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Le programme de formation de doula de fin de vie de l’Université Laurentienne reconnu par l’agrément national

Le programme de formation de doula de fin de vie de l’Université Laurentienne reconnu par l’agrément national

Pour l’ancienne Rikki Sibbald, le programme a changé sa vie, lui offrant une formation spécialisée et des outils pour fournir des soins de fin de vie compatissants.

(14 avril 2025) – Le Programme de doula de fin de vie de l’Université Laurentienne a reçu l’agrément national de l’Association canadienne des doulas de fin de vie, soulignant la haute qualité du programme d’études, l’enseignement spécialisé et les ressources exhaustives.

Le programme de microcertification comprend quatre cours totalisant 100 heures. Le Centre d’enseignement et d’apprentissage continu de l’Université Laurentienne, qui a élaboré le programme avec le soutien de Home Hospice North, a commencé à offrir le premier cours d’introduction au printemps 2023 et le programme complet a été proposé pour la première fois à l’hiver 2024. Au cours de l’année qui a suivi le lancement, douze personnes y ont reçu un diplôme et vingt autres étudient actuellement dans le programme.

Pour les personnes qui, comme Rikki Sibbald, se sentent appelées à prêter un soutien compatissant aux personnes dans le besoin, le Programme de doula de fin de vie offre la formation nécessaire pour suivre cette vocation.

Une ancienne en psychologie et éducation de la Laurentienne, Rikki est originaire de New Liskeard, mais enseigne au Conseil scolaire Viamonde à Penetanguishene depuis la fin de son programme en 2010. Bien que les soins de fin de vie s’éloignent de sa carrière actuelle, ils l’interpellent depuis longtemps. Après avoir accompagné des proches dans leurs derniers jours, Rikki s’est souvent demandé comment approfondir sa compréhension de la mort, du deuil et du soutien dont les familles ont besoin pendant cette période.

« La mort et le processus de fin de vie m’ont toujours intéressée, a-t-elle dit. J’ai envisagé les soins infirmiers, car mon âme de soignante est grande, mais mon amour pour l’éducation était plus fort, alors je me suis orientée vers l’enseignement. Au fil des ans, j’ai cherché des programmes ou des certifications en soins palliatifs compatissants, mais je ai trouvé des options seulement aux États-Unis. »

Tout a changé lorsqu’elle est tombée sur le Programme de doula de fin de vie de l’Université Laurentienne.

« Un jour, j’ai tapé les mots dans la barre de recherche, comme je le faisais régulièrement au cours des ans, et quand j’ai vu que la Laurentienne proposait ce programme, je l’ai interprété comme un signe, a-t-elle expliqué. Encore mieux? C’était en ligne, donc je n’avais pas à m’absenter du travail ou à être loin de mon mari et de mes enfants. En plus, la Laurentienne étant mon alma mater, c’était tout à fait idéal. »

En janvier 2024, Rikki s’est inscrite et a parachevé le programme à l’automne. Cette microcertification non créditée forme les personnes à accompagner les gens dans leurs derniers jours, en les guidant, ainsi que leurs proches, dans le cadre des aspects émotionnels, pratiques et éthiques de la mort. La formation couvre toutes les facettes, de la communication et du soutien au deuil aux pratiques funéraires et aux affaires juridiques.

Tout au long du programme, Rikki a été marquée par l’étendue des connaissances acquises et la diversité de ses camarades de classe. « Il y avait des professionnels de la santé, mais aussi des gens comme moi, tout simplement attirés par ce travail, a-t-elle décrit. Le soutien était incroyable et le corps professoral était formidable. Avoir un professeur francophone a également été un important atout, car je souhaite pouvoir offrir un soutien en anglais et français. »

Pour l’instant, Rikki cherche des moyens de mettre à profit ces connaissances dans sa communauté en s’associant à des organismes locaux, à des bibliothèques et à des hospices pour épauler les personnes en situation de deuil dans le cadre de discussions intitulées « Death Cafés ». Plus tard, elle espère transformer ce projet passionnant en un plan de retraite, offrant ainsi des soins de relève aux familles afin que personne n’ait à craindre que son proche meure seul.

L’agrément récent confirme la solidité du programme de la Laurentienne. L’Association canadienne des doulas de fin de vie a souligné la structure du programme d’études, les compétences de haut niveau en enseignement et les excellentes ressources pour les étudiants.

« Ce programme ouvre des portes, témoigne Rikki. Il a changé ma façon de voir la mort et m’a donné les outils pour aider les autres à faire de même. »

Le Programme de doula de fin de vie est offert en anglais et français par l’unité des Microcertifications et programmes non crédités de la Laurentienne et s’adresse à toute personne souhaitant offrir un soutien compatissant en fin de vie. Les inscriptions sont acceptées de manière suivie, la prochaine date limite étant le 26 avril 2025. Pour obtenir un complément d’information, consultez la page Web du Centre d’enseignement et d’apprentissage continu de l’Université Laurentienne.

 

Renouvellement de l’agrément des programmes français de formation à l’enseignement à l’Université Laurentienne

Renouvellement de l’agrément des programmes français de formation à l’enseignement à l’Université Laurentienne

De nouveaux programmes aideront à remédier à la pénurie en personnel enseignant

(21 mars, 2023) - Les diplômés des programmes en éducation de l’Université Laurentienne ont toujours été très recherchés et le sont encore aujourd’hui. Les programmes de langue française offerts par son École d’éducation ont fructueusement renouvelé leur agrément pour une période de sept ans auprès de l’Ordre des enseignantes et enseignants de l’Ontario, ce qui comprend l’agrément de programmes actuels et nouveaux : 

Une incitation exceptionnelle est offerte aux étudiants francophones pour qu’ils s’inscrivent au Baccalauréat en éducation (en plusieurs parties, en ligne, à temps partiel) à la Laurentienne. Ce programme reconnu par l’OEEO vise à épauler les candidats à la profession enseignante en leur décernant, en cours de formation, un certificat de qualification et d’inscription transitoire. Ils y sont admissibles après avoir satisfait des exigences précises, y compris deux semaines de stage.

« Les diplômés des programmes en éducation de la Laurentienne sont en grande demande, a expliqué le doyen intérimaire de la Faculté d’éducation et de santé de la Laurentienne, Patrice Milewski, Ph.D., surtout ceux de nos programmes de formation à l’enseignement en français. L’agrément saura avoir un effet catalyseur pour les personnes qui considèrent une carrière en éducation. »

Depuis de nombreuses années, les conseils scolaires de langue française de la province se soucient de la pénurie en personnel enseignant. Grâce à ces programmes en éducation, la Laurentienne aidera à remédier à cette insuffisance.

« L’Université Laurentienne s’engage à répondre à la pénurie actuelle d’enseignants, a affirmé le conseiller spécial au Bureau des affaires francophones à la Laurentienne, Roch Gallien. Ces programmes nouvellement agréés ne feront pas qu’aider nos étudiants, mais aussi les conseils scolaires français qui cherchent à pourvoir des postes avec du personnel enseignant qualifié. La Laurentienne est bien placée pour appuyer les besoins en enseignants dans le nord de l’Ontario et partout dans la province. »

Quelque 250 étudiants sont actuellement inscrits aux programmes de langue française en éducation à l’Université Laurentienne, qui continue à accepter les demandes d’admission pour l’automne 2023.
 

Le Relais pour la vie de la Laurentienne est présenté pour la 8e année consécutive.

Le Relais pour la vie de la Laurentienne est présenté pour la 8e année consécutive.

La campagne de cette année espère ajouter 30 000 $ à un total de plus de 280 000 $ depuis 2015.

(3 mars, 2023) - Les 10 et 11 mars 2023, on tiendra le huitième événement annuel du Relais pour la vie de la Laurentienne. Cet événement sensibilise les gens en ce qui concerne la lutte contre le cancer et recueille des fonds en ce sens. Les sommes recueillies sont versées à la Société canadienne du cancer (SCC), le plus grand organisme canadien de bienfaisance contre le cancer et bailleur de fonds de la recherche sur le cancer. La campagne a recueilli 284 493,61 $ depuis 2016 et espère amasser 30 000 $ de plus cette année.

Ann VanDerAa (Mount Forest, Ontario), étudiante de quatrième année au baccalauréat ès arts en Education, en double spécialisation en History et English Literature, Media and Writing, est la présidente du Relais pour la vie de l’UL de cette année et l’un des vingt étudiants bénévoles du comité organisateur de 2022-2023. « J’ai commencé à faire du bénévolat avec le Relais pour la vie de l’UL dès ma première année et j’ai gravi les divers échelons jusqu’à l’équipe de direction. La campagne de chaque année m’a beaucoup appris, et c’est incroyable de faire partie de quelque chose qui touche tant de gens. Je n’ai jamais rencontré une personne qui n’a pas été touchée par le cancer d’une manière ou d’une autre. Faire une différence, c’est donc vraiment puissant. »

Les autres membres de l’équipe de direction du Relais pour la vie de l’UL de 2022-2023 sont la vice-présidente de l’engagement, Caitlyn Brannon (Whitby, Ontario), étudiante de quatrième année en Sports Psychology, et le vice-président aux finances, Cameron Hourtovenko (Sudbury, Ontario), étudiant de quatrième année en Biomedical Biology.

« Nous sommes très fiers du travail accompli pour appuyer le Relais pour la vie, un véritable effort de collaboration, a déclaré Ann VanDerAa. L’événement se déroule au gymnase Ben-Avery de 19 h le vendredi à 7 h le samedi matin. La nuit est remplie de divertissements, de stations de restauration, de jeux, de tournois sportifs, tout ce à quoi vous pouvez penser. En fin de compte, à la fin de la nuit, nous nous réunissons pour révéler le total de notre collecte de fonds. » La Laurentienne rivalise avec certaines des plus grandes écoles du pays en matière de nombre de participants et des sommes recueillies.

« Le Relais pour la vie, c’est un mouvement mondial, qui se déroule dans 29 pays et 6 000 communautés dans le monde entier, et cette année, nous sommes ravis de célébrer le 8e événement annuel du Relais pour la vie à l’Université Laurentienne, a déclaré Allie Raper, spécialiste principale, Relais pour la vie de la jeunesse, Société canadienne du cancer. La communauté universitaire de la Laurentienne permet à la Société canadienne du cancer d’offrir un système national de soutien aux personnes atteintes de cancer et à leurs familles. Ensemble, nous aidons les gens à gérer leur vie malgré le cancer grâce à des services comme l’hébergement dans nos pavillons de cancérologie, le transport vers le lieu de traitement et un soutien individuel avec des pairs bénévoles. Le travail de nos incroyables leaders étudiants, bénévoles et donateurs fait en sorte que notre mission à la SCC est possible. Nous remercions la communauté de l’Université Laurentienne d’avoir eu une incidence remarquable et ensemble, nous pouvons unir et inspirer tous les Canadiens et Canadiennes à maîtriser le cancer. »

Le Relais pour la vie de l’UL compte quatre cérémonies clés. Une cérémonie d’ouverture et de clôture, une cérémonie des survivants et une cérémonie des luminaires. « La cérémonie des luminaires est un moment particulièrement émouvant et sincère où les participants ont la chance d’honorer les personnes qu’ils ont perdues d’une manière très respectueuse, a déclaré Ann VanDerAa. Les participants reçoivent chacun un petit sac en papier à décorer, dans lequel une lumière est insérée. Nous tamisons les lumières du gymnase et donnons aux gens le temps de réfléchir. C’est vraiment la partie préférée de nombre de personnes qui participent au Relais. »

Bien que plus de 125 étudiants de la Laurentienne se soient déjà inscrits cette année à titre de volontaires, l’objectif est que plus de 300 étudiants de l’UL participent. Les étudiants peuvent s’inscrire individuellement ou en équipes de 5 à 12.

Le Relais pour la vie de l’UL accueille les nouveaux inscrits jusqu’au jour de l’événement qui se tiendra le 10 mars. Il importe de souligner les nombreuses personnes ou groupes qui nous appuient, y compris les commanditaires locaux suivants :

Commanditaire Platine : Verdicchio’s Ristorante.
Commanditaires Or : Starbucks, Sudbury Five, Angèle’s Bakes.
Commanditaires Argent : Services publics du Grand Sudbury, Peavey Mart, Ferguson Deacon Taws, TestMark.
Commanditaires Bronze : Salute Coffee Company, Handmade by Logan, New Sudbury Spice Co., Science Nord, Joyful Home, Sage, Twiggs Coffee Roasters, Daventry, That's My Jam, Positive Inception, Mastermind Toys, Sudbury Wolves, Party City et Gourmet World.
 

Une diplômée de la Laurentienne se penche sur vingt-trois ans d’enseignement en français.

Une diplômée de la Laurentienne se penche sur vingt-trois ans d’enseignement en français.

Jennifer LaBrosse inspire la prochaine génération d’élèves de sa classe de maternelle/jardin d’enfants

(28 février, 2023) - Un bon départ à l’école aide les enfants à apprendre, à développer la résolution de problèmes et la pensée créative, et soutient la croissance sociale et émotionnelle. Les avantages associés aux expériences engageantes au cours des premières années scolaires sont vastes, et les parents et les tuteurs gagnent en tranquillité d’esprit lorsqu’ils ont confiance dans les compétences et l’empathie de l’éducatrice de leur enfant.

Jennifer LaBrosse (née Johnson), diplômée de la Laurentienne (Géographie, 1998, et Éducation, 1999), éduque les jeunes esprits depuis vingt-trois ans. Elle est précisément le genre d’enseignante que les parents et les tuteurs aiment en raison de son enthousiasme, de son dévouement envers ses élèves et de sa bienveillance.

« J’adore être enseignante. Les enfants sont incroyables et uniques en ce qui concerne leurs besoins. Pouvoir faire une différence positive dans les premières années de mes élèves est ce qui me motive. »

Mme LaBrosse a grandi dans la petite communauté de Warren, en Ontario, située à une quarantaine de kilomètres à l’est de la Ville du Grand Sudbury. Elle est diplômée de l’École secondaire catholique Franco-Cité (1994) de Sturgeon Falls. « Mes enseignants d’anglais et de géographie au secondaire m’ont beaucoup soutenu, dit-elle. C’est grâce à eux que j’ai voulu enseigner. Ma mère était enseignante et je me souviens d’avoir aimé de pouvoir l’aider quand j’étais enfant. J’étais toujours enthousiaste à l’idée de visiter sa classe et j’avais l’impression que l’enseignement serait une carrière que je voudrais poursuivre. »

Quelques mois après avoir obtenu son diplôme d’enseignante, Mme LaBrosse a été embauchée pour enseigner une classe mixte de la 1re à la 3e année à l’École publique Franco-Manitou, à Manitouwadge, en Ontario. « Je dois admettre que j’étais un peu nerveuse de déménager si loin de chez moi dans une communauté qui ne m’était pas familière. Mais dès que je suis arrivée, je me suis attaqué à la tâche et j’ai eu une très bonne expérience. Je n’avais que neuf élèves dans ma classe. Nous étions une très petite école, mais cela m’était familier, ayant grandi dans une petite communauté. »

Au printemps 2000, lorsque des postes d’enseignement plus près de chez elle sont devenus disponibles, Mme LaBrosse a soumis une demande à l’École publique Camille-Perron, à Markstay, en Ontario. « Au cours de ma première année, j’ai enseigné de la 4e à la 6e année, précisément le groupe d’âge qui m’avait toujours intéressée. Cependant, après deux ans d’enseignement à ces niveaux, on m’a demandé si je voulais enseigner à la classe de maternelle/jardin d’enfants. C’est la directrice de l’école qui m’a convaincu de faire ce changement. Elle m’a dit : Je pense que tu serais géniale. Je vois comment tu es et je pense que tu serais super avec les jeunes enfants. Au départ, je n’en étais pas si sûre, mais j’ai accepté le poste en septembre 2002 et depuis, je n’ai pas regardé en arrière. »

Il est évident que Mme LaBrosse est passionnée par l’enseignement et le fait de soutenir l’avenir brillant de ses élèves. « On n’a jamais le temps de s’ennuyer. Chaque jour est différent et vous ne savez jamais ce qui se passera. Les enfants sont attentionnés et il est facile de les aimer. Ils sont si curieux et imaginatifs, et c’est formidable de faire partie de ce processus. »

Mme LaBrosse intègre nombre de réflexions hors des sentiers battus dans ses méthodes d’enseignement. « J’aime partager ce que j’aime avec mes élèves, et cela inclut la musique et les voyages. Je pense que faire entrer dans la classe ce qui me passionne rend les choses plus intéressantes. En tant qu’enseignant de maternelle/jardin d’enfants, vous voulez essayer de trouver des façons amusantes d’apprendre les choses, comme apprendre des syllabes au moyen de la musique à l’aide d’instruments. » Dans ses temps libres, Mme LaBrosse joue de la guitare. Elle enseigne souvent la musique pour faire participer nombre de ses élèves. « J’essaie de faire preuve d’imagination autant que possible dans mon enseignement. »

Mme LaBrosse favorise également l’inclusivité dans sa classe. « J’enseigne dans une école de langue française, mais cela ne veut pas dire que chaque élève qui entre dans ma classe parle le français avant de commencer l’école, explique-t-elle. J’accueille tous les élèves dans ma classe, et je dois dire que, au fil des jours et des semaines, c’est incroyable de voir à quelle vitesse ils apprennent et acquièrent la langue française. Mes élèves sont comme de petites éponges. Ils s’imprègnent de tout ce qui les entoure et être témoin de leurs progrès est vraiment gratifiant. »

Lorsque les parents et les tuteurs rencontrent Mme LaBrosse pour la première fois, ils sont souvent agréablement surpris de voir des dizaines de photos de ses anciens élèves fièrement accrochées aux murs de sa classe. « Toutes les photos de fin d’études de mes élèves sont dans ma classe. C’est un peu comme une mosaïque. Lorsque les parents entrent, ils aiment bien voir cela. Il importe de rendre nos espaces d’enseignement accueillants. En tant qu’enseignants, nous avons tendance à être très fiers de nos élèves. »

Il y a un fort sentiment de communauté entre Mme LaBrosse et ses collègues. En plus d’enseigner, elle est présidente du comité des activités sociales de son école, ce qui signifie qu’elle assume la responsabilité d’entretenir des relations positives entre ses pairs. « Nous nous entendons tous très bien et beaucoup d’entre nous travaillent ensemble depuis des années. En fait, j’ai grandi avec certains de mes collègues, ce qui, je pense, est assez incroyable. »

Mme LaBrosse encourage les personnes qui envisagent une carrière dans l’enseignement à poursuivre leurs rêves. « Acquérez autant d’expérience que possible tout en poursuivant votre formation pédagogique, a-t-elle déclaré. Soyez ouvert d’esprit et aux possibilités. J’adore mon travail et je suis enthousiasmée par ce que me réserve mon avenir dans l’enseignement. »
 

La Laurentienne lance le Programme de bien-être par les pairs

La Laurentienne lance le Programme de bien-être par les pairs

La santé et le bien-être sont les plus hautes priorités de l’Université

(8 avril 2022) - La santé mentale est importante, car elle affecte nos sentiments, nos pensées et notre comportement. Elle a aussi une incidence sur notre prise de décisions et notre capacité de cadrer avec le stress et de gérer nos relations.

Des étudiants de la Laurentienne ont des répercussions positives sur le bien-être de leurs pairs. Même si beaucoup de ressources et de services sont axés sur la santé mentale et le bien-être, comme les Services de counselling, le Service de santé et de bien-être, les Services d’accessibilité, le Bureau des Affaires étudiantes autochtones, et le Bureau d’équité, de diversité et des droits de la personne (BEDDP), le Programme de bien-être par les pairs appuiera la santé mentale et le bien-être de manière exponentielle. Encore aux premières étapes de la mise en œuvre, le programme prend déjà de l’élan sur le campus.

Kayla Dibblee et Amalia Secenj sont parmi les nombreux membres de la population étudiante qui ont contribué à l’élaboration du programme. Kayla Dibblee est étudiante à la maîtrise en service social et diplômée en éducation physique et santé et éducation, tandis qu’Amalia Secenj parachève le trimestre final du programme de promotion de la santé.

« Nous offrons un encadrement et fixons des objectifs pour aider à appuyer la santé mentale et effacer la stigmatisation à cet égard sur le campus, a dit Mme Secenj en expliquant la mission du Programme de bien-être par les pairs. Nous nouons des relations d’appui entre les pairs que sont les étudiants. » Le programme vise à hausser de manière respectueuse et empathique la voix des communautés étudiantes du campus et à compléter les services professionnels qui y sont actuellement offerts. Une quarantaine d’étudiants se sont déjà inscrits à titre de pairs soutenant du programme qui favorisera les relations entre les pairs tout en offrant en ligne des ressources de soutien.

« Le soutien entre les pairs a une grande valeur, a ajouté Mme Dibblee. Le pouvoir et le savoir découlent des expériences vécues et les étudiants, surtout ceux qui ont reçu la formation appropriée, peuvent apporter un excellent soutien à leurs camarades de cours. Ils comprennent l’expérience étudiante, car ils la vivent aussi. »

« Les étudiants s’intéressent aux autres étudiants, a exprimé la coordonnatrice de la réception des questions, de l’appui et des relations communautaires au BEDDP, Stephanie Harris. Ils s’intéressent à créer un environnement dans lequel tout le monde se sent accueilli et respecté. »

« Mon équipe et moi nous réjouissons de collaborer avec des étudiants enthousiasmés par la santé mentale, a dit la gestionnaire des Services d’accessibilité et de counselling, Isabelle Chaussé. Nous avons réservé un espace au Service de counselling pour le Programme de bien-être par les pairs où les étudiants-pairs joueront un rôle essentiel dans notre modèle de prestation de services. Le programme rehaussera pour les étudiants le sentiment d’être vus, entendus et compris. »

Coordonnées de divers services aux étudiants :

Services de counselling : 705-675-1151, poste 6506 ou bienetredespairs@laurentienne.ca  
Services d’accessibilité : 705-675-1151, poste 3324 ou accessibilityservicesinfo@laurentienne.ca 
Bureau des Affaires étudiantes autochtones: 705-675-1151 poste 4052 ou aea@laurentienne.ca 
Bureau d’équité, de diversité et des droits de la personne : 705-675-1151, poste 3427 ou edhr@laurentienne.ca 

Les membres de la population étudiante peuvent aussi appeler en tout temps les Services d’intervention d’urgence au 705-675-4760 et Allô j’écoute au 1-866-925-5454. 

 

Une ancienne de la Laurentienne se prépare à des aventures mondiales de travail et de voyage

Une ancienne de la Laurentienne se prépare à des aventures mondiales de travail et de voyage

Passionnée des voyages, Mme Lisa McGowan favorise son bien-être mental

Même si la pandémie de la COVID-19 a modifié considérablement les voyages, la diplômée en psychologie (2011) et éducation (2012) de l’Université Laurentienne, Mme Lisa McGowan (Guelph, ON), a hâte d’amorcer une aventure de quatre mois à travailler et à voyager en Europe et Afrique. Participant au programme Remote Year, elle entend commencer ce mois-ci son périple, qui l’apportera au Portugal, en Croatie, en Espagne et en Afrique du Sud. Pendant qu’elle est à l’étranger, elle travaillera à l’expansion de son entreprise, Pop Up Studios, surtout pour ce qui est de la photographie de voyage. D’ailleurs, elle attend avec impatience de commencer ce trajet vers le bien-être mental, car, pour elle, les voyages ont toujours eu des bienfaits en ce sens. « Tous les moments passés à l’étranger, immergés dans une nouvelle culture à l’extérieur des sentiers battus à explorer le monde, a-t-elle dit, représentent du temps passé à bon escient et sont très précieux. »

Les déplacements internationaux ne sont pas nouveaux pour Mme McGowan. Pendant sa troisième année d’études à la Laurentienne, elle a passé un trimestre à l’Université de Tilburg, aux Pays-Bas, grâce au programme VAUL (Voyager avec l’Université Laurentienne) qui fait valoir l’expérience universitaire à l’extérieur de la salle de classe. Les échanges à l’étranger ouvrent diverses possibilités dynamiques de croissance. « Je voulais profiter au maximum de mon expérience universitaire et étudier aussi ailleurs qu’au Canada, a-t-elle affirmé. Voyager a une profonde incidence sur mon bien-être. » En fait, elle fait une priorité de ses passions et veut se créer une vie lui permettant de forger son propre chemin et de définir elle-même le succès de façon à privilégier son bien-être mental et à protéger son énergie.

La participation de Mme McGowan au programme VAUL a éveillé son intérêt pour d’autres possibilités mondiales. Peu après l’obtention du diplôme à la Laurentienne, elle a été embauchée par EPIK (English Program in Korea) pour enseigner l’anglais comme langue seconde. Bien que l’expérience devait durer 12 mois, elle a vécu et travaillé en Corée du Sud pendant presque deux ans. « Je suis allée en Corée du Sud en février 2013, habitant surtout la partie continentale de Daegu, a-t-elle expliqué. J’ai eu une expérience incroyable de travail dans deux écoles publiques auprès d’élèves âgés de 3 à 12 ans. Après un an, j’ai décroché un poste d’enseignement dans une académie privée sur l’île de Jeju, où j’ai habité en appartement. J’ai beaucoup aimé m’immerger dans la culture coréenne – quel beau cadeau de vivre ce mode de vie. »

Mme McGowan a trouvé gratifiant l’enseignement de l’anglais comme langue seconde. Même s’il y avait des défis, son expérience à l’étranger n’a fait que rehausser sa passion pour aider à ouvrir l’esprit des jeunes. Dès son retour au Canada, elle a pourvu un poste en enseignement avec l’Upper Grand District School Board. Un point saillant en enseignant au Canada a été la mise au point d’un projet de six semaines simulant l’émission « Shark Tank » à l’intention de ses élèves de 7e année. Dans le cadre du projet, elle a rehaussé la confiance en soi et la créativité des élèves tout en les initiant à l’entrepreneuriat. D’ailleurs, ce projet a suscité l’intérêt à Mme McGowan à lancer sa propre entreprise. 

Bien que les protocoles imposés par la pandémie mondiale puissent avoir une incidence sur son voyage qui approche à grands pas, elle espère pouvoir entreprendre son aventure comme prévu. « Mon rêve le plus fou se réalise, exprime-t-elle, et je compte en profiter pleinement. »

Vous pouvez aller sur Instagram pour suivre les aventures de Mme McGowan dans le monde. Peu importe où elle voyage, elle gardera toujours à cœur l’expérience vécue à l’Université Laurentienne.

Rob et Cheryl McEwen investissent 10 000 000 $ dans l’École d’architecture à l’Université Laurentienne

Rob et Cheryl McEwen investissent 10 000 000 $ dans l’École d’architecture à l’Université Laurentienne

L’École d’architecture de l’Université Laurentienne sera dorénavant connue comme l’École d’architecture McEwen

En reconnaissance d’un investissement considérable de Rob et de Cheryl McEwen, l’École d’architecture de l’Université Laurentienne sera dorénavant connue comme l’École d’architecture McEwen. Une bannière en bleu et or portant le nom McEwen a été déployée aujourd’hui à l’extérieur de l’École au centre-ville de Sudbury pendant que le couple annonçait son don de 10 000 000 $. De cette somme, 4 000 000 $ serviront au parachèvement des installations de pointe de l’École estimées à 45 000 000 $, tandis que les 6 000 000 $ restants permettront d’améliorer l’expérience étudiante et optimiseront leur capacité à devenir des agents du changement dans le domaine de l’architecture au plan mondial.


« Nous sommes vraiment ravis et fiers d’investir dans l’École d’architecture de la Laurentienne, a affirmé M. Rob McEwen. L’accent qu’elle met sur les conceptions vertes et durables, enracinées dans les paysages et collectivités du Nord, ouvre des possibilités exceptionnelles à la prochaine génération d’architectes. Jeune de trois ans, l’École fait déjà constater son incidence sur les communautés du Nord et nous nous réjouissons à la perspective des innovations en conception de ses jeunes leaders et de l’excellence dont ils feront preuve dans les années à venir. »

 

« Nous sommes extrêmement reconnaissants à la famille McEwen de ce don transformateur, a indiqué M. Terrance Galvin, Ph.D., directeur-fondateur de l’École d’architecture. Cet investissement nous permettra de concrétiser notre vision qui est d’élaborer un programme exceptionnel à la fine pointe de l’architecture dont les diplômés apporteront des contributions au développement tant culturel que socioéconomique dans les régions plus au nord du Canada et du monde. En raison de sa vision et de son enthousiasme, Rob sera un excellent mentor pour nos étudiants. »

M. McEwen jouit d’une excellente réputation en tant que visionnaire de l’industrie minière et philanthrope. À la suite d’une brillante carrière dans les services financiers et en gestion de placements, il est devenu l’un des principaux dirigeants de l’industrie minière au Canada. Il est fondateur de Goldcorp Inc., qu’il a fait croître de petite société avec capitalisation boursière de 50 000 000 $ à joueur mondial de plus de 10 milliards de dollars. Il est actuellement président et propriétaire principal de McEwen Mining Inc. (MUX à NYSE et TSX), et de Lexam VG Gold Inc. (LEX à TSX), qui cherche et extrait de l’or, de l’argent et du cuivre au Canada, aux États-Unis, au Mexique et en Argentine. Parmi les prix qu’a reçus M. McEwen, il faut souligner le Prix de l’homme de l’année 2003 de Northern Miners et le Prix pour PDG le plus innovateur en 2006 du magazine Canadian Business. Il a été nommé à l’Ordre du Canada en 2007. Rob et sa femme, Cheryl, favorisent ardemment l’innovation et l’excellence en matière d’éducation et de soins de santé, ayant fait don de plus de 50 000 000 $ pour mener à bien ces objectifs. Cheryl est vice-présidente de la Fondation UHN Toronto General & Western Hospital, et présidente de « Make my Day Foods » et s’affaire actuellement à fonder le Centre McEwen de médecine régénératrice.

« Nous avons l’honneur d’accepter des McEwen ce généreux investissement dans notre École d’architecture, a dit M. Steve Paikin, chancelier de l’Université Laurentienne, et sommes fiers de voir associer l’École à Rob et à sa famille. » « Il s’agit d’un geste bienveillant à l’appui de notre école et de notre population étudiante, a ajouté le recteur et vice-chancelier, M. Dominic Giroux, et nous croyons que cela témoigne de l’élan et de la reconnaissance mondiale dont jouit de plus en plus notre université. »

L’École d’architecture a accueilli sa première cohorte en septembre 2013 et lancera son programme de maîtrise en architecture en 2017.

 

 

 

Au sujet de l’École d’architecture McEwen

L’École d’architecture McEwen de la Laurentienne est la première au Canada depuis 45 ans. Elle est aussi la première en son genre dans le nord de l’Ontario et la première au Canada à l’extérieur du Québec à offrir des cours en français. L’École McEwen fournit une expérience immersive d’études qui transmet le besoin inhérent de marier l’expertise technique à la compréhension exhaustive de l’esprit des paysages et des gens qui les habitent afin de concevoir des édifices réfléchis, durables et pratiques. En trois ans, les étudiants ont déjà gagné de nombreux prix nationaux et internationaux, y compris la première place au Festival international du bois à Bergen, en Norvège, en mai 2016.

Cette 12e école d’architecture au Canada permet aux étudiants du Nord d’étudier l’architecture dans leur région et incite les diplômés à s’installer dans le Nord afin de faire partie de la collectivité croissante de la conception. L’École McEwen sera reconnue pour ses recherches et conceptions en bois, ses recherches en architecture autochtone et son expertise d’étude du bassin de Sudbury comme source pour la conception.

L’École McEwen est hébergée dans un magnifique nouveau complexe de 45 000 000 $ au centre-ville de Sudbury, conçu par LGA Architectural Partners. Elle occupe une superficie de 77 000 pieds carrés dans deux édifices centenaires réaménagés qui appartenaient auparavant à CP Rail et à CP Telegraph, et comptera un nouvel édifice de 52 000 pieds carrés qui sera inauguré à l’automne et qui accueillera quelque 260 étudiants. Le programme en architecture est hautement concurrentiel et, d’ici 2018, verra augmenter les inscriptions à 400 étudiants, avec un effectif de 25 membres du corps professoral et du personnel.

La Laurentienne renforce le leadership en matière de formation autochtone en améliorant les cours offerts

La Laurentienne renforce le leadership en matière de formation autochtone en améliorant les cours offerts

À compter de septembre 2017, on ajoutera six crédits de cours à contenu autochtone aux exigences du baccalauréat ès arts.

May 26, 2016 - Laurentian University has announced new requirements affecting the structure and content of its degree programs of Arts. As of September 2017, we will add six credits of Aboriginal content requirements of the BA to promote understanding of the history, cultures and indigenous realities in Canada.

 

"Laurentian University is central to Aboriginal education in northern Ontario and takes its role in the reconciliation process, said the Associate Vice-President for education and indigenous programs, Sheila Shore Meek, PhD Laurentian is a business-oriented culture that warmly welcomes Aboriginal students and opens the way to thought and indigenous cultures for members of the student body and faculty from diverse backgrounds. "

 

Laurentian is committed to strengthening its leadership in Aboriginal training modernizing curricula to reflect the history and indigenous realities and promote enriching intercultural contacts between Aboriginal students and immigrants. "We now offer hundreds of courses that include more than 50% of Aboriginal content, added Ms Coté-Meek, and currently developing others. "

 

The Faculty of Arts from Laurentian University has a stronger critical mass of Aboriginal faculty members with tenure or holding a position leading to tenure. Recently, Laurentian has undertaken the construction of the Centre for Indigenous Sharing and Learning, physical representation of its commitment to Aboriginal education. The center will be a space in which academics, students and community members can participate in the social sciences and humanities research projects and strengthening innovative capacity in support of Aboriginal communities. In accordance with the calls to action of the Truth and Reconciliation Commission, the Centre serve as a platform for "promoting understanding of reconciliation".

 

"We are proud of the great work done by the Faculty of Arts to integrate Aboriginal content in its programs and courses, expressed the vice-president academic, Robert Kerr. The new requirement approved by the Senate will ensure that more people graduating from Laurentian have a good understanding of the history and native cultures. "

L'Université Laurentienne nomme la doyenne fondatrice de la Faculté d'éducation

L'Université Laurentienne nomme la doyenne fondatrice de la Faculté d'éducation

Mme Lace Marie Brogden, Ph.D., dirigera les écoles anglophone et francophone d’éducation

23 février 2016 – L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer la nomination de Mme Lace Marie Brogden, Ph.D., au poste de doyenne fondatrice de la Faculté d’éducation, pour un mandat renouvelable de cinq ans avec entrée en fonction le 1er juillet 2016.

 

En qualité de doyenne, Mme Brogden se chargera de diriger les deux écoles de la Faculté, à savoir la School of Education et l’École des sciences de l’éducation. La Faculté compte actuellement 60 membres à temps partiel et à plein temps du corps professoral et un effectif de 780 étudiants.

 

Universitaire estimée et administratrice chevronnée, Mme Brogden dirige depuis 2010 le programme de baccalauréat de la Faculté d’éducation à l’Université de Régina. Avant cela, elle a été coordonnatrice des évaluations dans le Bureau de langue minoritaire officielle du ministère de l’Éducation de Saskatchewan et a passé cinq ans comme enseignante en immersion française dans les écoles publiques de Régina. Titulaire d’un doctorat de l’Université de Régina (2007), elle a aussi obtenu une maîtrise ès arts en éducation de la San Diego State University (1996) et un baccalauréat en éducation élémentaire française de l’Université de Régina (1989).

 

« Par l’intermédiaire de la Faculté d’éducation, nous souhaitons favoriser la recherche, l’enseignement et l’apprentissage de haut calibre, tout en attirant de brillants étudiants et professeurs, a dit le recteur et vice-chancelier, M. Dominic Giroux. Nous sommes ravis d’accueillir Mme Brogden dans ce nouveau rôle crucial à la Laurentienne et avons hâte de voir éclore nos écoles d’éducation sous sa direction. »

 

« Je suis ravie d’avoir la chance de collaborer avec les deux écoles de la Faculté qui exercent un rôle indispensable dans le nord de l’Ontario, a affirmé Mme Brogden. Il s’agit d’une possibilité exceptionnelle de travailler tant en anglais qu’en français dans des programmes simultanés et consécutifs et je me réjouis des nouvelles perspectives à l’horizon. »

On honore Pamela Rose Toulouse pour l'excellence en enseignement

On honore Pamela Rose Toulouse pour l'excellence en enseignement

La professeure de la Laurentienne tient compte de la philosophie autochtone de l’enseignement afin de cultiver des relations entre les membres de la population étudiante

2 Avril, 2014 - Pamela Rose Toulouse, Ph.D., est lauréate du Prix d’excellence en enseignement de 2013-2014 pour le corps professoral à plein temps de l’Université Laurentienne. 

Professeure agrégée dans l’École anglophone des sciences de l’éducation à l’UL, Mme Toulouse en est actuellement à sa 21e année d’enseignement en milieu d’éducation formelle. Son approche comme éducatrice se caractérise par le zèle qu’elle déploie envers l’enseignement et la promotion de communauté en salle de cours. 

« “Kinoomaage” est le mot ojibwé qui se rapproche le plus à “enseignement”, a expliqué Mme Toulouse. Tous mes étudiants – anciens, actuels et futurs – sont effectivement les meilleurs éducateurs que j’ai et sont une composante essentielle du Kinoomaage qui m’inspire à m’organiser, à faire des recherches et à préparer un milieu d’apprentissage qui rend hommage à chacun d’entre eux. » 

Originaire de la Première Nation de Sagamok, Pamela Rose Toulouse est une fière Ojibwé/Odawa reconnue pour ses contributions à l’éducation des Premières Nations, Métis et Inuits. « Grâce à son enseignement, a dit le vice-recteur aux études à l’UL, Robert Kerr, Mme Toulouse avance un milieu d’apprentissage adapté à la culture que nous tentons de favoriser à la Laurentienne. Elle s’attire le respect tant de ses étudiants que de ses collègues, qui admirent son zèle et son engagement envers sa profession. » 

L’approche de Mme Toulouse préconise les relations profondes entre les camarades de classe et leur offre un endroit sûr où discuter et explorer les questions touchant le domaine de l’éducation. « Les enseignants les plus mémorables sont ceux qui ont confiance en nous, nous poussent toujours à nous améliorer, nous encouragent à poursuivre les études et nous aident à tirer des leçons de nos erreurs afin que nous puissions réussir, ont indiqué les étudiants du cours de méthodes de Mme Toulouse dans leur lettre de mise en candidature. C’est Pamela Toulouse qui nous vient continuellement à l’esprit car elle est une éducatrice exceptionnelle qui affiche toutes ces qualités et encourage ses étudiants à simplement toujours faire de leur mieux dans tout ce qu’ils font. » 

Le prix officiel lui sera remis lors de la Collation des grades du printemps 2014

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