southern Africa.

 

During the day’s proceeding’s on Friday, noted Canadian authors and wilderness advocates Margaret Atwood and Graeme Gibson will take part in a roundtable discussion on the future of endangered species conservation.   The curator of reproductive programs at the Toronto Zoo, Gabriela Mastromonaco, and Bridget Stuchbury, author and expert in threats to songbird populations, will also be part of Friday’s round-table.

 

Among the many topics to be covered during the conference, expert speakers will discuss the use of reproductive technology in efforts to preserve and even resurrect threatened or extinct species.  “People often think the idea of recreating the wooly mammoth in a lab is science fiction, but in fact the existing technology allows us to contemplate the revival of species that have vanished, “ said professor Brett Buchanan, Chair of the Philosophy Department at Laurentian University.   “This is but one of the potential solutions to our extinction crisis that opens up many of the philosophical questions we are exploring at the symposium.”

 

The full agenda for Thinking Extinction can be viewed at http://thinkingextinction.com/program/

 

 

About Laurentian University

 

Laurentian University is one of the fastest growing universities in Canada in the past decade, now serving close to 10,000 students. With its main campus in Sudbury, it now offers a growing number of programs in Barrie to the 1,200 students located on that campus. Laurentian has the highest post-graduation employment rates in Ontario after 6 months at 92% and 95% after two years. The University receives high recognition for its enviable class sizes, having one of the lowest average class sizes in Canada.

 

Grande ouverture de l’École d’architecture

Grande ouverture de l’École d’architecture

La nouvelle École créera des emplois et des possibilités pour les générations à venir, déclare la première ministre de l’Ontario

4 septembre 2013 – La première ministre de l’Ontario, Mme Kathleen Wynne, a inauguré aujourd’hui l’École d’architecture de l’Université Laurentienne, la première école d’architecture au Canada depuis 45 ans, en coupant le ruban de cérémonie.

 

La première ministre avait à ses côtés le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux, le ministre d’État au Développement économique régional (Nord de l’Ontario), l’honorable Greg Rickford, et la mairesse du Grand Sudbury, Mme Marianne Matichuk, et était également entourée par les membres de la première promotion de l’École (automne 2013).

 

« Ce programme se traduira par des postes intéressants et d’excellentes possibilités pour beaucoup de jeunes gens ici dans la Nord, a dit la première ministre Wynne. Nous sommes très fiers d’avoir apporté notre appui à l’Université Laurentienne pour aider à cultiver les talents dans cette collectivité et à faciliter le lancement de fructueuses carrières. »

 

Constituée de 70 étudiants, la première cohorte suivra un cursus fortement axé sur les pratiques de conception durable et de design intégrant l’environnement naturel. L’École offrira également le seul programme de maîtrise en architecture, en langue française, à l’extérieur du Québec. D’ici septembre 2018, l’École accueillera dans un bâtiment conçu par LGA-Architectural Partners 400 étudiants et plus de 30 membres du corps professoral et du personnel.

 

« Grâce à des investissements stratégiques comme celui-ci, a dit le ministre Rickford, notre gouvernement appuie fièrement des projets qui se traduisent par des possibilités intéressantes pour les jeunes de notre région. En investissant dans les priorités locales et en collaborant avec de solides partenaires communautaires comme l’Université Laurentienne, notre gouvernement remplit ses engagements quant au soutien de projets innovateurs animant la création d’emplois et la croissance économique tout en posant les bases d’une prospérité à long terme dans le nord de l’Ontario. »

 

« C’est une nouvelle période passionnante qui commence pour la Laurentienne, l’Ontario et les communautés d’architecture et de design, a déclaré le recteur Giroux. Soixante-dix personnes viennent d'entreprendre leurs études et, au fil du temps, des centaines d’autres suivront. Elles représentent le noyau d’une culture de design, radieuse et féconde, et laisseront leur marque dans les diverses collectivités, ici et à l’étranger, pendant nombre d’années. »

 

« L’École d’architecture de la Laurentienne ravive déjà les énergies et produit de l’excitation au cœur de notre ville, a dit Mme Marianne Matichuk, mairesse du Grand Sudbury. À mesure que l’École grandit et prend de l’ampleur, elle appuiera nos industries de création tout en multipliant les possibilités offertes dans notre ville et partout dans le Nord. »

 

 

Dans sa phase inaugurale, l’École d’architecture est aménagée dans deux bâtiments historiques au centre-ville de Sudbury, à savoir le CPR Telegraph Building CPR (1914) et le CPR Rail Shed (1905), qui ont été rénovés et adaptés pour offrir des espaces studio/atelier, des salles de réunion et des bureaux, tout en gardant un certain nombre de particularités du design d’origine.

 

Dès 2014, la deuxième phase du projet verra ériger une nouvelle construction de 65 000 pieds carrés incorporant les bâtiments actuels et offrant une bibliothèque, une salle de conférence et un atelier. L’École présentera également la première utilisation à grande échelle de bois lamellé-croisé dans un bâtiment public en Ontario, grâce à l’appui du Centre de recherche sur la bioéconomie (CRIBE).

 

« Notre école constituera un outil de formation, a ajouté le directeur fondateur d’Architecture Laurentienne, M. Terrance Galvin, et sera un site d’apprentissage fondé sur les cultures francophone et autochtone, la conception dans les villes d’hiver et l’utilisation de matériaux naturels. Nous sommes persuadés que le mandat de notre cursus et les talents et intérêts hétérogènes de notre corps professoral et de notre population étudiante donneront un caractère exceptionnel à notre école dans le domaine de l’architecture canadienne. »

 

Ribbon cutting at School of Architecture

Michael Atkins, Blaine Nicholls, Marianne Matichuk, Greg Rickford, Kathleen Wynne, Rick Bartolucci, Steve Miller, Douglas Cardinal, Terrance Galvin, Dominic Giroux.

 

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

La Laurentienne fait partie des universités canadiennes qui ont pris le plus d'expansion au cours de la dernière décennie, avec un effectif étudiant près de 10 000 membres. Bien que son campus principal soit situé à Sudbury, elle offre quelque 175 programmes, y compris de plus en plus de programmes aux 1 200 membres de la population étudiante du campus de Barrie, qui est à l’horizon. La Laurentienne a l’un des plus forts taux d'emploi après l'obtention du grade en Ontario, soit 92 % dans les six mois et 95 % dans les deux ans suivant l’obtention du diplôme, et est grandement réputée pour la taille enviable de ses classes qui sont en moyenne parmi les moins nombreuses au Canada.

 

 

 

Employés de l’UL sont aux commandes de l’objectif de l’université en matière d’excellence organisationnelle

Employés de l’UL sont aux commandes de l’objectif de l’université en matière d’excellence organisationnelle

Le dernier sondage sur l’engagement des employés dénote un élan positif

28 août 2013 – Le plus récent sondage sur l’engagement des employés révèle que l'excellence organisationnelle visée dans le plan stratégique de la Laurentienne avance à grands pas. Les résultats du sondage mené tous les deux ans qui mesure 20 facteurs d’engagement des employés ont été communiqués cette semaine au corps professoral et au personnel et révèlent des progrès dans les 20 domaines.

 

En 2011, la Laurentienne a effectué le premier sondage sur l’engagement des employés, Exprimez-vous, afin de lancer le débat avec les employés de la communauté universitaire. Cette année-là, 535 membres de la communauté de la Laurentienne y ont participé. En 2013, on a recueilli les réponses de 602 employés.

 

« Le sondage Exprimez-vous consiste à écouter notre corps professoral et notre personnel pour avoir leur opinion sur ce qui fonctionne et ce qui devrait être amélioré, a déclaré le recteur et vice-chancelier par intérim, M. Robert Kerr. Nous ne serons jamais l’organisation à laquelle nous aspirons si nous n’écoutons pas nos membres. »

 

M. Kerr a dit que le sondage est une source de commentaires qui font partie d’une discussion permanente menée sur le campus au sujet de l’excellence organisationnelle. « C’est une conversation sur ce qu’il faut avoir pour être une bonne organisation, et un débat franc sur ce qu’il faut faire, dit-il. Ce n'est pas seulement un processus échelonné sur deux ans. En effet, nous sommes déterminés à atteindre notre objectif, et le sondage montre que certains éléments sur lesquels nous mettons l’accent font une différence pour nos employés. »

 

Les résultats du sondage de 2011 ont donné lieu à diverses mesures précises qui ont été intégrées dans le plan stratégique quinquennal de l’Université. Elles incluent des investissements de plus de :

  • 1,4 million de dollars pour créer le Centre d’excellence universitaire
  • 1,8 million de dollars pour améliorer les possibilités de formation et de perfectionnement des employés
  • 2 millions de dollars pour moderniser les services alimentaires
  • 44 millions de dollars pour améliorer les installations du campus

 

M. Kerr indique que l’Université continuera de solliciter l’opinion de la communauté universitaire et d’en tenir compte, et discutera de diverses initiatives et orientations dans le cadre du processus permanent d’engagement des employés.

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

La Laurentienne fait partie des universités canadiennes qui ont pris le plus d'expansion au cours de la dernière décennie, avec un effectif étudiant près de 10 000 membres. Bien que son campus principal soit situé à Sudbury, elle offre de plus en plus de programmes aux 1 200 membres de la population étudiante du campus de Barrie. La Laurentienne a l’un des plus forts taux d'emploi après l'obtention du grade en Ontario, soit 92 % dans les six mois et 95 % dans les deux ans suivant l’obtention du diplôme, et est grandement réputée pour la taille enviable de ses classes qui sont en moyenne parmi les moins nombreuses au Canada.

« Visions du design canadien » : une série de conférences lancée par architecture Laurentienne

« Visions du design canadien » : une série de conférences lancée par architecture Laurentienne

Les architectes Douglas Cardinal et Étienne Gaboury donneront le coup d’envoi à Sudbury

22 août 2013 – Les membres des médias et de la collectivité sudburoise sont invités à la conférence inaugurant la série Visions du design canadien que lancera l’École d’architecture de l’Université Laurentienne, le tout nouvel établissement du genre au Canada, en marge de son ouverture officielle le 4 septembre 2013.

 

La série sera en effet lancée le mercredi soir 4 septembre par une conférence publique gratuite de M. Douglas Cardinal, l’un des architectes les plus célèbres au Canada.

 

Architecte de divers édifices historiques, notamment du Musée canadien des civilisations et du Musée national des Amérindiens, M. Douglas Cardinal, qui est aussi officier de l’Ordre du Canada et d’ascendance Pieds-Noirs et Métis, est connu pour ses courbes fluides de maçonnerie et sa forte identification à l’environnement naturel. M. Cardinal prendra la parole le 4 septembre, à 18 h, au Sanctuaire de la St. Andrew’s Place (111, rue Larch), au centre-ville de Sudbury.

 

Le mercredi suivant, soit le 11 septembre, M. Étienne Joseph Gaboury, un autre architecte canadien de grande envergure, notamment de la Monnaie royale canadienne, de la Cathédrale de Saint-Boniface et de la Precious Blood Church, toutes à Winnipeg, prononcera la deuxième conférence publique.

 

Selon M. Terrance Galvin (Ph.D), directeur-fondateur de l’École d’architecture de la Laurentienne, cette série de conférences constitue pour les personnes intéressées une occasion unique d’entendre parler les plus grands architectes en exercice au Canada de l’architecture, du design et de l’urbanisme. « Nous sommes, dit-il, honorés que des personnalités de premier ordre comme MM. Douglas Cardinal et Étienne Gaboury aient voulu venir ici nous parler de leur travail et nous aider à marquer le lancement de l’École. Nous avons des raisons de croire que le public du Grand Sudbury trouvera tous les conférenciers stimulants et porteurs d’idées originales à l’heure où nous nous préoccupons de l’environnement bâti et de notre mode de vie en société. »

 

Parmi les futurs conférenciers figureront le natif de Sudbury, M. Richard de la Riva, et M. Raymond Moriyama, concepteur du fameux centre des sciences en forme de flocons de neige de Science Nord, à Sudbury. Toutes les conférences s’inscriront dans le cadre de la célébration d’un mois marquant l’ouverture de l’École d’architecture.

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

La Laurentienne fait partie des universités canadiennes qui ont pris le plus d'expansion au cours de la dernière décennie, avec un effectif étudiant près de 10 000 membres. Bien que son campus principal soit situé à Sudbury, elle offre de plus en plus de programmes aux 1 200 membres de la population étudiante du campus de Barrie. La Laurentienne a l’un des plus forts taux d'emploi après l'obtention du grade en Ontario, soit 92 % dans les six mois et 95 % dans les deux ans suivant l’obtention du diplôme, et est grandement réputée pour la taille enviable de ses classes qui sont en moyenne parmi les moins nombreuses au Canada.

Architecture Laurentienne accueille sa première promotion à l’automne 2013

Architecture Laurentienne accueille sa première promotion à l’automne 2013

70 inscriptions confirmées en études architecturales pour septembre

6 août 2013 – L’École d’architecture de l’Université Laurentienne est heureuse d’accueillir à l’automne 2013 sa première promotion lors du lancement de la plus récente école d’architecture au Canada.

 

Ayant reçu des demandes de partout au pays, Architecture Laurentienne a confirmé l’inscription de 70 personnes qui entreprendront leurs études à compter du 4 septembre à la nouvelle école au centre-ville de Sudbury.

 

« La vitalité et l’hétérogénéité des demandes reçues nous ont agréablement surpris, a dit le directeur fondateur, M. Terrance Galvin, Ph.D. ll y a, chez ces jeunes gens, une étincelle de créativité des plus enthousiasmantes, réservant à notre école un début bien prometteur. »

 

Les membres de la population étudiante ont été choisis selon leur dossier de création, les lettres personnelles de demande, le relevé de notes d’études secondaires et les lettres de recommandation. « Les dossiers ont présenté des personnes talentueuses de haut calibre et ayant des aptitudes variées pour les beaux-arts, a indiqué M. Galvin. Les dossiers étaient très solides, parmi les meilleurs que j’ai vus au cours de ma carrière. »

 

La première promotion d’Architecture Laurentienne compte 40 femmes et 30 hommes, dont la plupart viennent du nord de l’Ontario et d’autres régions ontariennes. Plus de 17 % sont francophones ou parlent couramment le français et 7 % sont des Autochtones.

 

Architecture Laurentienne se spécialisera en conception durable et du Nord, avec un accent particulier sur l’intégration au cursus des cultures, de l’histoire et de la conception francophones et autochtones. Chaque année, les membres francophones et autochtones seront admissibles à des bourses renouvelables, ce qui s’ajoute à l’aide financière offerte à tous les membres de la population étudiante de l’Université Laurentienne. En effet, un don de 100 000 $ de l’Association des anciens de l’UL aidera à financer les bourses en architecture.

 

Le programme d’études d’Architecture Laurentienne au premier cycle comprend deux stages d’enseignement coopératif. Les membres de la cohorte de 2013 commenceront ces stages à compter de l’été 2014 et, lors de la troisième année d’études, effectueront aussi des stages d’enseignement coopératif sur la scène mondiale.

 

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

La Laurentienne fait partie des universités canadiennes qui ont pris le plus d'expansion au cours de la dernière décennie, avec un effectif étudiant près de 10 000 membres. Bien que son campus principal soit situé à Sudbury, elle offre de plus en plus de programmes aux 1 200 membres de la population étudiante du campus de Barrie. La Laurentienne a l’un des plus forts taux d'emploi après l'obtention du grade en Ontario, soit 92 % dans les six mois et 95 % dans les deux ans suivant l’obtention du diplôme, et est grandement réputée pour la taille enviable de ses classes qui sont en moyenne parmi les moins nombreuses au Canada.

La rameuse Carling Zeeman remporte la médaille d’argent aux championnats mondiaux

La rameuse Carling Zeeman remporte la médaille d’argent aux championnats mondiaux

28 juillet, 2013 - Dimanche, aux championnats mondiaux d’aviron des U23 à Linz-Ottensheim, en Autriche, la skiffeuse Carling Zeeman de l’Université Laurentienne a remporté la médaille d’argent pour le Canada à la suite d'une course houleuse.

L’an dernier, Carling a gagné la médaille de bronze, ce qui représentait la première victoire notable des skiffeuses de l’UL depuis 1996 à des championnats mondiaux ou des Jeux olympiques.

La jeune rameuse s’est démarquée pendant les 750 derniers mètres de la course de 2 000 mètres, devançant ses concurrentes de la Lettonie et de l’Ukraine et obtenant un temps de 07:33:70. L’Allemande Lisa Schmidla a remporté la victoire avec un temps de 07:30.84, tandis qu’Elza Gulbe, de la Lettonie, a décroché la médaille de bronze avec un résultat de 07:33:79.

« Quelle performance exceptionnelle de Carling, a souligné Amanda Schweinbenz, entraîneuse d’aviron et coordonnatrice du programme de sport et d’éducation physique. Elle faisait concurrence pour la deuxième fois aux championnats mondiaux et sa résolution ne cesse d’impressionner les gens qui ont le plaisir de collaborer avec elle. »

« C’était une course épatante et j’y ai réalisé mon meilleur temps, a dit Carling. Il faisait tellement chaud que j’ai dû modifier ma préparation et mon plan de course, mais cela s’est avéré efficace et je suis bien satisfaite des résultats. » Carling est issue du programme de développement de l’aviron du Canada et a été nommée, en 2012 comme en 2013, athlète de l’année du recteur de l’Université Laurentienne.

Athlète titrée, Carling a remporté les médailles d’or à l’épreuve féminine simple des U23 aux championnats de RowOntario et à la Régate royale canadienne d’Henley, à l’épreuve féminine simple des championnats des SUO et à celle des championnats d’aviron des universités canadiennes, à l’épreuve féminine simple des U23 et à celle des femmes seniors des championnats nationaux d’aviron. En outre, elle a été nommée skiffeuse de l’année d’Aviron Canada, athlète féminine de l’année de l’Association d’aviron des universités canadiennes et étoile des Sports universitaires de l’Ontario (SUO).

Au sujet de l’Université Laurentienne

La Laurentienne fait partie des universités canadiennes qui ont pris le plus d'expansion au cours de la dernière décennie, avec un effectif étudiant près de 10 000 membres. Bien que son campus principal soit situé à Sudbury, elle offre de plus en plus de programmes aux 1 200 membres de la population étudiante du campus de Barrie. La Laurentienne a l’un des plus forts taux d'emploi après l'obtention du grade en Ontario, soit 92 % dans les six mois et 95 % dans les deux ans suivant l’obtention du diplôme, et est grandement réputée pour la taille enviable de ses classes qui sont en moyenne parmi les moins nombreuses au Canada.

Modernisation majeure en cours à la REC

Modernisation majeure en cours à la REC

Des rénovations de dix-huit mois moderniseront la Résidence des étudiants célibataires

8 juillet, 2013 - Construite en 1973, la Résidence des étudiants célibataires (REC) loge près de 400 étudiants chaque année. Avec la Résidence des étudiants adultes, elle a été l’une des premières résidences construites sur le campus de la Laurentienne. « Ce complexe résidentiel est très important pour la population du campus et la REC a besoin d’une cure de rajeunissement, a dit le directeur des projets d’immobilisations de l’UL, M. Brad Parkes. Nous améliorons l’efficacité énergétique et certains éléments structurels du bâtiment et modernisons l’intérieur. » Les rénovations incluront un nouveau revêtement extérieur et le remplacement de l’isolation et des fenêtres de tout le complexe. La structure comprend trois sections de quatre étages qui communiquent et totalisent 72 unités de style appartement abritant des chambres pour une ou deux personnes et des zones communes. Les rénovations seront effectuées par étapes afin qu’une partie seulement de la structure soit en travaux à un moment donné. Les étudiants concernés seront logés ailleurs pendant chaque étape de huit mois. « Étant donné que le travail se déroule en étapes planifiées, nous pouvons faire en sorte que toutes les personnes touchées soient logées convenablement pendant les rénovations, a dit le directeur des services de logement et d’alimentation, M. Ben Demianiuk. En plus des améliorations de la structure, les changements dans la REC incluront du nouveau mobilier et un nouveau style. Nous voulons que les locaux dédiés aux étudiants répondent aux besoins actuels en ce qui concerne la conception et la fonction. Tous les appartements seront refaits en employant des couleurs modernes. La résidence sera embellie à l’intérieur comme à l’extérieur, et sera plus invitante et confortable. » Les lits, bureaux, commodes, chaises et ensembles de cuisines seront aussi remplacés. La Laurentienne et ses universités fédérées accueillent actuellement 1 600 étudiants dans huit résidences du campus. La toute nouvelle, la Résidence Est de douze étages, a ouvert ses portes l’été dernier.

M. Steve Paikin de TVO est nommé chancelier de l’Université Laurentienne

M. Steve Paikin de TVO est nommé chancelier de l’Université Laurentienne

24 juin, 2013 - L’Université Laurentienne a annoncé aujourd’hui que M. Steve Paikin, journaliste, auteur et réalisateur de documentaires, succédera à Mme Aline Chrétien et deviendra le deuxième chancelier de l’Université Laurentienne.

M. Steve Paikin est chef d’antenne-directeur principal de l’émission d’actualité The Agenda with Steve Paikin à TVO. Depuis 20 ans, il réalise et anime des émissions pour le télédiffuseur éducatif de l’Ontario et est bien connu pour avoir présidé plusieurs débats de candidats aux élections fédérales et provinciales.

M. Paikin, qui a reçu un doctorat honorifique ès lettres de l’Université Laurentienne en 2012, a tissé de solides liens avec cet établissement et la Ville du Grand Sudbury. Il est le mari de Francesca Grosso, originaire de Sudbury et fille de feu Roberto Grosso, ex-président du Conseil des gouverneurs à l’Université Laurentienne. Les familles Grosso et Paikin passent l’été dans le district de Sudbury et ont de nombreux liens avec la région.

« M. Steve Paikin convient tout à fait au rôle de chancelier de la Laurentienne, a dit le président du Conseil des gouverneurs de l’UL, M. Michael Atkins, et le fait qu’il ait accepté cette nomination nous comble de joie. Il est une personne accomplie et fortement respectée qui fait preuve d’énergie, de crédibilité et d’intégrité exceptionnelles. Tant sa réputation que son engagement envers l’excellence incarnent notre raison d’être à l’Université. »

« Je suis franchement honoré, a souligné M. Paikin, d’avoir été choisi par l’Université Laurentienne à ce poste important et cela m’a fait grand plaisir d’avoir été invité à exercer ces fonctions. Ma femme Francesca s’en est aussi réjouie en soulignant que son père aurait été bien fier. En effet, Roberto a accompli d’énormes efforts pour aider à bâtir l’Université Laurentienne et notre famille aurait voulu qu’il soit parmi nous pour célébrer cette agréable nouvelle. »

M. Paikin se dit impressionné par les réalisations et objectifs ambitieux de l’Université Laurentienne. « Lors de mes entretiens avec les gens de l’Université Laurentienne au cours des dernières années, a-t-il dit, j’ai été frappé par la vision et le dynamisme de cet établissement tout comme par la qualité de ses dirigeants, de son corps professoral et de son personnel. La Laurentienne forme une équipe exceptionnelle dirigée par M. Dominic Giroux qui s’avère un recteur transformateur. Je me réjouis à la perspective de collaborer avec les membres de la communauté universitaire et leurs partenaires dans le Grand Sudbury et à Barrie afin de faire avancer la mission de la Laurentienne. »

M. Paikin a commencé à travailler à TVO en 1992, après avoir passé trois ans comme journaliste de l’hôtel de ville pour la radio CHFI et sept ans comme reporteur et chef d’antenne à la CBC, à Toronto. Depuis, il ne cesse d’établir de nouvelles normes d’excellence en journalisme télévisée. En qualité d’animateur de The Agenda (qui en est à sa 7e saison), M. Paikin joue un rôle clé pour faire participer les gens de l’Ontario aux questions qui façonnent la province. Intervieweur et animateur de débat des plus adroits et respectés de la télévision canadienne, il a rehaussé le niveau de discours touchant des sujets comme la politique, la religion et la culture, les sciences et la technologie, l’économie et l’environnement, tant aux termes de l’objectivité que de l’accessibilité (selon lui, toutes les questions qui ont une incidence sur les Ontariens, peu importe la complexité, se prêtent aux discussions sur son émission, la voix partisane ne définissant pas le discours).

M. Paikin a présidé à cinq reprises les débats des candidats aux élections fédérales et provinciales et a rédigé quatre livres sur la politique canadienne, y compris son dernier bouquin, Paikin and the Premiers, qui sera lancé en septembre 2013. Il est aussi réalisateur de nombreux documentaires long métrage, y compris le film primé Return to the Warsaw Ghetto. En 2012, on a décerné à M. Paikin une Médaille du jubilé de la Reine.

« Tout le monde à TVO, a indiqué Mme Lisa de Wilde, PDG de TVO, félicite Steve de sa nomination à titre de chancelier de l’Université Laurentienne. Son intégrité et son engagement pour le service à la collectivité sont une source d’inspiration. Grâce à The Agenda, il sait renseigner, sensibiliser et informer les gens de l’Ontario et en qualité de chancelier de l’UL, il sera un merveilleux modèle pour les jeunes en les motivant à toujours viser l’excellence. »

Le chancelier de la Laurentienne est un ambassadeur bénévole de l’Université. Il préside les cérémonies de collation des grades et d’autres événements importants, la représente parfois à titre officiel à des événements, participe aux activités visant à rehausser son image, contribue aux activités d’avancement, se fait un champion de la Laurentienne et de l’enseignement supérieur et conseille le recteur.

Le Sénat et le Conseil des gouverneurs ont approuvé à l’unanimité la nomination de M. Paikin, à la suite d’une demande de mises en candidature auprès de la communauté universitaire. Le 26 octobre, pendant la collation des grades de l’automne à Sudbury, il sera installé comme chancelier pour un mandat renouvelable de cinq ans

Une enseignante chevronnée de Wikwemikong reçoit le prix en éducation des Autochtone

Une enseignante chevronnée de Wikwemikong reçoit le prix en éducation des Autochtone

On rend hommage à Mme Rita Corbiere pour l’œuvre d’une vie en enseignement, éducation communautaire et mentorat

24 juin, 2013 - Aînée respectée, membre et résidente à vie de la réserve indienne non cédée de Wikwemikong sur l’île Manitoulin, Mme Rita Corbiere a été nommée lauréate du Prix annuel de distinction en éducation des Autochtones Mnaaj'in Gechi-wiidookang Nishnaabe-Gchi-Kinoomaagziwin de l’Université Laurentienne pour 2013.

Mme Corbiere a reçu le prix lors d’une célébration de la Journée nationale des Autochtones, le 21 juin, à l’Université Laurentienne. Pédagogue de longue date, elle a travaillé pendant 40 ans à titre d’enseignante au palier primaire à Wikwemikong et depuis une décennie, collabore à plusieurs projets de recherche en santé dans la communauté; elle sert aussi sa communauté en qualité d’aînée. Mme Corbiere a fréquenté le Pensionnat de Spanish pendant cinq ans et est survivante du système de pensionnats autochtones.

« Tout au long de sa vie active, a dit la vice-rectrice intérimaire aux études, Mme Sheila Cote-Meek, Rita Corbiere a témoigné de son zèle et de son engagement envers l’éducation des futures générations de la communauté de Wikwemikong. Grâce à ses réalisations en enseignement, éducation communautaire, recherche et mentorat, elle est un modèle pour les jeunes. »

Dans ses enseignements en salle de classe, Mme Corbiere intégrait les expériences et modes de connaissance des Anishinaabe, assurant ainsi une éducation culturellement significative. Elle a été enseignante de la 3e à la 8e année et directrice aussi pendant sept ans. Après sa retraite en 1996, elle a continué d’œuvrer en éducation, siégeant à titre de conseillère au comité d’étudesAnishinaabemowin du Conseil scolaire de Wikwemikong. Elle a aussi siégé au comité de l’histoire communautaire de l’Organisme du patrimoine de Wikwemikong et est actuellement membre du groupe consultatif Kina Gbezhgomi pour le bien-être des enfants, des jeunes et des familles autochtones.

Mme Corbiere est titulaire d’un B.A. en études autochtones et environnementales de l’Université Laurentienne et d’un B.Ed. de l’institut pédagogique de North Bay.

Le budget de l'Université Laurentienne respecte le plan stratégique

Le budget de l'Université Laurentienne respecte le plan stratégique

21 juin 2013 - Le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne a approuvé aujourd’hui un budget équilibré de six ans, soit jusqu’en 2018-2019, y compris un budget de fonctionnement de 136 900 000 $ pour 2013-2014 qui financera plusieurs objectifs clés du Plan stratégique au cours de la prochaine année. L’approbation du budget succède à une série de dix-sept séances de consultation auprès de plus de 150 personnes de la communauté de la Laurentienne à Sudbury et à Barrie.

« C’est une période passionnante pour la Laurentienne à l’aube de la deuxième année de mise en œuvre du Plan stratégique 2012-2017, a déclaré le vice-recteur aux études de l’Université Laurentienne, M. Robert Kerr. Nous franchirons de nombreuses grandes étapes cette année, y compris l’embauche de 23 membres du corps professoral. »

Le corps professoral recruté inclura des titulaires de Chaires de recherche du Canada en géochimie et en microbiologie environnementale ainsi que des professeurs supplémentaires à la Faculté de gestion afin d’appuyer la demande d’agrément international. D’autres grandes étapes prévues sont l’ouverture de l’École d’architecture en septembre, le lancement du programme de modernisation du campus de Sudbury assorti de 44 600 000 $, et l’entrée sur la glace des équipes de hockey masculine et féminine des Voyageurs.

Le programme de modernisation du campus apportera de nombreuses améliorations au cours des deux prochaines années, notamment la construction du Centre autochtone de partage et d’apprentissage. Les rénovations et la modernisation de plus de 50 salles de classe et laboratoires et la création d’un guichet unique de services aux étudiants au coût de plusieurs millions de dollars sont aussi prévues. En outre, 16 700 000 $ seront investis dans des projets d’immobilisation d’ici 2018-2019 : l’ouverture cet automne d’un nouveau Subway dans le cadre de l’expansion des services alimentaires, le réaménagement du Grand Salon prévu pour 2014, les rénovations majeures de la Résidence des étudiants célibataires qui ont déjà commencé et prendront fin d’ici 2015, ainsi que d’autres investissements pour effectuer l’entretien différé.

« À bien des égards, les étudiants auront l’impression dans quelques années d’arriver sur un nouveau campus, a dit la vice-rectrice à l’administration, Mme Carol McAulay. Nous attendons avec impatience les nouvelles salles de classe, les laboratoires d’enseignement, les modernisations des résidences et les options supplémentaires de services d’alimentation. »

« Le Conseil se réjouit que les ressources pour les six prochaines années s’alignent sur le Plan stratégique de l’Université, a ajouté le nouveau président du Conseil des gouverneurs, M. Michael Atkins. La Laurentienne est audacieuse, ambitieuse et déterminée, et les investissements approuvés appuient les aspirations et les objectifs que nous avons établis pour l’avenir. Nous sommes également fiers d’avoir équilibré notre budget pour la troisième année consécutive. »

Voici les points saillants du budget :

  • Budget de 136 900 000 $, une hausse de 4 800 000 $ ou 3,6 %
  • Budget équilibré pour la troisième année consécutive
  • Hausse de 4 500 000 $ ou 4,8 % des investissements dans l’enseignement et la recherche et les soutiens à l’enseignement et à la recherche
  • Ouverture de l’École d’architecture en septembre 2013
  • Restauration du hockey interuniversitaire masculin et création du hockey interuniversitaire féminin (autofinancé)
  • Augmentation de 3 000 000 $ du fonds de bourses d’études et d’aide d’ici 2018‑2019 pour tenir compte de l’augmentation des inscriptions, des droits de scolarité et de la note moyenne lors de l’admission
  • Investissements accrus dans la technologie de l’information (+ 16 %) et les acquisitions de la Bibliothèque (+ 14 %) afin de mieux répondre aux besoins de la population étudiante
  • Mise en œuvre du plan d’expansion des cycles supérieurs, y compris la 2e année de la nouvelle maîtrise en orthophonie, et les nouvelles maîtrises en sciences infirmières et en relations autochtones en septembre 2014
  • Expansion de programmes appuyés par la nouvelle École des mines Goodman, y compris au moins six nouvelles mineures ou majeures de premier cycle liées à l’exploitation minière et de nouveaux programmes modulaires et visant les cadres
  • Transfert du programme de baccalauréat en service social d’Orillia à Barrie
  • Accroissement des investissements dans la formation du personnel et le perfectionnement professionnel qui se chiffrent à 1 % de la paie
  • Engagement de 14 000 000 $ dans les immobilisations pour le campus au centre-ville de Barrie, plus la contrepartie de la ville de Barrie
  • 44 600 000 $ pour la modernisation du campus de Sudbury d’ici 2015, y compris la création du Centre autochtone de partage et d’apprentissage
  • 7 700 000 $ pour la réfection de la Résidence des étudiants célibataires qui se déroulera en trois phases et s’achèvera d’ici septembre 2015
  • 1 400 000 $ pour les services alimentaires d’ici 2014, y compris un nouveau Subway en 2013 et le réaménagement du Grand Salon en 2014
  • Investissements supplémentaires de 7 600 000 $ d’ici 2018-2019 pour effectuer l’entretien différé

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