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Mme Tammy Gaber est lauréate du Prix d’excellence en recherche

Mme Tammy Gaber est lauréate du Prix d’excellence en recherche

Ses contributions exceptionnelles à titre de chercheuse ont été saluées lors de la Semaine de recherche 2025

28 février 2025 - Le Prix d’excellence en recherche de l’Université Laurentienne a été décerné à Mme Tammy Gaber (Ph.D.), directrice et professeure agrégée à l’École d’architecture McEwen. Cet honneur, déterminé par un comité de sélection, consacre les contributions originales exceptionnelles d’un membre du corps professorat à son domaine au cours des cinq dernières années, qui a fait preuve de leadership universitaire, reçu des fonds de recherche externes et rehaussé sur la scène nationale et internationale la réputation de l’Université en matière de recherche.

La vice-rectrice à la recherche, Mme Tammy Eger, a félicité l’heureuse lauréate lors de la remise du prix qui a eu lieu lors de la cérémonie clôturant la Semaine de recherche 2025. « Mme Gaber, par ses recherches pionnières et son engagement au mentorat des étudiants, a eu une immense incidence tant chez les étudiants qu’au sein de la communauté architecturale. Ses travaux font rayonner la recherche qui se fait à la Laurentienne sur la scène internationale, et il importe de célébrer ce prix bien mérité. »

Ses travaux de recherche, qui ont fait avancer le savoir en architecture, l’ont aussi vue encadrer des étudiants de tous les cycles, contribuant ainsi à la formation de la prochaine génération de concepteurs et de chercheurs innovateurs.

« La recherche se fait dans un esprit de collaboration et de transformation, a indiqué Mme Gaber, et je suis reconnaissante envers mes étudiants et collègues et la communauté de la Laurentienne, dont le soutien et l’engagement permettent de repousser les limites des connaissances en architecture. Que le travail qui me passionne soit reconnu est à la fois un honneur et un privilège. »

Outre ce prix, Mme Gaber verra reconnaître ses mérites lors d’une prochaine cérémonie de remise des diplômes. Elle sera aussi invitée à prendre la parole lors de la Semaine de recherche 2026 au cours de laquelle une réception sera organisée en son honneur. Dans l’immédiat, son Prix d’excellence en recherche sera célébré par la Bibliothèque de l’École d’architecture McEwen, sous la forme d’une exposition de ses publications, notamment son livre, ses chapitres, ses articles de revues, entre autres. 

La communauté universitaire de la Laurentienne tient à saluer les réalisations de Mme Gaber et se réjouit des retombées durables de ses recherches, de ses travaux universitaires et de son enseignement.

 

À propos de Tammy Gaber (Ph.D.)
Mme Gaber jouit d’une grande réputation en raison de son engagement qui consiste à offrir aux étudiants des possibilités d’apprentissage expérientiel uniques et transformatrices dans le cadre de ses travaux de recherche. Son travail, mené à titre d’érudite et d’éducatrice de renom, l’a vue apporter une importante contribution à l’histoire de l’architecture, notamment à l’étude des espaces sacrés et de ce qu’ils représentent pour les communautés. À titre de directrice de l’École d’architecture McEwen, son leadership a donné lieu à des initiatives innovatrices dans l’enseignement et à des possibilités d’apprentissage expérientiel uniques, confortant ainsi la réputation d’excellence de l’établissement. 

Ses travaux ont bénéficié de plusieurs subventions fédérales, dont le prix 2022 pour son étude des espaces sacrés par les architectes modernistes Alvar, Aino et Elissa Aalto. Son livre pionnier, Beyond the Divide - A Century of Canadian Mosque Design, fruit de nombreuses années de recherche soutenues par le CRSH et d’autres subventions, a fait l’objet d’éloges dans nombre de revues et de périodiques prestigieux, dans un balado, le Globe and Mail et une émission de télévision. Son livre a récemment reçu une mention honorable dans le cadre du Melva Dwyer Award, un prix qui récompense les créateurs d’outils de référence ou de recherche exceptionnels dans le domaine de l’art et de l’architecture canadiens.

Son plus récent projet de recherche a vu son ouvrage Sacred Spaces: Community and Continuity in Aaltos’ Architecture, en vedette dans une exposition au musée Alvar Aalto de Jyväskylä, en Finlande. L’exposition, une exploration minutieuse de 35 espaces sacrés conçus par les Aalto, sur une période de 50 ans, s’accompagne de dessins 3D détaillés et de recherches historiques, offrant ainsi une compréhension complète de ces ouvrages architecturaux.

Une exposition au musée présente des recherches canadiennes sur l’architecture finlandaise

Une exposition au musée présente des recherches canadiennes sur l’architecture finlandaise

Les recherches de Tammy Gaber, Ph.D., sur l’architecture d’Aalto seront présentées au musée Alvar Aalto en Finlande.

21 octobre 2024 - La directrice et professeure associée à l’École d’architecture McEwen, Tammy Gaber, Ph.D., est reconnue dans une exposition spéciale au musée Alvar Aalto de Jyvaskyla, en Finlande. L’exposition, intitulée Sacred Spaces : Community and Continuity in Aaltos’ Architecture, se déroulera du 27 septembre 2024 au 5 janvier 2025.

Mme Gaber a effectué les recherches, organisé et créé l’exposition qui présente 35 espaces sacrés conçus par Alvar, Aino et Elissa Aalto. Au cours de cinq décennies, les Aalto ont participé à la rénovation de sept églises historiques, conçu 11 structures ecclésiastiques et conceptualisé 17 espaces sacrés non construits pour des communautés dans diverses régions de Finlande et plusieurs autres pays. Les dessins détaillés en 3D mettent en valeur la contribution particulière des Aalto à l’architecture des églises.

Financée par le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada (CRSH) avec le soutien collaboratif de l’Alvar Aalto Foundation, l’exposition est une représentation tactile du travail des Aalto tout au long de leur vie, accompagnée d’informations historiques détaillées. Les éléments sont organisés en ordre chronologique, révélant les relations entre les conceptions développées au cours de cinq décennies. Elle comprend également des réflexions textuelles et visuelles sur des thèmes clés des espaces sacrés, tels que l’art, les projets conçus à l’extérieur de la Finlande et les phases ultérieures des églises construites.

Mme Gaber a dirigé deux cours sur le thème des Aalto à l’École d’architecture McEwen, pendant lesquels les étudiants ont eu l’occasion de collaborer. Dans le cadre du cours d’études supérieures de 2022, « Mythic Places: Crafting Aaltos’ Design Universe » et le cours de premier cycle de 2024 « Community and Continuity in Aalto’s Sacred Spaces », les étudiants ont joué un rôle important dans la création des dessins 3D présentés dans l’exposition. Ces dessins incorporent des plans architecturaux originaux (y compris des plans d’étage, des coupes et des élévations) avec toutes les informations disponibles, permettant une compréhension spatiale complète des espaces ecclésiastiques construits et non construits tels que les Aalto les envisageaient.

En septembre, dix étudiants et deux anciens de l’École d’architecture McEwen ont voyagé avec Mme Gaber pour monter et lancer l’exposition.

Les membres suivants de la population étudiante ont créé les dessins tridimensionnels présentés dans l’exposition.

À la maîtrise : Laura Auchinleck, Abigail Hudyma, Sarah Belchker, Livingston Boyd, Zachary Briguglio, MacKenzie Cameron, Lauren Carr, Cat Daigle, John Grzeda, Jonathan Kabumbe, Candice Kinnunen, Sarah Mason, Aaron McRoberts, Janae Rodrigues, Sydney Sheppard, Jacob Smith (ancien, 2022).

Au baccalauréat : Elijah Alkhoury, Noam Aufgang, Sam Ballantyne, Maddison Belanger, Andrew Eveleigh, Humbert Gelas, Ravleen Gill, Kalila Hamilton-Bachiu, Gustav Jost, Isi Lusha, Sasha Sousa (ancienne, 2024).

Les dessins ont été créés avec l’aide de la doctorante, Laura Auchinleck, tandis qu’Abigail Hudyma a collaboré avec Mme Gaber à titre d’adjointe de recherche pendant toute la durée du projet, en assurant soutien et contribution à la collecte de données, à la création de dessins et à la conservation de l’exposition.

L’exposition Sacred Spaces offre l’occasion inégalée d’explorer l’héritage multiforme et pertinent des Aalto dans l’architecture des églises. Lors de la soirée de l’ouverture de l’exposition, Mme Gaber a prononcé une conférence publique devant 60 visiteurs locaux et internationaux et reçu la « Alvar Aalto Medal of Valor » pour souligner ses années de dévouement à la recherche sur les bâtiments Aalto.

Ce projet met en valeur la créativité et l’engagement de Tammy Gaber non seulement envers ses recherches, mais aussi envers ses étudiants dont l’expérience universitaire a été enrichie grâce à ce chevauchement exceptionnel entre l’éducation et le patrimoine architectural.

Nouvelles bourses de Perkins&Will sont décernées pour appuyer les architectes autochtones au Canada

Nouvelles bourses de Perkins&Will sont décernées pour appuyer les architectes autochtones au Canada

Ces bourses annuelles sont maintenant offertes aux étudiants autochtones en partenariat avec l’Université Laurentienne et Indspire

(22 février 2023) - Perkins&Will se fait un plaisir d’annoncer les lauréates de ses bourses d’excellence en architecture et aux études supérieures pour les étudiants autochtones inscrits aux programmes de baccalauréat et de maîtrise de l’École d’architecture McEwen (EAM) à l’Université Laurentienne (UL). Le cabinet a créé ces deux nouvelles bourses annuelles dans le cadre de son engagement envers la réconciliation au Canada. Chacune des bourses, dont la contrepartie est offerte dans les années d’admissibilité par l’œuvre de bienfaisance autochtone nationale primée, Indspire, accorde aux lauréats jusqu’à 5 000 $ ainsi qu’un stage dans l’atelier des donateurs de Perkins&Will à Vancouver ou à Calgary. 

« N’ayant qu’une trentaine de professionnels inscrits au Canada, les Autochtones sont sous-représentés en architecture, a expliqué la directrice générale et administratrice principale des ateliers de Perkins&Will à Vancouver et à Calgary, Susan Gushe. Nous avons créé ces bourses pour appuyer des étudiants talentueux jusqu’à l’obtention du diplôme et renforcer la capacité dans le domaine. »

Les bourses ont été créées en réponse au Rapport d’appels à l’action de la Commission de vérité et de réconciliation du Canada. Témoignant encore son engagement, le cabinet a formé un groupe interne de travail sur la réconciliation qui s’allie à des experts-conseils autochtones pour discuter avec les employés et les sensibiliser en matière de connaissances de l’histoire et des cultures autochtones. Il persévère afin que les Autochtones aient une place à la table et participent à ses projets de manière significative.

« L’École d’architecture McEwen s’enorgueillit de son mandat triculturel et a intégré l’apprentissage autochtone à de nombreux cours du programme, notamment des cours de conception et de théorie auxquels les collectivités, porteurs du savoir et aînés autochtones apportent des contributions régulières, a ajouté la directrice et professeure agrégée de l’EAM à l’UL, Tammy Gaber, Ph.D. L’École est fière des étudiants et diplômés qui ont choisi d’apprendre, de mettre en application et de participer respectueusement afin de soutenir l’évolution de connaissances et conceptions avec et pour les Autochtones. »

Seule université au Canada ayant un mandat triculturel, la Laurentienne offre une approche globale de l’éducation autochtone. En architecture, les perspectives et connaissances autochtones se font valoir dans les cours et les milieux communautaires du programme tandis que l’atelier de conception propose les thèmes d’architecture et d’artisanat, de conception autochtone et de construction communautaire, l’accent étant mis sur le développement d’expertise en bois et matériaux durables.

« Nous sommes heureux de collaborer avec Perkins&Will et l’Université Laurentienne à cette importante initiative, a exprimé le PDG d’Indspire, Mike DeGagné. Non seulement ces bourses représentent-elles une importante nouvelle possibilité pour les étudiants métis, inuits et des Premières Nations visant des carrières en architecture, mais elles reflètent aussi de manière tangible la réconciliation en action. Nous avons hâte de suivre cette voie fructueuse avec Perkins&Will et l’Université Laurentienne. »

Perkins&Will, Indspire et l’Université Laurentienne félicitent ces lauréates de bourses : 

Bourse d’études supérieures pour Autochtones en architecture de Perkins&Will Canada

  • Lauréate de l’année universitaire 2022-2023 : Kyara Wendling, étudiante de la M.A. en architecture
  • Lauréate de l’année universitaire 2021-2022 : Bohdana Chiupka Innes, diplômée de la M.A. en architecture

(Cette bourse est remise à une personne autochtone inscrite à la maîtrise en architecture de l’École d’architecture McEwen à l’Université Laurentienne en fonction du rendement aux études et du projet de recherche de thèse.)

Bourse d’excellence en architecture pour Autochtones de Perkins&Will Canada

  • Lauréate des années universitaires 2021-2022 et 2022-2023 : Mackenzie Pitawanakwat, étudiante du B.A. en architecture

(Cette bourse est remise à une personne autochtone inscrite à la 3e ou 4e année du programme de baccalauréat en études architecturales de l’École d’architecture McEwen à l’Université Laurentienne en fonction du rendement aux études et de l’excellence de conception.) 

Pour obtenir d’autres renseignements sur les bourses ou présenter une demande, consultez https://indspirefunding.ca/laurentian-university/. Les dates limites pour demander les bourses sont le 1er février, le 1er août et le 1er novembre.


D’autres renseignements sur les lauréates 

Née et élevée à Port Colborne et membre de la communauté d’Archigantegou, Kyara Wending est inscrite à la deuxième année de la maîtrise en architecture et prépare sa thèse en français dans l’EAM à l’Université Laurentienne. Elle s’estime chanceuse d’en avoir beaucoup appris sur l’histoire et la pertinence des bâtiments en voyageant. « Les édifices sont des artéfacts qui nous racontent l’incidence durable des cultures du passé sur le monde actuel, a-t-elle expliqué. Je suis une artiste qui a toujours voulu laisser sa trace et je crois que l’architecture sera mon débouché. » Après les études, elle espère devenir architecte autorisée et exercer sa profession au Canada. Elle attend avec intérêt d’intégrer des méthodologies, connaissances traditionnelles et cultures autochtones dans le contexte de l’architecture. « Je veux continuer à mobiliser diverses collectivités autochtones et les autonomiser au moyen de l’environnement bâti tout en apprenant des gens qui m’entourent et trouvant ma propre identité dans le cadre de mon travail. »

Originaire de la Première Nation Moose Cree, Bohdana Chiupka-Innes cultive un intérêt pour l’aménagement intérieur depuis son enfance, l’apportant à s’inscrire à l’EAM de l’UL, où elle a obtenu un B.Arch. en 2020 et une M.Arch. en 2022. « J’ai appris l’architecture autochtone à la Laurentienne et la façon dont les formes bâties peuvent exprimer notre culture, a-t-elle décrit, et je me passionne à continuer ces apprentissages. J’espère collaborer avec des collectivités autochtones partout sur l’Île de la tortue et donner vie à leur vision et leur culture dans le cadre de l’architecture. Il est important d’apprendre l’histoire de nos peuples et je crois que l’architecture donne aux Autochtones un moyen de guérir en tissant des liens entre la conception architecturale, l’enseignement et les traditions. » 

Anishinaabekwe de la Première Nation d’Atikameksheng Anishnawbek, Mackenzie Pitawanakwat est une étudiante en quatrième année du baccalauréat en études architecturales dans l’EAM à l’ULe. Même à un très jeune âge, elle trouvait passionnantes la conception et la création. L’inclusion à l’esprit, elle dit qu’elle a profité du programme d’études de l’EAM, car il appuie l’intégration de matériaux autochtones et naturels dans la conception et la construction. Elle a également tiré profit de l’encadrement d’aînés et de porteurs de connaissances (Premières Nations et Métis) ainsi que d’entretiens avec eux. « Une fois architecte, j’espère influer sur le monde en travaillant diligemment pour combler l’écart entre les éléments holistiques et techniques de l’architecture. Je veux apporter une contribution à l’architecture et à la représentation des Premières Nations, et ainsi, à ma communauté, et utiliser le design pour autochtoniser des terrains. »

 

Au sujet de Perkins&Will
Fondé en 1935 selon le principe que la conception a le pouvoir de transformer les vies, Perkins&Will est un cabinet d’architecture et de design fondé sur les recherches. Orienté par ses valeurs fondamentales (excellence en conception, diversité et inclusion, conception vivante, recherche, résilience, vocation sociale, durabilité et bien-être), le cabinet s’engage à concevoir un monde meilleur et plus magnifique. En 2022, Metropolis l’a nommé le « Cabinet de l’année » pour souligner son leadership dans le secteur pour avancer l’action climatique et la justice sociale. À trois reprises, Fast Company a nommé Perkins&Will l’une des entreprises d’architecture les plus innovatrices dans le monde et, en 2021, il l’a ajouté à sa liste de marques qui comptent (« Brands That Matter ») – c’est le seul cabinet d’architecture dans le monde à obtenir cette distinction. Grâce à une équipe internationale de 2 000 professionnels dans une vingtaine d’ateliers partout dans le monde, il offre des services intégrés en architecture, aménagement intérieur, milieux de marque, conception urbaine et architecture paysagère. Le cabinet figure systématiquement parmi les meilleurs du monde dans les classements du secteur. Parmi ses partenaires sont les architectes danois, Schmidt Hammer Lassen, l’expert-conseil en stratégie de détail et design, Portland, l’expert-conseil en planification de transport durable, Nelson\Nygaard, et le cabinet de conception d’hôtellerie de luxe, Pierre-Yves Rochon (PYR).

À propos d’Indspire
Oeuvre de bienfaisance autochtone nationale, Indspire fait des investissements dans la formation des personnes inuites, métisses et des Premières Nations afin d’accorder des avantages à long terme à eux aussi bien qu’à leur famille, à leur communauté et au Canada. Grâce au soutien de partenaires subventionnaires, Indspire décerne des bourses, offre des programmes et partage des ressources afin que les étudiants inuits, métis et de Premières Nations puissent réaliser leur potentiel maximal. En 2021-2022, Indspire a remis des bourses d’aide et d’études totalisant quelque 23 000 000 $ à des étudiants inuits, métis et des Premières Nations partout au Canada.

L’Université Laurentienne célèbre les personnes qui ont reçu plus de 237 000 $ en subventions fédérales du CRSH

L’Université Laurentienne célèbre les personnes qui ont reçu plus de 237 000 $ en subventions fédérales du CRSH

Les fonds reçus viendront appuyer la recherche en sciences sociales et humaines.

(13 octobre, 2022) - Les chercheurs de l’Université Laurentienne ont reçu du Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH) des subventions chiffrées à plus de 237 000 $ afin de les aider dans leurs efforts de produire du nouveau savoir.

Mme Lea Tufford (Ph.D.), professeure agrégée de l’École de service social, a reçu une subvention Savoir de cinq (5) ans en appui à son étude intitulée « Supporting Social Work Field Education: Developing a Model of Holistic Competition ». Flambeau de l’excellence de la recherche dans le domaine des sciences sociales et humaines, les subventions Savoir sont accordées à des travaux originaux de recherche et porteurs d’une contribution importante à l’avancement des connaissances.

Mme Tammy Gaber (Ph.D.), professeure agrégée et directrice de l’École d’architecture McEwen, et M. Frantz Siméon (Ph.D.), professeur adjoint de l’École de service social, ont reçu, chacun, une subvention de développement Savoir de deux (2) ans. L’étude de Mme Gaber, qui s’intitule « Losing Faith: Continuity and Community of Aaltos Sacred Spaces », et celle de M. Siméon, « Apports du réseau de proximité dans le soutien à domicile des francophones en contexte minoritaire, les leçons de l’expérience du Club amical de Sudbury en temps de pandémie », profiteront de ces subventions qui sont accordées à des projets de recherche en phase initiale, ce qui leur permettra de développer de nouvelles questions de recherche et d’expérimenter de nouvelles méthodes, approches théoriques et idées.

M. Simon Laflamme, professeur titulaire de l’École des arts libéraux, a reçu une subvention d’un an, dite Aide aux revues savantes, pour la revue « Nouvelles perspectives en sciences sociales ». L’objectif de cette subvention est de prêter main-forte à la diffusion de la recherche savante canadienne par sa contribution aux revues afin de les amener à explorer des activités innovatrices et à pourvoir aux frais associés à la publication d’articles savants, à l’édition numérique et à la distribution des revues sur des plateformes canadiennes à but non lucratif.

« Les subventions Savoir, développement Savoir et Aide aux revues savantes sont d’une importance capitale pour les chercheurs et la formation des étudiants qui travaillent souvent aux côtés des professeurs pour faire progresser l’érudition et la diffusion des connaissances, a indiqué la vice-rectrice à la recherche à l’Université Laurentienne, Mme Tammy Eger (Ph.D.). En l’occurrence, il s’agit des domaines des sciences sociales et humaines où les chercheurs, grâce à ces investissements fédéraux, pourront contribuer à l’avancement des connaissances. Félicitations à tous les lauréats qui, par leurs travaux de recherche assidus, contribuent à répondre à des questions importantes dont les incidences se répercutent sur les expériences vécues aux niveaux local, national et international. » 

Les lauréats d’une subvention du CRSH en 2022-2023 à l’Université Laurentienne prolongent la réussite incarnée par les lauréats de subventions du CRSH en 2021-2022.

Plus tôt cette année, l’Université Laurentienne a également annoncé la participation de professeurs et d’étudiants à un projet bénéficiant d’une subvention de partenariat de cinq ans du CRSH, un projet concerté, d’une ampleur sans précédent dans les disciplines du design, « Quality in Canada’s Build Environment: Roadmaps to Equity, Social Value and Sustainability », financé à hauteur de 8,6 millions de dollars.

L’Institut de recherche autochtone Maamwizing a également reçu du CRSH plus de 430 000 $ dans le cadre de son Initiative sur la race, le genre et la diversité, en soutien à des travaux de recherche triennaux axés sur la collectivité autochtone.

Dévoilement du logo sculpté de l’Université Laurentienne

Dévoilement du logo sculpté de l’Université Laurentienne

Les étudiants célèbrent l’héritage et l’avenir de l’environnement.

(6 Septembre 2022) - Le dévoilement d’un nouveau logo sculpté, sous l’égide de l’Association générale des étudiants de l’Université Laurentienne et du Comité de durabilité environnementale, aura lieu le 21 septembre 2022, à midi, dans le foyer de l’Auditorium Fraser.

La cérémonie commencera par des allocutions d’étudiants et de professeurs [messages de soutien par vidéo de Margaret Atwood et de Bruce Mau], suivies du récital de poésie que présidera Roger Nash. Puis, changeant de décor, en passant à l’extérieur, la cérémonie se déroulera au mini-parc sur les sciences du climat nouvellement annoncé, situé à gauche de l’Auditorium Fraser, où la sculpture sera dévoilée. Incarnant l’engagement de l’Université envers les objectifs de la Décennie des Nations Unies pour la restauration des écosystèmes, le logo traduit la volonté des étudiants de progresser sur un campus attaché à la santé et à la durabilité de l’environnement. L’événement mettra aussi en vedette un nouveau projet né sur le campus, en association avec l’École d’architecture McEwen, que dirigera la professeure Tammy Gaber et l’architecte de renom Bruce Mau, et consistant à concevoir un pavillon d’observation de la forêt restaurée. L’événement, qui durera environ 45 minutes, se terminera en plein air dans le mini-parc sur les sciences du climat, un coin de verdure situé du côté gauche de l’Édifice Fraser.

 

À propos de l’Association générale des étudiants. L’Association générale des étudiants (AGE) de l’Université Laurentienne à Sudbury (Ontario) représente et défend les intérêts des quelque 5 000 étudiants de premier cycle, inscrits à plein temps et à temps partiel. Au service de leurs volontés et besoins depuis 1960, nous avons toujours su garder le cap à mesure que l’AGE se développe et évolue, en privilégiant la vie des étudiants et la défense de leurs intérêts au cours des quelque 60 dernières années.

À propos du Comité de durabilité environnementale. Engagé à atteindre la neutralité en carbone d’ici 2030 et à parachever la restauration complète du campus de l’Université Laurentienne et de ses lacs, le Comité de durabilité environnementale veut aider le Canada, Sudbury et l’Université Laurentienne à restaurer les terres et les eaux dans la lutte contre le changement climatique et la perte de biodiversité.

À propos de la Décennie des Nations Unies pour la restauration. Lancée par l’Assemblée générale des Nations Unies, la Décennie des Nations Unies pour la restauration des écosystèmes vise à soutenir les efforts engagés à l’échelle mondiale pour protéger et restaurer les écosystèmes et freiner le changement climatique.

La Laurentienne rend hommage à quatre membres du corps professoral pour souligner l’excellence dont ils font preuve en enseignement

La Laurentienne rend hommage à quatre membres du corps professoral pour souligner l’excellence dont ils font preuve en enseignement

L’Université annonce les lauréats de prix d’excellence en enseignement et les professionnels de l’enseignement en résidence

(25 août 2020) C’est avec grand plaisir que le Comité du Sénat de l’enseignement et de l’apprentissage et le Centre d’excellence universitaire (CEU) annoncent les lauréats de Prix d’excellence en enseignement ainsi que les professionnels de l’enseignement en résidence de cette année. Joignez-vous à nous pour féliciter Mmes Tammy Gaber et Diana Urajnik et MM. Jorge Virchez et Robert Schinke.

Professeure de l’École d’architecture McEwen (EAM), Mme Tammy Gaber, Ph.D., est lauréate du Prix d’excellence en enseignement de cette année. L’un des membres du corps professoral fondateur de l’EAM, elle vient de terminer un mandat à titre de coordonnatrice des études supérieures. Elle préconise qu’il soit nécessaire de contester les principes fondamentaux en tenant compte de perspectives diverses afin de préparer de façon plus empathique et pertinente les étudiants à la réalité mondiale de l’architecture. « Je m’enorgueillis, dit-elle, de suivre les trajectoires de mes étudiants anciens et actuels. »

Chargée de cours en psychologie et sciences de l’activité physique, à l’EMNO et à l’École de santé dans les milieux ruraux et du nord, Mme Diana Urajnik, Ph.D., est lauréate du Prix d’excellence en enseignement pour les membres du corps professoral à temps partiel. Elle est qualifiée de personne dont « les conseils et le soutien demeurent sans égal ».

Professeur titulaire du Département de géographie, M. Jorge Virchez, Ph.D., est nommé professionnel de l’enseignement en résidence. En cette qualité, il entend appuyer les membres du corps professoral, du personnel administratif et de la population étudiante en les amenant à mieux comprendre l’internationalisation et les différentes cultures, religions et techniques d’enseignement dans l’optique des enjeux internationaux. « Je donne 100 pour cent de moi-même dans chaque cours, a-t-il dit lors d’une entrevue récente, et trouve de nouvelles façons à motiver les étudiants à m’écouter et à apprendre avec enthousiasme. »

Professeur des sciences de l’activité physique, M. Robert Schinke, Ph.D., est aussi nommé professionnel de l’enseignement en résidence. « Ce que je partage avec mes étudiants repose sur les valeurs et le contenu et est ancré dans le réel, a dit M. Schinke récemment en entrevue. Aller de l’avant avec désintéressement donne un sens à nos travaux et, nous l’espérons, à ceux de nos étudiants aussi. »

« Ces prix célèbrent l’enseignement qui a une incidence positive et durable sur les étudiants et enrichit leur apprentissage, a dit l’ex-vice-recteur aux études de l’Université Laurentienne, M. Serge Demers. Quelle joie de donner à ces éducateurs exceptionnels la valorisation qui leur revient. »
 

L’École d’architecture McEwen gagne des prix nationaux

L’École d’architecture McEwen gagne des prix nationaux

27 mai 2019 - Malgré le fait que les diplômes seront conférés à la première promotion de la maîtrise en architecture ce printemps, des membres de la population étudiante et du corps professoral de l’École d’architecture McEwen obtiennent déjà des prix et des reconnaissances sur les scènes nationale et internationale. En effet, l’École McEwen s’est déjà attiré des prix et honneurs attendus d’établissements qui existent depuis plus longtemps.

 

Des étudiants à l’honneur pour des projets liant les gens au paysage

Étudiante à la maîtrise en architecture, Mme Sophie Mackey figure parmi les sept gagnants du tout premier concours d’idées SHIFT 2019 de l’Ordre des architectes de l’Ontario.

Mme Mackey a reçu l’honneur pour son projet de thèse, Immigrant Landscapes: Architecture in the Age of Migration, qui examine les façons dont la Ville du Grand Sudbury peut mieux accueillir les nouveaux immigrants en centralisant nombre de services qui sont critiques à ce segment de la population. Elle a imaginé et conçu l’agglomération d’une petite bibliothèque, d’une garderie et d’un centre d’apprentissage pour aider à accueillir les nouveaux arrivants dans la communauté.

En outre, les étudiants en architecture, MM. Brendan McDonald, Muskan Goel et Harrison Lane ont reçu une mention honorable lors du concours de design de la Commission de la capitale nationale.

L’objectif de leur conception était « d’amener les gens à renouer avec la rivière et ses commodités en se servant de l’eau pour rajuster l’infrastructure actuelle, apportant ainsi un carrefour social de rencontre dans lequel tenir des activités diverses comme des marchés, festivals et pique-niques et le jeu. »

 

La professeure Tammy Gaber reçoit le Prix Women Who Inspire

Le Conseil canadien des femmes musulmanes a rendu hommage à la professeure adjointe de l’École d’architecture McEwen, Mme Tammy Gaber en lui remettant son prix annuel Women Who Inspire, le dimanche 28 avril 2019.

Selon le Conseil canadien des femmes musulmanes, « les lauréates remettent en cause les stéréotypes traditionnels, servent fièrement leur communauté et sont une source d’inspiration pour l’ensemble des Canadiens et Canadiennes. »

Mme Gaber est l’une des sept lauréates au Canada en 2019. Ses recherches portent en grande partie sur l’architecture de l’Islam et, surtout, la conception contemporaine de mosquées. Elle est la première lauréate dans le domaine de l’architecture.

 

Rob et Cheryl McEwen recevront le Prix Words & Deeds en leadership

Reconnu au plan mondial, le Centre for Israel and Jewish Affairs rendra hommage à M. et Mme Rob et Cheryl McEwen en leur remettant le Prix Words & Deeds en leadership pour souligner leur bénévolat et philanthropie.

Mme Cheryl McEwen est bénévole, philanthrope et entrepreneure, tandis que M. Rob McEwen est fondateur et ex-PDG de Goldcorp et, actuellement, président et propriétaire principal de McEwen Mining Inc.

En 2016, le couple a fait don de 10 000 000 $ à l’Université Laurentienne, permettant à l’établissement de mettre sur pied l’École d’architecture McEwen. 

En outre, il a fait des dons à l’Édifice d’études supérieures et de recherche Rob et Cheryl McEwen à l’École d’affaires Schulick de l’Université York, au Programme de leadership McEwen au Collège St Andrew’s et à la Lakefield College School, à la Toronto General and Western Hospital Foundation, à l’Hôpital Mount Sinaï, à l’Institut Weizmann, au Festival de vin et de gastronomie Grand Cru, au Musée des beaux-arts de l’Ontario et au Festival Luminato de Toronto. Sur la scène mondiale, le couple joue aussi un rôle auprès de Virgin Galactic, de la X Prize Foundation, du congrès de l’International Society of Stem Cell Research (ISSCR), des Prix de Duc d’Édimbourg et des œuvres caritatives du Prince.

 

Des membres du corps professoral de l'Université Laurentienne reçoivent de nouvelles subventions du CRSH

Des membres du corps professoral de l'Université Laurentienne reçoivent de nouvelles subventions du CRSH

Le Conseil de recherches en sciences humaines investit dans quatre projets

8 septembre, 2015 – L’Université Laurentienne est heureuse de féliciter quatre membres du corps professoral qui ont reçu en 2015 de nouvelles subventions du Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH) du Canada.

 

Le CRSH a consenti des subventions de développement Savoir à trois membres du corps professoral :

— Tammy Gaber, Ph. D., professeure adjointe, École d’architecture, Faculté des sciences, de génie et d’architecture
Projet : Beyond the Divide: A Century of Canadian Mosque Design and Gender Allocations
Subvention : 63 935 $

 

— Susan Glover, Ph. D., professeure agrégée, Département d’anglais, Faculté des arts
Projet : Indigenous Writing and Literary Networks in Eighteenth- and Nineteenth-Century Canada
Subvention : 66 748 $

 

— Tim Nieguth, Ph. D., professeur agrégé, Département de science politique (Barrie), Faculté des arts
Projet : The True (Blue) North: The Prime Minister and Canadian Nation Building since 2006
Subvention : 74 044 $

 

Les subventions de développement Savoir visent à appuyer les étapes initiales de la recherche. Elles favorisent l’approfondissement de nouvelles questions de recherche ainsi que l’expérimentation de nouvelles approches théoriques, idées et méthodes. Elles servent à financer des projets de développement de la recherche à court terme (jusqu’à deux ans) proposés par un chercheur travaillant seul ou en équipe.

 

Un quatrième membre du corps professoral a décroché une subvention Connexion du CRSH. Ces subventions appuient des événements et des activités de rayonnement à court terme ciblant des initiatives de mobilisation des connaissances qui constituent des occasions d’échanger des connaissances.

 

— Alicia Hawkins, Ph. D., professeure agrégée, École de l’environnement, Faculté des sciences, de génie et d’architecture
Projet : Circles of Interaction : the Wendat and their neighbours in the time of Champlain
Subvention : 24 530 $

 

« Nous nous réjouissons des bons résultats obtenus par les membres de notre corps professoral dans leurs demandes de subvention au CRSH, a dit M. Rui Wang, vice-recteur à la recherche à l’Université Laurentienne. Leur réussite témoigne de la qualité et de la profondeur des recherches menées par toutes les unités à l’Université Laurentienne, et nous tenons à féliciter tous les lauréats. »

 

Plus tôt cette année, les membres du corps professoral de l’Université Laurentienne ont reçu un total de 1 300 000 $ en nouvelles subventions du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie (CRSNG).