Vous êtes maintenant dans la zone de contenu principale

Une bienfaitrice donne 200 000 $ pour soutenir les programmes de l’École d’éducation

Une bienfaitrice donne 200 000 $ pour soutenir les programmes de l’École d’éducation

Wyona Thompson fait un don important à titre posthume pour aider la population étudiante.

28 juin 2022 - L’École d’éducation a reçu un nouveau don de 200 000 $ au nom de Wyona Thompson, une diplômée de l’Université Laurentienne, qui est décédée en juin 2021. Ce don servira à aider la population étudiante à plein temps des programmes de baccalauréat en éducation en anglais et en français. Le « Fonds Wyona Thompson » permettra de créer des bourses d’études qui récompenseront le rendement scolaire et des bourses d’aide pour des étudiants dans le besoin. Il apportera aussi du soutien pour le voyage à des stagiaires placés en dehors de la région du Grand Sudbury, de préférence dans les régions insuffisamment servies du Nord.

« Ces fonds apporteront directement un appui important à notre population étudiante, a affirmé la doyenne de la Faculté de l’éducation et de la santé, Céline Larivière. Ils permettront aussi aux stagiaires de séjourner dans des localités du Nord qui manquent actuellement d’éducateurs, ce qui sera profitable tant pour les stagiaires que pour les communautés. »

Wyona et son défunt époux, Ollan White, croyaient fermement au pouvoir transformateur de l’éducation. Ayant eux-mêmes été enseignants à Sudbury, Petawawa et Kingston, ils seraient fiers de savoir que ce don aidera la prochaine génération d’éducateurs au fil de leur parcours.

« Nos diplômés montrent la voie en innovant dans les salles de classe, en améliorant le bien-être des enfants et en renforçant les communautés, a ajouté Mme Larivière. Les enseignants sont des modèles pour les enfants. Le don de Wyona aidera la population étudiante en éducation à effectuer des stages dans des écoles de communautés éloignées et insuffisamment servies où les modèles positifs auront un effet important et durable sur les jeunes. »

Les nouveaux fonds commenceront à aider la population étudiante au cours de l’année universitaire 2022-2023.

Le Collège Cambrian, le Collège Boréal et l’Université Laurentienne lancent la Campagne de la robe rouge

Le Collège Cambrian, le Collège Boréal et l’Université Laurentienne lancent la Campagne de la robe rouge

(Sudbury, 5 mai 2022) Aujourd’hui est la Journée nationale de sensibilisation aux femmes et filles autochtones disparues et tuées.

Elle porte aussi le nom de Journée de la robe rouge. Depuis 2011, les gens suspendent des robes rouges à des endroits publics afin de rendre hommage aux femmes et filles autochtones disparues ou tuées au Canada, dont le nombre est estimé à des milliers.

Pour souligner l’occasion, le Collège Cambrian, le Collège Boréal et l’Université Laurentienne lancent la Campagne de la robe rouge. Les trois établissements recevront sur leur campus respectif des dons de robes rouges.

« Les robes rouges suspendues, a expliqué la vice-rectrice associée à l’enseignement et aux programmes autochtones par intérim à l’Université Laurentienne, Mme Susan Manitowabi, Ph.D., nous amènent à prendre le temps de réfléchir, de pleurer et de nous engager à collaborer pour mettre fin à la violence suivie à l’endroit des femmes et filles autochtones et des personnes 2SLLGBTQQIA+ afin de favoriser un monde plus sécuritaire. »

La robe rouge a été choisie pour diverses raisons. Selon la culture autochtone, les esprits ne peuvent voir que la couleur rouge, qui sert de moyen à ramener à leurs proches l’âme des femmes et filles disparues ou tuées. La couleur rouge est symbolique, entre autres, du sang, de la colère, de l’amour et de la force des femmes, sans dire qu’il s’agit d’une couleur frappante qui ne passe pas inaperçue.

« À titre d’Autochtone, je crois que cette initiative est importante pour tout le monde, a exprimé l’aîné du Collège Boréal, M. Richard Meilleur. Pour assurer la guérison, il faut cesser ces injustices et déployer plus d’efforts de sensibilisation afin d’aller de l’avant et prévenir, espérons-le, plus de traumatisme. J’encourage tous les gens à participer, à s’informer, à en apprendre davantage et à faire leur possible pour aider les survivants et les familles touchées. »

Toutes les robes rouges recueillies seront placées de façon à créer des sentiers sur les campus attirant l’attention sur les femmes et filles autochtones qui ont disparu ou été tuées au Canada. L’activité aura lieu le mardi 14 février 2023, pendant l’année d’études, afin d’encourager la participation de la population étudiante, du personnel et du corps professoral.

« Cette importante collaboration des trois campus conscientisera les gens à la mémoire des personnes disparues et à l’importance d’éradiquer la violence contre les femmes, a ajouté le directeur du Centre Wabnode de services autochtones au Collège Cambrian, M. Ron Sarazin. Nous devons en apprendre de notre passé et faire des progrès pour créer un avenir positif et sécuritaire pour notre communauté. »

Vous pouvez apporter vos dons de robes rouges aux endroits suivants sur les campus :

Le Conseil des gouverneurs élit un nouveau président

Le Conseil des gouverneurs élit un nouveau président

M. Jeff Bangs présidera le Conseil jusqu’à ce que le poste soit pourvu en permanence en juin 2022.

(18 janvier 2022 – Sudbury, Ontario) Conformément à ses statuts, le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne a élu un président par intérim qui en assurera la direction jusqu’à juin 2022. Le Conseil sera donc présidé par M. Jeff Bangs jusqu’à ce qu’un ou une titulaire soit nommé pour un mandat complet qui commencera à la fin de juin.

L’Université Laurentienne franchit ainsi une autre étape respectant son engagement suivi envers le renouvellement du Conseil selon un processus accéléré. 

Dans le cadre des mesures de soutien apportées par la province de l’Ontario en décembre, la Laurentienne a accueilli cinq nouveaux membres au Conseil des gouverneurs, à savoir Mme Debbi Nicholson, M. Don Duval, M. Robert Brouillette, M. Gérard (Gerry) Bilodeau et M. Jeff Bangs. Ces bénévoles ont été nommés par le lieutenant-gouverneur en conseil (LGC) et se joignent à neuf autres membres bénévoles.

La prochaine assemblée du Conseil des gouverneurs aura lieu en février 2022.  

 

Au sujet de M. Jeff Bangs

M. Jeff Bangs se spécialise dans la prise de décisions dans le secteur public, la défense de politiques publiques, les relations publiques et avec les intervenants et le changement organisationnel. Ayant acquis quelque trente ans d’expérience en politique et au sein du gouvernement, il a une profonde compréhension du gouvernement et de son incidence sur la société. Il a exercé de nombreux rôles supérieurs en conseils politiques, y compris à titre de secrétaire principal au premier ministre de l’Ontario, chef de cabinet au ministère des Finances et directeur général d’un parti politique, en plus d’avoir été chef de cabinet au ministère des Ressources naturelles et au ministère du Développement du Nord et des Mines. De décembre 2020 à sa nomination au Conseil des gouverneurs de la Laurentienne en décembre 2021, il a été conseiller en relations gouvernementales à l’Université par l’entremise de son entreprise, Pathway Group.

M. Bangs siège comme représentant public au conseil d’agrément en comptabilité publique de CPA Ontario et est fréquemment conférencier au programme de certificat d’études supérieures en relations gouvernementales au Collège Seneca. Originaire de Mattawa (Ontario), il a fait ses études postsecondaires en administration publique à l’Université Carleton.

Le Syndicat des métallos s'engage à verser 225 000 $ dans la recherche sur la santé et la sécurité au travail à l'Université Laurentienne

Le Syndicat des métallos s'engage à verser 225 000 $ dans la recherche sur la santé et la sécurité au travail à l'Université Laurentienne

Les fond appuieront des recherches importantes pour le nord de l'Ontario

28 juin 2019 – Le recteur et vice-chancelier par intérim de l’Université Laurentienne, M. Pierre Zundel, Ph.D., et le président du Syndicat des métallos, M. Leo Gerard, ont annoncé que le Syndicat s’engage à verser un total de 225 000 $ pour subventionner au cours des trois prochaines années les travaux du Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail (CRSST) à l’Université Laurentienne.

« Il est important que le Syndicat des métallos appuie les recherches qui abordent les problèmes en milieu de travail et améliorent la sécurité de tous les travailleurs, y compris ceux du nord de l’Ontario, a expliqué M. Gerard, et pour cela, nous sommes très fiers de continuer à appuyer les efforts du CRSST. »

Depuis huit ans, le Syndicat des métallos apporte un appui clé au développement du CRSST, notamment dans le cadre de ses engagements de 50 000 $ pour l’obtention d’une Chaire de recherche en santé et sécurité au travail, de 50 000 $ pour un fonds fiduciaire de bourses pour la population étudiante et de 60 000 $ pour le fonctionnement du laboratoire itinérant du CRSST, ce qui représente un investissement total de 385 000 $. La somme qui sera versée sur les trois prochaines années continuera de soutenir les efforts du CRSST à collaborer avec les milieux professionnels du Nord en priorisant leurs besoins en recherche et prêtant un appui aux membres de la population étudiante sur le terrain.

 « Les efforts du CRSST dans le domaine de la santé et de la sécurité au travail dans le Nord sont révolutionnaires, a dit M. Zundel, et ne seraient pas possibles sans l’appui soutenu de partenaires comme le Syndicat des métallos. »

Unique centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail dans le nord de l’Ontario, le CRSST adopte une approche d’équipe pour relever, par ses recherches, les défis pertinents et critiques en milieu de travail en tenant compte des travailleurs, des environnements, des communautés, du gouvernement et des associations de sécurité au travail. Le CRSST met tout particulièrement l’accent sur la formule terrain-laboratoire-terrain préconisant les interactions directes entre les chercheurs et les communautés et industries afin de bien cerner les enjeux critiques en milieu de travail. Ainsi, les chercheurs du CRSST prennent des mesures sur le terrain afin de bien comprendre la question, mettent au point en laboratoire des solutions factuelles et retournent au milieu de travail pour les mettre à l’épreuve. Le CRSST a aussi mis sur pied un laboratoire itinérant de recherche (M-CROSH) qui sert d’installations de recherche sur les lieux lorsque les membres de la population étudiante et les chercheurs se rendent dans les collectivités éloignées. En outre, le CRSST a créé un laboratoire de simulation de milieux de travail permettant aux chercheurs de reproduire les conditions de travail et de vérifier les solutions proposées dans un milieu contrôlé.

« Le don annoncé aujourd’hui consolidera la capacité du CRSST à effectuer des recherches et à parvenir à des solutions factuelles touchant pertinemment les communautés et industries du Nord, qui, à cause de l’isolement géographique, n’ont pas pu participer auparavant aux recherches, a indiqué la directrice du CRSST, Mme Sandra Dorman. L’appui antérieur et actuel apporté par le Syndicat des métallos contribue énormément au succès du CRSST et aide tout particulièrement les étudiants à perfectionner les compétences dont ils ont besoin pour devenir les futurs leaders du domaine. »
 

Nomination de M. Claude F. Lacroix à titre de président du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne pour un mandat de deux ans

Nomination de M. Claude F. Lacroix à titre de président du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne pour un mandat de deux ans

27 juin 2019 – Le 26 avril 2019, le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne a voté en faveur de la nomination à la présidence de Maître Claude F. Lacroix pour un mandat de deux ans, avec entrée en vigueur dès la clôture de l’assemblée générale annuelle du Conseil du 21 juin 2019, date de l’échéance du mandat de la présidente actuelle, Mme Jennifer Witty. Me Lacroix est membre du Conseil depuis 2006 et exerce actuellement le rôle de vice-président.

« Nous sommes chanceux d’avoir un membre du Conseil comme Claude, qui apporte expérience et vision à son rôle, a dit le recteur et vice-chancelier par intérim de l’Université Laurentienne, M. Pierre Zundel. Jennifer a fait un superbe travail comme présidente pendant une période de croissance et de changement des plus remarquables, et nous continuerons de tirer profit de ses contributions à titre de présidente sortante au cours de la prochaine année. »

Me Lacroix a obtenu un B.A. de l’Université Laurentienne en 1991 et un diplôme de la Faculté de droit de l’Université de Moncton en 1996 et est actuellement associé chez Lacroix Lawyers|Avocats. Entièrement bilingue, il œuvre dans les domaines du contentieux des affaires civiles, du droit commercial, corporatif, immobilier et de la construction, et des testaments, des successions et des fiducies.

Troisième membre de la famille à présider le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne, Me Lacroix marche sur les traces de sa mère, Mme Maureen Lacroix (2001-2004), et de son père, Me André Lacroix (1978-1981).

« Je suis très honoré de pouvoir continuer à servir le Conseil et l’Université Laurentienne, qui est un incroyable atout communautaire et est essentielle à la croissance et au développement du Nord, a souligné Me Lacroix. Dans les années à venir, l’Université aura des défis et des possibilités à cerner et, grâce largement au travail de la présidente sortante, nous sommes bien placés pour continuer d’être un moteur de la réussite. »

Me Lacroix est membre actif de plusieurs conseils d’administration communautaires, organismes sans but lucratif et associations professionnelles et est actuellement vice-président du conseil d’administration de Science Nord. Par le passé, il a été président de l’Association des anciens de l’Université Laurentienne et de l’Association de droit du district de Sudbury, membre des conseils d’administration et de direction de la Société de développement du Grand Sudbury et président de l’Association des juristes d’expression française de l’Ontario ainsi que de la Société de développement communautaire de l’aéroport de Sudbury.

Mme Jennifer Witty siègera à titre de présidente sortante pendant un an.
 

La Laurentienne conférera des titres honorifiques à quatre éminents Canadiens

La Laurentienne conférera des titres honorifiques à quatre éminents Canadiens

Un artiste célébré, une éditrice francophone réputée et deux leaders de l’industrie minière recevront un doctorat honorifique de l’Université Laurentienne

31 mai 2019 – Dans le cadre des cérémonies de collation des grades du printemps 2019, l’Université Laurentienne reconnaîtra et célébrera les remarquables carrières et réalisations de quatre éminents Canadiens : l’artiste de renommée internationale, M. Bernard Poulin, l’éditrice francophone réputée, Mme Denise Truax, et deux dirigeants de l’industrie minière, MM. Ned Goodman et Terry MacGibbon.

« Nous nous réjouissons d’accueillir ces personnes exceptionnelles au sein de notre famille d’anciens, a dit le recteur et vice-chancelier par intérim, M. Pierre Zundel. Nous sommes éblouis par l’ampleur de leurs talents aussi bien que l’enthousiasme qu’ils manifestent en partageant leurs connaissances, passion et ressources avec les autres afin de les aider à élargir leurs horizons et à réaliser leur plein potentiel. Nous sommes très fiers de célébrer leur nature généreuse. »

 

M. Bernard Poulin

Artiste de talent exceptionnel, M. Poulin a la réputation de créer des œuvres magnifiques sur des supports divers, ce qui s’est traduit par une reconnaissance internationale. Il est reconnu comme l’un des meilleurs portraitistes au Canada, ayant peint, entre autres, des personnages royaux, chefs religieux et politiciens, et a présidé, de 2003 à 2005, l’Institut canadien des portraitistes. En outre, il est sculpteur accompli, muraliste, conférencier recherché et auteur prolifique, ayant rédigé onze livres et contribué à maints autres pour partager ses vastes connaissances avec les artistes jeunes et établis partout dans le monde. Ses œuvres ont été sollicitées par des clients privés, gouvernements, organismes et compagnies dans tout le pays, y compris le Canadien Pacifique, le Conseil national de recherche du Canada et le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada.

 

Mme Denise Truax

Championne de la littérature francophone et l’une des porte-parole des arts les plus actives de la communauté, Mme Truax est, depuis 1988, directrice générale de la maison d’édition Prise de parole, doyenne des maisons d’édition de langue française au Canada à l’extérieur du Québec. Malgré sa taille modeste, Prise de parole est reconnue sur la scène mondiale pour avoir publié des centaines d’ouvrages d’auteurs francophones des plus loués au Canada, dont bon nombre sont lauréats de Prix du gouverneur général. Sous la gouverne de Mme Truax, Prise de parole a été deux fois finaliste au Prix du premier ministre pour l’excellence artistique et compte parmi les partenaires fondateurs de la Place des Arts, carrefour des arts et de la culture francophones qui sera bientôt construit à Sudbury.

En 2012, Mme Truax a reçu un Sudbury Community Builders Award of Excellence dans la catégorie des arts pour souligner l’important rôle qu’elle joue pour faire de Sudbury l’une des capitales littéraires de langue française au Canada.

 

M. Terry MacGibbon

M. MacGibbon est membre important de la communauté Laurentienne et moteur de la prospérité économique dans la région et le pays. Après avoir pris sa retraite d’Inco Ltd. (maintenant Vale) avec plus de 30 ans de service, il a fait croître FNX Mining Company, qui n’était à l’époque qu’une petite société obscure d’exploration, en producteur minier multimilliardaire et l’objet d’une des plus puissantes histoires à succès du domaine minier au Canada. En 2010, il a aidé à coordonner un don de 1 000 000 $ du successeur de FNX, Quadra FNX Mining Ltd., pour appuyer l’école des mines de la Laurentienne. À la Laurentienne, il a aussi présidé de 2011 à 2013 la campagne Objectif 50 qui a mobilisé 65 000 000 $. Les fonds obtenus et les relations nouées pendant cette période continuent de soutenir toute une gamme de priorités universitaires.

M. MacGibbon a exercé des fonctions de dirigeant dans diverses sociétés minières, y compris
Torex Gold Resources, INV Metals et TMAC Resources. Il prône vigoureusement les approches minières plus progressives, entre autres, en ouvrant plus de possibilités aux femmes qui désirent percer l’industrie, surtout à la haute direction. Il a été intronisé au Temple de la renommée du secteur minier canadien et a reçu, tout au long de sa carrière, de nombreux prix prestigieux.

 

M. Ned Goodman

Pendant sa carrière de cinq décennies, le fondateur de Dundee Corporation, M. Ned Goodman, s’est forgé une réputation comme l’un des leaders en investissement les plus astucieux et respectés au Canada. Géologue de formation, il a financé avec succès beaucoup des petites sociétés minières, maintenant parmi les plus fructueuses au Canada, qui ont créé des emplois pour des milliers de personnes dans le nord de l’Ontario et partout dans le pays. M. Goodman et sa famille ont fait des dons philanthropiques privés des plus considérables de l’histoire canadienne, y compris des contributions de plusieurs millions de dollars à l’appui des soins de santé et de l’éducation. En 2012, la famille Goodman a fait un don transformationnel pour appuyer l’excellence de la formation minière à la Laurentienne, ce qui a permis de créer l’École des mines Goodman.

Nommé membre de l’Ordre du Canada en 2016 pour souligner ses activités caritatives et les nombreuses contributions apportées au renforcement de l’économie nationale, M. Goodman a été intronisé au Temple de la renommée du secteur minier canadien en 2012 et au Temple de la renommée de l’investissement de l’ACCVM en 2017.

 

Les plus vieux champignons connus : publication d’une chercheuse de l’Université Laurentienne dans la revue Nature

Les plus vieux champignons connus : publication d’une chercheuse de l’Université Laurentienne dans la revue Nature

27 mai 2019 - Mme Elizabeth Turner, Ph.D., professeure de géologie à l’École des sciences de la Terre Harquail, est coauteure d’un article scientifique publié cette semaine dans la revue Nature

Même si la Terre date de 4,5 milliards d’années, son archive fossile typique, qui consiste de coquilles et d’os d’organismes marins, ne comprend que 10 % de son histoire (le Phanérozoïque); l’archive de la vie complexe sur la terre ferme est même plus courte. L’archive fossile la plus évidente, visible à l’œil nu, se compose d’organismes facilement compris qui représentent l’essentiel de la diversité biologique, suggérant qu’il doit y avoir une histoire plus ancienne pendant laquelle la majorité de la diversité de la vie s’est développée, évolutivement, sans laisser de traces évidentes. Généralement, on suppose que la vie, pendant le premier 90 % de l’histoire de la Terre (le Précambrien), comptait surtout des bactéries (procaryotes), alors que des organismes plus complexes au niveau cellulaire (eucaryotes) ont émergé pendant le Précambrien. L’étude de cette phase d’évolution « cachée » est un sujet brûlant dans la recherche géologique et paléobiologique.

Des spécimens d’un champignon microscopique fossilisé, appelé Ourasphaira giraldae, ont été extraits d’un schiste d’un milliard d’années situé dans la formation de Grassy Bay, dans les Territoires du Nord-Ouest du Canada, reculant ainsi l’âge du champignon le plus ancien connu dans l’archive de fossiles de cinq cents millions d’années. Ces fossiles ont des caractéristiques physiques fongiques typiques, ressemblant aux hyphes et spores fongiques modernes.

Les champignons sont des éléments essentiels des écosystèmes modernes en raison de leur rôle dans les cycles biologiques : en décomposant la matière organique, ils font en sorte que l’énergie et les substances nutritives peuvent être réutilisées. Dans l’histoire profonde de la Terre, ils pourraient avoir joué un rôle important dans la colonisation de la terre ferme et le succès ultérieur des plantes continentales. Malgré leur importance, l’archive fossile des champignons n’est pas très dense, car ils sont difficiles à préserver dans les roches.

L’existence de champignons il y a un milliard d’années a des incidences profondes.

  1. L’assemblage de microfossiles contenant le champignon (présenté dans des publications antérieures par les mêmes chercheurs) laisse entendre qu’il existait, il y a un milliard d’années, un écosystème complexe d’eucaryotes hétérogènes et microscopiques, incluant des organismes qui réalisaient une photosynthèse, consommaient les cellules photosynthétiques ou dégradaient la matière organique (champignons), et même des microorganismes prédateurs. Le biote de la Terre a donc compris des organismes complexes et divers beaucoup plus tôt que l’on ne l’avait supposé auparavant.
     
  2. Les champignons et les animaux sont liés génétiquement (composant le groupe biologique appelé « opisthochonte ») et ont un ancêtre commun. L’existence de champignons il y a un milliard d’années indique que la séparation des deux lignées a eu lieu plus tôt dans l’histoire. Une sorte de protoanimal devait avoir existé avant ce temps, beaucoup plus tôt que l’apparition des fossiles animaux les plus âgés (650 millions d’années), et bien plus tôt que l’émergence de fossiles typiques des animaux (Phanérozoïque).
     
  3. La formation de Grassy Bay conserve des sédiments déposés dans un environnement estuarien, un endroit à la surface où la terre et la mer se rencontrent. Il est possible que le champignon fossile soit d’origine terrestre et non marine, laissant entendre qu’il pourrait y avoir eu un genre d’écosystème simple sur la terre ferme il y a un milliard d’années.

 

Monsieur Amadeo M. Parissenti est le lauréat du Prix d’excellence en recherche 2018-19

Monsieur Amadeo M. Parissenti est le lauréat du Prix d’excellence en recherche 2018-19

M. Parissenti est reconnu par l’Université Laurentienne pour ses recherches en matière de traitements anticancéreux

Le 27 mars 2019 – L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer qu’elle a conféré le Prix d’excellence en recherche 2018-2019 à M. Amadeo Parissenti, Ph. D., qui a été mis en candidature par le doyen de la Faculté des sciences, de génie et d’architecture, M. Osman Abou-Rabia, Ph. D., pour ses recherches exceptionnelles dans le suivi de la réponse tumorale à la chimiothérapie et de sa possibilité d’aider les patients. Il a reçu le prix pendant le Gala de la Semaine de la recherche de l’Université Laurentienne vendredi dernier.

Les recherches de M. Parissenti portent sur les traitements du cancer, y compris les facteurs qui favorisent ou bloquent l’efficacité de la chimiothérapie et de la radiothérapie. Avec sa société associée, Rna Diagnostics, Inc., il participe actuellement à un essai clinique international portant sur la capacité de son test de chimioréponse exclusif à prédire au début du traitement la destruction tumorale complète et l’amélioration de la survie des patientes atteintes du cancer du sein, dans le but d’aider les prestataires de soins de santé à offrir les traitements les plus efficaces avec des effets secondaires minimes. 

« M. Parissenti a atteint un niveau d’excellence en recherche exceptionnel, a déclaré M. Rizwan Haq, Ph. D., le vice-président par intérim de la recherche à l’Université Laurentienne. Son travail dans le traitement du cancer a le potentiel d’aider non seulement à réduire des traitements nocifs et inefficaces, mais également à améliorer la qualité de vie et à augmenter les taux de survie des patients atteints du cancer. »

M. Parissenti est professeur titulaire au Département de chimie et de biochimie de l’Université Laurentienne, professeur titulaire à la Division des sciences médicales de l’École de médecine du Nord de l’Ontario (EMNO), chercheur principal à l’Institut de recherches d’Horizon Santé-Nord (IRHSN) et directeur scientifique chez RNA Diagnostics, Inc.

« Je suis honoré de recevoir le Prix d’excellence en recherche 2018-2019 et je remercie mes collègues pour cette reconnaissance, a déclaré le M. Parissenti. Je tiens également à remercier l’Université Laurentienne et son Bureau des services de recherche de m’avoir guidé dans le brevetage et la commercialisation de notre test de chimioréponse et d’avoir créé un environnement stimulant pour la recherche innovante. »

M. Parissenti a un nombre impressionnant de publications, y compris six chapitres de livre rédigés en collaboration et cinquante-cinq articles évalués par des pairs. Il est titulaire de plusieurs brevets, dont certains dans plusieurs pays. De plus, il a reçu de nombreux prix, notamment le Prix de la meilleure propriété intellectuelle décerné par The IndUS Entrepreneurs (TiE) dans le cadre du concours Quest Business à Toronto.

 

AU SUJET DE L’UNIVERSITÉ LAURENTIENNE

L’Université Laurentienne est située sur le territoire couvert par le Traité Robinson-Huron de 1850 et reconnait qu’il s’agit des terres traditionnelles des Premières Nations d’Atikameksheng Anishnawbek et de Wahnapitae. La Laurentienne se fait un devoir de renforcer les fondements du savoir dans l’enseignement supérieur et la recherche et d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français assortie d’une approche englobante de l’éducation autochtone. Avec ses partenaires fédérés, elle prépare des leaders qui apportent des solutions innovatrices et intelligentes à des problèmes locaux et mondiaux. 

M. Michel Delorme est nommé doyen de la Faculté de gestion

M. Michel Delorme est nommé doyen de la Faculté de gestion

L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer la nomination de M. Michel Delorme, Ph. D., au poste de doyen de la Faculté de gestion pour une période de cinq ans, et ce, à partir du 1er juillet 2019.

Mercredi 6 mars 2019 – L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer la nomination de M. Michel Delorme, Ph. D., au poste de doyen de la Faculté de gestion pour une période de cinq ans, et ce, à partir du 1er juillet 2019.

M. Delorme a occupé plusieurs postes de cadre supérieur dans des universités américaines et européennes, notamment directeur de la Simmons University School of Business (Boston, États-Unis), vice-doyen aux affaires universitaires à la Burgundy School of Business (Dijon, France), vice-doyen aux affaires universitaires à l’École supérieure pour le développement économique et social (ESDES) de l’Université catholique de Lyon (Lyon, France) et vice-doyen du développement des connaissances et de la recherche à la Rennes School of Business (Rennes, France). 

À plusieurs reprises, il a aidé à formuler des stratégies et des procédés pour l’accréditation internationale d’écoles, notamment l’Association to Advance Collegiate Schools of Business (AACSB), l’Association of MBAs (AMBA) et la European Foundation for Management Development pour EPAS (système d'agrément de programmes d'études) et EQUIS (système d'agrément des établissements). M. Delorme détient un doctorat de l’Université de Strasbourg III / EM (Strasbourg, France), un MBA pour cadres de l’Université de Sherbrooke et un baccalauréat en administration des affaires de l’Université du Québec à Montréal.

« Nous sommes très heureux d’avoir recruté un candidat du calibre de M. Delorme. J’ai pleinement confiance qu’il exercera un leadership exceptionnel au cours des cinq prochaines années et positionnera la Faculté pour l’avenir », a dit le recteur et vice-chancelier par intérim de l’Université Laurentienne, Pierre Zundel.

L’Université tient à remercier madame Bernadette Schell pour son rôle comme doyenne intérimaire de la faculté de gestion du 1er juillet 2018 au 30 juin 2019. 

La Faculté de gestion de la Laurentienne offre des programmes de premier cycle en administration des affaires et en administration des sports. Elle offre aussi une maîtrise en administration des affaires.

 

AU SUJET DE L’UNIVERSITÉ LAURENTIENNE

L’Université Laurentienne est située sur le territoire couvert par le Traité Robinson-Huron de 1850 et reconnait qu’il s’agit des terres traditionnelles des Premières Nations d’Atikameksheng Anishnawbek et de Wahnapitae. La Laurentienne se fait un devoir de renforcer les fondements du savoir dans l’enseignement supérieur et la recherche et d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français assortie d’une approche englobante de l’éducation autochtone. Avec ses partenaires fédérés, elle prépare des leaders qui apportent des solutions innovatrices et intelligentes à des problèmes locaux et mondiaux.

L’École des mines Goodman signe un nouvel accord pour étendre ses activités d’enseignement et de recherche en Amérique latine

L’École des mines Goodman signe un nouvel accord pour étendre ses activités d’enseignement et de recherche en Amérique latine

L’École des mines Goodman de l’Université Laurentienne signe un protocole d’entente avec Core Foundation

Mardi 5 mars 2019 – L’École des mines Goodman (EMG) de l’Université Laurentienne et la Core Foundation, un organisme à but non lucratif voué à la création de nouvelles zones de savoir, découverte et d’innovation en Amérique latine, ont signé hier un protocole d’entente visant à promouvoir les activités d’enseignement et de recherche de la EMG au Pérou, Chili et Brésil. 

En combinant l’expertise terrain de la Core Foundation et les programmes d’éducation et de recherche de la Laurentienne, les deux organisations peuvent commencer à développer des relations dans les pays qui ont besoin d’une formation de calibre mondial en exploitation minière, ainsi qu’établir des partenariats internationaux en Amérique latine pour poursuivre l’éducation, la formation et la recherche dans le domaine minier. 

« Des pays comme le Pérou ont besoin de notre expertise dans les disciplines liées à l’exploitation minière. Cette entente pourrait potentiellement ouvrir de nouveaux marchés en Amérique latine afin de recruter des étudiants qualifiés et établir des collaborations de recherche », a expliqué Osman Abou-Rabia, directeur général par intérim de l’École des mines Goodman de l’Université Laurentienne.

L’Université Laurentienne est à l’avant-garde de l’enseignement minier au Canada. Au cours des dernières décennies, elle a acquis la réputation d’être la première université minière du Canada et un chef de file mondial dans l’enseignement et la recherche appliquée au domaine minier. L’expertise de la Laurentienne s’étend maintenant à l’ensemble du cycle minier : de l’exploration minière en passant par la géologie, le génie, les études autochtones, la gestion, la santé et sécurité au travail, la biorestauration et la réhabilitation environnementale.

 

AU SUJET DE L’UNIVERSITÉ LAURENTIENNE

L’Université Laurentienne est située sur le territoire couvert par le Traité Robinson-Huron de 1850 et reconnait qu’il s’agit des terres traditionnelles des Premières Nations d’Atikameksheng Anishnawbek et de Wahnapitae. La Laurentienne se fait un devoir de renforcer les fondements du savoir dans l’enseignement supérieur et la recherche et d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français assortie d’une approche englobante de l’éducation autochtone. Avec ses partenaires fédérés, elle prépare des leaders qui apportent des solutions innovatrices et intelligentes à des problèmes locaux et mondiaux. 
 

Pages