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L’Université Laurentienne célèbre les subventions fédérales à la découverte du CRSNG

L’Université Laurentienne célèbre les subventions fédérales à la découverte du CRSNG

Du financement de 820 000 $ et de 470 000 $ appuiera la recherche.

27 juin 2022 – Des chercheurs de l’Université Laurentienne, de l’Université de l’EMNO et de l’Institut de recherche d’Horizon Santé-Nord ont reçu 820 000 $ du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG) pour financer cinq études.

Le Programme de subventions à la découverte est le programme le plus important et le plus ancien du CRSNG. Ces subventions appuient des domaines de recherche comme la biologie, la chimie et la biochimie, les sciences de la terre, le génie, les sciences de l’activité physique, les mathématiques et l’informatique, et la physique, et sont habituellement d’une durée de cinq ans. Elles offrent aux meilleurs chercheurs du Canada le financement de base et la liberté d’explorer leurs idées les plus prometteuses qui pourraient mener à d’importantes percées. Le CRSNG a aussi alloué 470 000 $ supplémentaires pour aider le corps professoral affilié à mener des recherches en physique subatomique.

« Le Programme de subventions à la découverte est essentiel pour les chercheurs en sciences naturelles et en génie. Cet investissement du gouvernement fédéral permettra aux chercheurs de l’Université Laurentienne et à leurs partenaires de l’Institut de recherche d’Horizon Santé-Nord et de l’Université de l’EMNO d’avoir les ressources nécessaires pour enrichir les connaissances dans des domaines vitaux pour le Canada, a déclaré la vice-rectrice à la recherche, Tammy Eger. Nous sommes extrêmement fiers des récipiendaires des subventions et de leurs équipes, y compris des étudiants des cycles supérieurs qui auront la possibilité d’améliorer leur apprentissage grâce à ces subventions. »

Les récipiendaires des subventions à la découverte du CRSNG de la Laurentienne et de ses organismes affiliés sont :

  • Brent Lievers: Quantifying the nature and consequences of morphological changes in trabecular bone structural units
  • Corey Laamanen: Microalgae production of high-value antioxidants in Canada
  • Guangdong Yang: Deciphering the roles of cystathionine gamma-lyase/H2S system in Fe-S protein biogenesis and iron homeostasis
  • Sujeenthar Tharmalingam (primary appointment at NOSM University): Elucidating the role of long noncoding RNA (lncRNA) in the DNA damage response
  • Chris Verschoor (primary appointment at Health Sciences North Research Institute): Exploring how age impacts the TNF-mediated activation of monocytes

Trois de ces chercheurs (Laamanen, Tharmalingam et Verschoor) ont aussi reçu un supplément Tremplin vers la découverte attribué à des chercheurs en début de carrière qui reçoivent une subvention à la découverte pour la première fois. 

« L’Université Laurentienne continue de repousser les limites de la découverte, a ajouté le recteur et vice-chancelier, Robert Haché. Nous saluons les efforts de nos chercheurs chevronnés qui investissent énormément dans la recherche scientifique. Félicitations à tous les récipiendaires qui méritent ces subventions et feront des percées. »

La Laurentienne offrira la plupart des cours sur le campus cet automne

La Laurentienne offrira la plupart des cours sur le campus cet automne

Vers un retour partiel aux cours en personne

11 mai 2021 -- Avec le début du trimestre du printemps 2021, l’Université Laurentienne se tourne vers l’automne 2021 avec des plans pour reprendre les activités en face à face et les cours en personne sur le campus.
 
L’accent pour ce trimestre est de fournir la meilleure expérience étudiante possible tout en préservant la santé, la sécurité et le bien-être de notre communauté.
 
« Tout au long de la pandémie, nous avons accordé la plus grande importance à la sécurité de notre communauté, a dit le recteur et vice-chancelier, M. Robert Haché. Nous comprenons que notre population étudiante souhaite étudier sur le campus, et nous nous réjouissons à la perspective de lui permettre de le faire dans un environnement sécuritaire et contrôlé. »
 
L’Université collaborera avec le corps professoral, la population étudiante et le personnel pour réaliser le retour de la population étudiante et d’enseignement en toute sécurité du plus grand nombre possible de cours sur le campus. Les facteurs qui guideront le plan sont l’importance de l’expérience étudiante en personne, les exigences de l’apprentissage pratique et les mesures supplémentaires qui peuvent être prises pour offrir les cours sur le campus en toute sécurité. En outre, l’Université doit tenir compte de tous les scénarios potentiels pour septembre 2021 tout en travaillant avec les instances locales de santé publique. Elle continuera d’offrir une multitude de programmes en ligne permettant à des étudiants de partout dans le monde d’y étudier virtuellement.
 
« Nous savons que l’année écoulée a été très difficile pour notre population étudiante et tenons à faire tout en notre pouvoir pour améliorer son expérience à l’automne 2021, a indiqué M. Haché. La pandémie a eu une grande incidence sur son expérience universitaire et nous voulons l’aider autant que possible à revenir sur le campus. Nous avons bien hâte d’effectuer ce retour. »
 
L’Université continue d’offrir du soutien à distance à la population étudiante, au corps professoral et au personnel dans leurs activités quotidiennes. Le trimestre d’automne se tiendra de septembre à décembre 2021.
 
L’Université Laurentienne a été un chef de file dans la réponse à la pandémie de COVID-19 et la première université publique du Canada à comprendre la gravité de la pandémie en suspendant les cours en personne en mars 2020. Nous continuerons de montrer la voie dans la planification du retour sur le campus.
 
Cet automne, nous espérons accueillir à nouveau la population étudiante, le corps professoral et le personnel sur le campus.

La Laurentienne couronne une autre fructueuse Semaine de la recherche à la cérémonie de remise de prix

La Laurentienne couronne une autre fructueuse Semaine de la recherche à la cérémonie de remise de prix

La communauté met en valeur la bonne éthique de travail et les approches innovatrices à l’apprentissage

(Le 2 mars 2020) : Pour clôturer la Semaine de la recherche, qui a été aussi agréable qu’achalandée, l’Université Laurentienne a rendu hommage à certains des esprits les plus brillants de sa communauté lors du gala de remise de prix.

Prix d’innovation
Lauréate du Prix d’innovation de cette année, Mme Nancy Young, qui est directrice de l’École de santé dans les milieux ruraux et du Nord et titulaire de la Chaire de recherche en santé infantile en milieux ruraux et du Nord, s’évertue à améliorer la vie des enfants partout dans le monde. Le gouvernement fédéral a octroyé récemment 1 500 000 $ à IaMWell, programme de santé mentale pour les jeunes autochtones créé en partie grâce aux efforts de Mme Young. Le Prix d’innovation de l’Université Laurentienne, décerné à Mme Young, reconnaît les membres du corps professoral dont les recherches ont débouché sur une technologie, un procédé ou un produit des plus innovants et avantageux pour la communauté universitaire et la société en général.

Prix d’excellence en recherche
Félicitations au directeur du Programme de théâtre à l’Université Laurentienne, M. Alain Doom, auteur publié, éducateur primé et dramaturge, qui a gagné le Prix d’excellence en recherche. Son œuvre la plus récente, Le Club des éphémères, sera présentée en mars au Théâtre du Nouvel-Ontario, à Sudbury. Le Prix d’excellence en recherche est remis aux personnes qui ont enregistré un rendement exceptionnel dans un ou plusieurs domaines de recherche au cours des cinq dernières années. Les travaux de M. Doom ont rehaussé le prestige et la réputation de l’Université Laurentienne. Il donnera une conférence spéciale pendant la Semaine de la recherche 2021.
 
Consultez une liste des lauréats

CITATION
« Félicitations au Bureau des services de recherche, au Vice-rectorat à la recherche et à la Faculté des études supérieures qui ont assuré le succès de la Semaine de la recherche. Nous avons raison de célébrer. Je tiens à remercier toutes les personnes qui apportent une contribution à la croissance de notre établissement; j’ai hâte de voir les voies qu’elles se frayeront à l’avenir. » M. Robert Haché, recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne
 

Les nouveaux panneaux trilingues à la Laurentienne reflètent la première langue parlée sur ce territoire

Les nouveaux panneaux trilingues à la Laurentienne reflètent la première langue parlée sur ce territoire

Anglais, français et anishinaabemowin sur tout le campus

Le 26 août 2019 -- Aani. Des personnes qui parlent anishinaabemowin ont donné une nouvelle apparence à la Laurentienne au cours de l’été en assurant la traduction pour les nouveaux panneaux trilingues installés partout sur le campus. À compter de ce semestre, tous les membres de notre communauté seront accueillis par des panneaux en anglais, en français et en anishinaabemowin, la langue du territoire sur lequel la Laurentienne est située.

Nous désirons remercier Mme Mary Anne Corbière qui a travaillé assidument sur cette initiative, et qui s’efforce de consolider la présence de l’anishinaabemowin depuis 25 ans. À titre de membre du corps professoral du Programme des études autochtones à l’Université de Sudbury, elle continue de jouer un rôle clé dans la revitalisation de la langue. Nous désirons aussi remercier M. Dominic et Mme Brenda Beaudry de Akinomaagewin Consulting, ainsi que Mme Isadore Toulouse. Mme Carole Perreault a assuré la logistique cruciale de l’initiative. Les gardiens du savoir des nations autochtones sont essentiels pour assurer la vitalité de l’anishinaabemowin. Nous ne pourrons jamais leur témoigner assez notre reconnaissance.

Tous les membres de la communauté de l’Université Laurentienne s’emploient à honorer le Traité Robinson-Huron, une entente vieille de 169 ans qui établit les relations entre les peuples autochtones et allochtones de ce territoire. Notre établissement se trouve sur le territoire anishinaabe, particulièrement celui des Atikameksheng Anishnawbek. Nous rendons également hommage à la Première Nation de Wahnapitae. Notre université est fière d’honorer le traité en paroles et en actes.

Le changement de signalisation fait partie de notre Plan stratégique, Imagine 2023, qui vise à faire de notre université l’école de choix pour les étudiants du Nord, francophones et autochtones du monde entier.

 

CITATIONS

« Étant donné que l’Université Laurentienne se trouve sur le territoire des Atikameksheng Anishnawbek, je suis ravie de savoir que l’histoire et la langue du peuple Anishnawbek sont reconnues dans toute l’Université grâce aux panneaux trilingues. » - Valerie Richer, chef des Atikameksheng Anishinawbek

« Nous sommes fiers de notre nouvelle signalisation. Notre mandat triculturel est toujours en tête de nos priorités, et le fait de bien le représenter sur l’ensemble de notre campus est une étape importante. La promotion de l’utilisation et de l’apprentissage de l’anishinaabemowin est une priorité définie dans notre Plan stratégique, et nous continuerons de l’appuyer. » - Robert Haché, recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne

« Il est réconfortant pour notre Première Nation de voir la langue anishnaabemowin reconnue et utilisée à l’Université Laurentienne. J’ai non seulement reçu des commentaires positifs des membres de la Première Nation de Wahnapitae, mais aussi d’autres Premières Nations. » - Larry Roque, chef de la Première Nation Wahnapitae

Haykuykuy! Bienvenidos! La Laurentienne accueille des chercheurs du Pérou

Haykuykuy! Bienvenidos! La Laurentienne accueille des chercheurs du Pérou

Rencontre axée sur l'environnement

15 août 2019 – Cette semaine, l’Université Laurentienne est heureuse d’accueillir d’éminents collègues de l’étranger, à savoir une délégation de chercheurs du Pérou. Six chercheurs et représentants péruviens seront de passage sur le territoire couvert par le traité Robinson-Huron pour participer à un atelier d’une semaine visant à formuler des stratégies environnementales. Parmi les invités distingués, il faut souligner le vice-ministre des Mines au ministère de l’Énergie et des Mines du Pérou, M. Augusto Cauti. L’École des mines Goodman a développé une série de cours à l’intention toute particulière des délégués.

L’objectif principal des ateliers est de prêter un appui aux participants pour l’élaboration d’un plan de restauration environnementale adapté à leur région respective. Il s’agira surtout de partager des connaissances touchant les fructueux efforts de remise en état à Sudbury et de montrer aux délégués des façons d’accomplir ce travail de collaboration. Entre autres, les cours aborderont l’obligation de faire des consultations, la mise en place de règlements pour la protection de l’environnement et la surveillance de la qualité de l’eau.

Cette visite fait suite à celle de notre délégation qui est allée dans quatre états du Pérou en mai dernier organisée par la fondation CORE. Pour marquer l’occasion, la Ville du Grand Sudbury a commandité un repas autochtone qui sera donné le mercredi soir et auquel assistera le maire, M. Brian Bigger.

Nous souhaiterons aux délégués biindigen, welcome, bienvenidos, haykuykuy ou la bienvenue tout en espérant qu’ils repartent insufflés d’inspiration et de motivation à l’égard de l’importante tâche de reverdissement qui les attend.

 

CITATION

« Partager l’histoire de restauration de Sudbury, notre engagement envers les collectivités autochtones et le rôle de notre université à appuyer des chercheurs qui sont des chefs de file mondiaux, a dit le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Robert Haché, permet de jeter des bases solides pour la collaboration. »

L’Université Laurentienne reçoit 250 000 $ de TPEI Foundation pour la création de bourses appuyant les échanges d’étudiants

L’Université Laurentienne reçoit 250 000 $ de TPEI Foundation pour la création de bourses appuyant les échanges d’étudiants

Ce partenariat exceptionnel permettra aux étudiants canadiens de faire des études en Chine et aux étudiants chinois d’étudier au Canada.

15 août 2019 – La population étudiante de l’Université Laurentienne est reconnaissante envers TPEI Accounting and Education Foundation qui a fait un don de 250 000 $ pour appuyer les études. Ce don financera des bourses qui permettront à des étudiants en comptabilité de la Chine d’étudier à la Laurentienne à titre d’étudiants invités pendant quatre mois. De même, il apportera un appui financier à des étudiants canadiens qui étudieront dans le programme professionnel de comptabilité mondialisée à la Zhejiang University of Finance & Economics (ZUFE). 
    
Ce don à une université canadienne est une première pour la TPEI Foundation. Ses cofondateurs, M. Leung Kam Chi (Oliver) et Mme Ko Fung Man (Barbara), collaborent avec des universités canadiennes depuis plus de 20 ans et considèrent que cela constitue un excellent moyen de redonner. « Nous sommes chanceux d’être en mesure de financer ces expériences exceptionnelles pour les étudiants de la Laurentienne et de la ZUFE, leur permettant de mieux comprendre la comptabilité sous une optique mondiale et d’élargir leurs perspectives. C’est une journée très importante pour nous. »  

Pour l’Université Laurentienne, le don s’aligne parfaitement sur les objectifs énoncés dans le Plan stratégique 2018-2023. « La réussite de nos étudiants est notre réussite, a dit le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Robert Haché. Grâce à ces fonds, nous créons des possibilités et des expériences d’apprentissage sans pareil pour les études à l’étranger. Plus que jamais, nos étudiants en commerce doivent penser globalement, et ce don leur ouvre encore plus de possibilités. »

Ce don permettra à quatre étudiants chinois de se rendre à Sudbury en septembre et 10 autres arriveront en janvier. La TPEI Foundation appuie fermement les jeunes universitaires qui cherchent à élargir leur perspective mondiale tout en obtenant un enseignement de haut calibre en comptabilité et finances.

 

Au sujet de TPEI Accounting and Education Foundation

En 2015, TPEI Accounting and Education Foundation (TPEI Foundation) a été fondée en vertu de la loi fédérale du Canada. Sa mission est de préparer le personnel enseignant à présenter un contenu pédagogique conforme à des normes élevées reconnues mondialement et à former les jeunes afin qu’ils deviennent de futurs leaders ayant des normes éthiques élevées. Elle a comme vision de servir de passerelle et de soutien pour la prestation d’un enseignement de qualité qui formera des professionnels compétents au Canada et en Chine.

Hatch fait un don de 250 000 $ à l’École de génie Bharti

Hatch fait un don de 250 000 $ à l’École de génie Bharti

Les fonds créeront des bourses pour les études en génie à tous les cycles

Mercredi, 30 janvier 2019 – Hatch a annoncé aujourd’hui qu’il s’engage à verser 250 000 $ à l’Université Laurentienne sur cinq ans pour créer un fonds de bourse à l’intention des membres de la population étudiante inscrits aux programmes à tous les cycles de l’École de génie Bharti.

Grâce à des programmes agrémentés dans les domaines de génie minier, chimique et mécanique, l’École de génie Bharti est reconnue comme l’un des meilleurs viviers de talents en génie au Canada et un leader en recherche et formation minières dans le monde. Ses collaborations avec des partenaires locaux, provinciaux, nationaux et internationaux ainsi que des leaders de l’industrie rehaussent davantage l’expérience des étudiants tout en créant des possibilités mutuellement avantageuses. 

« Nous sommes très reconnaissants à Hatch de prêter un tel appui à la population étudiante, a dit le directeur de l’École de génie Bharti à l’Université Laurentienne, M. Markus Timusk, car cela donne à nos étudiants une excellente occasion de perfectionner leurs aptitudes pour le leadership et de se concentrer sur leurs intérêts professionnels. »

Cette année, Hatch célèbre 30 ans à Sudbury. Le récent partenariat avec l’Université Laurentienne et la création de possibilités d’emplois d’été s’inscrivent dans l’engagement de Hatch envers la formation des leaders de demain.

« À Hatch, nous préconisons les partenariats authentiques avec nos clients et les communautés dans lesquelles nous œuvrons, a indiqué le directeur général régional de l’ouest de l’Amérique du Nord pour Hatch, M. Bruce MacKay. Nous nous réjouissons à la perspective de redonner à la communauté sudburoise tout en appuyant la prochaine génération d’ingénieurs. »

 

AU SUJET DE L’UNIVERSITÉ LAURENTIENNE

L’Université Laurentienne est située sur le territoire couvert par le Traité Robinson-Huron de 1850 et reconnait qu’il s’agit des terres traditionnelles des Premières Nations d’Atikameksheng Anishnawbek et de Wahnapitae. La Laurentienne se fait un devoir de renforcer les fondements du savoir dans l’enseignement supérieur et la recherche et d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français assortie d’une approche englobante de l’éducation autochtone. Avec ses partenaires fédérés, elle prépare des leaders qui apportent des solutions innovatrices et intelligentes à des problèmes locaux et mondiaux. 

 

AU SUJET DE HATCH

Quelle que soit la vision de nos clients, nos ingénieurs peuvent en assurer la conception et la construction. En raison de nos quelque six décennies d’expérience commerciale et technique dans les secteurs des mines, de l’énergie et de l’infrastructure, nous connaissons vos besoins et reconnaissons que vos défis évoluent rapidement. En effet, nous intervenons rapidement en proposant des solutions plus intelligentes, efficaces et innovatrices. Nous faisons appel à l’expérience des 9 000 membres de notre personnel dans plus de 150 pays pour remettre en question le statu quo et favoriser le changement positif pour nos clients et employés et les communautés que nous servons. Un complément d’information figure à www.hatch.com.
 

Le projet de la Laurentienne, visant à lutter contre les émissions de gaz à effet de serre, a reçu une injection de 1,6M$ du CRSNG et des CEO

Le projet de la Laurentienne, visant à lutter contre les émissions de gaz à effet de serre, a reçu une injection de 1,6M$ du CRSNG et des CEO

L’Université Laurentienne recevra du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG) et du gouvernement de l’Ontario, par l’entremise de TargetGHG, programme administré par les Centres d’excellence de l’Ontario (CEO), 1 600 000 $ pour poursuivre les travaux de recherche sur les émissions de gaz à effet de serre.

Le projet L-CARE (Landscape Carbon Accumulation through Reductions in Emissions, ou en français, accumulation du carbone dans le paysage grâce à des réductions d’émissions), en examinant diverses stratégies de traitement et de gestion appliquées dans trois principaux types d’écosystèmes — hautes terres, terres humides et aquatiques —, cherchera à déterminer la meilleure façon de gérer la remise en état dans le cadre d’une stratégie de séquestration du carbone dans le contexte d’une importante exploitation minière en roche dure.

« La Laurentienne s’est taillé une réputation d’excellence nationale en recherche et innovation, en étant chef de file dans la transformation d’environnements endommagés par l’activité industrielle, a déclaré le vice-recteur à la recherche, M. Rui Wang. Les fonds que nous avons reçus aujourd’hui sont un véritable investissement et nous aideront à aborder des questions cruciales, porteuses de nouvelles réductions des émissions de carbone. »

S’associant dans le cadre du programme TargetGHG, le CRSNG et les CEO, qui contribueront chacun 798 000 $ au projet, entendent appuyer les collaborations entre l’industrie et le milieu universitaire en vue d’atteindre les objectifs ontariens de réduction des émissions de carbone, tout en créant des retombées économiques. Le projet L-CARE jouit également du soutien des partenaires de recherche, soit Vale Canada Limited, Sudbury Integrated Nickel Operations (Sudbury INO) de Glencore et la Ville du Grand Sudbury, qui collaborent souvent aux efforts régionaux de remise en état du paysage.

« Le Programme de reverdissement du Grand Sudbury a été et reste un chef de file mondial, souligne M. Nathan Basiliko, titulaire de la Chaire de recherche canadienne en microbiologie environnementale et codirecteur du projet de recherche L-CARE. Ce travail de recherche, qui réunit des acteurs industriels, communautaires et gouvernementaux, vise à transformer un paysage, endommagé par l’activité industrielle, en écosystèmes riches en biodiversité et fonctionnant bien. Nous sommes ravis de voir, rétrospectivement, comment ces efforts de remise en état, passés et actuels, ont conduit à la séquestration active du carbone et de mettre à l’essai de nouveaux protocoles pour maximiser le stockage du carbone tout en continuant à atteindre les autres objectifs importants de remise en état. »

Depuis les années 1970, après des investissements massifs visant à réduire les émissions de soufre et de métaux des fonderies, plus de 8 000 hectares du paysage du Grand Sudbury ont été traités avec du calcaire broyé et plus de 10 millions de semis d’arbres ont été replantés. Il reste encore, toutefois, plus de 30 000 hectares à être remis en état. Une équipe de chercheurs de l’Université Laurentienne, menée par Nathan Basiliko et John Gunn, en collaboration avec Nadia Mykytczuk, Peter Beckett et Graeme Spiers, amorcera bientôt une étude en vue de déterminer la meilleure façon de gérer la remise en état, dans le cadre d’une stratégie de séquestration du carbone, en relation avec une importante exploitation minière en roche dure.

« La durabilité de l’environnement est l’un de nos plus grands défis, aujourd’hui et demain, a déclaré le député provincial de Sudbury et ministre de l’Énergie de l’Ontario, Glenn Thibeault. Le soutien accordé au programme TargetGHG par les CEO traduit clairement l’engagement de la province envers la recherche et l’innovation en technologies propres, et nous applaudissons l’annonce faite aujourd’hui. »

L’équipe de chercheurs de la Laurentienne, ainsi que ses cinq établissements partenaires (universités McMaster, Trent, Queen’s, de Sherbrooke et du Québec) et ses collaborateurs de l’Université de Cambridge, de l’Université Cornell, du ministère des Ressources naturelles et des Forêts de l’Ontario et du Service canadien des forêts, examineront diverses stratégies de traitement et de gestion appliquées dans trois principaux types d’écosystèmes. Parallèlement, ils feront également des essais dans les zones de gestion des résidus miniers en étroite collaboration avec les partenaires de l’industrie comme Vale et Glencore Sudbury INO.

« Les mesures visant à réduire les effets des gaz à effet de serre et de la pollution atmosphérique sur notre climat et notre environnement constituent une priorité clé au Canada, a expliqué le vice-président des partenariats de recherche au CRSNG, Marc Fortin. Le CRSNG est fier de s’associer aux Centres d’excellence de l’Ontario pour créer un lien utile entre les meilleurs chercheurs et entreprises du Canada afin de mettre au point des technologies propres et innovatrices qui feront progresser la durabilité de l’environnement au Canada et amélioreront la santé et la qualité de vie des Canadiens. »

Selon les estimations approximatives actuelles, le potentiel de stockage du carbone des terres stériles et semi-stériles touchées par les fonderies locales est suffisamment élevé pour équilibrer dix ans d’émissions de carbone par les partenaires de l’industrie aux niveaux actuels. De plus, les nouveaux protocoles élaborés pourraient appuyer ailleurs, autour du globe, des efforts de remise en état engagés dans d’autres zones d’exploitation minière et de perturbation industrielle touchées de la même manière.

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne, située sur le territoire traditionnel de la Première Nation Atikameksheng Anishnawbek, se fait un devoir de renforcer les fondements du savoir dans l’enseignement supérieur et la recherche, d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français assortie d’une approche englobante de l’éducation autochtone. Avec ses partenaires fédérés, elle prépare des leaders qui apportent des solutions innovatrices et intelligentes à des problèmes locaux et mondiaux.

Le Dr Dan Andreae renouvelle son engagement envers la série de conférences

Le Dr Dan Andreae renouvelle son engagement envers la série de conférences

La série de conférences du recteur reçoit un financement de 125 000 $

30 janvier 2017 - Le Dr Dan Andreae, président d’honneur de Lésion cérébrale Canada, ex-président du Conseil de mécène de la Société Alzheimer de Toronto et lauréat du premier Prix Impact de l’Université Laurentienne, a annoncé qu’il fera un autre don de 125 000 $ pour appuyer la série de conférences du recteur à l’Université Laurentienne. Son don apporte aussi un soutien à des bourses pour la population étudiante.

« Venir à la Laurentienne pour participer à cette activité de partage de connaissances me remplit d’inspiration, car je sais que les conférenciers s’adressent aux futurs dirigeants de notre société, a dit M. Andreae. Je suis aussi ravi que la série de conférences soit offerte gratuitement à toute la collectivité. »

La Série du recteur de conférences distinguées Dr Dan Andreae sur la vie dans des communautés saines, qui porte bien son nom, facilite la venue de conférenciers de diverses disciplines qui favorisent une meilleure connaissance des caractéristiques des communautés en santé et sensibilisent les gens à cet égard. Parmi les conférenciers qui ont participé à cette série, il faut souligner le médecin et auteur, Dr Gabor Maté, l’ex-président international de Médecins sans frontières et cofondateur de Dignitas International, Dr James Orbinski, les deux athlètes olympiques, Joannie Rochette et Alexandre Bilodeau, l’orateur humoristique, éloquent et fascinant et chansonnier, Steven Page, et le psychiatre et psychanalyste, essayiste et poète, Dr Norman Doidge.

« L’Université Laurentienne a grandement profité de l’amitié bienveillante et de l’appui solide du Dr Andreae au fil des ans, a affirmé le recteur et vice-chancelier par intérim de l’Université Laurentienne, M. Pierre Zundel, Ph.D. Cette série de conférences renforce la compréhension et les connaissances liées aux communautés saines sous des optiques diverses, bénéficiant directement à nos étudiants et à notre collectivité. La Laurentienne est très fière de sa relation avec le Dr Andreae et lui est très reconnaissante des contributions qu’il apporte. »

Progrès Majeurs dans la Recherche Autochtone à la Laurentienne

Progrès Majeurs dans la Recherche Autochtone à la Laurentienne

Trois annonces marquent une journée mémorable pour la recherche autochtone

La recherche autochtone à l’Université Laurentienne a reçu un bon coup de pouce lorsque le député fédéral Marc Serré a annoncé du financement pour la nouvelle Chaire de recherche du Canada en santé des Autochtones. De plus, la Laurentienne a annoncé la création de l’Institut de recherche autochtone Maamwizing et du Fonds pour l’avancement de la recherche autochtone pour accélérer la recherche dans ce domaine.

« L’Université Laurentienne s’est engagée à améliorer la capacité de recherche autochtone et les activités connexes, et nous sommes ravis de faire des progrès dans cette orientation stratégique, a dit le vice-recteur à la recherche, M. Riu Wang, Ph.D. Les trois annonces d’aujourd’hui auront de grandes répercussions sur la capacité et la qualité de la recherche autochtone à la Laurentienne, et nous nous réjouissons de conserver cet élan. »

Mme Jennifer Walker est la première titulaire de la Chaire de recherche du Canada en santé des Autochtones. Ses recherches menées en collaboration avec des communautés et organismes des Premières Nations et métis utiliseront des données sur les troubles de santé de la population et les services offerts au cours du cycle de vie, en se concentrant sur les maladies chroniques et les populations âgées. Ces recherches contribueront à améliorer l’utilisation des données sur la santé des Autochtones utilisées dans la planification des services et des politiques.

« J’attends avec impatience l’occasion d’appuyer les partenaires autochtones pour l’utilisation efficace des données et de voir l’incidence que notre vaste recherche aura. Les peuples autochtones ont une perspective holistique du bien-être qu’ils considèrent comme le reflet de la santé en général, a ajouté Mme Walker. En s’assurant de tenir compte des données recueillies sous une optique autochtone, nous espérons qu’elles serviront pour la “médecine qui guérit” et seront mises à profit pour le bien-être général des gens et des communautés autochtones. Cette recherche pourrait avoir une immense incidence sur la santé des générations futures des peuples autochtones et des communautés de tout le nord de l’Ontario. »

En vue de lancer la recherche autochtone concertée à l’échelle universitaire, la Laurentienne a créé l’Institut de recherche autochtone Maamwizing (IRAM) dont le principal objectif sera de mener et de promouvoir la recherche autochtone sociale et culturelle en collaboration avec des partenaires communautaires.

« Le mot “maamwizing” signifie “regroupement” ou “collaboration” en langue anishinaabe, a expliqué la vice-rectrice associée à l’enseignement et aux programmes autochtones, Mme Sheila Cote-Meek, Ph.D. Après la conférence inaugurale Maamwizing le mois dernier, l’IRAM continuera de mettre en lumière la recherche autochtone et facilitera le développement d’une nouvelle expertise pour nos communautés. »

Dans le cadre de son engagement permanent à encourager la recherche, la Laurentienne a créé le Fonds pour l’avancement de la recherche autochtone (FARA), assorti de 100 000 $ par an, pour appuyer tout particulièrement les initiatives de recherche autochtone à l’Université. En faisant des investissements stratégiques, le FARA aidera à favoriser des relations constructives durables et à explorer des solutions à des défis uniques qui se posent pour les peuples autochtones.

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Les étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-neuf centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années.

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