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Pleins feux sur les diplômés : Sophie Tremblay conjugue études, excellence sportive et leadership étudiant

Pleins feux sur les diplômés : Sophie Tremblay conjugue études, excellence sportive et leadership étudiant

Les cérémonies de collation des grades sont la consécration des réalisations des étudiants finissants. Ce printemps, la Laurentienne félicitera ses diplômés au fil des cérémonies qui auront lieu du 2 au 6 juin à l’Auditorium Fraser.

(28 mai 2025) – Alors que Sophie Tremblay traverse la scène pour recevoir son baccalauréat ès arts en psychologie ce printemps, elle laisse un héritage de leadership, de résilience et de réussite sportive.

Fière francophone et Métisse ayant des racines ancestrales dans la région de Mattawa, Sophie a préparé son baccalauréat avec une mineure en sociologie, tout en participant à des épreuves au plus haut niveau du sport universitaire et étant membre active du Cercle des étudiants autochtones.

Née à Sudbury (Ontario), Sophie a déménagé à Ottawa avec sa famille lorsqu’elle a commencé la troisième année. Ayant grandi dans une famille de skieurs, elle a skié dès qu’elle a su marcher et a passé beaucoup de temps à explorer les sentiers de la Laurentienne pendant sa jeunesse. Cependant, ce n’est qu’au secondaire, lorsqu’elle est retournée à Sudbury pour une compétition de ski, qu’elle a réalisé à quel point le campus correspondait parfaitement à ses futurs objectifs scolaires et sportifs. « Je me souviens avoir été surprise, car je connaissais Sudbury et je venais souvent voir ma famille, mais c’était la première fois que je me rendais compte qu’il y avait une université, une forêt et des pistes de ski juste en face, explique Sophie. Je pensais que serait formidable d’étudier sur un campus pittoresque dans la nature avec des possibilités de ski et de course et tous ces lacs qui l’entourent. C’est tellement magnifique. »

Bien que l’Université Laurentienne soit restée sa destination postsecondaire de rêve, une équipe de ski de fond à Thunder Bay l’a poussée à choisir Lakehead pour ses études. Par contre, en 2020, la pandémie a eu des répercussions sur les méthodes d’enseignement ainsi que sur les possibilités de participer à des activités sportives et sociales. « C’était une période étrange, exprime-t-elle, et j’ai décidé de retrouver ma famille en troisième année, car mes parents étaient revenus à Sudbury pendant la pandémie. »

Une fois à la Laurentienne et pendant les trois années suivantes, Sophie est devenue un membre clé de l’équipe de ski nordique. Elle a participé aux championnats des Sports universitaires de l’Ontario et a représenté la Laurentienne et le Canada aux Jeux mondiaux universitaires de la FISU en 2023 et en 2025. « Représenter la Laurentienne sur la scène mondiale a été tout un honneur, dit-elle. Le soutien de mes coéquipières et de mes entraîneurs a fait toute la différence. Je recommande toujours aux gens d’essayer le ski de fond, car c’est un sport vraiment enrichissant. »

Au-delà du sport, Sophie a été leader étudiante et porte-parole dévouée. Elle a été représentante des Métis et secrétaire auprès du Cercle des étudiants autochtones, tout en représentant les étudiants autochtones et métis au sein du Conseil de l’Université Laurentienne pour la formation des Autochtones et du Comité du Plan stratégique de recherche. « Ces rôles m’ont permis de rencontrer de nombreux étudiants et leaders communautaires inspirants, explique-t-elle. J’en ai beaucoup appris sur les traditions des Premières Nations et l’importance de la représentation culturelle en éducation, tout en approfondissant ma compréhension de mon identité et de mes racines. »

La prochaine étape pour Sophie est de suivre le programme de formation médicale de premier cycle à l’Université de l’École de médecine du Nord de l’Ontario (EMNO), cet automne. Ce programme propose aux étudiants une combinaison inégalée d’occasions d’apprentissage dans divers milieux, y compris des communautés autochtones et francophones, ce qui lui convient parfaitement.

Selon Sophie, sa participation à la gouvernance autochtone sur le campus a permis de définir ses aspirations professionnelles. Elle souhaite maintenant poursuivre des études supérieures axées sur l’éducation autochtone.

Alors qu’elle se prépare à obtenir son diplôme, Sophie repense aux personnes et aux expériences qui ont marqué son séjour à la Laurentienne. « Je suis profondément reconnaissante envers tous les gens qui m’ont appuyée, souligne-t-elle. Faire partie de la communauté Laurentienne m’a aidée à évoluer à bien des égards. Je suis tellement heureuse qu’on m’ait encouragée à participer à la vie étudiante, car faire du bénévolat, siéger à un comité ou participer à une activité… toutes ces expériences sont précieuses. J’ai hâte de voir maintenant ce que l’avenir me réserve. »

Des élèves du palier secondaire en Ontario acquièrent des crédits en suivant des cours de droit et justice à l’Université Laurentienne

Des élèves du palier secondaire en Ontario acquièrent des crédits en suivant des cours de droit et justice à l’Université Laurentienne

Une douzaine d’élèves de 12e année s’inscrivent à des cours universitaires dans le cadre d’un projet pilote

(26 mai 2025) – Des élèves de la 12e année d’écoles secondaires de langue française ont récemment profité de l’offre de cours universitaires en droit et justice à l’Université Laurentienne dans le cadre d’un projet pilote.

Grâce au soutien de l’École des arts libéraux, de la professeure agrégée, Stéphanie Martens, Ph.D., et du professeur titulaire, Michel Giroux, Ph.D., l’initiative a permis à des élèves de 12e année, de la filière préuniversitaire (4U), de s’inscrire aux cours Introduction à l’étude du droit (JURI 1106) et Introduction au droit criminel (JURI 1107). Les élèves admissibles ont pu suivre ces cours gratuitement, leur donnant un avant-goût des études postsecondaires.

Le Bureau des affaires francophones de la Laurentienne a collaboré étroitement avec la Faculté des arts afin de faciliter l’accès à ces cours. Spécialiste de l’innovation et du développement, Patrick Venne a aidé à coordonner les efforts des écoles secondaires et des conseils scolaires concernés. « Les membres du personnel des écoles secondaires sont des héros et travaillent d’arrache-pied afin de répondre aux besoins de leurs élèves, affirme-t-il. Cette initiative se veut un moyen de permettre aux élèves 4U de suivre des cours auxquels ils n’auraient pas nécessairement accès autrement. »

Au parachèvement, les élèves ont reçu une attestation officielle du Secrétariat général de l’Université permettant d’inscrire ces cours de trois crédits à leurs relevés de notes officiels lors de leur inscription officielle à la Laurentienne, le cas échéant. 

En collaboration avec les facultés, le Bureau des affaires francophones examine la possibilité de reprendre ce projet à une plus grande échelle afin d’accroître la participation.

« Être francophone en milieu minoritaire, ça veut dire qu’il faut innover et collaborer afin de survivre, ajoute M. Venne. Nous devons travailler de concert avec les conseils scolaires, les organismes communautaires et les familles de nos communautés. L’Université Laurentienne y est pour soutenir les francophones. Ce n’est pas toujours facile, mais nous avons de la chance à faire partie du précieux réseau qu’est la francophonie. »

« Quelle belle occasion d’apprentissage pour nos élèves qui ont participé à cette initiative, a exprimé la conseillère en orientation, Brigitte Raymond, de l’École secondaire MacDonald-Cartier à Sudbury. Ils ont fort apprécié l’expérience, qui leur a donné un aperçu de ce que sera la vie au postsecondaire et les a mieux outillés pour cette prochaine étape de leur parcours d’études. »

Ce projet illustre l’engagement de l’Université Laurentienne envers une formation accessible, inclusive et innovatrice, tout particulièrement à l’intention des apprenants francophones. En comblant l’écart entre les études secondaires et postsecondaires, cette initiative autonomise les élèves tout en renforçant l’écosystème scolaire francophone de l’Ontario. Alors que l’élargissement du projet se concrétise, ce modèle est susceptible de devenir une voie de transformation pour la réussite des étudiants.

Échos du passé - À la découverte de la religion, de l’histoire et de l’horreur.

Échos du passé - À la découverte de la religion, de l’histoire et de l’horreur.

M. Todd Webb (Ph.D.) donne un aperçu des questions qui interpellent sa classe.

28 octobre 2024 - Dans un monde où l’histoire semble souvent lointaine et décousue, M. Todd Webb fait revivre le passé à ses étudiants de l’Université Laurentienne. Spécialiste de l’histoire de l’Atlantique, en particulier du XVIIIe et du XIXe siècle, il examine des domaines souvent négligés par l’histoire classique comme le conflit qui opposait les mouvements conservateurs et radicaux au sein de l’Église méthodiste. Ses connaissances de l’histoire et de la religion fascinent les étudiants et fournissent une analyse intéressante de la manière dont l’horreur religieuse captive le public dans la culture populaire.

Rompu à l’art de tisser des histoires humaines en narrations sociopolitiques complexes, M. Webb fait de l’histoire plus qu’un simple sujet d’étude, puisqu’il y voit une panoplie de vécus humains que les étudiants ne peuvent s’empêcher d’explorer. Parmi ses nombreux cours figurent des cours d’histoire générale et des études approfondies portant sur les premiers temps de la Révolution française. Son approche pédagogique, en replaçant les événements historiques dans le cadre de récits intemporels de révolutions, de contre-révolutions et de bouleversements, interpelle les étudiants. « Les histoires de vie humaine les accrochent vraiment, dit-il, et les aident à contextualiser les questions complexes de manière compréhensible. »

Alors qu’il souligne l’importance de bonnes capacités de rédaction et de pensée critique pour tous les étudiants, il encourage un dialogue plus poussé en classe afin qu’ils apprennent à se garder de tirer des conclusions hâtives sur l’histoire. « Je veux que les étudiants puissent creuser le sens profond du passé, qu’ils réfléchissent vraiment aux moteurs de certains choix et qu’ils aillent au-delà de la surface en cherchant à comprendre le contexte qui a conduit à de grands événements historiques. »

Pour favoriser ce dialogue, il soulève des questions comme : « Y a-t-il dans la dynamique religion-horreur un sens plus profond? » M. Webb, qui s’intéresse avant tout à l’histoire des religions et qui, à plus forte raison, explique pourquoi la religion et l’horreur suscitent tant d’intérêt dans la culture populaire est d’avis que le phénomène remonte loin, à savoir à une branche de la théologie appelée « théodicée », qui s’attaque à la question suivante : si Dieu est tout-puissant, pourquoi le mal existe-t-il? Cette question est profondément ancrée dans les enseignements religieux et la morale.

Il rappelle comment certains des revivalistes (personnes se trouvant à la tête d’un réveil religieux), qu’il étudie, ont usé de la terreur religieuse pour faire régner la peur au sein des assemblées. L’une des figures notables en la matière est James Caughey, un revivaliste américain réputé pour ses prédications animées et à forte charge émotionnelle. « Il allait de ville en ville, explique le professeur, exploitant la peur de l’enfer et du diable pour effrayer les gens et les faire entrer dans l’église. »

À l’automne 2024 sortiront en salles trois films d’horreur, dont deux à thème religieux. Le film « Heretic » retrace l’histoire de deux jeunes femmes évangélistes qui se font piéger dans un jeu d’esprit sinistre au domicile d’un homme étrange. Ce dernier, incarné par Hugh Grant, défie leur dévotion en disant ce qui suit. « C’est un choix simple, mais on ne doit pas le faire à la légère, le choix étant alors une simple question de foi ou de mécréance ». Le film se nourrit des thèmes communs de l’horreur religieuse présents à la fois dans l’histoire et les récits modernes.

« Je trouve fascinant comment ces histoires remettent en question notre compréhension de la foi et de la moralité, dit M. Webb. Le film « Heretic » ressemble aux revivalistes, car leur objectif commun est de remettre en question les croyances. La religion est une épreuve de foi, de moralité, de croyance et de choix. Les revivalistes mettaient à l’épreuve les croyances en menaçant que leurs choix actuels détermineraient non seulement leur vie, mais aussi leur vie après la mort. Dans ce film, on met à l’épreuve la dévotion des femmes à leur credo dans cette vie. Je suppose qu’on nous racontera au sujet de l’hérétique une histoire humaine poignante qui l’a conduit à son état actuel d’hérésie. »

Les études de M. Webb nous rappellent, et cela est essentiel, que l’histoire n’est pas simplement une cascade d’événements, mais une riche mosaïque de vécus humains qui façonnent notre présent et donc notre avenir. Comblant le fossé entre les récits historiques et contemporains, il amène les étudiants non seulement à mieux comprendre ce qu’est l’histoire, mais aussi à se familiariser aux complexités intemporelles que revêtent la nature humaine, la moralité et l’attrait pour la narration.

Nomination de Mme Jennifer Johnson à titre de doyenne de la Faculté des arts

Nomination de Mme Jennifer Johnson à titre de doyenne de la Faculté des arts

Le mandat de cinq ans commencera le 1er juillet 2023

23 mai 2023 – L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer la nomination de Mme Jennifer Johnson, Ph.D., à titre de doyenne de la Faculté des arts pour une période de cinq ans avec entrée en fonction le 1er juillet 2023. Mme Johnson est une chercheuse accomplie possédant une vaste expérience administrative et se passionne pour le travail avec les étudiants et le soutien à leur réussite scolaire. 

« Mme Johnson est une solide leader qui apporte une expérience et de l’expertise considérables au décanat de la Faculté des arts, a dit la vice-rectrice intérimaire aux études, Mme Brenda Brouwer. Son approche pragmatique, sa compréhension des possibilités à la Faculté et à l’Université en général, ainsi que son accent sur les gens et la communauté la positionnent très bien pour diriger la Faculté. »

« Je me réjouis de collaborer avec nos talentueux membres du corps professoral, de travailler avec nos étudiants et nos partenaires, a déclaré Mme Johnson. Ensemble, nous avons une occasion unique de redéfinir notre avenir, et ce que nous pouvons accomplir ensemble présente un immense potentiel. »

Mme Johnson est actuellement professeure associée à l’École des arts libéraux et gestionnaire de Laurentienne en ligne au Centre de l’apprentissage continu. De 2007 à 2021, elle a été directrice du Département des études sur la femme, le genre et la sexualité à l’Université Thorneloe. Mme Johnson est titulaire d’un baccalauréat spécialisé ès arts en études sur la femme et philosophie de l’Université Queen’s, d’une maîtrise en études sur la femme du Collège St. Hilda de l’Université d’Oxford et d’un doctorat dans cette discipline de l’Université York. Dans ses recherches, elle adopte des approches qualitatives et interdisciplinaires à l’étude du genre et effectue des recherches communautaires sur les pédagogies féministes et critiques.

La communauté universitaire désire remercier M. Parveen Nangia de son leadership à titre de doyen intérimaire de la Faculté des arts au cours de la dernière année.

L’Université Laurentienne approuve l’embauche de 10 nouveaux membres du corps professoral à des postes menant à la permanence

L’Université Laurentienne approuve l’embauche de 10 nouveaux membres du corps professoral à des postes menant à la permanence

De nouveaux membres seront recrutés dans diverses disciplines de toutes les facultés

(23 janvier 2023) - Aujourd’hui, l’Université Laurentienne a approuvé le financement de 10 nouveaux membres du corps professoral dans des postes menant à la permanence, affirmant clairement son intention d’investir dans la viabilité à long terme des programmes d’études et le renforcement du mandat bilingue et triculturel. Le financement de ces postes permanents fait suite à l’émergence de l’Université en novembre 2022 de la procédure aux termes de la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies.

« Nous avons hâte d’affermir beaucoup de nos fructueux programmes en y ajoutant des professeurs, a dit la rectrice et vice-chancelière par intérim, Mme Sheila Embleton, Ph.D. C’est l’une des priorités clés de notre équipe de direction. »

Le processus de recrutement sera entrepris pour des membres du corps professoral dans des disciplines variées : 

  • Faculté des arts – Psychology (1), Droit et Justice (1)  
  • Faculté d’éducation et santé – Indigenous Social Work (2), Sciences infirmières (1)
  • Faculté des sciences, de génie et d’architecture – Mining Engineering (1), Computer Science (1), et Architecture (spécialisation en architecture autochtone [1])
  • Faculté de gestion – Accounting (1)
  • Bibliothèque et archives (1)

« Ces postes menant à la permanence attireront des talents exceptionnels à la Laurentienne, nous permettant d’enrichir notre offre de programmes et de renforcer notre capacité de recherche, a ajouté la vice-rectrice aux études par intérim, Mme Brenda Brouwer, Ph.D. Cela nous réjouis que l’Université soit maintenant en mesure de faire cet investissement important, l’une des nombreuses étapes que nous prenons afin de définir un nouveau parcours pour la Laurentienne. »

Il est prévu que d’autres postes au corps professoral seront approuvés au parachèvement du processus de planification budgétaire de 2023-2024 qui est en cours.
 

Mme Joël Dickinson est nommée doyenne de la Faculté des arts

Mme Joël Dickinson est nommée doyenne de la Faculté des arts

Mme Joël Dickinson (Ph.D.) a été nommée doyenne de la Faculté des arts à l’Université Laurentienne, rôle qu’elle exerce à l’intérim depuis août 2018. 

« Je suis touchée d’avoir été choisie, a dit Mme Dickinson. Les programmes et cours des arts jettent les fondements qui permettent aux diplômés de mieux comprendre les complexes enjeux sociétaux actuels et éventuels auxquels nous sommes confrontés. Je me réjouis à la perspective de collaborer avec les membres extraordinaires du corps professoral qui murissent des idées merveilleuses. »

« Mme Dickinson est une dirigeante exceptionnelle dont l’engagement envers l’Université Laurentienne se fait ressentir à bien des égards, comme son approche de collaboration aux travaux des comités et l’accent qu’elle met sur l’expérience étudiante, a dit le vice-recteur intérimaire aux études, M. Serge Demers, Ph.D. Nous sommes très chanceux qu’elle ait accepté d’exercer ce rôle. »

En 2006, Mme Dickinson a reçu un doctorat en psychologie de l’Université du Nouveau-Brunswick. À l’Université Laurentienne, elle a été nommée professeure adjointe en juillet 2007 et promue au poste de professeure agréée en juillet 2014 et de professeure titulaire en juillet 2018. De juillet 2015 à août 2018, elle a été directrice du Département de psychologie, jusqu’au moment où elle a assumé le rôle de doyenne intérimaire de la Faculté des arts. En 2016, elle a reçu le Prix d’excellence en enseignement de l’Université Laurentienne.

À part ses nominations universitaires, Mme Dickinson fait preuve de leadership de maintes façons. D’abord, elle a siégé à de nombreux comités à l’Université Laurentienne, dont le Comité de planification stratégique (2017-2023), le Sénat et le Conseil de l’Université Laurentienne pour la formation des autochtones. De plus, sur le plan communautaire, elle a participé au Programme de leadership du Nord d’un an, offert en partenariat par l’Université Laurentienne, la Ville du Grand Sudbury, Science Nord et Ressources pour l’enfance et la communauté. À la Laurentienne, elle a aussi développé et donné à plus de 900 personnes, de septembre 2015 à septembre 2018, un cours de formation en matière d’espace sécuritaire qui souligne l’importance d’être un allié pour la communauté LGBTQ2-S à l’Université Laurentienne.

Le Comité de sélection, présidé par M. Serge Demers, a été impressionné de l’engagement de Mme Dickinson envers la mission bilingue et triculturelle de l’Université et a estimé que ses compétences interpersonnelles et son approche collégiale à la résolution de problèmes constitueront des atouts non seulement pour la Faculté des arts, mais aussi pour l’ensemble de l’Université Laurentienne.

 

Au sujet du poste de doyenne de la Faculté des arts

Tout en assurant la prestation de solides programmes d’études au premier cycle et aux cycles supérieurs, la doyenne apporte des contributions considérables au Plan stratégique de l’Université et assure la promotion de domaines clés d’excellence en recherche au sein de la Faculté. Relevant du vice-recteur aux études, la doyenne favorise également de solides relations avec les membres du corps professoral et les directeurs et directrices d’unités, et travaille en collaboration avec les instances de gouvernance de l’Université, les autres doyens et doyennes, la haute direction, le Conseil des gouverneurs, les secteurs industriels, les organismes consultatifs externes, les médias et la collectivité.
 

L'Université Laurentienne décèrne le Prix d'excellence en enseignement à Mme Dickinson et Mme Watson

L'Université Laurentienne décèrne le Prix d'excellence en enseignement à Mme Dickinson et Mme Watson

Ce prix annuel souligne un rendement exceptionnel en enseignement et les candidatures doivent être appuyées par des étudiants, des pairs, des anciens et d’autres membres de la communauté universitaire.

LE 21 AVRIL 2016 – L’Université Laurentienne a décerné le Prix 2015-2016 d’excellence en enseignement pour le corps professoral à plein temps à Mmes Joël Dickinson et Shelley Lynn Watson, professeures agrégées au Département de psychologie.

 

Ce prix annuel souligne un rendement exceptionnel en enseignement et les candidatures doivent être appuyées par des étudiants, des pairs, des anciens et d’autres membres de la communauté universitaire.

 

« Je me réjouis de recevoir les hommages de mes étudiants, anciens, pairs et collègues de l’Université, a dit Mme Dickinson. Recevoir ce prix est un véritable honneur. J’ai la chance de pouvoir travailler avec de brillants étudiants et collègues et le temps que je passe en salle de classe me tient beaucoup à cœur. »

 

Membre du Laboratoire de recherche sur la santé cognitive, Mme Dickinson s’est jointe à l’Université Laurentienne en 2007 à titre de professeure adjointe au Département de psychologie. Titulaire d’un B.A., d’une M.A. et d’un doctorat en psychologie de l’Université du Nouveau-Brunswick, elle apporte des contributions à la communauté universitaire qui vont au-delà de la salle de classe. En effet, elle participe à la formation en matière d’espaces sûrs, siège au Comité de l’enseignement et de l’apprentissage et au Comité de la planification académique (COPA), est directrice du Département de psychologie et coprésidente du Comité sur la diversité sexuelle et des genres. Les recherches qu’elle a effectuées récemment sur les raccourcis mentaux ont été mises en évidence à l’émission de radio de la CBC, Summer U.

 

« J’estime que l’enseignement est le plus important aspect de mon travail, a souligné Mme Watson, que ce soit en première année ou à la maîtrise. Je suis heureuse de pouvoir diriger un si grand nombre d’excellents chercheurs émergents, tant au baccalauréat qu’aux cycles supérieurs. Pour moi, l’encadrement est beaucoup plus qu’analyser les données, parler en public et publier. Il faut aussi assurer un équilibre travail-vie, accepter les rejets et célébrer les réalisations. »

 

Professeure agrégée au Département de psychologie, Mme Watson travaille à l’Université Laurentienne depuis 2007. Elle a préparé un B.A. spécialisé en études sur l’enfant et psychologie et une M.Ed. à l’Université Brock et un doctorat en psychologie de l’éducation à l’Université d’Alberta. Elle joue un rôle essentiel dans la communauté universitaire à titre de présidente du Groupe d’intérêt spécialisé en recherche de l’Ontario Association on Developmental Disabilities (OADD), de coordonnatrice de la maîtrise en santé interdisciplinaire et de membre agrégée du programme de doctorat en santé dans les milieux ruraux et du nord.

 

« Je suis heureux de présenter le Prix d’excellence en enseignement 2015-2016 à Mmes Joël Dickinson et Shelley Watson, a indiqué le vice-recteur associé à l’enseignement et aux affaires francophones, M. Denis Hurtubise. Dans la salle de classe et ailleurs, elles font preuve de leadership authentique et de passion à l’égard de leur travail, ce qui a un impact remarquable sur l’ensemble de leurs étudiants. »

Un compositeur nord-ontarien en vedette à l’émission “Carte de visite” de TFO.

Un compositeur nord-ontarien en vedette à l’émission “Carte de visite” de TFO.

Robert Lemay est chargé de cours au Département de Musique à l’Université Laurentienne.

Robert Lemay est chargé de cours au Département de Musique à l’Université Laurentienne. Il est compositeur de la musique contemporaine. Il a une réputation internationale et ses pièces sont jouées en Europe, en Amérique et en Asie. Robert Lemay se voit comme un architecte de la musique.

https://www.youtube.com/watch?v=rWDIXG8v1ME

Un géographe de l’Université Laurentienne est nommé professeur associé en Chine.

Un géographe de l’Université Laurentienne est nommé professeur associé en Chine.

Jorge Virchez, Ph.D., est professeur agrégé en Géographie dans l’École de développement du Nord.

Nous tenons à féliciter M. Jorge Virchez, professeur agrégé en Géographie dans l’École de développement du Nord. Le 28 avril 2015, il a été nommé professeur associé au Centre des études canadiennes de l’Université des études étrangères de Guangdong, située à Guangzhou, dans la province de Guangdong, en Chine. M. Virchez travaille depuis de nombreuses années avec l’Association chinoise des études canadiennes.

Une professeure du Département d'histoire à l'Université Laurentienne est consultée par Parcs Canada pour une plaque historique.

Une professeure du Département d'histoire à l'Université Laurentienne est consultée par Parcs Canada pour une plaque historique.

Linda Ambrose (à gauche) se trouve à côté de la reproduction d'une plaque de 'Madge' Robertson Watt.

Linda Ambrose, professeure au Département d'histoire, a récemment publié une biographie de Margaret 'Madge' Robertson Watt, appelée A Great Rural Sisterhood: Madge Robertson Watt and the ACWW (University of Toronto Press, 2015); la toute première biographie de Watt. Elle a été consultée par l'historienne de Parcs Canada, Dianne Dodd, en 2007 pour une plaque à propos de Madge Watt qui sera installée en Colombie-Britannique dans un proche avenir. 

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