Vous êtes maintenant dans la zone de contenu principale

L'Université Laurentienne nomme la doyenne fondatrice de la Faculté d'éducation

L'Université Laurentienne nomme la doyenne fondatrice de la Faculté d'éducation

Mme Lace Marie Brogden, Ph.D., dirigera les écoles anglophone et francophone d’éducation

23 février 2016 – L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer la nomination de Mme Lace Marie Brogden, Ph.D., au poste de doyenne fondatrice de la Faculté d’éducation, pour un mandat renouvelable de cinq ans avec entrée en fonction le 1er juillet 2016.

 

En qualité de doyenne, Mme Brogden se chargera de diriger les deux écoles de la Faculté, à savoir la School of Education et l’École des sciences de l’éducation. La Faculté compte actuellement 60 membres à temps partiel et à plein temps du corps professoral et un effectif de 780 étudiants.

 

Universitaire estimée et administratrice chevronnée, Mme Brogden dirige depuis 2010 le programme de baccalauréat de la Faculté d’éducation à l’Université de Régina. Avant cela, elle a été coordonnatrice des évaluations dans le Bureau de langue minoritaire officielle du ministère de l’Éducation de Saskatchewan et a passé cinq ans comme enseignante en immersion française dans les écoles publiques de Régina. Titulaire d’un doctorat de l’Université de Régina (2007), elle a aussi obtenu une maîtrise ès arts en éducation de la San Diego State University (1996) et un baccalauréat en éducation élémentaire française de l’Université de Régina (1989).

 

« Par l’intermédiaire de la Faculté d’éducation, nous souhaitons favoriser la recherche, l’enseignement et l’apprentissage de haut calibre, tout en attirant de brillants étudiants et professeurs, a dit le recteur et vice-chancelier, M. Dominic Giroux. Nous sommes ravis d’accueillir Mme Brogden dans ce nouveau rôle crucial à la Laurentienne et avons hâte de voir éclore nos écoles d’éducation sous sa direction. »

 

« Je suis ravie d’avoir la chance de collaborer avec les deux écoles de la Faculté qui exercent un rôle indispensable dans le nord de l’Ontario, a affirmé Mme Brogden. Il s’agit d’une possibilité exceptionnelle de travailler tant en anglais qu’en français dans des programmes simultanés et consécutifs et je me réjouis des nouvelles perspectives à l’horizon. »

La Laurentienne crée un nouveau centre de recherche en innovation et technologie minières

La Laurentienne crée un nouveau centre de recherche en innovation et technologie minières

Innovation et technologie minières Laurentienne (ITML), coordonnera et incitera toutes les recherches dans le domaine minier.

19 février 2016 – L’Université Laurentienne a annoncé une nouvelle initiative de recherche en innovation et technologie minières, ITML, qui synchronisera et optimisera les activités de recherche et d’innovation dans tous les aspects de l’exploitation minière et de l’exploration minérale à l’Université Laurentienne.

 

Cette initiative, appelée Innovation et technologie minières Laurentienne (ITML), coordonnera et incitera toutes les recherches dans le domaine minier menées dans les centres de recherche primés de la Laurentienne, notamment le Centre de recherche sur l’exploration minérale (CREM), le Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail (CRSST), le Centre pour la vitalité des lacs Vale (CVLV) et la Société de recherche appliquée en innovation minière et de réhabilitation (MIRARCO).

 

L’Université Laurentienne se classe déjà au premier rang au Canada en ce qui concerne le financement fourni par le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie (CRSNG) en géologie économique et géophysique appliquée, et au premier rang en Ontario pour le financement du CRSNG en exploitation minière et transformation des minéraux. Une deuxième prestigieuse Chaire de recherche du Canada a été créée en 2013 au Centre pour la vitalité des lacs Vale, et une Chaire de recherche en santé et sécurité au travail a été établie au Centre de recherche en santé et sécurité au travail en 2015.

 

Avec ITML, l’Université Laurentienne offre maintenant un guichet unique pour ses recherches en exploitation minière et exploration minérale. L’intégration et la synchronisation aideront à générer de nouvelles possibilités de recherches sur l’exploitation minière et à coordonner les relations de la Laurentienne avec des partenaires externes en recherche et innovation minières afin d’accélérer sa progression.

 

Le président-directeur général de MIRARCO, M. Vic Pakalnis, a été nommé vice-président associé d’ITML. « Nous aiguisons, dit-il, notre accent sur la recherche en exploitation minière tout en solidifiant la position de la Laurentienne en tant que chef de file confirmé de la recherche en ce domaine au Canada. »

 

L’honorable Reza Moridi, ministre de la Recherche et de l’Innovation et ministre de la Formation et des Collèges et Universités, applaudit l’initiative. « Notre gouvernement appuie et encourage les collaborations innovatrices en recherche dans les établissements postsecondaires de l’Ontario, et l’Université Laurentienne fait preuve d’un leadership exemplaire en créant Innovation et technologie minières Laurentienne. Cette initiative stimulera la recherche et l’innovation dans le domaine de l’exploitation minière et des minéraux et contribuera à améliorer l’économie de l’Ontario fondée sur le savoir. »

 

« Le talent et la vision hors pair des équipes de recherche de la Laurentienne et cette approche stratégique prioritaire font de la Laurentienne un chef de file mondial en recherche et innovation en exploration minérale et exploitation minière, a indiqué le vice-recteur à la recherche à l’UL, M. Rui Wang. Nous nous réjouissons du potentiel d’ITML pour renforcer encore l’excellence de nos recherches en exploitation minière. Sa création permettra à la Laurentienne de travailler plus efficacement avec ses partenaires communautaires et de l’industrie pour s’aligner sur la Stratégie ontarienne d’exploitation des minéraux renouvelée récemment (en 2015). »

 

Cliquez sur le lien ci-dessous pour consulter le Plan stratégique de recherche 2012-2017 de l’Université Laurentienne.

Plan stratégique de recherche.

L'Université Laurentienne attribue le contrat des services d'alimentation pour 2016-2021

L'Université Laurentienne attribue le contrat des services d'alimentation pour 2016-2021

Les améliorations incluent le « garde-manger en libre-service », une application pour passer les commandes et une plus grande présence de Tim Hortons

17 février 2016 – Le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne a approuvé l’attribution d’un nouveau contrat de cinq ans pour les services d’alimentation sur le campus à Chartwells Canada à compter du 1er juin 2016. Chartwells fait partie des plus grands fournisseurs de services d’alimentation dans le secteur de l’enseignement postsecondaire d’Amérique du Nord et sert actuellement plus de 50 collèges et universités au Canada.

 

« Chartwells apportera quelques changements et de nouveaux avantages pour la population étudiante, le personnel, le corps professoral et les visiteurs, a déclaré le directeur des Services de logement et d’alimentation, M. Ben Demianiuk. Nous aurons un service complet de préparation culinaire à partir de produits frais dans la salle à manger du Grand Salon, et l’automne prochain, nous offrirons aussi un garde-manger en libre-service bien garni où les clients pourront s’approvisionner, un peu comme dans leur cuisine. Nous aurons aussi un système d’étiquetage avec images qui indiquera les produits faibles en sodium, sans produits laitiers et autres. »

 

Chartwells s’est aussi engagé à investir dans des immobilisations pour améliorer et ajouter des points d’alimentation sur le campus, notamment :

 

- Rénovation du Tim Hortons dans l’édifice des arts

- Ajout d’un Tim Hortons Express dans les résidences

- Ajout de cuisine autochtone et internationale

 

Parallèlement au garde-manger en libre-service, Chartwells créera un espace interactif pour les cours de cuisine et d’autres activités. Il présentera aussi une application mobile qui permettra de commander les repas et d’aller les chercher à des endroits donnés, ce qui devrait réduire les files d’attente en période de pointe.

 

Le contrat a été attribué à l’issue d’un examen rigoureux qui a fait suite à un appel d’offres très compétitif publié l’automne dernier. Les propositions ont été évaluées en fonction d’une liste de facteurs pondérés, comme les choix et la qualité de la nourriture, la rapidité du service, les initiatives écologiques et l’engagement envers l’utilisation de produits locaux.

 

« Le comité d’examen a été très impressionné par l’engagement de Chartwells, et nous sommes convaincus que ce nouveau fournisseur apportera des avantages à la population étudiante et à tous les membres de la communauté universitaire, a affirmé la vice-rectrice à l’administration, Mme Carol McAulay. Nous tenons à remercier Aramark pour l’excellent travail qu’il a accompli ces dernières années afin de nous aider à améliorer et à élargir les options d’alimentation sur le campus. »

 

 

Depuis 2012, les services d’alimentation à l’Université Laurentienne se sont transformés avec l’arrivée de Starbucks, Subway, Toppers Pizza, du LUL Café Bistro et du comptoir de Tim Hortons (auditorium Fraser) et la rénovation de la salle à manger du Grand Salon.

La Laurentienne quitte Barrie après 15 ans de présence

La Laurentienne quitte Barrie après 15 ans de présence

Le 12 février 2016 - L’Université Laurentienne offre des programmes au Georgian College à Barrie depuis 2001 et en a offert à Orillia de 2004 à 2013. Aujourd’hui, le Conseil des gouverneurs a décidé, après une soigneuse réflexion sur toutes les options possibles pour exercer ses responsabilités fiduciaires, de ne plus allouer de ressources aux programmes d’arts et de gestion à Barrie à compter de mai 2017, et aux programmes de service social à compter de mai 2019.

 

Aucun étudiant ne sera admis en première année à la Laurentienne dans la ville de Barrie, que l’Université quittera définitivement d’ici mai 2019. La Laurentienne devient la cinquième université à renoncer ces derniers temps à offrir des programmes au Centre de partenariat universitaire avec le Georgian College.  

 

Tous les étudiants actuellement inscrits à des programmes de la Laurentienne à Barrie pourront terminer leur programme et obtenir un grade de la Laurentienne au moyen d’une combinaison de cours sur le campus, en ligne et à distance. Des rencontres individuelles avec chacun de ces étudiants sont prévues.

 

Une proportion grandissante d’étudiants du comté de Simcoe (88 %) quitte la région pour effectuer des études universitaires. Barrie est la plus grande région métropolitaine de recensement au Canada qui ne possède pas de campus universitaire.

 

Le ministère de la Formation et des Collèges et Universités a réduit les pouvoirs du Conseil des gouverneurs et du Sénat sur les activités de la Laurentienne à Barrie depuis 2010, y compris un moratorium sur les programmes. En mai 2015, il n’a pas approuvé la proposition d’expansion majeure de la capacité à Barrie présentée par la Laurentienne.

 

La vision de la Laurentienne est que les étudiants qui paient des droits de scolarité puissent suivre des programmes de grade de quatre ans entièrement enseignés par un corps professoral universitaire à Barrie. Ni le Georgian College, ni le Ministère ne partagent ce point de vue.

 

Les restrictions du Ministère priveraient les étudiants des locaux appropriés pour avoir une expérience universitaire dynamique et développer un sentiment d’appartenance.

 

« Deux valeurs fondamentales de l’Université sont de donner la priorité aux étudiants et d’assurer l’excellence. En acceptant les restrictions proposées par le Ministère, nous ne servirions pas les intérêts fondamentaux de nos étudiants actuels et futurs, a expliqué Michael Atkins, président du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne. Ces conditions ne nous permettraient pas d’attirer et de retenir de brillants étudiants et professeurs à Barrie ni de stimuler la créativité et l’innovation dans la communauté que nous servons. Elles entravent notre compétitivité et notre viabilité à Barrie. Le maire, Jeff Lehman, qui a été un champion exceptionnel de l’expansion universitaire, sait que nous avons tout fait en notre pouvoir pour réaliser notre vision commune. »

 

« Nous désirons remercier principalement le maire, les employés de la Ville, les membres du conseil municipal, nos membres du Conseil provenant du comté de Simcoe et nos nombreux partenaires et amis de la communauté et de l’industrie de leur soutien infaillible, a ajouté M. Atkins. Barrie a de la chance d’avoir ces leaders hors pair. Ce fut un privilège de travailler étroitement avec eux ».

 

Des 696 étudiants de la Laurentienne à Barrie, les 186 actuellement inscrits au baccalauréat en service social pourront terminer leur programme à Barrie d’ici avril 2019. Les 291 étudiants actuellement inscrits en 3e et 4e années du baccalauréat ès arts, du baccalauréat en administration des affaires et du baccalauréat en commerce pourront terminer leur programme de trois ans à Barrie d’ici avril 2017. Nous offrirons un éventail d’options personnalisées aux 219 étudiants restants, entre autres, terminer le programme à Sudbury en ligne ou avec un soutien financier, terminer un programme en arts de trois ans à Barrie, obtenir une lettre de permission pour suivre des cours dans une autre université afin de répondre aux exigences du grade, ou transférer dans une autre université.

 

Les étudiants qui désirent discuter de leurs options personnalisées pourront se présenter aux bureaux de la Laurentienne sur le campus du collège le samedi 13 février 2016, de 9 h à 15 h. Ils peuvent aussi se rendre dans les bureaux de la Laurentienne sur le campus du collège en tout temps entre le mardi 16 février et le vendredi 19 février, de 8 h 30 à 19 h. Il est également recommandé qu’ils vérifient leur courrier électronique de la Laurentienne pour obtenir d’autres renseignements. S’ils ont des questions, ils peuvent appeler au 1-855-675-1151, poste 3469, ou écrire à LUBarrie@laurentienne.ca.

 

Les 23 membres du corps professoral à temps plein se verront offrir un poste à Sudbury. Les dispositions des conventions collectives et les politiques de l’Université s’appliqueront au corps professoral et aux 11 membres du personnel non enseignant à Barrie. Les services de 32 chargés de cours de la Laurentienne ne sont plus nécessaires d’ici 2019.

 

« Nous remercions le Georgian College de nous avoir accueillis depuis 2001. Son corps professoral et son personnel sont hors pair. Nous lui offrons nos meilleurs vœux de succès pour l’avenir, a dit Dominic Giroux, recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne. Dans les prochains jours, nous nous concentrerons sur le soutien à nos étudiants, à notre corps professoral et à notre personnel à Barrie pendant cette transition. Dorénavant, la Laurentienne portera toute son attention à son campus principal en pleine expansion à Sudbury où les étudiants auront davantage de professeurs à temps plein en arts, gestion et service social. De nouveaux programmes novateurs en sécurité de la TI et criminologie qui avaient été envisagés à Barrie avec l’appui de partenaires de l’industrie seront lancés à Sudbury. »

 

Faits saillants

  • Les inscriptions à la Laurentienne à Sudbury ont augmenté de plus de 900 depuis 2009, alors que la moyenne à l’admission est passée de 79 % à 82 %, malgré les préoccupations démographiques du Nord-Est de l’Ontario, les compressions gouvernementales visant la formation du personnel enseignant, et la concurrence accrue.
  • La Laurentienne a le meilleur taux d’emploi de toutes les universités ontariennes après l’obtention du diplôme.
  • Les subventions de recherche des trois Conseils à la Laurentienne ont augmenté de 22 % depuis 2008-2009 alors qu’elles stagnent dans le pays. La Laurentienne se classe au premier rang au Canada pour le financement du CRSNG en géologie économique, au premier rang au Canada pour le financement du CRSNG en géophysique appliquée, au premier rang au Canada pour le financement du CRSH en politique sociale, planification et prévention sociale et au premier rang en Ontario pour le financement du CRSNG en exploitation minière et transformation des minéraux. 
  • En 2016, la Laurentienne terminera des investissements de plus de 100 millions de dollars à Sudbury, y compris dans la nouvelle École d’architecture au centre-ville, des salles de classe et laboratoires modernisés, le nouveau Centre d’apprentissage pour cadres, le nouveau Centre autochtone de partage et d’apprentissage, le nouveau Club universitaire, le nouveau guichet unique de services aux étudiants, et le nouveau Laboratoire de recherches métaboliques et cardiovasculaires.
  • La Laurentienne affiche un budget équilibré depuis cinq années consécutives, et en 2013, a lancé la plus grande campagne de mobilisation de fonds de l’histoire du Nord de l’Ontario qui a  rapporté plus de 65 millions de dollars.

Le Conseil des gouverneurs de la Laurentienne accueille quatre nouveaux membres

Le Conseil des gouverneurs de la Laurentienne accueille quatre nouveaux membres

Quatre nouveaux membres au Conseil des gouverneurs pour un mandat de trois ans.

2 février 2016 – L‘Université Laurentienne est heureuse d’annoncer la nomination de quatre nouveaux membres au Conseil des gouverneurs pour un mandat de trois ans, à savoir MM. Stuart Harshaw, Brian Lyle Montgomery et Yves Pelletier et Mme Tina Sartoretto.

 

M. Stuart Harshaw est le nouveau vice-président des opérations de l’Ontario chez Vale Canada Limited et était, avant cela, vice-président au marketing et aux ventes pour l’Asie pacifique à Vale Base Metal. Depuis qu’il s’est joint à Inco (maintenant Vale) en 1990, il a exercé diverses fonctions dans le génie, les opérations et le marketing. En outre, il est, depuis octobre 2014, commissaire de PT Vale Indonesia Tbk. Il est titulaire d’une MBA de l’Université Laurentienne et d’un baccalauréat ès sciences en génie métallurgique de l’Université Queen’s.

 

Né et élevé dans la région de Sudbury, M. Brian Lyle Montgomery est avocat et associé retraité du cabinet Weaver Simmons LLP. Reconnu pour son expertise dans tous les aspects du droit des mines, des sociétés, de l’immobilier et des affaires, il accorde beaucoup d’importance à la communauté de Sudbury et a siégé à de nombreux conseils, y compris ceux du YMCA, de la Chambre de commerce de Sudbury et du district, du Sudbury Theatre Centre, du Idylwylde Golf and Country Club et du Greater Sudbury Utilities Inc. Il est actuellement membre des conseils de la Galerie d’art de Sudbury, de Transition Metals Corp. et de Sudbury Platinum Corporation. Il est titulaire d’un baccalauréat ès arts et d’un baccalauréat en droit à l’Université de Windsor.

 

Né et élevé à Sudbury, M. Yves Pelletier est expert-conseil chevronné en enseignement supérieur et ex-sous-ministre adjoint de l’enseignement postsecondaire au Nouveau-Brunswick. Il a aussi occupé des postes de leadership au Conseil de recherches en sciences humaines, à la Fondation canadienne des bourses d’études du millénaire et à Ressources humaines et Développement des compétences Canada (maintenant appelé Emploi et Développement social Canada). Il est titulaire de baccalauréats de la Laurentienne et de l’Université d’Ottawa, d’une maîtrise de l’Université d’Ottawa et d’un doctorat en histoire de l’Université Queen’s. Il siège actuellement au comité directeur de l’Association des anciens de l’Université Laurentienne.

 

Mme Tina Sartoretto est mairesse de la Ville de Cobalt. Elle a été vice-présidente à l’enseignement et aux services étudiants au Collège Boréal et secrétaire générale au Collège Cambrian. Dans la communauté, elle a participé entre autres aux activités du Club Rotary Sudbury Sunrisers et de Centraide. Elle a obtenu un baccalauréat en éducation physique et santé de l’Université Laurentienne et une maîtrise en éducation de l’Université de Boston.

« Nous tenons à souligner la vaste expérience et le bel enthousiasme qu’apportent nos nouveaux membres au Conseil, a exprimé M. Michael Atkins, président du Conseil des gouverneurs, et avons hâte de collaborer avec eux lors d’un autre chapitre intéressant de l’histoire de la Laurentienne. »

 

Ces quatre nouveaux membres viennent remplacer MM. Andrew Battistoni, John Pollesel et Kelly Strong et Mme Julie Strong qui ont siégé avec distinction pendant de nombreuses années au Conseil des gouverneurs. « Le Conseil est très reconnaissant des importantes contributions de ces personnes, a ajouté M. Atkins, et de l’appui indéfectible qu’elles prêtent à la Laurentienne. »

Les étudiants de l'École de génie Bharti de la Laurentienne remportent encore les grands honneurs

Les étudiants de l'École de génie Bharti de la Laurentienne remportent encore les grands honneurs

Les équipes seniors se dirigent aux épreuves nationales après avoir remporté la victoire à la Compétition d’ingénierie de l’Ontario

1er février 2016 – L’École de génie Bharti de l’Université Laurentienne a continué à dominer la Compétition d’ingénierie de l’Ontario, ses équipes se classant au premier rang de deux catégories le week-end dernier, à l’Université de Waterloo. Dans le cadre du concours provincial, les étudiants de la Laurentienne ont décroché le premier prix dans les catégories de design senior et de génie-conseil. Les équipes gagnantes de l’École Bharti se rendront maintenant à la Compétition canadienne d’ingénierie qui aura lieu à l’Université McGill, à Montréal (Québec), du 3 au 6 mars 2016.

 

« Il s’agit d’un autre moment historique pour l’Université Laurentienne et l’École de génie Bharti, a dit le recteur et vice-chancelier, M. Dominic Giroux. Nous sommes ravis pour ces étudiants et pour l’expérience et la formation pratique qu’ils acquièrent et continuerons à les encourager. »

 

L’équipe de design senior de la Laurentienne se compose d’étudiants de la troisième année du programme de génie mécanique, à savoir Colin Roos, Stephane Labine, Matt Bennison et Aidan Simpson. Cette équipe a remporté l’épreuve de design junior à la Compétition d’ingénierie de l’Ontario 2015 et a gagné aussi la Compétition canadienne d’ingénierie 2015.

 

Une équipe de la Laurentienne a aussi obtenu la victoire dans la catégorie de génie-conseil de la compétition provinciale et représentera l’Ontario lors de la Compétition canadienne d’ingénierie. Inscrits à la quatrième année du programme de génie chimique, les membres de cette équipe sont Frederique Belanger, Jasmina Omri, Joseph Fyfe et Tyler Provencal.

 

« Ces honneurs mettent en évidence nos programmes de génie à la Laurentienne, a ajouté le directeur de l’École de génie Bharti, M. Ramesh Subramanian, Ph.D. Notre équipe de design senior a encore mis ses forces en valeur au concours provincial contre une vive concurrence et, pour la première fois, l’une de nos équipes a gagné la catégorie de génie-conseil. Je suis tellement fier de ces étudiants de talent exceptionnel. »

 

Avant la tenue de la compétition nationale à Montréal, les étudiants de génie minier de la Laurentienne participeront au Jeux miniers du Canada, à UBC, à Vancouver, du 18 au 21 février.

 

Les étudiants de l’École de génie Bharti de la Laurentienne se sont distingués dans de nombreux concours provinciaux, nationaux et internationaux. Ils ont remporté les Jeux miniers du Canada plus souvent que les étudiants de toute autre université canadienne. En 2011, l’équipe de la Laurentienne a remporté le concours de robots lunaires de la NASA avec son concept de module lunaire-minier télécommandé.

 

De plus amples renseignements sur la Compétition d’ingénierie de l’Ontario et la Compétition canadienne d’ingénierie figurent respectivement à oec2016.io et à www.cec2016.com.

 

Une collaboration innovante et renforcée entre l'Université Laurentienne, le Collège Boréal et La Cité

Une collaboration innovante et renforcée entre l'Université Laurentienne, le Collège Boréal et La Cité

Établissement d’un parcours accessible et sans précédent pour les diplômés collégiaux francophones en administration des affaires

Sudbury ON, le 26 janvier 2016 – L’Université Laurentienne, le Collège Boréal et La Cité ont procédé aujourd’hui à la signature d’une entente d’articulation accélérant l’obtention d’un baccalauréat en administration des affaires pour les diplômés des deux collèges francophones de la province.

 

Dès septembre 2016, les diplômés des programmes de deux ans en Techniques en administration des affaires du Collège Boréal et de La Cité bénéficieront d’un modèle avantageux de type 2+2 permettant d’acquérir un baccalauréat en administration des affaires (B.A.A.) de l’Université Laurentienne. Selon cette entente, les diplômés collégiaux n’auront qu’à compléter l’équivalent de deux ans d’études universitaires ainsi qu’un cours de statistique afin d’obtenir leur diplôme. Cette reconnaissance est sans précédent au sein de la communauté francophone dans le domaine de l’administration et figure parmi les plus profitables en Ontario.   

 

Les étudiants du Collège Boréal et de La Cité désireux de poursuivre leurs études à la Faculté de gestion de l’Université Laurentienne pourront également accéder à leur cours en français soit sur campus ou selon un modèle hybride. Cette flexibilité permettra à ceux qui désirent entrer dans le monde du travail de compléter leur formation à distance tout en poursuivant leurs activités professionnelles. De plus, la combinaison d’un diplôme collégial et d’un baccalauréat fournira à ces étudiants un avantage concurrentiel sur le marché du travail et l’accès à plusieurs désignations professionnelles.

 

Cette entente a été réalisée grâce à une subvention du Conseil pour l’articulation et le transfert – Ontario (CATON).

 

Citations :

 

« Mise sur pied par l’Université Laurentienne, le Collège Boréal et La Cité, cette entente s’inscrit dans une volonté assumée de faire progresser le continuum d’études postsecondaire en français, à l’échelle de l’Ontario. En tant que première université bilingue désignée en vertu de la Loi sur les services en français, la Laurentienne veut reconnaître la qualité des programmes de formation en français offerts au niveau collégial et augmenter les passerelles francophones menant au niveau universitaire pour le bénéfice des étudiants. »

            Dominic Giroux, recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne

 

« Par cette nouvelle entente d’articulation, le Collège Boréal et ses partenaires poursuivent une collaboration étroite à l’échelle de la province afin d’offrir aux étudiantes et étudiants francophones de tout l’Ontario davantage de flexibilité dans l’atteinte et la réalisation de leurs objectifs de carrière. Cette initiative témoigne d’une volonté conjointe qu’ont le Collège Boréal, La Cité et l’Université Laurentienne de travailler ensemble dans le cadre d’une stratégie concertée plaçant ces étudiantes et étudiants au premier plan. » 

Pierre Riopel, président du Collège Boréal

 

« Cette nouvelle entente, une collaboration innovante et renforcée, témoigne d’une volonté commune entre nos trois établissements d’offrir à nos étudiants et étudiantes ce qu’il y a de mieux comme options de formation tout en répondant davantage aux réalités actuelles et futures du marché de l’emploi. »

Lise Bourgeois, présidente de La Cité

 

« Le CATON est fier d’apporter un soutien à ses partenaires collégiaux et universitaires, comme l’Université Laurentienne, le Collège Boréal et La Cité, dans leur engagement envers l’établissement d’un système éducatif qui répond aux besoins des étudiants. Cette entente est axée sur la mobilité et permettra à former des diplômés hautement compétents, hétérogènes et capables de s’adapter aux exigences économiques de l’Ontario. »

Glenn Craney, directeur général du Conseil pour l’articulation et le transfert – Ontario

L'Université Laurentienne signe l'appel de Paris

L'Université Laurentienne signe l'appel de Paris

Plus de 1 000 signataires dans le monde s’engagent à appuyer l’entente parisienne

22 décembre 2015 – L’Université Laurentienne s’est jointe au nombre croissant de signataires de l’Appel de Paris, émis le 16 décembre 2015, et s’engage ainsi à soutenir toute action pour réduire immédiatement les émissions de gaz et à respecter voire dépasser le niveau d’ambition énoncé par l’accord adopté à la récente COP21. L’Université Laurentienne est parmi les premières universités canadiennes à signer l’appel.

 

Selon l’organisme l’Appel de Paris, cet engagement présente « une occasion unique pour les acteurs non étatiques de voir reconnaître leur leadership en matière de climat dans le contexte de la COP21. » Les signataires « saluent l’adoption, à la COP21 à Paris, d’une nouvelle entente universelle pour le climat, qui s’avère une étape clé pour nous aider à régler le problème du changement climatique. Nous nous engageons à apporter notre appui pour que soit respecté, même dépassé, le niveau visé par l’accord. Ainsi, nous prendrons collectivement et individuellement, dès maintenant, des mesures concrètes sans attendre l’entrée en vigueur de l’entente en 2020, afin de ramener les émissions de gaz à effet de serre à des niveaux acceptables et de développer une résistance aux effets néfastes qui ont lieu déjà. »

 

L’Université Laurentienne se joint à plus de 1 000 villes, conseils municipaux et régionaux, compagnies, investisseurs, groupes de la société civile, organismes syndicaux et signataires divers de partout dans le monde pour favoriser un avenir stable, durable et moins pollué par le carbone afin de limiter la hausse des températures mondiales à moins de 2° Celsius.

 

« Notre établissement est fier de ses nombreuses réalisations axées sur la durabilité jusqu’à présent, a dit la gestionnaire de l’énergie et de la durabilité à la Laurentienne, Mme Kati McCartney, grâce à des innovations de recherche mettant au point des technologies dont le monde a besoin et à des modifications apportées à notre fonctionnement quotidien tout simplement pour réduire l’empreinte de carbone. La signature de cet accord est une preuve de plus de notre engagement et nous espérons qu’elle inspirera les autres et les motivera à le signer également. »

 

« Que ce soit des recherches sur l’écologie des lacs, la surveillance du changement climatique ou le projet de reverdissement reconnu mondialement, a ajouté le recteur et vice-chancelier de la Laurentienne, M. Dominic Giroux, l’Université Laurentienne s’est affirmée comme chef de file dans les sciences environnementales et la durabilité. Nous maintenons notre engagement afin d’accélérer les mesures transformatives qui s’imposent pour adresser les défis du changement climatique. »

 

 

En 2014, avec quelque 400 collèges et universités dans plus de 40 pays, l’Université Laurentienne a signé la Déclaration de Talloires, plan d’action à dix points qui vise à incorporer les connaissances en durabilité et environnement à l’enseignement, à la recherche, au fonctionnement et aux activités de rayonnement.

L’Université Laurentienne embauche le prochain vice-recteur aux études

L’Université Laurentienne embauche le prochain vice-recteur aux études

Le Conseil des gouverneurs nomme M. Pierre Zundel

Le 8 décembre 2015 – Aujourd’hui, le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne a approuvé la nomination de M. Pierre Zundel, Ph.D., au poste de vice-recteur aux études. Il entrera en fonction le 1er juillet 2016.

Après seize ans comme professeur et directeur de département à l’Université de Moncton et à l’Université du Nouveau-Brunswick (UNB), M. Zundel a été cadre supérieur de l’enseignement pendant douze ans, tout d’abord comme doyen du Collège Renaissance de l’UNB (2004 à 2009) puis comme recteur et vice-chancelier de l’Université de Sudbury (depuis 2009). Sous sa direction, l’Université de Sudbury a créé des programmes satellites de transition sur la côte de la baie James et à l’île Manitoulin, accomplissement souligné par la Chambre de commerce du Canada comme un modèle pour l’enseignement régionalisé dans les collectivités autochtones. Même si les demandes dans les arts et le journalisme ont baissé à l’échelle provinciale, les inscriptions aux cours ont augmenté et le budget a été équilibré pour cinq ans consécutifs.

En 2014, il a été reconduit dans ses fonctions de recteur et vice-chancelier de l’Université de Sudbury.

M. Zundel a été nommé « Teaching Scholar » de l’UNB en 2001, a reçu le prix régional du leadership en enseignement de l’Atlantic Association of Universities en 2002 et a remporté un prestigieux Prix national 3M d’excellence en enseignement en 2003. En 2006, alors qu’il était à la tête du Collège Renaissance, l’établissement a reçu le prix Alan K. Blizzard pour l’enseignement en collaboration décerné par la Société pour l’avancement de la pédagogie dans l’enseignement supérieur.

Il préside l’Association of Catholic Colleges and Universities of Canada qui compte 21 membres. De 2010 à 2014, il a présidé le Consortium des universités de la francophonie ontarienne et a été nommé Personnalité franco-ontarienne de l’année à Sudbury en 2014. Il siège au comité de direction de la Société de développement du Grand Sudbury, préside le Comité de développement économique communautaire et Espace partagé Sudbury, a siégé au conseil de Mangeons local Sudbury et a été conseiller du Conseil d’entreprises du Nouveau-Brunswick.

Titulaire d’un baccalauréat ès sciences et d’une maîtrise ès sciences de l’Université de Toronto, ainsi que d’un doctorat en exploitation forestière et économie de l’Université Laval, M. Zundel a été rédacteur en chef de l’International Journal of Forest Engineering de 2000 à 2005. Il a mené des recherches sur les politiques d’accès aux territoires forestiers et sur l’énergie de la biomasse, ainsi que des missions de recherche et des cours d’études sur le terrain dans 14 pays. Il est auteur et co-auteur de plus de 40 publications, a présenté plus de 40 exposés sur l’enseignement et l’apprentissage dans l’enseignement supérieur et sur la foresterie, et a animé de nombreux ateliers et séminaires de perfectionnement du corps professoral.

« Nous nous réjouissons d’accueillir Pierre dans ce poste de direction, a indiqué le recteur et vice-chancelier de la Laurentienne, M. Dominic Giroux. Il est un éducateur primé et un administrateur chevronné qui se passionne pour l’innovation en enseignement et apprentissage. Il connait à fond le fonctionnement de la Laurentienne et les communautés que nous servons, y compris nos partenaires francophones, métis et des Premières Nations. »

« Je suis très enthousiasmé de participer à la croissance stratégique à la Laurentienne, a dit M. Zundel. L’Université prend un formidable élan et je me réjouis à la perspective de collaborer avec mes collègues et les partenaires communautaires pour servir la population étudiante et avoir une incidence plus considérable sur son expérience universitaire. Je crois que la Laurentienne continuera de se distinguer favorablement des autres universités. »

La nomination de M. Zundel a été recommandée à la suite d’une campagne nationale de recrutement menée par un comité composé de 10 membres du corps professoral, de la population étudiante, de l’administration et du Conseil des gouverneurs et a été appuyée par le Sénat de l’Université. Il succédera à M. Robert Kerr, Ph.D., dont le mandat non renouvelable de 6,5 ans prendra fin le 30 juin 2016.

L’Université Laurentienne félicite Khaled Taktek, Ph.D., boursier Fulbright de 2014-2015

L’Université Laurentienne félicite Khaled Taktek, Ph.D., boursier Fulbright de 2014-2015

À la fin de son mandat, M. Taktek a été honoré en recevant le Médaillon d’excellence.

L’Université Laurentienne est heureuse de féliciter M. Khaled Taktek, Ph.D., professeur agrégé de l’École des sciences de l’éducation, qui a mené à bien son mandat à titre de boursier canadien Fulbright à l’Académie militaire de West Point, à New York, aux États-Unis.

 

À la fin de son mandat, M. Taktek a été honoré en recevant le Médaillon d’excellence du brigadier général Timothy Trainor, doyen du conseil d’enseignement de l’Académie militaire de West Point.

 

Le projet de recherche de M. Taktek à West Point s’intitulait « Mental Imagery Training for Peak Performance: An Efficient Strategy for Motor Skills and Performance Enhancement as well as Cognitive Functioning Development. »

 

La Fondation pour les échanges éducatifs, créée entre le Canada et les États-Unis et connue sous le nom Fulbright Canada, est un organisme binational sans but lucratif qui se charge de trouver les esprits les plus brillants dans ces deux pays et de leur offrir un appui financier afin qu’ils participent à un échange universitaire et contribuent à la compréhension réciproque entre les peuples du Canada et des États-Unis.

 

Pour obtenir des informations sur les travaux effectués par M. Taktek dans le cadre de la Bourse Fulbright, veuillez consulter http://issuu.com/fulbrightcanada/docs/2014-15_biographies_and_photos/15?e=1636925/9081748

Pages