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Maamwizing 2018 : le deuxième colloque autochtone de l’Université Laurentienne est axé sur la recherche autochtone et la priorisation de la voix autochtone

Maamwizing 2018 : le deuxième colloque autochtone de l’Université Laurentienne est axé sur la recherche autochtone et la priorisation de la voix autochtone

16 novembre 2018 – L’Université Laurentienne, son nouvel Institut de recherche autochtone Maamwizing et son partenaire fédéré, l’Université de Sudbury, sont heureux d’organiser le Colloque autochtone Maamwizing 2018 sous le thème « Faire des recherches autochtones dans une bonne approche ».

S’appuyant sur le succès de la conférence inaugurale Maamwizing en 2016, cette édition vise à favoriser le dialogue critique sur les recherches autochtones en explorant les relations qui existent entre les étudiants, chercheurs et collectivités. Les entretiens aborderont entre autres la priorisation de la voix autochtone et les rôles et responsabilités des chercheurs autochtones et allochtones.

« Compte tenu de l’importance accrue accordée aux cultures autochtones dans l’enseignement postsecondaire, des chercheurs non autochtones et autochtones travaillent de concert de diverses façons », a dit Mme Celeste Pedri-Spade, directrice de l’Institut de recherche autochtone Maamwizing de l’Université Laurentienne. « Ces relations changeantes affectent la façon dont la recherche autochtone est menée et cette conférence encouragera des modes d’échange qui favorisent la conduite de la recherche avec soin, dans le bon sens. »

« En intégrant la vision et des perspectives autochtones aux activités de recherche, nous pouvons les façonner d’une manière passionnante afin de contribuer à un milieu favorisant l’apprentissage et la découverte », a dit le recteur et vice-chancelier par intérim de l’Université Laurentienne, Pierre Zundel. « Nous continuerons de contribuer aux projets de recherche qui nous aident à mieux comprendre et intégrer les principes indigènes du savoir. »

Maamwizing 2018 aura lieu du 16 au 18 novembre au campus de l’Université Laurentienne à Sudbury, Ontario. Pour obtenir un complément d’information ou la liste complète des activités, veuillez consulter la page web de la conférence.

 

AU SUJET DE L’UNIVERSITÉ LAURENTIENNE

Située sur le territoire couvert par le Traité Robinson-Huron de 1850, l’Université Laurentienne reconnait qu’elle se trouve sur les terres traditionnelles des Premières Nations d’Atikameksheng Anishnawbek et de Wahnapitae. La Laurentienne se fait un devoir de renforcer les fondements du savoir dans l’enseignement supérieur et la recherche, d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français assortie d’une approche englobante de l’éducation autochtone. Avec ses partenaires fédérés, elle prépare des leaders qui apportent des solutions innovatrices et intelligentes à des problèmes locaux et mondiaux.
 

Le programme de communication scientifique de la Laurentienne est honoré par l'Institut royal canadien des sciences

Le programme de communication scientifique de la Laurentienne est honoré par l'Institut royal canadien des sciences

Le programme, offert en partenariat avec Science Nord, est reconnu pour sa contribution à la compréhension de la science par le public

(2018-11-09) Le programme de communication scientifique de l'Université Laurentienne, en partenariat avec Science Nord, est le récipiendaire du prix William Edmond Logan 2018 de l'Institut royal canadien des sciences, qui reconnaît l'excellence dans la promotion des sciences par un organisme canadien. L'annonce a été faite ce matin à Ottawa dans le cadre de la 10e Conférence annuelle sur les politiques scientifiques canadiennes. 

Le programme de communication scientifique de la Laurentienne est unique au Canada. Il offre aux diplômés en sciences la formation nécessaire pour transformer l'information scientifique en connaissances accessibles et compréhensibles pour le public. De nombreux scientifiques reconnaissent la valeur de la vulgarisation, mais tous ne sont pas naturellement compétents en la matière. Ce programme favorise l'acquisition de ces compétences en offrant une expérience multidisciplinaire qui couvre la théorie sous-jacente à une bonne communication, ainsi que les défis pratiques d'une communication efficace de la science et des enjeux de la science dans la société.
 
Les diplômés du programme de communication scientifique de l'Université Laurentienne travaillent dans divers domaines partout au Canada et dans d'autres régions du monde, notamment à Science Nord, le partenaire du programme. Selon M. Reinhart Reithmeier, président de l'Institut royal canadien des sciences : « ces diplômés portent la communication scientifique dans ce pays à de nouveaux sommets, aidant les Canadiens de tous âges à reconnaître, comprendre et apprécier la science dans le monde qui les entoure. Nous croyons qu'il s'agit là d'un élément-clé pour favoriser une solide culture scientifique au Canada. »

« Les tendances de la recherche scientifique, de l'industrie et des politiques publiques ont fait naître un besoin de personnel qualifié dans ce domaine en pleine croissance », a déclaré Mme Chantal Barriault, Directrice du programme d'études supérieures en communication scientifique. « Les diplômés de l'Université Laurentienne sont des spécialistes de la communication des travaux des chercheurs et des scientifiques de premier plan, notamment auprès de divers publics, allant des jeunes enfants aux politiciens. Nous sommes très honorés de recevoir ce prix. »

« C'est une excellente nouvelle et une reconnaissance bien méritée pour une équipe très créative et dévouée. L’Université Laurentienne est fière d'être une pionnière dans ce domaine en pleine croissance. Je tiens aussi à souligner la contribution exceptionnelle de notre partenaire, Science Nord, dans la prestation du programme », a déclaré Pierre Zundel, recteur et vice-chancelier intérimaire de l'Université Laurentienne. 

« L'objectif principal de Science Nord est d'inspirer les gens de tous âges à s'intéresser à la science dans le monde qui les entoure. Nous communiquons la science de sorte que les gens peuvent la comprendre et l’apprécier. Lorsque le programme de communication scientifique a été lancé en partenariat avec l'Université Laurentienne, nous y avons vu un prolongement naturel de ce que nous faisons chaque jour dans nos centres des sciences. Ce prix célèbre un excellent partenariat entre deux institutions et renforce l'importance du programme de communication scientifique de même que la façon dont les diplômés de ce programme peuvent avoir un impact réel sur notre compréhension de la science aujourd'hui », a déclaré Guy Labine, chef de la direction de Science Nord.

Le programme offre aux étudiants des occasions d'apprentissage par l'expérience et l'application des principes de communication scientifique. Il propose une maîtrise (M.S.Com) ou un diplôme d'études supérieures en communication scientifique. 

De plus amples renseignements sur le programme et les conditions d'admission sont disponibles sur le site Web de l'Université Laurentienne. 

 

AU SUJET DE L’UNIVERSITÉ LAURENTIENNE

Située sur le territoire couvert par le Traité Robinson-Huron de 1850, l’Université Laurentienne reconnait qu’elle se trouve sur les terres traditionnelles des Premières Nations d’Atikameksheng Anishnawbek et de Wahnapitae. La Laurentienne se fait un devoir de renforcer les fondements du savoir dans l’enseignement supérieur et la recherche, d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français assortie d’une approche englobante de l’éducation autochtone. Avec ses partenaires fédérés, elle prépare des leaders qui apportent des solutions innovatrices et intelligentes à des problèmes locaux et mondiaux. 

 

À PROPOS DE SCIENCE NORD

Science Nord est l'attraction touristique la plus populaire du Nord de l'Ontario et une ressource éducative qui exploite les deuxième et huitième plus grands centres des sciences au Canada. Les attractions de Science Nord comprennent un centre des sciences, un théâtre IMAX®, un planétarium, une galerie de papillons, une salle d'expositions spéciales et Dynamic Earth : Home of the Big Nickel. Science Nord supervise également une unité des ventes internationales primée, qui met au point des expositions sur mesure et prêtes à l'emploi et des expériences multimédias à vendre aux centres scientifiques, musées et autres institutions culturelles du monde entier. Science Nord, en partenariat avec l'Université Laurentienne, offre le premier et le seul programme complet de communication scientifique en Amérique du Nord, un programme conjoint de maîtrise et de diplôme. Dans le cadre de son mandat, Science Nord offre des expériences scientifiques dans tout le Nord de l'Ontario, y compris des activités de sensibilisation dans les écoles et les festivals, des camps scientifiques d'été et plus encore, et a une base permanente à Thunder Bay qui assure la sensibilisation dans le Nord-Ouest. Science Nord est un organisme du gouvernement de l'Ontario. Pour de plus amples renseignements, visitez sciencenorth.ca. Pour de plus amples renseignements, visitez ScienceNorth.ca.

 

AU SUJET DE L'INSTITUT ROYAL CANADIEN DES SCIENCES

L'Institut royal canadien des sciences (RCIScience) est une plateforme d'engagement public avec d'éminents scientifiques, qui propose des causeries et des débats d'experts gratuits en direct ainsi qu'une vaste archive en ligne. Fondée en 1849, RCIS est l'une des plus anciennes sociétés de toutes sortes au Canada. Depuis 169 ans, nous nous efforçons d'atteindre l'objectif d'un public informé qui embrasse la science pour bâtir un Canada plus fort.
 

La Laurentienne en tête des universités de recherche de premier cycle au Canada

La Laurentienne en tête des universités de recherche de premier cycle au Canada

(2018-10-26) L’Université Laurentienne se classe au premier rang pour le revenu de recherche parmi les universités de premier cycle dans le classement des 50 meilleures universités de recherche au Canada, qui a été compilé par Research Infosource Inc.

Selon le classement, la Laurentienne a obtenu 32 millions en fonds de recherche pour l’exercice 2017. L’Université Laurentienne a également enregistré la plus grande croissance du revenu de recherche pour l’année parmi les établissements de sa catégorie. Ce revenu a fait un bond de 36,8 %, tandis que la croissance moyenne au pays était de 6,8 %.

Cette année, Research Infosource Inc. a mis l’accent sur les partenariats de recherche universitaire qui ont été évalués en fonction des subventions et des contributions reçues par des sociétés et des organismes sans but lucratif entre 2013 et 2017. La Laurentienne a enregistré la plus grande croissance dans cette catégorie parmi les universités de recherche de premier cycle.

L’Université se classe également au deuxième rang en matière d’intensité de la recherche par étudiant de cycles supérieurs.

En général, l’Université Laurentienne se classe au 28e rang parmi les 50 meilleures universités de recherche au Canada. Elle figurait en 30e place sur la liste de l’an dernier et au 33e rang en 2016.

« La Laurentienne continuera d’enrichir sa base de recherche, repoussant les frontières afin d’accroître les connaissances, a dit le vice-recteur à la recherche par intérim de la Laurentienne, M. Rizwan Haq. La croissance de notre revenu de recherche témoigne de l’expertise de nos chercheurs dans leurs domaines respectifs. »

« L’Université Laurentienne connaît un succès grandissant dans la recherche et l’innovation depuis plusieurs années, a affirmé le recteur et vice-chancelier par intérim, M. Pierre Zundel. Nous sommes ravis de célébrer cette réalisation encore une fois cette année et nous continuerons de nous démarquer ainsi. »

Consultez le classement complet des 50 meilleures universités de recherche au Canada de 2018.

 

AU SUJET DE L’UNIVERSITÉ LAURENTIENNE

Située sur le territoire du Traité Robinson-Huron de 1850, L’Université Laurentienne reconnait que nous sommes sur le territoire traditionnel des Premières Nations d’Atikameksheng Anishnawbek et Wahnapitae. La Laurentienne se fait un devoir de renforcer les fondements du savoir dans l’enseignement supérieur et la recherche, d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français assortie d’une approche englobante de l’éducation autochtone. Avec ses partenaires fédérés, elle prépare des leaders qui apportent des solutions innovatrices et intelligentes à des problèmes locaux et mondiaux. 

L’École de génie Bharti de l’Université Laurentienne reçoit un don de 250 000 dollars de Hard-Line

L’École de génie Bharti de l’Université Laurentienne reçoit un don de 250 000 dollars de Hard-Line

(2018-10-24) L’annonce d’un nouveau partenariat entre l’Université Laurentienne et Hard-Line a eu lieu aujourd’hui au Club universitaire.

Dans le cadre de ce partenariat, Hard-Line investira 250 000 dollars sur cinq ans dans le programme de mécatronique de l’École de génie Bharti de l’Université Laurentienne. Les fonds visent à améliorer l’expérience étudiante par le biais de la rénovation et la mise à niveau de laboratoires, l’achat de postes de travail informatisés, de meubles et d’équipement multimédia favorisant l’enseignement interactif, et l’organisation de sorties éducatives aux installations de Hard-Line.

« L’École de génie Bharti est l’une des plus grandes réussites de l’Université Laurentiennee. Elle est reconnue comme l’établissement d’enseignement formant les ingénieurs les plus talentueux dans le nord-est de l’Ontario. L’École est aussi un chef de file mondial en matière de recherche et d’éducation dans le domaine minier », a dit le directeur de l’École de génie Bharti, M. Markus Timusk, Ph. D. « Ce don témoigne de l’engagement de Hard-Line envers l’École de génie Bharti et de sa confiance à l’égard de la population étudiante de la Laurentienne. »

Enregistrant une croissance et un succès extraordinaires au cours de la dernière décennie, l’École de génie Bharti offre des programmes accrédités en génie minier, génie mécanique et génie chimique (en plus des volets environnement, mécatronique et métallurgie). Les diplômés du volet mécatronique qui possèdent des compétences spécialisées en analyse de systèmes et de logiciels d’ingénierie et en circuits électriques sont de plus en plus recherchés par de grandes entreprises, telles que Hard-Line.

« Nous sommes fiers de notre partenariat avec l’Université Laurentienne. Cette collaboration nous permet de soutenir l’avenir de notre industrie en fournissant aux étudiants les programmes et les outils dont ils ont besoin pour réussir dans un secteur en pleine évolution », a ajouté le président de Hard-Line, M. Walter Siggelkow.

 

AU SUJET DE L’UNIVERSITÉ LAURENTIENNE

Située sur le territoire du Traité Robinson-Huron de 1850, L’Université Laurentienne reconnaît que nous sommes sur le territoire traditionnel des Premières Nations d’Atikameksheng Anishnawbek et Wahnapitae. La Laurentienne se fait un devoir de renforcer les fondements du savoir dans l’enseignement supérieur et la recherche, d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français assortie d’une approche englobante de l’éducation autochtone. Avec ses partenaires fédérés, elle prépare des leaders qui apportent des solutions innovatrices et intelligentes à des problèmes locaux et mondiaux. 

 

AU SUJET DE HARD-LINE

Créé en 1996 à Sudbury, Ontario, Hard-Line est un premier producteur de technologies d’automatisation, de télé-exploitation et de contrôle à distance pour l’industrie minière. Avec des filiales en Chile, au Pérou et aux États-Unis, ainsi que son réseau mondial de distribution, Hard-Line est une entreprise internationale qui développe de nouveaux produits à partir de zéro, en mettant à profit des années d’expérience dans le domaine minier, en électronique, dans la conception électrique et dans la conception mécanique. Pour obtenir plus de renseignements au sujet de Hard-Line, consultez le site www.hard-line.com/
 

Le Centre de recherche sur la santé et sécurité au travail de la Laurentienne organise un congrès national sur l’ergonomie

Le Centre de recherche sur la santé et sécurité au travail de la Laurentienne organise un congrès national sur l’ergonomie

Le 49e congrès annuel de l’ACE est axé sur la prévention des blessures et des maladies liées au travail

(2018-10-16) Le Centre de recherche sur la santé et sécurité au travail (CRSST) de l’Université Laurentienne s’est récemment associé à l’Association canadienne d’ergonomie (ACE) pour accueillir le 49e congrès annuel de l’ACE à Sudbury du 15 au 18 octobre 2018. 

Une première au nord de l’Ontario, le congrès conjoint explore les nombreuses façons dont l’ergonomie ainsi que la compréhension de la santé et de la sécurité évoluent, et comment l’application de ces connaissances peut avoir un impact positif sur tous, quel que soit le secteur d’activité. Le thème du congrès « De la recherche à la pratique à la prévention » illustre d’ailleurs ce cycle de prévention des blessures et des maladies liées au travail.

« L’Association canadienne d’ergonomie est heureuse de travailler en collaboration avec le CRSST pour accueillir ce congrès au nord de la province », affirme Mme Patricia Hope, la présidente de l’ACE, région de l’Ontario. « L’événement de cette année souligne les travaux de recherche menés par le CRSST et reflète également les efforts continus de l’ACE à promouvoir la recherche et à faire connaître l’ergonomie », ajoute-t-elle.

Plus de 150 ergonomistes et experts en matière de la santé et sécurité au travail au Canada assisteront au congrès sur quatre jours qui comprend 39 présentations, dont sept ateliers et trois séances interactives. Les principaux conférenciers invités sont :

  • M. Neil Mansfield (professeur et chef du département d’ingénierie, Université de Nottingham Trent, Royaume‑Uni);
  • Mme Catherine Trask, Ph. D. (titulaire de la Chaire de recherche du Canada en ergonomie et en santé musculosquelettique et professeure agrégée au Centre canadien de santé et sécurité en milieu agricole, Université de la Saskatchewan);
  • Mme Marie Laberge, Ph. D. (professeure agrégée à l’École de réadaptation de l’Université de Montréal); et
  • M. Richard Gasaway, Ph. D. (président et consultant principal chez Gasaway Consulting Group et expert scientifique en chef, questions en matière de conscience situationnelle).

« Le congrès de l’ACE a toujours été l’un de mes congrès préférés en raison de la présence de praticiens et de chercheurs et du partage de renseignements à l’égard de la recherche, et ce, de façon pratique, » a ajouté la directrice adjointe du CRSST, Mme Alison Godwin, Ph. D. « Nous sommes ravis de collaborer avec l’ACE et de souligner notre recherche appliquée. » 

Le congrès ACE-CRSST 2018 coïncide avec le Mois mondial de l’ergonomie, une initiative annuelle visant à sensibiliser les gens aux risques de troubles musculosquelettiques présents sur le lieu de travail tout en promouvant le rôle que peut jouer l’ergonomie dans l’amélioration de la santé et de la sécurité. 
 

AU SUJET DE L’UNIVERSITÉ LAURENTIENNE

Située sur le territoire du Traité Robinson-Huron de 1850, L’Université Laurentienne reconnaît que nous sommes sur le territoire traditionnel des Premières Nations d’Atikameksheng Anishnawbek et Wahnapitae. La Laurentienne se fait un devoir de renforcer les fondements du savoir dans l’enseignement supérieur et la recherche, d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français assortie d’une approche englobante de l’éducation autochtone. Avec ses partenaires fédérés, elle prépare des leaders qui apportent des solutions innovatrices et intelligentes à des problèmes locaux et mondiaux. 
 

L'Université Laurentienne inaugure son nouveau centre de recherche, d’innovation et de génie

L'Université Laurentienne inaugure son nouveau centre de recherche, d’innovation et de génie

  La Laurentienne célèbre l’inauguration de l’Édifice de recherche, d’innovation et de génie Cliff-Fielding de 30  000  000 $

Aujourd’hui, le député de Sudbury Paul Lefebvre s’est joint à des partenaires locaux, à des membres de la collectivité, ainsi qu’au personnel, au corps professoral et à la population étudiante de l’Université Laurentienne pour l’inauguration du nouvel Édifice de recherche, d’innovation et de génie Cliff-Fielding, événement qui entrera dans l’histoire de l’établissement.

Les nouvelles installations de 60 000 pieds carrés situées sur la Place des fondateurs du campus de Sudbury (entre les édifices Parker et Fraser) hébergent tous les programmes de génie, à savoir génie minier, chimique et mécanique, avec un espace pour l’ajout d’un futur programme complet de génie civil. « Le besoin d’un nouvel édifice se ressentait de manière critique, a dit le vice-recteur intérimaire à la recherche, M. Rizwan Haq, car l’effectif dans nos programmes de génie a augmenté de 700 étudiants au cours de la dernière décennie, sans aucun nouvel espace pour eux. »

L’édifice abritera également des locaux de recherche-développement, d’innovation et de commercialisation et des installations d’analyse de pointe pour les chercheurs et les secteurs industriels. Chacun de ces locaux a été établi en consultation avec le secteur industriel local afin d’optimiser les possibilités de collaboration interdisciplinaire.

« Cet édifice est remarquable et témoigne de notre engagement envers la réussite de la population étudiante et les besoins de notre collectivité a dit la présidente du Conseil des gouverneurs, Mme Jennifer Witty. Ce n’est pas seulement un édifice; cela représente l’engagement de l’Université Laurentienne envers le leadership en matière de recherche et d’innovation. »

Annoncé il y a deux ans, le 23 septembre 2016, le projet de 30 000 000 $ a été conçu par Yallowega Bélanger Salach Architecture à Sudbury et construit par M. Sullivan and Sons. Les gouvernements fédéral et provincial y ont investi 27 400 000 $ et des donateurs privés ont investi des fonds additionnels. Un don de 3 000 000 $ de Mme Lily Fielding et sa famille a été reconnu en baptisant l’édifice. Le nouveau centre de recherche et de développement de l’Université situé dans l’immeuble a été baptisé en honneur d’un don de 1 000 000 $ de la famille Perdue.

« Beaucoup de personnes et de partenaires clés ont joué un rôle clé pour concrétiser cet agrandissement critique des locaux de recherche et d’innovation, a ajouté le recteur et vice-chancelier par intérim de la Laurentienne, M. Pierre Zundel. L’Édifice de recherche, d’innovation et de génie Cliff Fielding profitera non seulement à la population étudiante, mais favorisera considérablement l’activité économique dans la Ville du Grand Sudbury, le nord-est de l’Ontario et ailleurs. »

L’Université Laurentienne nomme la vice-rectrice associée à l’apprentissage et à l’enseignement

L’Université Laurentienne nomme la vice-rectrice associée à l’apprentissage et à l’enseignement

L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer la nomination de Mme Shelley Watson

Le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne a approuvé à l’unanimité la nomination de Mme Shelley Watson, Ph. D., au poste de vice-rectrice associée à l’apprentissage et à l’enseignement pour un mandat renouvelable de cinq ans, à compter du 1er juillet 2018.

« Mme Watson connaît bien la communauté et la culture de la Laurentienne, a dit le vice-recteur intérimaire aux études, M. Serge Demers, Ph. D., et a apporté d’importantes contributions au fil des ans pour que l’Université soit un établissement de premier plan en matière d’excellence en enseignement. Je suis très heureux d’annoncer officiellement cette nomination. »

En juillet 2007, Mme Watson a été nommée professeure adjointe au Département de psychologie de l’Université Laurentienne, où elle a obtenu la permanence en 2011. Elle a reçu le Prix d’excellence en enseignement en 2016 et a été promue au rang de professeur titulaire l’année suivante. Elle a été doyenne intérimaire de la Faculté des études supérieures en 2016, coordonnatrice du programme de maîtrise interdisciplinaire en santé et membre du comité directeur du Plan stratégique 2018-2023 de l’Université Laurentienne. Mme Watson a obtenu un doctorat en psychologie éducationnelle de l’Université d’Alberta en 2008 et une M.Ed. en enseignement et apprentissage de l’Université Brock. Elle préside actuellement le groupe d’intérêt commun sur la recherche de l’Ontario Association on Developmental Disabilities et siège au conseil du CERD de Sudbury-Manitoulin.

En qualité de vice-rectrice associée intérimaire à l’apprentissage et à l’enseignement, Mme Watson a dirigé pendant la dernière année plusieurs initiatives clés, dont la création du Carrefour d’apprentissage, l’organisation du premier jour de l’enseignement et de l’apprentissage de l’Université et l’établissement du programme de professionnels en enseignement en résidence.

« À l’Université Laurentienne, l’enseignement et l’apprentissage nous définissent, a dit Mme Watson. Je m’enorgueillis de continuer à jouer un rôle de leader tant à la Laurentienne qu’au Centre d’excellence universitaire, en favorisant et appuyant l’enseignement de grande qualité et en assurant des expériences d’apprentissage du plus haut calibre aux membres de la population étudiante. »

La nomination de Mme Shelley Watson a fait l’objet d’une recommandation à la suite d’un processus exhaustif de recrutement par un comité composé de douze membres du Conseil, du corps professoral, de la population étudiante et de l’administration.

Renouvellement du mandat du chancelier de l’Université Laurentienne

Renouvellement du mandat du chancelier de l’Université Laurentienne

Steve Paikin de TVO exercera un deuxième mandat à titre de chancelier jusqu’en 2021

L’Université Laurentienne a approuvé à l’unanimitél e renouvellement du mandat de M. Steve Paikin à titre de chancelier pour une période de trois ans, à compter du 1er juillet 2018.

En 2013, M. Steve Paikin a été nommé le deuxième chancelier de l’Université Laurentienne pour un mandat de cinq ans. Depuis ce temps, il a présidé à cinq reprises le Parlement modèle de la Laurentienne dans la Chambre des communes, tout en représentant l’Université dans beaucoup de fonctions honoraires. Il a en outre présidé de nombreuses cérémonies de collation des grades et les participants ont exprimé de maints éloges à l’égard de ses interactions sur la scène avec les nouveaux diplômés.

« C’est pour moi un grand honneur qu’on me demande d’exercer un deuxième mandat comme chancelier de l’Université Laurentienne, établissement dont la population étudiante, le corps professoral, le personnel et les diplômés contribuent considérablement à un monde plus sain, durable et inclusif, a indiqué M. Paikin. Je suis déterminé à collaborer avec les membres compétents du Conseil des gouverneurs et du Sénat et les nombreux partenaires et champions de l’Université pour rehausser et façonner les prochaines années à la Laurentienne. »

Journaliste, auteur, réalisateur de documentaires et personnalité reconnue de la télévision canadienne, M. Paikin a attiré l’attention nationale sur l’Université Laurentienne. Il est chef d’antenne-directeur principal de l’émission d’actualité The Agenda with Steve Paikin à TVO, qui a souvent recours à l’expertise de l’Université Laurentienne.

M. Paikin est titulaire de doctorats honorifiques de l’Université Laurentienne, de l’Université Victoria à l’Université de Toronto, de l’Université McMaster et de l’Université York et de diplômes honorifiques des collèges Humber, Centennial et Mohawk. En 2012, on a décerné à M. Paikin une Médaille du jubilé de la Reine pour souligner ses contributions marquantes à la société canadienne. En décembre 2013, il a été nommé officier de l’Ordre du Canada pour ses contributions à titre de journaliste qui informe et instruit ses spectateurs et les fait participer à tout un éventail de questions liées à la politique publique, et en 2014, il a été intronisé à l’Ordre de l’Ontario. Il est l’auteur de sept livres.

« Nous sommes fiers que M. Paikin soit le chancelier de l’Université Laurentienne et heureux qu’il ait accepté d’accomplir un deuxième mandat, a dit la présidente du Conseil des gouverneurs de l’UL, Mme Jennifer Witty. M. Paikin incarne les valeurs communes définies dans notre Plan stratégique Ensemble. Together. Maamwi et nous nous réjouissons à la perspective de son leadership soutenu en qualité d’ambassadeur de la Laurentienne. »

L’Université Laurentienne lance son Plan stratégique 2018-2023: Together. Ensemble. Maamwi.

L’Université Laurentienne lance son Plan stratégique 2018-2023: Together. Ensemble. Maamwi.

Les valeurs fondamentales définissent la façon de procéder de la Laurentienne en misant sur cinq domaines qui représentent des forces et visant 25 résultats

17 janvier 2017 - Aujourd’hui, l’Université Laurentienne a lancé son Plan stratégique 2018-2023 qui s’articule autour de cinq valeurs partagées, à savoir le Nord nous inspire; la réussite de notre population étudiante est notre réussite; l’enseignement et l’apprentissage nous définissent; la curiosité est le moteur de nos recherches; les relations sont notre priorité.

« Le Plan stratégique 2018-2023 de la Laurentienne englobe les valeurs fondamentales de notre Université, a dit le recteur et vice-chancelier par intérim de l’Université Laurentienne, M. Pierre Zundel, Ph.D. Nous avons épousé notre identité ainsi que nos forces collectives afin de préciser 25 résultats à concrétiser. Ce plan stratégique reflète notre population étudiante, notre corps professoral et notre personnel, leur travail, et l’incidence positive que la Laurentienne continuera d’avoir sur le monde entier. Ensemble, nous façonnerons l’avenir. »

Voici les cinq aspirations clés qui sont les éléments centraux du plan :

  • L’Université Laurentienne sera un leader dans le processus de la réconciliation par l’entremise de la recherche et de l’enseignement postsecondaire transformateur.
  • La Laurentienne sera un catalyseur des communautés et cultures franco-ontariennes dynamiques dans tout     l’Ontario et ailleurs.
  • L’Université Laurentienne créera des connaissances interdisciplinaires pour offrir des solutions incontournables aux défis complexes de la société.
  • L’expertise de l’Université Laurentienne en exploitation minière et en gestion environnementale sera le moteur de la création de connaissances, de la prospérité économique et de la durabilité écologique à l’échelle locale, nationale et internationale.  
  • L’Université Laurentienne offrira des solutions innovatrices aux préoccupations particulières pour favoriser le bien-être général, du Nord et de ses populations en matière de santé.

 

Le plan stratégique a été mis au point en procédant à une vaste consultation à laquelle ont contribué quelque 1 500 membres de la population étudiante, du corps professoral et de personnel, diplômés, représentants communautaires, partenaires industriels et membres du Conseil des gouverneurs. Un total de 50 séances ont été tenues sur le campus, dans des écoles primaires et secondaires, et dans des communautés comme Ottawa, Sault Ste. Marie, Timmins, le canton de Coleman, M’Chigeeng et Sudbury.

« La participation tout au long du processus a été incroyable et tous nos réseaux nous ont fourni une rétroaction de haut calibre, a dit la conseillère spéciale auprès du recteur, Mme Linda Ambrose, Ph.D. Au cours des cinq prochaines années, nous nous concentrerons beaucoup sur la connectivité et l’engagement de la Laurentienne à rehausser les possibilités de collaboration. La portée de notre université est vaste et ses répercussions se font évidentes de près et de loin. Ce que nous réalisons retentit auprès des gens et aide à créer des communautés dynamiques, bien informées et en santé. »

À la suite d’un processus de dix mois, le comité directeur de 24 membres a recommandé à l’unanimité le Plan stratégique 2018-2023, qui a été reçu par le Sénat de l’Université et approuvé par le Conseil des gouverneurs en décembre 2017.

 « La Laurentienne est un microcosme du Canada : nous sommes dans le Nord; nous sommes bilingues; nous prônons résolument la réconciliation. Nos forces sont à la base de ce que nous voulons accomplir, a dit M. Zundel. Les résultats que nous atteindrons incarnent nos valeurs et les possibilités exceptionnelles que nous offrons grâce à notre emplacement dans le nord-est de l’Ontario, à notre engagement envers la formation autochtone, à nos programmes bilingues et à notre expertise en matière d’exploitation minière, d’environnement, de mino-bimaadiziwin et de bien-être. »

« Nos meilleurs résultats sont ceux fondés sur la collaboration, a ajouté la présidente du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne, Mme Jennifer Witty. Nous sommes très reconnaissants aux personnes qui ont apporté leurs réflexions et idées au processus façonnant l’avenir de la Laurentienne sur les cinq prochaines années et sommes impatients de voir allier le corps professoral, le personnel, la population étudiante et nos partenaires pour la mise en œuvre de notre Plan stratégique 2018-2023. »   

Le plan complet en fichier PDF est téléchargeable à laurentienne.ca/planstrategique.

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, l’Université Laurentienne s’engage à renforcer le fonds de connaissances en enseignement supérieur et recherche afin d’offrir une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation autochtone. Elle travaille de pair avec ses partenaires fédérés pour préparer des leaders qui apportent des solutions innovatrices et intelligentes aux enjeux locaux et mondiaux.

Les chercheurs du CRSST a l’Université Laurentienne reçoivent trois subventions du gouvernement de l’Ontario

Les chercheurs du CRSST a l’Université Laurentienne reçoivent trois subventions du gouvernement de l’Ontario

16 janvier 2017 - Le Centre de recherche en santé et sécurité au travail (CRSST) de l’Université Laurentienne recevra du gouvernement de l’Ontario de nouvelles subventions de recherche totalisant quelque 300 000 $. Le ministre de l’Énergie de l’Ontario et député provincial de Sudbury, M. Glenn Thibeault, en a fait l’annonce aujourd’hui, dans le laboratoire du CRSST, en compagnie du recteur et vice-chancelier par intérim de l’Université Laurentienne, M. Pierre Zundel.

L’Ontario remettra un total de 310 000 $ à des projets innovateurs de recherche et à des brillants chercheurs. Le financement prêtera un soutien aux chercheurs du CRSST effectuant trois projets qui abordent les dangers liés aux appareils mobiles, favorisent la santé et la sécurité professionnelles chez les autochtones dans le nord de l’Ontario et améliorent la sécurité des personnes qui travaillent près de l’équipement lourd.  

 

Ces trois octrois sont les suivants :

  • 182 000 $ du Programme d’innovation pour la prévention, la santé et la sécurité au travail du ministère du Travail pour appuyer le projet : Development of Knowledge Transfer Kits to Address Mobile Equipment Hazards.
    Responsable du projet : Tammy Eger, Ph.D.
    Buts du projet : Mettre au point trois trousses de transfert de connaissances abordant les dangers suivants liés à l’utilisation d’appareils mobiles : 1) la ligne de vision et la connaissance de la situation; 2) l’exposition aux vibrations; 3) la fatigue et les troubles musculosquelettiques. Ces trousses s’adressent aux formateurs en matière de santé et sécurité en milieu de travail.
  • 68 000 $ du Programme des perspectives de recherche : Recherche axée sur le milieu de travail du ministère du Travail pour soutenir le projet : Mino-nokiiwin : Advancing an Understanding of Indigenous Occupational Health and Safety in Northeastern Ontario.
    Responsables du projet : Nancy Lightfoot, Ph.D., et Darrel Manitowabi, Ph.D.
    Buts du projet : En ojibwé, le mot mino-nokiiwin signifie un bon environnement de travail. Ce projet permettra d’indiquer les facteurs qui nuisent ou contribuent à celui-ci dans les collectivités autochtones.

  • 59 000 $ du Programme des perspectives de recherche : Données et mise en pratique à l’appui du projet : Improving line of sight knowledge for pedestrians working around heavy equipment.
    Responsable du projet : Alison Godwin, Ph.D.
    Buts du projet : Élaborer et mettre à l’épreuve une intervention en réalité virtuelle touchant la ligne visuelle afin d’améliorer la conscientisation et les connaissances à ce sujet des travailleurs qui se déplacent quotidiennement autour de l’équipement lourd.

 

Ces projets de recherche ont fait l’objet d’une évaluation rigoureuse par les pairs, y compris des experts universitaires et de l’industrie, et ont été choisis en raison de l’excellence de recherche et des avantages sociétaux qu’ils apportent aux Ontariens. Ces projets misent sur les recherches innovatrices en cours au CRSST et favorisent de nouvelles découvertes appuyant les pratiques exemplaires dans le milieu de travail. 

« Étudier les importants risques liés à l’utilisation d’appareils mobiles a été relevé comme prioritaire dans l’Examen sur la santé, la sécurité dans les mines et la prévention de 2015, a affirmé le ministre Thibeault. En outre, en abordant les problèmes dans les milieux autochtones de travail, nous ouvrons le dialogue sur ce qu’il faut pour améliorer la santé et la sécurité professionnelles des autochtones au travail. »

La titulaire de la Chaire de recherche du CRSST, Mme Tammy Eger, et la directrice, Mme Sandra Dorman, croient que ces fonds aideront à favoriser le développement et la mise en œuvre de la stratégie de recherche et d’innovation du Centre. Elles réaffirment aussi l’engagement de la province envers la viabilité à long terme de l’unique Centre de recherche en santé et sécurité au travail voué aux besoins précis en recherche dans le nord de l’Ontario

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, l’astrophysique des particules ainsi que la santé et la sécurité professionnelles.

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