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L'Université Laurentienne amorce la modernisation du campus

L'Université Laurentienne amorce la modernisation du campus

Grand Salon rajeuni et meilleur choix de repas dès l’automne 2014


20 février, 2014 - Le coup d’envoi du grand projet de modernisation du campus de l’Université Laurentienne à Sudbury sera donné au printemps, à la fin de l’année universitaire en cours, avec le début des travaux de rénovation du Grand Salon, un lieu emblématique vieux de 60 ans. Le contrat de 2 090 000 $ a été attribué à Capital Construction, une société établie à Sudbury.

 

« Au terme des travaux de rénovation prévus, le Grand Salon sera un endroit accueillant et chaleureux, une salle à manger et de rassemblement offrant de nombreux agréments aux étudiants, aux membres du personnel et aux visiteurs du campus, a déclaré le directeur des Services de logement et d’alimentation, M. Ben Demianiuk. Nous sommes persuadés que la reconfiguration de ce haut lieu vénérable de la Laurentienne en fera un nouvel attrait invitant. »

 

En effet, à voir les rendus d’artistes du nouveau design, le Grand Salon sera doté de luminaires et de mobilier modernes, de même qu’une gamme de sièges confortables. Les services de restauration prévus, et qui seront assurés par Aramark Food Services sous le nom de Fresh Food Company, ont également été repensés pour offrir une expérience culinaire de « style marché ».

 

« Au cours de nos consultations sur le campus, explique M. Demianiuk, nous avons appris que les étudiants veulent voir offrir un menu très varié, plus d’aliments frais et un grand choix de repas santé. Le style marché nous permettra donc de répondre à leurs attentes, tous les jours, avec douze comptoirs d’alimentation des plus divers, à la différence des trois comptoirs actuels. » La Fresh Food Co. proposera également sur ses cartes de menus de jour plus de fruits et légumes cultivés dans la région ainsi qu’un éventail de produits alimentaires d’origine locale. Par ailleurs, l’Université poursuit sa recherche de nouvelles possibilités auprès des fournisseurs locaux d’aliments et de boissons locales afin que ceux-ci puissent offrir leurs produits sur le campus.

 

Côté fonctionnement, le marché sera comme un plateau gastronomique complet, genre « tous les aliments que vous souhaitez manger », un choix illimité à prix fixe à chaque période de repas. En d’autres termes, cela sera très économique grâce aussi aux nouveaux plans de repas prévus, allant du plan de repas étudiant désigné par résidence (Résidence des étudiants célibataires, Collège universitaire, Résidence Est et Résidence Ouest) au plan de repas facultatif pour les membres du corps professoral, du personnel et de la population étudiante dans les résidences non désignées.

 

« En mettant en place un plan de repas pour la plupart des étudiants en résidence, a déclaré la vice-rectrice à l’administration, Mme Carol McAulay, nous suivons en cela la majorité des universités canadiennes. Il s’agit d’une approche qui consiste à offrir aux étudiants et à leur famille l’assurance d’un choix de repas frais et nourrissant à un prix raisonnable au cours de toute l’année universitaire. »

 

Comme il a été indiqué, la rénovation du Grand Salon amorce un vaste programme de modernisation du campus qui a reçu le feu vert du Conseil des gouverneurs et qui est mis en avant dans le Plan stratégique 2012-2017 de l’Université Laurentienne. Ce programme, chiffré à 50 000 000 $, verra moderniser au cours des trois prochaines années de nombreux locaux, soit des  salles de classe, des laboratoires, des zones d’étude et des espaces sociaux.

 

« Ce projet est la première revalorisation importante de certaines parties du campus de Sudbury, a précisé le directeur général du Service des installations et de la planification, M. Brad Parkes, et l’objectif est de moderniser nos installations tout en optimisant l’espace et en simplifiant l’accès aux services. »

 

Pendant les travaux de rénovation du Grand Salon, Tim Hortons et Starbucks continueront à recevoir les clients, comme d’habitude, et un chariot barbecue sera mis en place pour offrir une variété de repas saisonniers très appréciés.Conceptual-rendering-3Conceptual rendering

Architecture Laurentienne: La Phase Deux de la construction se met en branle

Architecture Laurentienne: La Phase Deux de la construction se met en branle

Le Conseil des gouverneurs approuve le contrat d’exécution du projet de 55 000 pieds carrés au centre-ville de Sudbury

14 février, 2014 - Votant à l’unanimité, le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne a donné aujourd’hui le feu vert à l’attribution de la deuxième phase du contrat de construction de l’École d’architecture de la Laurentienne, un contrat de 23 900 000 $. Les travaux de fondation de nouveaux locaux de 55 000 pieds carrés devraient commencer en mars 2014 avec la préparation du site situé au coin des rues Elm et Elgin. 

« La deuxième phase du projet d’Architecture Laurentienne verra ériger au cœur du centre-ville un repère important, a indiqué le recteur et vice-chancelier, M. Dominic Giroux, et nous sommes convaincus que cet édifice sera un lieu d’accueil estimable digne du programme d’études en architecture. »

Conçue par LGA Architectural Partners, l’École d’architecture sera un édifice unique en ce qu’elle se compose de deux ailes distinctes et contrastées. L’aile nord, donnant sur la rue Elm, sera une structure en acier offrant des mezzanines au-dessus du deuxième étage. L’aile ouest, une structure à deux étages, en bois lamellé-collé et lamellé-croisé (CLT), sera la première utilisation à grande échelle de la technologie CLT dans un bâtiment public en Ontario. Les deux ailes, qui offriront en plus une cour intérieure et un passage public, seront occupées par des salles de classe et d’atelier, une salle de conférence, des salons et des bureaux. La première phase de la construction a consisté à rénover les deux bâtiments patrimoniaux où le programme d’Architecture Laurentienne, officiellement lancé en septembre 2013, offre des espaces d’atelier et de bureau du corps professoral.

« Le design est exceptionnel et innovateur, et nous avons les raisons de croire que le résultat final sera, visuellement, un joyau superbe dans le paysage urbain, a déclaré le directeur fondateur d’Architecture Laurentienne, M. Terrance Galvin. Toute la collectivité verra ce bel édifice se dresser et prendre forme au cours des prochains mois, et je pense que ce processus dynamique sera un spectacle tout aussi passionnant. »

Le contrat a été attribué à Bondfield Construction de Concord, en Ontario, à l’issue d’un processus d’appel d’offres concurrentielles. L’exécution du projet de construction est prévue pour dix-huit mois, et environ 100 artisans et ouvriers de la région devraient y participer.

Bondfield Construction est une entreprise familiale canadienne qui, forte de son immense expérience des projets d’infrastructure publique, a su se propulser aux premiers rangs des constructions LEED et écologiques. Son portefeuille de réalisations, dont de nombreux édifices publics dans toute la province, comprend l’École de gestion de l’Université Queen’s, à Kingston, le Complexe d’ingénierie de l’Université de Guelph, le Bâtiment des sciences de l’Université de Waterloo, le Global Innovation Exchange de l’Université Wilfrid Laurier, à Waterloo, le Centre de santé et de bien-être du Collège Georgian à Barrie, l’École Bishop Strachan à Toronto, la Bibliothèque publique de Barrie et le Centre des arts de la scène de Richmond Hill.

L’École d’architecture de la Laurentienne est la première école d’architecture à ouvrir ses portes au Canada depuis 45 ans. Les principaux partenaires de financement du projet sont :

le ministère de la Formation et des Collèges et Universités (MFCU) de l’Ontario
l’Initiative fédérale de développement économique pour le Nord de l'Ontario (FedNOR) 
le Fonds du patrimoine du Nord de l'Ontario     
— le Centre de recherche et d'innovation en bioéconomie (CRIBE) à l’Université Laurentienne

On rend hommage à M. Kabwe Nkongolo pour l'excellence en recherche

On rend hommage à M. Kabwe Nkongolo pour l'excellence en recherche

M. Kabwe Nkongolo, Ph.D., professeur de biologie à l’Université Laurentienne, est lauréat du Prix d’excellence en recherche 2014 de l’UL.

6 février, 2014 - M. Kabwe Nkongolo, Ph.D., professeur de biologie à l’Université Laurentienne, est lauréat du Prix d’excellence en recherche 2014 de l’UL.

 

Professeur titulaire de génétique au Département de biologie et l’un des principaux membres du corps professoral du doctorat en sciences biomoléculaires à la Laurentienne, M. Nkongolo s’est joint à l’Université en 1992, après avoir passé quatre ans à la Colorado State University aux États-Unis. Il a préparé une M.Sc. en toxicologie et un doctorat en génétique à l’Université Laval, au Québec.

 

« On rend hommage à M. Nkongolo, a dit M. Patrice Sawyer, vice-recteur à la recherche et aux affaires francophones à l’Université Laurentienne, pour ses travaux au sein de la communauté et ailleurs. Grâce à ses recherches, il apporte d’importantes contributions aux domaines de la génétique environnementale, de la santé des écosystèmes nord-ontariens, de la génétique du diabète et de la sécurité alimentaire par l’intermédiaire de projets internationaux. »

 

Le Comité du Prix d’excellence en recherche confère l’honneur à un membre du corps professoral qui fait preuve de « rendement exceptionnel ». Le prix s’accompagne d’une allocation de 15 000 $ qui peut prendre la forme d’une subvention de recherche pendant le congé sabbatique.

 

« Je suis fier, a indiqué M. Nkongolo, de figurer sur la longue liste d’universitaires qui aident à faire reconnaitre l’Université Laurentienne tant sur la scène nationale que mondiale. »

 

Pour célébrer cette réalisation, M. Nkongolo a fait un exposé sur ses recherches dans le cadre des cérémonies d’ouverture de la Semaine de la recherche de l’UL. On lui remettra son prix pendant la Collation des grades du printemps 2014.

Le CNFS remet 20 000 $ de bourses aux étudiantes et étudiants de l’Université Laurentienne

Le CNFS remet 20 000 $ de bourses aux étudiantes et étudiants de l’Université Laurentienne

Félicitations à tous les lauréats des bourses CNFS!

23 janvier, 2014 - Le Consortium national de formation en santé (CNFS), volet Université Laurentienne, octroie chaque année de 20 000 $ à 30 000 $ de bourses aux étudiantes et étudiants inscrits dans l’un des programmes en santé et bien-être offerts, en français, à l’Université Laurentienne. Pour 2013-2014, les étudiantes et étudiants éligibles sont inscrits en Sciences infirmières, Sages-femmes, Orthophonie, Service social, Santé publique et Kinésiologie. Outre l’appui du CNFS quant au fonctionnement de ces programmes, 93 % des demandes de bourses reçues cette année ont été acceptées pour un montant total de 20 000 $.
 

Bourses d’entrée

Stéphanie Frenette en Orthophonie; Karine Gosselin, Jenna Ouellette et Mélanie Belanger en Sciences infirmières

Cette bourse vise à encourager les personnes francophones et francophiles graduées des écoles secondaires et des écoles d’immersion de l’Ontario ainsi que les personnes ayant des antécédents scolaires requis à leur droit d’entrée, à entreprendre des études en français dans le domaine de la santé.
 

Bourses de premier cycle 

Marie-Josée Charrier, Angel Mathieu, Alexandra Albert en Orthophonie;  Claudie Finlay en Sages-Femmes;  Christiane Kensa, Christian Kowa, Meng Liu, Danielle Bourgeois Lapiccirella, Chantèle Mayer, Lydia Jabil, Michelle Leblanc et Nadia Omni en Sciences infirmières.

Cette bourse s’adresse uniquement aux étudiantes et étudiants francophones ou francophiles inscrits en 2e, 3e, ou 4e année à l’un des programmes de baccalauréat en santé à l’Université Laurentienne, indiqués sur le formulaire. Le programme peut être offert sur campus ou à distance, à temps plein ou à temps partiel.
 

Bourses « Offre active » (études supérieures) 

Stéphanie Léveillé, Maxine Bélanger, Sarah Nicholls, en Orthophonie;  France Rainville et Mélissa Therrien à la maîtrise en Orthophonie; Caroline Piquette et Michèle Lajeunesse à la maîtrise en Kinésiologie;  Mélanie Simon en Service social et Sophie Ouellet à la maîtrise en Service social ainsi que Christiane Kensa, Céline Giroux et Nadia Omri lesquelles prévoient continuer leurs études à la maîtrise en Sciences infirmières, en septembre prochain.

La bourse « Offre active » veut inciter les étudiantes et étudiantes en santé, à comprendre et à intégrer dans la pratique de leur profession les notions de l‘offre active. Entre autres, les façons de signifier au premier contact avec une personne cliente dans un milieu de santé qu’ils ou elles parlent français et offrent des soins et des services en français afin de contribuer à son mieux-être en communiquant avec elle dans sa langue.
 

Le CNFS offre également, selon les fonds disponibles, des bourses de stages en milieu minoritaire. Les renseignements sur l’appui offert aux étudiantes et étudiants francophones se trouvent sur le site www.cnfslaurentienne.ca
Renseignements : Érik Labrosse, directeur du CNFS et des initiatives en santé et bien-être, 705-675-1151, poste 4111  
Cette initiative a été rendue possible grâce à une contribution financière provenant de Santé Canada
 

 

 

 

La province s’engage à apporter un financement pluriannuel à Professions Nord/North

La province s’engage à apporter un financement pluriannuel à Professions Nord/North

L’initiative favorise les carrières pour les professionnels formés à l’étranger

Sudbury, ON (8 janvier 2013) –  Le ministère de la Citoyenneté et de l’Immigration de l’Ontario s’engage à offrir un financement sur trois ans pour appuyer les travaux qu’effectue Professions Nord/North (PNN) dans le but d’épauler les professionnels formés à l’étranger qui cherchent un emploi approprié dans le Nord de l’Ontario.
 

À la suite d’un processus concurrentiel d’appels d’offres, l’investissement de 2 700 000 $ a été attribué à l’Université Laurentienne à la lumière des succès connus par le projet pilote de PNN. Le député provincial de Sudbury Rick Bartolucci a fait l’annonce aujourd’hui à l’Université Laurentienne, où s’étaient rassemblés des agents et clients de PNN et des représentants universitaires.
 

« Depuis sa création en 2010, Professions Nord/North se forge d’importants succès, a dit Stephen Havlovic, doyen de la Faculté de gestion à l’Université Laurentienne. Grâce à cette annonce, le financement sera prolongé et permettra au programme de continuer de croître et de subvenir aux besoins en main-d’œuvre des employeurs nord-ontariens. »
 

« Cet engagement de trois ans, a ajouté le député provincial de Sudbury Rick Bartolucci, aidera les professionnels formés à l’étranger à atteindre leurs objectifs de carrière en comblant l’écart entre l’éducation, l’expérience, la culture et l’emploi, leur permettant ainsi de réaliser leur plein potentiel. Je suis très fier de l’innovation dont fait preuve le programme et l’important rôle qu’il joue à dynamiser l’économie et à améliorer la vie des immigrants et de leur famille. »
 

Professions Nord/North offre aussi aux employeurs nord-ontariens des services de recrutement, de jumelage emploi-travailleur, de triage de CV et de rétention du personnel. « En tâchant de combler les besoins en recrutement des employeurs du Nord, a expliqué Michel Racine, gestionnaire de projet de Professions Nord/North, le programme favorise la diversité, la croissance et le développement économique dans les communautés nord-ontariennes. »

 

Initiative lancée par la Faculté de gestion de l’Université Laurentienne pour faciliter les possibilités d’agrément et de carrière chez les professionnels formés à l’extérieur du Canada, PNN offre tout un éventail de services à ces derniers, y compris l’élaboration de dossier, le cheminement vers l’agrément, le réseautage et l’encadrement, tout en fournissant des services aux employeurs éventuels du Nord de l’Ontario, les aidant à trouver des professionnels formés et employables qui assumeront des rôles prépondérants dans l’économie régionale.


 

Au sujet de Professions Nord/North

Initiative de l’Université Laurentienne, Professions Nord/North (PNN) épaule sans frais les employeurs qui ont une pénurie de travailleurs ainsi que les professionnels formés à l’étranger qui se cherchent un emploi dans le Nord de l’Ontario.  


Financé par le ministère de la Citoyenneté et de l’Immigration du Gouvernement de l’Ontario, Professions Nord/North offre aux employeurs nord-ontariens des services de recrutement, de jumelage emploi-travailleur, de triage de CV et de rétention du personnel par l’intermédiaire de bureaux situés à Sudbury, à North Bay, à Timmins, à Thunder Bay et à Sault Ste. Marie.

 

Professions Nord/North aide aussi aux professionnels formés à l’étranger d’atteindre leurs objectifs de carrière en comblant l’écart entre l’éducation, l’expérience, la culture et l’emploi, leur permettant d’obtenir l’information, la formation et les ressources dont ils ont besoin pour poursuivre une carrière avec succès dans leur domaine dans le Nord de l’Ontario.  
 

PNN a établi une banque de données exhaustive de professionnels formés à l’étranger présélectionnés dans de nombreux domaines, tel qu’en génie, comptabilité, gestion, sciences environnementales et TI, parmi d’autres. Ces professionnels formés à l’étranger se cherchent de nouvelles possibilités dans le Nord de l’Ontario, région dans laquelle ils habitent. 
 

Au sujet de l’Université Laurentienne

La Laurentienne fait partie des universités canadiennes qui ont pris le plus d'expansion au cours de la dernière décennie, avec un effectif étudiant près de 10 000 membres. Bien que son campus principal soit situé à Sudbury, elle offre de plus en plus de programmes aux 1 200 membres de la population étudiante du campus de Barrie. La Laurentienne a l’un des plus forts taux d'emploi après l'obtention du grade en Ontario, soit 92 % dans les six mois et 95 % dans les deux ans suivant l’obtention du diplôme, et est grandement réputée pour la taille enviable de ses classes qui sont en moyenne parmi les moins nombreuses au Canada.

 

 

PERSONNES-RESSOURCES POUR LES MÉDIAS

Renseignements et entrevues :

Joanne Musico                                                                         
Chef des communications
705-675-1151, p. 3445 ou 1-800-263-4188, p. 3445                     
jmusico@laurentienne.ca                                                          

Sherry Drysdale
Communications
sdrysdale@laurentienne.ca

Amy Bouillon
Agente du marketing, Professions Nord/North
705-222-1766, p. 4  
abouillon@laurentienne.ca

 

 

 

 

 

Un test de détection réalisé à Sudbury permet de prédire les taux de survie au cancer du sein

Un test de détection réalisé à Sudbury permet de prédire les taux de survie au cancer du sein

Le test RDA a été développé par Amadeo Parissenti de Sudbury et son associé de recherche, Baoqing Guo, d’Horizon Santé-Nord (HSN).

Sudbury(7 janvier, 2014) – Un test conçu à Sudbury connaît passablement de succès pour prédire quelles patientes atteintes du cancer du sein réagiront le mieux à la chimiothérapie et vivront sans cancer pendant une durée accrue après les traitements.

 

Les résultats du test « RNA Disruption AssayMC » (RDAMC) (épreuve biologique de la destruction de l’acide ribonucléique) ont été présentés le mois dernier au symposium sur le cancer du sein qui a lieu à San Antonio, au Texas.

 

Le test RDA a été développé par le Pr Amadeo Parissenti de Sudbury et son associé de recherche, Baoqing Guo, d’Horizon Santé-Nord (HSN). Le Pr Parissenti est directeur scientifique de Rna Diagnostics, établie à Toronto et à Sudbury. Il enseigne également au Département de chimie et de biochimie de l’Université Laurentienne. En outre, il est professeur de sciences médicales à l’École de médecine du Nord de l’Ontario et chercheur affilié de l’Institut de recherche médicale avancée du Canada (IRMAC), soit l’établissement de recherche d’Horizon Santé-Nord (HSN).

 

Les résultats de recherche s’appuyaient sur 85 essais cliniques menés auprès de personnes atteintes du cancer du sein. Elles ont passé le test RDAMC à mi-chemin des traitements de chimiothérapie, puis elles ont fait l’objet d’un suivi une fois ces traitements terminés.

 

Le test RDA permet de quantifier l’effet de la chimiothérapie par rapport à la qualité de l’acide ribonucléique (ARN) dans la tumeur. Les tumeurs répondant positivement à la chimiothérapie manifeste une réduction marquée de la qualité de l’ARN (un phénomène nommé « destruction de l’acide ribonucléique »). On donne ensuite un score de destruction à la tumeur. S’il est élevé, cela signifie qu’il y a eu dégradation importante de l’ARN dans la tumeur, ce qui la rend non viable et mènera probablement à sa mort. À l’inverse, un faible score indique que la qualité de l’ARN est très peu diminuée dans la tumeur, ce qui signifie qu’elle demeure viable et susceptible de croître.  

 

La recherche a démontré que les personnes ayant un score élevé concernant la destruction de l’ARN tumoral vivent environ deux à trois ans et demi plus longtemps sans cancer que celles ayant un faible score après des traitements de chimiothérapie.      

 

« Ce nouveau test pourrait devenir l’étalon de référence permettant de prédire l’efficacité de la chimiothérapie relativement au cancer du sein, dit le Pr Parissenti. La référence actuelle permettant d’évaluer l’efficacité de la chimiothérapie se produit uniquement après la fin des traitements. Mais au moyen de la méthode RDA, pendant les traitements, on peut prédire quelles personnes y réagissent et lesquelles ne le font pas. On pourra ainsi administrer un autre traitement à celles qui ne le font pas afin de leur éviter les effets secondaires non nécessaires de la chimiothérapie. En prédisant qui ne répondra pas aux traitements et en pouvant les modifier en cours de route, on pourrait accroître les taux de survie et la qualité de vie. »   

 

« Ce sont de merveilleux résultats. L’étude montre que la méthode RDA est très efficace pour prédire quelles personnes atteintes du cancer du sein sont les plus susceptibles de bénéficier de la chimiothérapie. Cela aura une incidence importante sur leurs soins et leur capacité à vaincre le cancer », ajoute le Dr Kenneth Pritzker, président-directeur général de Rna Diagnostics.

 

L’Université Laurentienne a accordé la licence de la technologie RDA à Rna Diagnostics, soit la première commerciale jamais décernée par une université, afin que les personnes atteintes du cancer du sein dans le monde entier aient accès à cet outil de diagnostic médical. 

 

« C’est une réalisation incroyable pour la recherche médicale à Sudbury, qui montre l’importance de la recherche dans les universités et les hôpitaux, dit le vice-recteur à la Recherche et aux Affaires francophones de l’Université Laurentienne, Patrice Sawyer. La recherche sur la santé étant l’un des grands objectifs de l’Université Laurentienne, nous sommes ravis des récents développements concernant la technologie RDA. »

 

« En tant que professeur de sciences médicales à l’École de médecine du Nord de l’Ontario, M. Parissenti est un exemple éloquent de deux façons pour nos étudiantes et étudiants, explique le doyen de l’établissement, le Dr Roger Strasser. D’abord, par sa volonté d’améliorer la qualité des soins aux patients, puis par son dévouement à la recherche médicale de grande qualité. Je suis très heureux que nos étudiantes et étudiants puissent côtoyer des chercheurs de calibre international comme lui, ici dans le Nord de l’Ontario. Je félicite sincèrement le Pr Parissenti et son équipe de cette importante percée. »

 

Dans le cadre de l’étude, les tests de laboratoire ont été réalisés à Sudbury, à l’IRMAC, où Rna Diagnostics loue de telles installations. D’autres recherches évaluatives ayant trait à la méthode RDA se poursuivent à Sudbury.

 

« Félicitations au Pr Parissenti et à son équipe pour ces résultats remarquables et prometteurs, dit le président-directeur général et directeur scientifique de l’IRMAC, le Dr Francisco Diaz-Mitoma. À ce jour, la réussite de leurs travaux et la collaboration avec d’autres grands partenaires sont un bel exemple de la valeur et du potentiel associés au développement du secteur de la recherche sur la santé au Grand Sudbury. La recherche de calibre international réalisée ici a des répercussions mondiales. » 

 

« Le travail d’avant-garde du Pr Parissenti démontre une fois de plus que la recherche et les soins de santé vont de pair, ajoute le président-directeur général d’HSN, le Dr Denis Roy. Ce sont des recherches semblables qui mènent à des découvertes et à des innovations qui, ultimement, sauvent des vies. Les partenaires de soins de santé et de recherche au Grand Sudbury font preuve d’une grande initiative et d’un leadership mondial dans ce domaine. »

 

 

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Renseignements :

 

Jan Craig, Rna Diagnostics

519-822-1560

jcraig@rnadiagnostics.com

 

Joanne Musico

Chef des communications   

705-675-1151, p. 3445 ou 1-800-263-4188, p. 3445

jmusico@laurentienne.ca

 

 

Kimberley Larkin                                                

Agente des communications 

École de médecine du Nord de l’Ontario           

705-662-7243                   

kimberley.larkin@nosm.ca   

 

 

Dan Lessard, HSN et IRMAC

705-523-7118, p. 4

705-507-4031 (cellulaire)

dlessard@hsnsudbury.ca

 

Le conseil des gouverneurs de l'Université Laurentienne accueille un nouveau membre

Le conseil des gouverneurs de l'Université Laurentienne accueille un nouveau membre

L’avocate de Barrie, Rose Adams, apporte « passion et énergie » à son nouveau rôle

BARRIE, ON (16 décembre 2013) – M. Dominic Giroux, recteur et vice-chancelier, et le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne sont heureux d’annoncer la nomination de l’avocate de Barrie, Mme Rose Adams, au Conseil des gouverneurs.

 

« Nous nous réjouissons de cette nomination, a dit le recteur Giroux, et sommes très heureux d’accueillir Mme Adams, une candidate de très haut calibre qui apportera une nouvelle énergie et de la passion à son rôle au sein du Conseil. »

 

À Barrie, Mme Adams gère un cabinet juridique spécialisé dans les questions familiales et l’immobilier. Après avoir obtenu un diplôme au Collège Georgian, elle a entrepris en 1991 des études en droit à Osgoode Hall. Cette lauréate du Prix d’excellence du premier ministre en 2003 fait du bénévolat au sein de plusieurs organismes à but non lucratif, notamment Out of the Cold, les Grands frères, le Simcoe Literacy Network et le Club Rotary. Mme Adams est aussi conférencière spécialiste de la motivation dont l’histoire personnelle est une source d’inspiration.

 

Son conjoint, Marc Fortin, est diplômé de l’Université Laurentienne et originaire de Sudbury.

 

« Le Conseil est heureux d’accueillir Mme Adams comme collègue et partenaire pour les projets à l’horizon, a dit M. Michael Atkins, président du Conseil. Sa vision et son engagement seront de précieux atouts pour notre Conseil alors que nous continuons de développer nos plans pour un campus à Barrie. »

 

La Laurentienne s’engage à verser 14 000 000 $ pour la création d’un campus central et autonome à Barrie afin d’élargir les études universitaires offertes dans les régions de Simcoe et du Grand Toronto. La Ville de Barrie a également promis d’y investir le même montant.

 

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La Laurentienne rend hommage à la « batisseuse de ponts » Gisèle Chrétien

La Laurentienne rend hommage à la « batisseuse de ponts » Gisèle Chrétien

On célèbrera aussi l’installation du chancelier Steve Paikin à la Collation des grades d’automne

25 octobre 2013 – Ex-présidente du Collège Boréal et chef de file communautaire de longue date dans le Grand Sudbury, Mme Gisèle Chrétien recevra un doctorat honorifique le 26 octobre lors de la Collation des grades d’automne de l’Université Laurentienne. Diplômée en sciences infirmières de la Laurentienne et titulaire d’une maîtrise en éducation, Mme Chrétien participe activement à l’éducation et à la formation en Ontario et a joué un rôle clé dans la création du Collège Boréal.   

 

« Les années de travail de Mme Chrétien dans les sciences infirmières et le domaine plus vaste de l’enseignement postsecondaire, a dit M. Dominic Giroux, recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, se sont traduites par des résultats concrets et de grandes réussites. Son dévouement et ses réalisations ont permis de jeter des bases pour l’apprentissage des jeunes de la province, et ses efforts ont contribué à l’amélioration de notre communauté. »   

 

De 1998 à 2006, elle a été présidente du Collège Boréal. Ex-présidente du conseil de direction de l’Hôpital régional de Sudbury, elle siège au Conseil ontarien de la qualité de l’enseignement supérieur (COQES). Elle a été nommée au conseil des gouverneurs de l’Office de la télécommunication éducative de l’Ontario (TVOntario) en 2002 et est, depuis 2007, présidente de TFO, le service culturel et éducatif de télévision de langue française en Ontario.   

 

« Nous sommes très reconnaissants envers Mme Chrétien pour la façon dont elle a développé la conscience communautaire parmi les Franco-Ontariens, a ajouté M. Patrice Sawyer, PhD, Vice-recteur, affaires francophones et à la recherche à l’Université Laurentienne. Elle est devenue une championne des services de santé en langue française et est un porte-parole inlassable de l’éducation au sein de la communauté francophone. »   

 

La Collation des grades de la Laurentienne est aussi le premier événement officiel auquel assistera M. Steve Paikin dans le cadre de ses fonctions de nouveau chancelier de l’Université. Le samedi 26 octobre, pendant la cérémonie de collation des grades en matinée, le chef d’antenne-directeur principal de l’émission d’actualité The Agenda with Steve Paikin à TVO sera installé comme chancelier. « C’est un honneur pour moi, dit-il, de présider la collation des grades des 500 personnes qui recevront un diplôme cet automne. Chacune d’entre elles a franchi une étape importante avec l’appui de sa famille et de ses amis et je suis très heureux de faire partie de leurs célébrations. » 

 

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Au sujet de l’Université Laurentienne

La Laurentienne fait partie des universités canadiennes qui ont pris le plus d'expansion au cours de la dernière décennie, avec un effectif étudiant près de 10 000 membres. Bien que son campus principal soit situé à Sudbury, elle offre de plus en plus de programmes aux membres de la population étudiante du campus de Barrie. La Laurentienne a l’un des plus forts taux d'emploi après l'obtention du grade en Ontario, soit 92 % dans les six mois et 95 % dans les deux ans suivant l’obtention du diplôme, et est grandement réputée pour la taille enviable de ses classes qui sont en moyenne parmi les moins nombreuses au Canada.

 

PERSONNES-RESSOURCES POUR LES MÉDIAS Renseignements et entrevues 

Joanne Musico                                                                            

Chef des communications                                                              

705-675-1151, p. 3445 ou 1-800-263-4188, p. 3445                         

jmusico@laurentienne.ca     

                                                         

Sherry Drysdale, Communications 

705-675-1151, p. 3412  Cellulaire: 705-698-4702 

sdrysdale@laurentienne.ca

La Laurentienne souligne l'excellence en enseignement et les boursiers des Doyens

La Laurentienne souligne l'excellence en enseignement et les boursiers des Doyens

Célébration des membres du corps professoral « choisis par la population étudiante » et des réalisations des étudiants lors de leur première année d’étude

Sudbury ON (30 novembre 2013) – L’Université Laurentienne et le Centre d’excellence universitaire (CEU) ont organisé en novembre une célébration des premiers Prix du choix de la population étudiante, au cours de laquelle on a aussi reconnu 70 membres de la population étudiante qui ont obtenu d’excellents résultats scolaires lors de leur première année d’étude.

 

Le vice-recteur aux études, M. Robert Kerr, Ph.D., a remis un certificat de reconnaissance à chacune des personnes ayant obtenu une moyenne de 80 % ou plus pendant la première année d’études.

 

« Nous savons qu’il faut travailler fort et persévérer afin d’obtenir de telles notes pendant les 30 premiers crédits universitaires, a dit la directrice du CEU, Mme Christine Blais, Ph.D. Il est en effet important de célébrer les réussites des étudiants. Figurer au Palmarès du doyen est en effet tout un accomplissement. »

 

Pendant la cérémonie tenue dans le Salon des anciens, on a remis les premiers Prix du choix de la population étudiante pour souligner l’excellence en enseignement à partir de candidatures proposées par quelque 250 étudiants sur les campus de Sudbury et de Barrie. Chaque année, des prix seront décernés à deux membres du corps professoral qui donnent des cours de première année, l’un en anglais, l’autre en français. En 2013, la population étudiante a choisi d’attribuer ces prix à M. Rizwan Haq, au Département de physique, et à Mme Suzanne Lamothe, au Département de biologie. Les deux lauréats recevront chacun une plaque commémorative ainsi qu’un chèque de 1 000 $.

 

L’Université Laurentienne et le Centre d’excellence universitaire tiennent à remercier tous les membres de la population étudiante qui ont participé au processus de mise en candidature et félicitent les membres de la population étudiante et du corps professoral à qui on a rendu hommage.

 

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Laurentian Hosts Science and Humanities Forum on Extinction

Laurentian Hosts Science and Humanities Forum on Extinction

Unique international symposium will combine philosophy, conservation biology

Photo of Polar BearNovember 6, 2013 – Conservation biology, increasing threats to habitat, and the growing list of species at risk are all on the agenda—alongside ethical and philosophical aspects of extinction—at a unique international symposium to be held at Laurentian University this month.   

 

“Thinking Extinction,”  November 14-16, will address and discuss a range of approaches to the crisis of mass extinction in an unprecedented gathering of leading thinkers, researchers and scientists from Canada, the U.S., Australia and New Zealand.  

 

The symposium is organized and hosted by Laurentian University’s Centre for Evolutionary Ecology and Ethical Conservation (CEEEC) and will include talks, panel discussions, roundtables and evening events dealing with numerous aspects of endangered species conservation.  The events are free and open to the public.

 

“The innovative aspect of our symposium is that it brings the humanities into what is typically treated as a scientific discussion,” said Laurentian University professor and Canada Research Chair in Applied Evolutionary Ecology, Albrecht Schulte-Hostedde.  “We think this approach recognizes that all of us are facing fundamental questions about our role in protecting the diversity of species on this planet, and we hope the symposium will add new dimensions to the conversation.”

 

On Friday, November 15th, Conservation Biologist Stuart Pimm will speak at a public plenary session entitled Extinctions: When, Where, How Fast, and What We Can Do to Stop Them.  Pimm, the Doris Duke Professor of Conservation Ecology at Duke University and Chair of SavingSpecies.org, has worked on ecosystem restoration in the Everglades, the coastal forests of Brazil, and the savannas of southern Africa.

 

During the day’s proceeding’s on Friday, noted Canadian authors and wilderness advocates Margaret Atwood and Graeme Gibson will take part in a roundtable discussion on the future of endangered species conservation.   The curator of reproductive programs at the Toronto Zoo, Gabriela Mastromonaco, and Bridget Stuchbury, author and expert in threats to songbird populations, will also be part of Friday’s round-table.

 

Among the many topics to be covered during the conference, expert speakers will discuss the use of reproductive technology in efforts to preserve and even resurrect threatened or extinct species.  “People often think the idea of recreating the wooly mammoth in a lab is science fiction, but in fact the existing technology allows us to contemplate the revival of species that have vanished, “ said professor Brett Buchanan, Chair of the Philosophy Department at Laurentian University.   “This is but one of the potential solutions to our extinction crisis that opens up many of the philosophical questions we are exploring at the symposium.”

 

The full agenda for Thinking Extinction can be viewed at http://thinkingextinction.com/program/

 

 

About Laurentian University

 

Laurentian University is one of the fastest growing universities in Canada in the past decade, now serving close to 10,000 students. With its main campus in Sudbury, it now offers a growing number of programs in Barrie to the 1,200 students located on that campus. Laurentian has the highest post-graduation employment rates in Ontario after 6 months at 92% and 95% after two years. The University receives high recognition for its enviable class sizes, having one of the lowest average class sizes in Canada.

 

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