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L’Université Laurentienne lance son nouveau Plan stratégique de cinq ans

L’Université Laurentienne lance son nouveau Plan stratégique de cinq ans

Le plan fait valoir les caractéristiques particulières constituant la riche identité de l’UL

27 mars 2024 – L’Université Laurentienne amorce un nouveau chapitre en présentant son Plan stratégique 2024-2029. Sous le titre « Plan de la Laurentienne pour favoriser la connexion, l’innovation et l’impact », le plan définit une vision, une mission, des valeurs et quatre priorités clés sur lesquelles l’établissement d’enseignement se concentrera pendant les cinq prochaines années.

« La vision, la mission et les valeurs ne sont pas que de simples mots sur une page, a expliqué la rectrice et vice-chancelière par intérim, Sheila Embleton, Ph.D. Elles sont le fond rocheux de tout organisme et aideront à orienter les priorités, à façonner les aspirations communes et à définir la façon dont l’Université œuvrera afin d’avoir une incidence durable. Ce plan est issu d’un processus approfondi et englobant auquel ont participé de nombreuses personnes aux perspectives individuelles qui forment la communauté Laurentienne. »

La planification stratégique a été entreprise en juillet 2023 avec une vaste participation de la communauté universitaire. Des ateliers, consultations, assemblées publiques et sondages ont eu lieu pour rassembler et organiser les précieuses contributions de la population étudiante, du personnel et du corps professoral. Les experts-conseils de StrategyCorp ont été embauchés afin d’épauler ce processus mené en profondeur, de concert avec le comité de planification de l’Université, pour assurer la collecte et l’analyse des idées et perspectives de quelque 2 500 personnes de la communauté Laurentienne. 

Le chemin à suivre met en valeur notre engagement et l’importance de renforcer les partenariats et de favoriser la collaboration avec la communauté Laurentienne dans quatre domaines prioritaires : améliorer l’expérience étudiante; dynamiser la mission d’enseignement et de recherche; renforcer les communautés que nous servons; apprécier et soutenir nos membres.

La mise en œuvre du plan a été amorcée et les indicateurs de réussite sont en cours d’élaboration. Dans les prochains mois, les plans d’enseignement et de recherche joueront un rôle important pour déterminer la façon d’instaurer les éléments clés du plan stratégique. 

 

Points saillants du plan

Vision : Apporter au monde le pouvoir des valeurs, de la résilience, de l’innovation et des modes de connaissance autochtone du nord de l’Ontario.

Mission : Préparer les leaders de demain dans le cadre d’une communauté bilingue et triculturelle d’apprentissage qui est inclusive, intellectuellement curieuse et connectée.

Valeurs : communauté, intégrité, réussite des étudiants, intendance, collaboration

 

Orientations stratégiques : 

  • Améliorer l’expérience étudiante
  • Dynamiser la mission d’enseignement et de recherche
  • Renforcer les communautés que nous servons
  • Apprécier et soutenir nos membres

 

Plus de renseignements sur le plan.

La Laurentienne met à profit des technologies de pointe dans la lutte contre la COVID-19

La Laurentienne met à profit des technologies de pointe dans la lutte contre la COVID-19

La Laurentienne et des partenaires utilisent des imprimantes tridimensionnelles pour créer de l’équipement essentiel de protection

La communauté de l’Université Laurentienne continue de faire son possible et de mobiliser des efforts pour lutter contre la propagation du coronavirus. Notre projet le plus récent vise à aider à protéger les travailleurs de santé de première ligne pendant la pandémie.

En utilisant les imprimantes tridimensionnelles de l’Espace-création (Makerspace) de l’Édifice de recherche, d’innovation et de génie Cliff-Fielding, nous avons créé un serre-tête pour la tenue d’écran facial en nous fondant sur une conception libre du cabinet suédois 3D Verkstan. Le serre-tête est simple, polyvalent et facile à fabriquer et permet l’apposition de matériaux, comme le plastique transparent, que les travailleurs de la santé portent comme écran facial pour se protéger de matières dangereuses, dont le virus.

Le projet découle d’une bonne volonté d’aider. La gestionnaire de l’innovation et de la commercialisation à la Laurentienne, Mme Gisele Roberts, a appelé récemment Horizon Santé-Nord pour déterminer l’aide que la Laurentienne pouvait apporter. En tenant compte de tous les outils à notre disposition, nous avons décidé de fabriquer les serre-tête.

Pour concrétiser ce projet, l’équipe dévouée de chercheurs et d’innovateurs de la Laurentienne collabore avec des collègues d’établissements partenaires. La conception a été proposée par l’École de médecine du Nord de l’Ontario tandis que le Collège Cambrian, le Collège Boréal, Science Nord, les écoles secondaires Lively District et Lo-Ellen Park et le partenaire industriel Ionic Mechatronics ont été appelés à produire des matériaux. Les 300 premiers serre-tête ont déjà été livrés à Horizon Santé-Nord et des centaines d’autres suivront.

La Laurentienne désigne le nouvel Édifice de recherche, d'innovation et de génie en l'honneur de M. Clifford A. Fielding

La Laurentienne désigne le nouvel Édifice de recherche, d'innovation et de génie en l'honneur de M. Clifford A. Fielding

Un investissement de 3 000 000 $ de la famille Fielding permet d’édifier une installation de pointe

En l’honneur d’un investissement de 3 000 000 $ de Mme Lily Fielding et de sa famille, l’Université Laurentienne désignera son nouveau centre ultramoderne « Édifice de recherche, d’innovation et de génie Clifford A. Fielding ».

Pour souligner ce don, l’Université rendra également hommage à M. Jim Fielding, le fils décédé de Clifford et Lily Fielding. M. Jim Fielding croyait fermement dans l’enseignement et aimait beaucoup le rôle que joue la Laurentienne dans l’accès à celui-ci et la stimulation de l’activité économique et de l’innovation dans la Ville du Grand Sudbury, le nord de l’Ontario et ailleurs.

« La famille Fielding appuie ce projet depuis le début et a joué un rôle à part entière dans la réalisation de cette expansion fort nécessaire des locaux de recherche et d’innovation dans notre région, a déclaré le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux. Cliff a été un grand ambassadeur de notre ville et a encouragé la croissance innovatrice dans le nord. Sa famille marche dans ses traces et nous sommes fiers de désigner cet édifice en son honneur. »

L’investissement de Mme Lily Fielding et de sa famille a occupé une place importante au sein d’une proposition de financement dans le cadre d’un investissement stratégique annoncé par les gouvernements du Canada et de l’Ontario le 23 septembre 2016. Le projet totalise 60 700 000 $ et sera terminé en 2018.

« Nous sommes heureux d’aider l’Université Laurentienne à stimuler la croissance et l’innovation dans notre communauté, a dit le premier diplômé de l’Université Laurentienne à présider le Conseil des gouverneurs, M. Jamie Wallace. L’Édifice de recherche, d’innovation et de génie Clifford. A. Fielding aura une immense influence sur l’avancement de l’activité économique et de l’innovation dans la Ville du Grand Sudbury, le nord-est de l’Ontario et au-delà. »

Depuis longtemps, la famille Fielding fait des investissements dans la Laurentienne et la communauté sudburoise, dont un généreux don récent de Mme Lily Fielding qui a rendu possible la création du plus grand parc de la ville, le Parc Kivi. En outre, la famille Fielding a établi d’importantes bourses d’études à l’Université Laurentienne et à l’École de médecine du Nord de l’Ontario, y compris la Bourse d’études supérieures Clifford Fielding, la Bourse en gestion Brenda-Wallace et la Bourse commémorative Jim Fielding. En 1968, la générosité de la famille Fielding a permis la construction de la Chapelle commémorative Fielding de St. Mark à l’Université Thorneloe.

L’Édifice de recherche, d’innovation et de génie Clifford. A. Fielding inclura des locaux de recherche-développement en collaboration, d’innovation et de commercialisation ainsi que des locaux fort nécessaires pour l’École de génie Bharti primée, y compris quatre laboratoires Capstone d’innovation, un laboratoire d’analyse des matériaux, un laboratoire de mécanique environnementale et des sols, un atelier de conception de prototypes, un laboratoire de logiciels intégrés et amphithéâtre, et un laboratoire d’hydraulique et de mécanique des fluides. Chacun de ces locaux a été déterminé en consultation avec l’industrie locale afin d’optimiser les possibilités de collaboration interdisciplinaire.

Au sujet de Clifford A. Fielding

M. Cliff Fielding est né en 1915 dans la ferme familiale qui est maintenant le parc Fielding, dans le canton de Waters, et a été élevé à Copper Cliff. Entrepreneur à l’âge de 20 ans, il a créé une entreprise de transport de minerai et de gravier pour les entreprises minières et pour fournir des services de construction. À ses débuts, l’entreprise assurait le transport avec les chevaux de la ferme familiale et s’est peu après dotée d’un camion.

En 1950, Cliff Fielding Limited avait 50 employés et une flotte de 40 camions. M. Fielding avait alors établi Wavy Industries qui fabriquait du béton prêt à l’emploi et du mélange à ciment en vrac. À son décès, M. Fielding était président-directeur général de Waters Holding Corporation et avait des intérêts dans Alexander Centre Industries Limited (ACIL), Fisher Wavy Inc., Wavy Industries, Fisher Construction of Sudbury, et Fisher Harbour sur l’île La Cloche. Il a aussi été propriétaire de la Northern Ski Company qui a fabriqué des skis alpins et de fond de 1943 à 1950.

Réputé pour ses entreprises florissantes dans la région de Sudbury, M. Fielding a en outre travaillé pour le Canadian Pacific Railway et a siégé au Conseil de l’Hôpital Memorial et de l’Université Laurentienne (1964-1979). Il a reçu un doctorat honorifique ès sciences de l’Université Laurentienne et un autre en droit canon de l’Université Thorneloe.

Au sujet de Malcolm James (Jim) Fielding

Pour sa part, fier Sudburois né et élevé à Sudbury, M. Jim Fielding a présidé le Conseil d’Alexander Centre Industies Ltd. (ACIL), de la Waters Holding Corporation et de sociétés associées créées par son père en 1935.

Il a été élu au Conseil du Canadien Pacifique le 7 mai 1986 et y a siégé jusqu’en avril 2000 après y avoir été réélu à diverses reprises.

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années.

Les gouvernements fédéral et ontarien s'associent pour investir 27 400 000 dans l'infrastructure de la Laurentienne

Les gouvernements fédéral et ontarien s'associent pour investir 27 400 000 dans l'infrastructure de la Laurentienne

Volet d’un projet de 60 700 000 $ comprenant un nouvel Édifice de recherche, d’innovation et de génie

23 SEPTEMBRE 2016 Les gouvernements fédéral et ontarien investiront, respectivement, 21,1 et 6,3 millions de dollars dans l’infrastructure de recherche et d’innovation à l’Université Laurentienne. Inscrite dans le cadre d’un vaste programme d’immobilisations totalisant 60 700 000 $, lequel devrait s’achever en mars 2018, cette enveloppe de 27 400 000 $ viendra financer la construction immédiate d’un nouvel Édifice de recherche, d’innovation et de génie de 47 000 pieds carrés. L’annonce en a été faite aujourd’hui par les députés Marc Serré et Paul Lefebvre, la vice-première ministre, Deb Matthews, et le ministre de l’Énergie et député provincial de Sudbury, Glenn Thibeault.

 

« Le soutien substantiel reçu aujourd’hui, soit les 27 400 000 $ annoncés conjointement par les gouvernements fédéral et provincial, le plus grand soutien à l’infrastructure depuis la création de la Laurentienne il y a 56 ans, permet l’expansion de l’espace de recherche et d’innovation tant nécessaire dans notre région, a déclaré la présidente du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne, Mme Jennifer Witty. Grâce à cet investissement, nous bâtirons l’infrastructure nécessaire pour appuyer l’enseignement et la recherche, favoriser l’innovation et créer des possibilités pour les étudiants tout en renforçant l’économie. »

 

L’investissement fédéral se fait par le truchement du Fonds d’investissement stratégique pour les établissements postsecondaires annoncé dans le budget fédéral de 2016. Ce fonds, doté de 2 milliards de dollars, est destiné à stimuler la création d’emplois, à accroître les efforts de recherche et à cultiver l’innovation en améliorant, voire en modernisant, les installations de recherche dans les campus universitaires canadiens, tout en renforçant leur durabilité environnementale.

 

« Les établissements d’enseignement postsecondaire au Canada, affirme le ministre de l’Innovation, des Sciences et du Développement économique, l’honorable Navdeep Bains, sont des agents de première ligne dans la promotion de la science et de l’excellence en recherche. Ils aident à former la main-d’œuvre de demain et à créer pour le secteur privé et les décideurs les connaissances et les perspectives nécessaires à l’édification d’une économie florissante et verte. L’Université Laurentienne s’est dotée des plans ambitieux, créateurs d’emplois bien rémunérés dans cette collectivité et porteurs de croissance économique pour les années à venir. »

 

L’investissement provincial comprend un apport de 5 000 000 $ de la Société de gestion du Fonds du patrimoine du Nord de l’Ontario. « Le gouvernement de l’Ontario est fier d’appuyer ce projet d’envergure qui se traduira par de nouvelles installations nécessaires pour préparer les étudiants à une carrière fructueuse dans les domaines du génie et de la recherche, a déclaré la ministre ontarienne de l’Enseignement supérieur et de la Formation professionnelle, l’honorable Deb Matthews. Grâce à ces investissements, les membres de la population étudiante, du corps professoral et du personnel travailleront dans des installations ultramodernes qui feront avancer la recherche de pointe du pays et favoriseront tant l’apprentissage à vie que la formation professionnelle. »

 

Le nouvel édifice de recherche, d’innovation et de génie sera situé entre les édifices Parker et Fraser du campus de Sudbury et comprendra ce qui suit :

 

  • Espace coopératif de recherche et développement, permettant aux chercheurs de l’Université de mettre en commun l’équipement et les compétences voulues pour exploiter des instruments très spécialisés.
  • Espace d’innovation et de commercialisation pour aider les nouvelles entreprises à combler le fossé actuel entre le laboratoire et le marché. Pour ce faire, l’Université mettra à profit son partenariat avec le Northern Centre for Advanced Technology (NORCAT).
  • Quatre laboratoires d’innovation Capstone permettant aux étudiants de génie civil, chimique, mécanique et minier de mettre leurs connaissances et compétences à l’œuvre et de s’attaquer à des problèmes de conception créative de véritables clients.
  • Un laboratoire d’analyse de matériaux pour appuyer les chercheurs, les étudiants et les partenaires de l’industrie dans le domaine de l’analyse chimique ainsi que dans les essais mécaniques, métallurgiques, de corrosion, de traitement thermique et de capacité.
  • Un laboratoire d’études environnementales et de mécanique des sols, équipé d’instruments, de salles d’environnement et d’autres équipements spécialisés, pour appuyer la recherche, l’innovation et les partenaires de l’industrie dans la conception des structures de fondation et en terre et aborder des problèmes dans plusieurs domaines (chimie de l’eau, microbiologie environnementale, processus physiques et chimiques, procédés microbiologiques) de même que de l’équipement d’analyse et de systèmes de traitement en laboratoire.
  • Un atelier de développement de prototypes et de construction mécanique pour favoriser les travaux d’innovation nécessitant des installations physiques.
  • Un laboratoire de logiciels et une salle de conférence intégrés, équipés pour les activités assistées par ordinateur et les logiciels d’ingénierie. Cette capacité supplémentaire permettra aux étudiants en génie civil de finir les années 3 et 4 à l’Université Laurentienne et pourra accueillir les étudiants bilingues en génie qui doivent actuellement aller ailleurs, de 400 à 600 km, pour se diplômer.
  • Un laboratoire de circuits hydrauliques et de mécanique des fluides permettant aux étudiants en génie d’en apprendre plus et de faire des recherches sur les débits fluidiques à canal ouvert et fermé.

« Au cours des dix dernières années, l’Université Laurentienne a reçu plus de 200 000 000 $ en fonds de recherche tandis que, au cours de la même période, les inscriptions à l’École de génie Bharti, un établissement primé, ont augmenté, passant de 100 à 700 étudiants, indique le recteur et vice-chancelier, M. Dominic Giroux. Nous avons un rôle important à jouer dans le soutien à la recherche et à l’innovation en créant des possibilités à la fois pour les étudiants et les partenaires de l’industrie. Le soutien reçu des gouvernements fédéral et provincial nous aidera certainement à répondre à ces impératifs. »

 

Outre le nouvel Édifice de recherche, d’innovation et de génie, le programme d’immobilisations de l’UL, chiffré à 60 700 000 $, la verra investir dans une nouvelle Unité de recherche cardiovasculaire et métabolique, un nouveau service aux étudiants à guichet unique, un nouveau Centre autochtone de partage et d’apprentissage, les rénovations de cinq laboratoires de la Faculté des sciences de la santé et une nouvelle toiture à la Bibliothèque J.N.-Desmarais. Cela comprend aussi un partenariat de 11 200 000 $ avec Greater Sudbury Utilities dans le cadre d’une initiative de cogénération devant moderniser les systèmes de chauffage de l’Université, à l’échelle du campus, à la suite de la mise en place d’un réseau urbain, à haute efficacité énergétique, axé sur la production combinée de chaleur et d’électricité, une initiative qui permettra à l’UL de réduire sa consommation d’électricité de 79 %.

 

D’après une étude réalisée par le cabinet KPMG, l’activité économique directe tributaire de ce projet, en résultats économiques bruts, est estimée à plus de 102 000 000 $, dont 54 000 000 $ en contribution au produit intérieur brut du Canada. Par ailleurs, le projet devrait appuyer 625 années-personnes d’emploi.

 

Le projet RIG (Recherche, innovation et génie) de la Laurentienne a été développé de concert et en réponse aux besoins propres à la collectivité et recensés, entre autres, par la Ville du Grand Sudbury, la Chambre de Commerce du Grand Sudbury, la SAMSSA (Sudbury Area Mining Supply and Service Association), Greater Sudbury Utilities, Horizon Santé-Nord, Science Nord, NORCAT - Sudbury Innovation Centre, le Conseil consultatif mondial de l’École de génie Bharti et le Conseil de l’Université Laurentienne pour la formation des Autochtones (CULFA). La Laurentienne a reçu plus de 50 lettres d’appui des partenaires de la collectivité et de l’industrie. Pour en savoir plus sur le projet, cliquez ici

Nouvelle école d'innovation universitaire dans le Nord de l'Ontario

Nouvelle école d'innovation universitaire dans le Nord de l'Ontario

L’Université Laurentienne et le CSPGNO renforcent les services et le continuum d’études en langue française.

14 juin 2016 – Le Conseil scolaire public du Grand Nord de l’Ontario (CSPGNO) et l’Université Laurentienne annoncent aujourd’hui la création d’une école d’innovation universitaire située à l’École publique Jeanne-Sauvé, dans la Ville du Grand Sudbury.

 

Dès septembre 2016, cette école d’innovation universitaire sera un espace où professeurs et étudiants de l’Université Laurentienne mèneront des activités visant à :

  1. mettre en œuvre diverses initiatives de recherche proposées par la Laurentienne et le CSPGNO;
  2. faciliter la formation des étudiants de la Laurentienne et du personnel du CSPGNO;
  3. mettre en place des projets d’intervention menés sur le site de l’École publique Jeanne-Sauvé;
  4. diffuser à la communauté scolaire le résultat des projets et travaux de recherche entrepris.    

 

L’école d’innovation universitaire bénéficiera de nombreuses expertises fournies par les professeurs et étudiants de l’Université Laurentienne dans les domaines suivants : l’activité physique, l’éducation, l’orthophonie, les sciences infirmières et le service social.

 

Citations

« Cette nouvelle collaboration entre le Conseil scolaire public du Grand Nord de l’Ontario et l’Université Laurentienne améliore les services offerts à nos élèves et les sensibilise davantage aux possibilités qu’ils ont de poursuivre leurs études postsecondaires en français. »

Marc Gauthier, directeur de l’éducation, Conseil scolaire public du Grand Nord de l’Ontario   

 

« La mise sur pied de cette nouvelle école d’innovation universitaire permet aux étudiants de plusieurs  programmes offerts en français à l’Université Laurentienne d’obtenir une expérience communautaire supplémentaire qui bonifie leur formation tout en augmentant leurs compétences collaboratives et interdisciplinaires. »

Dominic Giroux, recteur et vice-chancelier, Université Laurentienne

La Laurentienne nomme M. Craig Fowler au poste de vice-recteur associé aux partenariats de recherche, à l'innovation et au développement économique

La Laurentienne nomme M. Craig Fowler au poste de vice-recteur associé aux partenariats de recherche, à l'innovation et au développement économique

Fowler sera responsable de développer de nouvelles collaborations de recherche à grande échelle

3 mars 2016 – L’Université Laurentienne est fière d’annoncer que M. Craig Fowler assumera le rôle de vice-recteur associé aux partenariats de recherche, à l’innovation et au développement économique à l’Université Laurentienne.


M. Fowler sera responsable de développer de nouvelles collaborations de recherche à grande échelle afin de faire avancer les objectifs de l’Université et de favoriser l’innovation et le développement économique dans les communautés qu’elle sert. Dans son Plan stratégique, l’Université Laurentienne s’est fixé le but d’augmenter le total annuel de recherches subventionnées de 21 900 000 $ en 2010 à 30 000 000 $ d’ici 2017.

 

« Nous sommes ravis de l’expérience et de la vision qu’apporte Craig à ce dossier, a dit le vice-recteur à la recherche à l’Université Laurentienne, M. Rui Wang. Nos objectifs de recherche seront bien servis par son expertise à rassembler de grands partenaires subventionnaires dans le cadre d’importantes collaborations, et ses connaissances intimes de la Laurentienne. »

 

Depuis 2012, M. Fowler est vice-recteur associé à l’administration et aux relations extérieures à l’Université Laurentienne. Avant de se joindre à la Laurentienne, il a exercé de nombreux rôles de direction au ministère de la Recherche et de l’Innovation de l’Ontario, y compris à titre de directeur des collaborations scientifiques et de recherche et directeur de la Direction de la recherche. Il a dirigé le Programme d’innovation de l’Ontario et a travaillé auprès du Conseil ontarien de la recherche et de l’innovation, assurant l’orientation du développement des programmes de soutien à la recherche et à l’innovation. Il a géré des programmes de recherche et d’innovation totalisant plus de 1,5 milliard de dollars et dirigé les activités internationales de rayonnement de la recherche et de l’innovation au moyen d’ententes de plusieurs millions de dollars avec la Chine, l’Inde, l’Israël, la Catalogne, l’Illinois et la Californie. Par la suite, il a mené, au nom du ministère des Finances, la Commission de la réforme des services publics de l’Ontario et a été le directeur de la gestion des risques auprès du Secrétariat des Jeux panaméricains et parapanaméricains.

 

Titulaire d’un baccalauréat en planification urbaine et d’une maîtrise en développement économique de l’Université de Waterloo, M. Fowler a entrepris sa carrière en développement économique à la ville de Richmond Hill.

 

« La Laurentienne vise des objectifs ambitieux en matière de recherche, a exprimé M. Fowler, et j’ai hâte de mettre à profit mon expérience pour appuyer la recherche et l’innovation. »

 

Le recteur et vice-chancelier de la Laurentienne, M. Dominic Giroux, a annoncé la nomination lors d’un repas organisé par la Chambre de commerce du Grand Sudbury mettant en vedette le conférencier, M. Paul Davidson, PDG d’Universités Canada. Pendant son exposé, M. Davidson soulignait combien les entreprises d’aujourd’hui ont besoin d’être souples, réceptives et visionnaires pour cadrer avec les défis qui émergent et, en nouant des partenariats avec les universités, elles se procurent un avantage concurrentiel. Il a discuté du rôle des universités dans le développement d’habiletés, de connaissances et d’innovation dont le Canada a besoin pour faire concurrence, percer de nouveaux marchés et commercialiser plus rapidement les nouvelles idées. En outre, il a illustré les façons dont l’enseignement supérieur accroit la prospérité au moyen des recherches, de l’innovation et de l’apprentissage expérientiel et comment mettre à contribution les universités afin de renforcer les entreprises, communautés et régions du Canada.

 

« La nomination de M. Craig Fowler dans ce nouveau rôle de vice-recteur associé aux partenariats de recherche, à l’innovation et au développement économique à la Laurentienne s’aligne directement sur la vision articulée aujourd’hui par M. Davidson à la Chambre de commerce du Grand Sudbury, a expliqué M. Giroux. Elle fait écho aussi aux perspectives exprimées plus tôt cette semaine par M. Greg Fergus, secrétaire parlementaire du ministre de l’Innovation, des Sciences et du Développement économique, lorsqu’il a lancé avec nous la Semaine de la recherche 2016 à la Laurentienne. »

 

La présidente de la Chambre de commerce du Grand Sudbury, Mme Karen Hourtovenko, s’est réjouie de l’annonce. « L’un des trois objectifs énoncés dans le Plan stratégique 2015-2017 de la Chambre est de créer de puissants agents de changement, a-t-elle ajouté. Nous voulons cultiver des champions communautaires et favoriser des actions positives pour faire prospérer la communauté. La Chambre est heureuse de voir l’Université Laurentienne redoubler d’efforts encore une fois pour rehausser les partenariats, l’innovation et le développement économique et nous nous réjouissons à la perspective de collaborer avec M. Fowler dans son nouveau rôle. »

 

Pour consulter le Plan stratégique de recherche 2012-2017 de l’Université Laurentienne, veuillez appuyer sur cet hyperlien : Plan stratégique de recherche.

La Laurentienne crée un nouveau centre de recherche en innovation et technologie minières

La Laurentienne crée un nouveau centre de recherche en innovation et technologie minières

Innovation et technologie minières Laurentienne (ITML), coordonnera et incitera toutes les recherches dans le domaine minier.

19 février 2016 – L’Université Laurentienne a annoncé une nouvelle initiative de recherche en innovation et technologie minières, ITML, qui synchronisera et optimisera les activités de recherche et d’innovation dans tous les aspects de l’exploitation minière et de l’exploration minérale à l’Université Laurentienne.

 

Cette initiative, appelée Innovation et technologie minières Laurentienne (ITML), coordonnera et incitera toutes les recherches dans le domaine minier menées dans les centres de recherche primés de la Laurentienne, notamment le Centre de recherche sur l’exploration minérale (CREM), le Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail (CRSST), le Centre pour la vitalité des lacs Vale (CVLV) et la Société de recherche appliquée en innovation minière et de réhabilitation (MIRARCO).

 

L’Université Laurentienne se classe déjà au premier rang au Canada en ce qui concerne le financement fourni par le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie (CRSNG) en géologie économique et géophysique appliquée, et au premier rang en Ontario pour le financement du CRSNG en exploitation minière et transformation des minéraux. Une deuxième prestigieuse Chaire de recherche du Canada a été créée en 2013 au Centre pour la vitalité des lacs Vale, et une Chaire de recherche en santé et sécurité au travail a été établie au Centre de recherche en santé et sécurité au travail en 2015.

 

Avec ITML, l’Université Laurentienne offre maintenant un guichet unique pour ses recherches en exploitation minière et exploration minérale. L’intégration et la synchronisation aideront à générer de nouvelles possibilités de recherches sur l’exploitation minière et à coordonner les relations de la Laurentienne avec des partenaires externes en recherche et innovation minières afin d’accélérer sa progression.

 

Le président-directeur général de MIRARCO, M. Vic Pakalnis, a été nommé vice-président associé d’ITML. « Nous aiguisons, dit-il, notre accent sur la recherche en exploitation minière tout en solidifiant la position de la Laurentienne en tant que chef de file confirmé de la recherche en ce domaine au Canada. »

 

L’honorable Reza Moridi, ministre de la Recherche et de l’Innovation et ministre de la Formation et des Collèges et Universités, applaudit l’initiative. « Notre gouvernement appuie et encourage les collaborations innovatrices en recherche dans les établissements postsecondaires de l’Ontario, et l’Université Laurentienne fait preuve d’un leadership exemplaire en créant Innovation et technologie minières Laurentienne. Cette initiative stimulera la recherche et l’innovation dans le domaine de l’exploitation minière et des minéraux et contribuera à améliorer l’économie de l’Ontario fondée sur le savoir. »

 

« Le talent et la vision hors pair des équipes de recherche de la Laurentienne et cette approche stratégique prioritaire font de la Laurentienne un chef de file mondial en recherche et innovation en exploration minérale et exploitation minière, a indiqué le vice-recteur à la recherche à l’UL, M. Rui Wang. Nous nous réjouissons du potentiel d’ITML pour renforcer encore l’excellence de nos recherches en exploitation minière. Sa création permettra à la Laurentienne de travailler plus efficacement avec ses partenaires communautaires et de l’industrie pour s’aligner sur la Stratégie ontarienne d’exploitation des minéraux renouvelée récemment (en 2015). »

 

Cliquez sur le lien ci-dessous pour consulter le Plan stratégique de recherche 2012-2017 de l’Université Laurentienne.

Plan stratégique de recherche.

Un nouveau bureau aidera les jeunes entrepreneurs sur les campus de Sudbury

Un nouveau bureau aidera les jeunes entrepreneurs sur les campus de Sudbury

L’Université Laurentienne s’allie avec le Collège Cambrian, le Collège Boréal et la division Innovation Mill de NORCAT pour offrir un nouveau programme

 

 22 décembre 2014) – Un coordonnateur à temps plein de l’entrepreneuriat embauché à l’Université Laurentienne travaillera pour établir une solide culture dynamique pour les étudiants du palier postsecondaire et les récents diplômés de la région du Grand Sudbury. 

Le poste a été créé grâce à une subvention du Programme des activités d’entrepreneuriat sur les campus (PAEC) accordée à l’Université Laurentienne, avec laquelle collaboreront le Collège Cambrian, le Collège Boréal et le Northern Centre for Advanced Technology (NORCAT). Le nouveau coordonnateur de l’entrepreneuriat, M. Matthieu Dasys, concevra et instaurera un programme pour promouvoir une solide culture d’entrepreneuriat dans les quatre établissements en créant des possibilités d’apprentissage par l’expérience pour les étudiants et les récents diplômés et en les aidant à lancer de nouvelles entreprises. 

« Il y a dans notre région tellement de jeunes entrepreneurs intelligents et enthousiastes qui ont de brillantes idées, explique M. Dasys, qui a obtenu un baccalauréat spécialisé en commerce en 2014 de l’Université Laurentienne. Je suis convaincu que nous pouvons les aider à perfectionner leurs idées, à mettre leurs modèles à l’essai et à lancer des entreprises viables avec le soutien de ce programme. » 

Financé par la Stratégie ontarienne d’emploi pour les jeunes et géré par les Centres d’excellence de l’Ontario, le PAEC vise à stimuler l’esprit d’entrepreneuriat et à cultiver les possibilités d’innovation en Ontario pour les jeunes. 

« Promouvoir l’esprit d’entrepreneuriat chez les étudiants, au moyen de programmes qui aident à transférer leurs idées et compétences sur le marché tout en créant des carrières satisfaisantes, est une composante clé de la Stratégie ontarienne d’emploi pour les jeunes, a déclaré M. Reza Moridi, ministre de la Formation et des Collèges et Universités de l’Ontario. En nous alliant avec des collèges et des universités pour appuyer l’entrepreneuriat, nous faisons en sorte que les chefs de file des affaires de demain de notre province obtiennent le soutien dont ils ont besoin pour réussir aujourd’hui. » 

Parmi les initiatives et les possibilités d’apprentissage dirigées par le Bureau des activités d’entrepreneuriat sur les campus figurent des camps de formation intensive et des séminaires sur le développement et le financement des affaires, des exposés de conférenciers, des possibilités de stages et de mentorat, et une mine de modèles de pratiques exemplaires. La subvention du PAEC financera le poste de décembre 2014 à novembre 2016. 
 

 « Ce programme a été créé pour aider les étudiants qui désirent créer et élargir de nouvelles entreprises, a dit le président du Collège Boréal, M. Pierre Riopel. La promotion des initiatives d’entrepreneuriat intéresse indubitablement les trois établissements postsecondaires. Le Collège Boréal appuie fièrement toutes les activités qui facilitent le partenariat et la collaboration des établissements d’enseignement. » 

« Ce financement gouvernemental fort bienvenu pave la voie de la collaboration des trois établissements postsecondaires de Sudbury pour aider les entrepreneurs de notre ville, a déclaré le président du Collège Cambrian, M. Bill Best. Les petites entreprises sont les composantes de base de la croissance économique de nos communautés, et en aidant nos étudiants et nos diplômés avec cette nouvelle subvention du PAEC, nous prenons une mesure importante pour assurer leur succès. » 

« Innovation Mill de NORCAT se réjouit de faire partie de l’initiative des Activités d’entrepreneuriat sur les campus ici à Sudbury, a affirmé M. Kyle McCall, coordonnateur d’Innovation Mill de NORCAT. Nous travaillerons volontiers avec la Laurentienne, Cambrian et Boréal et les aiderons à encourager l’entrepreneuriat sur leurs campus. » 

« Les Centres d’excellence de l’Ontario sont heureux de pouvoir exécuter ce projet à titre de partenaires qui jouissent de la confiance du gouvernement de l’Ontario, a ajouté M. Tom Corr, directeur général des Centres d’excellence de l’Ontario. Je me réjouis à la perspective de mettre à profit nos années d’expérience dans la liaison entre le monde universitaire et le secteur des affaires, et d’aide permanente aux jeunes entrepreneurs pour faire de cette initiative un immense succès. » 

Essai majeur sur le terrain du système d'énergie solaire conçu à Sudbury

Essai majeur sur le terrain du système d'énergie solaire conçu à Sudbury

Un système de cellules photovoltaïques, productrices d’énergie propre, sera déployé au large des côtes de Malte

19 août 2014) – Un concept innovateur et porteur d’économies énergétiques, en ce qu’il permet de canaliser l’énergie solaire propre vers diverses applications, aura son premier grand essai sur le terrain dans la mer Méditerranée, au large de l’île de Malte, au début de 2015. Conçu et développé par des chercheurs de MIRARCO et de l’Université Laurentienne à Sudbury, ce projet pilote est soutenu par le gouvernement de Malte, le Collège des arts, de la science et de la technologie de Malte ainsi que d’autres partenaires de recherche.

 

Ce projet intitulé « Offshore Passive Photo-voltaic » (OPPV, système photovoltaïque passif extracôtier) verra produire de l’énergie des panneaux solaires minces (cellules photovoltaïques) flottant à la surface de l’eau. Le rayon de panneaux, mesurant environ 20 mètres sur 20 mètres, devrait atteindre une puissance maximale de 8 kW, un régime suffisant pour alimenter deux maisons types de trois chambres.

 

« L’objectif du projet pilote est de trouver pour Malte d’autres moyens de produire de l’énergie propre, vu qu’elle est une petite île et ne dispose pas d’espace terrestre où installer des panneaux solaires, explique Mme Kim Trapani, chercheuse chez MIRARCO. Nous estimons que notre système constitue une avancée importante par rapport à d’autres formes d’énergies marines renouvelables, comme l’énergie éolienne en mer, les installations photovoltaïques rigides en mer, l’énergie houlomotrice et l’énergie marémotrice. Les panneaux photovoltaïques flottants ne posent pas de risque de collision et ne nécessitent que très peu d’entretien. »

 

Originaire de Malte, Mme Trapani a obtenu un doctorat à l’Université Laurentienne sous la direction de M. Dean Millar, professeur à l’École de génie Bharti et titulaire de la Chaire de recherche MIRARCO en énergie dans le secteur minier, qui s’intéresse tout particulièrement aux applications potentielles du projet OPPV dans le secteur minier.

 

« Les mines, où qu’elles se trouvent, tendent à consommer d’importantes quantités d’énergie pour assurer la production minérale, a précisé M. Millar. Le projet pilote maltais est une première mondiale qui vise à prouver la technologie PV à couches minces dans l’environnement marin d’eau saline, mais il a également été conçu comme un système de production d’électricité pour les mines. C’est-à-dire que les panneaux stratifiés flexibles flotteront sur la surface de l’eau de bassins de résidus et, de ce fait, pourraient former une barrière isolant la faune des eaux de résidus, tout en produisant de l’électricité pour la mine. »

 

Par ailleurs, ces deux chercheurs ont publié une étude semblant indiquer que, pour les mines éloignées comme celles de la région de la Ceinture de feu, le coût du kilowattheure produit par les systèmes photovoltaïques est inférieur au coût d’installation et d’exploitation des générateurs au diesel. « Notre technologie OPPV pourrait avoir pour l’industrie minière, en particulier les sites miniers éloignés, des répercussions qui changent la donne en mettant en place, avec relativement peu d’infrastructures, selon les besoins, un système d’énergie propre et bon marché, a indiqué M. Millar. Ces projets pilotes apporteront la preuve de la fiabilité à long terme de la technologie. »

Fondation canadienne pour l’innovation : fonds à l’appui de la recherche à la Laurentienne

Fondation canadienne pour l’innovation : fonds à l’appui de la recherche à la Laurentienne

Le titulaire de la Chaire de recherche du Canada en nanomatériaux polymères, M. Zhibin Ye, reçoit une bourse de recherche

14 avril 2014 – L’Université Laurentienne est fière de féliciter M. Zhibin Ye (Ph.D) qui a reçu une bourse de recherche du Fonds des chefs de file John R. Evans.

 

Cette bourse, d’un montant de 83 112 $, annoncée aujourd’hui à Ottawa par la Fondation canadienne pour l’innovation (FCI), viendra renforcer le soutien au développement de divers nanomatériaux polymères destinés à des applications avancées.

 

Professeur de l’École de génie Bharti ainsi qu’au Département de chimie et biochimie de l’Université Laurentienne, M. Zhibin Ye et son équipe s’emploient depuis à développer de nouvelles applications de ces matériaux, notamment des matériaux d’électrode nanostructurée pour le stockage d’énergie dans des supercondensateurs, des nanobaguettes d’or fonctionnalisées pour le traitement de cancer et des catalyseurs métalliques nanocompartimentés pour réactions chimiques.

 

« Les applications potentielles des travaux du professeur Ye sont impressionnantes et pourront même changer la donne dans de très nombreux domaines, a indiqué le doyen intérimaire de la Faculté des sciences et du génie, M. Osman Abou-Rabia. Nous tenons à le féliciter, de même que son équipe, pour cette nouvelle marque de distinction que leur a value leur recherche importante. »

 

Mis à disposition par l’entremise de la Fondation canadienne pour l’innovation, le Fonds des chefs de file John R. Evans (anciennement Fonds des leaders) aide les établissements canadiens à attirer et à fidéliser des chercheurs de premier plan, aujourd’hui et demain, en leur offrant la possibilité de :
 

  • se doter d’infrastructure permettant aux professeurs éminents de mener des recherches de pointe;
     
  • créer à l’appui de la recherche des programmes compétitifs sous la forme d’infrastructure, de même qu’une partie des coûts d’exploitation et d’entretien financés par la FCI, et des coûts directs de la recherche couverts par les organisations partenaires.