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Ashley Thomson ou 50 ans d’impact sur le profil de l’Université Laurentienne.

Ashley Thomson ou 50 ans d’impact sur le profil de l’Université Laurentienne.

Regard sur la carrière remarquable de cet éminent bibliothécaire émérite.

(24 juillet 2025) - Dans l’écosystème de toute université, il y a peu d’espaces aussi essentiels à la poursuite du savoir et des découvertes que la bibliothèque. L’apprentissage y prend corps et, pendant près de 50 ans, M. Ashley Thomson, aujourd’hui bibliothécaire émérite, s’est trouvé au cœur de cette dynamique à la Laurentienne. Embauché en 1975 et à la retraite depuis 2021, son dévouement à titre de bibliothécaire a laissé sur des générations de membres de la population étudiante, du corps professoral et du personnel une influence immense et positive, laquelle se fait encore sentir au sein de la communauté. 

Ses liens avec la Laurentienne remontent à son adolescence, à Sudbury, bien avant qu’il ne soit à l’emploi de l’Université. « En 1960, année de sa fondation, et je m’en rappelle encore, je me promenais souvent sur la rue Elgin et voyais le cinéma Empire (aujourd’hui Grand) arborer la grande enseigne Laurentian University - Université Laurentienne. » À l’époque, cet emplacement au centre-ville servait de salle de conférence, le campus du chemin du lac Ramsey n’ayant pas encore été aménagé. 

En 1964, arrivé le temps de faire ses études universitaires, M. Thomson a « choisi » le Collège Victoria de l’Université de Toronto, alma mater de ses parents. Onze ans plus tard, il est devenu bibliothécaire à la Laurentienne, après l’avoir été à l’Université de la Saskatchewan, pendant trois années à l’issue d’une solide formation universitaire, un parcours qui l’a vu se diplômer en histoire (Université de Toronto, 1968) et en éducation (Université de Toronto, 1970), suivi d’une maîtrise en histoire (Université McMaster, 1969) et en bibliothéconomie (Université de Toronto, 1972). La bibliothèque se trouvait alors dans l’Édifice R.D-Parker, avant son déménagement, en 1990, à la Bibliothèque J.N.-Desmarais, son emplacement actuel.

« Mon travail m’a beaucoup passionné dès le début, dit-il. L’équité me passionnait également et, en 1975, je ne pensais pas que les bibliothécaires bénéficiaient d’un traitement équitable.  Alors, même si l’Association des professeurs de l’Université Laurentienne (APUL) n’était pas encore un syndicat .... j’ai convaincu ses membres d’appuyer les bibliothécaires qui cherchaient à améliorer leurs conditions de travail. »

Une victoire de la première heure : une parité partielle avec le corps professoral et un fauteuil pour bibliothécaires au Sénat de l’Université. Puis, en 1979, il a collaboré avec ses collègues à la syndicalisation (APUL). « À l’issue des négociations, nous [les bibliothécaires] avons acquis le statut de professeur à part entière, y compris la titularisation, a-t-il expliqué. Cette victoire était importante et signifiait que nous allions bénéficier du même traitement que les professeurs et des mêmes conditions de travail. » En effet, outre la permanence, M. Thomson a gravi les échelons avec brio, devenant bibliothécaire adjoint en 1987, puis bibliothécaire titulaire en 1995. En 2016, il a été honoré du Prix pour services émérites, décerné par l’Association canadienne des professeures et professeurs d’université (ACPPU), distinction qui consacrait ses efforts dans ce sens, la Laurentienne étant devenue un modèle pour de nombreux bibliothécaires et archivistes universitaires canadiens qui cherchaient à améliorer leurs conditions de travail. 

Selon M. Thomson, les possibilités qui se sont offertes à lui au fil de sa carrière étaient des privilèges découlant de son statut de professeur. « Dès lors que les professeurs nous considéraient [les bibliothécaires] comme des pairs, nous avions des responsabilités à remplir et, pour ma part, je les prenais très au sérieux. » Ces responsabilités consistaient, entre autres, en des services professionnels, des activités de recherche, la gouvernance de l’Université et des services à la collectivité. 

En tant que bibliothécaire, il passait le plus clair de son temps auprès des étudiants (et des professeurs), les aidant à s’orienter dans la documentation de recherche. L’enseignement était toutefois sa première passion. « Donnez un poisson à un homme, et vous le nourrissez le temps d’une journée; apprenez-lui à pêcher et le voilà qui se nourrit à vie. » Toujours disposé à en faire plus, il disait à ses étudiants que ses cours s’accompagnaient d’une « garantie à vie », à savoir que, s’ils avaient besoin de quoi que ce soit de la bibliothèque, même après la remise de leur diplôme, ils pouvaient communiquer avec lui et il ferait de son mieux pour les aider. « Croyez-le ou non, dit-il, certains le font encore. » 

Prêtant main-forte aux efforts de recrutement de l’Université, M. Thomson a mis un point d’honneur à faire connaître aux élèves du secondaire du nord-est de l’Ontario les ressources de la bibliothèque. Et lorsque la Bibliothèque s’est mise intégralement en ligne, en ayant abandonné son catalogue sur fiches et index imprimés, il a collaboré avec l’équipe de la Technologie de l’information pour que les élèves puissent y accéder jusqu’à la fin de l’année scolaire.

Son activité d’érudit a fait de lui un coauteur ou un coéditeur de huit livres et de centaines de comptes rendus de lecture. La plupart de ces livres traitent de sujets à caractère local et régional, en particulier Sudbury: Rail Town to Regional Capital (Dundurn Press, 1993). Il a également approfondi ses compétences en français en collaborant avec des collègues francophones sur divers titres comme Bibliographie:  Histoire du nord-est de l’Ontario / Bibliography: History of North-Eastern Ontario (Société historique du Nouvel-Ontario, 1985) et The Bibliography of Northern Ontario / La bibliographie du nord de l’Ontario (Dundurn Press, 1994).   

En 1994, il a commencé à compiler la bibliographie annuelle sur Margaret Atwood, qu’il a poursuivie jusqu’en 2022. Ce projet monumental a incité la célèbre auteure canadienne à venir visiter le campus, à l’occasion de sa fête d’anniversaire, une célébration annuelle, un événement que M. Thomson était fier d’animer en tant que maître de cérémonie.

La gouvernance de l’Université, autre domaine où M. Thomson s’est fortement investi, l’a vu siéger au Sénat, régulièrement, dès 1979, où il a souvent recommandé des modifications aux règlements du Sénat. Par exemple, plaidant en faveur d’un fauteuil pour bibliothécaires, il a joué un rôle clé dans la modification du règlement traitant de la composition du Comité de la planification académique. De 2000 à 2021, et sans interruption, à l’exception d’une année sabbatique, il y a siégé en tant que membre et a été également orateur du Séant, de 2006 à 2018, ne manquant qu’une seule réunion au cours de cette période. L’an dernier, après avoir prêté main-forte à une autre modification du règlement, il s’est vu acclamé membre d’office sans droit de vote au Sénat, représentant les membres émérites du corps professoral. « Il semble que le Sénat est pour moi une passion, a déclaré M. Thomson, qui a par ailleurs siégé à bien d’autres comités relevant du Sénat et du Conseil des gouverneurs. »

Autre conviction, tributaire de sa qualité de membre du corps professoral, il lui importe de servir la collectivité. Ce principe a guidé ses actions lorsqu’il s’adressait aux écoles secondaires locales pour inciter les élèves à venir visiter le campus et consacrait des ouvrages à des sujets à caractère local et régional en tant qu’érudit. Son esprit de bénévole l’a également amené à intégrer (et à présider) divers conseils de direction bénévoles d’organisations comme la Northern Association of Baptist Churches, la Société d’aide à l’enfance et Centraide. Depuis sa retraite, il siège au Conseil de la Bibliothèque publique du Grand Sudbury, a assumé la présidence de la Popote roulante et fait office de secrétaire et de chargé de communication pour l’Association des universitaires retraités de l’Université Laurentienne.

Ses contributions lui ont valu des distinctions importantes. Outre le prix de l’ACPPU, il est également lauréat du Prix de bibliothéconomie universitaire (1997), décerné par la Confédération des associations de professeurs d’université de l’Ontario (1997), du prix, Personne âgée de l’année du Grand Sudbury (2018), et de la Médaille du souverain pour les bénévoles du gouverneur général (2019), entre autres.

Son parcours remarquable s’est caractérisé par sa passion constante pour le savoir, son engagement profond envers la collectivité et sa conviction inébranlable de faire bouger les choses dans un sens positif. Évoquant sa carrière, il se dit très reconnaissant à la Laurentienne des possibilités qu’elle lui a offertes. Il reconnaît également que sa carrière n’aurait pas pris forme sans sa foi religieuse profonde ou sans le soutien de sa femme et d’un grand nombre d’étudiants, de collègues et d’administrateurs remarquables. De la transformation du rôle des bibliothécaires à son service constant à la collectivité dans son ensemble, M. Thomson, par ses contributions, incarne à la fois l’esprit de l’Université Laurentienne et sa mission qui est de préparer au sein d’une communauté d’apprentissage bilingue et triculturelle, ouverte à tous, curieuse sur le plan intellectuel et en prise directe avec le monde extérieur, des leaders de demain. 

« Si c’était à refaire, dit-il, il ne me viendrait pas à l’idée d’aller étudier ailleurs. L’UL est la meilleure... et je parie que même mes parents seraient d’accord. »

Pleins feux sur les diplômés : Des racines locales et un écho mondial - L’incroyable incidence d’Avery Morin sur la vie étudiante

Pleins feux sur les diplômés : Des racines locales et un écho mondial - L’incroyable incidence d’Avery Morin sur la vie étudiante

Les cérémonies de collation des grades sont la consécration des réalisations des étudiants finissants. Ce printemps, la Laurentienne félicitera ses diplômés au fil des cérémonies qui auront lieu du 2 au 6 juin à l’Auditorium Fraser.

(29 mai 2025) – Pour Avery Morin, née à Sudbury (Ontario), l’Université Laurentienne a été plus qu’un simple lieu d’apprentissage : elle a été un tremplin vers le leadership, la découverte et l’établissement de liens pour la vie.

Diplômée ce printemps d’un baccalauréat en neurosciences du comportement, Avery est devenue l’une des leaders étudiantes les plus reconnaissables et respectées du campus. Connue pour son énergie, son authenticité et son dynamisme inébranlable, elle a eu une incidence durable sur la Laurentienne grâce à des années à défendre les droits des étudiants, à favoriser l’environnement et à réussir dans les études.

Tout au long de son parcours de premier cycle, elle a exercé plusieurs rôles importants, notamment ceux de vice-présidente de l’éducation (2021-2022) et de présidente-directrice générale (2022-2023) de l’Association générale des étudiants. Dans ces postes, elle a représenté quelque 5 000 étudiants et travaillé sans relâche pour faire entendre leur voix et leur assurer une expérience étudiante intéressante et encourageante. 

En outre, Avery a été membre étudiante du Conseil des gouverneurs et du Sénat de l’Université Laurentienne. Elle a apporté son plaidoyer aux niveaux provincial et national en participant à l’Ontario Undergraduate Student Alliance et à l’Alliance canadienne des associations étudiantes. « J’ai eu la merveilleuse occasion, dit-elle, de pouvoir influencer directement les décisionnaires sur des sujets importants tels que l’éducation abordable et accessible. »

Sa passion pour l’action environnementale a également occupé une place centrale. À titre de présidente du Comité de durabilité environnementale de la Laurentienne (de 2023 à présent), Avery a contribué à la mise en œuvre d’initiatives sur le campus et à la promotion de la durabilité en tant que valeur fondamentale de la vie universitaire. Ce travail l’a menée sur la scène mondiale, où elle a représenté l’Université à la Conférence des Parties (COP) 15 sur la biodiversité et à la COP28 sur les changements climatiques, des activités des Nations Unies axées sur l’avenir de notre planète.

« C’est en toute humilité que j’ai parlé sur une plateforme mondiale des efforts de reverdissement de Sudbury et du formidable travail de développement durable réalisé à la Laurentienne, explique-t-elle. Cela m’a rappelé à quel point l’action locale peut avoir une portée internationale. » Ce travail a été pour Avery le fruit d’une collaboration. Des mentors, qu’elle considère également comme des collègues et amis, tels que John Gunn (directeur du Centre pour la vitalité des lacs Vale), Anastacia Chartrand et Adam Lepage, font partie des nombreuses personnes qui ont, selon elle, éveillé son intérêt pour le plaidoyer en matière de durabilité environnementale. 

« Ce qui m’inspire le plus, c’est la communauté très unie de la Laurentienne, ajoute-t-elle. Le fait de savoir qu’il y a tant de gens qui veulent que je réussisse m’a motivée à faire de mon mieux dans mes études et activités parascolaires. »

Pendant ses études, Avery a eu l’occasion de mener une recherche originale dans le cadre de son mémoire de spécialisation, sous la direction du professeur agrégé Jeffrey Gagnon, Ph.D., et du professeur adjoint Blake Dotta, Ph.D., de l’École des sciences naturelles, qu’elle qualifie de « scientifiques extraordinaires et mentors formidables ». De plus, la perspective interdisciplinaire de son programme a été d’une valeur inestimable. « De la biochimie à la psychologie en passant par la physiologie, le programme de neurosciences du comportement m’a préparée à un vaste choix de carrières. » 

La prochaine étape pour Avery est de préparer une maîtrise en communication scientifique, une voie qui allie sa passion pour la science, la narration et la mobilisation du public, et de continuer à avoir une incidence positive au sein du Comité de durabilité environnementale de la Laurentienne. 

Elle donne un conseil simple, mais puissant aux futurs étudiants : « Participez. Les expériences que j’ai vécues à la Laurentienne ont vraiment changé ma vie et je suis devenue une jeune professionnelle plus confiante, ambitieuse et branchée. »

Alors qu’on célébrera bientôt ses réalisations lors de la collation des grades, il est évident que les contributions d’Avery Morin à la vie étudiante sont loin d’être terminées et qu’elle continuera d’être une force motrice pour le changement positif sur le campus. Son parcours jusqu’ici reflète le type de leadership qui évolue avec l’expérience – et son incidence ne fait que commencer.

Le Sénat de l’Université Laurentienne approuve la notation humanitaire

Le Sénat de l’Université Laurentienne approuve la notation humanitaire

La population étudiante aura davantage d’options de notes dans son dossier scolaire

10 décembre 2020 - À la suite d’un débat intense, le Sénat de l’Université Laurentienne a voté en faveur d’une proposition qui apportera des résultats équitables et humanitaires à toute la population étudiante, en particulier pour les personnes qui ont subi la pleine incidence de la pandémie. Cette proposition permet aux étudiants de choisir la mention « Réussite » ou « Échec » sur les relevés finals de notes des cours individuels plutôt qu’une note précise.

 

Beaucoup d’établissements canadiens, comme, entre autres, l’Université Concordia, l’Université de Toronto et l’Université d’Alberta, ont institué des options de notation humanitaire comme le système « Réussite/Échec ». Avec cette décision, le Sénat de l’Université Laurentienne montre sa détermination à fournir toutes les possibilités de réussir à la population étudiante.

 

La Laurentienne est fière du leadership montré par les représentants de ses associations étudiantes qui ont présenté cette proposition au Sénat de l’Université.

 

Citation

« La population étudiante est au centre de notre prise de décision, et cette décision offrira de la latitude à un moment où elle est la plus nécessaire. C’est une mesure inhabituelle qui, à notre avis, aura un effet positif sur la réussite de la population étudiante. » Robert Haché, recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne

L’UL continuera d’assurer la prestation de cours à distance pendant le trimestre d’hiver

L’UL continuera d’assurer la prestation de cours à distance pendant le trimestre d’hiver

Le Sénat a voté pour offrir les cours par l’intermédiaire de médias en ligne durant la pandémie

Mercredi 21 octobre 2020

 

Hier, le Sénat de l’Université Laurentienne a voté en faveur d’offrir le trimestre d’hiver 2021 selon une prestation à distance. D’abord et avant tout, la discussion de la question a porté sur la façon d’assurer la meilleure éducation que soit à nos étudiants tout en protégeant la santé, la sécurité et le bien-être de tous – population étudiante, corps professoral et personnel.
 

D’autres facteurs ont aussi été discutés, dont les progrès réalisés dans l’offre de cours à distance, les exigences relatives à l’apprentissage pratique et la qualité globale de l’expérience des étudiants. L’Université continuera d’offrir un petit nombre de cours en personne, comme elle le fait pour le trimestre d’automne 2020, avec moins de 1 % des cours donnés en personne.

 

De plus, l’Université continuera d’accueillir des étudiants dans des appartements résidentiels du campus. Le travail consciencieux accompli par le personnel pour établir et faire respecter les protocoles relatifs à la COVID-19 assure la sécurité des étudiants tout en favorisant pour eux un milieu sécuritaire dans lequel vivre et étudier en dépit des circonstances. Étant donné les annonces récentes du gouvernement fédéral qui permettent aux étudiants étrangers d’entrer au Canada, la Laurentienne se réjouit d’accueillir des étudiants de partout dans le monde conformément au plan de préparation à la COVID-19 du campus.
 

L’Université Laurentienne continue de prêter un soutien aux membres de la population étudiante, du corps professoral et du personnel pour leurs activités quotidiennes à distance. Elle a joué un rôle de premier plan en réagissant à la pandémie de COVID-19, étant la première université publique au Canada à reconnaître la gravité de la pandémie en mars 2020 et à suspendre les cours en personne. Le trimestre d’hiver se déroulera de janvier à avril 2021.

L’Université Laurentienne annonce la décision d’un sous-comité du Sénat sur la suspension de l’admission à des programmes

L’Université Laurentienne annonce la décision d’un sous-comité du Sénat sur la suspension de l’admission à des programmes

Les résultats des travaux d’un sous-comité du Sénat qui s’est réuni à la fin de la semaine dernière

(25 septembre 2020) L’Université Laurentienne a annoncé aujourd’hui les résultats des travaux d’un sous-comité du Sénat qui s’est réuni à la fin de la semaine dernière pour discuter d’une note de service reçue du Vice-rectorat aux études touchant la suspension des admissions à 17 programmes annoncée par la Laurentienne à la fin de juillet, et à la suite de la décision du Sénat du 15 septembre.
 
À sa réunion vendredi dernier, ce sous-comité sur la planification universitaire a reçu et examiné les renseignements à l’appui de chaque programme concerné. Après délibérations, le sous-comité sur la planification universitaire a approuvé une proposition voulant :
 
« Que, conformément au PAQUL, la vice-rectrice aux études (VRE) communique avec les unités indiquées dans la note de service du 30 juillet 2020 dans lesquelles il n’y a pas de modifications majeures et les invite à fournir des perspectives sur leur programme. »
 
À la lumière de la proposition présentée par ce sous-comité sur la planification universitaire pour les programmes en question, il a été décidé par l'administration de l'Université que les nouvelles admissions aux 17 programmes continueront d’être suspendues jusqu’à ce que la question soit présentée à nouveau à ce sous-comité.
 
Ce processus de gouvernance collégiale auquel l’Université s’est engagée offre la meilleure qualité de programmation pour tous les étudiants de l’Université Laurentienne. Nous félicitons le sous-comité sur la planification universitaire dans son mandat d’offrir aux étudiants une expérience universitaire exceptionnelle.

L'Université Laurentienne félicite Mme Lucie Moncion de sa nomination au Sénat du Canada

L'Université Laurentienne félicite Mme Lucie Moncion de sa nomination au Sénat du Canada

Une ancienne de la Laurentienne siègera à titre de sénatrice indépendante représentant l’Ontario

Le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, Dominic Giroux, a félicité à son tour Mme Lucie Moncion de sa nomination au Sénat du Canada comme représentante de l’Ontario.

« Nous sommes fiers de voir nommer au Sénat Mme Lucie Moncion, une ancienne de a Laurentienne ayant accumulé d’impressionnantes réussites professionnelles, a dit M. Giroux. Grâce à son expérience et son expertise considérables, elle est un bon choix pour représenter l’Ontario et nous lui souhaitons du succès pour l’avenir. »

Mme Lucie Moncion est titulaire d’un baccalauréat en administration des affaires spécialisé en administration des coopératives de l’Université Laurentienne ainsi qu’une maîtrise en administration des affaires de l’Université de Moncton. Elle détient les titres professionnels d’administratrice de sociétés de l’Université Laval et de directrice agréée de l’Université McMaster.

Au cours de sa carrière, Mme Moncion a occupé de nombreux postes au sein du réseau des caisses populaires de l’Ontario. Depuis mai 2001, elle occupe le poste de présidente et chef de la direction de l’Alliance des caisses populaires de l’Ontario, devenant ainsi la première femme à occuper un tel poste dans une fédération de caisses populaires au Canada. L’Alliance regroupe 12 caisses populaires qui servent 23 municipalités francophones du nord-est de la province. Mme Moncion joue un rôle important dans le développement économique des communautés francophones et apporte une stabilité importante aux opérations de L’Alliance. En effet, la croissance de l’actif a presque triplé depuis son arrivée à la direction générale et se situe à 1,4 milliard de dollars. Mme Moncion est devenue présidente du Conseil d’administration de coopératives et mutuelles Canada en 2016 et est également présidente du Conseil de la coopération de l’Ontario. Active au sein des instances gouvernementales et de sa communauté, elle a siégé à divers conseils d’administration, entre autres comme vice-présidente du conseil de direction de l’Université Nipissing, trésorière du conseil de Direction Ontario et membre du conseil d’administration du Collège Boréal.

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années.

Nomination de M. Denis Hurtubise à titre de vice-recteur associé à l'enseignement et aux affaires francophones

Nomination de M. Denis Hurtubise à titre de vice-recteur associé à l'enseignement et aux affaires francophones

Votant à l’unanimité, le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne a approuvé aujourd’hui la nomination de M. Denis Hurtubise

20 JUIN 2014 – Votant à l’unanimité, le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne a approuvé aujourd’hui la nomination de M. Denis Hurtubise au nouveau poste de vice-recteur associé à l’enseignement et aux affaires francophones pour une période renouvelable de cinq ans avec entrée en fonction le 1er juillet 2014. 

« M. Hurtubise est un chef de file de l’enseignement qui a une vision inspirante de l’éducation universitaire et est fermement déterminé à promouvoir la vitalité de la culture francophone, a dit le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux. Nous sommes ravis d’avoir trouvé un candidat qui possède l’expérience, les connaissances, l’acuité et la personnalité que nous cherchions pour diriger le très important portefeuille des affaires francophones à la Laurentienne. » 

M. Hurtubise a été professeur agrégé, puis vice-recteur à l’enseignement et à la recherche à l’Université Saint-Paul, à Ottawa, de 2000 à 2007. Responsable, notamment, des services de recherche, de marketing, des affaires internationales et de la bibliothèque, il a dirigé plusieurs plans et stratégies, dont la planification stratégique 2007-2012. À titre de doyen des études à l’Université du Québec en Outaouais de 2007 à la fin de 2011, il a supervisé la conception et l’évaluation de nombreux programmes d’études du premier cycle et des cycles supérieurs. Depuis janvier 2012, il était consultant en enseignement supérieur, par exemple auprès du réseau de l’Université du Québec en ce qui concerne l’accueil et l’intégration des étudiants étrangers au premier cycle dans les universités du Québec. 

M. Hurtubise est titulaire d’un baccalauréat et d’une maîtrise en théologie de l’Université de Montréal et d’un doctorat en théologie de l’Université Saint-Paul/Université d’Ottawa. Il a entrepris sa carrière à titre de professeur adjoint et agrégé à l’Université Saint-Paul et est l’auteur de l’ouvrage « Relire Whitehead. Les concepts de Dieu dans Process and Reality » publié en 2000 aux Presses de l’Université Laval. 

« Je me réjouis à la perspective de me joindre à l’équipe dynamique de l’Université Laurentienne, a déclaré M. Hurtubise, et de travailler avec des collègues et des partenaires communautaires pour continuer à améliorer les programmes et services en français. » 

Un comité composé de treize membres représentant le Conseil des gouverneurs, le corps professoral, la population étudiante et l’administration a recommandé à l’unanimité la nomination de M. Hurtubise après un vaste processus de recrutement à l’échelle nationale, nomination que le Sénat a aussi appuyée à l’unanimité. 

 L’objectif du Plan stratégique 2012-2017, qui est de faire de la Laurentienne une destination de choix pour les étudiants francophones et en immersion de tout le Canada et de pays francophones ciblés, est ambitieux et exige un cadre administratif de l’enseignement totalement engagé. 

« Tout comme le reste de la communauté de la Laurentienne, a déclaré le vice-recteur aux études, M. Robert Kerr, je souhaite la bienvenue à Denis et me réjouis à la perspective de travailler avec lui au cours des prochaines années. » 

L'Université Laurentienne crée de nouvelles facultés en santé, éducation et études supérieures

L'Université Laurentienne crée de nouvelles facultés en santé, éducation et études supérieures

Nouvelle structure des facultés, ce qui se traduit par une réorganisation de nombreux départements et écoles de l’UL.

Le Sénat de l’Université Laurentienne a approuvé une nouvelle structure des facultés, ce qui se traduit par une réorganisation de nombreux départements et écoles de l’UL. 
 

La Faculté de la santé et la Faculté de l’éducation remplaceront la Faculté des écoles professionnelles. La Faculté des sciences et de génie portera dorénavant le nom de Faculté des sciences, de génie et d’architecture. La Faculté des sciences sociales et la Faculté des humanités seront unifiées dans la Faculté des arts et l’École des études supérieures deviendra la Faculté des études supérieures. 
 

« La réorganisation de certains de nos programmes d’enseignement, indique le vice-recteur aux études, M. Robert Kerr, facilitera la promotion des études interdisciplinaires et le développement de nouveaux programmes et de nouvelles options de programmes. » 
 

La création de la Faculte de la santé est l’un des résultats indiqués dans le Plan stratégique 2012-2017 de l’Université, selon lequel on regrouperait les programmes professionnels de la santé dans une faculté, ce qui fera de la Laurentienne un chef de file dans l’éducation et la santé interprofessionnelle. La décision d’aujourd’hui découle de consultations étendues au sein de la communauté universitaire depuis le début de 2012. 


La nouvelle Faculté de la santé comprendra les écoles des sciences de l’activité physique, des relations autochtones, des sciences infirmières, de santé dans les milieux ruraux et du nord et de service social, les programmes de formation des sages-femmes et d’orthophonie et le Département de gérontologie de l’Université Huntington. 
 

La Faculté des sciences, de génie et d’architecture a été rebaptisée et comptera les départements de biologie, de chimie et de biochimie, des sciences de la Terre, des sciences médico-légales, de mathématiques et d’informatique et de physique, l’École de génie Bharti qui a été fondée en octobre 2011, la nouvelle École d’architecture qui a accueilli sa première promotion de 70 étudiants en septembre 2013 et l’École de l’environnement qui a vu le jour plus tôt cette année. 
 

La nouvelle Faculté de l’éducation inclura les écoles anglophone et francophone des sciences de l’éducation. 
 

La nouvelle Faculté des arts comprendra les départements de science économique, d’anglais, d’études françaises, de géographie, d’histoire, de droit et justice, de langues et des littératures modernes, de musique, de philosophie, de science politique, de psychologie et de sociologie, la nouvelle École des Études du Nord et des communautés, le programme de maîtrise interdisciplinaire en humanités, le doctorat en sciences humaines et la plupart des départements des établissements fédérés et affiliés de la Laurentienne (études classiques, communication publique, études en communication, folklore et ethnologie, études autochtones, philosophie, sciences religieuses, art dramatique, études sur la femme). 
 

La nouvelle Faculté des études supérieures traduit bien l’importance grandissante des 38 programmes de maîtrise et de doctorat de l’Université. Les demandes d’admission aux programmes d’études supérieures sont en hausse de 60 % pour l’automne 2014. Deux programmes de maîtrise verront aussi le jour cet automne : la M.A. en relations autochtones et la maîtrise en sciences infirmières. 


Aucun changement n’a été apporté à la Faculté de gestion, à la Faculté de médecine (École de médecine du Nord de l’Ontario) et à l’École des mines Goodman. 

La Faculté de gestion continuera de comprendre l’École de commerce et d’administration et l’École d’administration des sports. 

La Faculté de médecine (École de médecine du Nord de l’Ontario) continue d’offrir un programme d’enseignement médical de premier cycle, des programmes d’internat au niveau supérieur, une formation continue et du perfectionnement professionnel et des programmes d’enseignement interprofessionnel. 

L’École des mines Goodman a été créée en 2013 avec l’objectif d’élargir le cadre des majeures et des mineurs pluridisciplinaires afin de rehausser les compétences des futurs professionnels de l’exploration minérale et de l’exploitation minière, de favoriser la création de programmes de calibre international destinés aux cadres dans les cinq domaines clés du cycle minier, à savoir l’exploration minérale, la faisabilité de projets, le développement de mines, la fermeture de mines et la surveillance.