Des étudiants en génie présentent une nouvelle méthode de démantèlement de la super cheminée de Sudbury
Des étudiants en mécatronique créent un prototype pour démontrer une application dans le monde réel
(6 mai 2025) - Une équipe d’étudiants en génie de l’Université Laurentienne a développé une solution innovante à un problème d’ingénierie local de longue date : comment démanteler de manière sûre et systématique d’imposantes cheminées industrielles comme l’emblématique super cheminée de Sudbury.
Inspirés par le démantèlement en cours de grandes cheminées industrielles en Amérique du Nord,les étudiants en génie mécanique et mécatronique de l’Université Laurentienne, Tyler Marcon, Alex Giguère, Quinn Roos et Emmanuel Mukwakwami, ont conçu un système robotisé capable de démonter des cheminées de béton armé de haut en bas. Leur projet, intégré au cours de conception de fin d’études du professeur Markus Timusk, a remporté la plus haute distinction des prix annuels de projets de ce cours.
« Il existe des méthodes de démolition, mais beaucoup comportent des risques humains importants, a déclaré M. Timusk. Nous souhaitions proposer une solution plus sécuritaire et autonome et spécialement conçue pour les structures de grande envergure comme la super cheminée de Sudbury. »
La conception de l’équipe repose sur un système de double coupe utilisant la technologie du fil diamanté couramment utilisée dans l’industrie minière et l’industrie du jade. Ce système permet de découper soigneusement les blocs de béton tout en minimisant la poussière, le bruit et l’instabilité structurelle. Une version grandeur nature de leur conception pourrait fonctionner de manière autonome, coupant et poussant progressivement les débris vers l’intérieur sur une durée de démolition estimée à deux ans.
M. Timusk a souligné la créativité, la mise en œuvre et la pertinence du projet pour le monde réel. « Ce projet réunit tous les critères d’un projet réussi de fin d’études : conception ouverte, créativité, intégration des principes d’ingénierie et travail d’équipe, a-t-il déclaré. C’est un exemple remarquable de ce dont nos étudiants sont capables lorsqu’ils s’attaquent à des problèmes importants pour notre communauté. Nous sommes reconnaissants qu’un groupe de professionnels du secteur nous ait joints pour partager leurs réflexions sur chaque projet. »
Le projet a été réalisé en collaboration avec M. Greg Lakanen, qui appuie l’approche concrète de l’enseignement du génie du programme de fin d’études. Bien que Vale Base Metals ait déjà déterminé la méthode de démolition de la super cheminée, ce concept innovateur pourrait éclairer les futures recherches ou pratiques industrielles en matière de démolition de cheminées.
Ce groupe d’étudiants, qui obtiendront leur diplôme dans les prochains mois et dont certains d’entre eux ont déjà reçu des offres d’emploi, entreprennent leur carrière avec des références exceptionnelles, des expériences pratiques et des relations précieuses avec l’industrie.
Pleins feux sur les étudiants : Comment fait-on pour devenir géologue?
L’exploration postsecondaire de Nia Gauthier
(5 octobre 2023) – Il va de soi qu’il est nécessaire d’entreprendre un processus assez complexe pour découvrir un gisement de minerai. On peut en dire autant pour la découverte d’une passion parmi les nombreux choix postsecondaires. L’étudiante Nia Gauthier a en fait creusé sous la surface pour se tracer un parcours vers la carrière de géologue.
Originaire de Chapleau (Ontario) et diplômée de l’École secondaire du Sacré-Cœur (2018), Nia est actuellement inscrite au programme de Master of Geology avec thèse de recherche à l’Université Laurentienne. La titulaire de deux diplômes postsecondaires en prépare effectivement un troisième.
Au départ, consciente de l’abondance de carrières dans le Grand Sudbury, Nia avait l’intention de suivre le programme de génie à la Laurentienne, bien qu’elle doutait avoir obtenu les notes nécessaires aux cours de sciences au secondaire. « Je ne pensais pas être admise à l’université, a-t-elle dit, et me voici maintenant à commencer mes études de maîtrise, chose que je croyais impossible. »
Ne se laissant pas dissuader, elle a suivi alors le programme de deux ans de Technologie du génie civil et minier au Collège Boréal afin de rehausser ses notes. « Fréquenter d’abord le collège, a-t-elle expliqué, m’a permis de combler les lacunes de ma compréhension depuis l’école secondaire et d’acquérir les outils dont j’avais besoin pour les études universitaires. »
Pendant son séjour collégial, Nia a découvert sa passion pour la géologie. Une fois initiée à la discipline, elle voulait continuer à en apprendre, surtout en matière de cartographie souterraine et d’exploration sur le terrain, domaines qui l’intéressent tout particulièrement.
Pendant les étés de 2018 à 2020, elle a travaillé à Borden Gold, dans sa ville natale, à titre de technicienne à prélever des échantillons aux côtés de géologues dans la carothèque. En septembre 2020, heureuse de constater que la Laurentienne offre un programme bien connu en sciences de la Terre avec divers cours sur le terrain, elle s’est préparée à la prochaine étape de sa formation et a amorcé ses études de baccalauréat.
« Beaucoup de membres du corps professoral à la Laurentienne tiennent à cœur la réussite des étudiants, » a exprimé Nia. Entre autres, Tobias Roth, Lynn Bulloch et Pedro Jugo, Ph.D. ne sont que quelques exemples de professeurs qui ont eu une incidence positive sur son expérience universitaire.
Pendant ses études de premier cycle en sciences de la Terre, Nia a été membre du Club des sciences de la Terre, ce qui lui a permis de participer aux excursions annuelles d’un week-end à Bancroft (Ontario) pour faire la collecte de minéraux. « Ces voyages m’ont beaucoup aidé à connaître d’autres étudiants, a-t-elle expliqué, tout en faisant quelque chose qui nous passionnait tous. » En outre, le Centre Willet-Green-Miller a assuré à Nia et aux autres étudiants de géologie un milieu où ils se sentaient chez eux.
Au cours de l’été 2021, elle a acquis de l’expérience d’exploration sur le terrain en travaillant pour SPC Nickel, jeune entreprise sudburoise, à la recherche de minéraux renfermant du cuivre, du nickel et des éléments du groupe du platine (EGP). Plus tôt cette année, un membre du corps professoral de la Laurentienne à informer Nia d’un poste en exploration sur le terrain avec Frontier Lithium, dans le nord-ouest de l’Ontario. Elle a ainsi passé l’été dernier à son emploi à la recherche de pegmatites en lithium, césium et tantale (LCT).
Nia a hâte d’obtenir sa maîtrise en deux ans et espère pouvoir voyager ensuite en travaillant en géologie de production ou d’exploration. Elle envisage également la possibilité de préparer un doctorat à l’avenir. Cette étudiante illustre très bien les raisons pour lesquelles il faut suivre sa passion et ne jamais abandonner, même si la trouver, cette passion, est parfois aussi exigeant que de découvrir un gîte de nickel.
Les étudiants en génie de l’Université Laurentienne remportent plusieurs catégories aux Jeux miniers canadiens.
Nos étudiants ont remporté la première place en conception de mines souterraines et développement durable.
(3 mars 2023) - Les étudiants de la Laurentienne ont encore une fois laissé leur empreinte sur les Jeux miniers canadiens, remportant deux premières places ainsi que deux troisièmes places lors du concours de 2023. La 33e édition de cet événement de longue date a vu des étudiants s’affronter dans de multiples facettes de l’exploitation minière. Le concours de cette année a été organisé conjointement à Vancouver par l’UBC et le BCIT, avec des événements sur chaque campus.
Université Laurentienne :
1re place : Conception de mines souterraines
1re place : Développement durable
3e place : Santé et sécurité
3e place : Gestion des résidus et de la fermeture d’installations
L’an prochain, l’Université Laurentienne sera l’hôte des 34e Jeux miniers canadiens et des centaines de participants se rendront à Sudbury.
En plus des étudiants qui ont concouru à Vancouver, un autre groupe d’étudiants en génie a concouru à Denver, au Colorado, dans le cadre de la compétition internationale de sauvetage minier. Ils ont terminé en troisième place pour l’épreuve de secourisme et Quinn Roos a terminé troisième à l’épreuve individuelle des techniciens d’essais sur le terrain.
Membres de l’équipe des Jeux miniers canadiens de l’Université Laurentienne :
Georgina Coste-Ramsay - Mississauga
Jackson Miteff - Toronto
Zayan Mansoori - Milton
Nicholas Eyre - Sudbury
Joshua Kroll - Thompson, Manitoba
Matthieu Price - Toronto
Nana Awuah-Ben - Accra, Ghana
Darshan Shah - Ahmedabad, Inde
Kirsten Deneka - Sudbury
Joseph Boye – Richmond Hills
Alex Colangelo - Georgetown
Justin Gmehlin - Strathroy
Quentin Quibbell - Innisfil
Miguel Lefebvre - Sudbury
Sharon Cardenas Sanchez - Junin, Pérou
Chat Biskupski - Vaughan
Membres de l’équipe de sauvetage minier de l’Université Laurentienne :
Mme Pourmahdavi est originaire de Lahijan, en Iran. Elle y a obtenu un baccalauréat ès sciences en génie mécanique à l’Université de Guilan, puis une maîtrise ès sciences dans ce domaine à l’Université des sciences et de la technologie de l’Iran. À la perspective du doctorat, elle a manifesté un intérêt pour venir étudier dans une université canadienne. Le paysage minier unique du Grand Sudbury a fait en sorte qu’elle a choisi la Laurentienne. « Cela pourrait être un milieu idéal pour moi, je m’étais dit, et le fait que je pouvais y poursuivre ma carrière était une autre raison de choisir la Laurentienne. »
Pour Mme Pourmahdavi, qui demeure modeste malgré ses nombreuses réalisations, la Laurentienne lui a fait vivre une expérience « très enrichissante ». Travaillant sous la direction du professeur titulaire Dean Millar (Ph.D.), sa thèse a pour titre « Design and verification of CO2 capture and sequestration systems utilizing the pressure swing absorption process in a hydraulic air compressor (HAC) ». En d’autres termes, ses travaux de recherche consistent à trouver des solutions propres à réduire les émissions de dioxyde de carbone que produit l’industrie minière.
Parmi les autres personnes siégeant à son comité de direction, il faut souligner Ramesh Subramanian (Ph.D.), professeur adjoint et directeur de l’École de génie Bharti, Meysar Zeinali (Ph.D.), professeur agrégé de l’École de génie Bharti, Alex Hutchison (Ph.D.), gestionnaire du Laboratoire de mécanique des roches et des travaux sur le terrain chez MIRARCO, et François Caron (Ph.D.), professeur émérite de l’École de l’environnement. « Tous les membres du comité de direction, a dit Mme Pourmahdavi, sont si accueillants, si serviables. »
Bien qu’elle s’intéresse à la mise en œuvre de changements en faveur de l’environnement, elle se passionne également pour l’enseignement. « Toutes les femmes de ma famille sont des enseignantes. Je voulais enseigner au niveau postsecondaire et c’est pourquoi j’ai décidé de faire un doctorat. Ma famille, en particulier ma mère, est persuadée que si l’on veut changer les choses, il faut éduquer la prochaine génération. Je veux influencer la prochaine génération et l’aider à vivre une vie meilleure et à poursuivre une carrière enrichissante. Cette ambition m’a vraiment motivée et m’inspire. »
Grâce à ses fonctions d’auxiliaire à l’enseignement qui l’amènent à aider les membres du corps professoral à s’acquitter de leurs responsabilités, Mme Pourmahdavi se réjouit également d’avoir produit des effets positifs chez d’autres étudiants. Qui plus est, en collaboration avec MIRARCO, elle est coenseignante d’étudiants de premier cycle à l’Université des sciences et technologies de Jiangxi, à Ganzhou, en Chine, qui s’intéressent à la recherche opérationnelle. « J’ai vraiment bien aimé ces possibilités d’enseignement. »
Outre l’enseignement, Mme Pourmahdavi prend également à cœur la défense des intérêts des autres étudiants des cycles supérieurs, et c’est pourquoi elle s’est portée volontaire pour représenter son programme au sein de l’Association des étudiants aux cycles supérieurs de la Laurentienne. L’an dernier, elle a représenté l’Association au Sénat de l’Université ainsi qu’au Comité consultatif du recteur de l’Université sur l’égalité des sexes. « Les étudiants aux cycles supérieurs ont besoin de quelqu’un qui fait entendre leur voix et participe à la défense de leurs droits. »
Maryam Pourmahdavi est certainement une source d’inspiration. La communauté de la Laurentienne est chanceuse de compter sur elle et a bien hâte d’entendre parler de ses succès une fois qu’elle aura obtenu son diplôme.
Post-scriptum de Maryam Pourmahdavi, doctorante :
« Bien que très fière de mes réalisations, lesquelles m’inciteront à persévérer dans mes études, je suis de tout cœur avec ma famille, mes amis et toutes les personnes qui sont touchés par la violence et les événements tragiques qui se déroulent dans mon pays natal. Alors étudiante en Iran, je n’ai pas eu la possibilité de faire partie de ma communauté universitaire, un milieu où les femmes iraniennes, bien qu’elles constituent la majorité des étudiants universitaires en Iran, sont toujours confrontées à des inégalités disproportionnées et ne jouissent pas de nombreux droits fondamentaux. Elles font toutefois preuve d’un grand courage en prenant une part active à la vie publique. J’espère que l’Iran aura un avenir meilleur où toutes les Iraniennes, filles et femmes, auront les mêmes chances de s’épanouir et de réussir. »
L’Université Laurentienne embauchera douze nouveaux professeurs pour une durée déterminée
Ce complément d’effectif viendra appuyer de nombreux programmes et écoles.
(le 17 août 2022) - L’Université Laurentienne embauchera douze membres du corps professoral pour une durée déterminée dans diverses unités d’enseignement. Cet investissement contribuera au soutien des programmes d’études et d’apprentissage prévus pour l’année à venir et se prolongera par la suite lors de l’année universitaire 2023.
Parmi les programmes et écoles pour lesquels les nouveaux professeurs sont recrutés, il faut souligner :
École des relations autochtones
Sciences infirmières
École des arts libéraux
Génie
Sciences computationnelles
Administration des affaires
Bibliothèque et Archives
« Cet investissement dans notre capacité d’enseignement et d’apprentissage améliorera sans aucun doute l’expérience étudiante, a indiqué le président du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne, M. Jeff Bangs. Les étudiants continueront en effet de bénéficier d’un enseignement direct de leurs professeurs au moyen d’un apprentissage personnalisé.
Les membres du personnel et du corps professoral de l’Université se préparent déjà à accueillir les étudiants dans le cadre des activités d’orientation, qui débuteront le 1er septembre, et lors du premier jour officiel de cours, le 7 septembre 2022.
Les « Laurentian Lunars » gagnants d’un championnat international de génie
Des diplômés en génie mécanique du printemps 2022 l’emportent sur des étudiants de partout au monde lors du défi « Over the Dusty Moon. »
(9 juin, 2022) - Le 3 juin 2022 est officiellement un jour de célébration pour les ingénieurs de l’Université Laurentienne.
Une équipe de huit diplômés en génie mécanique et mécatronique du printemps 2022, les « Laurentian Lunars », a remporté la victoire lors du tout premier défi « Over the Dusty Moon, » à la Colorado School of Mines. Le concours a amené six équipes finalistes provenant des États-Unis, d’Allemagne, de Pologne, d’Australie et, bien entendu, du Canada (les Lunars) à se plonger dans le défi consistant à produire un prototype capable de transporter efficacement du régolite (du sable ou un agrégat fin) dans l’espace.
Les participants de la Laurentienne étaient Ethan Murphy, Adam Farrow, Alexander MacKenzie, Christian (Quade) Howald, Goran Hinic, Kevan Sullivan, Kyle Wulle et Reid Ludgate. Ils ont tous pris la décision difficile de ne pas assister en personne à la collation des grades sur le campus la semaine dernière afin de compétitionner sur la scène internationale. L’équipe était conseillée par les professeurs Markus Timusk et Greg Lakanen qui ont apporté du soutien lors de la conception de ce projet que ces récents diplômés ont entrepris il y a environ neuf mois.
« Le défi faisait partie de notre travail de conception de fin d’études, une exigence pour les étudiants en génie mécanique, a expliqué l’un des concurrents, Ethan Murphy. Cela a été une occasion incroyable. Nous avons vraiment aimé cette expérience qui a été très divertissante. »
« Cela a été réellement formidable de rencontrer d’autres étudiants et diplômés en génie de partout au monde, a indiqué l’un des concurrents, Adam Farrow. L’établissement de liens et le partage d’idées ont été une belle expérience d’apprentissage et nous n’avons pas perdu notre temps lorsque nous avons parlé au jury qui comptait des représentants de la NASA, de Lockheed Martin Space et d’ICON. »
« Ce que cette équipe de diplômés a accompli est étonnant, estime le professeur en génie mécanique, Markus Timuk, Ph.D. Pour ce défi, les Lunars ont mis la technologie de l’exploitation minière terrestre dans le contexte de l’espace. Nous sommes incroyablement fiers du rendement hors pair de nos étudiants dans ce prestigieux concours international de génie. »
« Tout le monde sait que Sudbury est un centre minier, et je pense que l’accent que la Laurentienne met sur ses programmes de génie, surtout de génie minier, la distingue des autres établissements. La Laurentienne a une histoire fort bien établie de réussite dans des concours comme celui-ci, non seulement à cause du lieu où elle se trouve, mais aussi grâce au soutien que nos professeurs peuvent nous apporter, a ajouté Ethan Murphy. Tout au long de nos quatre années [d’études] à la Laurentienne, nos professeurs nous ont réellement aidés à réussir en facilitant l’acquisition de connaissances et en nous guidant dans nos études. »
Le corps professoral de la Laurentienne est unanime : ce sont la détermination et les efforts inlassables des Lunars qui leur ont valu la victoire.
Les Lunars ont remercié les nombreux supporters qui leur ont permis de participer à ce concours. Ils ont été commandités par ITW Devcon, Studio Terra, Keith Pennells, CA et Technica Mining, et reçu des dons de Duplicators, Part Source Sudbury et Lalonde Property Management. Des conseillers du secteur les ont aussi épaulés, notamment Douglas Morrison, PDG du Centre d’excellence en exploitation minière, et l’expert de calibre mondial en matière spatiale, Dale Boucher.
Mario Grossi, PGD de Technica Mining a exprimé son enthousiasme. « Technica Mining est honorée d’avoir appuyé les Laurentian Lunars pour le défi « Over the Dusty Moon ». Cette équipe de jeunes ingénieurs peut être très fière de ses accomplissements qui témoignent d’une innovation exceptionnelle au niveau international. Il n’est pas surprenant que la Laurentienne ait formé de si brillants étudiants en génie étant donné les riches antécédents de son École de génie. J’encourage toutes les entreprises qui ont bénéficié des programmes de génie et d’informatique de la Laurentienne à réinvestir dans notre avenir et à soutenir la Laurentienne. »
Le génie à la Laurentienne repose sur une solide base réputée de courage, d’innovation et d’avantage concurrentiel. Cette victoire s’ajoute à la longue liste de réussites:
Jeux miniers canadiens de 2021 – 2e place
Concours intercollégial Mines Emergency Response Development de 2017 au Colorado
Concours d’ingénierie de l’Ontario de 2016 – Catégorie Conception senior et catégorie Consultation (gagnants)
Concours national d’ingénierie de 2015 – Catégories Conception junior et senior (gagnants)
Concours d’ingénierie de l’Ontario de 2015 – Catégorie Conception junior (gagnants)
Concours d’ingénierie de l’Ontario de 2014 – Catégorie Conception senior (gagnants)
Concours de robotique minière de 2011 de la NASA (gagnants)
Concours national d’ingénierie de 2010 – Catégorie Conception senior (gagnants)
Concours d’ingénierie de l’Ontario de 2010 – Catégorie Conception senior (gagnants)
Le point culminant du défi « Over the Dusty Moon » est que quelques représentants de la Laurentienne restent au Colorado pour présenter leur concept « hors de ce monde » à la table ronde sur les ressources spatiales, le jeudi 9 juin 2022.
La Laurentienne désigne le nouvel Édifice de recherche, d'innovation et de génie en l'honneur de M. Clifford A. Fielding
Un investissement de 3 000 000 $ de la famille Fielding permet d’édifier une installation de pointe
En l’honneur d’un investissement de 3 000 000 $ de Mme Lily Fielding et de sa famille, l’Université Laurentienne désignera son nouveau centre ultramoderne « Édifice de recherche, d’innovation et de génie Clifford A. Fielding ».
Pour souligner ce don, l’Université rendra également hommage à M. Jim Fielding, le fils décédé de Clifford et Lily Fielding. M. Jim Fielding croyait fermement dans l’enseignement et aimait beaucoup le rôle que joue la Laurentienne dans l’accès à celui-ci et la stimulation de l’activité économique et de l’innovation dans la Ville du Grand Sudbury, le nord de l’Ontario et ailleurs.
« La famille Fielding appuie ce projet depuis le début et a joué un rôle à part entière dans la réalisation de cette expansion fort nécessaire des locaux de recherche et d’innovation dans notre région, a déclaré le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux. Cliff a été un grand ambassadeur de notre ville et a encouragé la croissance innovatrice dans le nord. Sa famille marche dans ses traces et nous sommes fiers de désigner cet édifice en son honneur. »
L’investissement de Mme Lily Fielding et de sa famille a occupé une place importante au sein d’une proposition de financement dans le cadre d’un investissement stratégique annoncé par les gouvernements du Canada et de l’Ontario le 23 septembre 2016. Le projet totalise 60 700 000 $ et sera terminé en 2018.
« Nous sommes heureux d’aider l’Université Laurentienne à stimuler la croissance et l’innovation dans notre communauté, a dit le premier diplômé de l’Université Laurentienne à présider le Conseil des gouverneurs, M. Jamie Wallace. L’Édifice de recherche, d’innovation et de génie Clifford. A. Fielding aura une immense influence sur l’avancement de l’activité économique et de l’innovation dans la Ville du Grand Sudbury, le nord-est de l’Ontario et au-delà. »
Depuis longtemps, la famille Fielding fait des investissements dans la Laurentienne et la communauté sudburoise, dont un généreux don récent de Mme Lily Fielding qui a rendu possible la création du plus grand parc de la ville, le Parc Kivi. En outre, la famille Fielding a établi d’importantes bourses d’études à l’Université Laurentienne et à l’École de médecine du Nord de l’Ontario, y compris la Bourse d’études supérieures Clifford Fielding, la Bourse en gestion Brenda-Wallace et la Bourse commémorative Jim Fielding. En 1968, la générosité de la famille Fielding a permis la construction de la Chapelle commémorative Fielding de St. Mark à l’Université Thorneloe.
L’Édifice de recherche, d’innovation et de génie Clifford. A. Fielding inclura des locaux de recherche-développement en collaboration, d’innovation et de commercialisation ainsi que des locaux fort nécessaires pour l’École de génie Bharti primée, y compris quatre laboratoires Capstone d’innovation, un laboratoire d’analyse des matériaux, un laboratoire de mécanique environnementale et des sols, un atelier de conception de prototypes, un laboratoire de logiciels intégrés et amphithéâtre, et un laboratoire d’hydraulique et de mécanique des fluides. Chacun de ces locaux a été déterminé en consultation avec l’industrie locale afin d’optimiser les possibilités de collaboration interdisciplinaire.
Au sujet de Clifford A. Fielding
M. Cliff Fielding est né en 1915 dans la ferme familiale qui est maintenant le parc Fielding, dans le canton de Waters, et a été élevé à Copper Cliff. Entrepreneur à l’âge de 20 ans, il a créé une entreprise de transport de minerai et de gravier pour les entreprises minières et pour fournir des services de construction. À ses débuts, l’entreprise assurait le transport avec les chevaux de la ferme familiale et s’est peu après dotée d’un camion.
En 1950, Cliff Fielding Limited avait 50 employés et une flotte de 40 camions. M. Fielding avait alors établi Wavy Industries qui fabriquait du béton prêt à l’emploi et du mélange à ciment en vrac. À son décès, M. Fielding était président-directeur général de Waters Holding Corporation et avait des intérêts dans Alexander Centre Industries Limited (ACIL), Fisher Wavy Inc., Wavy Industries, Fisher Construction of Sudbury, et Fisher Harbour sur l’île La Cloche. Il a aussi été propriétaire de la Northern Ski Company qui a fabriqué des skis alpins et de fond de 1943 à 1950.
Réputé pour ses entreprises florissantes dans la région de Sudbury, M. Fielding a en outre travaillé pour le Canadian Pacific Railway et a siégé au Conseil de l’Hôpital Memorial et de l’Université Laurentienne (1964-1979). Il a reçu un doctorat honorifique ès sciences de l’Université Laurentienne et un autre en droit canon de l’Université Thorneloe.
Au sujet de Malcolm James (Jim) Fielding
Pour sa part, fier Sudburois né et élevé à Sudbury, M. Jim Fielding a présidé le Conseil d’Alexander Centre Industies Ltd. (ACIL), de la Waters Holding Corporation et de sociétés associées créées par son père en 1935.
Il a été élu au Conseil du Canadien Pacifique le 7 mai 1986 et y a siégé jusqu’en avril 2000 après y avoir été réélu à diverses reprises.
Au sujet de l’Université Laurentienne
L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années.
Les gouvernements fédéral et ontarien s'associent pour investir 27 400 000 dans l'infrastructure de la Laurentienne
Volet d’un projet de 60 700 000 $ comprenant un nouvel Édifice de recherche, d’innovation et de génie
23 SEPTEMBRE 2016– Les gouvernements fédéral et ontarien investiront, respectivement, 21,1 et 6,3 millions de dollars dans l’infrastructure de recherche et d’innovation à l’Université Laurentienne. Inscrite dans le cadre d’un vaste programme d’immobilisations totalisant 60 700 000 $, lequel devrait s’achever en mars 2018, cette enveloppe de 27 400 000 $ viendra financer la construction immédiate d’un nouvel Édifice de recherche, d’innovation et de génie de 47 000 pieds carrés. L’annonce en a été faite aujourd’hui par les députés Marc Serré et Paul Lefebvre, la vice-première ministre, Deb Matthews, et le ministre de l’Énergie et député provincial de Sudbury, Glenn Thibeault.
« Le soutien substantiel reçu aujourd’hui, soit les 27 400 000 $ annoncés conjointement par les gouvernements fédéral et provincial, le plus grand soutien à l’infrastructure depuis la création de la Laurentienne il y a 56 ans, permet l’expansion de l’espace de recherche et d’innovation tant nécessaire dans notre région, a déclaré la présidente du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne, Mme Jennifer Witty. Grâce à cet investissement, nous bâtirons l’infrastructure nécessaire pour appuyer l’enseignement et la recherche, favoriser l’innovation et créer des possibilités pour les étudiants tout en renforçant l’économie. »
L’investissement fédéral se fait par le truchement du Fonds d’investissement stratégique pour les établissements postsecondaires annoncé dans le budget fédéral de 2016. Ce fonds, doté de 2 milliards de dollars, est destiné à stimuler la création d’emplois, à accroître les efforts de recherche et à cultiver l’innovation en améliorant, voire en modernisant, les installations de recherche dans les campus universitaires canadiens, tout en renforçant leur durabilité environnementale.
« Les établissements d’enseignement postsecondaire au Canada, affirme le ministre de l’Innovation, des Sciences et du Développement économique, l’honorable Navdeep Bains, sont des agents de première ligne dans la promotion de la science et de l’excellence en recherche. Ils aident à former la main-d’œuvre de demain et à créer pour le secteur privé et les décideurs les connaissances et les perspectives nécessaires à l’édification d’une économie florissante et verte. L’Université Laurentienne s’est dotée des plans ambitieux, créateurs d’emplois bien rémunérés dans cette collectivité et porteurs de croissance économique pour les années à venir. »
L’investissement provincial comprend un apport de 5 000 000 $ de la Société de gestion du Fonds du patrimoine du Nord de l’Ontario. « Le gouvernement de l’Ontario est fier d’appuyer ce projet d’envergure qui se traduira par de nouvelles installations nécessaires pour préparer les étudiants à une carrière fructueuse dans les domaines du génie et de la recherche, a déclaré la ministre ontarienne de l’Enseignement supérieur et de la Formation professionnelle, l’honorable Deb Matthews. Grâce à ces investissements, les membres de la population étudiante, du corps professoral et du personnel travailleront dans des installations ultramodernes qui feront avancer la recherche de pointe du pays et favoriseront tant l’apprentissage à vie que la formation professionnelle. »
Le nouvel édifice de recherche, d’innovation et de génie sera situé entre les édifices Parker et Fraser du campus de Sudbury et comprendra ce qui suit :
Espace coopératif de recherche et développement, permettant aux chercheurs de l’Université de mettre en commun l’équipement et les compétences voulues pour exploiter des instruments très spécialisés.
Espace d’innovation et de commercialisation pour aider les nouvelles entreprises à combler le fossé actuel entre le laboratoire et le marché. Pour ce faire, l’Université mettra à profit son partenariat avec le Northern Centre for Advanced Technology (NORCAT).
Quatre laboratoires d’innovation Capstone permettant aux étudiants de génie civil, chimique, mécanique et minier de mettre leurs connaissances et compétences à l’œuvre et de s’attaquer à des problèmes de conception créative de véritables clients.
Un laboratoire d’analyse de matériaux pour appuyer les chercheurs, les étudiants et les partenaires de l’industrie dans le domaine de l’analyse chimique ainsi que dans les essais mécaniques, métallurgiques, de corrosion, de traitement thermique et de capacité.
Un laboratoire d’études environnementales et de mécanique des sols, équipé d’instruments, de salles d’environnement et d’autres équipements spécialisés, pour appuyer la recherche, l’innovation et les partenaires de l’industrie dans la conception des structures de fondation et en terre et aborder des problèmes dans plusieurs domaines (chimie de l’eau, microbiologie environnementale, processus physiques et chimiques, procédés microbiologiques) de même que de l’équipement d’analyse et de systèmes de traitement en laboratoire.
Un atelier de développement de prototypes et de construction mécanique pour favoriser les travaux d’innovation nécessitant des installations physiques.
Un laboratoire de logiciels et une salle de conférence intégrés, équipés pour les activités assistées par ordinateur et les logiciels d’ingénierie. Cette capacité supplémentaire permettra aux étudiants en génie civil de finir les années 3 et 4 à l’Université Laurentienne et pourra accueillir les étudiants bilingues en génie qui doivent actuellement aller ailleurs, de 400 à 600 km, pour se diplômer.
Un laboratoire de circuits hydrauliques et de mécanique des fluides permettant aux étudiants en génie d’en apprendre plus et de faire des recherches sur les débits fluidiques à canal ouvert et fermé.
« Au cours des dix dernières années, l’Université Laurentienne a reçu plus de 200 000 000 $ en fonds de recherche tandis que, au cours de la même période, les inscriptions à l’École de génie Bharti, un établissement primé, ont augmenté, passant de 100 à 700 étudiants, indique le recteur et vice-chancelier, M. Dominic Giroux. Nous avons un rôle important à jouer dans le soutien à la recherche et à l’innovation en créant des possibilités à la fois pour les étudiants et les partenaires de l’industrie. Le soutien reçu des gouvernements fédéral et provincial nous aidera certainement à répondre à ces impératifs. »
Outre le nouvel Édifice de recherche, d’innovation et de génie, le programme d’immobilisations de l’UL, chiffré à 60 700 000 $, la verra investir dans une nouvelle Unité de recherche cardiovasculaire et métabolique, un nouveau service aux étudiants à guichet unique, un nouveau Centre autochtone de partage et d’apprentissage, les rénovations de cinq laboratoires de la Faculté des sciences de la santé et une nouvelle toiture à la Bibliothèque J.N.-Desmarais. Cela comprend aussi un partenariat de 11 200 000 $ avec Greater Sudbury Utilities dans le cadre d’une initiative de cogénération devant moderniser les systèmes de chauffage de l’Université, à l’échelle du campus, à la suite de la mise en place d’un réseau urbain, à haute efficacité énergétique, axé sur la production combinée de chaleur et d’électricité, une initiative qui permettra à l’UL de réduire sa consommation d’électricité de 79 %.
D’après une étude réalisée par le cabinet KPMG, l’activité économique directe tributaire de ce projet, en résultats économiques bruts, est estimée à plus de 102 000 000 $, dont 54 000 000 $ en contribution au produit intérieur brut du Canada. Par ailleurs, le projet devrait appuyer 625 années-personnes d’emploi.
Le projet RIG (Recherche, innovation et génie) de la Laurentienne a été développé de concert et en réponse aux besoins propres à la collectivité et recensés, entre autres, par la Ville du Grand Sudbury, la Chambre de Commerce du Grand Sudbury, la SAMSSA (Sudbury Area Mining Supply and Service Association), Greater Sudbury Utilities, Horizon Santé-Nord, Science Nord, NORCAT - Sudbury Innovation Centre, le Conseil consultatif mondial de l’École de génie Bharti et le Conseil de l’Université Laurentienne pour la formation des Autochtones (CULFA). La Laurentienne a reçu plus de 50 lettres d’appui des partenaires de la collectivité et de l’industrie. Pour en savoir plus sur le projet, cliquez ici.
Génie et gestion : l’Université Laurentienne offrira 10 nouveaux programmes en français ou bilingues dès 2016
Ces 10 programmes en génie et en gestion contribueront à répondre aux attentes des futurs étudiants francophones et francophiles.
13 novembre 2015 – Dès la rentrée 2016, l’Université Laurentienne élargira son offre de cours en français. L’École de génie Bharti offrira trois baccalauréats bilingues en génie chimique, génie mécanique et génie minier où 50 % des cours devront être complétés en français. La Faculté de gestion proposera quant à elle son baccalauréat en administration des affaires entièrement en français comprenant sept spécialisations également offertes entièrement en français dans les domaines de la comptabilité, de l’entrepreneurship, de la finance, de la gestion des affaires, de la gestion internationale, du marketing et des ressources humaines.
« Aucune université canadienne ne s’est classée au premier rang aux Jeux miniers canadiens plus souvent que l’Université Laurentienne. Nos étudiants de l’École de génie Bharti ont remporté la victoire l’an dernier tant à la compétition ontarienne qu’à la compétition canadienne de génie, en plus d’avoir gagné en 2011 la compétition Lunabotics de la NASA. Pour sa part, la Faculté de gestion convoite plusieurs accréditations internationales. Il allait de soi que l’expansion des programmes en français à l’Université Laurentienne comprenne ces disciplines », explique le recteur, Dominic Giroux.
« Déjà plus de 80 étudiants francophones fréquentent l’École de génie Bharti, et un nombre équivalent sont inscrits à la Faculté de gestion. Ces 10 programmes en génie et en gestion permettront de mieux répondre aux attentes des futurs étudiants francophones et francophiles, tant au Canada qu’à l’étranger, pour ces disciplines universitaires en forte demande », ajoute le vice-recteur associé aux études et affaires francophones, Denis Hurtubise.
Faits saillants à propos de l’Université Laurentienne
L’École de génie Bharti se classe numéro un en Ontario et parmi les quatre meilleures universités canadiennes en matière de recherche en génie minier. Elle sera la première au Canada à l’extérieur du Québec à offrir des cours en français en génie minier.
Une étude de faisabilité a révélé que les élèves et les étudiants francophones de la ville du Grand Sudbury intéressés par le génie reconnaissent l’importance de pouvoir compléter leur scolarité de premier cycle dans les deux langues officielles afin d’avoir un avantage concurrentiel supplémentaire pour leur entrée sur le marché du travail.
L’École de génie Bharti dessert 695 étudiants du baccalauréat au doctorat, alors que la Faculté de gestion de l’Université Laurentienne dessert plus de 1 400 étudiants au baccalauréat et à la maîtrise.
L’Université Laurentienne obtient année après année les taux d’employabilité post-diplomation les plus élevés des universités ontariennes.
L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 millions de dollars en subventions de recherche au cours des cinq dernières années.
L’Université Laurentienne offre annuellement plus de 700 cours en français du baccalauréat au doctorat. Depuis 2013, elle a notamment lancé deux programmes de maîtrise entièrement en français en orthophonie et en sciences infirmières et fut la première université bilingue obtenant une désignation en vertu de la Loi sur les services en français de l’Ontario.
L’Université Laurentienne investit 63 millions de dollars dans la modernisation de son campus de Sudbury, laquelle sera complétée d’ici la fin de 2016. Ceci comprend des améliorations importantes à 60 salles de classe et laboratoires, aux résidences étudiantes et services alimentaires, des salles de regroupement d’étudiants, un guichet unique de services aux étudiants, un centre d’accueil dynamique, un centre d’apprentissage pour cadres et un centre de partage et d’apprentissage autochtones.
Des chercheurs de l'Université Laurentienne obtiennent des subventions totalisant de 1 300 000$
Des membres du corps professoral reçoivent des subventions à la découverte 2015 du CRSNG
22 juin 2015 – Sept membres du corps professoral de l’Université Laurentienne et trois étudiants des cycles supérieurs ont obtenu de nouvelles bourses d’études et de recherche du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG), qui totalisent 1 329 500 $.
Les fonds sont attribués à la suite des concours du Programme de subventions à la découverte, du Programme de suppléments d’accélération à la découverte, du Programme de bourses d’études supérieures du Canada Alexander-Graham-Bell, du Programme d’études supérieures du CRSNG et des bourses postdoctorales. Les résultats du concours de 2015 ont été annoncés à l’Institut universitaire de technologie de l’Ontario à Oshawa (Ontario).
« Un pilier clé de la stratégie révisée visant les sciences, la technologie et l’innovation, a déclaré M. Ed Holder, ministre d’État chargé des Sciences et de la Technologie, est de veiller à ce que le Canada forme, attire et retienne les chercheurs les plus talentueux du monde. L’investissement d’aujourd’hui dans plus de 3 800 chercheurs de 70 universités du pays assure une vaste base d’hommes et de femmes de talent dont les recherches continuent de pousser les limites du savoir, créent des emplois et des possibilités tout en améliorant la qualité de vie des Canadiens. »
« Nous sommes extrêmement fiers du profil de recherche du corps professoral et des étudiants des cycles supérieurs de la Laurentienne, a dit le vice-recteur à la recherche à l’Université Laurentienne, M. Rui Wang. Les fonds que nous obtenons du CRSNG témoignent du calibre élevé des recherches menées en biologie, médecine, génie, sciences de la Terre et sciences de l’activité physique, et nous félicitons tous nos lauréats. »
Lauréats des subventions à la découverte du CRSNG :
Douglas Boreham, École de médecine : 170 000 $ (mécanismes biologiques induits par des doses faibles et ultra-faibles de rayonnements ionisants)
Thomas Johnston, Département de biologie : 105 000 $ (spécialisation individuelle et niche trophique des consommateurs aquatiques)
Daniel Kontak, Département des sciences de la Terre : 110 000 $ (empreinte chimique des réseaux de gisements de minerai hydrothermique)
Tammy Eger, École des sciences de l’activité physique : 110 000 $ (modélisation des réponses humaines aux vibrations transmises par les pieds)
William Lievers, École de génie : 110 000 $ (mesure et modélisation du comportement mécanique et de fracture de l’os)
Junfeng Zhang, École de génie : 22 000 $ (flux sanguin et interactions sang-vaisseaux dans la microcirculation)
Zhibin Ye, École de génie : 200 000 (création de polyéthylènes étoilés semi-cristallins et d’ionomères polyéthylènes avancés)
En plus de cette subvention à la découverte pour cinq ans, le professeur Zhibin Ye a aussi obtenu un supplément d’accélération à la découverte, d’une valeur de 120 000 $ pour trois ans.
Trois étudiants des cycles supérieurs ont aussi obtenu des bourses d’études supérieures allant de 21 000 $ à 35 000 $ par an :
Nicolas Rouleau, bourse d’études supérieures de trois ans (biologie)
Nirosha Murugan, bourse d’études supérieures de trois ans (biologie)
James Baxter-Gilbert, bourse canadienne d’études supérieures de trois ans (biologie)